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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Intempéries dans plusieurs régions du pays: D’importants dégâts matériels enregistrés !

Sat, 10/20/2018 - 15:03

Les pluies torrentielles qui se sont abattues ces dernières 48 heures ont causé de sérieuses perturbations au trafic routier et provoqué d’énormes inondations.

à Oum El-Bouaghi, les éléments de l’unité secondaire de la Protection civile de Dhalaâ  d’Oum El-Bouaghi sont intervenus aux lieudits mechta Benaïm (route de Rafraf) et mechta Argoub dans la commune de Dhalaâ, mechta Ouled Fadhel et les cités 40-Logements et Mustapha-Benboulaïd dans la commune de Meskiana. Ils ont ainsi secouru pas moins de 11 personnes se trouvant à l’intérieur de véhicules et d’une maison cernées par les eaux pluviales. En outre, le blocage partiel de la RN88 reliant Dhalaâ à Meskiana a fait que 4 véhicules, une habitation ancienne et une étable ont été submergées par les eaux de pluie. Par ailleurs, des dizaines d’habitants de la ville de Bordj Menaïel, dans la wilaya de Boumerdès, ont cadenassé le siège de l’APC, en guise de protestation après les importants dégâts matériels qui ont été signalés un peu partout à travers leur ville à la suite de fortes chutes de pluie. Certains quartiers et institutions publiques se sont retrouvés, jeudi matin, carrément submergés par les eaux. Les deux cités les plus touchées sont la cité Mustapha-Ben Boulaïd et le lotissement Jolie-Vue. À Laghouat, pas moins de sept personnes ont été secourues et de nombreux véhicules ont été dégagés par les services de la Protection civile des oueds en crue dans différentes localités de la wilaya de Laghouat lors des intempéries qu’a connues la région mardi soir. Des pluies torrentielles ont été à l’origine de la perturbation du trafic routier. Tlemcen, chef-lieu de wilaya, et de nombreuses autres localités environnantes ont enregistré ces trois derniers jours des pluies abondantes, atteignant par endroit plus de 50 mm, à l’origine d’inondations des principales artères et des trémies, bloquant ainsi la circulation automobile.
À Azzaba, dans la wilaya de Skikda, les crues des oueds ont inondé les routes et les champs. Le débordement de l’oued Adjoul a complètement isolé la localité de Menzel El-Abtal. L’oued Mechekel a, quant à lui, inondé des routes de la localité d’Aïn Charchar alors que l’oued Fendek a provoqué des inondations à Azzaba-Ville. La boue et les différents détritus et gravas des chantiers de constructions diverses ont provoqué la paralysie de plusieurs routes du centre-ville d’Azzaba et certains édifices publics comme l’hôpital Mohamed-Dendane, les locaux d’Algérie Télécom et de l’Alem.
Un affaissement d’un tronçon de route entre Azzaba et El-Ghedir a été aussi signalé. Enfin à Oran, les averses orageuses qui se sont abattues ont été à l’origine de 9 accidents de la circulation, à l’origine de 6 blessés, enregistrés. Les éléments de la Protection civile ont dû intervenir également pour secourir des personnes dont les véhicules avaient été envahis par les eaux de pluie.

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Le FFS déterre sa proposition d’“une deuxième République” !

Sat, 10/20/2018 - 15:03

Le parti propose de “restituer le pouvoir aux Algériens par l’élection d’une Assemblée nationale constituante visant à instaurer un État de droit démocratique et social”.

Les cadres du Front des forces socialistes ont tenu, hier, une des sessions les plus délicates de leur conseil national. En plus des questions politiques de l’heure et des préparatifs en cours pour la tenue d’un congrès ordinaire l’an prochain, les militants du FFS ont également tranché la participation de leur parti aux prochaines élections sénatoriales. L’épineux problème de l’exclusion de la députée Salima Ghezali a été évacué des débats, qui ont pris fin en début de soirée.
Dans une résolution organique, le FFS a décidé de participer aux prochaines élections prévues le 29 décembre pour le renouvellement des membres du Conseil de la nation. Le parti, qui compte actuellement deux sénateurs, a décidé de choisir ses candidats par la voie des urnes pour, sans doute, éviter des troubles ou des protestations.
Sur le plan purement politique, le FFS remet sur la table sa proposition d’aller vers une deuxième République à travers notamment la mise en place d’une Assemblée constituante. Ainsi, le parti propose de “restituer le pouvoir aux Algériens par l’élection d’une Assemblée nationale constituante visant à instaurer un État de droit démocratique et social”. Il suggère également d’assurer “un développement durable qui garantisse le progrès social et le bien-être des citoyens”. Le communiqué du conseil national du FFS rappelle également que “la priorité des priorités” est la sensibilisation “des citoyens et des forces vives de la nation sur l’urgente nécessité d’un changement démocratique du système pour préserver la stabilité, l’unité et la souveraineté nationale, comme le préconise notre projet de reconstruction d’un consensus national populaire”.
Puisque le changement du système est “insuffisant”, le FFS considère que cette transformation de système politique “doit s’accompagner en même temps d’un changement de politique économique qui préserve la souveraineté nationale dans le contexte de la mondialisation. Ce sera la mission du futur gouvernement qui sera issu, avec l’avènement de la 2e République, de la future Assemblée nationale constituante démocratiquement élue”.
Pour arriver à ces propositions, le FFS est parti du constat qu’il n’y a “aucun doute que la prochaine élection présidentielle ne fera que pérenniser le système actuel, quel que soit le candidat parrainé par le régime”, tandis que le parti plaide “pour le changement du système et non d’un changement à l’intérieur du système”, ajoute le communiqué. “Cette élection qui s’annonce non démocratique, comme les précédents scrutins, si elle est tenue dans les conditions actuelles, ne changera rien à la situation actuelle”, précise le FFS, qui suggère ainsi qu’il ne participera pas au prochain scrutin.
Pour expliquer le secret de la pérennité du système, le FFS rappelle que “le système, servi par des ressources naturelles abondantes, a duré en s’achetant une légitimité sociale à défaut d’une légitimité politique. On peut dire que le système a travaillé pour lui-même tout en étant persuadé de travailler pour les Algériens, mais en tout état de cause, il n’a pas travaillé avec les Algériens”. Ce qui a conduit à la défaillance de tous les pouvoirs. À commencer par l’Exécutif qui n’est pas parvenu “à décentraliser l’administration et à diversifier l’économie en l’ancrant au plan régional et mondial”. De son côté, le législatif “mal élu” n’a pas constitué “un contre-pouvoir crédible en mesure d’être le porte-voix des aspirations réelles de la population”. Cela pendant que le pouvoir judiciaire pèche par “sa dépendance à l’égard de l’Exécutif” et son “silence devant la violation des lois, y compris de la Constitution, l’a rendu inapte à construire l’État de droit”. Une allusion au conflit qui oppose actuellement le président de l’APN aux députés de “la majorité”.
En somme, le FFS “et les forces d’opposition les plus représentatives”, “la société civile autonome et la population qui, dans sa majorité, n’attend plus rien de ce régime”, considèrent que “le système est usé”.

