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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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06 mois de prison contre les gardiens de parking illégaux

Mon, 07/02/2018 - 21:28

Des efforts colossaux seront déployés à différents niveaux pour mettre fin au stationnement anarchique dans les grandes villes spécialement à Alger, ou on recense plus de 1200 parkings sauvages.

En effet, pour éradiquer ce phénomène et mettre fin aux pratiques des gardiens de parking illégaux, ces derniers risquent d’écoper jusqu’à 06 mois de prison.

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Championnat d’Algérie open: plus de 290 nageurs attendus à Alger

Mon, 07/02/2018 - 20:53
ALGER – Deux-cent-quatre-vingt-treize (293) nageurs dont 99 dames devraient prendre part au Championnat d’Algérie de natation open, prévu du 4 au 8 juillet à la piscine Hacene-Khitmane d’Hydra (Alger), a-t-on appris lundi de la Fédération algérienne (FAN).

Le rendez-vous, prévu dans un bassin de 50m, verra la participation de 39 clubs issus des 13 ligues de wilaya suivantes: Alger, Tipasa, Boumerdès, Béjaïa, Biskra, Tizi-Ouzou, Oran, Tlemcen, Blida, Batna, Sétif, Constantine et Jijel.

Le championnat s’étalera sur 5 jours avec deux séances quotidiennes (les matinées pour les éliminatoires et les après-midi pour les finales).

Par ailleurs, l’instance fédérale a programmé la Coupe d’Algérie de water-polo pour les U16 et U21 garçons à la piscine du 1er-Mai (Alger), les 5 et 6 juillet. La catégorie des U16 regroupera 5 clubs alors que celle des U21 verra la participation de 6 clubs.

Programme de la 1ère journée/Mercredi 4 juillet:

1ère séance (09h00) – séries

– 50m papillon (messieurs)

– 50m nage libre (dames)

– 100m brasse (messieurs)

– 400m quatre nages (dames)

– 800m nage libre (messieurs)

– 100m papillon (dames)

– 200m dos (messieurs)

– 4x200m nage libre (dames)

– 4x200m nage libre (messieurs)

2e séance (17h00) – finales

– 50m papillon (messieurs)

– 50m nage libre (dames)

– 100m brasse (messieurs)

– 400m quatre nages (dames)

– 800m nage libre (messieurs)

– 100m papillon (dames)

– 200m dos (messieurs)

– 4x200m nage libre (dames)

– 4x200m nage libre (messieurs).

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Classement mondial junior: Youcef Rihane, le seul algérien à avoir progressé cette semaine

Mon, 07/02/2018 - 20:50

LONDRES – Le tennisman Youcef Rihane est le seul des douze algériens les mieux classés sur le plan mondial de la catégorie « juniors » à avoir enregistré une petite progression dans le classement de cette semaine, dévoilé lundi par la Fédération internationale de tennis (ITF).

Ses douze compatriotes (huit garçons et quatre filles) ont tous régressé, à commencer par Amen Ali-Moussa et Yanis Benmansour ayant perdu 16 places chacun, au moment où Adel Khalil Radjaâ et Ryad Anseur ont reculé de dix places.

Pour leur part, Samir Hamza Reguig, Matis Amier et Mohamed-Racym Rahim ont perdu neufs places, soit trois de plus que Mohamed-Ali Abibsi, qui lui n’a reculé que de six places cette semaine.

Rihane, qui a gagné une place dans ce nouveau classement reste donc l’Algérien le mieux positionné sur le plan mondial de la catégorie junior (173e), loin devant Reguig (1261e) et le tandem Amier – Rahim, tous les deux à la 1492e plac

Chez les filles, Houria Boukholda a réussi à se maintenir au 1366e rang, qu’elle occupe depuis la semaine passée, au moment où ses compatriotes Lynda Benkaddour, Bochra Rehab Mebarki et Amina Ahlem Felloussa ont toutes enregistré une régression.

Benkaddour, l’Algérienne la mieux classée sur le plan mondial a perdu deux places pour se retrouver au 219e rang. Mais elle reste néanmoins loin devant Boukoulda (1366e), Mebarki (-7 places/2201e) et Felloussa (-10 places / 2428e).

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Supposée fugue d’une volleyeuse algérienne: l’athlète passe « quelques jours » à Nice (Lemouchi)

Mon, 07/02/2018 - 20:47

ALGER – La volleyeuse internationale algérienne Sabrina Tamaloult est en train de passer « quelques jours » à Nice (France) et n’a pas fugué lors des Jeux méditerranéens (JM) qui ont pris fin dimanche à Tarragone (Espagne), a insisté lundi son président de fédération, Mustapha Lemouchi.

« Je voudrais insister sur la validité de son visa Schengen qui court jusqu’au 3 août 2018. La concernée passe quelques jours avec sa soeur à Nice qu’elle a gagnée depuis Barcelone (90 km de Tarragone) », a indiqué Lemouchi à l’APS.

« Notre volleyeuse a disputé tout son tournoi des JM puis demandé l’autorisation de partir du Directeur technique national adjoint, Lyamine Benseghier et du sélectionneur adjoint, Ali Sellah qui lui a remis son passeport pour pouvoir voyager », a-t-il ajouté.

Une déclaration qui vient appuyer la sortie médiatique d’Hassiba Boulmerka, chef de la délégation algérienne en Espagne, laquelle avait insisté sur le fait que la joueuse de la sélection féminine U23 de volley-ball « a reçu l’aval des responsables de la délégation pour quitter le village méditerranéen et rejoindre sa soeur à Barcelone ».

Des « informations » partagées sur les réseaux sociaux et relayées par certains titres de la presse nationale parlent depuis plusieurs jours d’une supposée « fugue » de la joueuse du NR Chlef (19 ans) laquelle aurait quitté le village des athlètes à Tarragone à 2h du matin, ce qui a fait enfler la rumeur.

« Parler de fugue veut dire que personne ne sait où se trouve l’athlète, ce qui n’est pas le cas. Ses parents le savent et ont été contactés par le COA (Comité olympique et sportif algérien) ainsi que par notre sélectionneur. Pourquoi personne ne parle des autres volleyeurs qui ont demandé l’autorisation de quitter le village après leur élimination pour effectuer des activités extra-sportives ? », s’est demandé Lemouchi.

