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Réunion spéciale de l’OTAN (25 mai 2017) : surtout un face à face UE-Etats-Unis

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/05/2017 - 14:10
(B2) La "réunion spéciale" de l'OTAN, ce 25 mai 2017, était un moment assez particulier. Ce n'était pas vraiment un sommet, la partie conclusive de l'Alliance étant somme toute limitée. Et l'essentiel s'est déroulé hors des murs de l'OTAN : entre les premiers pas internationaux et européens du président français Emmanuel Macron, la première rencontre […]

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Naval Technology - Fri, 26/05/2017 - 13:38
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Europe de la défense : une priorité de la Commission

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/05/2017 - 10:50
(B2) « Une Europe plus forte sur les questions de sécurité et de défense », c'est la « priorité » affirmée par la Commission européenne à l'issue d'un débat d'orientation sur l'avenir de la défense européenne organisé en son sein, mercredi (24 mai). « L'Europe ne peut plus se permettre de dépendre de la puissance […]

Quand Macron snobe Donald Trump et réjouit Angela Merkel

Bruxelles2 Blog - Fri, 26/05/2017 - 08:10

Quand Macron et Merkel jouent un bon tour à Trump qui en reste baba (Images : OTAN / séquençage B2)

(B2) La vidéo de l’arrivée d’Emmanuel Macron au siège de l’Alliance atlantique est formidable en termes de symbolique politique. Le président français ne marche pas avec les autres, il va à la rencontre des autres, comme s’il était l’hôte de la réunion. Arrivée en retard sur les autres (pour cause de rendez-vous à la Commission européenne (lire : Réunion spéciale de l’OTAN (25 mai 2017) : surtout un face à face UE-Etats-Unis), guidé par un des responsables de la communication de l’OTAN, il semble filer pour aller saluer Donald Trump qui l’attend… (on entend même une petite marseillaise chantée a capella).

Un message subliminal au président américain : Europe first !

Mais, au dernier moment, dans un mouvement qui ne semble pas totalement improvisé, il bifurque vers Angela Merkel. Ce qui laisse baba, béat, et un rien blême, le milliardaire américain, qui s’attendait à le coincer avec sa légendaire poignée de main (lire : Poignée de main : défi relevé pour Macron). Un peu comme on peut le faire avec un invité à une fête qui se comporte mal, Emmanuel Macron l’ignore. Il vient donner ostensiblement l’accolade à Angela Merkel, tout sourires, dans un clin d’œil assez irrévérencieux et complice des deux dirigeants. Le message du couple franco-allemand au président américain parait clair : l’Amérique n’est pas seule au monde, les Européens sont là, leur Union est importante et ne doit pas être méprisée.

 

Un nouveau bras de fer avec le président

Le président français aurait dû normalement rejoindre le cortège – sans barguigner. Ce détour agace un autre responsable du protocole qui cherche à ramener le Français dans le rang (1). Mais celui-ci s’attarde encore quelque peu, dans les avants postes. Il salue le secrétaire général de l’OTAN puis le Premier ministre belge Charles Michel, tournant alors ostensiblement le dos au président américain et retardant ainsi le moment de le saluer. Et ce n’est qu’ensuite (en 4e position donc) qu’il va jouer la poignée de main, type bras de fer, avec le président américain. Celui-ci fidèle à sa tradition tente de le tirer à lui. Mais le « french guy » résiste, lui met même la main sur le bras (du style « lâche moi la grappe »). Il rentre ensuite dans le rang des chefs d’État, accompagné d’une petite frappe sur l’épaule du chef d’État américain comme pour dire : « bien joué gamin ».

À Bruxelles, unis avec nos alliés de @NATO. pic.twitter.com/7nyaoI8hki

— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 25 mai 2017

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Emmanuel Macron aurait normalement dû se ranger discrètement derrière les autres dirigeants et non pas faire un face à face singulier.

BMT to provide consultancy support for Norway's submarine acquisition programme

Naval Technology - Fri, 26/05/2017 - 01:00
BMT Defence Services (BMT) has secured a new deal to deliver consultancy support for Norway's new submarine acquisition programme.

