1103 candidats ont été présélectionnés après un premier test dans le cadre du recrutement au profit du secteur textile à la Zone économique spéciale de Glo-Djigbé (GDIZ). 1000 jeunes seront recrutés au terme du processus de sélection.
La mise en œuvre du programme de recrutement des 1000 jeunes lancé par la Société d'investissement et de Promotion de l'industrie (SIPI Benin SA) et l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (APIEX), en collaboration avec l'Agence Nationale Pour l'Emploi (ANPE) se poursuit au Bénin. Ce week-end, les listes des candidats présélectionnés après le premier test ont été été rendues publiques.
Les 1103 candidats présélectionnés vont passer les autres étapes du recrutement pour le secteur textile au sein de la Zone Industrielle de Glo-Djigbé. L'objectif est de recruter au terme des différentes phases de sélection 1000 jeunes. Ces premiers salariés suivront une formation aux métiers du textile pendant 8 mois avant de prendre leurs fonctions.
Le programme de recrutement des 1000 jeunes a été lancé afin d'offrir aux groupes d'investisseurs de l'industrie textile qui s'installent au Bénin, du personnel bien formé et qualifié.
Le Secrétaire exécutif du Conseil de l'Entente était au cabinet du chef de l'Etat dans la matinée de ce lundi 09 mai 2022. Marcel Amon Tanoh est allé se présenter au président patrice Talon.
L'avenir du Conseil de l'Entente, c'est le principal sujet de discussion entre le Secrétaire exécutif et le président de la République. Marcel Amon Tanoh entend faire de l'institution sous-régionale une force politique, un creuset de solidarité et de dialogue. Une vision que le chef de l'Etat béninois partage, a-t-il confié à sa sortie d'audience.
Marcel Amon Tanoh est un ancien ministre des Affaires étrangères de la Côte d'Ivoire. Il a été proposé au poste de Secrétaire exécutif du Conseil de l'Entente par le président Alassane Ouattara.
Le Conseil de l'Entente est composé de 05 Etats à savoir : Burkina Faso, Côte d'ivoire, Niger, Togo et Bénin.
F. A. A.
Daniel Sedagbande, Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) de la commune d'Avranko et Jules Célestin Iréné Hounsou Degnon, Directeur Départemental du contrôle des marchés publics des départements de l'Ouémé et du Plateau ont été exclus de la commande publique en République du Bénin pour une durée de cinq (05) ans allant de 06 mai 2022 au 05 mai 2027.
Pour des irrégularités dans le cadre de l'avis d'appel d'offres relatif à la construction partielle de l'hôtel de ville d'Avrankou : réalisation du rez-de-chaussée, l'Autorité de Régulation des Marchés Publics (ARMP) a suspendu de la commande publique en République du Bénin pour une durée de cinq (05) ans allant de 06 mai 2022 au 05 mai 2027, monsieur Daniel Sedagbande, Personne Responsable des Marchés Publics (PRMP) de la commune d'Avranko et monsieur Jules Célestin Iréné Hounsou Degnon, Directeur Départemental du contrôle des marchés publics des départements de l'Ouémé et du Plateau au moment des faits. Il est reproché aux mis en cause la « violation des principes de transparence des procédures, d'égalité de traitement des candidats, d'économie et d'efficacité du processus d'acquisition et de l'obligation d'utilisation du dossier d'appel d'offres type des marchés de travaux en vigueur en juillet 2021 dans le cadre de la procédure d'appel d'offres », selon la Décision N°2022-48/ARMP/PR-CR/CRD/SP/DRAJ/ SA du 28 avril 2022 de l'ARMP. La PRMP de la commune d'Avrankou et le Directeur Départemental du contrôle des marchés publics des départements de l'Ouémé et du Plateau ont été sanctionnés en tant qu'auteur et co-auteur des irrégularités relevées.