Des vidéos partagées en effet sur les réseaux sociaux montrent des membres de la sélection algérienne masculine de volley au Camp Nou, emblématique stade du FC Barcelone qui organise des visites guidées.

La sélection féminine algérienne de volley-ball (U23), engagée lors des JM-2018, a complètement raté son tournoi, concédant deux défaites face à la Slovénie et au Portugal sur le même score de 3 sets à 0. Elle a terminé dernière du groupe D avec un zéro pointé.

Même chose pour le Six national masculin, qui a perdu ses deux matchs de poule devant la Croatie (3-2) puis la France (3-1).

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Raouya: éventuelle révision des subventions destinées à l’énergie à partir de 2019

Mon, 07/02/2018 - 20:18

ALGER – Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a évoqué lundi une éventuelle révision des subventions destinées à l’énergie à partir de 2019, assurant que l’Etat n’opérera aucun changement sans mener une grande compagne de communication dirigée vers les citoyens.

« L’actuelle politique de subventions ne peut pas continuer comme ça pour l’équité sociale. Dans sa forme actuelle, le simple citoyen ne peut pas profiter de cette politique mieux que quelqu’un qui dispose d’un revenu plus important, ce n’est pas normal », a soutenu M. Raouya sur les ondes de la radio nationale.

« Rien ne sera fait tant que nous ne disposerons pas de l’ensemble des paramètres permettant l’identification des ménages, les montants alloués, ainsi que la manière d’y procéder »(assure Rouya)

Affirmant que son département mène actuellement des études sur l’actuelle politique de subventions à travers une commission mise en place qui travaille en collaboration avec la Banque mondiale, le ministre a expliqué que ces études montrent que les ménages à bas revenus profitent des subventions allouées aux produits de base (huile, sucre…) à hauteur de 7% du montant global de la subvention, alors que les personnes a fort revenu en bénéficient avec le double de ce pourcentage: « il faudrait y remédier », a-t-il relevé.

« Nous ne toucherons pas aux subventions tant qu’on n’a pas encore terminé nos études en la matière. Et lorsqu’on les terminera, cela va se faire avec l’ensemble des pouvoirs publics. Nous devrions nous asseoir autour d’une table, les rediscuter et, par la suite, mener une grande compagne de communication dirigée vers nos citoyens pour leur expliquer comment on doit procéder », a avancé le ministre.

N’écartant pas l’ouverture d’un « débat national » avant toute révision des subventions, le ministre a, néanmoins, évoqué une éventuelle révision des subventions destinées à l’énergie à partir de 2019 si, bien évidemment, on sera prêt à le faire ».

Par ailleurs, concernant le recours au financement non conventionnel et les éventuels risques d’inflation qu’il peut engendrer, notamment après les observations faites par le FMI, le ministre a rappelé que « Algérie est souveraine de choisir cette voie », ajoutant que « cela n’est pas sans risques, mais le risque est mesuré ».

« Nous prenons l’ensemble des règles de rigueur pour pouvoir maitriser cet aspect du financement non conventionnel qui est destiné beaucoup plus à l’investissement pour maintenir une croissance soutenue », a-t-il insisté, notant que les prévisions tablaient sur un taux d’inflation de 5,5% en 2018, alors qu’il est encore autour de 4% actuellement, et se situerait à une moyenne de 4,3% sur toute la période 2018/2020.

M. Raouya a, en outre, exclu tout recours à l’endettement externe sauf pour « certains cas » où le rendement est « assez appréciable », citant l’exemple du financement du projet du port Centre d’El Hamdania (Cherchell) « qui peut être financé par un crédit de la Chine ».

A propos de l’affaire de saisie des 701 kg de cocaïne et l’éventualité de l’implication de douaniers ou d’agents de l’administration fiscale, M. Raouya a indiqué que « rien n’est encore confirmé, mais l’Etat est déterminé à lutter contre toutes les pratiques frauduleuses ».

« Nous luttons sans merci contre la corruption qui peut engendrer de graves conséquences sur l’Etat », a-t-il fait valoir.

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Boumerdès: un baron du pillage de sable condamné à 18 mois de prison ferme

Mon, 07/02/2018 - 17:18

Le tribunal correctionnel de la ville de Boumerdès a condamné, en première instance, un baron du pillage de sable marin des plages de Zemmouri à 18 mois de prison ferme. Son complice, arrêté en sa compagnie, a écopé de la même peine. La justice les accuse de vol de sable marin.
Pour rappel, ces deux suspects ont été arrêtés fin mai par les gendarmes de Thénia alors qu’ils escortaient deux camions chargés de sable volé d’une plage du village de Hadj-Ahmed, près de Zemmouri, localité surnommée la bourse du sable.
Un peu plus tard, un autre pilleur, entrepreneur et proche de ce baron, a été arrêté par les éléments de la BMPJ de Zemmouri alors qu’il tentait de fuir.
Mercredi, deux autres pilleurs ont été arrêtés. En tout état de cause, nos sources indiquent que même si le baron cité plus haut a été condamné – il ne peut être maintenu indéfiniment en détention provisoire – les magistrats sont décidés à poursuivre leur enquête sur ce pillage qui rapporte des milliards aux délinquants lesquels, au moyen de la corruption, se permettent de piétiner les lois de la République, de s’emparer des terrains du domaine national et de construire des villas au vu et au su des responsables locaux, souvent complices.
Dans cette situation, les citoyens ne peuvent qu’espérer que l’institution judiciaire aille jusqu’au bout de son engagement.
Abachi L.

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Tiout (Naàma): les parents d’élèves demandent la réalisation d’un collège

Mon, 07/02/2018 - 17:12

Face à l’augmentation des effectifs dans le seul collège (établissement primaire transformé en collège) dont dispose la commune de Tiout et vu la distance qui sépare ce collège aux nouvelles habitations issues de l’extension du tissu urbain de la commune (2 à 4 km), les parents d’élèves sollicitent des pouvoirs publics l’inscription d’un éventuel projet pour la réalisation d’un CEM dans le quartier populeux Moula-Abdelkader sis à l’entrée de Tiout.
D’ailleurs, cette commune n’a jamais bénéficié d’un collège moyen, or, l’établissement existant était à l’origine une école primaire qui a été transformée à la hâte et dépourvue de toutes les structures nécessaires pour un CEM, indique-t-on.
L’unique d’ailleurs, qui n’arrive plus à contenir tous les élèves issus du chef-lieu de la commune et des hameaux environnants.
L’effectif des élèves devient de plus en plus lourd, il est actuellement de 37 à 40 par salle dans les 14 classes que compte cet établissement, alors que d’un autre côté, les filles abandonnent le collège au fur et à mesure qu’elles grandissent, vu la distance qui sépare le CEM de leurs habitations.
«Nous voulons des écoles près de chez nous, afin que nos enfants réussissent, car faire une navette de 4 kmx4 fois/jour à pied, surtout pour les filles, nous pensons que l’Etat déploie chaque année et continue à déployer des sommes colossales pour la scolarisation des enfants, dans la réalisation de grands projets scolaires (établissements primaires, moyens, secondaires, universitaires, centres de formation etc.) ; il y va donc de notre grand souci pour l’éducation de nos enfants», ont encore indiqué les parents d’élèves.
B. Henine.

