24 Heures au Bénin

L'épouse et le chauffeur du régisseur ainsi que le Chef service ressources matérielles et financières (C/MAF) viennent d'être convoqués à la Brigade économique et financière (BEF) dans le cadre de l'affaire sur la disparition de sieur Carlos Adohouannon.
Le Directeur des ressources humaines (DRH) a déjà été écouté puis relaxé jeudi dernier dans le cadre de l'enquête sur la disparition du régisseur de la Direction Générale des Impôts (DGI).
Le régisseur Carlos Adohouannon est porté disparu depuis l'après-midi du vendredi 20 septembre 2019 alors qu'il devrait se rendre en mission à Ouidah. Il est resté introuvable jusqu'à ce jour.
Pour le moment, on ignore s'il s'agit d'un enlèvement, d'un assassinat ou d'une disparition volontaire.
Aux dernières nouvelles, son bureau a été mis sous scellés par un huissier.
L'enquête se poursuit.

D. M.

Le ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance Mme Mèdessè Véronique Tognifodé Mewanou et le ministre de la santé Benjamin Hounkpatin ont effectué une visite jeudi 26 septembre 2019, dans deux formations sanitaires de la Commune d'Abomey-Calavi pour constater l'évolution de la phase pilote du volet assurance maladie du projet Assurance pour le Renforcement du Capital Humain (ARCH).

Lancée par le gouvernement, il y a deux mois environ, la phase pilote du volet assurance maladie du projet ARCH se déroule convenablement. C'est le constat fait par la délégation ministérielle aussi bien à l'hôpital de Zone de Calavi qu'au Centre de Santé d'Akassato. Selon le médecin coordonnateur de la Zone Sanitaire Abomey-Calavi-Sô Ava, la phase pilote est un succès puisque plus de 500 patients ont été déjà traités.
« Le volet Assurance Maladie du dispositif ARCH est une pièce maîtresse dans la mise en œuvre de la stratégie de protection sociale du gouvernement au profit des couches démunies et je suis heureuse du constat fait ce jour sur le terrain », a confié le ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance. Aussi, a-t-elle apprécié la participation des Centres de Promotion Sociale (CPS) dans la sensibilisation des populations à la base.

A.A.A

Le Conseil d'administration de la Banque africaine de développement a approuvé, ce jeudi à Abidjan, un prêt de 61 millions d'euros au Bénin pour la mise en œuvre du Projet d'appui au programme d'assainissement pluvial de Cotonou (PAPC), la capitale économique du pays étant sujette régulière à des inondations.

La phase d'exécution du programme est prévue sur une durée de 6 ans, dont quatre pour les volets financés par la Banque. Le PAPC doit bénéficier à une population estimée à plus de 785 000 habitants, dont 51% de femmes. Plus de 1 700 personnes affectées par les travaux devront être indemnisées.

« Ce projet vise, d'une part, à renforcer la gestion et les capacités municipales en matière de résilience urbaine et, d'autre part, à promouvoir un changement de comportement pour la réduction des risques d'inondation et l'adaptation au changement climatique à Cotonou », a expliqué Marie-Laure Akin-Olugbade, directrice générale pour l'Afrique de l'Ouest de la Banque.

Le PAPC couvre précisément les 6ème et 10ème arrondissements de la capitale économique et plus grande ville du Bénin. Il consiste, notamment, en l'aménagement d'un bassin de rétention d'un volume de 220 500 m3, de la construction de 33 140 ml de collecteurs et caniveaux, de l'aménagement et du pavage de 12 220 ml, de la reconstruction et de l'équipement de l'école béninoise des sourds et malentendants et du laboratoire-type centre de santé communautaire.

« Les impacts attendus sont nombreux et résultent de la prise en compte non seulement des enjeux du système d'assainissement, de l'aménagement urbain, de l'eau mais aussi de l'environnement et la santé à travers la prévention de maladies d'origine hydrique, au profit de près de 100 000 bénéficiaires », a précisé Marie-Laure Akin-Olugbade.

