La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.
Pour réduire la congestion et fluidifier la circulation à Cotonou, le gouvernement béninois a prévu la construction d'un échangeur au carrefour Vêdoko. Des travaux sont en cours depuis plusieurs mois.
La mise en œuvre du projet de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko se poursuit à Cotonou. Depuis quelques mois, les entreprises procèdent à la libération des emprises pour le démarrage proprement dit des travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko à Cotonou. Ces travaux concernent entre autres le déplacement des réseaux d'électricité, d'eau et de télécommunication. Sur ce site, c'est la Société nationale des eaux du Bénin (SONEB) qui assure la gestion administrative, financière et comptable ainsi que la gestion technique des travaux de déplacement du réseau d'eau de la SONEB ». Quant à la Société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN), elle est chargée du déplacement du réseau de télécommunications.
Dans le cadre de cet important projet d'infrastructure, le Bénin a obtenu 18 milliards de FCFA auprès du Japon. La construction de cette infrastructure va favoriser une meilleure qualité de vie dans la ville de Cotonou et dans sa banlieue tout réduisant le temps d'attente des usagers de la route d'environ. L'infrastructure permettra aussi de renforcer la logistique et la croissance industrielle au Bénin et en Afrique de l'Ouest. L'ouvrage est réalisé conjointement par des entreprises béninoises et japonaises.
Les axes carrefour Toyota - Etoile Rouge ; carrefour Toyota – carrefour Cadjèhoun - Place du Souvenir et autres axes seront aussi réfectionnés dans le cadre du projet de réhabilitation et d'aménagement des voies d'accès et de traversée de Cotonou.
A.A.A
Pour réduire la congestion et fluidifier la circulation à Cotonou, le gouvernement béninois a prévu la construction d'un échangeur au carrefour Vêdoko. Des travaux sont en cours depuis plusieurs mois.
La mise en œuvre du projet de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko se poursuit à Cotonou. Depuis quelques mois, les entreprises procèdent à la libération des emprises pour le démarrage proprement dit des travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko à Cotonou. Ces travaux concernent entre autres le déplacement des réseaux d'électricité, d'eau et de télécommunication. Sur ce site, c'est la Société nationale des eaux du Bénin (SONEB) qui assure la gestion administrative, financière et comptable ainsi que la gestion technique des travaux de déplacement du réseau d'eau de la SONEB ». Quant à la Société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN), elle est chargée du déplacement du réseau de télécommunications.
Dans le cadre de cet important projet d'infrastructure, le Bénin a obtenu 18 milliards de FCFA auprès du Japon. La construction de cette infrastructure va favoriser une meilleure qualité de vie dans la ville de Cotonou et dans sa banlieue tout réduisant le temps d'attente des usagers de la route d'environ. L'infrastructure permettra aussi de renforcer la logistique et la croissance industrielle au Bénin et en Afrique de l'Ouest. L'ouvrage est réalisé conjointement par des entreprises béninoises et japonaises.
Les axes carrefour Toyota - Etoile Rouge ; carrefour Toyota – carrefour Cadjèhoun - Place du Souvenir et autres axes seront aussi réfectionnés dans le cadre du projet de réhabilitation et d'aménagement des voies d'accès et de traversée de Cotonou.
A.A.A
Pour réduire la congestion et fluidifier la circulation à Cotonou, le gouvernement béninois a prévu la construction d'un échangeur au carrefour Vêdoko. Des travaux sont en cours depuis plusieurs mois.
La mise en œuvre du projet de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko se poursuit à Cotonou. Depuis quelques mois, les entreprises procèdent à la libération des emprises pour le démarrage proprement dit des travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko à Cotonou. Ces travaux concernent entre autres le déplacement des réseaux d'électricité, d'eau et de télécommunication. Sur ce site, c'est la Société nationale des eaux du Bénin (SONEB) qui assure la gestion administrative, financière et comptable ainsi que la gestion technique des travaux de déplacement du réseau d'eau de la SONEB ». Quant à la Société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN), elle est chargée du déplacement du réseau de télécommunications.
Dans le cadre de cet important projet d'infrastructure, le Bénin a obtenu 18 milliards de FCFA auprès du Japon. La construction de cette infrastructure va favoriser une meilleure qualité de vie dans la ville de Cotonou et dans sa banlieue tout réduisant le temps d'attente des usagers de la route d'environ. L'infrastructure permettra aussi de renforcer la logistique et la croissance industrielle au Bénin et en Afrique de l'Ouest. L'ouvrage est réalisé conjointement par des entreprises béninoises et japonaises.
Les axes carrefour Toyota - Etoile Rouge ; carrefour Toyota – carrefour Cadjèhoun - Place du Souvenir et autres axes seront aussi réfectionnés dans le cadre du projet de réhabilitation et d'aménagement des voies d'accès et de traversée de Cotonou.
