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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 6 days ago

Situation économique et financière: Bouteflika y croit

Tue, 01/11/2016 - 08:36

Reconnaissant le caractère encore insuffisant des actions du gouvernement, le chef de l’Etat met néanmoins en évidence les efforts de l’Exécutif.

La situation financière que traverse le pays n’est pas une fatalité. Il est possible d’en sortir. C’est en substance le message du chef de l’Etat qui estime le défi «à notre portée», à la condition d’une mobilisation nationale effective.
«Le nouveau modèle de croissance adopté récemment permettra une mise en valeur plus intense de nos riches potentialités pour bâtir une économie plus diversifiée, capable de répondre aux besoins de notre jeunesse en emplois, et à même de pérenniser nos options sociales», a souligné le chef de l’Etat, comme pour appeler à une mobilisation des Algériens derrière le nouveau modèle de croissance, histoire de «partager l’effort que nous imposent nos difficultés financières conjoncturelles, afin de poursuivre notre processus prometteur de développement». Il faut dire que le concept de «partage de l’effort» demeure un peu flou et les Algériens ne parviennent pas à le traduire sur le terrain.
Il faut dire que sans le sens du «partage», il sera plus compliqué de faire face à la situation, mais le président affirme dans son message que le défi du développement économique et social doit être poursuivi et intensifié. C’est peut-être à ce prix que les citoyens comprendront le sens profond du message présidentiel. Il y a donc dans le nouveau modèle économique, des actions concrètes destinées à donner le signal qu’il faut à la société quant au bien-fondé de la démarche du gouvernement. Sur le sujet, le président de la République est très à l’aise lorsqu’il soutient que «des efforts gigantesques ont été investis, et des résultats remarquables ont été atteints», ces dernières années.
Une réalité palpable au quotidien par les Algériens. Cela n’est pas tombé du ciel. «Des centaines de milliards de dollars de revenus pétroliers ont été mobilisés, notamment pour la construction des écoles, des universités, des hôpitaux, des logements, des amenées d’énergie et d’eau courante, ainsi que dans les infrastructures de base», a insisté le chef de l’Etat. Tous ces acquis ne sont pas à remettre en cause, mais plutôt à capitaliser à travers une «mobilisation» de la société, maintenant que l’argent vient à manquer.
Reconnaissant le caractère encore insuffisant des actions du gouvernement, en rapport avec l’importante demande sociale, le chef de l’Etat met néanmoins en évidence les efforts de l’Exécutif, qui «sont une affirmation palpable de l’attachement de l’Etat à la justice sociale et à la solidarité nationale». Cela étant dit, le président Bouteflika met en exergue la brutalité de la détérioration des revenus du pays, «comme c’est le cas des autres pays producteurs de pétrole». Il devient évident que l’Etat et la société doivent revoir leur train de vie, tout en déployant le nouveau modèle de croissance à même d’éloigner le pays de la zone de dépendance aux hydrocarbures.
Mais tout compte fait, l’Algérie encaisse très bien le coup en comparaison avec d’autres pays. Cela est la conséquence du remboursement anticipé de la dette extérieure et d’une gestion prudente des réserves de changes.
Ces deux décisions «nous permettent aujourd’hui de préserver notre indépendance de décision économique», affirme le président de la République dans son message.
Cette marge salutaire constitue pour le président «un motif supplémentaire d’en appeler à une mobilisation nationale pour partager l’effort que nous imposent nos difficultés financières conjoncturelles, afin de poursuivre notre processus prometteur de développement».
Le défi, en fait, n’est pas seulement d’accuser le coup, mais surtout de poursuivre dans la dynamique de croissance que vit le pays. Cela passe par l’accélération et l’approfondissement de «nos réformes pour la modernisation de la gouvernance, la dynamisation de l’investissement, et pour une efficacité accrue de la dépense publique, des domaines parmi d’autres, où nous enregistrons, chaque jour déjà, des progrès prometteurs». Tout un programme.

Categories: Afrique

Ahmed Ouyahia: « Le pays a besoin de pôles présidentiels »

Tue, 01/11/2016 - 08:33

«Le recours à l’endettement est une fuite en avant, et l’ Algérie ne risque rien de voir ses réserves de changes baisser au-dessous de 100 milliards de dollars.»

Dans son entretien accordé avant-hier, en marge de sa visite dans la wilaya de Tizi-Ouzou, à la chaîne de télévision privée Dzaïr News, le secrétaire général du RND, Ahmed Ouyahia, ne critique plus l’opposition, il voit d’un bon oeil la participation du RCD et du FFS aux législatives prochaines. «Cela démontre que le pays est sur la bonne voie et le multipartisme est bel et bien instauré», souligne-t-il. «Ceux qui opteront pour le boycott, en paieront la facture puisque leur position sera synonyme d’opposition à une disposition (celle relative à la création d’un haute instance de surveillance des élections) inscrite dans la révision de la Constitution», prévient-il. En évoquant sa mission en novembre 2013, en tant que superviseur des élections législatives en Mauritanie, où existe une instance supérieure indépendante des élections, il a affirmé que «l’instance indépendante pour la gestion du processus électoral, telle que revendiquée par l’opposition ne peut pas justifier à elle seule le boycott de certains partis». «Ceux qui boycotteront ont d’autres visions et arrière-pensées politiques», a-t-il soutenu, en ajoutant que «malgré l’existence de ladite commission en Mauritanie, nombreux sont les partis qui ont boycotté les législatives qui se sont déroulées en novembre 2013 dans ce pays». Il a cité également l’exemple de la France où, selon lui, «l’organisation et la surveillance des élections relève du monopole du département de l’intérieur». Pour Ouyahia: «Si les conditions du déroulement des élections ne sont pas parfaites en Algérie, il n’en demeure pas moins que la création d’une Haute Commission indépendante et permanente de la surveillance des élections est une avancée considérable réalisée ces derniers temps.» De même dit-il: «La Constitution oblige le Conseil constitutionnel d’étudier les recours dans le fond et non dans la forme.»

