A priori, pas vraiment ; le rhume est une maladie virale. Nous l’attrapons si nous entrons en contact avec un virus et une température qui descend n’est pas suffisante pour nous faire tomber malade.
Cependant, le froid est tout de même un facteur de risque. En effet, notre nez et nos voies respiratoires sont faits pour se débarrasser des microbes avant qu’ils ne nous fassent tomber malade. En hiver et en automne, quand l’air est sec et froid, les muqueuses sont irritées et remplissent donc moins bien ce rôle de défense.
Traîner sous la pluie, ça donne le rhume ?
La pluie, désagréable et refroidissante, est moins mauvaise pour les voies respiratoires. En revanche, la pluie nous incite (tout comme le froid) à rester à l’intérieur de nos maisons et à emprunter les transports en commun. Conséquence : nous sommes plus souvent réunis dans des espaces intérieurs. Une aubaine pour les virus du rhume qui trouvent là l’occasion rêvée pour contaminer de nouvelles personnes !
Le chocolat light est-il moins calorique ?
Non. Le chocolat light n’a de léger que le nom. Le sucre est remplacé par des polyols et quelquefois par des graisses. Le chocolat est alors aussi calorique qu’un chocolat normal, voire plus.
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Le ministre de la Santé a réuni hier les présidents des conseils scientifiques, les directeurs généraux des CHU et les directeurs des centres anti-cancer. Hasbellaoui qui a annoncé sa feuille de route pour 2019, a instruit sur la nécessité de la réhabilitation des services hospitaliers et la relance des projets interrompus. La généralisation du dossier électronique du malade et la dotation de l’ensemble des pharmacies hospitalières d’un outil de gestion informatisé des médicaments font également partie des défis du secteur pour la nouvelle année.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Visiblement, on peut espérer que 2019 soit l’année de la modernisation du secteur de la santé avec l’introduction de moyens technologiques.
Hasbellaoui qui a tenu hier une réunion d’évaluation avec des présidents des conseils scientifiques, des directeurs généraux des CHU et des directeurs des CAC, a donné des instructions «strictes» en vue de généraliser le déploiement du dossier électronique médical au niveau de tous les centres hospitalo-universitaires, dans le cadre du système informatique national.
Le premier responsable du secteur a également recommandé à ce que l’ensemble des pharmacies hospitalières soient dotées d’un outil de gestion informatisé des médicaments, notamment la gestion du stock et le circuit du médicament.
Le ministre de la Santé qui a annoncé son plan de travail pour 2019 a ordonné la création d’un Registre national des maladies orphelines, a indiqué un communiqué rendu public par ce département. Parmi les axes prioritaires aussi de la feuille de route de Hasbellaoui, la nécessité d’améliorer le fonctionnement des urgences médico-chirurgicales et de remédier à tous les dysfonctionnements en matière d’accueil, d’orientation et d’hygiène hospitalière ; d’assurer tout ce qui facilite la prise en charge des cas urgents, en veillant à la disponibilité et l’entretien régulier du matériel et des équipements médico-chirurgicaux.
Concernant le cadre de travail en milieu hospitalier, le ministre, souligne le communiqué, a rappelé la nécessité de créer toutes les conditions favorables aux équipes médicales et paramédicales afin de s’acquitter au mieux de leurs tâches et de garantir la sécurité aux équipes de garde. Le premier responsable du secteur a aussi instruit pour «porter les activités médico-chirurgicales à un plus haut niveau, d’améliorer et organiser le travail et la gestion des services des urgences, conformément aux efforts consentis par l’Etat pour améliorer ces services qui reflètent le système de santé tout entier».
Hasbellaoui a aussi demandé à ce que les dettes de la PCH soient acquittées «dans les plus brefs délais», tout en préparant ses contrats dans les délais. Au sujet de la transplantation, le ministre a ordonné de poursuivre le programme national de transplantation d’organes, de tissus et de cellules, sous réserve de l’accréditation de l’Agence nationale des greffes d’organes. Le ministère de la Santé a souligné, par ailleurs, que deux réunions seront programmées au cours des prochains jours pour examiner la question de l’organisation des urgences médicales et de la radiothérapie.