Ali Boukhlef

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Sonatrach: L’italien Chef Express Catering décroche le marché

Sat, 10/20/2018 - 14:57

La société italienne Chef Express Catering, appartenant à Marco Lucchesi, vient de décrocher le marché de restauration des personnels de la compagnie pétrolière nationale Sonatrach.

Selon Maghreb confidentiel, ce marché a été attribué le 8 octobre pour un montant de 522 millions de dinars. Chef Express Catering gérait depuis 2016 la restauration au siège de la division à Alger pour un montant de 287 millions de dinars et gérait également depuis 2017, dans les bases-vie de Gassi-Touil et de Zina, un marché de 711 millions de dinars.

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Université de Bouira: 10 000 DA/j contre l’UGEL en cas de grève

Sat, 10/20/2018 - 14:57

Se voyant perdre des avantages et son influence y compris sur l’administration, l’Union générale des étudiants algériens proche du MSP a commencé à réagir à travers des débrayages pour exercer des pressions. Dernière tentative à l’université de Bouira où le rectorat a déposé plainte et la justice a tranché sur l’illégalité de la grève décrétée par l’UGEL. Mieux encore, la justice a assorti sa décision d’une amende de 10 000 DA pour chaque jour de grève si jamais les étudiants s’opposent au verdict. D’autant plus que toutes ses revendications ont été satisfaites, selon le rectorat.

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Industrie automobile: Le groupe Benhamadi se lance dans la sous-traitance !

Sat, 10/20/2018 - 14:52

Actionnaire dans l’usine de montage automobile du groupe PSA (Peugeot-Citroën) située dans la future zone industrielle de Tafraoui, le groupe Benhamadi vient de s’engager dans la sous-traitance, avec la création, le 9 octobre, d’une entité sous le nom de Benhamadi Auto-Batterie, pour la fabrication des accumulateurs pour véhicules.

Selon Maghreb confidentiel qui rapporte l’information, cette société est située dans la zone industrielle de Ras El-Oued, à Bordj Bou-Arréridj. Selon la même source, le groupe Benhamadi compte également se lancer dans la pneumatique à travers une autre filiale, à savoir Condor Engineering.

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Azemour Oumeriem : un modèle à méditer !

Sat, 10/20/2018 - 14:50

Tout a commencé le 12 janvier 2018, jour de Yennayer, après une action de volontariat spontanément lancée par un groupe de jeunes. De là, il était devenu nécessaire de canaliser cette dynamique citoyenne naissante.

Azemour Oumeriem est encore tout sourire en cette douce et moite matinée d’automne. Nous sommes mercredi 17 octobre. Il est 9h à peine, et sur la spacieuse placette centrale de ce village, une dizaine de jeunes, pour la plupart en gilet orange fluorescent, sont présents. Ils veillent toujours au grain, cinq jours après la consécration de leur village, dimanche dernier, comme le village le plus propre de la wilaya de Tizi Ouzou. Deux d’entre eux achèvent de dresser un chapiteau rouge sous lequel tables et chaises sont déjà méticuleusement alignées.
De leurs échanges transparaît la même gaieté qui se lit sur tous les visages déjà croisés tout au long des 500 mètres environ parcourues depuis l’entrée du village. “Ce sont des membres du comité du village ! Ils vont vous accompagner”, nous indique un quidam, la soixantaine, qui vient à notre rencontre alors que nous descendions à peine du véhicule. Un clin d’œil de cet inconnu et trois jeunes se proposent de faire les guides. Sachant pertinemment qu’en remportant ce premier prix du concours Rabah Aïssat, Azemour Oumeriem devait sortir brusquement de l’anonymat, gagner en notoriété et donc, naturellement, attiser la curiosité des journalistes et même devenir une attraction pour de nombreux curieux, les habitants de ce village distant d’à peine 7 kilomètres de la ville de Tizi Ouzou, ne lésinent ni sur leur temps ni sur leur hospitalité pour accueillir et surtout faire découvrir aux visiteurs ces multiples réalisations qui ont permis à leur village de s’inscrire en lettres d’or sur la liste des localités qui sont en train de redonner peu à peu à la wilaya de Tizi Ouzou son lustre de l’époque où sa propreté lui valait le surnom de “la petite Suisse”. Une tournée à travers les ruelles, fleuries, du village suffit amplement pour se convaincre que la haute marche du podium qu’occupe désormais Azemour Oumeriem est amplement méritée. C’est un village radicalement transformé qui nous a été donné de visiter. Sa cascade décorée avec des objets traditionnels locaux et qui longe la placette centrale sur une longueur de 36 mètres a déjà de quoi laisser le visiteur pantois.
“Auparavant, cet espace était une décharge sauvage qui offrait un décor des plus hideux. En 28 jours de travaux chapeautés par un artiste nommé Houas, qui a des mains de génie, vous voyer le résultat”, nous explique Mohamed Smaïl, l’administrateur de la page facebook du village. Mais l’endroit n’a pas fini de livrer toute sa splendeur. Quelques marches plus haut, l’on débouche sur une vaste esplanade gazonnée, bordée d’arbustes, et au milieu de laquelle trône une fontaine sur laquelle on reconnaît vite la touche du même artiste. De l’eau pompée en continue d’un puits mitoyen à la mosquée ruisselle sans interruption sur la fontaine et la cascade.
Tout au long de la route traversant le village, de larges trottoirs qui feraient pâlir de jalousie le chef-lieu de wilaya, ont été réalisés par les habitants. Des arbres de différentes variétés bordent la route de l’entrée jusqu’à la sortie du village.
“Nous avons choisi des arbustes dont les feuillages peuvent être malléables à merci une fois grandis. Nous comptons par la suite les tailler sous des formes géométriques diverses”, nous explique Madjid Mofredj, membre du comité du village, précisant qu’au total plus de 500 arbustes sont plantés. Selon cet ancien journaliste, ces arbustes coûtent 3 000 DA l’unité et chaque membre du village en a payé un.
Notre accompagnateur nous explique ensuite que ce qui sert de pots à fleurs, qu’on retrouve dans tous les coins et recoins, ne sont autres que des pneus usagés, chauffés et taillés, avant qu’ils ne soient peints de différentes couleurs. Avec les pneus usagers, les habitants ont eu également l’ingénieuse idée de réaliser un escalier pour remplacer une pente reliant la route à l’école du village, située en contrebas de la chaussée. D’autres décorations artistiques sont visibles partout sur les murs. Mais, le plus frappant de tout le reste, sans doute, la propreté des lieux. “Chercher des déchets dans notre village reviendrait à chercher des poux sur la tête d’un chauve”, nous dira fièrement un jeune.

