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Systèmes de retraite en Afrique: Une situation de crise, objet d’une nouvelle enquête

Tue, 06/19/2018 - 14:21

Le bureau d’études et de conseil Finactu, domicilié à Genève et exerçant essentiellement en Afrique, vient de rendre publique une enquête sur les systèmes de retraite en Afrique, principalement dans les pays dits francophones, dont l’Algérie.
Ci-dessous un survol des résultats de ce travail.
Depuis bientôt 20 ans, les équipes de Finactu travaillent aux côtés des caisses de retraite du continent, et les assistent dans la compréhension et la maîtrise de leur santé financière, présente et future. Plus de 50 audits actuariels de plusieurs dizaines de caisses de retraite ont permis à ce bureau d’études et de conseil d’accéder à une vision assez précise de la situation de ces régimes, de mesurer leurs points communs et leurs différences, leurs forces et leurs faiblesses, et d’identifier les menaces auxquelles ils sont soumis.
La présente étude souhaite partager les enseignements tirés de cette longue pratique de la retraite sur le continent, en proposant aussi, au-delà des éléments de diagnostic, des pistes de solutions face à des situations qui s’annoncent partout difficiles… A la base de la présente étude, il convient de rappeler une vérité universelle : tous les régimes de retraite, en tant que mécanisme viager, sont éminemment dépendants de la démographie ; en conséquence, leurs paramètres doivent évoluer au gré des évolutions de cette dernière.
A contrario, ne pas modifier un régime de retraite alors que la population bénéficiaire voit son espérance de vie augmenter de 10 ans serait une faute de gestion impardonnable, qui conduirait inéluctablement à des déconvenues.
Rappelons que l’originalité économique de la gestion des promesses de retraite est de faire payer comptant, avec la cotisation, un produit financier (une pension de retraite) qui sera «livré» dans très longtemps. Et généralement par d’autres que ceux qui ont encaissé son prix…
Or, le paysage de la retraite en Afrique a été caractérisé, sur les années 1960-2010, par un très fort immobilisme : dans ce long «âge d’or», où les excédents s’accumulaient sans effort («et pour cause», comme nous le verrons plus loin), presque aucun dirigeant, presque aucun gouvernant, ne s’est posé la question de l’avenir de ces excédents, de la pérennité de cette euphorie, de la soutenabilité de cet âge d’or…

La répartition mise en cause
Presque aucun des régimes de retraite n’avait fait d’évaluation actuarielle avant le début des années 2000. Nous devons aux dirigeants actuels de ces caisses le courage d’initier des audits et de préparer des réformes. Malgré cela, nous connaissons encore plusieurs caisses du continent qui n’ont, en 2016, jamais réalisé un tel audit actuariel depuis leur création il y a plus de 50 ans… C’est le cas de la CNR en Algérie. Imagine-t-on un patient qui n’aurait jamais consulté un médecin à l’âge de 57 ans ? Certes, dans certaines conditions exceptionnelles, un régime par répartition peut survivre sans réforme, mais c’est au prix d’une accumulation invisible de déficits à venir : la réforme qui n’est pas faite une année s’accumule à celle qu’il faudra faire l’année suivante, et la procrastination se paie au prix fort. Ainsi, les réformes que l’Afrique devra faire dans les années à venir devront non seulement corriger l’effet des évolutions démographiques actuelles, mais aussi réparer ou compenser celles qu’a connues sans réagir le continent entre 1960 et aujourd’hui… Ainsi, faute d’avoir adapté nos régimes par répartition progressivement, quand il était encore temps, nous allons devoir les adapter doublement et au pire moment : quand les difficultés s’amoncellent, quand les assurés commencent à douter de leurs caisses, quand les bénéficiaires crient leur colère, quand les entreprises, déjà confrontées à une concurrence douloureuse, ne peuvent supporter un alourdissement du coût du travail, et quand les gouvernements, exsangues, ne peuvent plus aider…

«Les promesses n’engagent que ceux qui y croient»
Grandes machines à distribuer des promesses différées à très long terme, les caisses de retraite confirment, en Afrique comme ailleurs, que «les promesses n’engagent que ceux qui y croient» : comme le démontre cette étude, la quasi-totalité des régimes de retraite du continent n’ont aucune chance, en l’état, de parvenir à tenir leurs promesses.
Ils subissent aujourd’hui les conséquences de promesses faites il y a des décennies : le jeune qui est entré sur le marché du travail en 1970 et a alors commencé à cotiser, a acquis un droit qu’il a exercé 40 ans plus tard, en 2010, et pour 25 ans, soit une durée totale de… 65 ans entre la première cotisation et la dernière pension… Face à ces difficultés, les experts de Finactu, partout où ils interviennent, posent les mêmes questions : quel sera l’avenir de la retraite en Afrique ?
Les caisses augmenteront-elles massivement leurs cotisations ? Trouveront-elles d’autres sources de financement ? Diminueront-elles drastiquement les pensions ? Reculeront-elles l’âge de la retraite ? Ou feront-elles purement et simplement faillite ? Quelles sont les solutions alternatives ? C’est à ces questions que cette étude tente d’apporter une réponse, à l’aune de notre connaissance intime d’une trentaine de régimes situés dans une quinzaine de pays francophones différents, dont la Caisse nationale des retraites (CNR) en Algérie.
Synthèse faite par

Que faire pour affronter l’avenir ?
Ce que préconise Finactu. Face à la montée des déficits, les caisses de retraite doivent recalibrer leurs paramètres, en affrontant une situation dilemmatique que certains appellent le «triangle maudit de la retraite». Faut-il diminuer les pensions, à travers une diminution du taux d’annuité, une révision des règles d’indexation des pensions, une modification de la période de référence du salaire de base, etc. ? Faut-il augmenter les cotisations, par une augmentation des taux ou un élargissement des assiettes ? Ou faut-il faire les deux à la fois en reculant l’âge de départ à la retraite pour maintenir plus longtemps les salariés actifs (et donc augmenter les cotisations) tout en diminuant le nombre de retraités (donc diminuer les pensions) ? Puisque le problème de déficit est lié à l’insuffisance des cotisations par rapport aux prestations, ou symétriquement à l’excès des prestations par rapport aux cotisations, la réforme paramétrique consiste en la hausse des premières et la baisse des secondes.
En dehors de ces leviers, une institution en difficulté pourrait chercher à emprunter. Cependant, compte tenu de sa situation financière, cette solution est peu envisageable. Le gouvernement, en dernier recours, pourrait également apporter son soutien (par financement budgétaire ou par des garanties). Cette solution qui a été mainte fois utilisée a révélé ses limites : économiquement insoutenable et socialement injuste, car elle revient à faire financer par tous (à travers le budget de la nation) un problème qui ne concerne qu’une infime minorité (les 10 ou 15% de bénéficiaires des régimes de retraite).
La solution la plus raisonnable consiste à prendre des mesures courageuses et adéquates qui pourraient accroître les cotisations et baisser les prestations, à un degré économiquement efficace et socialement supportable.

