Pour avoir tenté de voler des câbles électriques de la SBEE à Zongo Cotonou, deux jeunes hommes seront jugés le 20 avril prochain.
Âgés de 18 ans et 24 ans, deux jeunes hommes ont été pris en flagrant délit de vol de câbles électriques de la SBEE. Selon Frissons Radio, au cours de leur opération, il y a eu une détonation suivie d'une coupure du courant dans la zone. Ils ont été conduits au commissariat.
Présentés au procureur, les deux individus ont été placés sous mandat de dépôt. Ils seront jugés le 20 avril 2022 au tribunal de Cotonou pour tentative de vol.
A. Ayosso
Les enfants âgés de 1 à 9 ans des départements de l'Atacora, la Donga, du Borgou, de l'Alibori et des Collines seront vaccinés contre la méningite A du 21 au 27 mars 2022.
Le Ministère de la santé informe dans un communiqué en date du 16 mars qu'il organise du 21 au 27 mars 2022, une campagne de vaccination contre la méningite A dans cinq départements : Atacora, Donga, Borgou, Alibori et Collines.
La campagne de vaccination concerne les enfants âgés de 1 à 9 ans. « Le Ministère de la Santé invite tous les parents d'enfants, les enseignants des écoles maternelle et primaire, les leaders d'opinion et religieux, les têtes couronnées, les opérateurs économiques, les partenaires du secteur de la santé et les élus locaux à se mobiliser » pour que tous les enfants âgés de 1 à 9 ans soient effectivement vaccinés car la « Méningite est une maladie contagieuse qui sévit encore dans nos communautés ». Dans le cadre de la vaccination contre la méningite A, en plus des postes fixes qui sont installés dans les centres de santé, des équipes mobiles passeront dans les écoles, les lieux de cultes, les marchés et les places publiques des quartiers ou villages des départements concernés.
M. M.
Les enfants âgés de 1 à 9 ans des départements de l'Atacora, la Donga, du Borgou, de l'Alibori et des Collines seront vaccinés contre la méningite A du 21 au 27 mars 2022.
Le Ministère de la santé informe dans un communiqué en date du 16 mars qu'il organise du 21 au 27 mars 2022, une campagne de vaccination contre la méningite A dans cinq départements : Atacora, Donga, Borgou, Alibori et Collines.
La campagne de vaccination concerne les enfants âgés de 1 à 9 ans. « Le Ministère de la Santé invite tous les parents d'enfants, les enseignants des écoles maternelle et primaire, les leaders d'opinion et religieux, les têtes couronnées, les opérateurs économiques, les partenaires du secteur de la santé et les élus locaux à se mobiliser » pour que tous les enfants âgés de 1 à 9 ans soient effectivement vaccinés car la « Méningite est une maladie contagieuse qui sévit encore dans nos communautés ». Dans le cadre de la vaccination contre la méningite A, en plus des postes fixes qui sont installés dans les centres de santé, des équipes mobiles passeront dans les écoles, les lieux de cultes, les marchés et les places publiques des quartiers ou villages des départements concernés.
M. M.
Aucun citoyen béninois n'a désormais le droit d'uriner, de déféquer, de cracher ou de jeter des ordures dans la rue ou sur une place publique. La loi sur l'hygiène publique l'interdit ; et tout contrevenant s'expose à des sanctions.
La loi sur l'hygiène publique est déjà votée par les députés de la 8ème législature, et le chef de l'Etat l'a promulguée. Désormais, tout citoyens surpris en train de jeter des ordures dans la rue, d'uriner, de déféquer, etc, sur une place publique, sera puni pour son acte. De même, l'abandon sur les voies et espaces publics de tout objet (boîtes de conserve, objets en matière plastique, poissons ou détritus, ou encore épaves de toutes sortes) est proscrit.
La loi interdit par ailleurs de se laver, de laver les ustensiles, le linge, les engins, les véhicules et autres sur les voies et places publiques.
