24 Heures au Bénin

Les résultats de l'examen de Licence 2020 sont proclamés. Ils peuvent être consultés à l'adresse : https://eresultats.bj/consulter/licence-2020

Dans une interview accordée à BM TV, le député Dakpè Sossou s'est prononcé sur la candidature de Reckya Madougou à la présidentielle de 2021.

Le député Dakpè Sossou fait une analyse de la candidature de l'ancienne ministre à la présidentielle de 2021 en rapport avec sa beauté. Pour lui, Reckya Madougou à la tête d'un pays peut créer des problèmes au Bénin en raison de sa beauté. « C'est une très belle femme qui aurait dû ne pas s'immiscer dans ces affaires », a-t-il déclaré.

« Quand elle est arrivée au sein du parti ‘'Les Démocrates'', vous avez vu, tout ce qui a tourné autour d'elle ? Tel se lève il dit je serai son colistier, d'autres disent non, elle sera notre présidente. La femme même qui fait l'objet de tout ça, de tous ces protocoles quand elle sera à la tête du pays, qu'est-ce qui va se passer », s'interroge l'honorable Dakpè Sossou.

Selon lui, une belle femme « comme ça, c'est comme on le dit, des réserves minières d'un pays ». « Si vous la considérez comme une mine d'or, une très belle femme, inégalable, charmante à la tête d'un pays, je ne pense pas que vous avez la paix comme nous en avons actuellement au Bénin », a-t-il déclaré.

Reckya Madougou est le choix du parti ‘'Les Démocrates'' pour la présidentielle de 2021. Le parti a déposé son dossier sans parrains. Au terme de la phase d'étude des dossiers par la CENA, dix-sept candidatures ont été recalées dont celle du parti ‘'Les Démocrates'' (Duo Reckya Madougou-Patrick Djivo).

A.A.A

Dans la commune de Kandi, 2 élus locaux croupissent en prison depuis mercredi 10 février 2021. Le Chef d'arrondissement de Donwari et le Chef village de Gambanè sont inculpés pour usurpation de fonction et extorsion de fonds.
Les faits remontent à une bagarre entre deux individus du village de Gambanè. Bagarre au cours de laquelle l'un des protagonistes s'est blessé. Sur instruction du CA, le Chef de village a ordonné la prise en charge des soins du blessé et le paiement d'une amende. C'est dans le bureau du Chef d'arrondissement que l'amende a été versée contre décharge dûment signée par les parents du mis en cause.
Les deux prévenus ont été présentés au procureur avant d'être déposés à la prison.
M. M.

Peu après la publication de la liste provisoire de duos retenus par la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour la présidentielle d'avril prochain, le candidat Joël Aïvo a réagi à travers une publication sur sa page Facebook dans la soirée de ce vendredi 12 février.

Pour le constitutionnaliste, candidat du parti du Front pour la restauration de la démocratie (FRD), c'est un défi. Le pays à en croire Joël Aïvo dispose « de ressources démocratiques pour relever ce défi qui vient de lui être lancé ».
Selon lui, le pouvoir en place n'a voulu prendre aucun risque à l'occasion de cette élection. « Il a choisi de sélectionner ses adversaires parmi ses alliés et refusé la compétition aux candidats capables de le battre dans les urnes ».
La CENA a publié dans la soirée de ce vendredi la liste provisoire de candidats pour l'élection présidentielle du 11 avril prochain. Le dossier de Joël Aïvo figure parmi les 17 candidatures rejetées par la CENA. 08 insuffisances ont été relevées dans ces différents dossiers. Trois duos de candidatures ont été sélectionnés par la CENA.

F. A. A.

La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a mené du 11 au 12 février 2021 au Bénin une mission pré-électorale.

Selon le communiqué final, la mission de la CEDEAO conduite par M.Shirley Ayorkor Botchway a pris note des réformes politiques engagées par le gouvernement pour faciliter le processus électoral. Elle s'est félicitée de l'état d'avancement du processus électoral. La Mission a pris acte des dispositions sécuritaires prises par les autorités pour assurer un processus électoral sécurisé notamment la sécurisation des candidats, du matériel électoral et des observateurs et de l'ensemble des parties prenantes du processus électoral.