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TLS Contact: annonce une nouvelle note

Mon, 07/02/2018 - 17:12

TLS Contact: annonce une nouvelle note concernant le renouvellement du visa de circulation: « Tous les demandeurs de visa Schengen, y compris les détenteurs de visa de circulation, un dossier complet conformément à la réglementation Schengen (Notamment, preuves de ressources et justificatifs d’hébergement confirmés ».  

Les demandeurs de visa doivent fournir tout les justificatifs nécessaires de ressources ainsi que ceux de l’hébergement, informe TLS Contact.

LDJ. Sarah

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Constantine: changement dans les structures de l’APC

Mon, 07/02/2018 - 17:09

Le maire de Constantine Nadjib Arab devrait effectuer un remaniement au niveau des structures de l’APC. Ce changement est prévu très prochainement et s’effectuera lors d’une session extraordinaire, selon Abd El Hamid Chibane qui a présidé par intérim la dernière séance ordinaire.
L’une des raisons d’un remaniement, c’est la vacance du poste de vice-président du patrimoine qui dure depuis l’installation du P/APC, car l’ex-P/APC Ali Mechaâr à qui, ce poste revient refuse, pour des raisons de santé, de prendre ses fonctions.
Le FLN avec la majorité écrasante de 28 sièges devant les 15 partagés entre l’opposition, ne souffre d’aucune pression politique de cette dernière, constituée du RND et El Islah. Donc aucune crainte pour Nadjib Arab à conduire ce remaniement et aller jusqu’au bout de ses intentions, c’est cela qui pourra insufler un nouveau dynamisme à l’APC, selon l’analyse faite par certains de l’entourage du P/APC, qui affirment «que la feuille de route de ce quinquennat a été déjà tracée par la mairie qui a mis le paquet dans les six mois écoulés ; reste qu’il mène, seulement, la baraque le restant du mandat avec succès».
Par ailleurs, il a été décidé lors de la tenue de la dernière session ordinaire de plusieurs projets dont la démolition des immeubles menaçant ruine à la cité Benboulaid validée pour une enveloppe de 27 132 000,00 DA et avec un délai de 52 jours.
Aussi, on notera un projet de réalisation d’un réseau d’assainissement au niveau du côté supérieur de l’Onama dont le montant a été fixé à 19 593 404,00 DA et un délai de réalisation de 7 mois, puis la réalisation d’un réseau d’assainissement à la cité El Amel, à proximité de la cité du 1er-Novembre avec 20 896 39,00 DA sur une période de 5 mois.
En ce qui concerne le volet assainissement, l’APC a octroyé à la Société polyvalente des travaux et d’environnement, Divindus (SOPT), à titre de gré à gré, le marché de 9 secteurs de collecte au niveau du centre-ville, pour 6 mois avec 97 987 987,83 DA. Cette même entreprise publique (SOPT) a eu 23 secteurs de collecte au niveau du côté Est de la ville, et ce, par le biais du marché gré à gré qui sera, comme le précédent marché sus-cité, présenté pour visa au niveau de la commission de wilaya des marchés, affirme-t-on dans la lecture du rapport de présentation.
Ilhem Tir

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7e rencontre nationale des clubs verts à Boumerdès: l’environnement sous le regard des jeunes

Mon, 07/02/2018 - 17:07

L’Office des établissements des jeunes (Odej) de Boumerdès organise du 30 juin au 5 juillet la 7e rencontre nationale des clubs verts. Selon Ahmed Kara, le directeur de l’Odej de Boumerdès, 28 wilayas ont jusqu’à présent confirmé leur participation.
Durant ces journées d’échanges entre environ 500 jeunes, membres des clubs verts venant de différentes régions du pays, pas moins de 50 stands d’exposition seront installés.
La préservation de l’environnement, le civisme et la citoyenneté seront les thèmes que développeront les exposants. En plus de ces expositions, des tables rondes et des conférences seront animées. Trois concours seront également organisés.
Le premier concerne le meilleur projet sur l’environnement, le second portera sur le meilleur stand et le troisième concernera le meilleur dessin d’enfant sur la préservation de l’environnement. «En plus de ces expositions, un riche programme culturel sera mis en exécution. Par ailleurs, nos invités découvriront notre wilaya à travers des sorties», dira Kara.
Juste après cette rencontre, les établissements sous la tutelle de l’Odej de Boumerdès, notamment les auberges de jeunes et les camps de jeunes de la wilaya reprendront leurs activités d’été dans le cadre du programme de la mobilité des jeunes pour accueillir plus de 1 600 jeunes venant principalement des régions du Grand Sud du pays.
Abachi L.

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Mondialisation, corruption et criminalité transnationale organisée: comment y faire face ?

Mon, 07/02/2018 - 17:04

Récemment a été publié en France un ouvrage d’une grande actualité, notamment par rapport à la situation très inquiétante que connaît l’Algérie en matière de grande corruption et de criminalité transnationale organisée. Ce livre Argent sale : à qui profite le crime ?(*) est l’œuvre de Sylvie Matelly, économiste et directrice adjointe de l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), et Carole Gomez, chercheuse à l’Iris. Nous publions ci-dessous quelques extraits d’entretiens accordés par les deux auteures.