L'objectif selon l'ancien ministre de l'environnement et de l'urbanisme, Luc Gnacadja, est de « promouvoir la santé des populations en légiférant en matière d'hygiène sur les voies publiques, dans les habitations, les bâtiments publics, dans les installations industrielles et commerciales, mais aussi en matière de gestion de l'eau et des denrées alimentaires, et puis largement en matière du milieu naturel ».
L'exigence qu'il y a selon l'ancien ministre, consiste à continuer non seulement d'informer, de former ceux qui sont chargés d'appliquer la loi, mais aussi, de leur donner les moyens de les appliquer.
Les contrevenants sont passibles de sanctions allant jusqu'à 5 millions de francs CFA comme amende, et 03 ans d'emprisonnement.
La loi N° 2022-04 portant hygiène publique en République du Bénin vient renforcer certaines dispositions de la loi cadre sur l'environnement.
F. A. A.
Le Ministre de la santé informe de nouvelles conditions d'entrée des voyageurs sur le territoire béninois aussi bien par les frontières terrestres, aériennes que maritimes. Les tests PCR ou TDR antigéniques négatifs sont désormais exigés au niveau des frontières terrestres, maritimes et aériennes du Bénin.
Depuis trois jours consécutifs, le Nigeria souffre de graves coupures d'électricité résultant des pannes aux réseaux électriques, annonce le site d'information nigérian Peoples Gazette.
Lundi le 14 mars, l'électricité a été coupée dans les aéroports, les hôpitaux, les entreprises et les appartements. La résidence du président Muhammadu Buhari dans la capitale s'est retrouvée aussi sans électricité.
Selon le média, à ce jour il n'y a pas d'électricité dans plusieurs régions dont Lagos, la plus grande ville du pays et centre économique important.
Les installations critiques dont les hôpitaux utilisent désormais des générateurs diesel.
Les autorités enquêtent sur cette panne massive.
A l'occasion de la 40e session de la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF), les ministres des Etats et gouvernements de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) se sont réunis ce 16 mars 2022, pour la première fois en présentiel depuis le début de la pandémie, sous la présidence de Monsieur Othman Jerandi, ministre tunisien des Affaires étrangères, de l'Immigration et des Tunisiens à l'étranger, aux côtés de la Secrétaire générale de la Francophonie, Madame Louise Mushikiwabo.
La Secrétaire générale a saisi l'occasion de cette CMF pour aborder le sujet préoccupant de la situation en Ukraine. Elle a notamment fait part de sa solidarité avec la population ukrainienne durement éprouvée et de sa volonté que la Francophonie s'exprime d'une seule voix. A l'issue des débats, les Etats et gouvernements membres ont adopté, avec fermeté et dans un esprit d'unité, une résolution sur l'Ukraine.
Par ailleurs, le Représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies et chef du Bureau des Nations unies pour l'Afrique de l'Ouest et le Sahel, M. Annadif Khatir Mahamat Saleh, était convié à cette CMF pour faire une présentation sur le déficit démocratique et sécuritaire dans l'espace francophone. La CMF a proposé des pistes de solutions durables, fondées sur une approche préventive renforcée contre la radicalisation et l'extrémisme violents, la promotion des valeurs démocratiques, l'appui au développement, à l'emploi et à la gouvernance. Elle a en outre appelé à la mobilisation de tous les acteurs de la Francophonie pour relever le défi majeur de la restauration de la confiance des populations dans les processus démocratiques.
S'agissant des dangers croissants de la désinformation, notamment sur les réseaux sociaux, la CMF a appelé à une action collective contre ce fléau, soulignant le rôle des médias et des GAFA. Elle a, par ailleurs, apporté son plein soutien aux actions de l'OIF et des autres acteurs de la Francophonie, notamment celles visant la formation des jeunes à la vérification des faits.
Enfin, les ministres et représentants des Etats et gouvernements membres ont adopté le Règlement unique des Instances de la Francophonie, qui modernise leur fonctionnement, harmonise les règles qui leur sont applicables, et ce dans le cadre du projet global de la transformation de l'OIF.