Le patron du RND,qui présidera vendredi prochain, la réunion de son bureau politique, intervenant après ses dernières sorties dans les wilayas de l’ouest et du centre du pays, prêche la création «de pôle politique», qui présente, néanmoins, une nuance sémantique avec l’alliance présidentielle. A titre de rappel, Ouyahia ne fait que réitérer son appel lancé en juin dernier à l’adresse du FLN, le MPA et TAJ en vue de former un pôle politique avec son parti afin d’apporter davantage de soutien au programme du président de la République. «On n’a jamais proposé la création d’une alliance au RND. Je pense que ce dont a besoin le pays aujourd’hui c’est de créer des pôles», a-t-il expliqué. «Nous attendons des partis qui prétendent soutenir le programme du président, de traduire leur convergence par des actions communes, en commençant par le soutien des projets du président au Parlement et parler de la même voix, en servant des discours sur un ton positif, semant l’espoir.» Il s’agit pour Ouyahia «d’apporter notamment un démenti à ceux qui disent que l’Algérie est trahi par ses gouvernants qui ont gaspillé sans compter et sans aucun résultat plus de 800 milliards de dollars durant ces 15 dernières années et à ceux qui qualifient la loi de finances 2017 de Code pénal bis contre la majorité des Algériens». «A travers nos rencontres avec les militants élargies des fois aux notables, on essaye de répondre aux préoccupations des militants et d’expliciter les différentes politiques menées par le gouvernement dans lequel nous sommes partie prenante. Il s’agit aussi de mobiliser et de resserrer les rangs au sein du parti en cette conjoncture électorale marquée par la montée de la fébrilité et la convoitise des premières positions sur les listes électorales», a-t-il dit. Ouyahia a reconnu que «le processus de restructuration du parti a
buté sur de nombreuses et importantes difficultés». «Le parti a été secoué par des secousses et tiraillements assez graves dans certaines wilayas à l’image de Tizi Ouzou, après ma démission de mon poste à la tête du RND en 2012», a-t-il indiqué. Invité à commenter le départ de l’ex-secrétaire général du FLN, le directeur du cabinet de la présidence de la République, souhaite un prompt rétablissement à Amar Saâdani et réitère ses félicitations au nouveau SG de ce parti, Djamel Ould Abbès. «J’ai personnellement félicité Ould Abbès oralement et par écrit, que je connaît depuis 1994 au temps du CNT, suite à son élection à la tête du FLN», a-t-il précisé. Notre position demeure inchangée car le FLN reste «un allié stratégique». Il s’est réjoui à la fois d’entendre les responsables du FLN déclarer que le RND est leur allié et de l’orientation du premier communiqué du bureau politique du FLN sous la présidence d’Ould Abbès invitant les parlementaires à voter le projet de loi de finance 2017. «Nous sommes maintenant deux au Parlement à soutenir ce projet», explique M.Ouyahia. Sur le plan économique, Ouyahia dira: «Dieu soit loué que mon pays ait cessé de recourir à l’endettement extérieur et préservé ses réserves de changes.» Dans ce contexte, je salue le président de la République, qui avait pris la décision en 2006 de rembourser la dette par anticipation et suspendu définitivement le recours à l’endettement extérieur car auparavant la wilaya, le ministère et les entreprises publiques empruntaient…».
Aujourd’hui, la dette publique algérienne est évaluée à seulement 400 millions de dollars, l’autre partie estimée à 3 milliards de dollars est constituée d’emprunts extérieurs de BP et Djezzy…etc».
De l’autre côté, poursuit-il «les 121 milliards de dollars de réserves de changes ont permis à l’ Algérie d’être souveraine sur ses décisions économiques, la preuve en est que l’Algérie a réduit son taux de réescompte de 4 à 3, 5%».
De plus, fustige-t-il le gouvernement, «l’idée que les réserves de changes ne doivent pas baisser au-dessous du seuil de 100 milliards de dollars n’a aucun fondement car le montant des réserves de changes de sécurité est équivalent à trois mois d’importations seulement, non à trois ans».
Par ailleurs, «le recours à l’endettement pour les besoins du budget de fonctionnement est un choix aberrant et nous mènera droit vers l’étouffement et s’apparente à une fuite en avant par rapport aux enjeux et solutions réels de la crise financière», a-t-il fait savoir.

Categories: Afrique

Plus de 28.000 enseignants ont déposé leurs dossiers de retraite en 2016: L’école se vide de sa sève

Tue, 01/11/2016 - 08:21

«La réforme du système éducatif repose sur l’implication des cadres du secteur, en particulier, ceux qui disposent d’un capital d’expérience dans le domaine.»

Plus de 28.000 enseignants ont déposé leur demande de départ à la retraite dans le secteur de l’éducation, un chiffre important et inquiétant à la fois, selon la ministre de l’Education Mme Nouria Benghebrit, qui a rappelé l’importance et la nécessité de réduire cette hémorragie qui freine la concrétisation du programme de la réforme du système éducatif. Pour la ministre de l’Education nationale la réforme du système éducatif repose sur l’implication des cadres du secteur, en particulier, ceux qui disposent d’un capital d’expériences dans le domaine de l’enseignement pour «relever le défi de la qualité au regard des efforts consentis par l’Etat dans le secteur de l’éducation» et qui visent à «assurer une éducation de qualité pour tous», un objectif ambitieux qui ne peut être atteint que si le système éducatif dispose d’un corps d’enseignants qualifiés et motivés.
Le secteur de l’éducation se vide petit à petit de sa «crème» comme le démontrent les chiffres avancés par la première responsable du secteur, qui selon elle, ce secteur a atteint des taux record contrairement aux années précédentes. La ministre de l’Education a indiqué que le nombre de dépôts de dossiers de retraite proportionnelle, «a enregistré cette année une hausse vertigineuse, par rapport aux années précédentes, avec seulement 7000 départs à la retraite proportionnelle en 2015». La ministre de l’Education relève une «augmentation constante» du nombre des bénéficiaires de la retraite proportionnelle dans le corps des enseignants, notamment depuis 2013, soit après l’entrée en vigueur du nouveau système d’indemnisation des travailleurs.

Nouria Benghebrit estime que le nouveau projet de loi sur la réforme de la retraite, marque un retour à la normale imposée par la conjoncture économique actuelle du pays. Pour expliquer les nouvelles dispositions contenues dans ce nouveau projet de loi contesté par l’intersyndicale qui a choisi la grève pour contrer la décision du gouvernement, le département de l’Education nationale a déjà organisé des rencontres avec ses partenaires sociaux et le ministère du Travail pour expliquer «les mesures contenues dans le projet de loi relatif à la retraite et présenter les statistiques de la retraite proportionnelle depuis 1998», affirme la ministre. Des rencontres qui ont permis, selon Nouria Benghebrit, de «démentir les rumeurs qui circulent sur le dossier de la retraite, dont celles relatives au nombre d’années référentielles pour le calcul de la prime de retraite qui est de 5 ans et non de 10», ou «la non-introduction des primes de rendement et d’amélioration de la performance éducative lors du calcul de la prime de retraite».
Le ministère de l’Education nationale estime que la réforme de la retraite permettra d’arrêter cette hémorragie pour les syndicats, la solution est de chercher dans les causes qui font que l’enseignant se précipite de quitter l’école et affirment dans ce sens que le Bureau international du travail considère la fonction de l’enseignant comme un métier pénible qui devrait bénéficier des mesures exceptionnelles.