S. A.
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2 œufs, 1/2 petit verre à thé d’huile, 50 g de sucre en poudre, zeste d’un citron, 1 sachet de sucre vanillé, 1 sachet de levure pâtissière, de la farine selon le mélange
Sirop : 500 g de sucre en poudre, le jus d’1/2 citron
Le sirop : Mettre dans une casserole le sucre, le jus de citron et couvrir d’eau, laisser cuire sur feu doux et vérifier la cuisson en posant une goutte de sirop sur une assiette, celle-ci ne doit pas s’étaler.
La pâte : Battre les œufs et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse et devienne mousseux, ajouter l’huile et le sucre vanillé, la levure, travailler énergiquement ce mélange, ajouter la farine tamisée peu à peu en travaillant sans cesse jusqu’à obtention d’une pâte homogène et souple.
Etaler la pâte au rouleau sur une épaisseur d’1 cm sur un plan de travail fariné. Découper la pâte en rondelles à l’aide d’un emporte-pièce rond ; après, trouer ces rondelles à l’aide d’un autre emporte-pièce qui a la forme d’un dé à coudre.
Faire frire les beignets dans un bain d’huile chaud jusqu’à ce qu’ils soient dorés, les tremper dans le sirop chaud. Servir aussitôt.
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Derrière le drame des harragas se cache un commerce juteux profitant à des passeurs désormais comparables à des filières relevant du crime organisé. La traversée de la Méditerranée coûte cher, très cher…
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Les temps où le secret entourait l’évocation du prix d’un «voyage» de harraga sont révolus depuis un long moment déjà.
Les dimensions prises par la situation, la prolifération des passeurs attirés par le gain offert par la détresse humaine mais aussi la levée du tabou sur un phénomène au centre de toutes les discussions ont permis de répondre à toutes les interrogations qui pouvaient se poser à un certain moment.
Les langues se sont déliées et il en faut parfois peu pour avoir les détails «procéduriers» de l’aventure en mer.
«Le soir dans les quartiers, on évoque très souvent nos copains partis, dès que c’est possible, on s’envoie des vidéos, on discute, la harga est devenue un sujet naturel, et tout le monde sait à présent de quelle manière se déroule ‘’l’affaire’’», raconte un jeune étudiant de Bab-el-Oued.
Mehdi n’est pas candidat à l’aventure, il vit seul avec sa vieille mère et parvient à peine à s’en sortir avec la retraite de son défunt père. Il sait aussi qu’une traversée à bord d’une embarcation, même de fortune, est au-dessus de ses moyens.
«Pour cela, il me faudrait aller voler ou emprunter, ce qui revient au même puisque cela demeurera une grosse somme à rembourser», dit-il. Mehdi a vu la manière avec laquelle deux de ses anciens voisins, ayant récemment embarqué pour l’Italie, se sont démenés pour réunir la somme à payer. «Ce sont deux jeunes de 22 et 26 ans, leur travail consistait à vendre des bricoles durant le mois de Ramadhan, le reste du temps, ils vivotaient. Et comme tous les voisins du quartier, ils entendaient parler de ce qui se passait. Au sein des groupes, il se trouve toujours une personne bien renseignée pour donner toutes les informations possibles pour la harga», poursuit-il.
Depuis plusieurs semaines, le bruit court que le prix demandé par les passeurs a augmenté sensiblement en raison de la surveillance accrue des points de départ en mer. «Les personnes désirant partir doivent pratiquement prendre en charge tous les aspects liés à la traversée.»
Il explique : «Le passeur doit d’abord savoir combien de personnes il aura à transporter et c’est à partir de là qu’il donnera son prix.» Le premier prix concerne celui de la barque. Pour assurer la traverser de douze à treize personnes, l’embarcation doit avoir des dimensions de cinq à six mètres. Dans ce cas, le coût de l’embarcation est fixé à 80 000 DA. «Le plus dur, c’est les moteurs, il en faut deux, l’un servira de secours en cas de panne.
Les harragas doivent cotiser pour acheter au moins un moteur, son prix est de 500 000 dinars ce qui fait à peu près 39 000 DA par personnes. Lorsque la météo est capricieuse, ou que la période est risquée, les passeurs exigent les deux moteurs, ce qui fait près de 90 000 DA par candidat. Et puis il y a aussi le GPS et les gilets de sauvetage et les bidons d’essence, tout ceci coûte également très cher.»