Définir l’argent sale. Pour paraphraser le philosophe Thierry Ménissier(**), qui désignait ainsi la corruption, l’argent sale est une notion aussi bien parlante que mal définie. Si l’on comprend aisément de quoi il s’agit, arriver à poser un cadre, à définir est en revanche plus complexe. Alors que certains, comme Éric Vernier(***), par exemple, feront entrer dans cette catégorie tout flux d’argent issu d’activités illégales et immorales, d’autres nuanceront en ne prenant en compte que les activités illégales, issues par exemple de la criminalité organisée. Pour notre part, nous raisonnons en creux, c’est-à-dire que nous considérons comme argent sale tout argent qui doit connaître un blanchiment, pour pouvoir être réinjecté dans l’économie mondiale. En effet, l’argent sale issu d’activités répréhensibles se nourrit de tout un ensemble d’activités légales en tête desquelles se trouve, par exemple, l’optimisation fiscale. Ainsi, dans notre ouvrage, nous revenons sur les questions de corruption, de financement du terrorisme, de contrefaçon, de caisses noires et évidemment sur la question des paradis fiscaux. La difficulté de la règle est qu’elle est moins rapide que les techniques de fraude et de «production» de l’argent sale. Le temps de la loi est long, les détournements, crimes, évasions fiscales et autres phénomènes de l’argent sale vont très vite. Au-delà de la difficile définition qualitative, ce constat est renforcé par l’impossible quantification du phénomène d’argent sale, où des chiffres variant du simple au quintuple sont présentés.
Des estimations de 2 000 milliards de dollars, de 8% du PIB mondial et bien d’autres sont avancées. À la lecture de ces données, un constat s’impose rapidement : il est impossible d’estimer avec précision cette manne financière, sauf à raisonner par secteurs, mais qui, là encore, donneront des estimations, lesquelles, d’un spécialiste à l’autre, seront extrêmement variables. Dans ce contexte, les seuls moyens qui peuvent être efficaces dans la lutte contre ce phénomène sont culturels et liés au contrat social telles l’acceptation de l’impôt, la lutte contre les inégalités, etc. En d’autres termes, l’argent sale est d’abord et avant tout un choix de société !

Mondialisation, facteur d’aggravation de la corruption ?
La corruption constitue toujours un transfert d’argent. Dans ce contexte, quand la mondialisation facilite les transferts internationaux et conduit à une accumulation sans précédent dans l’histoire de l’humanité des richesses, tous les ingrédients sont là pour que le phénomène s’aggrave. Il n’est pas sûr toutefois qu’il se soit aggravé d’un point de vue relatif, c’est-à-dire pour ce qui concerne la part de ces richesses qui conduit à de la corruption.  En effet, il y a à peine quelques décennies, la corruption était une pratique courante à peu près partout dans le monde et cela était, au mieux, toléré, au pire, considéré comme inévitable.
Aujourd’hui, la corruption est devenue quelque chose d’inacceptable dans de nombreux pays et par une part toujours plus nombreuse de la population mondiale. Les entreprises savent toutes qu’elles prennent d’énormes risques, à la fois légaux mais également réputationnels, en proposant des pots de vin pour obtenir un marché. Cela ne signifie pas qu’elles ne le font plus mais c’est une épée de Damoclès au-dessus de leur tête, pouvant entraîner leur disparition.
Nul doute que nombre d’entre elles y ont renoncé, le risque étant devenu trop grand. Et cette situation est aussi liée à une mondialisation qui connecte tout le monde et fait circuler très vite toutes les informations.

«Le temps de la loi est long»
La lutte contre l’argent sale peut être comparée à la lutte contre le dopage. Elle est indispensable, elle parvient à certains coups de filet, mais elle n’avance malheureusement pas au même rythme que ce qu’elle dénonce. La difficulté de la règle est qu’elle est moins rapide que les techniques de fraude et de «production» de l’argent sale. Le temps de la loi est long, les détournements, crimes, évasions fiscales et autres phénomènes de l’argent sale vont très vite. Autre limite, les règles restent aujourd’hui nationales alors que le phénomène de l’argent sale est mondial et internationalisé.
Les politiques peuvent être dans certains cas irresponsables ou mal avertis du phénomène mais ils sont le plus souvent impuissants.  Pourtant, la lutte doit se poursuivre, il est impossible d’accepter cela et il faut continuer à la fois à tenter de trouver des parades et à œuvrer pour que des règles globales soient mises en place.
On critique beaucoup les États-Unis quant à leur activisme politique en la matière qui menacerait la souveraineté des autres pays (ce qui est vrai, au demeurant !), mais force est de constater que cela produit des effets. Il suffit de relire l’histoire récente de la lutte contre la corruption… Ce qui est dommage c’est qu’ils ne soient pas plus imités dans leur activisme ! Cela présenterait deux avantages : contrebalancer le poids de ce pays et œuvrer contre l’argent sale.

Rôle de la société civile
Le rôle de la société civile est, sur cette question, immense. Par des manifestations monstres qui ont pesé sur les destitutions de chefs d’État, par l’activité d’ONG qui enquêtent et qui mettent en lumière l’activité de certains hommes et femmes politiques et entreprises, par l’influence croissante des lanceurs d’alerte ayant permis le dévoilement des différents scandales (UBSLeaks, LuxLeaks, Panama Papers, etc.), la société civile pèse de tout son poids sur les politiques à la fois nationales et internationales. Il s’agit évidemment d’un processus long et qui ne portera ses fruits que dans quelques années, voire quelques dizaines d’années, mais cela contribue considérablement au regard que nous portons sur les choses. À toutes fins utiles, il convient de se souvenir qu’il y a encore quelque temps, parler des paradis fiscaux, outre la dimension exotique de la chose, mettait surtout en avant le côté astucieux, presque filou de la manœuvre.
Ce n’est qu’avec des études, des enquêtes, des recherches que l’on a pu prendre conscience de l’impact désastreux de l’évitement de l’impôt sur les sociétés.
Synthèse  LSC

(*) Sylvie Matelly, Carole Gomez, Argent sale, à qui profite le crime ?, éditions Eyrolles (France), 2018.
(**) Thierry Ménissier est un philosophe français, spécialisé en philosophie politique et en histoire des idées.
(***) Eric Vernier, docteur ès sciences de gestion, chercheur à l’Iris et consultant international. Il est l’auteur de Techniques de blanchiment et Fraude fiscale et paradis fiscaux chez Dunod (France).