La 40ème session de la Conférence ministérielle s'est conclue par une présentation actualisée de la délégation de la Tunisie, sur les préparatifs du XVIIIe Sommet, qui se déroulera les 19 et 20 novembre 2022 à Djerba, sur le thème Connectivité dans la diversité : le numérique, vecteur de développement et de solidarité dans l'espace francophone.
Un incendie s'est déclenché dans l'après-midi de ce mercredi 16 mars 2022 à la mairie de Dogbo dans le département du Couffo.
Panique dans le rang du personnel et des usagers de la mairie de Dogbo ! Deux bureaux situés au deuxième étage de l'hôtel de ville de la commune de Dogbo, département du Couffo, ont pris feu dans l'après-midi de ce mercredi 16 mars 2022. L'incendie a occasionné plusieurs dégâts matériels. Il n'y a pas de pertes en vies humaines. Un court-circuit survenu au deuxième de l'hôtel de ville serait à l'origine de l'incendie. Les sapeurs-pompiers sont intervenus et les feu a été circonscrit. Selon les informations, le travail pourra reprendre à la mairie.
M. M.
Un incendie s'est déclenché dans l'après-midi de ce mercredi 16 mars 2022 à la mairie de Dogbo dans le département du Couffo.
Panique dans le rang du personnel et des usagers de la mairie de Dogbo ! Deux bureaux situés au deuxième étage de l'hôtel de ville de la commune de Dogbo, département du Couffo, ont pris feu dans l'après-midi de ce mercredi 16 mars 2022. L'incendie a occasionné plusieurs dégâts matériels. Il n'y a pas de pertes en vies humaines. Un court-circuit survenu au deuxième de l'hôtel de ville serait à l'origine de l'incendie. Les sapeurs-pompiers sont intervenus et les feu a été circonscrit. Selon les informations, le travail pourra reprendre à la mairie.
M. M.
Une nouvelle expérience à la Cour des comptes pour Roch C. Gnahoui David. Le Professeur a été nommé, ce mercredi 16 mars 2022, en Conseil des ministres président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat.
L'ex-doyen de la Faculté de droit et de science politique de l'Université d'Abomey-Calavi (Uac) a été promu président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat. Roch Gnahoui David a été nommé en Conseil des ministres, sur proposition du président de la Cour des Comptes, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes.
Avocat au Barreau du Bénin, Roch Gnahoui David est professeur titulaire du Cames en droit privé. Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit et de science politique de l'UAC de 2019 à 2022. L'universitaire a passé le témoin à son successeur, Prof Léon Jossè le lundi 07 mars 2022. Roch Gnahoui David est membre du parti Union Progressiste.
Akpédjé Ayosso
Une nouvelle expérience à la Cour des comptes pour Roch C. Gnahoui David. Le Professeur a été nommé, ce mercredi 16 mars 2022, en Conseil des ministres président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat.
L'ex-doyen de la Faculté de droit et de science politique de l'Université d'Abomey-Calavi (Uac) a été promu président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat. Roch Gnahoui David a été nommé en Conseil des ministres, sur proposition du président de la Cour des Comptes, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes.
Avocat au Barreau du Bénin, Roch Gnahoui David est professeur titulaire du Cames en droit privé. Il a occupé le poste de doyen à la Faculté de droit et de science politique de l'UAC de 2019 à 2022. L'universitaire a passé le témoin à son successeur, Prof Léon Jossè le lundi 07 mars 2022. Roch Gnahoui David est membre du parti Union Progressiste.
Akpédjé Ayosso
La Secrétaire générale à la Cour suprême, Mme Dandi Gnamou, est appelée à une nouvelle fonction à la Cour des Comptes. Elle a été nommée, ce mercredi 16 mars 2022, présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Nomination de Dandi Gnamou, Professeure agrégée des facultés de droit public à la Cour des comptes. Secrétaire générale à la Cour suprême depuis mai 2020 et juge à la chambre administrative, Dandi Gnamou a une nouvelle fonction. Elle a été promue en Conseil des ministres ce mercredi au poste de Présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques. Dandi Gnamou est enseignante-chercheure à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'Université d'Abomey-Calavi.