«Le prix du voyage qui coûtait 40 000 DA par personne il y a de cela une année est aujourd’hui à 460 000 DA, car il a fallu augmenter le prix que demandent les individus chargés de surveiller le mouvement des gardes-côtes.»
D’autres informations recueillies auprès de chercheurs chargés de travailler sur le phénomène des harragas permettent également d’en savoir davantage sur le sujet. En raison de la «forte demande, nous dit-on, les passeurs qui effectuaient auparavant trois voyages par saison en sont à cinq ou six».
A. C.
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Le président de la République a ratifié en novembre dernier le protocole annexé à la convention générale entre le gouvernement de la République algérienne et celui de la République française, relatif aux soins de santé programmés, dispensés en France aux ressortissants algériens. Désormais, des Algériens peuvent accéder aux soins dans les hôpitaux français et ce, sous certaines conditions. Cependant, ce décret présidentiel ne fait pas l’unanimité chez les représentants des professionnels de santé.
Mohammed Bekkat, président du conseil de l’ordre des médecins :
«Je ne comprends pas cette levée de boucliers»
Le professeur Bouzid a récemment qualifié cette décision, dans les colonnes du site électrique TSA, d’«injure». Allant jusqu’à dire que cette ratification «est un mépris vis-à-vis du soignant algérien». Or, Mohammed Bekkat, président de l’Ordre des médecins, estime qu’il s’agit «d’une tempête dans un verre d’eau».
Le président de l’Ordre des médecins rappelle qu’il y a deux ans de cela, la Sécurité française et la Caisse de la sécurité algérienne se sont réunies pour trouver comment épurer les dettes cumulées suite aux soins des patients algériens en France. A l’époque, la Cnas avait expliqué qu’il ne s’agit pas de dettes contractées par la Caisse de Sécurité sociale mais par des patients qui sont en France dans un cadre touristique ou autre et qui se sont soignés dans les hôpitaux français. Le docteur Bekkat poursuit en expliquant qu’il y a eu des négociations entre les deux parties algérienne et française qui ont abouti à un protocole d’accord. Cet accord signé par le Président, dit-il, n’est pas nouveau puisque, depuis toujours, il y a eu des transferts de patients pour des soins à l’étrangers. «Je ne vois pas où sont les cris d’alarme et je ne comprends pas cette levée de boucliers alors qu’il n’y a rien de nouveau», estime le président de l’Ordre des médecins.
Lyes Merabet, président du SNPSP :
«On aurait aimé que ces efforts soient fournis pour améliorer notre système de santé»
Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP), dit que son syndicat aurait aimé que ces efforts pour arriver à cette convention soient fournis pour renforcer les moyens humains et matériels du système de santé algérien notamment en matière de formation et de budget. «Nous manquons de moyens financiers et nous souffrons du manque de personnel et de formation, on aurait aimé que l’Etat fournisse des efforts financiers pour diversifier nos structures de santé et créer des instituts de formation paramédicale, des USH, des hôpitaux généraux et des structures légères, qu’elles soient privées ou publiques, on aurait souhaité aussi la mise en place de la carte sanitaire dont on parle depuis des années et qu’on n’arrive toujours pas à mettre en place pour consacrer le réseau de soins et garantir l’accès aux soins à tous les Algériens et permettre l’épanouissement des régions enclavées de l’intérieur du pays», a souligné le représentant des praticiens de santé publique. Selon lui, l’effort d’investissement qu’il faudra faire est de financer en Algérie pour renforcer notre système de santé. Or, dit-il, cette convention ne va pas bénéficier à tous les patients.
Dans ce cas, s’interroge-t-il, pourquoi ne pas signer également des conventions avec d’autres pays comme l’Allemagne, le Canada ou encore les pays du Golfe ? «Nous ne comprenons pas pourquoi aller jusqu’à signer une convention puisque cela va être au profit des Français et au détriment des Algériens, car les structures de santé françaises vont profiter et bénéficier de l’argent des cotisations des travailleurs à la Cnas», a souligné le Dr Merabet qui estime que cet argent doit être investi pour améliorer la prise en charge des patients en Algérie.