Au 30 juin 2019, le portefeuille de la Banque au Bénin comptait 15 projets actifs pour un engagement total de quelque 443 millions d'euros. Il est constitué uniquement des projets publics, dont 12 nationaux et trois multinationaux.

Le Directeur des ressources humaines (DRH) a été écouté puis relaxé jeudi dernier dans le cadre de l'enquête sur la disparition du régisseur de la Direction Générale des Impôts (DGI).
D'autres responsables sont convoquées dans le cadre de l'enquête.
Le régisseur Carlos Adohouannon est porté disparu depuis l'après-midi du vendredi 20 septembre 2019. Ce cadre de la DGI qui devrait être en mission à Ouidah est resté introuvable jusqu'à ce jour.
Et depuis, aucun membre de sa famille, ni ses collègues, encore moins ses amis n'ont de ses nouvelles.
Pour le moment, on ignore s'il s'agit d'un enlèvement, d'un assassinat ou d'une disparition volontaire.
Aux dernières nouvelles, son bureau a été mis sous scellés par un huissier.
L'enquête se poursuit.

D. M.

Les 83 députes du Bénin suivent depuis jeudi 26 septembre 2019 à l'hôtel Royal de Cotonou, une formation sur l'utilisation des TIC en tant que outils de représentation et d'interaction avec les citoyens. L'ouverture de ce séminaire de formation de l'Institut néerlandais pour la démocratie multipartite (NIMD) sous la direction de Louis Vlavonou, président de l'Assemblée Nationale a connu la présence de Mme Josiane Foundohou, représentante de NIMD Bénin, d'Alessandro Tedesco, chargé de programme-justice et droits de l'Homme de la Délégation de l'Union Européenne au Bénin et de Thijs Berman, directeur exécutif de NIMD.

Organisé dans le cadre de la mise en œuvre du Projet d'appui à l'Assemblée Nationale du Bénin pour la promotion de la gouvernance participative et des droits de l'Homme financé par l'Union Européenne, le séminaire de formation est axé sur le thème : « Les technologies de l'information et de la communication comme outils de représentation et d'interaction avec les citoyens ».
La formation vise à accroître les connaissances des députés en matière de représentation et d'utilisation des TIC en tant que moyen pour interagir avec les citoyens.
Cette formation va permettre aux députés d'être au courant des canaux et outils de communication, afin d'instaurer une relation parlementaires-citoyens.
Selon le président de l'Assemblée nationale, les technologies de l'information et de la communication doivent être une chance d'apprendre, de dialoguer, d'approfondir la démocratie. Aussi, indique-t-il, les TIC doivent être une opportunité pour s'ouvrir sur le monde.
Au début du séminaire, chaque député est entré en possession d'une clé de connexion Usb.
A.A.A

Le pont qui relie le village de Kika à Kpassa dans la commune de Tchaourou est complétement submergé par les eaux du fleuve Okpara. Une situation qui rend la traversée difficile pour les populations qui doivent se déplacer pour leurs différentes activités.

La montée des eaux fluviales est un phénomène cyclique qui occasionne d'importants dégâts matériels et des pertes en vies humaines. Sur le fleuve Okpara, le niveau d'eau a augmenté et c'est tout un calvaire pour les populations riveraines de Kika et de Kpassa pour mener leurs activités.
Le pont qui servait de liaison entre les deux villages est submergé par les eaux du fleuve.
Les motocyclistes ne peuvent plus passer par cette voie terrestre de l'Okpara. Certains usagers se mettent ensemble pour traverser le fleuve, d'autres par contre n'ont plus le choix que d'emprunter les pirogues avec tout les risques que cela comporte. Cette situation qui n'est pas du tout aisée pour les usagers de ce pont constitue une opportunité pour les piroguiers et les jeunes qui proposent leurs services contre une rémunération. Ils transportent ainsi les personnes et les biens d'un côté du fleuve à un autre. Une navigation fluviale toutefois dangereuse à cause de la force du courant d'eau qui peut renverser l'embarcation des piroguiers à tout moment.
Les populations s'exposent donc à des risques de noyage en essayant de traverser ce fleuve. Face à cela, des mesures préventives doivent être prises le plus tôt en attendant une solution palliative pour le pont qui est désormais hors d'usage.
A.A.A

