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24 Heures au Bénin

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Updated: 1 day 20 hours ago

06 nominations dans 04 ministères ce mercredi

Wed, 10/27/2021 - 19:16

Plusieurs nominations ont été prononcées ce mercredi 27 octobre 2021 en Conseil des ministres. Des cadres de l'administration ont été promus au ministère de l'économie et des finances, au ministère de la justice, au ministère de la santé et au ministère du tourisme, de la culture et des arts.

Sur propositions des ministres respectifs, les nominations ont été prononcées
Au ministère de l'Economie et des Finances
Directeur général adjoint des Douanes
Monsieur Boubacar CAMARA
Au ministère de la Justice et de la Législation
Après avis du Conseil supérieur de la Magistrature
Membre de la Commission de l'Instruction de la Cour de Répression des Infractions économiques et du Terrorisme
Monsieur Vitondji Lionel Armand DOSSOU NOUATIN
Au ministère de la Santé
Directeur départemental de la Santé du Zou
Monsieur Winnoc GOUDJO
Directeur de l'Agence nationale des Soins de Santé primaire
Monsieur Mètoyigbéna Blaise GUEZO-MEVO
Au ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts
Inspecteur général du ministère

Madame Marie-Reine Nicole Sèssiédé KPODOHOUN épouse GBAGUIDI
Directeur des Systèmes d'Information
Monsieur Charly Oswald M. AGOSSOU.

Categories: Afrique

Les grandes décisions du Conseil des ministres

Wed, 10/27/2021 - 17:50

Le Conseil des ministres s'est tenu ce mercredi 27 octobre 2021.

Plusieurs décrets ont été adoptés en Conseil des ministres. Il s'agit des décrets décrets portant approbation de la politique de sécurité des systèmes d'information de l'Etat ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de l'Industrie et du Commerce ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère de l'Eau et des Mines ; attributions, organisation et fonctionnement du ministère des Sports ; nomination des membres des Conseils d'administration des Agences territoriales de développement agricole ; approbation des statuts du Centre de Formation pour l'Administration locale (CeFAL) ; augmentation du capital social de la société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN) S.A. par apport en nature .
Des communications ont été également présentées lors du Conseil des ministres du mercredi 27 octobre 2021.
Le gouvernement a procédé à l'Approbation de la Stratégie nationale de développement du sous-secteur des semences végétales (2022-2026) ; Mise en concession des sites abritant les usines de production de jus d'orange de Zakpota, de jus d'ananas d'Allada et de purée de tomate de Kpomassè ; Mise en concession du site abritant la Société des Industries textiles du Bénin (SITEX) S.A. pour la reprise de l'exploitation ; Autorisation de sélection de vingt boursiers pour une formation en administration hospitalière au profit des aspirants à la fonction de médecin-directeur d'hôpital .
Le gouvernement a également procédé à des nominations au ministère de l'Economie et des Finances ; au ministère de la Justice et de la Législation ; au ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts et au ministère de la Santé.
M. M.

Categories: Afrique

L'ICESCO et l'UNICEF examinent les projets à mettre en œuvre

Wed, 10/27/2021 - 17:24

L'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) et le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF) ont tenu, mardi 26 octobre 2021, une séance de travail afin d'élaborer un plan d'action pour renforcer la coopération entre les deux organisations, examiner les programmes et projets pouvant être mis en œuvre conjointement dans les domaines de l'éducation, du développement des enfants, du renforcement des capacités des jeunes, de la formation aux compétences et aux emplois de demain et à la technologie de l'intelligence artificielle.

Ont pris part à la séance pour l'ICESCO des experts des Secteurs de l'Éducation, des Sciences, de la Culture, et des Sciences humaines, et du Centre de Prospective stratégique. Du côté de l'UNICEF, nombre de responsables au Bureau de l'Organisation au Maroc ont assisté à cette rencontre. Les deux parties ont partagé leurs expériences, présenté les projets et programmes relevant des domaines de l'éducation, des sciences et de la culture, et ont décidé de ceux qui seront mis en œuvre conjointement.

Lors de cette séance de travail, il a été convenu que le Secteur des Sciences et de la Technologie de l'ICESCO et l'UNICEF coopéreraient à la mise en œuvre du programme de l'ICESCO pour l'amélioration des services d'eau, d'assainissement et d'hygiène dans 1000 écoles rurales des pays du monde islamique, qui vise à fournir de l'eau salubre et propre, et d'intensifier la sensibilisation, l'éducation et la formation à l'adoption de comportements sains, à travers l'organisation de sessions de formation pour les enseignants et les élèves.

S'agissant du domaine de l'éducation, le Secteur de l'Éducation de l'ICESCO travaillera avec l'UNICEF pour renforcer les capacités des enseignants à suivre les avancées technologiques et à les employer dans le domaine de l'éducation, et contribuer à réduire le décrochage scolaire des filles. Tandis que le Secteur de la Culture de l'Organisation coopérera avec l'UNICEF pour examiner les moyens d'améliorer l'éducation culturelle dans les écoles et les écoles de la deuxième chance. Par ailleurs, le Secteur des Sciences humaines de l'ICESCO et l'UNICEF collaboreront dans le domaine de la qualification des jeunes et le renforcement de leur rôle dans la construction de la paix.

Il a été également convenu de tenir conjointement des ateliers entre le Centre de Prospective stratégique et l'UNICEF sur la perception de l'avenir par les jeunes, dans le cadre de la promotion d'une culture de prospective, pour sensibiliser aux possibilités qui s'offriront à l'avenir, à travers le lancement de la campagne « L'avenir du point de vue des jeunes », qui relève d'un mémorandum d'entente signé entre les deux organisations.