Mohamed Youcefi, président du SNPSSP :
«Les cas de transfert doivent être exceptionnels et profiter à tous les patients qui le nécessitent»
Mohamed Youcefi, président du Syndicat national des praticiens spécialistes de santé publique, juge le principe en lui-même «étant une bonne chose». Cependant, dit-il, il faut que le transfert profite véritablement aux malades qui le nécessitent. «On aimerait qu’il n’y ait plus de transferts mais pour arriver à ça, les pouvoirs publics doivent assumer leurs responsabilités pour régler les problèmes des compétences et des médecins spécialistes en particulier pour que ces compétences restent en Algérie et profitent aux malades algériens car on n’aimerait pas que nos malades partent se soigner à l’étranger loin de leurs proches», a déclaré le porte-parole des patriciens spécialistes. «Les transferts, ajoute-t-il, doivent se faire uniquement et exceptionnellement dans des cas que nous ne pouvons pas prendre en charge en Algérie en raison d’une technique ou d’un matériel que nous n’avons pas, et c’est très rare. Pour le SNPSSP, le transfert à l’étranger lorsqu’il doit se faire doit profiter à tous les Algériens qui le nécessitent, «quel que soit leur niveau social».
S. A.
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Les parents d’élèves pourront consulter les relevés de notes de leurs enfants par SMS à partir de ce trimestre, selon le ministère de l’Education. Pourtant, lors d’une première tentative, l’opération a été un échec puisque des enseignants affirment ne pas pouvoir accéder au logiciel et introduire les notes.
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Le nord du pays, de l’est à l’ouest, sera marqué par une chute brusque des températures accompagnée d’intempéries, à partir de jeudi 13 décembre.
Une information diffusée par Houaria Ben Rakta, chargée de l’information à l’Office national de météorologie (ONM). Un bulletin météorologie spécial (BMS) plus détaillé sera émis au cours de la journée.
Les chutes de neige devraient atteindre l’intérieur du pays dépassant les 1000 mètres d’altitude.
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Le pays organisateur de la CAN-2019, retirée au Cameroun fin novembre, sera connu le «9 janvier» à l’issue de la réunion du comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF), a annoncé à l’AFP son président Ahmad Ahmad, hier à Paris.
Après la clôture de l’appel aux candidatures programmée le 14 décembre, «tout sera finalisé le 25 décembre pour faire sortir une short-list de candidats avec leur évaluation et des notations claires. Le comité exécutif va se réunir le 9 janvier à Dakar (Sénégal), où nous donnerons la décision», a expliqué Ahmad Ahmad dans un entretien à l’AFP. Combien de candidatures l’instance a-t-elle reçues pour l’instant ? «D’après mes informations, il y a deux ou trois lettres d’intentions qui sont arrivées», a répondu le président de la CAF. Comme le Maroc, annoncé comme le candidat le plus crédible pour organiser la première CAN de l’histoire à 24 équipes, du 15 juin au 13 juillet prochain ? «Je ne sais pas mais il y a l’Afrique du Sud, qui a envoyé une lettre d’intention. Il y a deux ou trois pays qui ont demandé le cahier des charges», a-t-il ajouté.
En ce qui concerne le Congo-Brazzaville, annoncé comme candidat par l’un des vice-présidents de la CAF vendredi avant un démenti du ministre des Sports congolais dimanche, Ahmad Ahmad n’a pas voulu confirmer ou infirmer. «Je ne vais pas parler des problèmes internes d’un pays. C’est un problème congolais interne. Voyez plutôt du côté de la fédération et du gouvernement», a-t-il déclaré. En 2014, la CAF alors présidée par le Camerounais Issa Hayatou avait attribué les trois prochaines CAN d’un coup: 2019 au Cameroun, 2021 à la Côte d’Ivoire et 2023 à la Guinée. L’instance africaine a finalement retiré fin novembre l’organisation de l’édition 2019 au Cameroun, en raison de retards dans les travaux d’infrastructures et une situation fragile sur le plan sécuritaire. Mais «pour arranger les choses de manière vraiment humaine», la CAF a décidé de confier l’organisation de l’édition 2021 au Cameroun et 2023 à la Côte d’Ivoire, avait annoncé Ahmad Ahmad hier sur la chaîne de télévision Afrique Média TV. «En 2021 ils seront prêts: on organise la CAN au Cameroun. Et en 2023 on organise en Côte d’Ivoire. C’était la décision prise par le comité exécutif», le 30 novembre à Accra, avait-il ajouté.