M. Claude Firmin Gangbé vient d'être nommé Chef service communication de l'Assemblée nationale. Il va succéder à Fiacre Vidjingninou, promu à un autre poste. La cérémonie de passation de service est prévue pour lundi 30 septembre 2019.
M. Claude Firmin Gangbé, l'un des pionniers de la presse du Renouveau démocratique, fait partie des doyens des professionnels des médias.
Il a été membre fondateur de plusieurs associations des médias tant du côté des journalistes que des promoteurs d'organes de presse. A ce titre, il a occupé des postes sensibles dans ces différentes associations.

Un professionnel pétri d'expériences

M. Gangbé détient le record d'excercice à l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (Odem Bénin) avec trois mandatures et huit ans d'exercice.
Jusqu'à sa nomination, il est Vice-Président de l'Association des journalistes spécialistes des questions de défense et de sécurité. Entre autres activités, il occupe le poste de Vice-Président de l'Association des parents d'élèves de l'école primaire publique d'Akpakpa lrédé et Secrétaire général de l'Association nationale des promoteurs de bars, buvettes et restaurants du Bénin. En somme un homme de contact pétri d'expériences.
Affectueusement appelé ''oncle'', compte tenu de sa longue expérience dans les milieux de la presse, il est le pont entre plusieurs générations de journalistes.
M. Claude Firmin Gangbé est Fondateur et Directeur de publication du journal L'Avenir.

D. M.

Le président de la CENA a répondu ce jeudi au cours d'une conférence de presse à Cotonou aux propos tenus par le président de l'ANLC à l'encontre de l'institution qu'il dirige. Pour lui, les déclarations de Jean Baptiste Elias ne sont ni « révélations » ni « déballages ». Il confie que « Ce dont il a parlé a déjà été objet de recours devant la Cour constitutionnelle ». Le président de la CENA s'étonne des déclarations de Jean Baptiste Elias d'autant plus que la question a déjà été vidée par la cour constitutionnelle.
« M. Jean Baptise Elias a adressé une lettre à la CENA et souhaité auditionner deux membres de l'institution suite à une plainte. J'ai demandé à voir le contenu de la plainte et il m'a opposé un refus. Toutefois, l'audition a eu lieu comme il l'a souhaité. M. Elias après cela m'a demandé de passer à l'ANLC pour qu'on en parle. J'ai dépêché la vice-présidente. Après cette rencontre, nous n'avons plus rien entendu. C'est pourquoi cette sortie est une surprise », a expliqué M. Tiando.
Il s'étonne de ces récriminations six mois après les élections.
Pour le président de la CENA, la conférence de Jean Baptiste Elias s'interprète comme une « intention manifeste de nuire à la crédibilité de la CENA à des fins inavouées ».
Selon Emmanuel Tiando, l'essentiel de l'argumentation est axé sur la dénonciation du non-respect de l'application de loi et non la censure des irrégularités constatées. « Au cours de notre point de presse du 13 mars 2019, nous nous étions longuement expliqués à ce sujet en révélant la méthodologie suivie dans l'étude des dossiers de candidature ainsi que les délibérations », a-t-il souligné. M. Tiando a rappelé que la plénière avait décidé unanimement que les observations de manquements communes à toutes les listes et celles qui dépendent de l'administration ne seraient pas prises en compte. Concernant la discordance des lieux de naissance dont a parlé Jean Baptiste Elias, le président de la CENA explique que ce n'est pas imputable aux intéressés. Il indique néanmoins que ces erreurs sont dues à la réforme territoriale intervenue en 1978. « C'est au vu des mutations induites par cette réforme territoriale que la CENA n'a pas pu censurer ces discordances ». Il estime que la dénonciation de ces erreurs est le résultat de la méconnaissance grave de l'évolution de l'administration territoriale béninoise.

