Elle est vient d'un pays musulman où l'homosexualité est vue comme une vicieuse ignominie. Elle a prétendu qu'elle est lesbienne, et qu'en cas de retour dans son pays, la réaction de la population, imbue d'une conception orthodoxe des interdits de l'Islam, aura été inéluctablement outrageuse et attentatoire à sa dignité et son intégrité physique. Y manifester ostensiblement son orientation sexuelle aura heurté les mœurs, les coutumes et les sensibilités religieuses. Le statut de réfugiée lui a été reconnu. Mais elle s'est retrouvée piégée dans un mirage, et a été amenée à flirter avec une femme. Elle est devenue lesbienne pendant des mois,…malgré elle.
Prétendant qu'elle est lesbienne et qu'elle risque d'être persécutée dans son pays, elle a demandé le droit d'asile.
Dans le récit de sa demande d'asile, elle a prétendu que dès l'adolescence elle est attirée, non par les garçons, mais par les filles. Elle a déclaré avoir eu sa première expérience homosexuelle par un baiser échangé subrepticement avec une fille, dans les toilettes de son collège. L'intolérance de ses proches, et la violence des réactions verbales et physiques de la société contre les homosexuels, généraient en elle une peur inouïe de manifester des sentiments qu'elle ne pouvait pas contrôler.
En effet, dans son pays, la grande majorité de la population, très attachée aux coutumes islamisées, considère l'homosexualité comme une déviance, un péché diabolique, contraire aux lois de l'Islam. La population manifeste ouvertement une haine viscérale à l'égard des homosexuels, traités comme des êtres sataniques, des souillures contre l'Islam. Elle a affirmé que lorsque ses parents ont découvert son penchant intime pour les femmes, ils ont déclaré qu'elle est bannie de la famille et de la communauté musulmane, et qu'ils attenteront à sa sécurité et sa vie si elle revenait au pays
Mais sa demande d'asile a été rejetée, au motif qu'elle ne répond pas aux conditions de la Convention de Genève du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés, ni à celles du code français des étrangers (CESEDA). Elle a alors sollicité mon aide pour former un recours devant la Cour Nationale du Droit d'Asile (CNDA).
Avec des informations juridiques que je lui ai données, elle a fait un recors et a obtenu le droit d'asile.
Dans les éléments que je lui ai donnés pour former son recours, j‘ai démontré, sans revenir sur son récit, que dans son pays l'homophobie n'y est pas une déviance. Qu'au contraire, c'est l'homosexualité qui y est considérée comme une déviance. J'ai démontré que les convictions, prohibitions, principes religieux et traditionnels y justifient un fort degré d'homophobie, une culpabilisation permanente des homosexuels, qui les exposent à des persécutions, sans qu'ils puissent y bénéficier d'une protection efficace des autorités publiques. Qu'au contraire, les lois de son pays se rangent plutôt du côté de la population et des mœurs islamisées, en ce qu'elles incriminent à leur tour l'homosexualité, par des dispositions pénales sur les actes contre-nature.
L'homosexualité y étant doublement incriminée, à la fois par des réponses sociétales que des réponses pénales, j'ai alors invoqué une directive européenne et décision de principe par laquelle de la Cour Européenne de Justice a, en 2013, retenu le principe selon lequel les homosexuels originaires de pays étrangers constituent un groupe social persécuté, dès lors qu'il existe dans leur pays d'origine une répression effective de leur orientation sexuelle. Ces arguments ont convaincu la Cour nationale du droit d'asile, qui a annulé la décision de l'OFPRA et lui a accordé un titre de résident de 10 ans.
Mais piégée par son mirage, elle a été amenée à consommer son homosexualité imaginaire.
