24 Heures au Bénin

Le feu a dicté sa loi à Jéco hôtel de Dassa-Zounmè dans le département des Collines ce samedi 9 janvier 2021. Les bâtiments qui abritent ce complexe hôtelier ont pris feu. Les raisons de cet incendie ne sont pas encore connues. Aux dernières nouvelles, l'incendie serait maîtrisé par les soldats du feu. Jeco hôtel devrait accueillir dans la soirée de ce samedi même le gala de l'Excellence.
Boniface Cakpo

Le travail reprend à 14 heures pour finir à 17 heures 30 dans l'après-midi depuis lundi 4 janvier 2021 dans l'administration publique. Au cinquième jour de mise en œuvre des nouveaux horaires, le bilan est satisfaisant quant au respect du réaménagement et des avantages qu'il offre aux travailleurs.

« L'horaire de travail a changé surtout dans l'après-midi. Nous reprenons le travail à 14 heures pour finir à 17 heures 30 dans l'après-midi, c'est-à-dire 1 heure plus tôt puisqu'avant on sortait à 18 heures 30 mn.
Au Ministère du Travail et de la Fonction Publique, il n'y a pas d'absence, les travailleurs suivent à la lettre. Il y a 2 registres que les travailleurs remplissent le matin à 8 heures à leur arrivée et à 14 heures lorsqu'ils reprennent », explique Abdoulazize Malick, Directeur de la Programmation et de la Prospective du Ministère du Travail et de la Fonction Publique.
Au trésor public, les travailleurs se conforment également aux nouveaux horaires, selon le constat fait par le Secrétaire Général du Syndicat National des Agents du Trésor du Bénin. « Déjà à partir de 7 heures ou 7 heures 30 minutes, les collègues sont là. Donc on sent qu'il y une volonté de respecter ces nouveaux horaires », ajoute le SG. Il confie que les travailleurs sont satisfaits même si aucune enquête ou étude n'est encore menée par rapport aux impacts des nouveaux horaires.

Véritable enjeu sur le déplacement …

« Les travailleurs confient qu'ils rentrent plus tôt avec moins de difficultés qu'auparavant parce qu'en sortant à 17 heures 30, la circulation pour retourner est plus facile que cela ne l'était il y a une semaine », renchérit Abdoulazize Malick. A en croire le Directeur de la Programmation et de la Prospective du Ministère du Travail et de la Fonction Publique, les retards au service sont conjugués au passé. La nouvelle heure de sortie permet aux travailleurs de vite rejoindre leurs différents ménages et d'être ponctuels le lendemain. « J'ai remarqué que les collègues sont davantage à l'heure que par le passé », précise le DPP.
Les travailleurs sont en plus actifs dans le traitement des dossiers depuis l'application des horaires.
M. M.

Le Ministère de la santé à travers la Direction nationale de la médecine hospitalière (Dnmh) a organisé du 6 au 8 Janvier 2021, un atelier de finalisation du Plan national de chirurgie, d'obstétrique et d'anesthésie du Bénin (PNCOAB). Les travaux se sont déroulés à l'hôtel les Oliviers à Porto-Novo grâce à l'appui financier de l'OMS et de Mercy Ships.

Le Bénin rejoint le groupe restreint des 10 pays africains qui ont renforcé leurs systèmes des services et soins chirurgicaux, d'obstétriques et anesthésiques en vue du développement de leurs systèmes sanitaires.
En effet dans le cadre du renforcement du système de santé au Bénin et conformément aux recommandations des droits humains et également des Objectifs de développement durable (Odd) qui font de l'accès aux soins une obligation, le ministère de la santé a entrepris depuis 2017 en collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et Mercy Ships le processus d'élaboration du Plan national de chirurgie, d'obstétrique et d'anesthésie du Bénin (PNCOAB) pour la période 2021-2025. Ce processus a connu son aboutissement en 2019 avec la tenue d'un atelier de validation en Juin 2019.