Ajustement à la baisse ?
Il s’agit d’un long travail d’évaluation actuarielle qui conduit à identifier l’ensemble des mesures les plus cohérentes avec les contraintes du pays afin de formuler des propositions efficaces aux décideurs. Comme le rappelle l’étude de la Finactu et comme le démontre l’exemple de nombreux pays industrialisés, les réformes paramétriques à venir des régimes par répartition réviseront nécessairement à la baisse les formules de calcul des pensions, induisant une baisse significative des taux de remplacement des générations à venir. En d’autres termes, nos caisses ne pourront servir dans le futur les niveaux relatifs de pensions qu’ont connu nos aînés.
Cet ajustement à la baisse se fera-t-il homothétiquement (dans la même proportion pour tout le monde, riches et pauvres) ou sera-t-il concentré sur telle ou telle population ? La réponse est fournie par les pays industrialisés, qui ont quelques décennies d’avance en termes de réforme : en général, ces baisses touchent d’abord les hauts revenus. Trois arguments expliquent et justifient que la baisse des pensions se concentre sur les retraités aisés : ils offrent par construction des capacités contributives supérieures : il est plus facile de diminuer la pension d’un retraité «nanti» que celle d’un retraité «démuni» ; les retraités aisés sont ceux qui ont le plus bénéficié de la générosité passée des régimes par répartition, puisqu’ils sont ceux qui y ont le plus cotisé, et il est donc normal qu’ils soient aussi ceux qui contribuent le plus à sa réparation ; enfin, dans les systèmes élitistes de retraite que connaissent nos pays, les retraités aisés sont par nature les moins nombreux et ont donc une capacité de contestation politique moindre que la masse des petits retraités.
Synthèse de Djilali Hadjadj

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Le baccalauréat à Jijel: 1 347 policiers réquisitionnés pour sécuriser 37 centres d’examen

Tue, 06/19/2018 - 14:21

En vue de garantir le bon déroulement de l’examen du baccalauréat qui aura lieu du 20 au 25 juin en cours, la Sûreté de wilaya a réquisitionné 1 347 policiers de différents grades, a-t-on appris auprès de la chargée de communication  de cette instance, la commissaire Aziza Djerourou hier.
La même responsable a ajouté que les policiers réquisitionnés vont sécuriser les 37 centres d’examen, un centre de correction au niveau du lycée El Kendy et un centre de regroupement relevant de la compétence territoriale de la police.
La responsable a souligné, par ailleurs, que ce dispositif sécuritaire mis en place va s’acquitter de nombreuses missions citant entre autres, la sécurisation des centres d’examen, le transport des sujets de l’examen, assurer la fluidité du trafic routier à proximité des centres d’examen et des gares routières à travers  l’organisation des patrouilles pédestres et motorisées , le contrôle des véhicules et l’interdiction de leur stationnement  dans certains endroits susceptibles d’entraver le déplacement des candidats et du staff pédagogique.
Pour rappel, la Sûreté de wilaya a réquisitionné
3 951 policiers de différents grades pour les examens de fin d’année dont 1 317 pour la sixième, répartis sur 102 centres d’examen et un centre de correction, 1 287 pour le BEM répartis sur 29 centres d’examen et un centre de correction, 1 347 pour le bac répartis sur 37 centres d’examen et un centre de correction au lycée El Kendy.

Un nouveau directeur pour la radio locale
La radio locale de Jijel vient d’avoir un nouveau directeur en la personne de notre confrère Benhamouda Mohamed-Yazid.
Le nouveau directeur vient de remplacer Naceri Amar qui est parti depuis plusieurs mois  pour des motifs personnels. Diplômé de l’Institut des sciences politiques et du journalisme, ex-ITFC de l’Université d’Alger, promotion 1985, le nouveau directeur de la Radio de Jijel a déjà occupé  le poste de directeur de radios de Skikda, Batna, Annaba, Sétif, Oum-el-Bouaghi.
Ce nouveau responsable est un fils de la boîte étant donné qu’il a été le présentateur de la défunte émission «Maghreb el Chououb» à la Chaîne 1 de la Radio nationale au milieu des années 1980. Bon courage confrère.
Bouhali Mohammed Cherif

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Recette: Flan au chocolat

Tue, 06/19/2018 - 14:15

200 g de farine, 100 g de sucre en poudre, 4 œufs, 1 litre de lait, 100 g de chocolat, sel

Préchauffez le four à 180°C (Th.6). Cassez le chocolat dans un saladier et posez-le dans un bain-marie. Sortez-le dès qu’il est fondu. Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre et le sel. Incorporez les œufs un à un en remuant à chaque fois et terminez par le lait et le chocolat fondu. Mélangez pour obtenir une pâte homogène. Beurrez un moule à manqué et chemisez-le à la farine. Versez la pâte et enfournez-la au milieu du four pendant 40 à 45 min. Laissez refroidir avant de démouler. Variante : faites cuire le flan dans des ramequins et ajustez le temps de cuisson.

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Recette: Pain hérisson à l’ail et à la mozzarella

Tue, 06/19/2018 - 14:14

1 boule de pain de 500 g
2 boules de mozzarella  (250 g)
1 poignée de persil haché
2 c. à c. d’ail séché
60 g de beurre, Sel

Préchauffez le four à 180°C
Coupez la boule de pain en tranches sans toucher la base. Faites la même chose dans l’autre sens de manière à obtenir des carrés de pain.
Faites fondre le beurre (quelques secondes au micro-ondes en mode décongélation) et ajoutez-y le persil haché, l’ail séché et un peu de sel. Remplissez les interstices du pain avec ce mélange. Coupez la mozzarella et disposez également les morceaux dans les interstices du pain. Couvrez le pain hérisson d’aluminium et enfournez 15 minutes. Passé ce temps, ôtez l’aluminium et laissez encore cuire 15 minutes. Servez immédiatement !

note 
N’utilisez pas de pain frais du jour, laissez-le  2 ou 3 jours avant de confectionner ce pain hérisson. Ainsi les morceaux se détacheront plus facilement.