A.Ayosso
La Secrétaire générale à la Cour suprême, Mme Dandi Gnamou, est appelée à une nouvelle fonction à la Cour des Comptes. Elle a été nommée, ce mercredi 16 mars 2022, présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques.
Nomination de Dandi Gnamou, Professeure agrégée des facultés de droit public à la Cour des comptes. Secrétaire générale à la Cour suprême depuis mai 2020 et juge à la chambre administrative, Dandi Gnamou a une nouvelle fonction. Elle a été promue en Conseil des ministres ce mercredi au poste de Présidente de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques. Dandi Gnamou est enseignante-chercheure à la Faculté de droit et de sciences politiques de l'Université d'Abomey-Calavi.
A.Ayosso
Par un arrêté ministériel, en date de ce mardi 15 mars 2022, le ministre des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, a nommé de nouveaux directeurs d'écoles dans le département de l'Atlantique.
La liste des nouveaux directeurs d'écoles
Les femmes seront fortement représentées sur la liste du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) aux élections législatives de 2023. Le deuxième secrétaire exécutif national, El Farouk Soumanou, a réitéré cette promesse du premier responsable du parti à l'occasion de la célébration de la journée internationale des droits des femmes.
Suivant les nouvelles dispositions de la loi, au moins 24 femmes siégeront au parlement, 9ème législature. Le parti FCBE travaille pour une forte présence des femmes à la prochaine Assemblée nationale. La formation politique de l'opposition envisage positionner 50% de femmes sur sa liste de candidature dans le cadre des prochaines législatives. Ainsi, sur 100 candidats, le parti envisage présenter 50 femmes.
Sur les 24 femmes attendues pour le Parlement 9ème législature, les FCBE auront la moitié, promettent les responsables du parti. Pour atteindre cet objectif, le parti travaille « ardemment avec une organisation minutieuse des femmes », déjà en ordre de bataille, précisent des sources proches du parti.
F. A. A.
Dans le cadre des travaux de la 49ème session du Conseil des Droits de l'Homme, l'ONG "Africa Culture International " a organisé un panel en association avec plusieurs acteurs de la société civile issus des Provinces du Sud participant à la session et présents à Genève, une conférence internationale autour de l'enrôlement des enfants sahraouis dans les camps de Tindouf : analyse et témoignages.
La 49ème session du Conseil des Droits de l'Homme a connu la participation de plusieurs experts. Il s'agit du modérateur Dianko Lamine, Consultant et Président de l'ONG "Africa Culture" ; Abubekrine Mohamed Yehdih, Membre du Comité africain d'experts sur les droits et le bien-être de l'enfant (ACERWC) ; Aïcha Duihi, Présidente de l'OSPDH ; Abdelouahab Gain, chercheur et Président de "Africa Watch" ; Moulay Lahsen Naji, Président de la "CIDH" ; Mohamed Ahmed Gain, et Hammada Labaihi, Président de la LSDDH.
Dans son intervention, Mme Aïcha Duihi a expliqué que l'endoctrinement et l'enrôlement des enfants par le polisario dans les guerres est un crime contre l'être humain en général. Une pratique qui contredit les principes des droits de l'Homme et les exigences de la Convention relative aux droits de l'enfant, qui stipule une éducation aux principes et valeurs de liberté, d'égalité et de tolérance d'une manière visant la consolidation de la personnalité de l'enfant.
La Présidente de l'OSPDH a indiqué que le phénomène des enfants soldats dans les camps de Tindouf constitue un danger pour l'ensemble de la région de l'Afrique du Nord. Elle a précisé que ''ces enfants pourraient facilement être recrutés par les organisations terroristes au Sahel''.