Pour ce qui est de la liste des métiers pénibles dont les travailleurs vont bénéficier de mesures exceptionnelles le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi, a indiqué que la liste sera définie dans les décrets exécutifs qui seront promulgués après l’adoption de la nouvelle loi sur la retraite. M.El Ghazi indique que l’Union générale des travailleurs algériens en sa qualité de partenaire social reconnu par le gouvernement procèdera au «recensement des métiers pénibles qui seront définis par le ministère dans les décrets exécutifs de la nouvelle loi sur la retraite après sa présentation aux deux chambres du Parlement pour débat et sa publication au Journal officiel», a-t-il précisé. Du côté de la Centrale syndicale des travailleurs, des sources proches du dossier, indiquent que le patron de l’Ugta Abdelmadjid Sidi Saïd, compte soumettre prochainement les propositions de la Centrale syndicale à la commission chargée par le gouvernement d’arrêter les listes des métiers pénibles, avec également une proposition portant sur le maintien de la durée du travail de 32 ans pour le départ légal à la retraite, et ce, afin d’atténuer la colère des Fédérations de travailleurs qui ont dénoncé la position de la Centrale syndicale. Ces derniers temps de nombreuses fédérations de travailleurs affiliées à l’Ugta ont dénoncé la position de la Centrale syndicale, qui, selon elles, s’est alignée sur la décision du gouvernement contre l’intérêt des travailleurs, à commencer par la Fédération des travailleurs de la Société nationale des véhicules industriels (Snvi)de Rouiba qui a joint son action à celle de l’intersyndicale et 85 autres sections syndicales qui ont exprimé leur mécontentement. Pour faire face à cette situation, le patron de la Centrale syndicale s’est retrouvé dans l’obligation de revenir sur sa décision, pour préserver la stabilité de l’Ugta et atténuer la colère des travailleurs.

Categories: Afrique

62e Anniversaire du déclenchement de la lutte de libération; sécurité aux frontières, défi économique et stabilité interne: Les trois fronts du président

Tue, 01/11/2016 - 08:18

La conjoncture nous incite «tous ensemble à la préservation de la paix sociale» et à «faire preuve de discernement face aux discours populistes ou électoralistes», a insisté le chef de l’Etat.

C’est à la veille de la célébration du 62ème anniversaire du déclenchement de la révolution, que le président Bouteflika a choisi de diffuser un discours optimiste qui tranche avec le pessimisme ambiant. Dans son message, le chef de l’Etat a identifié trois fronts. Il a appelé à la vigilance pour contrer la menace sécuritaire aux frontières, à la mobilisation pour consolider la stabilité et la démocratie et a exprimé sa foi en les capacités de l’Algérie à relever le défi économique.

Au plan sécuritaire, le président s’est dit rassuré par le professionnalisme de l’armée. «L’Algérie sait pouvoir compter sur les capacités, le professionnalisme et le patriotisme de l’ANP, digne héritière de l’ALN, ainsi que sur le potentiel et l’expérience de ses corps de sécurité, pour préserver l’intégrité du territoire et éradiquer les résidus du terrorisme de son sol», a souligné le chef de l’Etat dans un message où il a rendu un hommage appuyé «aux officiers, sous-officiers et djounoud de l’ANP, pour leur mobilisation et leurs sacrifices au service de la Patrie», saluant aussi «l’engagement et le savoir-faire des personnels de nos corps de sécurité» qui veillent notamment, à la sécurité des citoyens et à la lutte contre les fléaux qui menacent notre société. Cependant, le président a insisté sur la vigilance collective, «à laquelle j’appelle chaque citoyen et chaque citoyenne». Car pour le président la sécurité du pays, la destruction du terrorisme, le recul des fléaux criminels et même la sécurité publique, sont autant de causes qui nécessitent cette vigilance constante.

Dans le même sillage, il a relevé que «le terrorisme est un fléau en expansion dans le monde et dans notre voisinage», faisant observer que «les trafics d’armes et de drogues notamment, ont atteint un seuil dangereux dans notre sous-région». Au front interne, Bouteflika a insisté sur la stabilité politique évoquant dans ce sens les prochaines élections législatives et locales. Comme garantie de transparence et du bon déroulement de ces échéances, le président s’est engagé en sa qualité de garant de la Constitution, à «veiller à la concrétisation et au respect» des nouvelles garanties de transparence édictées par la Constitution, «de sorte que la démocratie accomplisse de nouvelles avancées dans notre pays, que notre peuple s’investisse plus dans le choix de ses représentants, et que les Assemblées qui en résulteront, au niveau national et local, puissent concourir davantage au succès des réformes». à l’adresse des partis politiques, le chef de l’Etat a rappelé la mise en place de la Haute instance indépendante de surveillance des élections, qui a été engagée et que «le succès de la démocratie pluraliste exige la stabilité». «C’est là une obligation pour chacun, envers le peuple source de la démocratie, et envers la Patrie unique pour tous», est-il noté dans le message du président. Enfin, le dernier front et pas des moindres évoqué par le président Bouteflika consiste à relever le défi de la crise financière et économique. Face à la chute des prix du pétrole les ressources financières du pays sont au plus bas niveau.

C’est un fait, une malédiction, que vivent tous les pays producteurs de pétrole. Tout en appelant à une «mobilisation nationale pour partager l’effort…», le chef de l’Etat a rassuré cependant que l’Algérie a les capacités de redresser sa situation économique et financière. Pour ce faire, il a relevé, cependant, que le succès de la démarche de construction nationale requiert que tous les partenaires économiques et sociaux, avec lesquels le gouvernement s’est attelé au dialogue et à la concertation, concourent «tous ensemble à la préservation de la paix sociale». Le chef de l’Etat a tenu également, en cette conjoncture, à appeler les citoyens à «faire preuve de discernement face aux discours populistes ou électoralistes».

Categories: Afrique

On n’oubliera jamais…

Mon, 31/10/2016 - 21:46

Triste souvenir qu’est la date du 1er novembre 1994. Ce jour-là, à Mostaganem,  au nom de la bêtise humaine quatre enfants ont perdu la vie.

Les scouts musulmans : Mohamed Chawki AYACHI, (7 ans), Mohamed HACHELAF (8 ans),  Mehdi BOUALEM (9 ans) et Abdallah CHOUAFRIA (12 ans) étaient  venus au cimetière commémorer le 1er novembre, pensant rendre hommage à ces Martyrs qui ont donné leurs vies, pour que tout un peuple puisse vivre libre.

Ils étaient loin d’imaginer qu’un autre ennemi, bien plus lâche cette fois, avait décidé de réduire en miettes avec une bombe, leurs corps, leurs rêves et le bonheur de leurs familles.