NSAG to supply IPMS system for Australian Navy's AOR vessels

Naval Technology - Fri, 26/05/2017 - 01:00
Joint venture (JV) company Navantia SAGE Automation Group (NSAG) has secured a new contract to deliver integrated platform management systems (IPMS) for the Royal Australian Navy's (RAN) auxiliary oiler replenishment (AOR) ships.

Future aircraft carrier USS Gerald R. Ford undergoes sea acceptance trials

Naval Technology - Fri, 26/05/2017 - 01:00
The US Navy's USS Gerald R. Ford (CVN 78) Ford-class aircraft carrier has departed Naval Station Norfolk, Virginia, in order to undergo its second set of sea trials.

Deals this week: Booz Allen Hamilton, Northrop Grumman, Israel Aerospace Industries

Naval Technology - Fri, 26/05/2017 - 01:00
The US Navy awarded a $96.1m contract to Booz Allen Hamilton Inc to provide secure communication systems required for the upgrade of its tactical communication networks.

Poignée de main : défi relevé pour Macron

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 23:56

(Crédit : Elysée)

(B2) Pour Emmanuel Macron ce jeudi a été un moment important. Avec sa première participation à une réunion de l’OTAN – qu’il s’est entêté à qualifier de « mini-sommet » – il est entré dans le club des dirigeants mondiaux. Il a réussi là où, même Angela Merkel a été mise en difficulté : survivre dignement à la poignée de main avec Donald Trump lors de la traditionnelle photo assis dans des fauteuils, face à la presse.

Pas de main broyée pour Macron… 

On se rappelle tous de la réaction du Japonais Shinzo Abe, après les 19 secondes de sa vigoureuse rencontre avec Donald Trump. Depuis, Donald Trump a la réputation de « broyer des mains »… Le président américain aurait-il trouvé un adversaire pour le battre à son propre jeu ?

Enthousiasme des journalistes américains

Le journaliste du très sérieux The Guardian chargé a décrit la confrontation en détail : « Ils se sont serré la main pendant un long moment. Chaque président s’est agrippé à la main de l’autre avec une intensité considérable, leurs phalanges sont devenues blanches, leurs mâchoires se sont serrées et leurs visages se sont crispés ».

 

 

 

(Leonor Hubaut)

La coopération entre l’UE et l’OTAN (fiche)

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 15:00
(B2) Les relations OTAN-UE pourraient remplir des bibliothèques entières. Elles impliquent un jeu particulièrement complexe entre le désir d’autonomie et le besoin d’assurance des Européens, les mêmes pays tenant, parfois, des discours ambivalents, différents, dans les organisations, tandis que la vision américaine de l’Europe oscille entre lecture critique ou méconnaissance partielle de la culture continentale. L’OTAN, […]

L’OTAN rejoint la coalition contre Daesh

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 13:45
(B2) Ca y est, la décision est prise. L'OTAN va rejoindre la coalition internationale dirigée par les États-Unis contre Daesh. C'est la première conséquence du nouveau plan d'action que les chefs d'État et de gouvernement des 28 - et bientôt 29 - membres de l'Alliance atlantique doivent adopter ce jeudi 25 mai. Reste à savoir ce que l'Organisation va […]

La coopération UE-OTAN : un vrai cheming gum !

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 12:15

Vue aérienne du nouveau QG de l’OTAN (Crédit: OTAN)

(B2) C’est devenu le leitmotiv des dirigeants européens comme de l’Alliance atlantique : la coopération Union européenne – OTAN est devenu le « must ». « C’est devenu la norme et non l’exception » jure les officiels. Une sorte de chewing gum mâché à longueur de journée qui a le même effet du chewing gum. Vos mâchoires sont en mouvement, vous donnez l’impression d’agir, vous croyez dégager une certaine énergie, une certaine force, vous avez l’impression d’avoir une certaine fraîcheur dans la bouche.  Mais quand le chewing gum est terminé, il est aussi inodore qu’une goutte d’eau et quand il sèche, il est indétachable mais inutilisable. Et l’apport énergétique est plus que limité.