«Le Cameroun est d’accord»
Le Cameroun, qui s’est vu retirer fin novembre l’organisation de la CAN-2019, «est d’accord» pour devenir l’hôte de l’édition 2021, a par ailleurs assuré Ahmad Ahmad. «J’ai la lettre, je communique avec la présidence de la République. On est d’accord pour 2021», a annoncé le président de l’instance dans l’entretien accordé à l’AFP. En 2014, la CAF alors présidée par le Camerounais Issa Hayatou avait attribué les trois prochaines CAN d’un coup: 2019 au Cameroun, 2021 à la Côte d’Ivoire et 2023 à la Guinée. Interdit d’un point de vue réglementaire, ce décalage aurait pu pousser le Cameroun à porter plainte devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). Mais «s’il attaque au TAS, le Cameroun perd 2021 et ce sont les sanctions qu’il va recevoir.
Du point de vue du règlement (de la CAF), c’est ce qui est prévu : ils n’étaient pas prêts à temps, alors ils sortent (de 2021), ne participent pas aux deux prochaines éditions, et écopent de sanctions financières», menace le président de l’instance, tout en excluant un tel scénario. Au regard des nombreuses visites d’inspection qui ont eu lieu dans le pays depuis plusieurs mois, la CAF aurait-elle pu prendre une décision plus tôt ? «Pendant plusieurs mois le Cameroun s’est arrêté à cause de problèmes de paiements, des problèmes de pluies qui ont retardé les travaux… Mais nous ne pouvions pas aller au-delà de cette date», a confié M. Ahmad. «Connaissant les réalités sur notre continent, nous étions sûrs qu’il y aurait toujours quelqu’un pour reprendre (l’organisation de la CAN-2019)». «Cela ne nous arrange pas (de l’avoir retirée au Cameroun), si vous voyez les investissements qui ont été faits. Le Cameroun est une grande nation du football, si la jeunesse bénéficie de ce genre d’installations (en 2021), le foot africain va être tiré vers le haut», a-t-il ajouté.
«On attend la Côte d’Ivoire pour 2023»
La Confédération africaine de football (CAF) «attend» une réponse de la Côte d’Ivoire, qui n’est plus le pays hôte de la CAN-2021 après le retrait de la CAN-2019 au Cameroun et le décalage des éditions, pour accepter l’organisation de la CAN-2023, a annoncé à l’AFP le président de l’instance, hier. «On attend. Nous avons fait la même démarche (qu’avec le Cameroun), nous avons envoyé la lettre. Lundi ou mardi, il y aura une réunion entre le Premier ministre et les gens qui s’occupent de l’organisation de la CAN, donc on va voir», a expliqué Ahmad Ahmad dans un entretien à l’AFP. Quid de la Guinée, désignée à l’origine pour 2023, mais dont le dossier «n’existe pas» selon l’un des vice-présidents de l’instance africaine ? «Ils ont demandé la CAN-2019 et 2021 mais ils n’ont pas demandé la CAN-2023. Personne ne l’a demandée et la CAF n’a pas ouvert la candidature pour la CAN-2023», a expliqué son nouveau président, en poste depuis mars 2017. Le pays va-t-il recevoir par ricochet l’organisation de l’édition 2025 ? «Théoriquement, c’est pour la Guinée. Mais il faut que la question se pose encore. Est-ce que la Guinée va le faire ? Parce qu’ils ne l’ont pas demandé. Il faut qu’il y ait une remise en question de tout le monde», a-t-il ajouté.
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Une foule nombreuse a entamé, ce mardi matin, à 11h, une marche de soutien à Cevital, à partir du complexe agroalimentaire du groupe, à Béjaïa, pour se diriger vers le siège de la wilaya.
Des organisations sociales et professionnelles, des élus locaux, des militants associatifs, des acteurs politiques, des opérateurs économiques, des syndicalistes autonomes, des étudiants et autres personnalités ont tenu à prendre part à la marche.