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Ils seraient au nombre de deux et auraient avoué leur crime: Les assassins du ressortissant chinois interpellés

Tue, 06/19/2018 - 13:17

L’affaire de l’assassinat du Chinois à Dar-el-Beïda a connu son épilogue il y a quelques jours suite à l’arrestation des principaux responsables du drame qui avait fait réagir la représentation de Pékin à Alger.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Les informations en notre possession ont surtout permis de cerner, avec davantage de détails, les tenants et les aboutissants du meurtre. Ce dimanche 10 juin, un ressortissant chinois établi dans la wilaya de M’sila, décide donc de se rendre à Alger. Contrairement aux informations ayant circulé jusque-là par voie de presse, ce dernier n’a aucune relation avec le projet de la Grande Mosquée. Il occupe le poste de comptable dans la wilaya de provenance. Celui-ci se rend directement à Dar-el- Beïda. La localité et ses environs enregistrent une forte présence chinoise. Sur les 20 000 personnes recensées à travers la capitale, 4 000 d’entre elles s’y sont établies. Elles s’y trouvent depuis de longues années durant lesquelles aucun problème notable n’a été enregistré, nous dit-on. Les forces de l’ordre n’ont eu à intervenir que lors de rixes intracommunautaires. La victime, elle, décide de se rendre à un restaurant bien connu de la communauté. Le local est en fait une villa tenue par des Chinois, et c’est là que leurs compatriotes viennent régulièrement se restaurer. En cette période de Ramadhan, il sert naturellement les déjeuners. Mais c’est en fin de journée que le comptable s’y rend. Le muezzin s’apprête à lancer l’appel à la prière du maghreb marquant la fin du jeûne. Les rues de Dar-el- Beïda sont pratiquement vides. Le comptable chinois porte un sac à dos empli d’une forte somme d’argent, 4,5 millions de dinars. En route vers le restaurant, il en sort une petite partie pour des besoins immédiats. Une maladresse fait tomber à terre 2,5 millions de dinars. Deux individus se trouvant non loin de là remarquent le manège. Très vite, ils foncent et s’emparent des liasses qu’ils trouvent sur le sol. Les agresseurs tentent ensuite de s’emparer du sac où reste cachée une partie de l’argent. Le ressortissant chinois se débat comme il peut pour éviter de tout perdre. Les deux individus sortent à ce moment un couteau et le poignardent au thorax. Le corps du Chinois s’écroule. Transporté d’urgence à l’hôpital Zmirli, il décède sur place. Une enquête rapide se met en place. Elle permet d’identifier d’abord le véhicule des agresseurs. Il s’agit d’une Q5 blanche immatriculée 14 (Tiaret). Elle se trouvait non loin du lieu où s’est déroulé le drame. Les recherches permettent aussi l’identification de l’acheteur, un repris de justice qui n’avait ni achevé le paiement de la voiture ni encore acquis la carte grise. Selon les informations que nous avons pu obtenir, les enquêteurs décident alors de lui tendre une souricière. Le repris de justice est arrêté à Relizane alors qu’il s’apprêtait à retirer les papiers de sa nouvelle voiture. Les recherches permettent également de localiser son acolyte, tout aussi connu pour ses démêlés avec la justice. Son arrestation se déroule à Tizi- Ouzou. Les deux mis en cause ont reconnu les faits. Des sources bien au fait du dossier affirment qu’il s’agit «d’un cas isolé, une agression pour motif de vol comme il en existe partout ailleurs, et qu’elle ne cible nullement la communauté chinoise en particulier. Ces derniers n’ont, par conséquent, aucune inquiétude à avoir». Le ressortissant chinois décédé était par contre en situation irrégulière, indiquent les mêmes sources. Son permis de séjour n’avait pas été renouvelé bien qu’ayant expiré depuis plusieurs mois. Un déplacement effectué dans la région de Dar-el- Beïda a permis de constater que les mesures de sécurité autour des bases de vie et localités où évolue la communauté chinoise avaient été renforcées suite à cet incident. La représentation chinoise en Algérie avait, quant à elle, fait part de ses inquiétudes suite à cet assassinat. L’ambassadeur a été reçu au ministère des Affaires étrangères où ses interlocuteurs ont tenté de le rassurer.
A. C.

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Boumerdès: Les GLD sommés de restituer leurs fusils de chasse