Quelques temps après, j'ai croisé cette dame. Elle était en état de grossesse avancée. Interloqué, je l'ai félicitée tout en lui remarquant avec un brin d'humour : je croyais que vous étiez lesbienne, madame ! Sur un ton taquin, elle répondit : Oui, mais il y a la PMA (Procréation médicalement assistée), il y a aussi la bisexualité. A moitié convaincu, j'ai rétorqué : Quoi que !? C'est alors qu'elle décida de m'avouer qu'elle n'a jamais été lesbienne, que c'était juste pour éviter une OQTF (Obligation de quitter le territoire français) qu'elle a demandé l'asile. N'ayant pas pu obtenir la régularisation de sa situation administrative par d'autres voies. Mais qu'elle regrette, parce que les circonstances l'ont amenée à se comporter comme une lesbienne, pendant des mois, à son corps défendant. Elle avoua que pour attester le caractère probant des différentes relations intimes qu'elle a prétendues avoir eues dans sa préadolescence, et la crédibilité de ses déclarations sur la manière dont elle vit son homosexualité en France, elle s'est approchée d'une association qui apporte un soutien matériel et psychologique aux personnes persécutées ou discriminées en raison de leur orientation sexuelle.
Mais sans le vouloir, ni le prévoir, elle a été entraînée dans un engrenage. Une lesbienne membre de cette association s'était beaucoup investie dans sa recherche de logement et de formations pour faciliter son insertion professionnelle. Elle se sentait redevable envers elle et, de ce fait, acceptait ses invitations à participer à des soirées et des manifestations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, et Transgenres). Elle lui faisait ensuite des compliments sur sa beauté, son joli teint et sa belle silhouette, et a fini par la draguer. Elle s'est sentie obligée d'accepter ses avances, et a décidé de jouer le jeu, pour obtenir des preuves de son homosexualité imaginaire et appuyer sa demande d'asile. Se disant que toute façon elle a un copain, et qu'elle aura juste à simuler un flirt avec cette femme, au plus tard jusqu'à la fin de sa procédure. Mais l'autre, se croyant aimée dans une vraie relation homosexuelle, lui a servi un baiser langoureux lors d'une soirée privée. Elle a concédé que ce baiser furtif a été réitéré à deux reprises, avant qu'elle n'ait décidé de s'éloigner de son amoureuse, parce que moralement persécutée par un sentiment de culpabilité. Malgré le remords, malgré le fait que son coming-out n'ait été qu'une supercherie, elle était devenue, de fait et malgré elle, une lesbienne.
Elle s'est menti pendant des mois, et a bluffé tout le monde sur son orientation sexuelle, noyée dans un mirage à l'instar de Tartarin de Tarascon. Je lui ai demandé quelle a été la réaction des membres de l'association quand ils ont appris sa grossesse. Elle répliqua qu'elle a anticipé le choc en leur affirmant qu'elle est devenue bisexuelle. Mais que c'est plutôt à l'égard de sa famille musulmane, et surtout de son père, notable respecté par sa pieuté, qu'elle a des regrets. Bien que, en grande partie, c'est pour leur venir en aide qu'elle ait inventé ce psychodrame qui lui a permis d'obtenir un titre de séjour et un emploi.
Son parcours migratoire soulève une intrigue difficile à dénouer, qui continue de titiller mes neurones, malgré mes 20 ans d'expertise des questions migratoires : La quête d'un titre de séjour et les difficultés existentielles peuvent-elles justifier les périlleux micmacs auxquels se livrent certains africains ?
Aliou TALL,
Président du RADUCC
Email : raducc@hotmail.fr
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de Claudine Afiavi Prudencio a invité des artistes pour des concerts gratuits tous les soirs au siège du parti à Dèkoungbé (Godomey) dans le cadre de la campagne présidentielle.
Plusieurs artistes dont Nikanor seront en concert ce samedi 27 mars 2021 à partir de 15 heures au siège national du parti UDBN sis à Godomey-Dékoungbé ex Usine d'engrais. Dénommés « GUIDJOOOÔ », ces concerts live sont offerts gratuitement aux jeunes tous les soirs et ce durant les 15 jours que vont durer la campagne à l'élection présidentielle du 11 avril prochain.