C'est pourquoi Mme Aïcha Duihi appelle la communauté internationale à adopter des mesures sérieuses pour faire face et ce phénomène.
Pour M. Moulay Lahcen Naji l'organisation de cette conférence autour de la thématique des enfants soldats est d'une importance capitale. Le Président de la CIDH a souligné que les situations de guerre en Afrique et surtout en Afrique du Nord favorisent l'enrôlement des enfants par les milices armées du polisario dans les camps de Tindouf sur le sol algérien.
Selon M. Naji, il s'agit d'une violation grave du droit de l'enfant et de l'être humain.
C'est pourquoi, il invite l'UA et le Conseil de Paix et de Sécurité de l'UA à assumer ses responsabilités face à l'enrôlement par le polisario des enfants qui constitue une violation grave des résolutions des Nations-Unies sur les Droits de l'enfant.
Abus et violations des droits des enfants
M. Abdelaouahab Gain Brahim, a souligné que la situation des enfants soldats dans les camps de Tindouf nous interpelle la société civile, car il s'agit d'une violation grave des droits de l'enfant reconnus par l'ONU.
Le Président de Africa Watch a expliqué que l'Algérie, qui abrite des camps de Tindouf, est un pays non démocratique géré par des Généraux qui ne reconnaissent pas les principes et les conventions onusiennes portant sur la protection des droits de l'enfant. Il a précisé que depuis 2012, ce pays jamais présenté un rapport sur la protection des enfants sur son sol. Le chercheur invite la société civile et la communauté internationale à oeuvrer pour renforcer le suivi de la situation des enfants dans le Monde et particulièrement dans les camps de Tindouf.
M. Said Achmir a rappelé que le front polisario a commencé à enrôler les enfants dans les conflits armés depuis des décennies. Pour illustrer ses propos, il a évoqué un reportage du journal espagnol « Tribuna Libre » en 2020 portant sur les enfants soldats dans les camps de Tindouf et la formation militaire dont ils sont sujets à Cuba.
M. Achmir indexe la responsabilité de l'Algérie, qui a ratifié la Charte africaine du droit de l'enfant et des peuples.
M. Hammada Labbihi a fait des témoignages sur son expérience dans les camps de Tindouf. Il avoué qu'il a été envoyé à Cuba à l'âge de 9 ans où il a été endoctriné et obligé à manipuler les armes.
Il a déploré les abus dont ces enfants dont victimes. Selon lui, environ 20% des combattants du polisario ont un âge inférieur à 16 ans.
Le Président de la LSDDH a souligné que la communauté internationale ne reconnait pas le polisario, et que l'endoctrinement et les abus dont sont victimes les mineurs dans les camps de Tindouf sont imputés aux autorités algériennes.
L'Union Africaine et les organisations onusiennes sont appelées à prendre leurs responsabilités pour faire respecter les droits des enfants dans les camps de Tindouf.
Le gouvernement béninois a adopté ce mercredi 16 mars 2022 plusieurs décrets en Conseil des ministres.
Le Conseil a adopté le décret portant composition, attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national de lutte contre le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLS-TP). Il y a également le décret fixant les attributs de l'administration, les tenues d'uniformes et les galons des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse.
Akpédjé Ayosso
Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 16 mars 2022, sous la présidence de Monsieur Patrice TALON, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.
Les décisions ci-après ont été prises :
I- MESURES NORMATIVES.
Au titre de ces mesures, le Conseil a adopté le décret portant :
composition, attributions, organisation et fonctionnement du Conseil national de lutte contre le VIH/SIDA, la tuberculose, le paludisme, les hépatites, les infections sexuellement transmissibles et les épidémies (CNLS-TP) ; ainsi que celui fixant
les attributs de l'administration, les tenues d'uniformes et les galons des fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse.
II- COMMUNICATIONS.
Allègement des mesures de protection mises en place pour faire face à la pandémie de la COVID-19 en République du Bénin.
Depuis plusieurs semaines, la situation de la pandémie dans notre pays permet d'observer une tendance à la baisse des cas de contamination, y compris les cas graves.