La propreté, une question d’éducation
Des niches contenant quatre bacs à ordures chacune sont construites dans les quatre coins du village pour séparer le verre, le plastique, les déchets ferreux et les déchets organiques. Des corbeilles sont installées sur des murs, à vingt mètres l’une de l’autre. Dessus, des messages de sensibilisation sont imprimés. “La propreté est l’affaire de chacun”. “L’écologie : on le dit, on le fait”, lit-on à chaque fois. Ceci n’est toutefois pas la seule clef de ce succès. “L’éducation des enfants à l’environnement a été, depuis le début, un des objectifs principaux de notre comité.


La placette centrale : un véritable écrin de verdure. – ©Samir Leslous / Liberté

En plus de la sensibilisation parentale dont on a fait une devise, nous avions mis à contribution l’école où les enseignants consacrent quotidiennement quelques minutes pour la sensibilisation des écoliers à la protection de l’environnement”, nous explique Madjid Mofredj ajoutant que des ambassadeurs de l’environnement qui consistent en des brigades composées de femmes et d’enfants font du porte-à-porte pour sensibiliser sur le tri sélectif.

“Le tri sélectif commence dans la cuisine et c’est donc auprès des femmes que le gros du travail de sensibilisation devait être mené”, estime-t-il, considérant que cette trouvaille a vite porté ses fruits tant les déchets arrivent au centre de tri déjà pré-triés.
Les niches sont vidées chaque 48 heures et les déchets sont transportés au centre de tri réalisé sur un terrain mis à disposition par un particulier à la sortie du village. Les niches sont ensuite nettoyées au karcher et détergents, assure Mohamed Smaïl précisant que tout le monde participe à ces opérations. “Tout ce qui est plastique, verre et déchets ferreux sont stockés au centre de tri pour qu’ils soient revendus à des unités de recyclage, les déchets organiques font l’objet de compostage pour en faire des fertilisants”, nous explique Lounès Smaïl tout en nous montrant du doigt une dizaine de bacs en bois déjà pleins de futurs fertilisants. Des fertilisants que le village, pionnier en la matière, produit déjà à base de grignon et de margine d’olive.


La fontaine coquettement décorée  – ©Samir Leslous / Liberté

Derrière le succès, neuf mois de sacrifices
Tout a commencé le 12 janvier 2018 avec une première action de volontariat initiée d’une manière spontanée par un groupe de jeunes. L’idée de créer un comité s’imposait alors d’elle-même car il était devenu nécessaire de canaliser cette dynamique et cette énergie citoyenne naissante. Ce comité baptisé “Tadukli” a suscité une adhésion tellement massive qu’il a pu lancer grandes opérations de volontariat, se rappelle Madjid Mofredj.
Des volontariats qui se reproduisaient initialement chaque vendredi jusqu’au jour où, à l’occasion d’une assemblée générale du village, l’idée de participer au concours du village le plus propre a germé. L’idée a été vite adoptée par le village.
“L’idée de participer au concours n’existait pas au début, notre objectif était plutôt de répondre aux aspirations des habitants. Mais comme l’appétit vient en mangeant, cette idée a fini par s’inviter à l’assemblée générale du village en mai dernier et à peine entérinée, la ferveur et la dynamique née au village se sont multipliées et la cadence des travaux a connu une incroyable accélération”, nous raconte encore Madjid Mofredj.
“Durant tout l’été dernier, il n’y a pas eu un jeune du village qui a mis les pieds à la plage. Les volontariats sont devenus quotidiens, ils se faisaient parfois sous 47° et durent souvent jusqu’à minuit passée.
C’était un gros sacrifice qui fait aujourd’hui notre fierté”, nous dira Aboud Belaïd qui se rappelle que la grande cascade du centre du village a été réalisée en seulement 28 jours et la fontaine du village en quatre jours.
“Les volontariats rassemblaient plus de 400 personnes, sans compter les femmes qui étaient tout le temps mobilisées chez elles à préparer les repas. Même pour offrir ces repas, pourtant bien coûteux, il y avait tellement de volontaires qu’il fallait s’inscrire et attendre son tour”, témoigne Mohamed Smaïl.


Allées et trottoirs : un ensemble harmonieux de végétation et de propreté. – ©Samir Leslous / Liberté

Une dynamique à préserver
À Azemour Oumeriem, ce village fondé, selon ses habitants, aux environs de 1870 par des familles de l’aarch Ath Khelifa, établi à Thadarth Thamoqrant, sur les hauteurs de Tirmitine, l’on ne jure que par la poursuite de cette dynamique.
“Ce n’est que le début ! Le meilleur est à venir ! Nous avons encore les idées et les projets plein la tête. Ce prix ne fait que nous stimuler et nous encourager”, avise le jeune Aboud Belaïd avant de nous faire part de la volonté du village d’aménager la paradisiaque cascade naturelle d’El Aïnceur, située à la sortie du village, en un site touristique à intégrer dans un circuit qui ne manquera sans doute pas d’attirer des visiteurs et pourquoi pas créer des emplois dans ce village qui, comme tant d’autres contrées de Kabylie, compte de nombreux chômeurs.
Dans ce circuit, le village compte également intégrer Tisirt n’Ufella, une huilerie datant d’avant 1915 qui est en passe de se transformer en un musée. Mise à disposition du village par la famille Smaïl, cette vieille huilerie à traction animale renferme en son sein d’anciens outils agricoles qui constituent un véritable trésor à faire découvrir.
Au-delà de cet aspect environnemental et touristique, c’est surtout le vent de fraternité qui a soufflé sur les habitants et les liens sociaux recréés et plus que jamais renforcés entre eux, que le village tient jalousement à préserver.
Le village aura, sans doute, compris que c’est la meilleure arme pour combattre tous les fléaux, sinon, l’intraduisible “Zhir” contre lequel prévenait le défunt chanteur Matoub Lounès dans une de ses chansons.
Si le président du comité du village, Mohamed Hadjar, veut surtout que son village devienne un modèle de villages écologiques, l’ancien journaliste, Madjid Mofredj que l’esprit d’Azemour Oumeriem devient “une espèce d’épidémie positive” qui va contaminer toute la Kabylie. C’est dire qu’à Azemour Oumeriem l’on ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.

Reportage réalisé par : Samir LESLOUS

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Chaque année, des dizaines de personnes meurent de cancers liés à l’amiante !

Sat, 10/20/2018 - 14:36

Ce matériau tue silencieusement, lentement ceux qui ont été exposés, en leur infligeant des souffrances indicibles et des traumatismes irréversibles.