Tue, 06/19/2018 - 13:12

«Nous avons pris les armes en 1994 et jusqu’à aujourd’hui pour répondre à l’appel de la République qui nous a demandé de l’aider contre le terrorisme qui voulait la détruire. Nous avons travaillé avec l’armée, les patriotes, les gendarmes, la police et la garde communale.»
«Certains parmi nous en sont malades, moi-même j’ai 7 grains de chevrotine au pied, et ce, depuis le 25 décembre 1995. Ce jour-là, seul, j’ai fait face à des terroristes qui ont envahi notre village. Je n’avais qu’une arme de chasse mais j’ai récupéré une autre arme de chasse et 60 cartouches. » C’est Saïd Ifrah, un membre des GLD (Groupes de légitime défense) âgé de 74 ans, bien connu dans la commune d’Afir, à l’extrême est de la wilaya de Boumerdès qui a effectué un trajet de 80 km depuis son village, le troisième jour de l’Aïd el-Fitr pour nous faire part de sa tristesse et de sa colère contre les autorités sécuritaires de la région qui ont sommé ces résistants contre le terroriste de restituer leurs armes alors qu’ils s’attendaient certainement à une reconnaissance pour leurs efforts et leurs sacrifices. «Nous ne regrettons pas ce que nous avons fait ou enduré pour notre pays, nos familles et notre dignité. Nous avons participé à la victoire contre le terrorisme. Nous nous attendions à ce que notre pays soit reconnaissant. Depuis 24 ans que nous travaillons avec tous les services de sécurité, nous n’avons jamais reçu le moindre sou», dira Ifrah, qui rappelle qu’il ne perçoit pas moins 7 000 dinars par mois à titre de victime de terrorisme (blessure au pied). Il n’a pas manqué de rappeler à Ahmed Ouyahia, chef du RND qui, tout le temps, fait du combat de tous les patriotes son enseigne, son engagement envers les GLD.
La réconciliation nationale a-t-elle fait des GLD des marginaux ? 
Ifrah qui est venu nous voir accompagné de Athmane Hamadouche (46 ans), également GLD depuis 1996, déplore l’exclusion de cette frange de résistants. «A sa venue, Bouteflika a mis à exécution la politique de la réconciliation nationale et même si nous avions eu faim, si nous avions souffert et sommes tombés malades à cause des terroristes, nous avons soutenu cette démarche de réconciliation nationale pour que la République ne tombe pas entre des mains sales. Seulement, cette réconciliation n’a pas concerné tout le monde. A la fin, cette réconciliation nationale a été appliquée autrement. On a pardonné aux terroristes alors que les patriotes, les gardes communaux et rappelés de l’ANP ont eu leurs droits, par contre, les GLD sont mis de côté.» Da Saïd, comme l’appellent les jeunes d’Afir, une localité qui a été l’une des toutes premières localités de la région de Boumerdès à prendre les armes contre les islamistes armés a dû prendre une demi-retraite pour prendre les armes et veiller sur la communauté dont il fait partie. Il y a lieu de le rappeler à certains qui l’ont oublié que la majorité des GLD avait quitté son travail ou son activité agricole, artisanale ou commerciale pour devenir des résistants. Des GLD ont été tués ou blessés. Ifrah cite le cas de Kouffi, un GLD tué à Afir. Le vieux GLD dira pour conclure «on nous demande de restituer les armes. Je ne peux pas vivre dans un village isolé pas loin de la forêt de Mizrana sans arme. Nous nous en remettons au président de la République auquel nous demandons une reconnaissance pour le travail que nous avons accompli et des sacrifices que nous avons consentis et de demander aux responsables qui exigent la restitution des armes de cesser de nous harceler».
Manque de respect
Quant à Athmane Hamadouche, GLD depuis 1996, il se dit outré par le comportement du chef de la brigade de Gendarmerie de Dellys. «Il m’a appelé à 23 heures et 14 minutes pour me demander de restituer mon fusil de chasse, le port d’arme et les munitions. C’est aberrant qu’un responsable d’une importante institution de l’Etat qui appelle, en pleine nuit, un simple citoyen afin d’exiger la restitution d’un fusil chasse qui n’est pas une arme de guerre après tant de sacrifices et de résistance pour la sécurité de la région, des institutions et de la population. J’habite le village Oulaichène qui est sur le chemin qui fait la liaison entre la forêt Sidi- Naâmane et Mizrana. Je suis dans une situation d’insécurité.» Pour lui, les assurances des hauts responsables sécuritaires de la wilaya sur la fin du terrorisme sont insuffisantes. «Nous sommes isolés dans nos villages et puis il y a la menace des familles de terroriste et les éléments armés qui peuvent faire des incursions dans notre wilaya.»
Abachi L.

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Contentieux 2014 réglé

Tue, 06/19/2018 - 13:11

L’Union algérienne des sociétés d’assurance et de réassurance (UAR) avait permis de régler des dossiers relevant de quatre exercices (2010, 2011, 2012 et 2013) qui faisaient l’objet de contestations, principalement pour cause de déclarations contradictoires entre les assurés automobiles. Cette fois-ci, l’UAR vient d’organiser une cérémonie d’échange de chèques entre les sociétés d’assurance pour l’exercice 2014.

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Egypte: El-Shenawy, l’inattendu gardien des Pharaons

Tue, 06/19/2018 - 13:10

L’ancien buteur star des «Pharaons» Mido, l’a qualifié de «gardien géant». Nommé homme du match en ouverture du Mondial-2018 contre l’Uruguay, le gardien de l’Egypte Mohamed El-Shenawy s’est révélé au point de faire de l’ombre au monument Essam El-Hadary.
Face à la «Celeste», à deux reprises, il a frustré le pistolero de Barcelone Luis Suarez et il a aussi écœuré Edinson Cavani, le serial-buteur du PSG. Mohamed El-Shenawy n’a toutefois rien pu faire sur une tête du défenseur José Maria Gimenez, celle de la victoire uruguayenne (1-0). «Félicitations El-Shenawy, l’homme du match. Nous sommes tous unis», s’est empressé de twitter Essam Al-Hadary, beau joueur: s’il était entré sur le terrain, le légendaire gardien de 45 ans serait devenu le joueur le plus âgé à disputer un match dans l’histoire de la Coupe du monde. «Je voudrais remercier tous les joueurs de l’équipe, ils ont fait tout ce qu’ils ont pu et ont appliqué le plan établi par l’entraîneur Hector Cuper», a modestement commenté El-Shenawy à l’issue de la rencontre. «On aurait pu s’en sortir avec un meilleur résultat», a aussi insisté ce compétiteur.  Originaire du nord-est de l’Egypte, El-Shenawy, 29 ans, a toutefois refusé le prix de l’homme du match parce que ce dernier est sponsorisé par une célèbre marque de bière américaine.

«Acte de naissance»
«L’homme du match est un gardien extraordinaire et les difficultés ont été considérables», a confirmé le gardien de but égyptien de la Coupe du monde 1990, Ahmed Shoubeir. Malgré la défaite, cette «performance honorable signe l’acte de naissance d’un grand gardien», s’est encore enthousiasmé Mido.  Pourtant, au départ, il n’était pas écrit qu’il garderait les buts. Le joueur du club cairote Zamalek, son homonyme Ahmed El-Shenawy, était pressenti pour être le dernier rempart de l’Egypte, pour sa première Coupe du monde depuis 1990. Mais une grave blessure au genou l’a écarté de la liste des 23.  «J’étais surpris qu’il (Mohamed El-Shenawy) me dise je vais jouer à la Coupe du monde», raconte d’ailleurs le journaliste de la télévision égyptienne DMC Ibrahim Fayek. Au sein du club d’Al-Ahly, le plus important d’Afrique, Mohamed El-Shenawy n’a en effet pas été toujours titulaire. Mais sa détermination et les circonstances – blessure de l’autre El-Shenawy, Al-Hadary peu performant en préparation – ont permis à ce fan de Manuel Neuer d’accompagner les Pharaons en Russie. «J’ai travaillé très dur dernièrement et j’ai montré un excellent niveau avec Al-Ahly», avait-il confié au site «Fil Goal». «Mon objectif principal est d’être le gardien de but de l’équipe à la Coupe du monde», avait-il déclaré. «Je me bats essentiellement pour jouer à la Coupe du monde, qui est le rêve de ma vie». Un rêve accompli.