Categories: Afrique

Les proches de Eloi Dogo réagissent à sa mort tragique

Wed, 10/27/2021 - 17:24

Les proches du jeune étudiant de 22 ans confondu à un braqueur et brûlé vif, parlent de Eloi Dogo et font une demande.
Confondu à un braqueur, Eloi Dogo, étudiant en troisième année de Droit à l'Université de Parakou et en service dans une agence de micro finance, a été brûlé vif le jeudi 21 octobre 2021 à Parakou. Les proches de la victime présentent le jeune étudiant.
« Eloi, il était le contrôleur de notre agence ici à la Direction (…). C'était un monsieur vraiment calme, simple et serviable. Il venait très tôt ouvrir pour nous, dès fois même ranger ou nettoyer un peu avant qu'on arrive », témoigne une collègue de Eloi Dogo. Celui qui a été pris pour un ‘'braqueur'' au petit matin du jeudi 21 octobre 2021, « n'avait pas de relation avec des amis bizarres », selon le témoignage de ses collègues de l'agence de micro finance.
Michel Dogo, frère de la victime, ne comprend encore ce qui arrivé à Eloi Dogo. Il a quitté son domicile à Banikani pour se rendre au service, lorsqu'il a été pris à parti par une foule surexcitée à la recherche d'un braqueur. Eloi Dogo est mis à mort à environ 500 mètres de son bureau. « C'est incompréhensible ! », s'insurge Mocktar Adamou, doyen de la Faculté des Droits et Sciences Politiques (Fadesp) à l'Université de Parakou, à l'annonce de la mise à mort de son étudiant. « Il y a des disfonctionnements (…) C'est pas possible (…) C'est incompréhensible(…) Arrêter un délinquant et garder un délinquant pendant 4 heures, ni la police n'a rien dit, ni la justice n'a rien dit, ni les simples citoyens qui auraient pu empêcher la commission de cette infraction, 4 H de temps se sont écoulés et la population passe publiquement à l'acte. (…) C'est la police qui a été fragilisée », se désole Mocktar Adamou, doyen de la Faculté des Droits et Sciences Politiques (Fadesp) à l'Université de Parakou.
Le délégué de la localité décline quant à lui sa responsabilité dans le drame en avançant avoir alerté le commissariat d'arrondissement à temps.
Les autorités policières ont indiqué que« les enquêtes sont lancées et justice sera faite ».
La famille dit avoir foi en la justice et espère que quelque chose sera fait
Pour l'heure, les collègues de Eloi Dogo sont traumatisés pour ce qui est arrivé.
M. M.

Categories: Afrique

L'accès aux services publics subordonné au passe sanitaire dans le Mono

Wed, 10/27/2021 - 17:23

Aucun citoyen ne sera admis dans un service public dans le département du Mono s'il n'est vacciné contre le Coronavirus. Le préfet Bienvenu Milohin à travers communiqué en date de ce mercredi 27 octobre 2021 a informé toute la population.

Conformément à la décision du Conseil des ministres du mercredi 20 octobre 2021, seules les personnes vaccinées seront autorisées dans les services publics du département du Mono, et ce, à compter du 02 novembre 2021. L'accès aux services publics sera subordonné à la présentation d'un pass vaccinal ou d'un résultat de PCR datant de moins de 48h. Bienvenu Milohin a invité ses administrés à se rendre dans les centres dédiés, afin de recevoir leurs doses de vaccin. Il y va du « bien-être collectif », a expliqué le préfet.
Cette décision du gouvernement est déjà effective dans plusieurs localités du Bénin.

F. A. A.

Categories: Afrique

Ce que dit le président de l'ordre des médecins du Bénin

Wed, 10/27/2021 - 16:21

Dans un entretien accordé à BBC Afrique, le président de l'Ordre national des médecins du Bénin, Francis Dossou a donné son avis sur la loi N° 2021-12 modifiant la loi N° 2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction. Cette loi selon le président, pose un problème de conscience.

Au regard de la nouvelle loi, la femme enceinte selon le président de l'ordre national des médecins, est désormais responsable vis-à-vis de la loi et de son corps. Francis Dossou a exprimé sa volonté de convaincre la femme à garder sa grossesse. « Je ferai les efforts nécessaires pour convaincre la femme enceinte de garder sa grossesse mais c'est son corps et la loi l'en rend responsable », a-t-il affirmé.
En tant que chrétien, il estime que « la vie commence dès la conception ». D'où la nécessité selon lui, de la protéger.
Le vote par le parlement béninois de la loi N° 2021-12 modifiant la loi N° 2003-04 du 3 mars 2003 relative à la santé sexuelle et à la reproduction suscite indignation au sein de certaines couches de la société. Le clergé catholique à travers un communiqué, a invité les parlementaires à voter pour son rejet, et à recourir à d'autres stratégies afin de résoudre les problèmes qu'on envisage résoudre. Pour le clergé catholique, la vie humaine est sacrée et il faut la protéger. Cette loi selon les évêques du Bénin pose un problème de foi.
Pour le gouvernement, le but visé à travers cette loi est de renoncer aux pratiques clandestines utilisées par des jeunes filles pour avorter. C'est « une mesure de santé publique dont l'unique objectif est de sauver des vies humaines », a expliqué le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin au cours d'une conférence de presse.
Suivant les dispositions de l'article 17-2 de la loi, « A la demande de la femme enceinte, l'interruption volontaire de grossesse peut être autorisée lorsque la grossesse est susceptible d'aggraver ou d'occasionner une situation de détresse matérielle, éducationnelle, professionnelle ou morale incompatible avec l'intérêt de la femme et/ou de l'enfant à naître ».

F. A. A.

Categories: Afrique

04 présumés djihadistes présentés à la CRIET lundi

Wed, 10/27/2021 - 16:17

Quatre présumés djihadistes ont été présentés à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) lundi 24 octobre 2021. Tous de nationalité béninoise, ils sont poursuivis pour « appartenance à une organisation terroriste ».
Les présumés djihadistes ont été arrêtés à Kouatena, localité du nord-ouest du Bénin, à 132 km du parc de la Pendjari. Ils ont été interpellés au cours d'une opération menée les 24 et 25 octobre 2021.