G. A.

L'installation de l'Assemblée consulaire et l'élection du nouveau bureau de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB) aura lieu au cours de la première quinzaine du mois de janvier 2020. Après les réformes engagées dans le but d'accroître les performances de la Chambre, le Comité de supervision est chargé de veiller au bon déroulement des élections consulaires et au respect du chronogramme mis à jour.
EnConseil des ministres ce mercredi 25 septembre, le gouvernement béninois a procédé à l'adoption des nouveaux textes statutaires de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB). Plusieurs améliorations ont été apportées aux textes et concernent entre autres la rationalisation, la simplification, la professionnalisation et le renforcement de la transparence du processus électoral. Désormais, la CCIB sera composée de 69 élus consulaires au lieu de 99 précédemment, avec l'implication de la CENA et l'utilisation du vote électronique.
De plus, des innovations importantes ont-ils été apportées concernant la gestion de la Chambre de commerce. Ces changements opérés visent une meilleure gouvernance aux fins d'accroître les performances de l'institution.
Le comité de supervision est appelé à veiller à l'organisation des élections en vue de l'installation de l'Assemblée consulaire et du nouveau bureau au cours de la première quinzaine du mois de janvier 2020.

A.A.A

#ConseilDesMinistres #Wasexo #Prbenin :
Retrouvez en lecture et en téléchargement libre, le compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 25 septembre 2019, sur le site web du Secrétariat Géneral du Gouvernement du Bénin =》 https://t.co/8oRpSEEftT

— Présidence du Bénin (@PresidenceBenin) September 25, 2019

Le gouvernement du président Patrice Talon a prononcé la radiation de 05 agents des douanes mercredi 25 septembre 2019 en Conseil des ministres.
Il s'agit entre autres du capitaine Agossou Ferdinand, du lieutenant Megnissi André et de Agui Benoît, agent de constatation. Ces trois agents exerçaient précédemment à la recette perception d'Athiémé. Le brigadier Gbedokpa quant à lui a été radié des effectif pour raison de toxicomanie. Enfin, il est reproché à l'agent de constatation Ahounou, des faits d'extorsion de fonds.
Outre ces cas de radiation, la Criet serait entrain de se préparer pour convoquer une dizaine de douaniers ayant servi précédemment au Port autonome de Cotonou (PAC). Ces agents auraient facilité la sortie frauduleuse du port douane de plus de 22 conteneurs au profit d'un transitaire.
F. A. A.

Le Directeur des ressources humaines (DRH) vient d'être interpellé par la police dans le cadre de l'enquête sur la disparition du régisseur de la Direction Générale des Impôts (DGI).
Le sieur Carlos Adohouannon est porté disparu depuis l'après-midi du vendredi 20 septembre 2019. Ce cadre de la DGI qui devrait être en mission à Ouidah est resté introuvable ainsi que son véhicule jusqu'à ce jour.
Depuis vendredi, aucun membre de sa famille, ni ses collègues, encore moins ses amis n'ont de ses nouvelles.
Pour le moment, on ignore s'il s'agit d'un enlèvement, d'un assassinat ou d'une disparition volontaire.
Après l'interpellation du DRH, l'enquête se poursuit.

F.B.I

Les travaux du 2ème sommet africain des start-up ‘'Afric'Up'' se sont achevés mercredi 25 septembre 2019 à Tunis.
Présent à cette rencontre continentale avec 12 start-up, le Bénin a décroché le 2ème prix Afric'Up Awards par le biais de la start-up Rema. Il s'agit d'une start-up qui ambitionne d'améliorer la qualité des décisions médicales à travers une plate-forme collaborative dédiée uniquement aux médecins.
Le ministre de l'économie numérique et de la digitalisation, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, a exprimé toute sa fierté de la lauréate. « Fière de la start-up béninoise Rema, qui a remporté le deuxième prix d'Afric'Up Awards au 2è sommet africain des start-up », a-t-elle tweeté.
La ministre du numérique et de la digitalisation n'a pas manqué de féliciter la start-up Dasco et les autres candidats du Bénin.