Des promesses encore à exécuter

Les promesses de la coopération UE-OTAN, déclenchées au sommet de Varsovie, ne sont en effet pas totalement réalisées (approche diplomatique), voire proches du zéro (approche réaliste). Chacun cherche bien à remplir le verre vide. Mais, pour l’instant, hormis quelques gouttelettes, le verre ne se remplit pas vite. Le bilan semble si pauvre que les ministres de la Défense de l’UE, lors de leur dernière ont été obligés de demander « une nouvelle fois » de poursuivre les travaux (lire : La coopération OTAN-UE, une meilleure ambiance mais peu d’avancées concrètes ?).

Des relations fluides mais la difficulté à faire du travail concret

Les relations sont plus fluides. Et les rencontres nombreuses, du plus niveau des experts au niveau politique. Mais cela s’arrête là. Sur la coopération en Méditerranée, on attend le renouvellement du mandat du Conseil de sécurité des Nations unies, histoire de ne pas froisser les Russes. Sur le Moyen Orient, les deux organisations sont hors circuit, les Américains ayant la main (dans un dialogue avec les Russes sur la Syrie). En Irak, l’OTAN cherche à s’introduire de manière à avoir un strapontin dans la coalition militaire. Tandis que l’UE travaille plutôt sur le côté humanitaire, sans avoir vraiment de place dans la coalition. Les chemins sont donc sinueux pour la coopération.

La Turquie, point de blocage ?

Entre le bd Leopold (OTAN) et le rond point Schuman (UE), il reste un (sacré) problème : Ankara. La question turque empoisonne aujourd’hui non seulement les relations entre l’UE et la Turquie mais pourrait bien à terme troubler le fonctionnement de l’Alliance. Avoir un allié qui est proche de la dictature pouvait être tolérable dans les années 1960 (avec la Grèce) quand la guerre froide faisait rage. Aujourd’hui, cela fait mauvais genre. Avoir un allié qui contrecarre régulièrement les démocraties occidentales voire la stratégie militaire en Syrie menée par les principaux pays de l’Alliance, est un vrai défi.

Une dichotomie organisationnelle

Derrière la question turque se cachent des différences de nature et de composition. Si la plupart des pays membres de l’Union européenne sont membres de l’OTAN (à quelques petites exceptions près), ce n’est pas le cas de l’Alliance atlantique dont des « poids lourds » à commencer par les États-Unis, mais aussi la Turquie, le Canada, et le Royaume-Uni demain ne sont pas membres (sans oublier Islande, Norvège, Albanie et Montenegro). La difficulté d’avoir une coopération UE-OTAN parfaite suppose d’avoir donc des relations apaisées ou sans arrière pensée entre l’UE et les États-Unis, d’une part, l’UE et la Turquie ainsi que le Royaume-Uni d’autre part, et de partager (peu ou prou) les mêmes intérêts. On voit bien que c’est loin d’être le cas… A cela s’ajoute un système d’organisation politique divergent : l’Union européenne a une direction multipolaire où aucun pays membre ne peut être dominant, avec un contrôle parlementaire et judiciaire, tandis que l’OTAN a un régime gouvernemental et une domination très nette des USA. C’est non seulement la règle, mais une règle souhaitée par la plupart des autres membres. Même si les certains pays ne sont pas d’accord, quand Washington veut quelque chose, il l’obtient, les autres alliés en étant réduits à négocier leur ralliement.