F. A. A.

Categories: Afrique

L'Afrique trace la voie pour une lutte efficace

Wed, 10/27/2021 - 16:14

La lutte antitabac en lien avec le développement en Afrique est au cœur d'une conférence virtuelle qui se tient les 26, 27 et 28 octobre 2021. Cette 1ère Conférence africaine sur la lutte antitabac et le développement a rassemblé des centaines de chercheurs, de décideurs, de défenseurs, d'experts en santé publique et de médias de tout le continent. Il vise à accroître l'accès aux connaissances spécifiques à la lutte antitabac dans le contexte africain et pour être en mesure de soutenir les interventions de la lutte fondées sur des données probantes sur le continent. Après l'ouverture des travaux, mardi dernier, les organisateurs dont l'Alliance pour le contrôle du tabac en Afrique (ACTA) ont fait un point de presse pour rappeler les stratégies à mettre en œuvre pour relever les défis pour une Afrique libre des menaces du tabac.

Juliette MITONHOUN

Communiqué de presse

L'Afrique rassemble ses forces pour une lutte antitabac plus efficace
La lutte antitabac est non seulement un problème de santé publique critique, mais aussi un déterminant clé du développement à travers l'Afrique où la guerre contre ce produit addictif est loin d'être terminée. Une régression a cependant été faite et d'importantes batailles ont été gagnées. Cette reconnaissance de l'impact économique plus large du tabac a été transmise le 26 octobre 2021 aux séances d'ouverture de la 1ère Conférence africaine sur la lutte antitabac et le développement. L'événement virtuel réunit des centaines de chercheurs, de décideurs, de défenseurs, d'experts en santé publique et de médias de tout le continent.
Ouvrant officiellement la conférence, le professeur Emmanuel Nnadozie de l'African Capacity Building Foundation (ACBF), n'a pas hésité à déclarer : « Le tabac menace la main-d'œuvre actuelle et future de l'Afrique. »
Il a indiqué que ce danger pour le développement durable du continent était la motivation de l'ACBF pour rejoindre le mouvement pour la lutte antitabac. Il partageait la responsabilité principale de l'organisation de la conférence avec le Centre pour la lutte antitabac en Afrique (CTCA), basé à l'Université de Makerere, en Ouganda.
Le professeur Nnadozie a salué l'impressionnant échange d'apprentissage entre les pays africains, le renforcement significatif des cadres juridiques pour la lutte antitabac et a particulièrement noté le rôle des tribunaux en Ouganda et au Kenya dans la « protection des politiques publiques contre les intérêts particuliers » en rejetant les contestations de l'industrie du tabac à la législation antitabac.
Le professeur William Bazeyo, président de la conférence et directeur de la CTCA, a décrit la conférence continentale comme la réalisation d'un rêve amorcé lors de la création de la CTCA, il y a 10 ans. En définissant un programme de recherche clair pour la communauté africaine de lutte antitabac, la CTCA avait créé les conditions de cet événement unificateur.
Les orateurs de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont rappelé aux délégués le niveau élevé de soutien des pays africains à sa Convention-cadre mondiale pour la lutte antitabac.
Le Dr Adriana Blanco Marquizo du Secrétariat de la CCLAT a souligné que 44 des 47 pays de la Région afro de l'OMS avaient signé la convention. « Ils ne se contentent pas de faire des paroles en l'air », a-t-elle déclaré.
« Il y a un engagement clair. »
Dr William Maina, chargé de projet principal à l'OMS Afro en Ouganda, a fourni d'autres éléments de preuve :
 Au total, 36 des 47 pays africains ont adopté des lois pour réglementer le tabac. Il y a encore 11 pays où la population n'est pas protégée par les lois antitabac.
 Au total, 36 pays africains ont restreint le tabagisme dans les lieux publics – certains dans tous les lieux publics et d'autres de manière moins complète.
 Il existe 24 pays africains avec des lois exigeant de grands avertissements graphiques sur les risques pour la santé de fumer sur l'emballage des produits.

Mais c'était aussi l'occasion de parler de l'ordre du jour inachevé. Plusieurs intervenants ont souligné le fait que les pays africains avaient sous-utilisé l'outil potentiellement puissant d'augmenter la taxation des produits du tabac, qui sont donc assez bon marché en Afrique. Seuls quatre pays ont atteint l'objectif recommandé d'une taxe d'accise s'élevant à 70% du prix total du produit.
Les orateurs ont également souligné l'application relativement faible des dispositions relatives à la lutte antitabac et le problème connexe du grave manque de ressources pour la lutte antitabac en Afrique. Ce manque de capacité humaine a affaibli la production de preuves pour des approches de contrôle produites localement et adaptées au contexte. Les gouvernements africains n'ont pas assorti leurs engagements politiques d'engagements de financement concrets et les orateurs ont indiqué que cela serait nécessaire pour amener la lutte antitabac en Afrique à un nouveau niveau d'efficacité.
Un aspect de la lutte antitabac qui nécessite une attention particulière en Afrique est l'offre : il y a des pays en voie de dépendance où la production de tabac continue de fournir un moyen de subsistance à un nombre n'important de personnes. La mise au point d'autres moyens de revenu n'a pas reçu l'attention requise.
Les tentatives de l'industrie du tabac d'entraver les mesures de contrôle par exemple, par des litiges et sa capacité à tirer parti de toute lacune dans la défense réglementaire des nations sont des facteurs auxquels la communauté de la lutte antitabac en Afrique continue de faire face.
Tout en reconnaissant cette réalité, le Dr Ahmed Ogwell Ouma du Centre africain de contrôle des maladies a exhorté les chercheurs, les défenseurs et les planificateurs de la lutte antitabac à se concentrer moins sur les problèmes et plus sur les solutions. « Nous avons tendance à nous concentrer sur l'industrie du tabac et ils deviennent la conversation », a-t-il déclaré, en réponse à une question. « Changez le récit. Ne parlez pas de l'industrie, mais des solutions possibles et engagez-vous avec les décideurs politiques ».