Durant les travaux de ce sommet, elle a présenté une communication sur ‘'le rôle des start-up africaines pour le développement des Smart Cities en Afrique''. Ce fut l'occasion pour Aurélie Adam Soulé Zoumarou, de citer l'exemple de la start-up béninoise Alivo pour son système technologique intelligent et autonome de régulation de la circulation routière, et très utile pour une ville intelligente.
« Villes intelligentes et innovations ouvertes en Afrique, quelles opportunités pour les start-up », c'est le thème de la 2ème édition de ‘'Afric'Up'' à laquelle ont pris part les start-up Alivo Technologie, Asma Sante, Dasco Sarl, Hemato Plus, Rema, Abc Education, Disruptech,
Souba, Easy Soft, Waxangari, Fenu, Guerra Tech Hub, spécialisées dans les domaines tels que l'éducation, la santé, l'agriculture, la gestion, l'environnement et le tourisme.

F. A. A.

Fière de la start-up béninoise #REMA qui a remporté le 2ème prix du Afric'Up Awards à Tunis dans le cadre du sommet africain des start-ups #AFRICUP.Bravo à elle, à la startup #DASCO, finaliste de cette même compétition et à toute les startups béninoises présentes à Tunis.#wasexo pic.twitter.com/qek9PZMo6f

— Aurélie ADAM SOULE ZOUMAROU (@AurelieASZ) September 25, 2019

Une équipe dirigée par le directeur départemental de la police Républicaine du Borgou a procédé lundi 16 septembre 2019, à l'arrestation de 04 individus, auteurs présumés d'enlèvement à Gouroubara dans l'arrondissement de Kabo.
Des kidnappeurs avaient enlevé un citoyen dans ladite localité avec une demande de rançon.
Le complice de ces auteurs présumés d'enlèvement a été également interpellé par la police. Ces individus répondront de leur acte devant la justice.

A.A.A

La présence des éléphants est notée depuis quelques jours dans le village Kossia, situé dans la commune de Sinendé. Ils errent sur les voies publiques et sur les propriétés privées. Ces éléphants en divagation pourraient causer d'énormes dégâts si les autorités compétentes ne prennent pas les dispositions nécessaires.

A.A A

Le gouvernement du Bénin s'active pour la réouverture des frontières avec le Nigéria. « (...) la situation au niveau de nos frontières préoccupe le gouvernement », a déclaré le ministre de la communication mercredi lors d'un point de presse. Cette situation qui crée d'énormes préjudices aux producteurs et aux commerçants béninois n'est pas négligée par le gouvernement. Selon le porte-parole du gouvernement Me Alain Orounla, « Des discussions sont en cours au haut niveau entre le président de la République et son homologue nigérian ».
« Aussi perturbateur que cela puisse paraître, les deux chefs d'Etat travaillent quitte à permettre au Nigéria de résoudre le problème interne qui se pose à cet État », a souligné le ministre.
Le porte-parole du gouvernement confirme que « Tout est mis en place pour un retour à la normale ».
Face à cette situation, d'autres pistes sont aussi explorées.
Le ministre de l'agriculture a déclaré lors de la revue de performance du secteur agricole, ce jeudi à la salle Majestic de Cotonou, que le gouvernement travaille afin d'aider les producteurs à trouver d'autres débouchés pour l'écoulement de leurs productions. Gaston Dossouhoui indique qu'il est important aujourd'hui de trouver de nouvelles semences qui permettent aux tomates par exemple de résister pendant au moins dix jours. Par ailleurs, il souligne que les actions sont en cours pour que les choses reviennent à la normale. Et pour cela, le ministre confirme que le chef de l'Etat ne se repose pas puisqu'il est préoccupé aussi bien par les difficultés tant des producteurs que des commerçants. Le ministre de l'agriculture appelle chacun à rester confiant.
Le Nigéria a fermé les frontières avec le Bénin depuis le 20 août et ceci unilatéralement. Cette fermeture selon les informations officielles est due à la réexportation des produits importés sur le territoire nigérian notamment le riz. Malgré les dispositions prises par le gouvernement pour respecter l'accord de Badagri, la situation est restée inchangée jusque-là.
G.A.