…le PNCOAB : une exigence sanitaire

Mais vu le contexte sanitaire actuel marqué par la pandémie de la Covid-19 et les réformes en cours dans le secteur de la santé, ledit plan, pour s'adapter aux besoins sanitaires actuels des populations en terme d'infrastructures, d'équipements, de matériels et de ressources humaines, a été actualisé au cours d'un atelier de finalisation les 6, 7 et 8 Janvier 2021 à Porto-Novo. Ainsi, trois jours durant les participants, répartis en trois (03) groupes de travail, ont sur la base de leurs expériences et vécus sur le terrain apporté des modifications au document en vue de sa finalisation. Pour les experts, la mise en œuvre du plan va permettre au Bénin de booster la performance du Système chirurgical au cours des cinq (05) prochaines années pour le bonheur des patients.
« A l'heure où nous parlons de la qualité des soins et de la sécurité du patient, il nous faut avoir cet outil développement pour faire le plaidoyer afin d'atteindre les objectifs de développement durable d'ici à 2030 », soutient le Directeur national de la médecine hospitalière au Bénin, Dr Ange Dossou.
Sur les 47 États que compte la région Afrique de l'OMS, seuls 10 pays disposent d'un plan national de chirurgie, d'obstétrique et d'anesthésie. Il s'agit entre autres : de la Zambie, la Tanzanie, l'Ethiopie, le Rwanda, la Botswana, le Sénégal, le Madagascar. Les plans du Nigéria et du Bénin sont quant à eux en cours d'élaboration.
Une fois finalisé, le Plan national de chirurgie, d'obstétrique et d'anesthésie du Bénin sera présenté au ministre de la santé pour sa validation avant d'être transmis au gouvernement pour son adoption en conseil des ministres.

Juliette MITONHOUN

Dagbo Hounon TOMADJLɛHOUKPϽN HOUWAMɛNOU ll, Pontife du culte Vodoun rassure de l'effectivité de la fête et invite les adeptes au respect des gestes barrières indiqués par le gouvernement dans la lutte contre le Covid-19. Dans une interview accordée à radio Kpassè (93.8 FM) de Ouidah ce samedi 9 janvier 2021, il précise que la célébration aura un caractère spécial en raison de la pandémie.<>, a-t-il affirmé. Selon le Chef traditionnel, les manifestations officielles auront lieu à la plage de Ouidah ce dimanche matin. <>, informe Dagbo Hounon TOMADJLɛHOUKPϽN HOUWAMɛNOU ll.
Les 10 janvier, tout le Bénin en particulier la plage de Ouidah vibre aux couleurs du culte Vodoun. Mais l'avènement de Covid-19 limietra à coup sûr les manifestations à l'essentiel.

Boniface CAKPO

Les travaux de construction du nouveau siège de l'Assemblée nationale devraient débuter en 2021 pour une durée 30 mois. Le coût d'objectif indicatif fixé par la Société Immobilière et d'Aménagement Urbain (SImAU) est de 25 milliards de FCFA.

Le nouveau siège du Parlement sera construit sur un site de 7 hectares (sur le domaine de l'ex-Direction Générale de la Gendarmerie non loin de l'actuel siège de l'Assemblée nationale). Le budget de ce chantier est de vingt-cinq (25) milliards de FCFA.
La Société Immobilière et d'Aménagement Urbain (SImAU) a déjà ouvert un appel d'offres international pour sélectionner une entreprise. Il sera clôturé le 27 janvier prochain.
A.A A.

La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a condamné le 07 janvier 2020 deux hommes à 10 ans de prison ferme pour trafic de stupéfiants.

Selon Frissons radio, les deux condamnés chacun à 10 ans de prison ferme ont été arrêtés à Cotonou. Placés en détention provisoire depuis le 16 octobre 2020, ils ont été jugés pour détention de drogue.

A.A.A

Dans le but de limiter les risques de contamination du Covid-19 au cours des manifestations comptant pour la célébration de la fête du 10 janvier, le Gouvernement invite les touristes à respecter les gestes barrière. À cet effet, l'honorable Mathieu Gbèblodo Adjovi a tenu une séance avec les dignitaires et tête couronnées de Ouidah sur les dispositions prises par le Gouvernement.Cette séance s'est déroulée ce jeudi dans la salle de conférence de la mairie de Ouidah en présence de Jean Claude Codjia, préfet du département de l'Atlantique, du maire de la commune de Ouidah, son deuxième adjoint et de plusieurs autres autorités de la commune.