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Khemis Miliana: arrestation de 3 revendeurs de drogue et saisie de 126 comprimés psychotropes

Mon, 07/02/2018 - 16:58

Exploitant une information faisant état d’un commerce de psychotropes dans le quartier Souffay, à l’est de la ville de Khemis Miliana, les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de daïra ont procédé à une opération coup-de-poing dans ce quartier, indique-t-on de source policière.
Une surveillance discrète du domicile de l’individu soupçonné de se livrer à ce commerce et au moment où il venait de garer son véhicule près de l’appartement qu’il occupait seul, et dont il en avait fait le lieu de son trafic, a conduit à son interpellation. La fouille de la voiture par les policiers a permis de découvrir dans le coffre arrière 40 comprimés psychotropes et des fioles contenant des solutions aussi dangereuses. Forts d’un mandat de perquisition délivré par le procureur de la République, les enquêteurs ont découvert disséminé dans des vases et autres potiches, un lot de 86 autres de ces comprimés, 2 fioles de solutions à l’instar de celles découvertes dans la malle de la voiture, 21g de kif traité, 3 armes blanches dont 2 de grand format ainsi qu’un fusil de chasse factice, en plus d’une somme de 18 000 DA provenant du commerce auquel le mis en cause se livrait. Continuant leurs investigations, les policiers ont procédé à l’arrestation de deux autres individus impliqués dans ce commerce. Déférés au parquet de Khemis Miliana, les trois individus, âgés entre 23 et 31 ans, après avoir été entendus par le juge d’instruction, ont été placés en détention provisoire par le magistrat.
Karim O.

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Jijel: un enfant meurt noyé à Aïn-el-Mechaki

Mon, 07/02/2018 - 16:53

Un enfant a trouvé la mort par noyade vendredi dans l’oued El-Mechaki relevant de la commune de Selma, a-t-on appris auprès d’une source locale proche de sa famille.
La victime répondant aux initiales de Chaker K., âgée de 11 ans et originaire de la commune de Chahna, était en compagnie d’une section de scouts musulmans en excursion dans cette région montagneuse.
On apprend, par ailleurs, que la noyade s’est produite aux environs de 14 heures dans ce oued fortement fréquenté.
La dépouille de la victime a été déposée à la morgue de l’hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel. Les services de sécurité ont ouvert une enquête pour déterminer les causes et les circonstances de cet incident tragique .
Bouhali Mohamed Cherif

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Il est le pionnier de la World music: Manu Dibango célèbre ses soixante ans de musique

Mon, 07/02/2018 - 16:51

«Mamako  mamassa, mako makossa !» Qui ne se souvient pas de ce légendaire début de chanson suivi d’un tout aussi légendaire solo de saxo ! L’auteur de ce super tube africain est bien sûr Manu Dibango, un artiste dont on se souvient aussi qu’il s’est produit en Algérie.
Manu Dibango célèbre cette année  ses soixante ans de musique. En cette occasion, l’artiste camerounais a donné vendredi un concert unique à Abidjan, capitale de la Côte d’Ivoire. Pendant près de deux heures de spectacles, l’auteur de  Soul Makossa  (1972), énorme  tube planétaire qui lui avait ouvert  les portes des Etats-Unis, a offert un véritable récital de  saxophone.  Le public  du palais des congrès de l’Hôtel Ivoire d’Abidjan n’a  pas résisté aux titres comme  Somaloba  ou  Sango, reprenant en chœur les chansons.
«Je suis très heureux, je souhaite ça à d’autres artistes d’arriver à 60  ans et d’être aimés par un public et par les artistes», a déclaré à l’AFP le chanteur  âgé de 85 ans. Interrogé sur sa capacité de tenir encore sur scènes malgré le poids de  l’âge, l’artiste  a répondu : «cette force, je la tire du public.»
Le musicien a déjà  séjourné en Côte d’Ivoire dans les années 1970 où il a dirigé pendant  plusieurs années l’orchestre de la RTI.
A cette époque, ce pays était la plaque tournante de la musique africaine et a vu éclore des chanteurs comme les Maliens Salif Keita, Amadou & Mariam ou le Guinéen Mory Kanté.
«C’est un honneur de revoir Manu Dibango en Côte d’Ivoire, plus de 40 ans  après», a déclaré  le ministre ivoirien de la Culture Maurice Bandama.
Pour la star  ivoirienne, Aïcha Koné, qui a appris à ses côtés, «Manu Dibango est une école».
Emmanuel N’Djoké Dibango, dit Manu Dibango, le saxophoniste et chanteur camerounais de world jazz, est né le 12 décembre 1933 à Douala. Le 3 février 2009, Manu Dibango avait assigné en référé les maisons de disques de Michael Jackson et de Rihanna  pour avoir utilisé sans autorisation le thème de Soul Makossa. Finalement la procédure se solde par un arrangement financier à l’amiable. Manu Dibango, surnommé parfois «Le Baobab»,  c’est huit  décennies dont six consacrées à la musique. Il est une des personnalités les plus marquantes de ces 50 dernières années. Père de la world musique, premier disque d’or d’un artiste africain aux Etats-Unis avec Soul Makossa  qui n’en finit plus d’être samplée par tout.
Lors d’un de  ses concerts à Alger, quelqu’un avait sifflé dans la salle. «vous croyez que ça c’est un sifflet ? Voilà comment on siffle !» avait fait remarquer Manu Dibango on lançant «un vrai sifflet». Le public avait apprécié cette réaction d’un vrai Africain. C’est ça, Manu Dibango !
Kader B.

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En 5 mois, les pays africains ont déjà emprunté près de 11 milliards de dollars sur le marché international : risques et opportunités

Mon, 07/02/2018 - 16:51

(Ecofin Hebdo) – Les gouvernements d’Afrique subsaharienne ont renoué cette année 2018 avec une intense activité sur le marché des emprunts souverains (étrangers), via l’émission des obligations internationales sur les marchés des capitaux occidentaux (encore appelés Eurobonds). Rien que sur les premiers mois, cinq pays de la région (Kenya, Nigeria, Sénégal, Ghana et Afrique du sud) ont mobilisé un montant cumulé de 10,7 milliards $. Cette dynamique des Eurobonds semble désormais indissociable de l’analyse et la compréhension des cadres macroéconomiques des pays de la région

On ne sait pas encore si le niveau d’émission d’eurobonds de 2018 battra celui de 2017 (18,5 milliards $), mais deux pays, Angola et Tanzanie, sont dans le pipe, marquant un appétit constant pour ce mode de financement par les gouvernements africains. Dans son rapport Pulse Africa, publié en avril 2018, la Banque mondiale relevait que les dettes issues de ces opérations représentaient désormais 19,8% du PIB (produit intérieur brut), contre 9,7% en 2007.