Categories: Afrique

2 morts dans un accident à Setto

Wed, 10/27/2021 - 16:12

Deux personnes à moto ont perdu la vie, mercredi 27 octobre 2021, dans un accident survenu à Setto, commune de Djidja.

Une moto transportant deux personnes a cogné un camion en stationnement sur la chaussée à Setto, un arrondissement de la Commune de Djidja.
Les deux personnes à moto sont mortes sur-le-champ.
L'excès de vitesse du motocycliste serait la cause de l'accident, selon Radio Sêdohoun.
Joint au téléphone par la même source, Mathias Agnoun, Chef d'Arrondissement de Setto, a confirmé le décès des deux victimes.
M. M.

Categories: Afrique

La mairie de Porto-Novo exige le Pass vaccinal

Wed, 10/27/2021 - 15:41

L'accès à la Mairie de Porto-Novo ainsi qu'à tous ses démembrements (Arrondissements et autres) est conditionné, à la présentation du Pass vaccinal (Carnet de vaccination contre la Covid-19) ou du Test PCR (Preuve de non infection datant de moins de 48 heures) et d'une pièce d'identité, informe un communiqué de la mairie en date du 27 octobre 2021.

A partir du mardi 02 novembre 2021, les personnes non encore vaccinées contre la Covid-19 ne pourront pas avoir accès à la Mairie de Porto-Novo, aux Arrondissements et autres services. L'accès est conditionné, à la présentation du Pass vaccinal (Carnet de vaccination contre la Covid-19) ou du Test PCR (Preuve de non infection datant de moins de 48 heures et d'une pièce d'identité, selon une décision du maire de la ville de Porto-Novo, Charlemagne Yankoty, en date du mercredi 27 octobre 2021.
La mesure fait suite à la décision du gouvernement prise en Conseil des ministres.
Le maire a saisi l'occasion pour inviter les citoyens qui ne sont pas encore vaccinés à aller « le faire expressément afin de sauver leurs vies et celles des autres ».
M. M.

Categories: Afrique

‘'Ainsi parle Patrice Talon'' de Wilfried Houngbédji

Wed, 10/27/2021 - 15:40

‘'Ainsi parle Patrice Talon'', un ouvrage de Wilfried Léandre Houngbédji, secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement, sera disponible bientôt dans les librairies.

‘'Ainsi parle Patrice Talon'', un recueil de phrases fortes prononcées par le président de la République du Bénin, Patrice TALON, à diverses occasions au cours de son premier mandat à la tête du Bénin (2016-2021), sera disponible bientôt dans les librairies.
Le livre est écrit par Wilfried Léandre Houngbédji, secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement.
‘'Ainsi parle Patrice Talon'' est publié aux éditions L'harmattan.
M. M.

Categories: Afrique

Un enlèvement déjoué à Kétou

Wed, 10/27/2021 - 15:37

Les éléments du Commissariat de Kpankou, un arrondissement de la commune de Kétou ont sauvé ce mardi 26 octobre 2021, une petite fille âgée de 12 ans environ. Elle vendait de l'huile quand les kidnappeurs ont tenté de l'enlever.

Selon les informations rapportées par Alaketu, une radio locale, c'est les cris d'alerte de la petite fille qui ont attiré l'attention de la population. Celle-ci a poursuivi le véhicule des ravisseurs. Grâce à la promptitude des hommes en uniforme, les hors la loi ont pris la clé des champs abandonnant leur véhicule.
La même source renseigne que c'est entre les localités de Adjozoumè et Vêdji que la petite fille a été attaquée.

F. A. A.

Categories: Afrique

Un présumé braqueur tué à Bohicon

Wed, 10/27/2021 - 15:37

Un présumé braqueur a été neutralisé ce mardi 26 octobre 2021 à Bohicon. Il s'apprêtait à opérer quand un individu a filé l'information à la police.

A la vue des hommes en uniforme, le présumé braqueur a ouvert le feu. La police n'a pas hésité à riposter. Il a été mortellement atteint. Le mis en cause selon nos sources, n'est pas à son premier essai. Il serait à l'origine de plusieurs braquages.

F. A. A.

Categories: Afrique

Les dix pays africains les plus endettés fin 2021

Wed, 10/27/2021 - 14:53

Certains pays africains connaissent un niveau d'endettement particulièrement élevé, et qui devrait même dépasser en fin d'année 2021 la barre symbolique des 100 % du PIB pour sept d'entre eux. Avec une stabilisation de sa dette globale au cours de cette même année, l'Afrique francophone demeure la partie la moins endettée du continent, notamment du fait du dynamisme économique de la majorité de ses pays.

Selon les dernières statistiques et prévisions du FMI, publiées au cours de ce mois d'octobre, les dix pays africains qui devraient afficher le taux d'endettement le plus élevé fin 2021 sont les suivants : le Soudan, avec une dette publique équivalant à 209,9 % du PIB, l'Érythrée (175,1 %), le Cap-Vert (160,7 %), le Mozambique (133,6 %), l'Angola (103,7 %), la Zambie (101,0 %), Maurice (101,0 %), l'Égypte (91,4 %), la Tunisie (90,2 %) et la République du Congo (ou Congo-Brazzaville, 85,4 %).

Les « constantes » et les nouveautés du classement

Le classement des pays les plus endettés du continent demeure donc dominé par le Soudan, pays d'Afrique de l'Est connaissant une grave crise économique et en période de transition politique depuis le coup d'État d'avril 2019. Une situation regrettable pour un pays qui jouit d'un potentiel économique important, en étant abondamment irrigué par le Nil (le plus long des fleuves africains) et ses affluents, ou encore en étant le troisième producteur d'or du continent (après le Ghana et l'Afrique du Sud) ainsi qu'un producteur, modeste mais non négligeable, de pétrole. Il est d'ailleurs à noter que le Soudan fait désormais partie des pays africains les plus pauvres, avec un PIB par habitant de seulement 595 dollars début 2021, selon la Banque mondiale.