Il s’agit d’une véritable épidémie, voire d’une catastrophe sanitaire et qui ne cesse de progresser depuis trente ans, parce que, tout simplement, l’Etat n’a fait aucun investissement sérieux pour solutionner le problème, malgré les promesses des ministres aussi bien de la Santé publique, que ceux de l’Environnement qui sont passés durant les trente années écoulées. En 1994, l’ex-entreprise Enitro avait fait une étude de marché, pour l’enfouissement des 50 000 tonnes de déchets d’amiante déversés dans la périphérie de la cité à l’air libre, dont une grande partie se trouve jusqu’à l’heure actuelle à l’intérieur du site de l’unité ERCE. L’étude du marché de l’Enitro a fait ressortir un coût approximatif de 20 milliards de centimes, hélas cette opération n’a pas abouti parce que les habitants du village El Euch, (l’endroit où devait être enfouie l’amiante) ont signifié une fin de non-recevoir aux autorités locales au motif de la dangerosité de l’amiante sur la santé de la population. Le projet fut abandonné une deuxième fois, faute de terrain et l’argent destiné à cet effet, nul ne sait ce qu’il est advenu pourvu qu’il ait été dépensé pour les bonnes causes ? il est possible qu’il ait pu servir pour d’autres projets d’utilité publique de la wilaya. En 2006, l’Etat a dégagé une enveloppe budgétaire conséquente de 3 500 milliards de centimes destinés à l’enfouissement des déchets d’amiante des unités de production des villes ci-après : Zahana, Bordj-Bou-Arréridj, Gué de Constantine et Meftah. Une fois de plus, rien n’a été fait et les populations continuent à mourir de maladies respiratoires et de cancers. Les victimes n’ont jamais été reçues ni par la Présidence, ni par les autorités locales, ils n’ont pas fait la Une des journaux, il y avait juste leurs photos affichées sur les murs de la ville pour annoncer leur décès. Leur seul crime est d’avoir travaillé pendant des années dans l’unité amiante-ciment ERCE au contact d’un matériau éminemment toxique. La population du chef-lieu de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj aujourd’hui aspire au droit à la protection contre les dangers de l’amiante et attend à ce que les décideurs politiques et commis de l’Etat trouvent une solution rapide à cette problématique.
Layachi Salah Eddine

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Sidi Saïd sollicité à Constantine !

Sat, 10/20/2018 - 14:35

Sur les 80 sections syndicales qui doivent renouveler leurs instances à Constantine, 31 sont en conflit avec leurs administrations respectives.

Une situation qui nécessite l’intervention de Sidi Saïd auprès des directeurs des entreprises publiques pour régler les crises internes que connaissent ces sections et ce, en vue d’achever le renouvellement des instances, nécessaire avant la tenue du congrès de wilaya.

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Indice de compétitivité 2018 du forum économique mondial: L’Algérie mal classée !

Sat, 10/20/2018 - 14:29

En fin de compte, même si pas beaucoup de monde en doutait, pratiquement tous les rapports émanant d’institutions ou d’organisations internationales, voire même nationales, se rejoignent dans leurs conclusions sur les performances de l’économie algérienne.

Le dernier en date, publié mercredi par le World Economic Forum, une des références dans le domaine, est venu nous rappeler, au cas où, combien est long le chemin pour que l’Algérie se fraye une place en adéquation avec, pourtant, une somme d’atouts que beaucoup de puissances lui envient. Ce n’est sans doute pas une grande découverte, mais la place de l’Algérie dans le concert des nations sur le plan de la compétitivité économique n’a pas de quoi réjouir. Si l’on se réfère au classement annuel établi par le Forum économique mondial (WEF) pour son édition 2018, l’Algérie figure dans le lot des pays ayant stagné en bas de la hiérarchie mondiale. Plus fin encore que ce fut pour les précédentes éditions, le classement 2018 de l’Indice mondial de compétitivité, appliqué pour 140 pays, prend en compte près d’une centaine d’indicateurs répartis en 12 piliers, comme les appelle le WEF, des groupes d’indicateurs, permettant de mesurer la compétitivité nationale des économies. Les institutions, les infrastructures, l’adoption des technologies de l’information et de la communication, la stabilité macroéconomique, la santé, la compétence, le marché de la production, le marché du travail, les systèmes financiers, la taille du marché, le dynamisme commercial et la capacité d’innovation, sont en effet les indicateurs pris en compte par les analystes du WEF pour établir le classement 2018 sur lequel trônent, évidemment, les Etats-Unis. Un rapport qui, pour ce qui concerne l’Algérie, confirme donc combien notre économie demeure aussi peu compétitive, et ce qui aggrave notre position dans le monde c’est que, pratiquement, aucun progrès n’a été accompli entre l’année dernière et cette année, bien au contraire ! En 2017, en accrochant la 92e place sur 135 pays, comme celles qui l’avaient d’ailleurs précédée, l’Algérie était dans le wagon des pays à compétitivité «moribonde». Sur les 140 pays passés au crible du Forum économique mondial pour l’édition 2018, l’Algérie a stagné à la même place. Une position due en grande partie à des scores pas très honorables, comme c’est le cas, par exemple, pour les indicateurs ayant trait aux institutions (120e place mondiale), le marché du travail (134e), le système financier (122e), le dynamisme dans les affaires (113e), et autre indicateur mesurant la stabilité macroéconomique qui voit l’Algérie occuper la 111e place. En fait, la taille du marché (le 38e au monde), l’indicateur ayant trait à la santé (66e), et les compétences (88e) permettent à l’Algérie de ne pas sombrer et d’espérer attirer encore le regard des investisseurs étrangers, avec une note globale de 53,8/100. Sinon, ce n’est pas la joie, surtout quand on voit ce à quoi sont lotis nos voisins de l’Est et de l’Ouest, pourtant théoriquement moins bien nantis dans bien des domaines.
Azedine Maktour

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Bouira: Perpétuité pour le terroriste «Yasser Abou Kouthaïma» !