Une concurrence discrète mais bien réelle

En matière capacitaire, sous prétexte de coopération, c’est plutôt à une concurrence à laquelle on assiste, chacun essayant de tirer ses préférences dans une logique de concurrence industrielle, assez logique. Sous l’argument du partage du fardeau (argument légitime) au sein de l’OTAN, les États-Unis (principal « actionnaire » de l’Alliance) ont un autre argument : soyez solidaires, achetez américain. Ce qui mine les relations. Washington n’a pas vraiment (et encore moins sous Donald Trump), l’intention de voir émerger une autonomie européenne, contrairement aux discours. Et certains pays (comme la Pologne ou la Lituanie) sont très tentés par ce parapluie rassurant. C’est plutôt une dépendance européenne qu’ils visent, avec juste un bémol : le montant du chèque que doivent acquitter les Européens doit être revu à la hausse.

Sur la Russie, une réelle entente

En fait, c’est sur le dossier russe où une certaine complicité règne : à l’UE, les sanctions économiques, à l’OTAN les muscles du renforcement à l’Est. Pour aller plus loin, il reste un hiatus, toujours le même, la Turquie et surtout le conflit chypriote. Tant qu’il n’est pas réglé, les conversations seront courtoises, l’atmosphère amicale entre les deux organisations, comme le montrent les relations Stoltenberg-Mogherini. Mais c’est tout…

(Nicolas Gros-Verheyde)

Lire aussi : Entre Européens et Américains, il n’y a pas de malentendu mais des divergences

 

La coopération OTAN-UE, une meilleure ambiance mais peu d’avancées concrètes ?

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 10:20
(B2) Près d'un an après la déclaration OTAN-UE de Varsovie, malgré toutes les déclarations officielles, très optimistes, l'approfondissement des relations OTAN-UE avance, millimètre par millimètre. Au nom des 28, les ministres de la Défense ont donc sonné l'alarme le 18 mai prochain. Ils attendent de pied ferme, le rapport que doit leur présenter la Haute […]

Trump, tu ne nous auras pas

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 09:05

(B2) Avec Donald Trump, les Européens héritent d’un ami encombrant, imprévisible, qui incarne des vieilles valeurs, qui ne les aime plus. Une menace en soi. C’est le sens de l’ouvrage que vient de sortir notre confrère Maroun Labaki (ancien du Soir). Après le constat, on peut avoir plusieurs manières de réagir : courber l’échine, vociférer… ou agir ensemble. C’est cette troisième voie que préconise Maroun.

Pour lui, les Européens sont aujourd’hui placés face à leurs responsabilités. En matière de défense, de sécurité intérieure, d’innovation et de recherche notamment, ils n’ont plus d’autre choix que de se réunir et d’acquérir l’autonomie nécessaire.

Sur la défense, son constat rejoint en grande partie celui de B2 : les moyens sont atomisés, les investissements dispersés, la capacité d’agir reste limitée (encore plus avec le Brexit). L’Europe n’est pas impuissante, elle se rend impuissante.

Cette impuissance peut se manifester rapidement en matière économique. Même dans leurs domaines d’excellence, comme la recherche, les Européens doivent prendre attention. Ils sont désormais dépassés par certains pays comme la Chine. En conclusion, pour l’auteur, « demain, la souveraineté sera européenne ou ne sera pas. Notre salut sera européen ou ne sera pas ».

Le livre est court, bien écrit. Il se lit vite. Mais il est dense. Maroun a choisi quelques exemples précis où il démontre cette nécessité européenne, à l’aide de chiffres mais aussi de souvenirs journalistiques et d’émotions personnelles. Ce qui rend ce livre très attachant, au-delà des idées qu’il promeut.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Ed. La Boite à Pandore, 13,90 euros, env. 120 pages.

Montrons à l’Amérique de Donald Trump qui nous sommes et ce que nous valons !

Bruxelles2 Blog - Thu, 25/05/2017 - 07:15

(B2) Donald Trump et le Brexit contraignent les Européens à procéder à un examen approfondi de la situation en ce qui concerne les questions de défense. Or, force est de constater que par-delà la nouvelle donne géostratégique en train de s’établir, le plus important n’est peut-être pas l’arrivée de nouveaux leaders et de nouvelles politiques, mais les évolutions technologiques sous-jacentes.