Informée de l'agression sur l'un des candidats présumés à l'élection, la mission a encouragé les autorités à poursuivre les enquêtes pour établir les faits. Pour une élection apaisée, la Mission demande à toutes les parties d'éviter les discours de haine qui incitent à la violence. Elle exhorte tous les acteurs sociopolitiques au dialogue pour créer les conditions favorables à la tenue d'élection crédible et inclusive et renforcer ainsi le climat de paix dans le pays.

Les émissaires de la CEDEAO ont eu des entretiens avec le président de la Cour Constitutionnelle, le ministre des Affaires étrangères et de la coopération ; le ministre de l'intérieur et de la sécurité ; le président de la CENA ; le président du Cos-Lépi.
La mission a également rencontré une délégation des partis politiques de l'opposition, une délégation des partis de la mouvance et les représentants de la Société civile. A cela s'ajoutent des consultations avec des membres du corps diplomatique accrédités au Bénin.

Le président Patrice Talon a expliqué à l'équipe de la CEDEAO lors d'une visite de courtoisie, les raisons qui justifient la mise en œuvre des réformes électorales. Il a rassuré la mission de l'engagement du gouvernement à continuer à œuvrer avec les parties prenantes pour la tenue effective d'une élection participative, crédible, transparente et apaisée.

Dans le cadre de l'élection présidentielle du 11 avril 2021, la CEDEAO va déployer au Bénin une mission d'observation électorale.

A.A.A

Du lac Nokoué à Ganvié, en passant par la porte du Non-Retour à Ouidah ou la mosquée de Porto-Novo, Cotonou est marquée par les souvenirs de l'esclavage. La capitale béninoise est aussi le berceau du culte vaudou, célébré à travers les chansons et des cultes. Le deuxième épisode du film documentaire sera diffusé sur TV5 Europe ce dimanche à partir de 18h38. Réalisation : Alexandre Largeron, Koudiedji Sylla , Durée 52 mn

Fitch Ratings a révisé les perspectives de la notation par défaut des émetteurs en devises à long terme du Bénin (IDR) à B + Stable et a confirmé l'IDR à `` B ''. C'était le jeudi 11 février 2021 à Hong-Kong

La révision des perspectives du Bénin à B Positive reflète notre attente de ce que le Bénin a renoué avec une forte croissance à mesure que l'impact de la pandémie s'estompe et après la réouverture de la frontière avec le Nigéria. Cela reflète également notre opinion selon laquelle le gouvernement inversera progressivement la détérioration temporaire des finances publiques et stabilisera la dette publique bien en deçà de la médiane « B » prévue au cours des prochaines années.

L'économie béninoise a fait preuve d'une relative résistance au double choc lié à la pandémie et à la fermeture des frontières, avec une croissance du PIB estimée à 2,3% en 2020 contre 6,9% en 2019, bien au-dessus de la médiane « B » de -4,5% en 2020. Modérée l'activité dans les secteurs de l'agro-industrie et de la construction, tirée par l'investissement public, a compensé en partie la faiblesse des performances des secteurs de l'agriculture, du commerce et des transports qui ont été touchés par les mesures de confinement - bien que modérées et sans verrouillage complet - et la baisse de la demande mondiale et du commerce informel avec Nigeria. Nous prévoyons une reprise de la croissance à 5,6% en 2021, puis un retour aux niveaux d'avant le choc pandémique à 6,2% en 2022, sous l'effet d'un rebond du commerce, des transports, de l'agriculture et de la construction. Nos prévisions supposent une lente reprise au Nigéria (croissance de 1,5% du PIB en 2021), un assouplissement progressif des perturbations locales liées aux coronavirus et une amélioration des perspectives mondiales. Les risques à la baisse découlent de l'incertitude sur la durée et la gravité de la pandémie au Bénin, où les perspectives de vaccination restent floues, et chez les principaux partenaires commerciaux, ce qui pourrait peser sur la reprise.

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(Par Roger Gbégnonvi)