Categories: Afrique

Des propos qu’aurait tenus le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, font polémique

Mon, 31/10/2016 - 21:07

Dans son ouvrage « La Cause du peuple », Patrick Buisson, ex-conseiller de Nicolas Sarkozy rapporte des échanges qui auraient eu lieu, en octobre 2002 entre Dalil Boubakeur et Nicolas Sarkozy.
Nicolas Sarkozy était alors Ministre de l’Intérieur et Dalil Boubakeur venait de se faire attribuer le 14 février 2002, le grade honorifique de Doctor of Laws, par l’Université d’Ulster, pour sa lutte pour la tolérance et la réconciliation entre les différentes religions.
Selon l’ouvrage de Patrick Buisson, Nicolas Sarkozy aurait confié: « Dalil, je vais avoir besoin de toi pour représenter la communauté ». Dalil Boubakeur aurait rétorqué: « Tu sais bien que je suis très malade ». Nicolas Sarkozy l’aurait alors relancé : « Il me faut quelqu’un de confiance pour présider le Conseil du culte. Je ne vois que toi pour bien faire le job». Dalil Boubakeur aurait répété : « Tu sais que je suis très fatigué ».

Le président aurait alors tenté: « Combien ? », ce à quoi le recteur aurait répondu : « Tu sais bien que je ne les supporte plus, ces Arabes, que je les déteste. Je ne peux plus les voir en peinture ». Le ministre devait penser que tout avait un prix et aurait donc insisté: « Combien, Dalil ? ».
Devant son insistance Dalil Boubakeur aurait lâché: « Avec les musulmans, c’est pire. Toutes leurs histoires me sortent par les yeux. Ça fait plus de soixante ans que je les subis. Il faut me comprendre : j’ai été élevé dans une mosquée. Je n’ai jamais pu en sortir ».
La réaction de Dalil Boubakeur n’a pas tardé à venir.
Dalil Boubakeur a formellement démenti « les fausses allégations » rapportées par Patrick Buisson. Il a affirmé sur le site de la Mosquée de Paris que la décision de le désigner comme président du CFCM « a été prise en présence de l’ensemble des représentants des Fédérations musulmanes et des grandes mosquées fondatrices du CFCM réunis par Nicolas Sarkozy (…), qui a ensuite annoncé publiquement le choix unanime sur lequel se sont portés tous les représentants du culte musulman en France ».

Il a également ajouté: « Contrairement à ce qu’avancent les propos rapportés par Patrick Buisson, il n’y a eu aucune négociation personnelle et encore moins de proférations d’insultes intolérables et inacceptables ». Précisant que La Grande mosquée de Paris est financée par l’Algérie, à hauteur d’un million d’euros par an.

Rappelons que M. Dalil Boubakeur a été président du Conseil français du culte musulman (CFCM) entre 2003 et 2008 puis entre 2013 et 2015.

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Sonatrach a réalisé 28 découvertes en neuf premiers

Mon, 31/10/2016 - 15:33

Le groupe Sonatrach a réalisé 28 découvertes d’hydrocarbures du 1er janvier au 30 septembre 2016 dont essentiellement à Hassi Messaoud et à Berkine. « Dans le cadre de ses activités d’exploration, Sonatrach annonce la mise en évidence de 28 découvertes d’hydrocarbures au 30 septembre 2016 », indique-t-elle dans un communiqué. La totalité de ces découvertes, dont 3 sont en cours d’évaluation, a été réalisée « en effort propre », précise la compagnie nationale des hydrocarbures. Le volume total d’hydrocarbures mis en évidence grâce aux 25 découvertes évaluées s’élève à 177,47 millions de tonnes équivalent pétrole (Tep) prouvé et probable (2P), et 401,37 millions de Tep prouvé, probable et possible (3P).

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Guerre d’Algérie : Les français favorables à des excuses officielles

Mon, 31/10/2016 - 14:36

Une majorité des français serait favorable à des excuses officielles pour les exactions commises par les forces françaises durant l’occupation de l’Algérie, c’est en tout cas ce que montre un sondage réalisé par l’Institut français d’opinion publique (IFOP).

n effet, 52% des français interrogés par l’IFOP se sont prononcés en faveur d’excuses officielle de la part de la France pour les exactions commises durant l’occupation en Algérie. Parmi cette proportion, 37% se sont dits « très favorables » à des excuses officielles, tandis que 15 % se sont dits « plutôt favorables ».

Les résultats de ce sondage, réalisé pour le compte du journal en ligne TSA, montrent une grande différence d’opinion selon la tranche d’âge; ainsi, 61% des français de moins de 31 ans se sont prononcés en faveur d’excuses officielles, tandis que seuls 38% des personnes âgées de plus de 65 ans y sont favorables.  » Les 65 ans et plus ont connu la guerre d’Algérie. Pour eux, ce n’est pas juste une chose qu’on voit dans les documentaires historiques » a expliqué François Kraus, directeur du pôle des études politiques au sein de l’IFOP.

Une différence d’opinion a été également notée selon les sexes. Ainsi, 56% des femmes françaises interrogées se sont prononcées en faveur d’excuses officielles de la part des autorités françaises, tandis que seuls 47% des hommes s’y disent favorables.

Il est à noter que le sujet des crimes commis par l’armée française en Algérie reste encore largement épineux parmi les français, surtout ceux qui ont vécu la période de la guerre d’Algérie, et qui estiment que le FLN a également commis de son côté des exactions à l’encontre des populations civiles européennes établies en Algérie.

Categories: Afrique

Bedoui visite le centre des systèmes d’information de Doha

Mon, 31/10/2016 - 14:22

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a visité dimanche à Doha (Qatar), la Direction générale du Centre des systèmes d’information relevant du ministère de l’Intérieur de ce pays.

M. Bedoui qui était accompagné du directeur général de la Sureté nationale, le général major, Abdelghani Hamel, et du directeur général du centre, le général Saqr Khemis al Kobeissi, a reçu des explications exhaustives sur le fonctionnement de cette institution électronique.

Selon les explications avancées, le site électronique du Centre des systèmes d’information (e-gouvernement) propose des applications pour diverses prestations pouvant atteindre 360 services qui touchent la carte intelligente (carte électronique), l’enregistrement des accidents de la circulation, le versement des contraventions, le renouvellement du permis de conduire et autres.

A travers ce site, le citoyen est en mesure de régler les problèmes électroniques qui se posent sans avoir à se rendre dans les services concernés.

A ce propos, les responsables du centre ont souligné l’importance du du matricule personnel du citoyen (numéro figurant sur la carte d’identité et le passeport biométrique en Algérie) pour résoudre nombre de problèmes liés aux fichiers des personnes au plan administratif.

D’autre part, M. Bedoui a effectué une visite aux différents services du Centre et a pris connaissance des étapes d’élaboration des documents officiels dans ce pays comme le passeport et la pièce d’identité ainsi que le bureau d’assistance.