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Afin de rationaliser ses dépenses: Le MCA baisse les salaires de ses cadres

Tue, 06/19/2018 - 13:06

Depuis des années, la mensualité des joueurs algériens n’a pas cessé d’augmenter jusqu’à atteindre des chiffres astronomiques, provoquant un déficit budgétaire pour l’ensemble des clubs algériens jusqu’à la division interwilayas.
Pour la saison 2016-2017, l’effectif total des joueurs des clubs de Ligue 1 était de 343 joueurs. La masse salariale mensuelle a atteint les 471 540 millions de dinars, c’est-à-dire 47 milliards et 154 millions de centimes. De quoi assurer les salaires de milliers de travailleurs d’entreprises publiques et privées. La facture du football professionnel est très lourde. 22 joueurs de la Ligue 1 algérienne touchaient un salaire mensuel de plus de trois millions de dinars (300 millions de centimes). Ils représentaient 6% de l’ensemble des effectifs. C’est ce qu’avait indiqué la Ligue de football professionnel (LFP). La FAF a décidé en 2014 de plafonner les salaires des joueurs professionnels des Ligues 1 et 2 professionnelles, mais sans que cette décision soit appliquée.
En 2016, les présidents des clubs L1, dans l’incapacité de payer les salaires des joueurs, ont décidé à l’unanimité de plafonner les salaires de leurs joueurs à hauteur d’un million de dinars. Cette mesure n’était pas du goût des principaux intéressés. Les joueurs du championnat, notamment ceux de l’Entente de Sétif et de l’USM Alger, ont observé, lors d’un match ayant opposé ces deux équipes, une «grève» de cinq minutes, qui a coûté un avertissement aux deux capitaines.
Les joueurs se plaignaient du plafonnement des salaires. Pour cette saison sportive 2017/2018, le président du MCA, Kamel Kaci-Saïd, a décidé de rationaliser les dépenses, en s’attaquant directement à la masse salariale de ses joueurs, surtout que la Sonatrach avait accordé au manager mouloudéen la saison passée 80 milliards de centimes pour sortir, en fin de compte, les mains vides avec zéro objectif réalisé. De ce fait Kaci-Saïd a invité l’ensemble des cadres de l’équipe à revoir leur salaire à la baisse. Quelques cadres, à l’exemple de Derrardja et Hachoud, ont fait de la résistance avant de céder aux exigences de leur président, alors que d’autres éléments comme Balegh et Karaoui n’ont toujours pas accepté la proposition. Si Kaci-Saïd ne compte pas faire machine arrière, au risque de créer la division au sein du groupe, les récalcitrants cherchent une porte de sortie honorable en allant négocier, comme c’est le cas de Karaoui, avec d’autres présidents de clubs plus enclins à céder à leurs caprices.
A. Andalouss

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Natation: La FAN retient 10 nageurs

Tue, 06/19/2018 - 13:05

La fédération algérienne de natation (FAN) annonce avoir arrêté la liste des nageurs devant participer aux Jeux méditerranéens de Tarragone, Espagne du 22 juin au 1er juillet. La sélection nationale, composée de 10 athlètes (5 garçons et 5 filles), sera encadrée par trois entraîneurs, à savoir Ali Maânsri, Kouhil Abdelkahar et Barnier Olivier. La FAN précise que ces athlètes retenus sont en préparation continue. Par ailleurs, les athlètes boursiers tels que Sahnoune Oussama, Cherouati Souad, Melih Amel et Nefsi Rania se préparent d’une manière continue au sein de leurs clubs respectifs et prennent part d’ailleurs aux différents meetings et compétitions internationaux suivant les objectifs tracés par la direction technique nationale, précise Kaouah Abdelkader, le directeur des équipes nationales. Les athlètes retenus sont : Cherouati Nefissa Souad (400m NL-800m NL), Melih Amel (50m NL– 50m dos – 50m papillon), Nefsi Hamida Rania (200 et 400m, 4 nages, 50m brasse), Medjahed Nesrine (50m NL, 100M NL, 50m et 100m papillon), Kacha Samar Benazouza (50m 100m, 200 m papillon), Balamane Moncef Aïmen (50m, 100m, 200m brasse), Bouhamidi Mohamed Ryad (50m, 100m et 200m dos), Djaballah Mohamed Anis (400m et 1500m nage libre), Sahnoune Oussama (50m et 100m nage libre), Chouhar Ramzi (200m 4 nages, 400m 4 nages et 200m papillon).
Ah. A.

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USM Bel-Abbès: Le CSA organisera une AG pour réactiver des sections gelées

Tue, 06/19/2018 - 13:03

Plusieurs disciplines sportives seront réactivées à l’USM Bel-Abbès après la tenue prochaine de l’assemblée générale du club sportif amateur (CSA), a-t-on appris hier de la direction de cette formation.
«La direction de la jeunesse et des sports (DJS) de Sidi-Bel-Abbès nous a encouragés à réactiver les disciplines sportives mises en veilleuse depuis plusieurs années. Toutes les procédures administratives d’usage sont actuellement en cours pour organiser bientôt une assemblée générale ordinaire du CSA/USMBA, suivie d’une autre élective», a indiqué à l’APS, le directeur général de la Société sportive par actions (SSA) qui gère le club professionnel, Kaddour Benayad. L’USMBA était connue par le passé par ses nombreuses disciplines sportives qui activaient sur la scène nationale, renfermant de nombreux athlètes de talent. Mais ces disciplines ont été toutes dissoutes à la grande déception des sportifs de la ville, alors que les responsables du club amateur ont tous gelé leurs activités. «Il va y avoir une nouvelle composante de l’assemblée générale comprenant des membres ayant le profil indiqué pour justement relancer les disciplines dissoutes», a encore expliqué le même responsable qui compte d’ailleurs postuler à la présidence du club amateur. «Personnellement, je suis très emballé à l’idée de contribuer à cet ambitieux projet. Certes, les gens me connaissent par mon parcours footballistique à l’USMBA. Mais ils sont nombreux aussi à ignorer que j’avais également pratiqué le judo dans ce club», a-t-il poursuivi. Il a regretté au passage que la formation de la «Mekerra» ait perdu toutes ses autres disciplines sportives, ne conservant que le football, dont l’équipe professionnelle s’est illustrée en fin de saison passée en remportant le trophée de la Coupe d’Algérie, le deuxième dans l’histoire du club, synonyme d’une deuxième participation à la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF) la saison prochaine.