M. M.
Prêt pour la bataille, le duo Alassane Soumanou Djemba - Paul Hounkpè a lancé ce vendredi 26 mars 2021 à Djougou, la campagne pour l'élection présidentielle.
L'évènement a eu lieu au Stade Atchoucouma de Djougou et a rassemblé les militants et militantes du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE).
« Moi, président de la République, la première décision à prendre, c'est la réconciliation nationale. Moi, président de la République, c'est de mettre fin à l'injustice, de mettre fin à la corruption. Moi, président de la République, c'est baisser les impôts », a déclaré le candidat Alassane Soumanou.
« Dans le pays, il y a trop de mécontents, il y a trop de radiations dans le pays, il y a trop de camarades qui sont en prison sans savoir pourquoi ils ont perdu leur liberté. », a déploré le candidat des FCBE.
Et son colistier Paul Hounkpè de renchérir : « l'heure va bientôt sonner ». « C'est pourquoi, je vous dis courage, courage et déterminations chers frères et sœurs. », a-t-il ajouté.
Le lancement de la campagne du duo FCBE a mobilisé un grand monde au Stade Atchoucouma de Djougou. Les candidats Soumanou et Hounkpè poursuivent leurs meetings de mobilisation à travers les autres localités du pays.
A.A.A
Dès le début de la pandémie, avant même que l'OMS ne la baptise Covid-19, le Secrétaire Général de l'ONU avait sonné l'hallali en ce qui concerne l'Afrique : « Il y aura des millions et des millions de morts en Afrique même si la population africaine est jeune. Elle sera ravagée par la pandémie si on ne se lève pas tôt. » Il est donc juste et bon que, sans hésiter, la Chine et l'Europe se portent aujourd'hui au secours de l'Afrique avec les vaccins fraichement sortis de leurs laboratoires pour juguler le Covid-19. Car, compte tenu de la très faible capacité hospitalière des pays africains en matière d'urgence sanitaire, compte tenu surtout du fait que le virus, d'un variant à l'autre, joue á un Jacques-où-es-tu sinistre avec l'humanité, l'hécatombe africaine que craignait Antonio Guterres n'est pas inenvisageable.
D'ailleurs les Africains eux-mêmes ont très vite pris la mesure de la menace. Dès le début de la pandémie, des chercheurs, camerounais, béninois et malgaches, ont sorti de leurs laboratoires des compositions à base de racines et de plantes d'Afrique, capables, selon eux, de guérir ou de soulager le mal, voire de le prévenir. Ce fut, certes, dans une certaine précipitation. Mais il ne pouvait pas en être autrement puisque le monde entier a été pris de court par la survenue du virus et par sa violence. On subodora aussi, chez ces savants africains, comme un goût du lucre : se servir de la tragédie pour se faire de l'argent. Toujours est-il que l'OMS balaya du revers de la main les propositions africaines. Elle les réexaminera peut-être et veillera à leur amélioration si, par hasard, les vaccins récemment sortis des laboratoires ne confèrent pas une immunité aussi solide que celle escomptée.
Car, déjà, des voix autorisées contestent la validité desdits vaccins. Fin 2020, interviewé à France-Soir, le Prix-Nobel de Médecine, le professeur Luc Montagnier se montra très sévère. Celui à qui l'on doit la découverte du VIH-Sida estime improbable de fabriquer en laboratoire un quelconque vaccin efficace en un an malgré les progrès de la science, il juge irresponsable de le commercialiser sans l'avoir testé pendant des années. Ces raisons l'amènent – il est octogénaire – à ne pas se faire vacciner contre le Covid-19 à cause des graves effets, aujourd'hui inconnus, qui pourraient s'ensuivre pour l'organisme humain à court ou à moyen terme. Le groupe de savants renommés alignés sur lui est minoritaire. Mais eux aussi parlent de précipitation qu'ils mettent au compte de ce que l'humanité, OMS compris, serait l'otage des grands groupes pharmaceutiques, qui auraient décidé de gagner de l'argent à l'occasion de la pandémie et qui, pour cela, encourageraient le climat de peur.