Selon l'article 3 de la Décision, les intéressés ne peuvent « participer aux travaux des organes de passation, de contrôle et de régulation de la commande en publique en République du Bénin ; postuler à titre individuel, ni par personne interposée, ni en regroupement avec d'autres entreprises ou consultants individuels, ni en sous-traitance, à un marché public, ni se voir attribuer un marché public en République du Bénin » durant la période d'exclusion allant du 06 mai 2022 au 05 mai 2027.
M. M.
Pour le bonheur de ses consommateurs béninois, la Société de Brasseries du Bénin (SOBEBRA), offre un nouveau produit. Il s'agit de la boisson gazeuse, WORLD COLA.
WORLD COLA, c'est la nouvelle boisson gazeuse de la Société de Brasseries du Bénin (SOBEBRA). Le produit proposé par l'entreprise écocitoyenne et leader brassicole est une boisson aux arômes de cola, rafraichissante et pétillante. Avec WORLD COLA, la gamme des produits de la SOBEBRA s'élargit permettant ainsi à la société de maintenir sa position de leader sur le marché des boissons gazeuses. Ce nouveau produit traduit également la volonté des différentes équipes de la SOBEBRA à répondre aux besoins de ses consommateurs.
Durant le 17ème Tour du Bénin qui a eu lieu du 03 au 08 mai 2022, les populations des différentes villes ont pu découvrir et savourer en exclusivité WORLD COLA, marque sponsor de la compétition.
WORLD COLA est disponible à la vente en format bouteille verre de 30 cl et de 60 cl et en format PET (plastique) de 30 cl et de 50 cl. Les consommateurs peuvent s'en procurer dans les points de vente habituels (boutiques, superettes, supermarchés, bars, restaurants) au prix de vente conseillé de 200 FCFA et de 400 FCFA respectivement pour les formats verres de 30 cl et de 50 cl et de 250 FCFA et de 350 FCFA pour les formats PET de 30 cl et de 50cl.
La SOBEBRA prévoit d'autres activités pendant les prochaines semaines pour présenter l'univers de marque aux consommateurs. WORLD COLA, BASCULEZ DANS UN MONDE RAFRAICHISSANT.
Les rois et chefs traditionnels ne doivent plus participer aux activités politiques. Le Haut conseil des rois du Bénin au cours d'une déclaration en fin de semaine, leur a interdit cela.
Les rois et les chefs traditionnels au Bénin ne sont plus autorisés à prendre part aux meetings et autres activités politiques. Ils sont invités à jouer désormais le rôle de vecteurs de paix que leur confère leur statut.
Selon la déclaration lue par le secrétaire général du Haut conseil des rois du Bénin, les gardiens de la tradition doivent œuvrer à la culture de la paix au sein des populations. « La constitutionnalisation de la royauté et de la chefferie traditionnelle au Bénin consacre les chefs traditionnels, les rois et reines comme des modèles de probité et de respect pouvant intervenir dans bien de domaines pour travailler à la promotion du progrès social et de la paix », a souligné Gangoro Suambou. A l'en croire, la présence de chefs traditionnels aux côtés d'acteurs politiques à l'occasion des activités politiques peut porter atteinte à leur crédibilité, et les empêcher de jouer pleinement le rôle qui leur est dévolu.
La constitutionnalisation de la chefferie traditionnelle opérée par le gouvernement du président Patrice Talon, fait d'eux une institution de l'Etat, a souligné le secrétaire général du Haut conseil des rois.
F. A. A.
Le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle Kouaro Yves Chabi a procédé aux mutations de 50 nouveaux inspecteurs. Selon l'arrêté en date du mardi 03 mai 2022, les inspecteurs des enseignants secondaire, technique et de la formation professionnelle ont été mutés pour nécessités de service.
La tournée gouvernementale organisée en collaboration avec les députés initialement annoncée pour le 05 mai débutera jeudi 12 mai 2022 sur toute l'étendue du territoire national.