Ce soir, le ministre de l’Intérieur devra rencontrer les membres de la communauté algérienne établie à Qatar à la veille de la célébration du 62e anniversaire de la révolution du 1er novembre.

Le programme de la visite compte également la signature d’un accord de coopération entre les ministères de l’Intérieur des deux pays respectifs et la participation à l’ouverture de la 11e édition du Salon international de la sûreté et de la sécurité organisé par le ministère qatari de l’Intérieur.

Categories: Afrique

un descendant de l’Emir souhaite jouer le rôle principal d’Abdelkader

Mon, 31/10/2016 - 14:16

Il s’appelle Hocine Mustapha, acteur algérien originaire d’Oran, il a joué des seconds rôles dans plusieurs films locaux et son rêve extrême : jouer le rôle de l’Emir Abdelkader dans une superproduction.

Pour se faire, Hocine Mustapha s’est totalement laissé emporter par le personnage. Il  gardé la barbe intact durant plusieurs mois, il a pris des photos professionnelles avec la tenue de l’époque de l’Emir et tout cela pour tenter de convaincre un éventuel producteur de le prendre pour le projet et surtout rencontrer le ministre de la Culture M.Azzedine Mihoubi pour essayer de le convaincre de camper le rôle du l’Emir. Il possède tous les atouts pour jouer le rôle : Le charisme, la voix, le visage et surtout le lien parental. Sa relation avec l’Emir Abdelkader est avant tout une relation spirituelle, il issue d’une famille soufie, mais surtout un descendant de la famille de l’Emir Abdelkader de la 14e lignée.  Son amour pour le personnage de l’Emir l’a poussé à vivre quotidiennement la personnalité de l’Emir Abdelakader. Pour lui l’Emir c’est sa destinée, le secret de ses secrets.

Nous l’avons rencontré durant le festival du film arabe d’Oran, où il a été excellent dans sa critique d’un documentaire réalisé par un cinéaste tunisien sur l’Emir Abdelkader. Sa critique fut à la fois originale et surtout réfléchie : « Ça fait plaisir qu’un réalisateur issu d’un pays voisin, fasse un film sur l’Emir mais il est regrettable qu’aucun réalisateur algérien n’a pensé faire un film ou sujet sur l’émir. Il est regrettable de voir des étrangers tenter par tous les moyens de faire un film sur l’émir Abdelkader. » a-t-il déclaré dans un entretien.      

« Dans le documentaire, le réalisateur a commis quelques erreurs historiques. L’Emir n’est pas parti de France directement vers Damas, il est parti avant tout en Turquie et il s’est passé des choses chez les Ottomans que personne n’a cité cet épisode.  Il faut accompagner ce genre de travail cinéma par des historiens pour éviter des erreurs d’interprétation. » A-t-il encore précisé.

Tout en reconnaissant qu’il n’est pas prioritaire pour ce rôle, il précise : « On espère que celui qui jouera le rôle l’émir lui donnera sa puissance et son charisme. L’Emir Abdelkader n’est pas seulement le chef de l’Etat de l’Algérie, c’est un homme d’Etat pour toute la nation musulmane. Le sujet est important surtout en ce moment où l’Islam est souvent visé.  L’histoire de l’Emir Abdelkader est primordiale pour ce moment précis. On espère que le projet du film de l’Emir soit reconduit. »  

Interrogé sur le choix du réalisateur, Hocine Mustpaha a déclaré qu’il espère qu’il soit avant tout algérien, mais il faut pour lui que le réalisateur en question prenne conscience qu’il faut sortir avec un projet réussi, car cela ne concerne pas seulement le cinéma algérien mais aussi l’histoire de toute une nation.  « Il faut que la réalisation soit soignée et à la hauteur du projet. Sinon il y a des réalisateurs compétents en Iran, en Europe en Amérique. Inchallah l’Algérie mettra tous les moyens de son côté pour réussir ce film. Il faut que le film sur L’Emir Abdelakder soit du même registre de Braveheart, Omar Mokhtar ou encore Gladiator. » a notamment déclaré le comédien  

En attendant Hocine Mustapha, multiplie les castings, il jouera prochainement aux cotés de Hamid Baroudi dans un film sur la disparition d’allemands perdus dans le désert algérien et qui seront retrouvé par des Touaregs.

Categories: Afrique

Les financements du fonds de promotion des exportations élargis

Mon, 31/10/2016 - 14:08

La volonté des pouvoirs publics de promouvoir les exportations hors hydrocarbures se concrétise à travers une nouvelle décision pour booster le commerce extérieur. Le fonds spécial de promotion des exportations (Fspe) qui jusque-là était destiné uniquement à apporter un soutien financier aux exportateurs dans leur action de promotion et pour l’acheminement de leurs produits sur les marchés extérieurs, s’étend désormais aux opérateurs nationaux participant aux manifestations économiques organisées également en Algérie. Un arrêté interministériel publié au Journal officiel n° 57 stipule que 80% des frais engagés pour l’organisation et la participation aux manifestations économiques spécifiques organisées au niveau national consacrées à la promotion des produits algériens destinés à l’exportation sont remboursés. Le texte fixe aussi la nomenclature des recettes et des dépenses du compte d’affectation spéciale du Fspe. Soulignons que le FSPE a été institué par la loi de Finances de 1996. Ses contributions sont accordées aux opérateurs économiques au titre de la prise en charge d’une partie des coûts de transport, transit et manutention des marchandises destinées à l’exportation, de participation aux foires, expositions et salons spécialisés à l’étranger et au titre d’études des marchés extérieurs, pour l’amélioration de la qualité des produits et services destinés à l’exportation, de l’information des exportateurs. Les sources de financement du Fspe sont la Taxe intérieure de consommation (TIC), dont 5% des recettes y sont affectées, et les contributions des organismes publics et privés ainsi que les dons et legs. Ce fonds a été institué par la loi de Finances pour 1996. Il est destiné à apporter un soutien financier aux exportateurs dans leurs actions de promotion et de placement de leurs produits sur les marchés extérieurs.

L’aide de l’État par le biais du Fspe est octroyée à toute entreprise résidente productrice de biens ou services et à tout commerçant régulièrement inscrit au registre de commerce œuvrant dans le domaine de l’exportation. Le montant de l’aide accordée est fixé par le ministre du Commerce selon des pourcentages déterminés à l’avance, en fonction des ressources disponibles. Cinq rubriques d’aides sont prévues. Il s’agit des charges liées à l’étude des marchés extérieurs, la prise en charge partielle des frais de participation aux foires et expositions à l’étranger, une partie des coûts de prospection des marchés extérieurs; le coût de transport international et de manutention dans les ports algériens des marchandises destinées à l’exportation et, enfin, le financement des coûts liés à l’adaptation des produits aux marchés extérieurs.