Au regard de cette évolution favorable, il apparaît opportun de procéder à un allègement des mesures préventives et restrictives en vigueur afin notamment de relancer les activités économiques, culturelles et sociales.
A cet effet, les mesures suivantes sont levées :
la fermeture des discothèques et assimilés ;
l'interdiction de regroupements festifs dans les lieux publics, y compris les plages ;
l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes ;
l'obligation du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ;
la suspension des événements et manifestations à caractère culturel, festif, sportif et religieux ;
la limitation à 50 du nombre de personnes autorisées à prendre part aux cérémonies d'inhumation ;
la suspension de la participation de toute personne de l'administration publique et du secteur privé non vaccinée contre la COVID-19 à des rencontres (réunions, ateliers, forums, séminaires, etc.) sur le territoire national ;
l'accès à tous les services publics assujetti à la présentation d'un pass vaccinal aux personnes éligibles à la vaccination ;
l'obtention des bulletins de prise en charge sous la condition de la présentation du pass vaccinal.
Les mesures maintenues concernent :
l'obligation du port de masques à bord des transports en commun ;
l'obligation vaccinale pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques ;
l'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades, assujetti à la présentation du pass vaccinal.
Par ailleurs, le Conseil recommande fortement :
le port de masques en tous lieux publics, y compris dans les espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) ;
le lavage systématique des mains à l'eau et au savon, ou leur désinfection par du gel ou de la solution hydroalcoolique, y compris sur les lieux de travail aussi bien publics que privés ;
la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves.
S'agissant spécifiquement des voyageurs, l'entrée sur le territoire béninois, aussi bien par les frontières terrestres, aériennes que maritimes, est assujettie à la présentation d'un test PCR négatif datant de 5 jours au plus ou d'un TDR antigénique négatif de 72h au plus.
Quant à ceux qui sortent du Bénin, ils devront se conformer aux exigences des pays de destination.
Enfin, à l'appui de ces mesures, il est recommandé de maintenir les efforts en vue d'atteindre un fort taux de vaccination au plan national. A cet égard, une exhortation est faite à tous les responsables à divers niveaux, aussi bien du secteur public que du privé, à se faire vacciner et à recommander la vaccination à leurs agents, en vue de se prémunir contre la forme grave de la COVID-19.
III- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS INTERNATIONALES.
Le Conseil a autorisé :
l'organisation à Cotonou, du 23 au 25 mars 2022, de la 16ème rencontre des chefs des services de renseignements et de sécurité couplée avec la 8ème réunion des ministres chargés de la Sécurité des pays membres de l'Initiative d'Accra ; de même que
la participation du ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable, aux réunions statutaires et autres rencontres à l'extérieur, au titre de l'année 2022.
IV- MESURES INDIVIDUELLES.
Les nominations ci-après ont été prononcées :
A la Cour des comptes
Sur proposition du président de cette institution, après la prise de l'ordonnance créant ses Chambres et après avis du Comité faisant office de Conseil supérieur des comptes :
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes de l'Etat : Monsieur Roch C. Gnahoui DAVID
Président de la Chambre du contrôle et du jugement des comptes des collectivités locales : Madame Michèle Odette Andrée CARRENA épouse ADOSSOU
Président de la Chambre du contrôle des comptes des entreprises publiques : Madame Dandi GNAMOU
Dans les ministères et sur proposition des ministres
Ministère du Développement et Coordination de l'Action Gouvernementale
Directeur de la Planification, de l'Administration et des Finances : Monsieur Jacques Roland AMADOU
Ministère de l'Agriculture, Elevage et Pêche
Directeur départemental de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche du Zou : Monsieur -Evariste GOUNOU.
Fait à Cotonou, le 16 mars 2022,
Le Secrétaire Général du Gouvernement,
Edouard OUIN-OURO.
En conseil des ministres, ce mercredi 16 mars 2022, le gouvernement béninois a procédé à l'allègement des mesures de protection mises en place pour faire face à la pandémie de la Covid-19.