Les membres du gouvernement ont adopté ce mercredi 25 septembre 2019 en Conseil des ministres, la politique budgétaire de l'Etat pour la gestion 2020 et le projet de loi des finances qui en découle.
Selon le communiqué final de la séance, ledit projet est équilibré en ressources et en charges à 1986,910 milliards de francs CFAcorrespondant à un taux d'accroissement de 5,8% par rapport à l'exercice 2019.
Le projet de loi des finances gestion 2020 postule un taux de croissance de 7,6%, un déficit budgétaire de l'ordre de 1,8% du PIB en amélioration de 0,4% par rapport à au niveau attendu à fin décembre 2019, et un taux d'inflation maîtrisé.
Le projet de budget, relève le gouvernement, résulte d'une démarche participative et consacre une amélioration notable des ressources destinées aux actions à sensibilité sociale.
F. A. A.

#ConseilDesMinistres #Wasexo #Prbenin :
Retrouvez en lecture et en téléchargement libre, le compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 25 septembre 2019, sur le site web du Secrétariat Géneral du Gouvernement du Bénin =》 https://t.co/8oRpSEEftT

— Présidence du Bénin (@PresidenceBenin) September 25, 2019

Le commissariat de police de Owodé a mené une opération le mardi 24 septembre 2019. Ce qui a permis le démantèlement dans le village de Kpoguidi-Owodé d'un réseau de trafiquants d'humains. A Banikoara, le commissariat de police a procédé le vendredi 20 septembre 2019 à la saisie de plus de 318 kg de faux médicaments au petit marché de cette localité.

En provenance du Togo, 11 filles mineures âgées de 11 à 16 ans et 06 femmes de 18 à 34 ans étaient en route pour le Gabon via le Bénin et le Nigéria. Le commissariat de police de Owodé grâce aux informations reçues ont mis en place une opération qui a conduit au démantèlement dans le village de Kpoguidi-Owodé de ce réseau de trafiquants d'humains.
Les filles et les femmes ont été retrouvées avec leur accompagnatrice de nationalité béninoise.
Le commissariat de police de Owodé continue les enquêtes afin de procéder à l'arrestation des autres acteurs et complices de ce réseau.
Dans l'Alibori, précisément à Banikoara, les forces de l'ordre du commissariat de cette commune ont mis la main sur plus 318 kg de faux médicaments. Ces produits pharmaceutiques provenaient pour la plupart du Ghana, de la Côte d'Ivoire, du Burkina-Faso et du Nigéria.
Le principal vendeur a été interpellé et les éléments du commissariat de Banikoara mènent des enquêtes pour démanteler ce réseau de trafiquants de faux médicaments pharmaceutiques.
A.A.A

La présence des éléphants est notée depuis quelques jours dans le village Kossia, situé dans la commune de Sinendé. Ils errent sur les voies publiques et sur les propriétés privées. Ces éléphants en divagation pourraient causer d'énormes dégâts si les autorités compétentes ne prennent pas les dispositions nécessaires.

A.A A

Les membres dugouvernement ont adopté ce mercredi 25 septembre 2019, les nouveaux textes statutaires de la Chambre du commerce et d'industrie du Bénin(CCIB). Selon le communiqué final de la réunion, ces textes ont été jugés pertinents par les associations et organisations professionnelles, de même que par les opérateurs économiques à l'occasion des séances d'information et de concertations économiques organisées dans toutes les régions économiques du pays.
Les améliorations apportées concernent la rationalisation, la simplification, la professionnalisation et le renforcement de la transparence du processus électoral qui permettra de désigner désormais 69 élus consulaires au lieu de 99 précédemment avec l'implication de la CENA, et l'utilisation d'un vote électronique ; la correction des problèmes de représentativité par la révision des critères à remplir pour être électeur ou candidats. Il sera ainsi assuré dorénavant, une présence prépondérante dans l'Assemblée consulaire, de représentants des entreprises présentant un poids économique significatif ; la simplification du mode de gouvernance de la Chambre qui passe par une plus grande responsabilisation de son Secrétariat général dans les tâches de gestion courante des ressources financières.
Les membres du bureau consulaire se chargeront de superviser les tâches opérationnelles de façon à apporter plus efficacement leurs conseils pour la définition des stratégies ou modalités d'organisation d'actions et leur réseaux pour des partenariats au service de la promotion du secteur privé ; la clarification des rôles pour faciliter l'imputation des responsabilités en cas de mauvaise gestion d'une part, et pour assurer le recouvrement de cotisations des membres de la directions générale des impôts d'autre part.