Sat, 10/20/2018 - 14:12

La cour de Bouira a eu à traiter ce jeudi, dans sa session criminelle, de l’affaire du terroriste Fateh Tayeb, arrêté par les forces de l’ANP lors d’une opération de ratissage le 14 décembre dernier, à la lisière de la forêt Rabta relevant de la commune d’Aomar, à 22 kilomètres au nord-ouest de Bouira.
Le terroriste Tayeb Fateh, alias Yasser Abou Kouthaïma, était présenté à l’époque comme un chef d’un groupe terroriste, activant dans la phalange Al Farouk sur un territoire compris entre Boghni et Draâ-Liza dans la wilaya de Tizi-Ouzou et Aomar dans la wilaya de Bouira. Lors de sa capture, un communiqué officiel du MDN avait été rendu public et parlait de la neutralisation d’un dangereux terroriste et la récupération d’une kalachnikov, trois chargeurs, 195 balles, une paire de jumelles et 10 kg de produits explosifs. C’est dire l’importance de la prise mais également, vu le matériel récupéré, l’importance de ce terroriste dans l’organigramme de l’organisation terroriste qu’est AQMI, Al Qaïda au Maghreb islamique ; une organisation terroriste qui reste toujours active en Algérie malgré l’apparition en 2014 de groupe de Djund Al Khilafa qui essayera de suppléer à cette organisation en faisant allégeance à Daesh. Yasser Abou Kouthaïma était présenté comme étant un chef d’un groupe, activant sous la houlette de la phalange Al Farouk. Il avait à son actif un sinistre bilan faits de faux barrages, de kidnappings des enfants de riches entrepreneurs dans la wilaya de Tizi-Ouzou, d’attentats contre les groupes de légitime défense, des gardes communaux, des militaires et des patriotes, particulièrement dans la région d’Aomar du côté de Rabta lors de multiples actions de sabotage du gazoduc Hassi R’mel- Bordj Ménaïel, mais également, l’un des terroristes qui ont participé à l’assassinat de sept civils à Boghni. Il faut rappeler que, lors de sa capture, le terroriste était grièvement blessé et avait une jambe amputée, probablement suite à une mauvaise manipulation d’une bombe artisanale que ce terroriste était sur le point de poser sur l’une des pistes empruntées par les patriotes chargés de la surveillance et la protection du gazoduc. Sur les circonstances qui ont entouré sa capture, plusieurs versions avaient circulé à l’époque. Du côté officiel, le communiqué du MDN parlait de la capture d’un terroriste et la récupération d’un arsenal de guerre ; d’autres sources parlaient à l’époque de la tentative de ce terroriste de se faire soigner chez des citoyens en les implorant de lui ramener un médecin sans alerter les services de sécurité ; chose qui n’a pas eu lieu puisque ces citoyens l’ont dénoncé auprès des éléments de la brigade de la gendarmerie d’Aomar qui se sont aussitôt déplacés vers l’endroit où se trouvait ce terroriste qui était grièvement blessé. Enfin, la troisième version est celle que ce terroriste a défendu ce jeudi, à savoir son intention de se rendre aux services de sécurité avec armes et bagages. Ce jeudi, lors de son procès, et après la lecture de l’arrêt de renvoi dans lequel on apprend que le prévenu, Tayeb Fateh alias Yasser Abou Kouthaïma, natif de la région d’Aomar et âgé de 39 ans, était condamné par contumace à plusieurs reprises notamment au niveau des tribunaux d’Alger, de Bouira, Boumerdès et Tizi-Ouzou, tant il était cité dans plusieurs affaires liées au terrorisme en étant l’un des terroristes notoires parmi ces groupes ayant commis des attentats, assassiné des éléments des services de sécurité lors des attaques contre les convois de l’ANP , ou encore lors des embuscades contre les éléments de groupes de légitime défense, des gardes communaux, des policiers, des gendarmes et des patriotes ; ou encore le racket des citoyens lors de faux barrages dressés dans le triangle compris entre Boghni, Draâ-El- Mizan et Aomar; le sabotage du gazoduc Hassi-R’mel – Bordj Ménaïel et enfin, les kidnappings d’enfants d’industriels et d’entrepreneurs surtout dans la wilaya de Tizi-Ouzou. Plusieurs personnes parmi ses victimes étaient présentes ce jeudi à la cour de Bouira et ont été appelées à la barre pour parler de leurs handicaps et blessures mais également, essayer de reconnaître ce terroriste qui était au box des accusés et qui avait créé un climat de terreur pendant près de 20 ans dans cette région, soit depuis qu’il avait rejoint les maquis terroristes en 1998 jusqu’à sa capture le 14 décembre 2017. Lors de son interrogatoire, le prévenu a essayé à maintes reprises d’expliquer qu’il s’était rendu de son propre chef aux forces de sécurité en leur envoyant des citoyens pour les informer du lieu où il se trouvait. Cependant, le juge lui rappelait à chaque fois, pourquoi il ne s’était pas rendu auparavant, c’est-à-dire avant qu’il soit blessé par une bombe qui lui a valu l’amputation d’une jambe. De fait, sa soi-disant reddition, n’est, comme l’a rappelé le procureur général lors de son réquisitoire, qu’une tentative de ce terroriste d’échapper à la lourde peine qu’il encourait puisqu’il était reconnu coupable de participation à plusieurs assassinats, notamment l’assassinat des sept civils à Boghni et tant d’autres actes terroristes. Aussi, après avoir énuméré tous ces actes dont le prévenu était coupable, le procureur général a requis la peine de mort au prévenu Fateh Tayeb, alias Yasser Abou Kouthaïma. Après délibérations, et malgré les plaidoiries des avocats du prévenu qui ont essayé de faire bénéficier à leur client, les dispositions de la loi portant réconciliation nationale, les juges ont tous plaidé coupable et le prévenu qui était poursuivi pour des chefs d’inculpation d’appartenance à une organisation terroriste, assassinat, et atteinte à la sûreté de l’Etat et à l’économie nationale, sera condamné à la réclusion à perpétuité. Le prévenu a une semaine devant lui pour faire appel.
H. M.

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Le vol Alger-Jijel contraint de rebrousser chemin !

Sat, 10/20/2018 - 14:04

Un avion appartenant à la compagnie nationale Air Algérie en provenance d’Alger vers Jijel assurant un vol quotidien a rebroussé chemin jeudi en raison des fortes précipitations qui se sont abattues sur la wilaya ces dernières 24 heures pour regagner la capitale, a-t- on appris auprès d’une source proche de l’aéroport Ferhat-Abbas. La même source a ajouté que l’équipage a eu du mal à atterrir sur le tarmac de l’aéroport Ferhat-Abbas à cause d’un problème de visibilité dû aux fortes pluies qui se sont abattues sur la région. Il a été contraint de retourner à l’aéroport Houari-Boumediène. Les précipitations qui ont touché la wilaya de Jijel durant la matinée de jeudi dernier ont atteint 44 millimètres, selon les services de la météo d’Achouet.
Bouhali Mohammed Cherif

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APN: Élection d’un nouveau président mercredi prochain !