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Aïn Defla: Le dispositif de lutte contre les incendies des récoltes mis en branle

Tue, 06/19/2018 - 13:02

Malgré un léger retard de quelques jours  occasionné par des pluies tardives inattendues survenues au début du mois de juin, la campagne moissons-battages sur le territoire de la wilaya de Aïn Defla vient de débuter, et même a bien débuté dès le retour du soleil et la hausse sensible des températures qui ont asséché les épis humidifiés.
Selon la DSA (Direction des services agricoles), déjà quelque 600 ha ont été moissonnés et 14 000 q engrangés, sur les 75 000 ha emblavés dont 55 556 ha de blé dur, 17 000 ha d’orge, le reste en superficies très réduites, de l’ordre de 3% environ, réparties entre le blé tendre et l’avoine.
Pour assurer un bon déroulement de la campagne, toujours selon la DSA, 398 machines ont été mobilisées et à pied d’œuvre sur les parcelles, dont 25 machines neuves appartenant à la CCLS et 4 au PMAT, l’ex-Onama. Pour ce qui est des aires de stockage, en plus des capacités propres au secteur de l’agriculture et à la CCLS, on a eu recours comme cela se répète chaque année aux locations et aux réquisitions wilayales pour emmagasiner la collecte de quelque 1 100 000 q sur une spéculation d’une production de 2 millions de quintaux.
A la date du lundi 18 juin, la CCLS a engrangé 13 003 q. Pour réunir toutes les conditions d’un bon déroulement de la campagne, ont été mobilisés 65 agents permanents et 80 saisonniers, une main-d’œuvre appelée à être renforcée en cas de nécessité.
Cependant, il ne s’agit pas seulement de moissonner et produire mais aussi faut-il protéger les parcelles à moissonner et les récoltes réalisées contre les incendies  d’origines diverses, incendies dont les risques sont élevés pendant la campagne.
Pour protéger les récoltes, les équipes de la Protection civile doivent agir vite pour maîtriser le feu. Pour ce faire, la Direction de la Protection civile a installé 13 postes avancés disséminés dans les communes à haut potentiel de production au niveau de 13 localités. Au niveau de chacun des 13 postes, sont mobilisés 3 agents armés d’équipements d’intervention d’urgence prêts à intervenir en faction de 9h du matin à 20h, et ce, en cas de nécessité de renforts.
Il faut noter que durant l’été dernier, le bilan des incendies de récoltes a été très lourd. En effet, selon les statistiques établies par la Direction de la Protection civile qui avait procédé à 61 interventions en divers points du territoire de la wilaya, on a enregistré la destruction par les flammes de 100 ha de diverses céréales, la destruction de 42 730 bottes de foin dans 106 incendies comme ont été la proie du feu 4 586 arbres fruitiers.
Rappelons que pour endiguer ce fléau, de multiples campagnes de sensibilisation des exploitants agricoles ont été menées aussi bien par les services de la Protection civile que par la Direction des services agricoles tout au long de l’année.
Karim O.

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Volley-Ball: Les sélections nationales en stage

Tue, 06/19/2018 - 13:01

Dans le cadre de la préparation aux Jeux méditerranéens de Tarragone, Espagne, qui auront lieu du 22 juin au 1er juillet, la direction technique nationale de la fédération algérienne de volley-ball (FAVB) organise les stages précompétitifs pour les deux sélections appelées à défendre les couleurs nationales. Ainsi, la sélection seniors hommes est déjà à pied d’œuvre à Zéralda (17-19 juin) tandis que le stage de l’équipe nationale espoir U23 dames se déroule à Azazga, dans la wilaya de Tizi-Ouzou (17 au 19 juin). Par ailleurs, la DTN annonce avoir retenu 24 volleyeuses de la sélection des cadettes pour un stage d’une dizaine de jours à Azazga, Tizi-Ouzou (17 au 26 juin), dans le cadre de la préparation des Jeux africains de la jeunesse qu’abritera Alger cet été.
Ah. A.

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Aïn-Témouchent: 530 projets d’investissements avalisés

Tue, 06/19/2018 - 12:58

Les services de l’investissement à la Direction de l’énergie et des mines de la wilaya de Aïn-Témouchent ont affirmé que la commission chargée du suivi des projets d’investissements a étudié, jusqu’à la fin du mois de mai, 1 451  dossiers relatifs aux projets d’investissements dont 534 ont reçu l’aval de la commission.
Ces projets, qui ont une valeur financière de 124 milliards de dinars, sont répartis sur plusieurs secteurs et permettront de créer 22 130 postes d’emploi. A noter que les mêmes services redoublent leurs sorties  sur le terrain pour le suivi des projets lancés en vue de les accompagner et d’endiguer les problèmes qu’ils rencontrent  notamment dans la zone des activités à Tamazoura, cette zone qui s’étend sur une superficie de 150 hectares et sur laquelle les responsables tablent pour générer des entrées fiscales pour la commune elle-même et pour la wilaya de Aïn-Témouchent.
Par contre, des correspondances ont été adressées aux investisseurs qui ont bénéficié de parcelles de terrain et qui n’ont pas encore démarré leurs projets, soit à Tamazoura où 24 correspondances ont été adressées aux concernés ou à la zone des activités au chef-lieu de wilaya où 39 autres correspondances ont été envoyées.
Ces investisseurs réfractaires seront remplacés par d’autres investisseurs sérieux en vue de créer des projets réels et assurer des postes d’emploi et, par conséquent, générer des entrées fiscales.

Aménagement de 7 routes menant à des douars et villages à Oued-Sebbah
Les services de la commune de Oued-Sebbah ont décidé d’accorder une importance à l’aménagement des différentes routes reliant les douars et villages rattachés à la commune de Oued-Sebbah et dont le nombre avoisine la trentaine.
Selon M. Hamida Baroudi, président de l’APC, la priorité sera donnée au chef-lieu de commune après la réception d’un projet de raccordement des différents réseaux à l’instar de l’eau potable, l’assainissement et le gaz naturel.
Il faut signaler que l’étude relative à l’aménagement des routes pour 7 groupements urbains a été achevée. Elle concerne Zouaïria, Slaïmia-Raïda à partir de la ville de Oud-Sebbah sur une distance de 11 kilomètres, ainsi que la route menant du douar Ghelaïmia sur une distance de 4 km et la route vers le village de Sidi-Slimane à partir de Oued-Sebbah sur une distance de 3 km, une autre route vers le douar de Ouled-Kaddour à partir de la route nationale sur une distance de 3 km.
Le douar Es-Saïda n’est pas en reste du fait que cette concentration urbaine compte un point important sachant que les camions et engins passent par cette localité qui est distante du cheflieu de commune de 5 bornes kilométriques.
S. B.