S'il s'avère qu'en Afrique, en Chine et en Europe, le tueur Covid-19 sert d'occasion à ceux qui le peuvent de s'en mettre plein les poches, ce ne sera hélas ni nouveau ni étonnant. L'argent exerce sur l'homme une fascination tyrannique. Le Christ lui-même n'a trouvé que Dieu à lui opposer : Dieu ou l'argent et non pas Dieu ou Satan. Car l'argent, dispensateur de puissance et de gloire, c'est Satan. Avec lui en poche, l'homme se sent redoutable. Mais, quand l'argent fascine l'homme et le possède, il l'assèche, il le ramène à l'humanité brute, il tue en lui tout humanisme. Or il est à l'œuvre sur l'homme dans le monde depuis toujours.
Heureusement que, face à lui, il y a l'amour maternel, l'intelligence du cœur. Inépuisable. Toujours disponible. Et qui fait plier tout homme. Lui fait rendre les armes. C'est la présence inentamable de l'amour et de la tendresse maternels qui nous convainc que l'argent, qui peut tuer pharmacopée africaine anti Covid-19 et vaccins chinois ou européens anti Covid-19, ne tuera pas l'humanisme. L'amour d'une mère, dernier recours de l'humanité en détresse et en désarroi. Et par un mystérieux détour, le Covid-19 invite tous hommes et femmes à cultiver l'amour maternel pour sauver l'Homme par l'intelligence du cœur.
Le match de ce samedi 27 mars 2021 entre les Écureuils du Bénin et les Super Eagles du Nigéria se jouera suivant plusieurs dispositions sanitaires en raison du Covid-19.
Pour la sécurité dans le stade Charles Gaulle de Porto-Novo, quatre-vingt (80) forces de l'ordre seront déployées. Au total, 200 personnes à savoir les officiels et le reste du public sont autorisées à suivre le match. Ce nombre pourrait être revu à la hausse si la Confédération Africaine de Football (CAF) donne son autorisation. En ce qui concerne la presse, dix (10) cadreurs et techniciens, cinq (05) photojournalistes, l'ORTB, Canal +, la Télévision nationale du Nigeria, quelques radios et organes en lignes sont autorisés.« Tous les journalistes, reporters et techniciens doivent présenter le résultat négatif de leur test PCR à la covid 19, au médecin de la CAF pour accéder au stade. Les mesures de distanciation sociale sont à respecter dans la tribune de presse, ainsi que le port du masque », a indiqué le communiqué de la Fédération Béninoise de Football (FBF).
Ces mesures prises par la CAF et la FBF visent à permettre le bon déroulement de la rencontre.
Le match débute à 17 heures (heure du Bénin) et compte pour la 5è journée des éliminatoires CAN Cameroun 2021.
M. M.
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Nés il y a quelques jours, les bébés siamois de sexe féminin sont décédés ce vendredi 26 mars 2021 au CNHU de Cotonou.
Selon les informations, ils sont décédés suite à des complications survenues chez l'un. Les médecins n'ont pu sauver le second bébé.
Dans une lettre ouverte au ministre des affaires sociales et de la micro-finance et au ministre de la santé, le père des bébés Fulbert Coffi, enseignant dans la commune de Ouessè, avait sollicité l'aide des autorités. Selon certaines sources, la famille « n'a pas véritablement eu d'aide venant des autorités » après leur évacuation au CNHU de Cotonou.
Les bébés siamois sont nés le vendredi 19 mars 2021 à l'hôpital de zone de Mougnon (commune de Djidja) dans le département du Zou. Ils ont été par la suite transférés au CNHU de Cotonou.
A.A.A
Dans le cadre de la campagne pour la présidentielle 2021, le duo Talon-Talata se rend ce samedi 27 mars 2021 à Parakou et à Nikki.
Meeting du duo de la mouvance avec les populations de Parakou et de Nikki. Après le Littoral ce vendredi, le département du Borgou est à l'honneur. Patrice Talon présentera aux populations, les grandes lignes de son Programme d'actions de son prochain quinquennat intitulé « Le Développement, ça y est ».