Expliquer aux populations la hausse du prix des produits de grande consommation. Tel est l'objectif de la tournée gouvernementale prévue du 12 au 19 mai 2022.
La délégation gouvernementale sera soutenue sur le terrain par les députés et cadres pour mettre fin à l'intoxication liée à la hausse des prix. Les mesures prises par le gouvernement pour réduire l'impact de la cherté seront également présentées aux populations au cours de cette tournée d'une semaine.
M. M.
Un buffle en divagation a tué un bouvier ce samedi 07 mai 2022 aux environs du fleuve Mékrou dans la commune de Ouassa-Péhunco.
En divagation, un buffle et sa femelle font un mort à Ouassa-Péhunco. La victime est un bouvier âgé de 30 ans selon Frisons Radio.
Le bouvier a aperçu les mammifères qui se dirigeaient vers le fleuve Mékrou. Inquiet, il a résolu d'alerter ses frères dans le camp installé non loin du fleuve. Dans sa course, il a été rattrapé par le buffle mâle. Le bouvier a essayé en vain de grimper à un arbre. Le buffle a tué le bouvier avec ses cornes.
Selon le chef d'arrondissement de Gnémasson, la victime est un transhumant nigérien. Les animaux auraient quitté une forêt sacrée des communes Kouandé-Péhunco. La même source informe que le bouvier a été enterré devant le commissaire et les forestiers. Les habitants sont invités à la prudence.
A.Ayosso
Quelle que soit la durée de la nuit le soleil apparaîtra toujours, dit-on ! Douze ans après l'assassinat présumé d'une femme âgée de 27 ans , deux hommes dont un charlatan, les présumés auteurs ont été interpellés à Tio, commune de Glazoué, jeudi 5 mai et samedi 7 mai 2022.
Le 1er août 2010 à Parakou dans le département du Borgou, un homme a promis emmener une femme âgée de 27 ans et mère de deux enfants suivre le défilé militaire, le 1er août étant la commémoration de l'indépendance du Bénin.
La femme ne verra non seulement pas le défilé mais elle ne sera plus jamais revue par sa famille.
La mère de famille a été tuée par deux hommes qui ont prélevé ses organes. L'un des deux hommes, un charlatan a fait disparaître le reste du corps de la jeune femme
Douze ans après l'assassinat, les enquêtes policières ont abouti.
L'un des assassins présumés a été appréhendé le jeudi 5 mai et l'autre le samedi 7 mai 2022 à Tio, commune de Glazoué, département du Borgou.
Selon Frissons radio, les deux assassins présumés dont un charlatan sont passés aux aveux après leur interpellation.
Les deux prévenus ont été placés en garde-à-vue. Poursuivis pour assassinat, ils seront présentés au procureur dans les tout prochains jours.
M. M.
A la fin de la grossesse et au moment de l'accouchement, le bébé dans l'utérus de la maman peut adopter plusieurs positions. Ces différentes positions (présentations) sont diversement interprétées dans la culture béninoise.
Généralement, le nouveau-né à la naissance doit avoir une présentation verticale. Celle par laquelle la tête est orientée vers le bas, et les pieds vers le haut, plus courante et qui facilite l'accouchement. Ce que la sage-femme appelle une « présentation du sommet ». Toute autre présentation est sujette à des interprétations dans la société béninoise.
Dans la présentation verticale tête orientée vers le bas, les obstétriciens distinguent la présentation du front (plus ou moins aisé) et la présentation de face qui semble plus complexe.
Les bébés nés en position de siège
Bien qu'étant en posture verticale, au lieu de la tête, c'est les fesses ou les pieds que le bébé en position de siège oriente vers le bas au cours de l'accouchement. Les enfants nés dans cette position dans la région méridionale du Bénin sont souvent prénommés « Agossou » ou « Agossi », selon qu'il s'agit d'un garçon ou d'une fille. Une appellation qui traduit l'idée ‘'d'inverse'', de ce qui est contraire à la normale.