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Planche à billets : Raouya répond au FMI

Tue, 06/19/2018 - 12:50
    Le ministre des finances Abderrahmane Raouya a défendu lundi la décision de l’Algérie de recourir, depuis la fin 2017, au financement non conventionnel pour couvrir une partie des dépenses publiques en rappelant que le pays était « souverain » dans ses choix économiques et financiers. Invité par la presse à commenter le dernier rapport du FMI sur l’évaluation de l’économie algérienne, où l’institution de Bretton Woods, a suggéré « l’arrêt du financement monétaire dès cette année », M. Raouya a refusé tout recours à l’endettement extérieur par l’Algérie en défendant le choix de recourir au financement direct du trésor auprès de la Banque d’Algérie. « Bien sûre, ils (Le Fmi, ndlr) veulent que l’Algérie aille vers l’emprunt extérieur, mais nous sommes souverains dans notre pays et, en toute objectivité, nous espérons que ça (les résultats du financement non conventionnel) sera comme nous l’avons souhaité », a déclaré M. Raouya en marge de la présentation au Conseil de la Nation du texte de loi organique des lois de finances. Dans son rapport, le FMI a soutenu que les autorités algériennes disposaient encore  » d’une fenêtre d’opportunités » pour « atteindre le double objectif de stabilisation macro-économique et de promotion d’une croissance durable ». Mais cela nécessitera, selon le Fonds, de recourir à un large éventail d’options de financements, notamment l’émission de titres de dette publique au taux du marché, des partenariats publics-privés, des ventes d’actifs et d’emprunts extérieurs pour financer des projets d’investissements bien choisis. L’institution internationale évoque, dans ce sens, un scénario alternatif pour la relance de la croissance en Algérie en suggérant, entre autres, l’arrêt du financement monétaire dès cette année, même si elle note que le gouvernement reste engagé dans son plan de consolidation budgétaire qu’il compte reprendre dès 2019 pour rétablir l’équilibre extérieur et budgétaire dans les délais. Le recours donc au financement monétaire restera limité dans le temps et les risques qui sont associés à ce mode financement non conventionnel seront gérés avec rigueur », relève le FMI.

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Syrie : Des dizaines de combattants étrangers pro-régime tués

Tue, 06/19/2018 - 12:47

Près de 40 combattants étrangers pro-régime ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi dans des frappes sur des positions du régime dans l’est de la Syrie, soit le raid le plus meurtrier depuis février, selon une ONG.

Ces frappes ont visé la ville d’al-Hari, située près de la frontière irakienne, où des milices étrangères se battent au côté du régime de Bachar al-Assad, dans un pays ravagé par une guerre complexe depuis plus de sept ans. «Trente-huit combattants non syriens dépendant des milices loyales au régime ont été tués», a indiqué à l’AFP le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. L’Observatoire, qui dispose d’un vaste réseau de sources à travers le pays, n’a toutefois pas été en mesure d’identifier l’origine de ces tirs, les plus meurtriers depuis des mois contre les forces du régime d’après l’ONG. Les médias d’Etat syriens ont attribué ces frappes à la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis, une affirmation qui a toutefois été démentie par une source au sein de ces forces antijihadistes. Citant une source militaire, l’agence officielle Sana a affirmé que plusieurs personnes avaient été tuées et blessées par des appareils de la coalition américaine, sans fournir de bilan précis. «Il n’y a pas eu de frappes de la part des forces américaines ou de la coalition dans cette zone», a réagi auprès de l’AFP une source de la coalition, indiquant toutefois «être au courant de frappes (…) ayant tué et blessés plusieurs combattants de Kataëb Hezbollah», une milice chiite irakienne patronnée par l’Iran.

Offensives distinctes
Al-Hari est située dans la province orientale de Deir Ezzor, riche en pétrole, où les forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par les Etats-Unis, et les forces gouvernementales syriennes, appuyées par la Russie, mènent des offensives distinctes contre le groupe Etat islamique (EI). L’EI a perdu l’essentiel du territoire qu’il contrôlait depuis 2014 en Syrie et en Irak. Mais le groupe ultra-radical reste présent dans des zones désertiques transfrontalières, notamment dans la province de Deir Ezzor. Les forces gouvernementales contrôlent les terres à l’ouest du fleuve Euphrate, qui traverse la province de Deir Ezzor, tandis que les FDS se battent pour expulser l’EI d’une série de villages situés sur la rive est, près de la frontière irakienne. Une ligne dite de «déconfliction» qui longe le fleuve est en place depuis 2017 afin d’empêcher tout affrontement entre prorégime et FDS. La coalition, qui intervient en Syrie depuis 2014 pour combattre l’EI, a néanmoins frappé des forces du régime ces dernières années. Le 24 mai, douze combattants pro-régime ont péri dans un raid aérien contre des positions de l’armée syrienne au sud de Boukamal, une ville reprise à l’EI par le régime en novembre dernier et située à quelques kilomètres de la frontière. L’OSDH et des médias d’Etat syriens avait attribué cette frappe à la coalition, mais le Pentagone avait nié. Le 7 février, la coalition a reconnu avoir tué au moins 100 combattants prorégime, dont cinq Russes selon Moscou, dans la province de Deir Ezzor, en représailles à une attaque contre des positions des FDS. En septembre 2016, des raids contre des positions militaires du régime, également dans l’est, avaient coûté la vie à plus de 60 soldats syriens. La coalition avait alors indiqué avoir pris les forces du régime pour des jihadistes.

«Couloir vital»
Les frappes contre al-Hari interviennent au lendemain de la reprise par les FDS de Dachicha, un village situé dans le nord de la province de Hasakeh. Dachicha représentait un «fief important» de l’EI dans cette province et se trouvait sur un «couloir vital» reliant autrefois les territoires des jihadistes en Syrie et en Irak, selon le directeur de l’OSDH. «Pour la première fois en quatre ans, Dachicha, une ville réputée pour le transit d’armes, de combattants (…) entre l’Irak et la Syrie, n’est plus contrôlée par les terroristes de l’EI», a commenté lundi Brett McGurk, l’envoyé spécial du président américain auprès de la coalition anti-EI. Déclenché en 2011 par la répression par le régime de manifestations pacifiques pro-démocratie, le conflit en Syrie s’est complexifié au fil des ans avec l’implication de pays étrangers et de groupes jihadistes, sur un territoire morcelé. Il a fait plus de 350.000 morts et jeté à la rue des millions de personnes.