Le poids de l’intelligence artificielle

L’intelligence artificielle va transformer nos vies avec une rapidité et une intensité que nous avons encore du mal à imaginer. Elle va bouleverser la façon de penser la guerre, notamment dans les domaines de l’aviation de combat, du combat terrestre, de la guerre navale, de la cyberguerre et peut être même dans l’élaboration de la stratégie. Les entreprises américaines, ont acquis dans ce domaine une avance considérable et les investissements qu’elles y consentent sont massifs.

L’initiative d’innovation de défense

Avec ou sans l’initiative d’innovation de défense, plus connue sous le nom de ‘third offset initiative’, ces entreprises, en particulier les géants du net qui disposent de trésorerie colossale accélèrent. Si nous ne faisons rien, les entreprises européennes seront déclassées dans cinq ans tout au plus. Face à cette situation que fait l’Europe ? Ou plus exactement que faisons-nous, car nous sommes l’Europe ?

Pour être respectée …

… L’Europe doit être respectable, c’est-à-dire honorer les engagements souscrits dans le cadre de l’OTAN en 2014 en portant progressivement l’effort de défense des États à 2% du PIB et à 20% de ces dépenses en équipements militaires. Mais ne nous faisons pas d’illusion, le fait de respecter un par un ces engagements ne résoudra pas nos problèmes.

Pour être respectée, l’Europe doit aussi être autonome. Nous devons cesser de gémir et attendre que les affaires du monde se règlent en dehors de nous. Nous devons prendre notre destin entre nos mains, comme nous y invite la Chancelière allemande. La pire des solutions serait de rester inerte et d’attendre que les cieux redeviennent cléments.

Cessons d’avoir peur et rouvrons les traités

Chacun à Bruxelles, au niveau de l’Union européenne, parle de la coopération structurée permanente, c’est-à-dire une avant-garde d’États membres capables de se donner les moyens de constituer entre eux une capacité autonome reposant sur des moyens militaires crédibles. C’est précisément ce dont nous avons besoin. Pour l’établir, il suffit d’appliquer les traités et de la signature de deux États qui le peuvent et qui le veulent. Si la volonté est là, cette disposition peut être établie en trois mois. Et si cela ne convient pas… alors faisons autre-chose. Cessons d’avoir peur de notre ombre et disons qu’il faudra sans doute rouvrir les traités sur certaines questions, en particulier la défense.

Le moment est venu de nous rappeler d’oser et de montrer à l’Amérique de M. Trump qui nous sommes et ce que nous valons.

Frédéric Mauro

Avocat aux barreaux de Paris et de Bruxelles, établi à Bruxelles
Conseil pour les questions de défense

Raytheon to supply variable depth sonar for US Navy LCS vessels

Naval Technology - Thu, 25/05/2017 - 01:00
The US Navy has awarded a contract to Raytheon for the delivery of its new variable depth sonar (VDS) system, which is an anti-submarine solution designed for the littoral combat ship (LCS) class.

Leidos to help sustain Distributed Common Ground System – Navy (DCGS-N)

Naval Technology - Thu, 25/05/2017 - 01:00
Global science and technology company Leidos has secured a new prime contract from the US Space and Naval Warfare Systems Command (SPAWAR) Systems Center Atlantic in the US.

Lockheed Martin Canada to replace combat management system for Chile’s Type 23 frigates

Naval Technology - Thu, 25/05/2017 - 01:00
Lockheed Martin Canada has secured a new contract from the Chilean Navy (Armada de Chile) for replacement combat management systems (CMS) and select subsystems for its three Type 23 frigates.

Première visite de Donald Trump à Bruxelles. L’OTAN met le focus sur Daesh

Bruxelles2 Blog - Wed, 24/05/2017 - 19:30
(B2) L’OTAN doit-elle devenir membre à part entière de la coalition contre Daesh ? C'est la question de fond de la réunion des dirigeants de l'OTAN, réunis pour la première fois avec le président américain Donald Trump, jeudi 25 mai, au siège de l'Alliance. La rencontre sera « brève mais intense » selon un diplomate. Pas question cependant […]

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