Concervence d’intérêts entre les pays africains et les investisseurs

L’Afrique subsaharienne hors Afrique du sud, est donc devenue mature dans ce type d’opération, aidé par une conjoncture internationale et des conditions macroéconomiques qui lui ont été favorables. A l’exception de quelques pays, peu de pays émetteurs dans la région, se sont retrouvés en position de défaut. Il est vrai que la notation du Gabon a été ramenée à spéculative par Moody’s et que le Congo Brazzaville doit batailler avec de nombreux créanciers privés.

Plusieurs pays africains arrivent sur ce marché des capitaux, en raison de la facilité à mobiliser des ressources en devises étrangères, nécessaires pour le financement de leurs infrastructures. Les investisseurs, eux, continuent d’être séduits par les perspectives de rendement qu’offrent ces produits financiers.

Plusieurs pays africains arrivent sur ce marché des capitaux, en raison de la facilité à mobiliser des ressources en devises étrangères, nécessaires pour le financement de leurs infrastructures. Les investisseurs, eux, continuent d’être séduits par les perspectives de rendement qu’offrent ces produits financiers.

La croissance économique dans la sous-région reprend, certes timidement, une tendance haussière. Elle est annoncée à 3,7% en 2018, contre 2,4% en 2017. Dans le même temps, la crise des matières premières s’est traduite par une amélioration du déficit courant (situation où un pays effectue plus de paiement extérieur qu’il n’en reçoit). Il est passé de 4,1% du PIB en 2016 à 2,6% au terme de l’année 2017. Mais cet indicateur devrait se dégrader légèrement en 2018.

De même, l’inflation moyenne dans la région s’est aussi légèrement améliorée. Elle était juste de 10% à la fin de l’exercice 2017, contre 12,7% en décembre 2016, et selon des analyses concordantes sur l’économie de la région, les prix devraient connaître une modeste progression en 2018. Enfin, les investisseurs et autres gestionnaires d’actifs monétaires, tirent des rendements plus intéressants que ce qu’offrent d’autres obligations émises sur des marchés plus matures, jugées en théorie, moins risquées.

Un appétit pour les eurobond qui n’est pas sans risques

Cette dynamique quoique positive, ne va pas sans créer des préoccupations, notamment sur la soutenabilité d’un fort endettement pour des pays aux structures économiques encore faibles, et dont les systèmes de production reposent majoritairement sur des activités de rentes, alors que l’essentiel des consommations est tourné vers des produits à plus forte valeur ajoutée, venus de l’extérieur. Au-delà de la position de la Banque Africaine de Développement qui estime qu’en valeur, l’Afrique n’est pas surendettée, plusieurs analyses reviennent sur les risques associés aux eurobonds, qui pourraient ne pas tarder à surgir.

Le premier est le risque de change. Le fait que ces obligations internationales, soient émises dans des devises étrangères, expose à un risque d’accroissement important de la dette. Selon des analyses produites par le Cadre pour une Annulation de la Dette des Pays du Tiers Monde, les variations de change, à elles seules, avaient contribué à alourdir le service de la dette de nombreux pays. Rien que sur les intérêts, ils ont remboursé plusieurs fois l’équivalent du montant principal emprunté. Un tel risque n’est pas écarté pour l’endettement actuel.

Les variations de change, à elles seules, avaient contribué à alourdir le service de la dette de nombreux pays. Rien que sur les intérêts, ils ont remboursé plusieurs fois l’équivalent du montant principal emprunté. Un tel risque n’est pas écarté pour l’endettement actuel.

Le deuxième risque associé aux eurobonds des pays africains est celui de la situation des taux d’intérêts sur d’autres marchés. Dans ce contexte, l’évolution des taux directeurs par la réserve fédérale américaine est particulièrement à suivre. Une hausse continue de ces taux, va avoir comme effet de réduire l’intérêt pour les obligations africaines et par conséquent d’augmenter les coûts des futurs emprunts souverains africains.

Le troisième défi est plus global et concerne les chocs extérieurs. En général, les pays défendent leurs capacités à rembourser les emprunts réalisés, par le niveau de leurs revenus extérieurs. Dans ce contexte, la menace réside dans une baisse de la demande internationale sur certains produits de base (commodities), qui constituent le gros des exportations d’Afrique subsaharienne. En Afrique centrale, par exemple, la baisse des prix des matières premières (pétrole et autres) et l’obligation de poursuivre avec certains chantiers d’infrastructures, ont malmené les comptes de ses pays membres.

Très peu de pays africains, ont produit un bilan de l’utilisation qui a été faite des ressources mobilisées. Elles étaient initialement destinées à la construction d’infrastructures, mais dans plusieurs cas, elles se sont retrouvées à gérer des dépenses courantes.

Il semble exister enfin un problème d’efficience. Très peu de pays africains, ont produit un bilan de l’utilisation qui a été faite des ressources mobilisées. Elles étaient initialement destinées à la construction d’infrastructures, mais dans plusieurs cas, elles se sont retrouvées à gérer des dépenses courantes. Dans certains cas extrêmes, il se pose un défi de corruption ou de détournement des fonds par des dirigeants.

Des alternatives possibles, mais complexes

Dans un tel contexte, de nombreuses alternatives sont proposés. La Société financière Internationale et aussi la Banque Africaine de Développement encouragent et travaillent à développer un marché local des capitaux. Mais l’initiative obtient des réponses très lentes. En effet, la mobilisation des ressources internes se heurte au verrou de la contrepartie extérieure qui nait de l’obligation pour les pays africains de souvent contracter avec des entreprises étrangères pour leurs infrastructures.

Une autre approche qui est celle de la Banque africaine d’import-export (Afrexim Bank) est celle qui consiste à inviter les pays africains à financer eux même leur développement, en ayant recours aux excès des avoirs en devises des banques centrales, pour soutenir notamment la transformation structurelle de leurs économies.

les pays africains emprunteurs peuvent également se montrer plus efficients dans la réalisation de ces opérations. Du moment qu’ils n’ont pas d’autres choix que de solliciter ces mécanismes de financement, les ressources mobilisées devraient servir aux financement de projets, permettant d’encourager surtout les exportations, ou de dynamiser davantage l’activité économique avec un effet multiplicateur réel sur l’économie.

