Grâce à sa victoire (2-1) ce mardi sur As Kozah du Togo, Aïnonvi FC passe au tour suivant des éliminatoires pour la prochaine Ligue des Champions féminine CAF.
Deux matchs et deux victoires pour Aïnonvi FC du Bénin dans ces éliminatoires pour la Ligue des Champions féminine. Après avoir dominé Inter d'Abidjan il y a quelques jours, les Aïnonvi ont encore frappé ce mardi. Elles se sont qualifiées pour les demi-finales après leur victoire 2 buts à 1 face à As Kozah du Togo.
Germaine Honfo avait si vite ouvert la marque à la 3e minute. 8 minutes plus tard, Faridath Ligali faisait le break. Les Togolaises ont réussi à réduire l'écart en seconde période. Grâce à la gardienne Sourakatou Alassane qui a réussi à stopper un pénalty à la 77e minute, les Béninoises s'offrent leur deuxième victoire.
Aïnonvi FC termine ainsi premier du groupe A avec deux victoires en autant de matchs.
J.S
Grâce à sa victoire (2-1) ce mardi sur As Kozah du Togo, Aïnonvi FC passe au tour suivant des éliminatoires pour la prochaine Ligue des Champions féminine CAF.
Deux matchs et deux victoires pour Aïnonvi FC du Bénin dans ces éliminatoires pour la Ligue des Champions féminine. Après avoir dominé Inter d'Abidjan il y a quelques jours, les Aïnonvi ont encore frappé ce mardi. Elles se sont qualifiées pour les demi-finales après leur victoire 2 buts à 1 face à As Kozah du Togo.
Germaine Honfo avait si vite ouvert la marque à la 3e minute. 8 minutes plus tard, Faridath Ligali faisait le break. Les Togolaises ont réussi à réduire l'écart en seconde période. Grâce à la gardienne Sourakatou Alassane qui a réussi à stopper un pénalty à la 77e minute, les Béninoises s'offrent leur deuxième victoire.
Aïnonvi FC termine ainsi premier du groupe A avec deux victoires en autant de matchs.
J.S
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
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Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
Lire la note
Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.