Le duo va parcourir les 1er, 2e et 3e arrondissements de Parakou avant de se rendre à Nikki dans la soirée. Un meeting est également prévu à l'UNIPAR.
A.A.A
Une pluie accompagnée d'une tornade a ravagé la toiture du centre de santé de Guerankali (Bouanri), dans la commune de Bembèrèkè, ce vendredi 26 mars 2021. Selon les témoins, aucun blessé n'est enregistré mais de nombreux dégâts matériels. Cette situation met ainsi en difficulté les usagers de cette unité de soins dans ce milieu défavorisé.
Boniface CAKPO
Une délégation du ministère de la santé composée de chirurgiens dentistes, des forces de l'ordre a effectué une descente à Cotonou ce vendredi 26 mars 2021.
Il a été procédé à la fermeture d'un cabinet dentaire et d'un laboratoire de prothèse dentaire. Les deux cabinets n'ont pas reçu l'autorisation préalable d'exercice en clientèle privée. Il est également reproché de ne pas disposer de matériels inadéquats.
M. M.
La commission électorale nationale autonome a rendu public la liste des 546 coordonnateur d'arrondissement retenu dans le cadre des élections présidentielles. Votre journal publie ici en intégrale la décision de nomination.
Dans le cadre de la rencontre Bénin – Nigéria du 28 mars 2021comptant pour la 5ème journée des qualifications pour la CAN Cameroun 2022, des dispositions sont prises par les autorités, afin d'assurer le bon déroulement de la rencontre qui se jouera ce samedi 27 mars 2021 à 16H GMT au Stade Charles de Gaulle de Porto-Novo (17h du Bénin).
Quatre-vingt (80) forces de l'ordre seront déployées pour assurer la sécurité avant, pendant et après la rencontre.
Dix (10) cadreurs et techniciens seront autorisés dans la main courante.
Cinq (5) photojournalistes sont autorisés dans la main courante.
Certaines radios du Bénin sont autorisées.
Certaines presses écrites et en ligne sont autorisées.
La télévision productrice du match est autorisée.
La presse nigériane aura des accréditations pour assister au match.
Tous les journalistes, reporters et techniciens doivent présenter le résultat négatif de leur test PCR à la covid 19, au médecin de la CAF pour accéder au stade.
Les mesures de distanciation sociale sont à respecter dans la tribune de presse, ainsi que le port du masque.
L'accès presse au niveau des zones 1 et 2 sont proscrits.
L'accès presse au niveau des zones 3 et 4 est autorisé.
La télévision productrice est la seule dont les caméras sont autorisées à filmer et à produire le match.
La télévision productrice mettra le signal à disposition de la CAF pour les chaînes ayant acquis les droits de diffusion à l'international : Canal +.
Aucune conférence de presse n'est prévue.
Les deux sélectionneurs seront dans la salle avec leurs masques pour le direct sur les chaînes ayant acquis les droits TV : ORTB, Canal +, et la Télévision nationale du Nigeria.
Le match se joue à huis clos.
200 personnes sont autorisées à suivre le match, ce nombre comprenant les officiels, et le reste du public.
Toutes ces mesures, assez restrictives, sont dues à des décisions réfléchies des autorités de la CAF, du Bénin, pour permettre un bon déroulement de cette rencontre dans des conditions qui garantissent à tous des niveaux sécuritaire et sanitaire adéquats.
La Fédération Béninoise de football (FBF) tient à présenter ses excuses à la presse béninoise, à la presse nigériane, aux supporters, et à l'ensemble du monde du football des deux nations.
Par ailleurs, les négociations se poursuivent, et si la CAF donne un avis favorable, le nombre de personnes pouvant assister à la rencontre pourrait être revu à la hausse.
La Direction de la Communication de la FBF
Deux joueurs béninois contrôlés positifs au Covid-19. L'annonce d'un premier a été faite par le sélectionneur Michel Dussuyer jeudi. Et le second s'est révélé après le teste du jeudi. Du côté du Nigéria un joueur a été testé positif.