​Non seulement le Covid-19 est insaisissable, mais dans son insaisissabilité il mute, en des variants plus énergiques que la souche première, ce qui, évidemment, fait enrager le genre humain, les médecins virologues en tête. Alors, comme s'il voulait révéler l'homme à lui-même dans sa relation à soi, le Covid-19 insinue qu'il n'a pas créé l'Université des Mutants, où ne circulent point ses copains les virus, mais bien des hommes et des femmes. Alors, l'homme réfléchit et se souvient qu'il n'y a pas que ladite université sur l'Île de Gorée au Sénégal, mais que certains de ses dires et textes consacrent son caractère imprévisible et mutant, créature au comportement trop souvent salé-sucré – ô, « - Hypocrite lecteur – mon semblable – mon frère ! » – ironise Baudelaire avec justesse, sagesse et poésie.
Et le peuple Aja-Tado d'y aller de sa propre poésie pour dire l'humain : « La vie [de l'homme], c'est la palme du palmier au bord de la rivière : tantôt elle balance à droite, tantôt elle balance à gauche ». C'est ce mouvement de balançoire que le Covid-19 révèle á l'homme dans sa relation à soi. Reproche-t-on au Covid-19 de muter, il répond qu'il est dans l'ADN de tout vivant, et donc dans le sien, virus vivant, de muter. A chaque mutation, le vivant prend du poil de la bête, ce qui peut le rendre redoutable, et même sans foi ni loi. Michel de Montaigne atteste : « Certes, c'est un sujet merveilleusement vain, divers et ondoyant que l'homme. Il est malaisé d'y fonder jugement constant et uniforme. » Et Blaise Pascal lui emboîte le pas : « Vérité au deçà des Pyrénées, erreur au-delà. » Quand Montaigne saupoudre de « merveilleusement » la vanité diverse et ondoyante, Pascal redore les blasons en y insérant « misères de grand seigneur ». Seigneur que n'épargne pas le mutant Covid-19.
Bien avant Montaigne et Pascal, la grande mystique Thérèse d'Avila avait supplié l'Eternel pour l'homme mutant affublé de son moi divers et ondoyant : « Dieu, considérez que nous ne nous entendons pas nous-mêmes et que nous ne savons pas ce que nous voulons et que nous nous éloignons infiniment de ce que nous désirons ». Chateaubriand, qui a dû lire les trois auteurs ci-dessus, les rejoint dans leur vision de l'homme : « Notre cœur est un instrument, une lyre où il manque des cordes, et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs. » Lyre sans doute désaccordée en plus d'être incomplète. Terrible handicap. Et sauve-qui-peut quand s'envient le mutant Covid-19.
​Le peuple Aja-Tado, pour en revenir à lui, sait depuis toujours que « les choses [qui] nous assaillent et nous lacèrent » n'ont pas d'âme. Ce peuple, hélas analphabète, n'a pas lu les auteurs ci-dessus, et pas non plus Albert camus. Mais en son tréfonds, il est d'accord avec l'auteur de L'homme révolté, qui est tout uniment le philosophe de l'absurde : « Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie. Le reste…vient ensuite ». Pour vivre à l'ère du Covid-19 et, peut-être, survivre au Covid-19, l'homme doit rationaliser l'absurde qui l'agresse, chercher et trouver le sens de l'absurde, quitte à prendre le risque de la très philosophique saturation du sens, révélatrice du même éternel. Pour un désenchantement grandiose. Un désenchantement de « grand seigneur ».
​Tâche à faire par l'homme en sa qualité de vaillant habitant de la terre. Quand Lamartine s'interroge « Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges / Jeter l'ancre un seul jour ? », c'est non ! Parce que la croissance démographique et les progrès techniques et technologiques s'accompagnent de la naissance de nouveaux virus qui mutent à l'image de l'homme mutant. Dans le malheur, si malheur il y a, restera au ‘‘grand seigneur'' la grande consolation de Pascal, « l'homme plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt ».

La sixième édition du dialogue politique entre l'Union Européenne (UE) et le Bénin s'est tenue jeudi 11 février 2021 à Cotonou. A l'issue des travaux, les deux parties ont réaffirmé leur engagement pour une coopération encore plus étroite sur des questions multilatérales, l'économie et aussi sur les questions politiques.