La progression de l’émission des eurobonds d’Afrique subsaharienne sera donc à suivre. Mais avec le Fonds Monétaire International, qui est désormais revenu dans son rôle de sauveur pour certains pays africains, il n’est pas exclu qu’on assiste à un ralentissement de ce type d’émission. L’institution de Bretton Woods, dans ses différentes interventions en Afrique, encourage les pays à rechercher plus de dette concessionnelles au détriment de la dette privée.

Idriss Linge

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Recette: Mille feuille de pommes de terre et poivrons

Mon, 07/02/2018 - 16:48

800 g à un 1 kg de pommes de terre, 1 poivron rouge, 1 poivron vert, 75 cl de lait entier, 30 cl de crème fraîche épaisse, 1 gousse d’ail, 1 branchette de sauge, sel, poivre
Lavez les poivrons. Plongez-les une minute dans l’eau bouillante. Egouttez-les, rafraîchissez-les et pelez-les. Epépinez-les et coupez-les en larges lanières. Pelez et coupez les pommes de terre en rondelles. Lavez, séchez, effeuillez et ciselez la sauge. Préchauffez le four th 5 (150°). Frottez l’intérieur d’un plat à gratin avec la gousse d’ail coupée en deux. Mettez une couche de pommes de terre dans le fond du plat. Recouvrez-la d’une couche de crème fraîche puis d’une couche de poivron vert. Parsemez de sauge, salez et poivrez. Recommencez l’opération en recouvrant cette fois les pommes de terre de poivron rouge puis terminez par une couche de pommes de terre. Versez le lait pardessus et enfournez. Faites cuire 2 heures.

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Fruits et légumes: des prix toujours hors de portée

Mon, 07/02/2018 - 16:30

Les prix des fruits et légumes restent exagérés pour nombre de bourses. Ces marchandises semblent ne plus obéir ni à la loi de l’offre et de la demande, ni à la saison de récolte. Pour les marchands, seul le gain compte.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Les saisons se succèdent et les récoltes des fruits et légumes aussi mais au fil des jours, leurs prix ne baissent pratiquement pas. Réputé pour la diversité des fruits, l’été lui aussi ne déroge pas à la règle des autres saisons. Là aussi, les prix de ces marchandises restent assez élevés. Arrivée sur les étals des marchés il y a quelques semaines, à 700 dinars le kilogramme, la cerise est aujourd’hui proposée entre 400 et 500 dinars au marché T’nache de Belouizdad à Alger. Ce prix demeure pourtant inaccessible pour nombre de bourses. Les plus gourmands se contentent de demander l’équivalent de 100 ou de 200 dinars, histoire de goûter à ce fruit qui donne tant envie.
Idem pour la nectarine, la pêche, la prune et la figue dont le prix ne descend pas à moins de 250 dinars. Vendue à 200 dinars le kilo, la pomme reste elle aussi, assez chère.
Seuls l’abricot et la fraise affichés respectivement à 130 dinars et 150 dinars connaissent une légère baisse de prix. Le melon Galia persiste à 60 dinars le kilo et le melon jaune à 80 dinars. Tant prisés en ces temps de fortes chaleurs pour leur richesse en eau, le melon et la pastèque aux prix affichés, se font apparemment désirer.
Quant à la banane, son prix continue de faire de la résistance. Aujourd’hui, elle est proposée à 300 dinars. Face à des prix pareils, les étals des fruits sont loin d’attirer les clients. Ici, les passants se contentent de demander les prix avant de reprendre leur tournée quotidienne du marché.
Au rythme des prix affichés, les fruits restent toujours des produits «accessoires» ou de «luxe» pour la plupart des consommateurs. Pour eux, les légumes sont les produits nécessaires et indispensables. Pourtant côté légumes, le constat est le même. Le prix de l’incontournable tomate contredit toute logique. Affichée à 120 dinars le kilogramme, la tomate est censée connaître des prix cassés en ces températures élevées. Pourtant, ce n’est pas le cas. Tous les légumes proposés, de saison ou hors saison n’obéissent plus ni à la loi de l’offre et de la demande ni à la saison de sa récolte. L’haricot vert et l’haricot rouge maintiennent leur prix de 200 dinars le kilo depuis quelque temps. Le chou-fleur vient après avec 150 dinars puis le poivron, le piment et l’aubergine à 120 dinars. Le navet, le concombre, la laitue et la betterave sont vendus à 100 dinars. Les plus accessibles sont la courgette affichée à 80 dinars, la carotte à 70 dinars et l’oignon à 60 dinars. Maintenue entre 60 et 55 dinars le kilo, la pomme de terre ne semble pas prête à lâcher prise. Son prix est maintenu depuis plusieurs mois, été comme hiver, indépendamment de sa disponibilité ou non.

Le poulet poursuit sa hausse 
Depuis le mois de Ramadhan, le prix du poulet ne cesse de mener une courbe ascendante. Alors qu’il ne dépassait pas les 290 dinars au début du mois de mai dernier, le poulet éviscéré affiche aujourd’hui, 390 dinars le kilogramme, soit 100 dinars de plus en moins de deux mois. Les marchands de volaille imputent cette hausse aux fortes températures qui se sont bien installées. «Dés qu’il commence à faire chaud, les aviculteurs n’investissent pas beaucoup et réduisent leur reproduction pour éviter les pertes de poulet», explique Toufik. Selon ce vendeur au marché T’nache, cette hausse du prix du poulet s’est accentuée depuis trois jours. Un timing qui coïncide justement avec la canicule ressentie ces derniers temps.
Ry. N.