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Ligue1 Mobilis: le leader tombe à Batna, le MCA piégé par la Saoura.

Fri, 28/10/2016 - 12:20

L’USM Alger, leader du championnat national de Ligue 1 Mobilis, a concédé jeudi sa deuxième défaite de la saison, battue en déplacement par le CA Batna (2-1), en ouverture de la 9e journée.

C’est incontestablement l’une des sensations de cette 9e manche. Le CA Batna a accroché à son tableau de chasse le leader du championnat, en s’imposant sur le score de 2 buts à 1. En véritable patron dans son antre du stade Seffouhi, le promu a pris l’avantage dès la 20e minute,  grâce à un but contre son camp de Meftah.

Visiblement dans un jour sans, l’infortuné capitaine des Rouge et Noir a encore fait parler de lui en seconde période. Spécialiste des tirs au but, Meftah a raté un pénalty à la 54e loupant ainsi une belle occasion de se racheter de sa bourde, commise en première période.

Sentant la baraka avec eux, les coéquipiers de Babouche ont intensifié leurs offensives pour arriver à faire le break, à la 62e minute, par l’intermédiaire de leur maitre à jouer, Hadj Aissa.

Dans les dernières minutes, le scénario du match nul concédé face au MCO (2-2) a failli se reproduire. L’USM Alger est parvenue à réduire l’écart, à la 90e, par Benyahia. Toutefois, les gars des Aurès ont retenu la leçon en parvenant à préserver leur maigre avance jusqu’au coup de sifflet final.

Battue pour la seconde fois de la saison, l’USMA est toujours leaders (19 pts), mais risque de perdre son fauteuil en cas de succès, samedi, de son dauphin, le MC Oran. Pour sa part, le CAB enregistre sa 3e victoire de la saison et grimpe, provisoirement, de la 11e à la 9e place (11 pts).

MCA – JSS (0-0), les Sudistes ratent le coche

Dans l’autre rencontre de cet après midi, jouée au stade Omar Hamadi (Alger), entre le MC Alger et la JS Saoura, le doyen a été tenu en échec (0-0). Au vue de la physionomie globale de la partie, ainsi que  des faits marquants, le moins que l’on puisse dire est que le MCA s’en sort à bon compte.

En effet, les visiteurs se sont procurés les occasions les plus franches pour scorer, sans parvenir, toutefois, à les concrétisées. A l’image de celle ratée lamentablement par Djallit, à l’heure de jeu (60’). Devant son ancienne équipe, l’ex-mouloudéen s’est présenté seul face au gardien Chaâl, mais il a trouvé le moyen de mettre le ballon hors du cadre.

Et si ce n’est pas le cadre qui se dérobe, c’est le portier des Verts et Rouge qui se distingue en annihilant un bon paquet d’occasions de la JSS, comme celle de Hammia en fin de rencontre.

Très fébrile à domicile, le MCA a confirmé cette donne en dépit du retour des ses supporters dans les travers du stade Bologhine, après les deux derniers matchs disputés à huis clos, respectivement face au CA Batna et au MC Oran.

4e au classement avant le coup d’envoi de la rencontre, le MCA fait une mauvaise opération et loupe l’occasion de monter sur le podium (4e – 14 pts). Coté JSS, les Bécharouas glanent un bon point et remonte à la 5e position (12 pts).

A note enfin que les matchs de l’USMA et du MCA ont été programmés aujourd’hui afin de permettre aux deux formations de la capitale de préparer le finale de la Supercoupe d’Algérie prévue  le mardi 1er Novembre prochain au stade Mustapha Tchaker de Blida.

La suite de cette 9e manche aura lieu ce week-end et sera  marquée par de belles confrontations à suivre, à l’exemple de JS Kabylie – MC Oran ou encore RC Relizane – CR Belouizdad.

Résultats du jour :

CA Batna 2 – 1 USM Alger

MC Alger 0 – 0 JS Saoura

Reste à jouer :

Vendredi :

15h30 :

RC Relizane – CR Belouizdad

16h00 :

O Médéa – CS Constantine

Samedi :

16h00 :

USM Bel Abbès – DRB Tadjenanet

17h00 :

JS Kabylie – MC Oran

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Apple dévoile son premier MacBook Pro depuis 3 ans.

Fri, 28/10/2016 - 12:08

Trois ans après sa dernière version, le MacBook Pro est de retour. Ce jeudi 27 octobre, Apple a dévoilé un nouveau modèle, plus fin et plus léger et qui se voit doté d’une fine « Touch Bar », tactile, similaire aux écrans Retina.

Celui-ci permet notamment à l’utilisateur de contrôler son MacBook Pro en accédant facilement aux onglets et favoris dans Safari, aux emoji dans Messages ou de retoucher des images et faire défiler des vidéos dans Photos.

Cette barre dispose également, sur la droite, d’un capteur d’empreinte digitale, comme sur l’iPhone. Le trackpad devient également plus imposant.

A l’intérieur de la bête, évidemment, une grosse mise à jour a également eu lieu, avec de nouveaux composants plus puissants. Côté connectique, le porte USB passe au Type-C, réversible et plus petit.

En ce qui concerne le prix, le modèle 13 pouces commence à 1 899 $ CAD. Mais à ce prix, pas de « Touch Bar » et un plus petit processeur. Il faudra compter 2 299 $ CAD euros pour disposer de la grosse nouveauté d’Apple. La version 15 pouces commence elle à 2 999 $ CAD.

Le modèle le plus basique est disponible dès aujourd’hui. Ceux disposant de la « Touch Bar » ne seront mis en vente que d’ici quelques semaines.

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L’Algérie invité d’honneur de la 49e Foire internationale du livre du Caire.

Fri, 28/10/2016 - 11:55

L’Algérie a été choisie en qualité d’invité d’honneur de la 49e Foire internationale du livre du Caire (Egypte) prévue en 2018, a indiqué jeudi à Alger le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi.

L’invitation de l’Algérie fait suite à la demande de la Commission égyptienne publique du livre, relevant du ministère égyptien de la Culture, a dit M. Mihoubi qui s’exprimait lors d’une rencontre sur les relations culturelles algéro-egyptiennes, organisée en marge du 21e Salon international du livre d’Alger (Sila) qui acceuille l’Egypte en invité d’honneur.

La rencontre a été, par ailleurs, une occasion pour rendre hommage au romancier égyptien Mohamed Selmaoui pour ses différentes créations dans le roman, la nouvelle et le théâtre, qui ont eu un « impact sur le lectorat arabe », estime M.Mihoubi.

La cérémonie s’est déroulée en présence de l’ambassadeur d’Egypte en Algérie, Mohamed Abu Aich, de l’ancien ministre égyptien des Antiquités, Mamdouh Dammati et du président de la Haute commission du livre, Haitem Hadj Ali.