Selon Zouhouinhoué Anago, tradi-praticien exerçant à Maria-Gléta dans la commune d'Abomey-Calavi, l'enfant qui arrive au monde par cette présentation est considéré comme un jumeau. Bien qu'étant seul, il est doté d'une ‘'puissance'' qui dépasse celle des jumeaux. « C'est le chef des jumeaux, et il subit les mêmes rituels qu'eux », a-t-il expliqué. A en croire ce gardien de la tradition, cet enfant en venant au monde expose sa maman à des complications qui peuvent lui être fatales. Ce qui explique selon lui, le rejet dont ils avaient été victimes dans certaines régions.
Contrairement à ce que pensent certains, le fait que le bébé se retrouve en position de siège selon Zouhouinhoué Anago, n'est pas toujours l'action de ‘'sorciers''. Pour lui, le régime alimentaire peut également en être la cause. La femme enceinte fait-il savoir, ne doit pas consommer les repas lourds ; elle doit manger des aliments faciles à digérer, étant donné que le bébé se nourrit à travers elle.
Murielle Abiassi, maîtresse sage-femme des urgences et accouchements au CHU-MEL, distingue deux types de siège. Le siège complet et le siège incomplet (décomplété). Les deux, rassure-t-elle, s'accouchent.
Les présentations transversales ou obliques
La transversale est cette présentation par laquelle le bébé se retrouve en position horizontale au moment de l'accouchement. Selon la sage-femme, l'enfant en position transversale ne pouvant sortir par le tronc, la seule alternative est « d'ouvrir le ventre ».
Cette présentation selon la surveillante de la salle d'accouchement de la CUGO au CNHU-HKM, Sognonvi Antoinette Vissoh, « ne respecte pas la physiologie de l'utérus, la constitution de la femme » ; elle conduit « d'office » à une césarienne.
Au cours de l'accouchement, explique-t-elle, « le fœtus doit adapter ses dimensions à celle de la filière maternelle » (le trajet que le fœtus a parcouru durant l'accouchement). « Il doit aussi se trouver dans le sens de sa longueur, tête première ou dernière », a ajouté la surveillante.
De l'avis du gardien de la tradition, le bébé qui arrive en position transversale est considéré comme un « Abikou » ou un « Tohossou ».
Si par le passé, la maman a eu des enfants qui n'ont pas survécu, ou que le bébé précédent fut un garçon, on considère que « c'est celui qui était parti qui est revenu ». Ainsi, il est prénommé ‘'Abikou''. Si ce n'est pas le cas, c'est un ‘'Tohossou''.
Par le passé, des manœuvres existaient et on peut repositionner l'enfant et l'accoucher normalement, a confié Zouhouinhoué Anago.
La présentation de face
La présentation de face est une variété de la présentation verticale, tête en bas. Cette présentation selon Murielle Abiassi survient lorsque l'enfant choisit de faire « la grande rotation ». « Là, il sort en OS, et l'accouchement dans ce cas est plus difficile, et nécessite plus d'effort explicite pour la femme », a-t-elle expliqué. Pour la sage-femme, c'est une présentation « difficile à accoucher et parfois, nécessite de la compétence […] ».
Point de vue que corrobore par la surveillante de la CUGO au CNHU-HKM. Pour celle-ci, cette présentation ne s'accouche pas par les voies basses. La face souligne la sage-femme, présente ‘'souvent'' un diamètre qui est plus grand que celui du bassin. C'est une présentation qui conduit souvent à une césarienne, la rotation étant « plus lente ».
Pour le gardien de la tradition, l'enfant qui vient au monde par cette présentation est porteur de bonheur. Il apporte du ‘'Alafia'' dans la maison. « C'est un Winsinon », a-t-il expliqué. Si en quittant un monde obscur (le ventre de la maman) pour la vie, il arrive par la face, c'est qu'il est porteur de bonheur, a insisté le gardien de la tradition précisant qu'ils sont très rares à venir au monde par cette présentation.