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Conclave antiacridien à Alger: 10 pays africains et la FAO concernés

Mon, 07/02/2018 - 16:28

Un atelier régional sur la gestion de l’information acridienne est organisé depuis hier à Alger et s’étalera sur quatre jours. Les organisateurs de cet atelier, en l’occurrence la Commission de lutte contre le criquet pèlerin dans la région occidentale (CLCPRO), un organe de l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a fixé comme objectif «la coordination des différents acteurs dans la collecte des informations».
Abder Bettache – Alger (Le Soir) – La rencontre, organisée à l’Institut national de la protection des végétaux (lNPV), sera suivie par une formation sur l’utilisation de Google Earth Engine du 6 au 9 juillet 2018, dans le but de «construire et consolider les compétences des chargés de l’information acridienne afin de mieux analyser et gérer l’information au niveau national pour une prise de décision plus efficace».
Ainsi, les responsables de l’information acridienne au niveau des 10 pays membres de la CLCPRO (Algérie, Burkina Faso, Libye, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tunisie et Tchad), ainsi que des représentants de la Commission de lutte contre le criquet pèlerin dans la Région centrale (CRC), à savoir les chargés de l’information de l’Arabie Saoudite, de l’Egypte et du Soudan s’attelleront, lors de cette rencontre, à réunir touts les conditions à même de mettre en place une stratégie portant gestion de l’information acridienne. L’atelier verra également la participation du secrétariat de la CLCPRO, de la CRC, ainsi que le responsable du service de l’information acridienne au niveau du siège de la FAO à Rome.
Selon une fiche de présentation, «la gestion de l’information acridienne se résume principalement en la collecte de l’information par les équipes de prospection déployées dans les zones désertiques abritant les foyers de grégarisation de ce ravageur, transmettre en temps réel via des équipements liés aux satellites les données au chef de l’information au niveau de l’Unité nationale de lutte antiacridienne et au siège de la CLCPRO à Alger, l’exploitation des données par le chef de l’information, ainsi que la préparation et l’envoi du bulletin décadaire mensuel à la CLCPRO et au siège de la FAO». Le criquet pèlerin est un ravageur redoutable en raison de l’ampleur des dégâts qu’il peut provoquer aux productions agro-sylvo-pastorales en période d’invasion et aux importantes perturbations socio-économiques et environnementales qui en découlent. «La stratégie de prévention contre le criquet pèlerin est la plus efficace pour faire face à ce ravageur car, grâce à celle-ci, les infestations peuvent être maîtrisées à temps. Elle a d’ailleurs été reconnue par la communauté internationale comme la seule stratégie durable économiquement et soucieuse de la protection de la santé humaine et de l’environnement», a-t-on indiqué. Pour les organisateurs, la stratégie mise en place «consiste à surveiller en permanence les aires de départ potentiel d’invasions (aires grégarigènes) et à détruire par des interventions de lutte précoces et ciblées les premiers regroupements du criquet pèlerin ayant amorcé la grégarisation». Pour rappel, le criquet pèlerin demeure une menace majeure pour la sécurité alimentaire et la stabilité sociale, en particulier pour de nombreuses populations rurales vivant d’une agriculture à risque climatique élevé. La lutte contre les invasions représente un coût élevé pour la communauté internationale et une menace pour l’environnement.
La FAO et son Groupe acridien jouent un rôle irremplaçable dans la coordination des activités de surveillance et de lutte à l’échelon international. Au cours de ces dernières années, ils ont joué un rôle moteur pour renforcer le dispositif de coopération régionale, améliorer les techniques de surveillance et de lutte, promouvoir, via le programme EMPRES (Emergency Prevention System), une stratégie de prévention rénovée.
A. B.

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Selon un rapport sur la sécurité alimentaire qui sera rendu public aujourd’hui: «Les Algériens consomment plus de calories qu’avant»

Mon, 07/02/2018 - 16:25

Le rapport sur les rendements des filières sera rendu public aujourd’hui, selon le Pr Fouad Chahat, ancien directeur de l’INRA (Institut national d’agronomie), qui souligne que «le nombre de calories consommées par les Algériens a augmenté de plus d’un tiers».
Malgré les multiples soutiens accordés au secteur de l’agriculture, l’Algérie peine encore à esquisser une politique tendue vers ce bel idéal de la sécurité alimentaire. Les conclusions de ce rapport élaboré avec des chercheurs font état d’une consommation de plus en plus importante selon l’expert qui notera que la majorité de notre consommation provient de l’importation.
Ce rapport a été commandé «dans le but d’évaluer la situation et engager une réflexion sur l’agriculture, les pêches, l’eau, la création des emplois et tout ce qui a relation avec la sécurité alimentaire, selon M. Chahat qui souligne que «les Algériens consomment plus qu’avant et une grande partie de notre consommation provient de l’importation». Il ajoutera que «nous tournons à plus de 6 à 7 millions de tonnes d’importation et l’écart entre l’offre et la demande en matière de production agricole ne sera pas dépassé aisément», selon son avis, au vu d’une croissance annuelle moyenne de 6% et ce, malgré les conditions climatiques défavorables.
A travers un examen a priori de l’importance des produits céréaliers dans la vie quotidienne de la population et le poids de ce secteur dans les dépenses engagées des importations, il en résulte en définitive que la production céréalière a connu une faible croissance comparativement à la consommation qui a fortement augmenté sous l’effet de la croissance démographique et du soutien par l’Etat des prix à la consommation.
Dans son analyse, le Pr Chahat, invité de la rédaction de la Chaîne 3, a indiqué que des efforts extraordinaires ont été faits, des productions ont progressé considérablement comme l’exemple de la filière de la pomme de terre, l’ail, l’oignon, la tomate mais des faiblesses persistent, «l’analyse est toujours la même notamment pour les céréales et ce, malgré les efforts enregistrés pour le blé dur, le blé tendre où on est à des niveaux très bas puisqu’on ne couvre que moins de 20% de la demande nationale». Et d’ajouter : «Des insuffisances sont perçues également pour la matière laitière et en viande, donc, «des progrès, certes importants, très significatifs mais qui restent encore insuffisants par rapport aux besoins du marché», a-t-il précisé.
Abordant la question de l’écart entre l’offre et la demande puisque le secteur agricole ne couvre que 70% de la demande nationale en produits agricoles et comment faire pour booster toutes les filières au même niveau que la pomme de terre, l’expert dira : «Nous n’avons peut-être pas bien mesuré l’écart entre l’offre et la demande et l’impact de la croissance démographique» sans oublier les problèmes d’ordre technique et le principal handicap qui reste l’importation des semences.
L’ancien directeur général de l’INRA considère que l’Algérie a le potentiel nécessaire afin de réduire ses importations de céréales de près de 50%. «Tout le monde s’arrange à dire qu’il faut moderniser l’agriculture pour améliorer la productivité, mais de l’autre côté, rien n’est fait en matière de recherche et de développement pour permettre de meilleurs résultats.» Et à ce propos, il a précisé que «l’utilisation d’une semence de qualité est indispensable si on veut améliorer la production».
Ilhem Tir.

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