Evoquant les relations culturelles algéro-egyptiennes, le ministre de la Culture a considéré que celles-ci étaient « profondes et remontent à plus 20 siècles », rappelant que son département « £uvre à renforcer le partenariat entre les deux pays dans l’édition, le cinéma et le théâtre, notamment ».

A ce propos, Mihoubi a salué les maisons d’éditions égyptiennes qui éditent des auteurs algériens.

Ouvert jeudi au public, le 21e Sila se poursuit jusqu’au 5 novembre au Palais des expositions des Pins Maritimes avec, au programme, des conférences sur la littérature algérienne et universelle, en plus des rencontres sur l’histoire de l’Algérie, les langues amazighe et arabe, et la lecture en milieu scolaire.

Près d’un millier d’éditeurs, 290 algériens et 671 étrangers, prennent part à l’édition 2016 placée sous le thème « Le livre, totale connexion ». APS

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Don de sang-DGSN: collecte de près de 12.000 poches au 1er semestre 2016

Fri, 28/10/2016 - 00:55

ALGER – La campagne de collecte de sang lancée dans les rangs de la police a permis la collecte de près de 12.000 poches de sang durant le premier semestre 2016, a affirmé mardi le directeur de la santé, de l’action sociale et des sports à la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).

« Près de 12.000 poches de sang ont été collectées au niveau national dans les rangs de la police, durant le premier semestre 2016 », a précisé le contrôleur de police, Bouahmed Boubakeur dans une déclaration à la presse, en marge du lancement de la campagne nationale de don de sang, le 25 octobre.

Les deux précédentes étapes de l’opération de collecte de sang organisées en mars et en juillet, à l’occasion des journées maghrébine et mondiale de don de sang ont été marquées par une forte affluence des éléments de la Police nationale, a souligné le responsable, ajoutant que les poches de sang collectées au niveau des services et unités de police seraient distribuées aux différentes structures hospitalières du pays.

Dans le cadre de la même initiative, « plus de 14.000 poches de sang on été collectées en 2015 et plus de 7.000 poches en 2014 », a-t-il rappelé.

L’Agence nationale du sang (ANS) avait auparavant souligné que « les campagnes de collecte de sang se multiplient avec la fidélisation progressive des différentes institutions, entreprises et mouvement associatif, sensibilisés à cette noble cause ». Cette solidarité a permis d’enregistrer au premier semestre 2016, une hausse de 02% soit 283 377 dons collectés avec 70% de donneurs bénévoles dont 26% régulier et 35% de la collecte effectuée en collecte mobile.

L’Agence avait indiqué qu’ »en 2015, 539.891 dons de sang ont été collectés à travers le territoire national dont 2/3 recueillis au niveau des structures de transfusion sanguine fixes et 1/3 en collecte mobile. 69% des dons sont issus de donneurs bénévoles dont 24% réguliers et 45% occasionnels. Cependant, 31% des dons proviennent encore de donneurs familiaux et/ou de compensation ».

Chaque année l’Algérie célèbre « le 25 octobre la Journée nationale des donneurs de sang ». A ce titre, et à l’occasion du 40e anniversaire de la création de la Fédération algérienne des donneurs de sang (FADS), le slogan retenu pour honorer tous les donneurs de sang est « Gloire à nos donneurs de sang ».

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Syrie : 22 enfants meurent dans le bombardement d’une école La Russie nie être à l’origine de la frappe aérienne

Fri, 28/10/2016 - 00:51
Des frappes aériennes sur une école située dans la province d’Idlib (nord-ouest de la Syrie), tenue par les rebelles, ont tué mercredi 26 octobre 22 enfants et 6 enseignants, selon l’Unicef, qui a dénoncé « une tragédie » et un possible « crime de guerre ».

Certains médias arabes et occidentaux « ont aussitôt accusé la Russie de cette tragédie (…). C’est un mensonge », a dénoncé Maria Zakharova, porte-parole de la diplomatie russe, lors d’une conférence de presse. Le pays n’a « rien à voir » avec cette attaque, a-t-elle assuré.

Les dénégations russes n’ont pas convaincu Jean-Marc Ayrault, ministre des affaires étrangères de la France. « Qui est responsable ? En tout cas, ce n’est pas l’opposition [au régime syrien], car pour bombarder il faut des avions. Ce sont soit les Syriens, le régime de Bachar Al-Assad, soit les Russes », a déclaré M. Ayrault lors d’une conférence de presse à Paris.

« Il faut les détromper »

Ban Ki-moon, secrétaire général de l’Organisation des Nations unies (ONU), a exigé jeudi une « enquête immédiate et impartiale ». « Si elle est délibérée, cette attaque peut s’apparenter à un crime de guerre », a-t-il dit.

« Si de tels actes horribles continuent d’être commis, c’est en grande partie parce que leurs auteurs, qu’ils se trouvent dans les allées du pouvoir ou participent à une insurrection, ne craignent pas la justice. Il faut les détromper. »

Depuis le 30 septembre 2015, l’aviation russe soutient le président syrien Bachar Al-Assad dans la guerre qui l’oppose à des formations rebelles. Bien que Moscou affirme ne frapper que des « cibles terroristes », la Russie a été accusée à plusieurs reprises de viser les rebelles modérés et de commettre des « crimes de guerre ».

« Ici, il n’y a que des civils, il n’y a pas de siège militaire de groupes rebelles », a assuré à l’Agence France-Presse un habitant, témoin de la tragédie et qui a participé aux opérations de sauvetage.

La province d’Idlib est un bastion de Jaich Al-Fatah (« Armée de la conquête »), une coalition regroupant des rebelles islamistes et des djihadistes du Front Fateh Al-Cham (anciennement Front Al-Nosra, jusqu’à sa rupture officielle avec Al-Qaida, en juillet).

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Illizi: Deux Terroristes Se Rendent Avec Leurs Armes

Fri, 28/10/2016 - 00:41
Dans le cadre de la lutte antiterroriste Deux terroristes en provenance des frontières Sud-Est,  se sont rendus ce jeudi 27 octobre 2016 aux  autorités militaires d’lllizi.

Les dénommés : F. Tahar et de B. Zin Al-Abidine étaient  en possession de deux  pistolets-mitrailleurs de type Kalachnikov et de munitions.

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FLN : réponse de Djamel Ould Abbès à Abdelaziz Belkhadem

Fri, 28/10/2016 - 00:08

Vraisemblablement choqué par les propos tenus par Abdelaziz Belkhadem lors de entretien accordé au site arabophone de la chaîne américaine CNN, notamment ceux concernant la situation au sein du FLN et les solutions proposées, le nouveau secrétaire général du FLN riposte.