Selon le Conseil des ministres de ce mercredi 16 mars, depuis plusieurs semaines, la situation de la pandémie au Bénin permet d'observer une tendance à la baisse des cas de contamination, y compris les cas graves. « Au regard de cette évolution favorable, il apparaît opportun de procéder à un allègement des mesures préventives et restrictives en vigueur afin notamment de relancer les activités économiques, culturelles et sociales », informe le Conseil des ministres.
Le gouvernement a donc levé certaines mesures. Il s'agit de la fermeture des discothèques et assimilés ; l'interdiction de regroupements festifs dans les lieux publics, y compris les plages ; l'interdiction des rassemblements de plus de 50 personnes ; l'obligation du respect de la distance de sécurité sanitaire entre passagers à bord des transports en commun ; la suspension des événements et manifestations à caractère culturel, festif, sportif et religieux ; la limitation à 50 du nombre de personnes autorisées à prendre part aux cérémonies d'inhumation. Sont aussi levées, la suspension de la participation de toute personne de l'administration publique et du secteur privé non vaccinée contre la Covid-19 à des rencontres (réunions, ateliers, forums, séminaires, etc.) sur le territoire national ; l'accès à tous les services publics assujetti à la présentation d'un pass vaccinal aux personnes éligibles à la vaccination et l'obtention des bulletins de prise en charge sous la condition de la présentation du pass vaccinal.
Le gouvernement a maintenu le port de masque à bord des transports en commun ; la vaccination pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques. L'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades est toujours assujetti à la présentation du pass vaccinal.
Le Conseil des ministres recommande le port de masque en tous lieux ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon ; la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves.
A.Ayosso
Les mesures restrictives prises dans le cadre de la lutte contre la pandémie du Coronavirus ont été levées par le gouvernement à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 2022. Certaines mesures ont été, toutefois, maintenues.
L'obligation du port de masques à bord des transports en commun ; l'obligation vaccinale pour le personnel médical et paramédical, les pharmaciens, les aides-soignants ainsi que le personnel administratif des formations sanitaires publiques et les employés du secteur privé de même que ceux des officines pharmaceutiques ; l'accès aux hôpitaux des parents et gardes malades, assujetti à la présentation du pass vaccinal demeurent toujours valables au Bénin malgré la suspension de certaines mesures de riposte à la pandémie du Covid-19. Ainsi en a décidé le gouvernement à l'issue du Conseil des ministres du mercredi 16 mars 2022.
Le gouvernement « recommande fortement : le port de masques en tous lieux publics, y compris dans les espaces marchands (boutiques, magasins, supermarchés, marchés ordinaires et autres) ; le lavage systématique des mains à l'eau et au savon, ou leur désinfection par du gel ou de la solution hydroalcoolique, y compris sur les lieux de travail aussi bien publics que privés ; la vaccination à toute personne éligible, notamment le personnel enseignant et administratif des établissements publics et privés, les étudiants, le personnel militaire et paramilitaire, les conducteurs de taxi-moto, les élèves de plus de 12 ans et les parents d'élèves. S'agissant spécifiquement des voyageurs, l'entrée sur le territoire béninois, aussi bien par les frontières terrestres, aériennes que maritimes, est assujettie à la présentation d'un test PCR négatif datant de 5 jours au plus ou d'un TDR antigénique négatif de 72h au plus.
Quant à ceux qui sortent du Bénin, ils devront se conformer aux exigences des pays de destination », indiqué le communiqué du Conseil des ministres. Le gouvernement recommande de maintenir les efforts en vue d'atteindre un fort taux de vaccination au plan national. « A cet égard, une exhortation est faite à tous les responsables à divers niveaux, aussi bien du secteur public que du privé, à se faire vacciner et à recommander la vaccination à leurs agents, en vue de se prémunir contre la forme grave de la COVID-19 », précise le communiqué du Conseil des ministres.
M. M.