#ConseilDesMinistres #Wasexo #Prbenin :
Retrouvez en lecture et en téléchargement libre, le compte rendu du Conseil des ministres du mercredi 25 septembre 2019, sur le site web du Secrétariat Géneral du Gouvernement du Bénin =》 https://t.co/8oRpSEEftT

— Présidence du Bénin (@PresidenceBenin) September 25, 2019

Appréciant ces innovations importantes pour l'institution consulaire, le gouvernement a adopté les décrets portant approbation des nouveaux statuts de la CCIB, régime électoral à la CCIB ; convocation du corps électoral en vue des élections consulaires pour la mandature 2020-2025 ; désignation des commissaires aux comptes auprès de la CCIB ; secteurs économiques et branches d'activités érigés en collèges électoraux dans le cadre des élections à la CCIB.
En dehors des travaux relatifs aux textes statutaires et à l'organisation des élections, les autres tâches confiées à l'administration provisoire se poursuivent normalement. Il s'agit principalement du bilan de compétence du personnel de la Chambre et de la mise au point du nouveau manuel des procédures de gestion ainsi que de la gestion des divers partenariats.

L'Assemblée consulaire installée en janvier 2020

Le comité de supervision veillera au bon déroulement des élections consulaires et au respect du chronogramme mis à jour pour la finalisation des actions de réformes engagées en vue de l'installation de l'Assemblée consulaire et de l'élection de son nouveau bureau au cours de la première quinzaine du mois de janvier 2020. Plusieurs autres mesures ont été prises par le Conseil des ministres. Il s'agit entre autres, de la nomination des membres du Conseil d'administration du Centre de documentation et de l'information juridique (CDIJ), de la transmission à l'Assemblée nationale pour autorisation d'adhésion à la Charte internationale de l'Energie adoptée à la Haye aux Pays-Bas le 20 mai 2015, et de l'adoption des statuts de l'Agence pour la gestion de la logistique des officiels ainsi qu'à la nomination des membres de son Conseil d'administration. F. A. A.

Le commissariat de police de Owodé a mené une opération le mardi 24 septembre 2019. Ce qui a permis le démantèlement dans le village de Kpoguidi-Owodé d'un réseau de trafiquants d'humains. A Banikoara, le commissariat de police a procédé le vendredi 20 septembre 2019 à la saisie de plus de 318 kg de faux médicaments au petit marché de cette localité.

En provenance du Togo, 11 filles mineures âgées de 11 à 16 ans et 06 femmes de 18 à 34 ans étaient en route pour le Gabon via le Bénin et le Nigéria. Le commissariat de police de Owodé grâce aux informations reçues ont mis en place une opération qui a conduit au démantèlement dans le village de Kpoguidi-Owodé de ce réseau de trafiquants d'humains.
Les filles et les femmes ont été retrouvées avec leur accompagnatrice de nationalité béninoise.
Le commissariat de police de Owodé continue les enquêtes afin de procéder à l'arrestation des autres acteurs et complices de ce réseau.
Dans l'Alibori, précisément à Banikoara, les forces de l'ordre du commissariat de cette commune ont mis la main sur plus 318 kg de faux médicaments. Ces produits pharmaceutiques provenaient pour la plupart du Ghana, de la Côte d'Ivoire, du Burkina-Faso et du Nigéria.
Le principal vendeur a été interpellé et les éléments du commissariat de Banikoara mènent des enquêtes pour démanteler ce réseau de trafiquants de faux médicaments pharmaceutiques.

A.A.A