Des lave-mains devant les couvents, les touristes appelés à porter le masque de protection, le respect de la distanciation sociale obligatoire. Telles sont les consignes du Gouvernement annoncées aux chefs traditionnels de Ouidah par Mathieu Adjovi, député à l'Assemblée nationale. <>, affirme l'élu du peuple qui fait savoir que la célébration de la présente édition du vodoun sera particulière. <>, a-t-il ajouté.
Remerciant les chefs traditionnels qui sont venus à la séance, Mathieu Adjovi les a invités à porter ce message de sensibilisation à la population de Ouidah pour que l'harmonie, la bonne entente et le civisme règnent à Ouidah pendant la célébration.<>, a conclu Mathieu Adjovi.
La fête des religions endogènes est célébrée les 10 janvier de chaque année. Elle a été initiée au plan national en 1990 par Nicephore Dieudonné Soglo, ancien président de la République du Bénin.

Boniface Mahouwèna CAKPO

Le Chef de l'État Patrice Talon a entamé jeudi 07 janvier 2021, la deuxième phase de sa tournée de reddition de compte. Dans les communes visitées, les populations ont invité Patrice Talon à briguer un second mandat.

Pour le compte de la deuxième phase de sa tournée, Patrice Talon s'est déjà rendu à Pèrèrè, N'dali, Karimama, Sègbana et Gogounou. Il a été accueilli par une impressionnante foule composée de jeunes et femmes.
Les maires des communes ont remercié Talon pour les différentes réalisations.
Avec les élus locaux et communaux, sages, notables, têtes couronnées et populations, le Chef de l'État a fait le point de la mise en œuvre du Programme d'actions du gouvernement.
« Nous avons montré en 5 ans la capacité de ce que nous pouvons faire les 10, 15 années à venir et cela sera davantage manifeste dans nos commune », a déclaré Patrice Talon. Il a appelé les fils et filles du Bénin à l'Union. Les populations invitent Patrice Talon à maintenir le cap.