Les enfants nés dans cette posture renchérit Albert Akakpo alias Attinmalinhèkou Agbantchékpo, ont souvent la faveur de la nature. « Ils arrivent face au monde, et font tout face à ce monde. Tout leur réussit », a fait savoir le prêtre du Fâ.
Sans être gardienne de la tradition, une aide soignante rencontrée dans un hôpital à Abomey-Calavi, a une autre interprétation de la présentation de face. Pour l'aide soignante qui a requis l'anonymat, cette présentation est « un mauvais signe ». Elle compare l'enfant dans le ventre de la maman à un individu qui baigne dans une eau. La position normale pour cet individu fait-elle savoir, serait d'être couchée sur le ventre. Ce n'est qu'après la mort qu'une personne qui baigne dans l'eau peut se retrouve la face orientée vers le ciel.
Habituée à assister la sage-femme lors des accouchements et à assurer son intérim en cas d'absence, l'aide soignante avoue que depuis qu'elle est en fonction, c'est une seule fois qu'elle a eu un cas comme de ce genre. « Si j'étais habituée aux pratiques occultes, je n'allais pas prendre l'enfant. C'est pas un bon signe », a-t-elle insisté.
Une autre présentation du bébé à la naissance est la présentation oblique. Celle-ci selon les obstétriciens s'observe dans le cas des grossesses gémellaires.
Les causes des présentations
Selon les sages-femmes, plusieurs facteurs expliquent la position du bébé au moment de l'accouchement. Un myome, une tumeur ou une malformation dans l'utérus ou de l'enfant (mitron céphalique) peut contraindre le fœtus à adopter une position contraire à la normale. Les naissances nombreuses constituent également un facteur. Une femme qui a déjà accouché 06 fois environ. L'utérus étant devenu ‘'un peu trop large'' permet à l'enfant de bouger comme il veut et d'adopter n'importe quelle position.
Pour la surveillante de la salle d'accouchement de la CUGO, ‘'la jeune fille'' peut être aussi une cause. Une femme jugée trop jeune et dont l'organisme n'est pas encore suffisamment préparé à la conception.
Selon Murielle Abiassi, généralement, c'est entre 06 et 07 mois et demi que la position définitive s'établit. A ce stade, l'enfant ayant grandi ne peut plus tourner. Mais avant, toute présentation est intermédiaire et variable.
Pour Albert Acakpo, le non respect des interdits (alimentaires, spirituels) chez la femme enceinte est la cause de ces présentations qui l'expose à des complications.
« Toute présentation est gérable lorsque la personne est dans un plateau technique adéquat », a rassuré la maîtresse sage-femme du CHU-MEL. Elle recommande aux femmes enceintes de se référer à un « plateau technique performant » lorsqu'elles ont une présentation qui leur semble bizarre afin de se sauver et sauver l'enfant car, souligne-t-elle, certaines présentations peuvent être préjudiciables.
Quelque soit la présentation, l'essentiel selon Sognonvi Antoinette Vissoh, est de « gagner le fruit de la conception ».
F. A. A.
Une vidéo montrant un homme qui gît par terre avec une foule mécontente proférant des menaces à l'endroit d'un policier fait le tour des réseaux sociaux depuis le vendredi, faisant croire qu'un policier aurait asséné des coups de matraque à un motocycliste qui a trouvé la mort sur le champ. Mais en réalité il n'y a pas eu mort d'homme.
L'incident s'est passé le vendredi 06 Mai 2022 au carrefour Djeffa dans la commune de Sèmè Kpodji.
La vidéo montre un homme sans mouvement, qui gît dans un bain de sang. Autour de la victime, une foule surexcitée, mécontente qui profère des propos désobligeants à l'endroit de l'officier de l'ordre. « Il ne partira pas..., il n'ira nulle part.... tu as tué quelqu'un... », raconte en "goun" (une dialecte du sud du Bénin) un homme qui est très déterminé pour défendre la cause de la victime.