Sat, 10/20/2018 - 14:02

L’opération de destitution de Saïd Bouhadja du poste de président de l’Assemblée populaire nationale, que pilote la présidence de la République, connaîtra son épilogue ce mercredi 24 octobre avec le déroulement du dernier acte : l’élection d’un nouveau président pour l’APN, au cours d’une séance plénière qui sera convoquée à cet effet.
Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Après une première étape, conclue en deux temps, fin de la semaine dernière, à savoir mercredi et jeudi, avec la mise en branle du processus, entamée par le Bureau de l’Assemblée qui constatait «la vacance du poste de président» et la réunion de la commission juridique qui «entérine » et «confirme» ce constat dès le lendemain, jeudi. Le retrait de la couverture politique au président de l’Assemblée contesté, Saïd Bouhadja, par son parti, le FLN, lundi dernier, étant, pour rappel, la séquence la plus déterminante. C’est sur la base de ce retrait de la couverture politique que l’on bâtira l’argumentaire juridique justifiant la destitution. Ce retrait mettait de fait, expliqueront les contestataires de Saïd Bouhadja, ce dernier en situation d’«incompatibilité ». Auparavant, un autre signal fort parvenait d’en haut : Bouhadja se verra privé de garde rapprochée, sur décision de la Direction générale de la Sûreté nationale suite, bien sûr, à une instruction de la présidence. Interdit d’accès à son bureau au niveau de l’Assemblée suite au changement de toutes les serrures au niveau du cinquième étage du siège de l’Assemblée, qui abrite les bureaux du président et de son cabinet, Saïd Bouhadja est, d’ores et déjà, destitué de fait. Ce n’est pas par hasard si, mercredi dernier, la télévision nationale, l’ENTV, ouvrait son journal télévisé par ce sujet : «Le Bureau de l’Assemblée populaire nationale constate la vacance du poste de président de l’APN.» Idem pour l’ensemble des chaînes de la Radio nationale qui s’abstenaient jusqu’à cette même journée du mercredi de traiter cette affaire. C’est dire que Saïd Bouhadja n’est plus le président de l’Assemblée populaire nationale de fait, et tout le reste n’est que pures formalités. Ainsi, le Bureau de l’Assemblée se réunira, à nouveau, demain pour poursuivre ce processus de destitution, à la lumière du rapport de la commission juridique. Le Bureau procédera, nous révèle-t-on de bonne source, à la convocation d’une première séance plénière, pour mardi prochain et qui sera consacrée à l’approbation du rapport de la commission juridique, portant «confirmation du constat de vacance du poste de président de l’Assemblée». Cette séance sera suivie, dès le lendemain, mercredi, par une autre séance plénière et qui sera consacrée à l’élection du successeur de Saïd Bouhadja à la tête de l’Assemblée. Qui, exactement ? «Contrairement aux spéculations, l’identité du prochain président de l’Assemblée n’est pas encore connue. Il s’agit de faire le casting et trancher entre quelques profils, une sorte de short list où les candidats devraient répondre à certains critères », nous confie-t-on encore de même source. Evidemment, et comme toujours, le dernier mot revient au patron d’El-Mouradia. «Ce qui est certain pour le moment est que le président en question sera issu des rangs des députés du parti de la majorité, le FLN, originaire de l’est du pays, de préférence, pour maintenir les équilibres au niveau des hautes institutions.» Dans les coulisses, la course est lancée, en tout cas, pour s’emparer de ce poste prestigieux qui octroie à son titulaire le rang de troisième personnage de l’Etat.

K. A.

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Hommage appuyé à Alger, au chanteur Ouazib Mohand Améziane

Sat, 10/20/2018 - 13:59

Un hommage appuyé a été rendu, vendredi à Alger, au chanteur algérien d’expression kabyle, Ouazib Mohand Améziane, à l’occasion de ses 40 ans de carrière, par l’Office national des droits d’auteurs et droits voisins (Onda), devant un public nombreux.

Un public de fans venus essentiellement de Kabylie, -notamment du village historique d’ »Ighil Imula » où l’appel du 1er Novembre avait été rédigé et tiré à plusieurs exemplaires-, était présent à l’Auditorium du Palais de la Culture Moufdi-Zakaria, pour assister à l’hommage, empreint d’émotions, rendu par l’Onda au « fils du pays », le chanteur Ouazib Mohand Améziane.

Soutenu par un orchestre dirigé par Ahcène Nath Zaïm, composé de sept musiciens et une chorale d’autant de voix, dont quatre féminines, l’artiste, pris d’émotion, a fait une entrée triomphale devant un public debout.

L’hommage a débuté par la remise du disque d’or et du trophée honorifique, des mains du directeur général de l’Onda, El Hocine Samy Bencheikh, et du secrétaire général du ministère de la Culture, Smaïl Oulebsir, respectivement, sous les applaudissements prolongés et les youyous nourris du public.

Brandissant son disque d’or, l’artiste, gagné par l’émotion, a tenu à le dédier à son « Cher public » qui l’a soutenu, a-t-il dit, « durant 47 ans de vie artistique », avant de permettre à plusieurs de ses amis, artistes et anonymes, de lui témoigner leur respect et leur affection, le parolier poète Boudjemaâ Rabah et le chanteur Ferhat Medrouh, notamment.

Alternant son passage, dans une ambiance festive, avec quatre voix parmi sa chorale, passées à tour de rôle pour interpréter d’autres chansons du patrimoine kabyle, Ouazib Mohand Améziane a entonné plusieurs de ses chansons, révélant au public la sortie d’un double album qui contient 16 nouvelles chansons.

Donnant le ton à la cérémonie, la jeune « Kenza » a entonné avec une voix cristalline, »Oufigh doro dhil kaâ » (j’ai trouvé un sou parterre), un achwiq du grand Idir, suivie par Tinhinane, une autre choriste à la voix suave, qui a enchanté le public avec deux titres célèbres, « Oh aya zerzour » et « Thilawine », des regrettés, Na Cherifa et Chérif Kheddam, respectivement.

Jouant de sa mandole frappée d’une étoile au centre de la caisse de résonnance, le chanteur mis à l’honneur, en posture debout, a ensuite enchaîné une dizaine de ses titres, dont « A Thamurthiw » (? Mon pays), « Al aâslama su horri » (bienvenue au pur), « Math’vghidh adhak’neggal » (si tu veux que l’on te jure), chantée sur une musique de la regrettée Hnifa et « JSK, aslem fellaouen » (JSK, nous te saluons).

« Idurar an leqvayel » de la regrettée Noura, figure parmi les chansons également rendues par la voix étoffée de Lifa Hennad, suivie par Malik Bachi, deux autres choristes qui sont intervenus lors d’un entracte accordé à Ouazib Mohand Améziane, avant de revenir et reprendre le micro pour  interpréter d’autres chansons, dans des atmosphères conviviales.

D’une famille révolutionnaire, Ouazib Mohand Ameziane est né au maquis, en 1958 à Bounaâmane dans la daïra d’Iwadhiyen (les Ouadias- Tizi Ouzou), découvrant la vie, selon un des témoignages, « dans les bras du martyr et héros de la révolution, le Colonel Amirouche Ait Hamouda » (1926-1959),  auquel il aurait été remis après sa naissance.

Commençant sa carrière artistique en 1974, il est révélé au grand public grâce à l’émission radiophonique « Micro caché » de Mejahed Mouhoub avant de prêter sa voix au théâtre radiophonique, aux côtés de Nouara, Djamila, Drifa, Mhenni, Ammar Ouyakoub, Bouaraba et Arezki Nabti.