A.A.A

​Une comptine qui date d'au moins cent ans, puisque les Béninois qui, en 2021, sont entre 70 et 80 ans, se souviennent de l'avoir psalmodiée, enfants, à chaque rencontre d'un Blanc, d'un Métisse ou d'un Jaune. Et il importait peu que le même étranger passât sous nos yeux plusieurs fois par jour, nous ne nous lassions point de l'accueillir au chant de : « Yovo, Yovo, bonsoir ! Ça va bien ? Merci ! » C'est que les missionnaires catholiques et les fonctionnaires coloniaux nous faisaient forte impression à cause de leur couleur différente de la nôtre et de leur mode de vie dont nous ne pouvions pas rêver pour nous-mêmes. A la vue donc de l'impossible destin, nous chantions, au bord de l'acclamation. Notre joie était proche de celle qui nous animait une fois l'an, à la fête du Christ-Roi, lorsque la procession solennelle passait dans notre quartier, et que nous apercevions le prêtre juché sur quatre marguilliers, et portant avec immenses dignité et piété l'ostensoir-or, habitacle du Créateur et Maître des univers. Mais pourquoi le sempiternel ‘‘bonsoir'' de notre chant ? Mystère !
​La belle tradition de l'heureux salut offert à toute personne non noire se poursuivit longtemps après le 1er août 1960, et quelque temps encore après le 26 octobre 1972. Puis, à tâtons d'abord et rasant les murs, le salut se dégrada en « Yovo, Yovo, cadeau ! » Il fallut bien reconnaître dans ce résumé décadent l'un des effets de l'extension de la pauvreté, compagne d'une croissance démographique non maîtrisée. La comptine dahoméenne, joyeuse et sautillante, travestie en mélopée maussade et mendiante. Et aujourd'hui, laissant tomber le double appel, l'enfant béninois va droit au but : « Yovo, cadeau ! » Cinglant. Un rien menaçant. Mais l'enfant, main tendue, ne le sait pas. Lui qui, ainsi mendie, est l'avenir du Bénin. L'enfant dahoméen fut heureux. L'enfant béninois, à l'évidence, n'est pas heureux.
​Faute de pétrole ou d'uranium pour nous apporter la richesse (et la guerre !?), notre pays consent aujourd'hui des efforts conséquents pour se rendre fréquentable, attractif pour les étrangers qui, venant le visiter, dépenseront le yen, le dollar, l'euro, pour habiter dans ses hôtels bien entretenus, acheter ses productions locales artisanales et artistiques, sourire et rire à ses spectacles nouveaux sur ses plages propres ou en d'autres lieux étudiés pour qu'il garde de ses vacances au Bénin un souvenir tel qu'il y reviendra souvent nous voir. La richesse générée par le tourisme se partage mieux entre les citoyens en même temps qu'elle rassure l'écosystème alors que l'abîme l'exploitation du pétrole ou de l'uranium.
​Mais pour exploiter au mieux les infrastructures touristiques, le Programme d'Action du Gouvernement (PAG) devra se doter d'un volet éducatif afin d'enseigner aux enfants la patience pour attendre les fruits escomptés du tourisme, la dignité et le respect de soi pour ne pas tuer dans l'œuf la poule aux œufs d'or que peut représenter le touriste. Les enfants béninois, bien plus nombreux que les enfants dahoméens, et qui, par nécessité ou avidité, chantent partout à l'oreille de l'hôte, non plus « Yovo, bonsoir » mais « Yovo, cadeau », voilà qui est du plus mauvais effet. A la fin de son séjour, l'Asiatique, l'Américain, l'Européen pourrait s'en aller, disant : « Le Bénin, c'est bien, mais partout, sauf dans ton lit, tu es assailli par des enfants-mendiants, prêts à te faire la poche ». Le PAG doit donc tuer et enterrer « Yovo, cadeau ! » pour que vienne et vive à l'aise le touriste. L'éducation à la patience et au respect de soi à l'approche de l'ère du grand tourisme au Bénin sera prise en charge par les enseignants dans les écoles primaires et par les journalistes sur les radios de proximité. L'Etat fiancera cette éducation pour que le tourisme nous soit vraiment source de devises étrangères. « Nos enfants nous sont chers », aussi croyons-nous urgent de leur enseigner, en plus de la science, la patience et le respect de soi, vertus qui les porteront haut et loin.

La problématique de l'avortement non sécurisé en Afrique francophone était au cœur d'un webinaire le 22 décembre 2020. Organisée par l'Ong américaine Ipas et le Réseau des médias africains pour la promotion de la santé et de l'environnement (Rémapsen), cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la campagne régionale médiatique sur les droits sexuels et les avortements sécurisés en Afrique de l'Ouest et du Centre et vise à amplifier qualitativement et quantitativement l'information sur les Droits sexuels et de la santé reproductive.

« Rompre le silence sur les avortements non sécurisés en Afrique de l'Ouest et du Centre ». C'est le thème du webinaire organisé le 22 décembre dernier par Ipas et le Réseau des médias africains pour la promotion de la santé et de l'environnement (Remapsen) à l'endroit de trente (30) professionnels des médias de 10 pays d'Afrique de l'Ouest et du centre.
Cette rencontre a permis aux professionnels des médias, de mieux cerner la problématique de l'avortement non sécurisé en Afrique francophone afin de contribuer efficacement, à travers leurs différentes productions médiatiques, à la promotion des droits sexuels et de la santé reproductive des femmes.
Selon Dr Sosthène Dougrou, Directeur Ipas Afrique francophone, cette problématique très complexe est d'actualité et doit mobiliser l'attention de tous.