Tout en demeurant à un niveau extrême, le taux d'endettement du Soudan a toutefois connu une baisse significative au cours de l'année 2021, puisqu'il devrait s'établir en fin d'année à 209,9 % du PIB, après avoir atteint un niveau de 272,9 % fin 2020. Cette réduction spectaculaire, mais encore largement insuffisante, est due à l'annulation d'une partie de la dette soudanaise en juillet dernier, lorsque les pays du Club de Paris avaient décidé d'effacer 14,1 des 23,5 milliards de dollars leur étant dus (sur un total de 56 milliards de dette soudanaise, toutes origines confondues). La France, un des principaux créanciers du pays, avait alors confirmé sa décision, annoncée lors d'un sommet international de soutien au Soudan organisé à Paris au mois de mai, d'annuler l'intégralité de la dette contractée auprès d'elle, et s'élevant à cinq milliards de dollars (soit un peu plus du tiers du volume global de l'annulation).

La gravité de la situation économique du Soudan s'est notamment traduite par la forte dépréciation de la monnaie nationale, la livre soudanaise, qui a été dévaluée de 85 % en février 2021. Par ailleurs, cette situation n'est pas non plus sans conséquences sur la politique étrangère du pays, et est probablement en partie à l'origine de deux décisions majeures ayant été prises au cours de l'année 2020, à savoir la conclusion d'un accord avec la Russie pour l'installation d'une base militaire, et l'établissement de relations diplomatiques avec Israël en vue d'un rapprochement avec les États-Unis (et de la levée des sanctions américaines qui ont longuement frappé l'économie du pays, accusé de soutenir le terrorisme). Si l'application de l'accord avec la Russie n'avait pas été ensuite de facto suspendue, depuis la normalisation des relations avec les États-Unis, elle aurait fait du Soudan le premier pays africain à abriter une base militaire russe officielle (qui se serait ajoutée à une présence militaire non officielle, à travers l'armée de mercenaires de la compagnie Wagner). Quant à la seconde décision, localement impopulaire, elle a fait du pays le premier pays arabo-africain non frontalier à nouer des relations diplomatiques avec l'État hébreu.

Pour sa part, l'Angola continue à faire partie des cinq pays les plus endettés du continent. Une situation assez surprenante pour un pays qui dispose de gigantesques richesses naturelles, et en particulier en pétrole et en diamants pour lesquels il est le deuxième producteur continental (après le Nigeria et le Botswana, respectivement). Toutefois, et malgré ses atouts, l'Angola connaît aussi un déclin économique depuis quelques années, faute d'une gestion sérieuse des revenus colossaux amassés au cours des deux dernières décennies, et qui se manifeste notamment par l'absence de diversification de l'économie du pays, qui repose lourdement sur les activités extractives (les hydrocarbures et les industries minières étant à l'origine de non moins de 98 % des exportations nationales).

Du fait de cette mauvaise gouvernance, qui a empêché le pays de faire face à la baisse du cours des hydrocarbures observée ces dernières années et à l'épuisement progressif de certains gisements, l'Angola a enregistré une croissance annuelle négative de -1,6 % en moyenne, selon la Banque mondiale, sur la période de six années allant de 2015 à 2020, soit un taux largement inférieur à celui de sa croissance démographique (3,2 % en moyenne sur la même période). Par conséquent, le pays vient par exemple de se faire dépasser en richesse par habitant par la Côte d'Ivoire, dont la production pétrolière est environ 30 fois inférieure, mais qui peut s'appuyer sur une économie bien plus diversifiée, et qui lui avait d'ailleurs permis de devancer récemment le Nigeria, l'autre grand pays pétrolier du continent (avec une production environ 50 fois supérieure). Par ailleurs, il est à noter que l'évolution économique de l'Angola s'est également traduite par une baisse de 84 % de la valeur de la monnaie nationale par rapport au dollar depuis 2014, dont l'ampleur rappelle la forte dévaluation récemment subie par la monnaie soudanaise… Et avec à la clé, là aussi, une forte inflation et une forte dollarisation de l'économie (utilisation du dollar pour une partie importante des transactions, par refus de la monnaie locale considérée comme risquée).

À l'instar de l'Angola, la Zambie demeure elle aussi bien installée dans la liste des pays africains les plus endettés, en dépit, là encore, des grandes ressources du pays, qui est notamment le deuxième producteur africain et le huitième mondial de cuivre. Toutefois, et faute de bonne gouvernance, la Zambie continue à ne pas réellement tirer profit de son potentiel, et avait même attiré les projecteurs de la presse internationale au second semestre de l'année 2020 en devenant le premier pays africain à faire défaut sur le remboursement de sa dette (majoritairement contractée auprès de la Chine, comme pour l'Angola). Outre le Soudan, l'Angola et la Zambie, l'Érythrée, le Cap-Vert, le Mozambique et l'Égypte continuent également à faire partie des pays dont la présence est bien enracinée au sein du groupe des dix pays les plus endettés du continent.

Côté nouveautés, la Tunisie devrait faire une entrée remarquée et historique dans ce groupe des dix, avec un niveau d'endettement passant de 89,7 % à 90,2 % du PIB. Une situation qui résulte de l'instabilité politique et de la grave crise économique qui ont touché le pays au cours de la dernière décennie, depuis la révolution tunisienne de janvier 2011. Autrefois considéré comme un modèle de développement économique et social pour l'ensemble de l'Afrique et du monde arabe, en dépit de certaines lacunes, parfois exagérées, la Tunisie a en effet connu une décennie perdue en enregistrant une croissance économique annuelle de seulement 0,7 % en moyenne sur la période de dix années 2011-2020. Par ailleurs, ce pays d'Afrique du Nord, qui jouissait auparavant d'une excellente réputation auprès des marchés financiers internationaux, sans égal sur le continent en dehors de l'Afrique du Sud de l'époque, n'est aujourd'hui plus en mesure de lancer le moindre emprunt obligataire à des conditions optimales (taux d'intérêt bas et proche de ceux dont bénéficient certains pays développés). Ce qui pousse le pays à recourir au FMI et à la Banque mondiale, et/ou à solliciter la garantie financière d'une grande puissance étrangère.