En 1976 il sort ses deux premiers titres et écrit quelques chansons au groupe « Les Abranis », pour signer quatre ans plus tard « Ayidurar »(O montagnes), une chanson qui fera son succès, dans laquelle il chante les montagnes de l’est algérien où il venait d’accomplir son devoir au service militaire.

Membre de l’Onda depuis plus de 40 ans, Ouazib Mohand Ameziane, chantant l’amour et le patriotisme, a donné à la chanson kabyle près de 400 chansons.

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Sahara occidental: Khadad dénonce la complicité de l’Union européenne

Sat, 10/20/2018 - 13:59

Le président des Relations extérieures du Front Polisario et coordinateur avec l’Onu, Mohamed Khadad, a dénoncé vendredi soir à Gonfreville-L’Orcher, près du Havre, la complicité de l’Union européenne vis-à-vis du conflit du Sahara occidental.

« Oui, complicité de l’Union européenne au nom d’intérêts économiques sordides au Maroc et au Sahara occidental qui ont servi à pérenniser, à ce jour, le conflit avec toutes ses conséquences pour les peuples sahraoui et marocain, pour l’ensemble de la région maghrébine, pour la sécurité et pour les relations euromaghrébines », a-t-il affirmé au cours du colloque sur les ressources naturelles du Sahara occidental organisé par l’Association des amis de la République arabe sahraouie démocratique.

Pour le responsable du Front Polisario, « nul n’ignore que ce sont les convoitises économiques qui animent avant tout les appétits expansionnistes du Maroc » et pour cause, « le Sahara occidental dispose d’un potentiel économique important ».

Il a indiqué que cela fait sept ans que le Front Polisario travaille sur « la reconnaissance de nos droits de peuple souverain » pour que l’Union européenne « se départit de sa position illégale et immorale vis-à-vis du peuple sahraoui » et pour qu’un terme « soit mis à l’exploitation illégale et le pillage par le Maroc des ressources naturelles du Sahara occidental qui constitue un obstacle majeur à une solution politique aboutie de la question du Sahara occidental ».

Mohamed Khadad a fait remarquer que les arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) ont confirmé le droit du peuple sahraoui à « protéger et préserver ses intérêts dans les ressources naturelles du Sahara occidental et de ses adjacentes ».

« Ces décisions complètent et renforcent les résolutions du Conseil de sécurité des Nations unies et lui offre la possibilité de maintenir sa position historiquement sans équivoque, à savoir que le Maroc n’a aucune souveraineté sur le Sahara occidental et donc aucune sur ses ressources naturelles », a-t-il expliqué.

Sur le plan économique, il a ajouté que c’est un message « clair au monde entier » selon lequel l’exploitation illégale des ressources naturelles du Sahara occidental « sera confrontée à des défis juridiques et à des conséquences concrètes », soulignant qu’à l’avenir, la priorité est d’assurer le respect et la « pleine » mise enoeuvre des arrêts de la CJUE, appelant l’UE à respecter les décisions de ses propres institutions, qu’elle fasse respecter le droit international et qu’elle cesse de « se rendre complice » de l’occupation du Sahara occidental par le Maroc.

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Six plaintes du Front Polisario contre des groupes français accusés de « crime de colonisation »

Sat, 10/20/2018 - 13:57

Le Front Polisario a annoncé vendredi soir à Gonfreville-l’Orcher, près du Havre, qu’il a déposé jeudi six plaintes contre des groupes français pour « crime de colonisation » pour avoir implanté leurs filiales dans le territoire du Sahara occidental, occupé par le Maroc.

L’annonce a été faite par Mohamed Khadad, président des Relations  extérieures du Front Polisario et coordinateur avec l’Onu, à l’ouverture du colloque international ayant pour thème « Souveraineté sur les ressources naturelles et application du droit international au Sahara occidental », organisé par l’Association des amis de la République arabe sahraouie démocratique (AARASD) et dont les travaux dureront deux jours.

Les plaintes concernent trois banques (BNP Paribas, Société générale et Crédit agricole), le groupe Axa Assurances, la compagnie aérienne Transavia et le groupe UCPA, organisateur de séjours sportifs.

Elles ont été déposées au niveau du procureur de la République près le Tribunal de Grande instance de Paris pour « crime de colonisation » et « transfert de population dans une zone occupée ».

Le 18 septembre dernier, rappelle-t-on, une première plainte a été déposée plainte, auprès du même tribunal, contre l’entreprise française Chancerelle, qui exploite la marque de conserverie Connetable, pour activité « illégale » dans le territoire sahraoui, donc en violation des droits du peuple du Sahara occidental.

La conserverie Connetable, implantée en France dans le Finistère, affirme vendre également des sardines issues du Maroc, ce qui représente plus de la moitié de son activité et de son personnel. Or, ces sardines sont en réalité pêchées « illégalement » dans les eaux sahraouies.

En octobre 2017, Le Front Polisario, représentant légitime du peuple sahraoui, avait assigné la compagnie low cost Transavia, filiale d’Air France, à comparaître devant le tribunal de Créteil pour annuler son vol liant Paris à Dakhla, une ville sahraouie occupée par le Maroc.

L’avocat du Front Polisario, Gilles Devers, avait expliqué à l’APS que la compagnie française est « obligée de répondre à notre demande et donner des explications sur l’exploitation de cette ligne aérienne », alors que l’arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) interdit cette  transaction commerciale sans l’aval du peuple sahraoui.

Ces activités économiques et exploitation des ressources naturelles sahraouies se font, selon le Front Polisario, en violation « flagrante » des arrêts de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de 2016 et 2018, aux termes desquels le Maroc et le Sahara occidental sont considérés deux territoires distincts et séparés.

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Mali: l’ONU « préoccupée » par la situation sécuritaire dans le centre du pays

Sat, 10/20/2018 - 13:56

Le Chef des opérations de maintien de la paix des Nations Unies, Jean-Pierre Lacroix, a prévenu vendredi que la situation sécuritaire au Mali était très préoccupante en particulier dans le centre du Pays.

Lacroix qui s’exprimait lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur le Mali a indiqué que la région du centre a concentré près de 80% des centres de vote affectés par l’insécurité, lors des deux tours de l’élection présidentielle malienne.

L’insécurité continue également de restreindre l’accès des acteurs humanitaires aux personnes les plus vulnérables et de limiter le champ d’action des interventions de développement, a indiqué ce responsable onusien.

Il a noté qu’au cours des derniers mois, il y a eu une intensification des attaques extrémistes violentes dans le Burkina Faso voisin.

 » L’insécurité se répand rapidement, y compris par-delà les frontières, avec des conséquences allant du déplacement forcé des communautés locales à l’érosion de l’autorité de l’Etat et de la fourniture de services sociaux de base « , a-t-il ajouté.