Pour Djamel Ould Abbès, l’idée de l’ instance transitoire suggérée par Belkhadem est de toute évidence « exclue ». « Ceux qui demandent une instance transitoire veulent se positionner. Il n’y a pas de postes vacants (au sein du parti) ! Il y a un Comité central élu que je ne vais pas sacrifier, je ne suis pas venu avec cette mission ! », réplique le nouveau secrétaire général du FLN dans une déclaration.

Djamel Ould Abbès a tenu également à rappeler,dans le cas où Abdelaziz Belkhadem faisait allusion à l’âge, que ce dernier avait, lui aussi, 74 ans.

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Sidi-Saïd face à la poussée de la base

Thu, 27/10/2016 - 23:08

Le projet portant suppression de la retraite anticipée va peser de tout son poids sur la réunion de l’état-major de l’UGTA qui se tiendra aujourd’hui à l’hôtel Le Méridien d’Oran.

Outre ce dossier brûlant de la retraite qui a suscité le mécontentement de la base syndicale de l’organisation, l’état major de l’UGTA, qui regroupe les membres de la commission exécutive, les secrétaires généraux des unions de wilaya et des fédérations, va débattre de la rentrée sociale et du cumul des mandats au sein de l’organisation.

Mais c’est surtout le projet de la retraite qui divise les structures de l’UGTA qui est le plus attendu par les cadres syndicaux lors de cette réunion, notamment les secrétaires généraux des fédérations qui subissent depuis plusieurs mois une forte pression de leurs adhérents leur demandant de ne pas cautionner la “suppression de la retraite anticipée”.

À cela s’ajoute la réaction des travailleurs de la zone industrielle de Rouiba et leurs représentants qui exigent carrément le “retrait du projet” tout en invitant la Centrale syndicale à élargir le débat et la concertation afin d’éviter toute précipitation qui risque de causer des dégâts non seulement aux acquis des travailleurs et aux entreprises économiques mais également à l’organisation ellemême.

Les syndicalistes, qui continuent de jouir de plus de crédibilité auprès de la base, sont sur la même longueur d’onde que les secrétaires généraux des fédérations qui, lors de la réunion tenue en juin à Alger, ont souhaité la révision graduelle de la retraite.

Pour rappel, lors de ce conclave, les SG des fédérations ont émis un avis favorable seulement pour la révision de la retraite proportionnelle tout en rejetant la décision de l’annulation de la retraite sans conditions d’âge. Abdelmadjid Sidi-Saïd, qui ne s’attendait guère à une réaction de la base syndicale, va-t-il revoir sa copie lors de cette réunion, d’autant plus que les syndicats autonomes qui continuent à faire pression sur le gouvernement sont décidés à ne pas reculer sur le dossier. “L’UGTA risque de laisser des plumes si elle reste en marge de ce dossier et de cette contestation, et si l’UGTA, qui a toujours défendu les valeurs de la république s’affaiblit, ce n’est pas bon pour le pays”, nous a affirmé un cadre syndical.
Un risque que certains cadres syndicaux ne veulent pas prendre dans le contexte actuel, d’où les divisions qui continuent à apparaître au sein même de la Centrale syndicale sur ce dossier qui, selon Amar Takjout, a été mal réfléchi. “On n’a pas voulu nous écouter, on n’a a pas eu une bonne vision, il n’y a pas eu de discernements, notamment pour ce qui concerne les départs précipités de milliers de cadres formés durant des années et dont on a besoin aujourd’hui, pour démarrer, les usines refaites à coup de milliards de dollars. Le constat est amer”, nous a-t-il expliqué il y a quelques jours.

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Haute commission de surveillance des élections Le FFS répond à Bouteflika

Thu, 27/10/2016 - 23:00

A l’instar d’autres partis politiques le front des forces socialistes (FFS) à répondu au président de la République, Abdelaziz Bouteflika.

Ce dernier a invité la classe politique à se prononcer sur la proposition de nomination d’Abdelwahab Derbal à la tête de la Haute commission de surveillance des élections (HCSE).

D’emblée le FFS estime qu’il y’a absence « des pré-requis politiques et institutionnels qui feraient de la mise en place de la commission de surveillance des élections, et donc des conditions dans lesquelles ladite commission devra effectuer ses missions, un apport effectif à l’amélioration de l’exercice électoral dans notre pays ».

Par conséquent le plus vieux parti de l’opposition « n’estime pas utile d’apporter un jugement sur la personne quand c’est sur la démarche ayant présidé à la création de la structure que portent ses réserves ».

Dans la déclaration rendue publique hier et signée de la main du premier secrétaire, Abdelmalek Bouchaffa, « le FFS estime que commenter une nomination à la tête d’une structure est un usage qui n’a de sens que si on cautionne les conditions de mise en place de la structure en question qui émane d’une Constitution non-consensuelle ». Une réponse qui ne souffre d’aucune équivoque.

Le FFS manifeste clairement son incrédulité. Ce parti, en d’autres termes, rejette la démarche même du pouvoir s’agissant de la HCSE puisque il la considère comme l’émanation d’une «Constitution non consensuelle ». Le FFS évoque ainsi la Constitution révisée adoptée le 7 février dernier par le Parlement réuni en session extraordinaire.

Ce parti, à l’instar d’ailleurs de la majorité des partis de l’opposition, n’ pas voulu participé aux consultations engagées par le pouvoir autour de cette loi fondamentale. Cela dit, par cette réponse négative le FFS rejoint le camp des partis politiques qui ont eu déjà à adopter la même position.

Presque aucun parti de l’opposition ne s’est exprimé sur le choix de la personne d’Abdelwahab Derbal. Ce n’est pas la personne de cet ancien ministre et ex-ambassadeur qui est à l’origine de cette attitude, mais l’opposition rejette en bloc la démarche du pouvoir relative à cette HCSE.

Les partis de l’opposition, qui ont bataillé pour l’installation d’une commission indépendante de surveillance des élections, estiment, en effet, que la HCSE est loin de répandre favorablement à leurs doléances.

Par ailleurs le FFS, dont la réponse à l’invite du président Bouteflika, était attendue et ne constitue pas une surprise , a saisi cette opportunité pour mettre de nouveau en exergue ses propositions de sortie de crise.

Il a ainsi, après avoir rejette ce qu’il considère comme « formalisme dans le dialogue », remis sur la table sa proposition relative au consensus national. « Le FFS n’a cessé de faire des propositions de sortie de crise pacifique, organisée et contractuelle dans laquelle le dialogue et la concertation ne seraient pas de pure forme et ouvriraient la voix à la reconstruction du consensus national qui manque cruellement à notre pays » indique le premier secrétaire du parti.

Ce parti réitère par conséquent de manière claire « sa proposition de sortie de crise par la reconstruction d’un consensus national qui mettrait fin au formalisme actuel lequel vide l’exercice institutionnel de tout prolongement positif sur le terrain de la gouvernance ».

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