Même face au policier maladroit, téléphone à l'oreille qui essaie de lui interdire de filmer l'incident, l'homme est innarêtable, « Je dois filmer, je dois filmer ça là, je dois filmer et te filmer aussi.... », réplique l'usager témoin de l'incident.
Mais en réalité, plus de peur que de mal. La victime n'était pas morte. Grâce à la spontanéité de nos confrères de la radio Capp Fm nous avons suivi les explications de la victime qui après les soins a retrouvé ses sens avant de s'expliquer.
Selon les explications de la victime, du nom de Cyriaque O.Oluwa.O, ce dernier reconnait avoir abandonné la piste cyclable qu'il devait emprunter pour aborder la chaussée destinée aux véhicules à 4 roues. Il justifie son acte par le fait que la piste était encombrée par un tricycle qui rendait la circulation difficile à ce niveau. Plusieurs cycliste prenaient alors la chaussée.
« Je n'étais pas le seul mais arrivé à mon tour au niveau du policier le temps de dire autorité, il m'a asséné un coup de matraque sur le nez et je suis tombé. C'est après la réaction de la population que j'ai été transporté à l'hôpital où la partie blessée a reçu des sutures et je suis rentré pour le reste des soins », a expliqué la victime au micro de nos confrères de Capp FM.
D'autres témoins qui ont relaté l'incident sur les réseaux sociaux ont expliqué que ce sont les forces de l'ordre qui ont rapidement transporté la victime sur le trottoir et ont appelé les services de secours.
L'incident qui s'est déroulé vendredi 06 Mai 2022 a fait rapidement le tour des réseaux sociaux faisant état d'une bavure policière attribuée à policier du commissariat d'Ekpè.
La réalité prouve qu'aucune perte en vie humaine n'avait été enregistrée, et il ne s'agissait pas non plus d'un coup de crosse d'arme.
Aux dernières nouvelles, la victime nommée, mécanicien auto de profession et demeurant à Ekpè s'était rendu lui-même au commissariat pour récupérer sa moto après ses premiers soins.
M. H.
À travers un arrêté en date du 3 mai 2022, le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Kouaro Yves Chabi, a nommé des inspecteurs. Ils sont au nombre de onze (11) dont deux (02) Chefs de service, trois (03) chefs de groupe permanent spécialisé et six (06) inspecteurs pédagogiques délégués. Ils ont été nommés après avis du Conseil national de l'Éducation.
Chefs de service
1- Service de l'inspection et de l'animation pédagogique (SIAP) : Toussaint Avocè
2- Service des statistiques et de la documentation (SSD) : Maxime Noudéhouénou Glitho
Chefs de groupe permanent spécialisé
1- Groupe spécialisé des inspecteurs de Physique, Chimie et Technologie (PCT) : Détondji Amour Ulrich Sotinkon
2- Groupe spécialisé des inspecteurs des Sciences de la vie et de la Terre (SVT) : Victor Agossadou
3- Groupe spécialisé des inspecteurs des sciences et techniques industrielles (STI) : Comlan Agohoundje
Inspecteurs pédagogiques délégués
1- Inspecteur pédagogique délégué de l'Alibori : Richard Bawa
2- Inspecteur pédagogique délégué de l'Atacora : Rigobert Akpo
3- Inspecteur pédagogique délégué du Couffo : Zacharie Bonaventure Donhouédé
4- Inspecteur pédagogique délégué du Littoral : Ghislaine Irmine Cathérine Sottin
5- Inspecteur pédagogique délégué du Mono : Akpaton Louis Comlan Toffi
6- Inspecteur pédagogique délégué du Plateau : Janviette Fagbohoun
À travers un arrêté en date du 3 mai 2022, le ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Kouaro Yves Chabi, a nommé des inspecteurs. Ils sont au nombre de onze (11) dont deux (02) Chefs de service, trois (03) chefs de groupe permanent spécialisé et six (06) inspecteurs pédagogiques délégués. Ils ont été nommés après avis du Conseil national de l'Éducation.