A.A.A
Pour réduire la congestion et fluidifier la circulation à Cotonou, le gouvernement béninois a prévu la construction d'un échangeur au carrefour Vêdoko. Des travaux sont en cours depuis plusieurs mois.
La mise en œuvre du projet de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko se poursuit à Cotonou. Depuis quelques mois, les entreprises procèdent à la libération des emprises pour le démarrage proprement dit des travaux de construction de l'échangeur du carrefour Vêdoko à Cotonou. Ces travaux concernent entre autres le déplacement des réseaux d'électricité, d'eau et de télécommunication. Sur ce site, c'est la Société nationale des eaux du Bénin (SONEB) qui assure la gestion administrative, financière et comptable ainsi que la gestion technique des travaux de déplacement du réseau d'eau de la SONEB ». Quant à la Société béninoise d'infrastructures numériques (SBIN), elle est chargée du déplacement du réseau de télécommunications.
Dans le cadre de cet important projet d'infrastructure, le Bénin a obtenu 18 milliards de FCFA auprès du Japon. La construction de cette infrastructure va favoriser une meilleure qualité de vie dans la ville de Cotonou et dans sa banlieue tout réduisant le temps d'attente des usagers de la route d'environ. L'infrastructure permettra aussi de renforcer la logistique et la croissance industrielle au Bénin et en Afrique de l'Ouest. L'ouvrage est réalisé conjointement par des entreprises béninoises et japonaises.
Les axes carrefour Toyota - Etoile Rouge ; carrefour Toyota – carrefour Cadjèhoun - Place du Souvenir et autres axes seront aussi réfectionnés dans le cadre du projet de réhabilitation et d'aménagement des voies d'accès et de traversée de Cotonou.
A.A.A
Les personnes poursuivies dans le dossier de l'Agence nationale d'identification des personnes (ANIP) à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), ont comparu lundi 12 août 2024. Sur les 19 inculpés, 18 ont été libérés sous caution.
Des agents de l'ANP devant les juges de la CRIET ce lundi 12 août. Poursuivis pour abus de fonction, les 19 prévenus dont une femme ont plaidé non coupables. Ils justifient les nombreuses modifications intervenues sur la plateforme de l'ANIP avec les codes confidentiels par les travaux de nuit qu'ils effectuent afin d'atteindre le quota des objectifs qui leur sont fixés. Quant aux transactions par Mobile Money, elles proviennent selon les déclarations des inculpés à la barre, des usagers qu'ils aident pour les paiements en ligne.
Avant de bénéficier de cette libération sous caution, les prévenus doivent payer une somme qui varie entre 100.000 francs CFA et 500.000 francs CFA. La prochaine audience est fixée au 02 décembre 2024.
F. A. A.
Les personnes poursuivies dans le dossier de l'Agence nationale d'identification des personnes (ANIP) à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), ont comparu lundi 12 août 2024. Sur les 19 inculpés, 18 ont été libérés sous caution.
Des agents de l'ANP devant les juges de la CRIET ce lundi 12 août. Poursuivis pour abus de fonction, les 19 prévenus dont une femme ont plaidé non coupables. Ils justifient les nombreuses modifications intervenues sur la plateforme de l'ANIP avec les codes confidentiels par les travaux de nuit qu'ils effectuent afin d'atteindre le quota des objectifs qui leur sont fixés. Quant aux transactions par Mobile Money, elles proviennent selon les déclarations des inculpés à la barre, des usagers qu'ils aident pour les paiements en ligne.
Avant de bénéficier de cette libération sous caution, les prévenus doivent payer une somme qui varie entre 100.000 francs CFA et 500.000 francs CFA. La prochaine audience est fixée au 02 décembre 2024.
F. A. A.
Les personnes poursuivies dans le dossier de l'Agence nationale d'identification des personnes (ANIP) à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), ont comparu lundi 12 août 2024. Sur les 19 inculpés, 18 ont été libérés sous caution.
Des agents de l'ANP devant les juges de la CRIET ce lundi 12 août. Poursuivis pour abus de fonction, les 19 prévenus dont une femme ont plaidé non coupables. Ils justifient les nombreuses modifications intervenues sur la plateforme de l'ANIP avec les codes confidentiels par les travaux de nuit qu'ils effectuent afin d'atteindre le quota des objectifs qui leur sont fixés. Quant aux transactions par Mobile Money, elles proviennent selon les déclarations des inculpés à la barre, des usagers qu'ils aident pour les paiements en ligne.
Avant de bénéficier de cette libération sous caution, les prévenus doivent payer une somme qui varie entre 100.000 francs CFA et 500.000 francs CFA. La prochaine audience est fixée au 02 décembre 2024.
F. A. A.