Sécurité, économie, modalités de promotion des échanges commerciaux et des investissements, droits de l'homme et civils, politique, etc. ont été abordés à la sixième édition du dialogue politique. « Sur chacune de ces questions, la partie européenne a salué l'ensemble des réformes courageuses impulsées sous le leadership du président de la République et invité son gouvernement à poursuivre dans cette dynamique de transformation profonde et de modernisation », a indiqué le ministre béninois des Affaires étrangères et de la coopération Aurélien Agbénonci.
« Nous avons abordé aujourd'hui ce que nous pouvons faire ensemble dans des domaines aussi importants que la croissance durable, l'énergie verte, la transformation numérique, la bonne gouvernance, et nous avons terminé nos discussions par des questions politiques et de droits humains », ajoute Abdoulaye Bio Tchané, ministre d'Etat chargé du Plan et du développement.
Pour Sylvia Hartleif, ambassadeur, cheffe de la délégation de l'Union Européenne près le Bénin, les relations entre le Bénin et l'UE vont se poursuivre « sur de nouvelles bases ». A en croire les parties béninoises et européennes, les « incompréhensions » notées en fin 2019 dans leurs relations diplomatiques sont conjuguées au passé.
Le dialogue politique entre le Bénin et l'Union Européenne (6è édition) a connu la participation du ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement Abdoulaye Bio Tchané, des ministres des Affaires étrangères Aurélien Agbénonci, des Finances Romuald Wadagni, de la justice Séverin Quenum, de l'Intérieur et de la sécurité publique, des Affaires sociales, du Commerce, et de la Défense.
En face, il y avait la délégation de l'UE composée de l'ambassadeur cheffe de la délégation de l'UE Sylvia Hartleif, de l'ambassadrice extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume des Pays-Bas Catharina Tjoelker-Kleve, de l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire du Royaume de Belgique Xavier Leblanc, de l'ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de de la France Marc Vizy, de l' ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République fédérale d'Allemagne Achim Tröster, du chargé d'Affaires de l'ambassade d'Italie près le Bénin Tarek Chazli et du premier conseiller à la délégation de l'UE Véronique Jansen.
Les ambassadeurs non-résidents de l'espace européen ont participé aux travaux par visioconférence.
M. M.

La mairie d'Abomey-Calavi a procédé à une opération de déguerpissement ce vendredi 12 février 2021 sur l'axe carrefour-Kpota-Agori.

Les vendeuses et vendeurs installés sur les trottoirs et carrefours de la voie pavée menant à l'église catholique de Bakhita (commune d'Abomey-Calavi), ont été déguerpis. L'opération s'est déroulée aux environs de 13 heures ce vendredi. Elle est conduite par le maire Angelo Ahouandjinou et une équipe composée du directeur général du Centre de Sécurité Routière (Cnsr), du directeur des services techniques de la mairie et des Chefs d'Arrondissement d'Abomey-Calavi.
L'objectif est de réduire les cas d'accidents et faciliter la circulation aux usagers. L'opération fait suite à une série de sensibilisations des occupants de ces espaces publics.
M. M.

Emmanuel Assilamehoo, Directeur National de la Banque Centrale des États de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO) est reçu en audience dans l'après-midi du vendredi 12 février 2021 par le Ministre des Petites et Moyennes Entreprises (PME) et de la Promotion de l'Emploi Modeste Tihounté Kérékou. Le point sur la mise en œuvre du CISEA, un dispositif de facilitation de l'accès au financement des PME-PMI dans les 08 pays de l'espace UEMOA, a été fait au ministre.
Modeste Tihounté Kérékou a plaidé pour la redynamisation du dispositif grâce à l'action de la BCEAO à l'endroit des banques et des structures d'appui et d'encadrement associées à la mise en œuvre du dispositif. A l'en croire, les attentes des PME-PMI peinent à être comblées après plus deux années de mise en œuvre.
M. M.

Trois (03) duos de candidats sur vingt ont été provisoirement retenus à l'issue de l'étude des dossiers de candidature dans le cadre de l'élection présidentielle du 11 avril 2021. 8 motifs sont à l'origine du rejet de 17 dossiers sur la liste rendue publique, le 12 février 2021, par la Commission Electorale Autonome (CENA).

La CENA a relevé que certaines pièces manquaient dans des dossiers de candidature à la présidentielle. Il s'agit de l'absence d'au moins 16 parrainages d'élus conformément aux dispositions de l'article 132 du code électoral, l'absence d'un candidat et ses pièces au poste de vice-président de la République, l'absence de quittance de paiement de la caution, l'absence de la déclaration de candidature en double exemplaire, l'absence du quitus fiscal, l'absence de déclaration sur l'honneur des candidats, l'absence de certificat de nationalité, l'absence du bulletin numéro 3 du casier judiciaire. Ce qui a motivé l'organe en charge de l'organisation de l'élection à rejeter dix-sept dossiers de candidature.

Encore trois jours pour les recalés !