L'autre évolution notable dans ce dernier classement du FMI réside dans l'amélioration significative de la position du Congo-Brazzaville, qui devrait passer de la septième place fin 2020 à la dixième place fin 2021, et qui devrait même quitter de nouveau la liste des dix pays les plus endettés du continent d'ici à la fin de l'année 2022. Si les efforts du pays en matière d'assainissement des finances publiques sont à saluer, il convient désormais que les autorités s'attellent à réaliser de profondes réformes économiques, à travers la diversification des sources de revenus et l'instauration d'un cadre plus propice aux investissements. Le Congo-Brazzaville devrait notamment s'inspirer du Gabon voisin, avec lequel il partage nombre de points communs (caractéristiques géographiques et climatiques, production pétrolière significative, faible population…) et dont les grandes réformes de ces dernières années ont permis au pays de devenir récemment le plus riche du continent, en dépassant le Botswana en termes de richesse par habitant (et hors pays de taille et de population particulièrement réduites, à savoir les Seychelles, Maurice et la Guinée équatoriale).

Enfin, Maurice, récent nouveau venu qui avait fait son entrée parmi les dix pays les plus endettés du continent au cours de l'année 2019, selon les données révisées du FMI, continue à souffrir de l'effondrement du tourisme international, suite à la pandémie. Le pays devrait continuer un certain temps à avoir un niveau d'endettement assez élevé, au moins à court terme (et prévu à 99,8 % pour fin 2022).

L'Afrique francophone demeure la partie la moins endettée du continent

Trois pays francophones devraient donc terminer l'année parmi les dix pays africains les plus endettés, le premier n'arrivant qu'à la septième position, en l'occurrence Maurice (considéré comme à la fois francophone et anglophone, pour avoir connu dans le passé une double présence française et britannique, successivement), suivi par la Tunisie (9e) et le Congo-Brazzaville (10e). Une situation semblable à celle des années précédentes, au cours desquelles deux à trois pays francophones se trouvaient aussi dans la seconde moitié de la liste.

Plus globalement, l'Afrique francophone demeure la partie la moins endettée du continent, avec un taux d'endettement global prévu à 58,4 % du PIB fin 2021 pour cet ensemble de 25 pays, et à 49,4 % pour sa partie subsaharienne composée de 22 pays. Pour le reste du continent, le taux devrait s'établir à 68,3 % pour l'ensemble de l'Afrique non francophone, et à 62,3 % pour sa partie subsaharienne. Le niveau d'endettement de l'Afrique francophone, qui demeure d'ailleurs largement inférieur à celui de la majorité des pays développés, s'est ainsi globalement stabilisé en 2021, avec une légère hausse de 0,8 point de pourcentage (et 0,3 point pour sa partie subsaharienne). Quant à celui du reste du continent, il devrait connaître une baisse de 2,0 points pour l'ensemble de l'Afrique non francophone (et 2,8 points pour sa partie subsaharienne). Une diminution qui s'explique principalement par la forte hausse enregistrée en 2020, lorsque le niveau d'endettement avait progressé de 9,6 points (contre 7,9 points pour l'Afrique francophone), et de 9,2 points pour la partie subsaharienne (5,4 points pour l'Afrique subsaharienne francophone).

Cette assez bonne maîtrise de la dette, globalement, résulte notamment de la forte croissance économique que connaissent la plupart des pays d'Afrique subsaharienne francophone. Celle-ci constitue d'ailleurs la zone la plus dynamique - et historiquement la plus stable - du continent, dont elle a enregistré en 2020 les meilleures performances économiques pour la septième année consécutive et pour la huitième fois en neuf ans. Sur la période 2012-2020, la croissance annuelle de cet ensemble de 22 pays s'est ainsi établie à 3,5 % en moyenne (4,0 % hors cas très particulier de la Guinée équatoriale), contre 2,1 % pour le reste de l'Afrique subsaharienne. Un dynamisme qui est d'ailleurs particulièrement élevé au sein de l'espace UEMOA, qui n'est autre que la plus vaste zone de forte croissance du continent, avec une hausse annuelle du PIB de 5,6 % en moyenne sur cette même période de neuf années. Une grande performance, d'autant plus que cet espace ne constitue pas la région la plus pauvre du continent, place occupée par l'Afrique de l'Est.

Cette progression résulte elle-même des nombreuses réformes accomplies par la majorité des pays francophones, et notamment en matière de bonne gouvernance, de diversification et d'amélioration du climat des affaires. Sur ce dernier point, certains pays ont ainsi réalisé un bon considérable entre les classements 2012 et 2020 de la Banque mondiale, et notamment le Togo (passé de la 162e à la 97e place), la Côte d'Ivoire (de la 167e place à la 110e place), le Sénégal (de la 154e à la 123e) ou encore le Niger (passé de la 173e à la 132e place). Ce dernier, qui est sur le point de quitter la liste des dix pays les plus pauvres du continent en termes de richesse par habitant, et qui dépasserait désormais non moins de 15 pays africains en matière de développement humain (selon le classement de la fondation Mo Ibrahim, plus fiable sur ce point que l'ONU qui place systématiquement - et étrangement - le Niger, au taux de fécondité le plus élevé au monde, à la dernière position du classement, derrière un pays comme le Soudan du Sud qui est réputé être le moins développé du continent - avec la Somalie, non classée), talonne ainsi désormais le Nigeria (131e), et fait largement mieux que l'Angola (177e) ou encore que l'Éthiopie (classée 159e, avant le début de la guerre civile).

Globalement, l'Afrique francophone a donc été mieux armée pour faire face à la crise majeure qui secoue le monde depuis début 2020, et financer le redémarrage de l'économie. Selon les dernières prévisions du FMI, cet ensemble devrait d'ailleurs globalement afficher de nouveau les meilleures performances économiques du continent en 2021, alors même qu'il avait connu un ralentissement bien moins important au plus fort de la pandémie, en 2020. Certes, le niveau d'endettement n'est pas le seul élément qui compte, mais il demeure incontestablement l'un de ceux ayant les conséquences les plus importantes.