Des chiffres préoccupants

En Afrique, « Au moins six millions de femmes interrompent leurs grossesses dans des conditions dangereuses et 9 femmes sur 10 en âge de procréer vivent dans des pays ou la législation en matière d'avortement est restrictive », a fait savoir Dr Sosthène Dougrou lors de sa présentation.
Il urge d'associer les professionnels des médias au combat afin de prévenir les ados, les jeunes et les femmes des conséquences dangereuses voire mortelles des avortements non sécurisés en Afrique francophone.
« Les soins d'avortement sont universellement reconnus comme des soins de santé », a soutenu Dr Jean Claude Mulunda. Le Directeur pays de Ipas Ong en RD Congo a présenté une étude de cas sur la domestication du protocole de Maputo en RDC.
Cet instrument juridique international oblige les États signataires à protéger les droits des femmes en matière de procréation, autorisant l'accès légal à l'avortement.
Malheureusement la réalité est tout autre sur le terrain, car selon les chiffres, seulement 1 avortement sur 4 est pratiqué dans des conditions de sécurité.
Pour changer la donne, les professionnels des médias sont appelés à rompre le silence sur les avortements non sécurisés en vue de faire respecter les droits sexuels des femmes et de promouvoir l'avortement sécurisé pour le bonheur des populations africaines.

Juliette MITONHOUN

Le constitutionnaliste Joël Aïvo et le parti d'opposition ''Les Démocrates'' ont réagi face à la décision de la Cour Constitutionnelle qui s'est déclarée incompétente sur l'examen des recours contre l'application du parrainage des candidats à l'élection présidentielle.
« Avec la dernière décision, on a l'impression que la Cour a livré le pays aux rapports de force, a refusé de jouer son rôle d'être le régulateur, le gardien, le dépositaire de la régularité de l'exercice du pouvoir », a déclaré Joël Aïvo, vendredi 08 janvier 2021, sur RFI.
Le parti ''Les Démocrates'' a indiqué dans un communiqué que la Cour constitutionnelle a « renié sa compétence déjà mise en œuvre par décision DCC n°19-504 du 06 novembre 2019 ».
La Cour constitutionnelle a statué, jeudi 7 janvier 2021, sur trois recours pour inconstitutionnalité du principe du parrainage dans le cadre de l'élection présidentielle de 2021 et s'est déclarée incompétente.
M. M.

Les pièces délivrées par l'Agence nationale d'identification des personnes (ANIP) ne doivent plus être rejetées dans les banques et autres établissements financiers. Le ministre de l'économie et des finances, Romuald Wadagni, à travers la note circulaire N°21/MEF/DC/USMEF/CTE/SP a ordonné l'acceptation desdits documents pour toute opération dans les institutions financières.

Selon la note du ministre, « l'acte de naissance biométrique, le certificat national d'identification personnel et la carte nationale d'identité biométrique sont des documents officiels de la République du Bénin, conformément à la loi n°2017-08 du 19 juin 2017 portant identification des personnes physiques en République du Bénin et ses décrets d'application ». Romuald Wadagni précise que « la carte nationale d'identité biométrique est instituée par le Décret n°2020-396 du 29 juillet 2020 pour un usage multifonctionnel notamment les formalités bancaires ».

F. A. A.

Malade depuis deux mois, le rappeur Blaaz aurait été victime d'AVC (Accident Vasculaire Cérébral) deux fois consécutive en intervalle d'un mois. Aux dernières nouvelles, il serait paralysé.
Selon l'un de ses proches, le ministre des sports Oswald Homeky prend en charge les soins de l'artiste alité.
M. M.

Le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou a annulé ce vendredi 08 janvier 2021, les résultats du concours probatoire pour l'obtention du certificat d'aptitude aux fonctions de conseiller pédagogique (CAFCP), session d'octobre 2020.

Selon la décision du ministre Salimane Karimou, les résultats du concours probatoire pour l'obtention du certificat d'aptitude aux fonctions de conseiller pédagogique, session d'octobre 2020 sont annulés à cause des soupçons de fraude.
L'inspecteur général du ministère est chargé de poursuivre et d'approfondir les investigations en vue de situer les responsabilités et d'engager les poursuites éventuelles contre les personnes mises en cause.
En décembre dernier, le concours de recrutement de cent (100) auditeurs de justice avait été aussi annulé en raison des cas de tricherie enregistrés lors de la phase écrite.

A.A.A