Le 22 février 2021 est la date retenue pour la publication de la liste définitive des dossiers de candidature. Les candidats récalés disposent de trois (03) jours pour complèter leur dossier conformément à l'article 41 du code électoral.
Parmi les candidats recalés, il y a entre autres Reckya Madougou, Patrick Djivo, Joël Aïvo, Moïse Kérékou, Ganiou Soglo, Nathanaël Koty, Yannick Emmanuel Dossou, Flora Tiando, Daniel Edah, Ouorou Sidi, Gabriel Ajavon, Lucien Kinnonnon, Patrice Ago Simènou, Pasteur Victorin Denonwoema, Révérend Florentin Dovonou, Francoise Gbaido, Ahoulou Eudes Houessou.
M. M.

La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) vient de retenir provisoirement trois duos de candidats dans le cadre l'élection présidentielle du 11 avril 2021. Il s'agit du duo du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) constitué des candidats Alassane Soumanou et Paul Hounkpè, du duo Patrice Talon et Mariam Chabi Talata et de Corentin Kohoué et Irenée Agossa.
Les autres candidatures ont été rejetées. Une vingtaine de candidatures avaient été enregistrées lors du dépôt des dossiers.
M. M.

L'accès équitable des partis politiques, des associations et des citoyens aux médias de service public est au cœur d'un atelier qui se tient du jeudi 11 au samedi 13 février 2021 à Grand-Popo dans le département du Mono. Les représentants des médias de service public, de partis politiques, d'organisations de la Société civile et de certains ministères sectoriels participent aux assises.

Evaluer la mise en œuvre de la Décision nº 98-050/HAAC du 17 juin 1998 portant modification de la Décision nº 95-062/HAAC du 3 novembre 1995 relative à l'accès équitable aux médias publics pour en relever les insuffisances. Tels sont, entre autres, les objectifs des assises organisées par la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC). A en croire Armand Hounsou, conseiller à la HAAC, une relecture du texte est nécessaire en raison du contexte et du paysage sociopolitique qui ont beaucoup changé. Prenant en compte l'élection présidentielle, le président de la HAAC a souligné que l'accès aux médias publics est déterminant pour un scrutin apaisé. « Et cela ne peut se faire que si l'équité est effectivement établie », a précisé Rémi Prosper Moretti. Selon lui, des stratégies seront définies par les participants à l'issue du séminaire pour des médias au service de tous.
M. M.

Liste provisoirement trois duos pour l'élection du 11 avril 2021. Il s'agit de :

Duo 1:Alassane Soumanou et Paul Hounkpè,

Duo 2 :Patrice Talon et Mariam Chabi Talata,

Duo 3 : Corentin Kohoué et Irenée Agossa.

Les autres candidatures ont été rejetées. Comme motifs, absence d'au moins 16 parrainages, de candidat au poste de vice-président, de quittance de la caution.

Le processus de liquidation du Complexe textile du Bénin (COTEB SA) de Parakou suit son cours.

Le tribunal de première instance de première classe de Parakou a lancé il y a quelques jours, le deuxième et dernier appel à déclaration de créances du COTEB SA, annonce la radio nationale. Il est précisé que les différents acteurs concernés par la liquidation des biens de COTEB SA de Parakou seront fixés très prochainement.

F. A. A.

Le Conseil d'Administration de l'Agence de Développement de l'Entrepreneuriat des Jeunes (ADEJ) a été installé ce jeudi 11 février 2021. La cérémonie a été présidée par le ministre Modeste Tihounté Kérékou.

L'Agence de Développement de l'Entrepreneuriat des Jeunes (ADEJ) est née de la transformation et de la restructuration de l'ex FNPEEJ.
C'est « un établissement public à caractère social dont la mission est de contribuer à la promotion de l'entrepreneuriat de croissance à travers la constitution de pépinière de petites et moyennes entreprises capables de créer de la valeur et d'offrir des opportunités d'emploi durable ».
L'ADEJ est sous la tutelle du ministère en charge des PME et de la Promotion de l'Emploi.

La cérémonie a été marquée par le mot de bienvenue du directeur Général de l'ADEJ, M. Paulin Kingnide Akpona suivi de la lecture du décret N°2020-553 du 18 novembre 2020 portant nomination des membres du Conseil d'Administration de l'Agence de Développement de l'Entrepreneuriat des Jeunes par le Secrétaire Général du Ministère, M. César Cocou Aklossou.

Le ministre Modeste Tihounté Kérékou a félicité les 07 membres du Conseil d'Administration et insisté sur leurs missions et attributions.

A.A.A