Source : https://www.cermf.org/les-dix-pays-africains-les-plus-endettes-fin-2021

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La Fondation Mo Ibrahim exprime sa profonde préoccupation

Wed, 10/27/2021 - 14:00

L'arrestation du Premier ministre Abdalla Hamdok, ainsi que d'autres membres civils du Conseil souverain, est totalement inacceptable et représente une grave menace pour le processus de transition au Soudan selon la Fondation Mo Ibrahim. Ils doivent être libérés rapidement et le gouvernement de transition rétabli pour fonctionner pleinement.

Les informations selon lesquelles l'armée a tiré sur des manifestants et les ont blessés sont profondément troublantes. La Fondation Mo Ibrahim appelle au calme et au respect du droit démocratique du peuple soudanais à se rassembler pacifiquement.

La semaine dernière, de nombreux Soudanais sont de nouveau descendus dans la rue pour exprimer leur soutien au gouvernement civil et au processus de transition lancé en 2019. À l'époque, après des mois de protestations pacifiques de la société civile dans tout le pays, le Soudan est finalement sorti de décennies de régime militaire et islamiste, par des moyens pacifiques, pour s'engager dans un nouveau chapitre de son histoire.

« La transition du Soudan vers la démocratie, que le peuple soudanais s'est tellement efforcée d'obtenir, est attaquée à la suite d'une prise de pouvoir flagrante. La Fondation exprime son plein soutien au Premier ministre Abdalla Hamdok et au processus de transition. J'exhorte les amis et les partenaires du Soudan à travers le monde à s'exprimer maintenant pour condamner ce qui est, dit simplement, un coup d'État, et à prendre toutes les mesures nécessaires pour garantir que les progrès durement acquis des deux dernières années ne soient pas vains », a déclaré Mo Ibrahim, président de la Fondation Mo Ibrahim.

La Fondation est aux côtés de tous les Soudanais attachés à la paix et au dialogue inclusif. Pour elle, un régime civil démocratique est le seul moyen d'assurer une paix et un développement durables.

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Un véhicule rempli de cartouches arraisonné

Wed, 10/27/2021 - 13:26

Lors du traitement d'un conteneur au Port Autonome de Cotonou (PAC), un véhicule rempli de cartouches y a été découvert dans la soirée du mardi 26 octobre 2021.

Un véhicule haut de gamme de couleur noire et de marque américaine entreposé sur le parc tampon unique a été transféré au Commissariat du Port Autonome de Cotonou (PAC), mardi 26 octobre 2021 vers 17h.
Les agents du PAC ont découvert dans ledit véhicule une importante quantité de cartouches, selon Le Potentiel.
D'autres substances nuisibles et des objets dangereux ont été également découverts lors du traitement des conteneurs, selon la même source.
Le véhicule rempli de cartouches a été transféré au Commissariat du Port Autonome de Cotonou (PAC) pour les nécessités de l'enquête.
M. M.

Categories: Afrique

L'accès à la mairie d'Abomey-Calavi et aux arrondissements, conditionné

Wed, 10/27/2021 - 13:25

L'accès aux services de la mairie, des arrondissements et toutes autres structures de la commune d'Abomey-Calavi est subordonné à la présentation d'une preuve de vaccination contre la Covid-19 ou d'un résultat PCR de moins de 48h. La décision a été prise par Angelo Evariste Ahouandjinou, maire de la commune.

Dans un communiqué radiodiffusé en date du 25 octobre 2021, le maire de la commune d'Abomey-Calavi informe les populations qu' « il est désormais rendu obligatoire au niveau des services de la mairie, des arrondissements et toute autres structures sur le territoire de la commune », la mesure prise par le gouvernement en conseil des ministres le 20 octobre dernier.
« Par conséquent, l'accès à toute prestation de services est conditionné à la présentation d'une preuve de vaccination ou à la présentation d'un résultat PCR datant de moins quarante-huit-heures. De même, les organisateurs d'événements, de manifestations, ou toutes autres activités sont tenus à l'application stricte de cette mesure avant toute occupation de salle », indique le communiqué du maire d'Abomey-Calavi.
Angelo E. Ahouandjinou précise que la « mesure sera rigoureusement appliquée pour l'atteinte d'une couverture vaccinale totale ».
M. M.

Categories: Afrique

Nécessité de moyens techniques pour approfondir les enquêtes

Wed, 10/27/2021 - 12:34

Le président de la chambre de jugement de la Criet, Dossa Guillaume Lally, a fait l'état des lieux du traitement des actes délictuels sur les réseaux sociaux au Bénin et souligne la nécessité de doter la police de moyens techniques afin d'approfondir les enquêtes. C'était ce mardi 26 octobre 2021 lors de la première journée du séminaire de l'UEMOA sur les comportements délictuels sur les réseaux sociaux.

Selon Dossa Guillaume Lally, la répression infractions commises via les systèmes informatiques ou à l'aide des moyens de communication électroniques est du ressort de la Criet. Pour réprimer les comportements délictuels sur les réseaux sociaux, le Bénin dispose de la loi n°2017-20 du 20 avril 2018 portant code du numérique, la loi portant protection des données à caractère personnel et la loi 2018-16 du 28 décembre 2018 portant code pénal.
Au titre des actes délictuels fréquents sur les réseaux sociaux, il cite entre autres, l'enregistrement sous une fausse identité ou fictive et l'utilisation des numéros de téléphone de l'étranger pour arnaquer. La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) a été saisie de plusieurs cas d'intrusion dans les systèmes informatiques. Guillaume Lally a fait cas de l'intrusion dans le système de la Poste du Bénin. A l'en croire, les individus ont pu s'introduire pour ouvrir des comptes et retirer après une forte somme d'argent. Les individus ont aussi attaqué le système de l'un des réseaux de téléphonie mobile béninois (plus de 600 millions de FCFA retirés du système). Il s'est révélé qu'une importante partie des sous détournés est toujours envoyée en Côte d'ivoire. Des personnes ayant eu accès au système informatique des agences pour proposer des emplois contre rémunération sont jugées par la Criet. Les réseaux sociaux sont également utilisés au Bénin pour commettre des cyber escroqueries (maraboutage, love chat, porno-chantage). « On les condamne presque tous les jours », a déclaré le président de la chambre de jugement de la Criet.