Dans ce contexte sécuritaire volatile, Jean-Pierre Lacroix, s’est félicité de l’organisation réussie de l’élection présidentielle au Mali, qui  » a démontré la maturité politique du peuple malien, mais aussi l’adhésion de la classe politique au processus démocratique « .

Ce succès a également mis en exergue  » un acquis important de l’accord de paix : le consensus établi entre les parties signataires de l’accord de paix, qui s’est traduit par le rôle essentiel qu’ont joué les groupes armés signataires dans la sécurité du scrutin dans plusieurs localités du nord du pays « , a-t- il soutenu.

 » Ce consensus est sans doute l’élément central qui a permis aux élections de se tenir en accord avec le calendrier électoral et sans incident sécuritaire majeur, malgré les troubles rapportés dans le centre du pays « , a relevé Lacroix.

Le chef des opérations de maintien de la paix s’est dit convaincu que les discussions en cours pour un report éventuel des élections législatives créeront un climat consensuel en vue de réussir les réformes relatives à la révision constitutionnelle et à la gouvernance électorale.

Il a exhorté le gouvernement et l’opposition à s’engager dans un dialogue politique constructif et a encouragé les acteurs politiques maliens à saisir l’occasion que présentent ces élections pour bâtir un parlement plus représentatif en promouvant les candidatures des jeunes et des femmes.

Lacroix a estimé que le Pacte pour la paix, paraphé lundi par le gouvernement malien et les Nations Unies, constituait un outil essentiel pour catalyser les efforts des parties maliennes en vue d’accélérer la mise en oeuvre de l’accord de paix, issu du processus d’Alger.

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Annaba: Une policière blessée par son arme !

Sat, 10/20/2018 - 13:35

Evacuée en urgence à l’hôpital Ibn Rochd de Annaba dans un état critique, la victime a reçu une balle dans la tête, a fait savoir une source médicale.

Selon cette dernière, le drame de nature accidentel, est survenu, pendant que la policière nettoyait son arme à feu. Agée de 34 ans, A.Z avait oublié une balle dans le chargeur de son arme, qu’elle croyait avoir vidé, nous explique-t-on. Posant son doigt sur la gâchette, la balle oubliée est sortie atteignant gravement la policière à la tête. Au moment de la mise sous presse, la victime originaire de Chihani, wilaya d’El Tarf, est dans un état critique, et sa vie est encore menacée, a fait savoir notre source qui a indiqué que la balle a causé bien des dégâts. Par ailleurs, les services de sécurité ont ouvert une information judiciaire sur les circonstances de ce dramatique sinistre.

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Logements sociaux: 70% des loyers ne sont pas recouvrés

Sat, 10/20/2018 - 13:14
Il s’est révélé qu’à l’échelle nationale, seulement 33% des loyers des logements sociaux sont recouvrés, a indiqué jeudi dernier, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar.

Les Offices de promotion et de gestion immobilière (Opgi) font en ce moment face à de sérieuses difficultés d’ordre financière. Ces problèmes ont principalement trait au volet des recouvrements des loyers, lequel est caractérisé par un déficit manifeste. Et pour cause, il s’est révélé qu’à l’échelle nationale, seulement 33% des loyers des logements sociaux sont recouvrés, a indiqué jeudi dernier, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar. Se penchant sur la question lors d’une séance plénière du Conseil de la nation, ce dernier a avancé que ce problème survient toujours, malgré des prix de location «symboliques», allant de 1500 DA à 2800 DA. Une formule dit-il, destinée «aux familles à faible revenu».
Abdelwahid Temmar a dans ce sens assuré que ses services s’emploient activement afin de remédier à cette situation. Il a ainsi évoqué la mise en place d’une série de mesures, à côté «des instructions adressées aux Opgi afin d’améliorer le fonctionnement des services chargés du recouvrement des loyers, et l’ouverture de nouvelles agences, notamment dans les nouvelles cités.»
Interpellé sur le manque de guichets de recouvrement au niveau des Opgi, le responsable du secteur a avancé que «la plupart des cités disposaient de guichets et d’agences chargées de la gestion immobilière de proximité, citant également les caisses relevant des Opgi se trouvant au niveau de la plupart des agglomérations».
Il a rappelé que la wilaya d’Alger «comptait 72 guichets consacrés au recouvrement des loyers, assurant un service régulier tous les jours de la semaine, à l’exception du vendredi». Il a tout de même reconnu «l’absence de ces guichets dans certaines cités où leur éloignement, le guichet le plus proche se trouvant à 10 km.» Abdelwahid Temmar a en outre fait savoir que pour ouvrir de nouveaux guichets demande «des moyens matériels et humains ainsi que des charges supplémentaires, difficiles à couvrir par les offices, d’autant que leur montant dépasse celui des loyers recouvrés au niveau de ces guichets». Il a indiqué dans ce sillage que pour tenter de régler le problème, il est prévu de «réviser les heures de travail des services chargés du recouvrement des loyers». Les citoyens pourront donc régler le loyer à n’importe quel moment de la journée et même durant les vacances. Rappelons par ailleurs, que les difficultés financières que rencontrent les Opgi ne sont pas récentes et qu’elles remontent à plusieurs années maintenant. Il faut signaler que cela revient en grande partie aux locataires qui ne s’acquittent pas de leurs factures. Des mises en demeure ont été alors adressées à l’endroit de ces mauvais payeurs. Mais visiblement, le taux de recouvrement peine toujours à s’améliorer bien au contraire, il continue de suivre une tendance baissière.

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Jamal Khashoggi est mort dans une bagarre, annonce Ryad !

Sat, 10/20/2018 - 03:05

La pression internationale était trop forte. L’Arabie saoudite a confirmé ce samedi 20 octobre que le journaliste Jamal Khashoggi a bien été tué au consulat d’Istanbul, comme le soutenaient les autorités turques. Par ailleurs, le royaume a fait savoir qu’il limogeait un haut responsables des services de renseignement à la suite de cette affaire.

Riyad défend la version d’une bagarre qui a mal tourné

Selon la version saoudienne,une bagarre a éclaté entre Khashoggi et des personnes qui l’ont rencontré au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, ce qui a conduit à son décès.

Dix-huit ressortissants saoudiens ont été arrêtés, a annoncé le parquet national, précisant que l’enquête se poursuivait.

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Man City : Mahrez à l’entrainement avant d’affronter Burnley samedi

Fri, 10/19/2018 - 22:38

En effet, Pep Guardiola et ses hommes préparent leur retour en Premier League qui se fera ce samedi à domicile face à Burnley. Treize joueurs, dont Riyad Mahrez, étaient de retour après avoir accompli leur devoir avec leurs sélections respectives.

Avant la trêve, Man City se classait en tête de la Premier League à égalité de points avec Liverpool et Chelsea, mais devant à la différence de points.

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