« On s'entraîne bien même si on reste vigilant avec le Covid-19. On a eu un cas au sein de l'effectif qu'on a pu isoler toute suite », a déclaré Michel Dussuyer.
A en croire le sélectionneur national, les autres joueurs vont bien. Les Écureuils ont fait trois tests du Covid-19 depuis leur arrivée au Bénin. Les résultats des derniers tests effectués dans la matinée de jeudi 25 mars ont révélé ce vendredi un second cas positif. Portant à deux le nombre cas positif au sein des Écureuils.
Les deux testés positifs mardi et jeudi chez les béninois sont Rodrigue kossi et Jacques Bessan. Ils sont remplacés par Jean Ogouchi des dragons et par Yannick Aguèmon
Du côté des nigerians, un joueur est testé positif au PCR il s'agit de Alexander Iwobi, tous les autres résultats sont négatifs.
Il faut rappeler que c'est dans le cadre des éliminatoires de la CAN 2021, le Bénin joue contre le Nigéria le 27 mars à Porto-Novo. Le Bénin est deuxième du groupe L avec 7 points derrière le Nigéria (8 points), la Sierra Leone (3 points) et le Lesotho (2 points).
A.A.A
Le duo Talon-Talata a présenté ce vendredi 26 mars son ambitieux programme pour le quinquennat 2021-2026. La cérémonie a eu lieu ce vendredi 26 mars 2021 à la salle rouge du palais des congrès de Cotonou devant de plus de 1500 jeunes.
« Nous allons faire trois choses une fois élu, la première améliorer les conditions de vie des étudiants, aménager les conditions d'hébergements et améliorer la qualité d'enseignement au primaire et au secondaire », a déclaré le président Patrice Talon.
Le chef de l'Etat a exposé sa stratégie pour mettre fin au chômage des jeunes. Déjà avec plusieurs réalisations à l'actif de son gouvernement, le duo présidentiel compte stimuler la création d'emplois durables. Patrice Talon a évoqué la notion d'emplois supports et d'emplois de production. La plupart des étudiants font des choix de formations non adaptées.
Selon Patrice Talon, l'accroissement des filières et la production avec l'Etat comme partenaire va permettre d'encourager les étudiants à choisir des formations techniques et industrielles. Les formations de support à savoir le marketing, le commerce, la comptabilité, l'informatique seront ainsi absorbées. Les conditions seront renforcées afin de permettre aux jeunes d'aller vers l'entrepreneuriat.
Patrice Talon veut poursuivre « le modèle de croissance retenu, à savoir, l'État créateur d'un environnement socio-économique susceptible de générer des emplois et non comme créateur principal d'emplois ».
A.A.A
Après le premier meeting à Cotonou dans la matinée de ce vendredi 26 mars 2021, Patrice Talon s'est rendu dans les 15ème et 16ème circonscriptions électorales.
C'est au stade René Pleven d'Akpakpa que le candidat à l'élection présidentielle 2021 rencontre les populations du département du Littoral. Il a été accueilli avec ferveur par les populations. Le candidat Patrice Talon essaye de convaincre une fois encore les électeurs du Littoral avec son programme politique afin d'obtenir le plus grand nombre de voix au soir du 11 avril.
A.A.A
Le duo Talon-Talata, candidat à la présidentielle a présenté ce vendredi 26 mars 2021 son ambitieux programme pour le quinquennat 2011-2026 à la salle rouge du palais des congrès de Cotonou en présence de plus de 1500 jeunes. Voici quelques photos du meeting.
Rencontre du candidat Patrice TALON avec les populations du littoral au stade René Pleven d'Akpakpa ce vendredi 26 mars 2021.
Le duo Corentin Kohoué - Iréné Agossa, candidat à la présidentielle du 11 avril 2021 présente un programme d'actions dont le but est de « Restaurer la Confiance pour que le peuple s'exprime ! ».