Les difficultés liées à la répression efficace des comportements délictuels sur les réseaux sociaux concernent les moyens techniques. « Nous n'avons pas les moyens de faire les perquisitions informatiques pour poursuivre les délinquants parce que les enquêtes sont sommaires. C'est tout récemment que la police qui a compétence pour enquêter sur les infractions commises sur les réseaux sociaux a été dotée d'un certain nombre d'outils », a informé Guillaume Lally. Selon le spécialiste du droit, les individus dissimulent les données dès qu'ils savent que la police a déclenché des enquêtes. Pour lui, il est nécessaire de fournir les moyens techniques aux policiers afin de leur permettre de bien mener les enquêtes. Le président de la chambre de jugement de la Criet a insisté sur la formation des policiers et des acteurs judiciaires en matière de TIC.

Akpédjé A. Ayosso

Categories: Afrique

Le port Minéralier d'Owendo enregistre une croissance du débit

Wed, 10/27/2021 - 12:30

Le port minéralier d'Owendo (OMP) a enregistré des résultats satisfaisants au troisième trimestre 2021. Il a aussi connu une croissance significative du débit portuaire et ferroviaire.

Le débit du port a atteint 3,97 millions de tonnes, ce qui représente une croissance de 8,24 % en glissement annuel à la fin du troisième trimestre. Le "débit de fret" a enregistré une croissance de 26,61% d'un trimestre à l'autre pour l'exercice 2021. OMP a accueilli avec succès 87 navires au 3e trimestre de l'exercice 2021. Le débit ferroviaire a atteint 3,67 millions de tonnes, soit une croissance de 10,03 % en glissement annuel à la fin du troisième trimestre.

De trimestre à trimestre, l'exercice 2021 a enregistré une croissance de 37,16% pour le "débit ferroviaire". OMP a traité avec succès 457 râteliers à conteneurs au 3e trimestre de l'exercice 2021. Depuis sa création en 2017, le Port Minéralier d'Owendo (OMP, Gabon) est leader dans le secteur portuaire vertical vraquier avec une approche centrée sur le client. L'OMP s'est établi comme une solution globale mise à la disposition de ses Clients, offrant un service portuaire et ferroviaire unifié répondant aux meilleurs standards internationaux, tout particulièrement en Afrique.
L'OMP est parfaitement connecté aux régions intérieures du Gabon et fournit des services à haute valeur ajoutée à ses clients par la mer, la route et le rail. Ainsi, l'OMP continue notamment à soutenir le développement du secteur minier et des unités de fabrication de ciment pour l'exportation et l'importation de marchandises en vrac avec des installations de pointe.

Le succès de l'OMP repose sur une infrastructure Port & Rail unique, assurant le meilleur niveau de connectivité, de sûreté et d'efficacité. Le Port Minéralier d'Owendo est un atout essentiel dans la stratégie de diversification économique du Gabon. L'OMP a créé plus de 400 emplois directs et indirects grâce à ses activités portuaires.

« La croissance de l''OMP témoigne du dévouement et de l'efficacité que nous fournissons à notre chère Clientèle. Nous sommes reconnaissants de la confiance de nos partenaires en nos services et notre engagement. Cette croissance témoigne plus particulièrement de la capacité de l'OMP à soutenir la transformation et la diversification sociale et économique de l'économie gabonaise », a déclaré Ranjan kumar Sahu, directeur général du Port Minéralier d'Owendo (OMP).

A propos d'Arise Ports & Logistique
ARISE Ports & Logistics opère en tant que développeur d'écosystèmes industriels qui conçoit, crée, finance et développe des infrastructures interconnectées, offrant des solutions logistiques de qualité supérieure à ses partenaires. Le portefeuille d'Arise Ports & Logistics est composé de 3 actifs portuaires répartis sur 2 pays : Gabon et Côte d'Ivoire.
Categories: Afrique

Agbénonci représente le Bénin à Kigali

Wed, 10/27/2021 - 11:55

La deuxième réunion ministérielle préparatoire du prochain Sommet Union Européenne (UE) – Union Africaine (UA) s'est ouverte, mardi 26 octobre 2021, à Kigali (Rwanda) avec la participation du Bénin représenté par son ministre des Affaires étrangères, Aurélien Agbénonci.

En prélude au sixième Sommet UE-UA qui se tiendra à Bruxelles en 2022, les ministres des affaires étrangères des pays membres de l'Union Africaine (UA) et ceux de l'Union Européenne (UE) se réunissent depuis mardi 26 octobre 2021 à Kigali. L'objectif de cette deuxième réunion ministérielle est de recenser les priorités, perspectives et défis communs les plus importants à inscrire à l'ordre du Sommet UE-UA.
A la réunion ministérielle qui se tient à Kigali, les ministres des Affaires étrangères échangeront sur plusieurs thèmes. Il s'agit de la riposte et de la relance face à la pandémie de COVID-19 ; le renforcement de la résilience ; l'investissement dans les transitions écologique et numérique ; la paix ; la sécurité et la gouvernance mondiale ; les migrations et la mobilité ; l'éducation ; la science ; la technologie et le renforcement des compétences.
Le Bénin représenté par son ministre des Affaires étrangères et de la coopération, Aurélien Agbénonci prend part aux discussions.
M. M.

#Kigali : participation active du ministre @AAgbenonciMAEC à la deuxième réunion des ministres des #Affairesétrangères de l'Union africaine @_AfricanUnion et de l'Union européenne #UE pic.twitter.com/JcVIDougJg

— BENIN DIPLOMATIE (@BeninDiplomatie) October 26, 2021

Categories: Afrique

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