Chefs de service
1- Service de l'inspection et de l'animation pédagogique (SIAP) : Toussaint Avocè
2- Service des statistiques et de la documentation (SSD) : Maxime Noudéhouénou Glitho
Chefs de groupe permanent spécialisé
1- Groupe spécialisé des inspecteurs de Physique, Chimie et Technologie (PCT) : Détondji Amour Ulrich Sotinkon
2- Groupe spécialisé des inspecteurs des Sciences de la vie et de la Terre (SVT) : Victor Agossadou
3- Groupe spécialisé des inspecteurs des sciences et techniques industrielles (STI) : Comlan Agohoundje
Inspecteurs pédagogiques délégués
1- Inspecteur pédagogique délégué de l'Alibori : Richard Bawa
2- Inspecteur pédagogique délégué de l'Atacora : Rigobert Akpo
3- Inspecteur pédagogique délégué du Couffo : Zacharie Bonaventure Donhouédé
4- Inspecteur pédagogique délégué du Littoral : Ghislaine Irmine Cathérine Sottin
5- Inspecteur pédagogique délégué du Mono : Akpaton Louis Comlan Toffi
6- Inspecteur pédagogique délégué du Plateau : Janviette Fagbohoun
Un conducteur de véhicule est mort dans un accident dans la nuit de vendredi à samedi 07 mai 2022 à Badjoudè, une localité de la commune de Ouaké. La victime tentait d'échapper à un contrôle douanier.
Les populations mécontentes suite à la mort d'un conducteur à Ouaké dans le département de la Donga, se sont soulevées contre les agents de douane de la localité ce samedi. Selon les informations, le conducteur tentait de fuir les douaniers quand l'accident mortel est survenu.
Le conducteur transportait dans son véhicule des herbicides. Les douaniers ayant reçu des informations au préalable sur ce trafic ont tenté d'immobilier le véhicule. Mais le conducteur n'a pas obtempéré. Dans sa fuite, il a été surpris par un dos d'âne érigé sur la voie et le véhicule s'est renversé. Le chauffeur a perdu la vie dans l'accident. Un autre passager a été grièvement blessé.
Les populations, notamment les conducteurs de Djougou, ville d'origine de la victime et leur syndicat se sont soulevé sous prétexte que les agents de douane sont à l'origine du drame. Dans leur furie, ils ont cassé la voiture d'un douanier. Il a fallu l'intervention des autorités locales pour les calmer.
F. A. A.
Un conducteur de véhicule est mort dans un accident dans la nuit de vendredi à samedi 07 mai 2022 à Badjoudè, une localité de la commune de Ouaké. La victime tentait d'échapper à un contrôle douanier.
Les populations mécontentes suite à la mort d'un conducteur à Ouaké dans le département de la Donga, se sont soulevées contre les agents de douane de la localité ce samedi. Selon les informations, le conducteur tentait de fuir les douaniers quand l'accident mortel est survenu.
Le conducteur transportait dans son véhicule des herbicides. Les douaniers ayant reçu des informations au préalable sur ce trafic ont tenté d'immobilier le véhicule. Mais le conducteur n'a pas obtempéré. Dans sa fuite, il a été surpris par un dos d'âne érigé sur la voie et le véhicule s'est renversé. Le chauffeur a perdu la vie dans l'accident. Un autre passager a été grièvement blessé.
Les populations, notamment les conducteurs de Djougou, ville d'origine de la victime et leur syndicat se sont soulevé sous prétexte que les agents de douane sont à l'origine du drame. Dans leur furie, ils ont cassé la voiture d'un douanier. Il a fallu l'intervention des autorités locales pour les calmer.
F. A. A.