Le Programme d'actions du duo du mandat de la transition repose sur 16 axes. Corentin Kohoué et Iréné Agossa ont fait des propositions dans les domaines de l'artisanat, la culture, le tourisme, le sport, l'éducation, l'économie, les relations internationales et la diplomatie ; l'agriculture, la santé, la décentralisation et la déconcentration ; le numérique, la sécurité et la défense.
Selon le duo présidentiel, le Plan d'Urgence pour la Restauration de La Confiance aura une durée moins courte que le mandat de 5 ans. « C'est dire que nous ne conduirons pas à terme le quinquennat que le peuple béninois s'apprête, en Avril 2021, à nous offrir. Nous rendrons le tablier après l'organisation des élections générales inclusives, libres et transparentes que nous proposons et qui permettra de mettre en place un Parlement réellement représentatif de la volonté du peuple souverain, cœur de toute démocratie », peut-on lire dans le document du duo.
En ce qui concerne l'axe ‘'L'état de droit, démocratie et paix'', le duo très attaché au « contrat social » de 1990, (Constitution du 11 décembre 1990), prévoit convoquer dès 2022 une Conférence Nationale de Restauration, organiser une élection référendaire en 2022 et les élections générales en 2023.
« En 2023, nous appellerons les compatriotes béninoises et béninois aux urnes pour élire leurs représentants dans les gouvernements locaux ou collectivités locales, leurs représentants à l'Assemblée Nationale et leur(s) dirigeant(s) au sommet de l'Etat », ajoute le duo présidentiel Kohoué-Agossa.
L'organisation des élections générales permettra selon le duo « de rétablir l'équilibre des différents pouvoirs, exécutif, législatif et judiciaire, de manière à ce que l'un ne devienne pas l'extension de l'autre pour qu'on n'assiste plus au micmac institutionnel entretenu au service d'un individu et d'un clan, au détriment du peuple ».
A.A.A
Dans le cadre de l'élection présidentielle du 11 avril, la Haac a publié la liste des chaînes de télévision et radio retenues pour la campagne médiatique. Elles assurent la diffusion des programmes d'émissions des duos Président et Vice-président candidats conformément aux dispositions des articles 19, 20 et 21 de la décision n◦21-017/HAAC du 16 janvier 2021 portant règlementation de la campagne médiatique pour l'élection présidentielle de 2021.
Dans le cadre du concours de recrutement de mille six cents (1600) agents contractuels de droit public de l'Etat au profit du Ministère de la Santé, le dépôt des dossiers de candidature se déroulera du lundi 29 mars au samedi 10 avril 2021 y compris le samedi 03 avril 2021. Le dépôt se fera dans les Directions Départementales du Travail et de la Fonction Publique (DDTFP).
Les dossiers à déposer comportent une fiche d'inscription à retirer dans les DDTFP ou à télécharger sur www.travail.gouv.bj, une copie légalisée de l'extrait d'acte de naissance ou toute autre pièce y tenant lieu, une copie légalisée du certificat de nationalité, une copie du casier judiciaire datant de moins de trois mois à la date du lancement du concours, une copie légalisée conforme du diplôme exigé pour l'emploi choisi, une enveloppe timbrée format moyen portant l'adresse et le contact téléphonique du candidat et une quittance des droits d'inscription ( 5.000 FCFA/Catégorie A, 4.000 FCFA/Catégorie B, 3.000 FCFA/Catégorie C, 2.000 FCFA/ Catégorie D) à verser au Trésor Public.
Selon les conditions d'accès au concours, il faut être de nationalité béninoise, jouir de ses droits civiques, être de bonne moralité, être âgé de dix-huit (18) ans au moins à la date de composition ou de trente-neuf (39) ans au 31 décembre 2021 (candidats des catégories A et B) ou de trente-quatre ans (34) ans (candidats des catégories C et D). Il faut être également indemne de toute affection tuberculeuse, cancéreuse, nerveuse, poliomyélitique ou lépreuse, ou en être guéri.
Le concours sera organisé les samedi 15 et dimanche 16 mai 2021.
M. M.