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Mostaganem: Trois frères dealers et leur fournisseur arrêtés

Tue, 06/19/2018 - 01:18
Durant la période du Ramadan, les éléments de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la Police Judiciaire, relevant de la Direction de la Sureté de la wilaya de Mostaganem sont parvenus à démanteler un réseau de narcotrafiquants impliquant 3 frères, habitants le quartier de « El Houria », à Mostaganem et leur présumé principal fournisseur de stupéfiants, le dénommé « El Achâchi ». Considérés  par la police, comme dealers récidivistes, les éléments de cette bande sont  âgés entre 36 et 38 ans, a-t-on appris de source sécuritaire  qui indique que ces trafiquants de drogue  menaient leur activité au niveau de leur domicile, précité. Agissant sur information et après enquête minutieuse de vérification, munie également, d’un mandat de perquisition, délivré par le Procureur de la République, près le tribunal de Mostaganem, la BRI a interpellé l’un des frères en l’occurrence « Kh.B », près de son domicile. Celui-ci, précise la source sécuritaire a opposé une farouche résistance aux agents de la Police Judiciaire dans une vaine tentative d’échapper, par la fuite, à son arrestation. Ayant été maitrisé et fouillé, il fut découvert en sa possession et saisi, 13 morceaux de drogue conditionnée pour la revente, d’un poids de 5,80 grammes et ce, en plus d’une somme de 12.500,00 DA, comme revenu de la vente de la drogue.

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La violence des émissions télévisées, encore déplorée par le ministre

Tue, 06/19/2018 - 01:18
Le ministre de la Communication, M. Djamel Kaouane, a déploré encore, hier le lundi la présence de « beaucoup de violence »  dans certaines émissions, en particulier les caméras cachées diffusées durant le mois de ramadhan.  La responsabilité « incombe beaucoup plus aux gestionnaires des chaines TV privées », appelés à s' »autoréguler, à respecter la loi et à être plus professionnels à l’avenir », affirme le ministre lors d’une visite à la Maison de la presse Tahar Djaout. Par ailleurs, le ministre a annoncé le retour du programme « Fil rouge spécial incendies de forêts » qui sera diffusé par l’ensemble des radios locales au niveau des 48 wilayas du pays, soulignant le « rôle essentiel » des médias en matière de sensibilisation dans la lutte contre les feux de forêts.  Il est à signaler que le ministre de la Communication s’est rendu, par la même occasion, à la Maison de la presse « Abdelkader Safir » à Kouba où il a visité le Centre national de documentation de presse, d’images et d’information (CNPDI), le Centre international de presse (CIP) et la Société de gestion des participations de l’Etat.

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Désertification : 16 millions d’hectares menacés

Tue, 06/19/2018 - 00:42
L’Algérie est en effet frappée de plein fouet par ce fléau aux conséquences désastreuses sur la vie. Les érosions, hydrique et éolienne, travaillent insidieusement au fil des ans à appauvrir les sols par charriage des éléments minéraux de la terre. Le phénomène de la désertification transforme ainsi les terres fertiles et arables en véritables déserts totalement stériles livrant leurs habitants à la malnutrition et, dans un stade plus avancé, à la famine. La désertification des bassins versants non protégés par le manteau végétal au niveau des barrages amputent chaque année ces derniers d’une grande capacité de stockage par envasement. La durée de vie de ces infrastructures vitales et dont la construction est chèrement payée, se trouve ainsi prématurément limitée.  Les spécialistes avancent que 25%¨des terres de la planète sont menacées par la désertification sous les effets combinés de l’avancée du désert, la sécheresse et les activités de l’homme peu respectueuses de l’environnement. En Algérie, les terres les plus fertiles ayant tendance à s’appauvrir, la menace est partout. Il y a d’abord les zones de montagne (4% du territoire), confrontées au problème de l’érosion hydrique et à une surexploitation des ressources naturelles. Ensuite, la steppe et le présaharien, zones arides et semi-arides très sensibles aux processus de désertification à cause notamment d’un pâturage excessif. Enfin, l’espace saharien (87% du territoire) est dominé par des cordons dunaires vastes et mobiles où les infrastructures socio-économiques sont constamment soumises à un ensablement important. Il en est de même pour les nombreuses oasis menacées de disparition.  En conclusion, la carte de sensibilité à la désertification réalisée en 1996 et actualisée en 2010 a démontré que plus de 16 millions d’hectares sont sensibles à la désertification.

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Addictologie: sortie en septembre prochain de la première promotion des médecins spécialistes

Tue, 06/19/2018 - 00:38

La sortie de la première promotion des médecins spécialistes en addictologie est prévue à Constantine en septembre prochain, a fait savoir lundi à Alger la directrice de la prévention et de la communication à l`Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT).  

La première promotion de médecins addictologues sortira en septembre prochain à Constantine à l’occasion de l’organisation d’un colloque national sur l’importance de la formation continue des médecins praticiens pour l’amélioration de la prise en charge des toxicomanes, et ce presque deux ans après la création d’une nouvelle spécialité de formation en sciences médicales, à savoir « le Diplôme d’études supérieures en addictologie » au profit des médecins généralistes et de praticiens dans des centres spécialisés à travers le pays, a précisé à l’APS Mme Gueddache Ghania.

Lancée en 2016, cette promotion, première du genre au niveau national, compte une quarantaine d’addictologues spécialisés dans différents types de drogues pour superviser la prises en charge des toxicomanes dans les 40 centres de désintoxication à travers le territoire national, a-t-elle ajouté.

Ces médecins poursuivent actuellement des cours hospitalo-universitaires dans des services spécialisés à Alger et Blida et ils sont encadrés par des médecins algériens et étrangers en vue de renforcer leurs compétences et mettre à leur disposition de nouveaux moyens d’intervention, a indiqué Mme Gueddache.

« La sortie de cette première promotion en cette nouvelle spécialité est le fruit d’un accord interministériel entre les ministères de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière et de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a-t-elle encore ajouté.

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