Plusieurs slogans sont scandés par la foule qui réclame «le déblocage des projets de Cevital» et permettre ainsi au Groupe de «créer la richesse et l’emploi dans la région», mais aussi «à travers le pays».
La marche, initiée par la Coordination des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques, est toujours en cours.
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La Suisse a été marquée par une hausse remarquable concernant les demandes d’asile des algériens, au mois de novembre.
En effet, plus de quatre-vingt demandes ont été introduites par des ressortissants algériens désireux de rester sur le territoire de la Confédération Helvétique, selon la presse locale. Une hausse de treize dossiers déposés a été enregistrée, en comparaison avec le mois précédent.
Ainsi, les principaux demandeurs d’asile en Suisse sont issus de l’Érythrée avec 184 demandes, soit 70 demandes de moins qu’en octobre, l’Afghanistan (130 demandes; + 30), la Syrie (123 demandes; -37) et la Turquie (94 demandes; -51). Les demandes d’asile ont connu une baisse en 2018, la Suisse a enregistré 14’320 demandes, soit 15,7% de moins que pour la même période l’an dernier.
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La Mission Economique Business France en Algérie prévoit d’organiser au second semestre 2019, la 1ère édition d’Ambition Santé. Cet événement économique sera une plate-forme privilégiée réunissant les entreprises et acteurs français et algériens du secteur de la santé, qui pourront ainsi échanger entre professionnels et partager les dernières innovations de leur secteur. Cet événement doit permettre de nouer des partenariats pérennes entre acteurs économiques des deux pays.
Ambition Santé prolongera ainsi en 2019, le succès des 3ème rencontres algéro-françaises de la Santé qui se sont tenues mi-novembre à Alger, en partenariat avec le ministère de la Santé, de la Population et de la réforme hospitalière. Ces deux événements portent le label « French Healthcare », comme le prévoit la convention signée avec l’association du même nom qui porte cette marque collective lancée par l’Etat français pour promouvoir l’excellence et le savoir-faire français dans les technologies de santé.
Ambition 2019 donne donc rendez-vous à tous les opérateurs algériens intéressés, qui seront cordialement invités à y participer.
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MARRAKECH – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui a mis en avant, lundi à Marrakech (Maroc), les efforts « considérables » de l’Algérie en matière d’accueil et de prise en charge totale des migrants dans de bonnes conditions et de rapatriement de ceux clandestins en concertation avec leurs pays d’origine.
« Ce flux constant de migrants vers l’Algérie avait des répercussions négatives sur l’ordre et la sécurité publics, ce qui a amené notre pays avec toute responsabilité en collaboration avec les pays d’origine à prendre des mesures susceptibles d’endiguer et réduire ces flux », a déclaré M. Bedoui dans une allocution lors des travaux de la Conférence internationale des Nations Unies pour l’adoption de la Charte mondiale, intitulée « Pour une migration sûre, organisée et régulière ».
« L’Algérie n’a de cesse de déployer davantage d’efforts remarquables concernant l’accueil et la prise en charge totale des migrants dans de bonnes conditions ainsi que le rapatriement de ceux clandestins en concertation avec leurs pays d’origine dans le cadre du respect de leur droit et de leur dignité humaine », a précisé M. Bedoui, soulignant que « le président de la République a toujours insisté sur cette question conformément aux lois de la République et aux engagements internationaux de l’Algérie ».
Dans ce cadre, le ministre a indiqué que l’Algérie « connue par le passé en tant que pays de départ et de transit, est devenue durant les dernières années un pays d’accueil de nombre croissant de migrants », relevant que « conformément aux us et coutumes de la société algérienne, notre pays a toléré pendant de longues années le phénomène de l’immigration en assumant seule le fardeau de la présence de centaines voire de milliers de migrants clandestins sur son territoire, mais elle se retrouve aujourd’hui face aux défis de gestion de ces flux exceptionnels et constants au moment où la sécurité et la stabilité règnent dans notre pays grâce à la clairvoyance du président Bouteflika, basée sur les principes de la paix et de la tolérance consacrées par la charte pour la paix et la réconciliation nationale ».
Compte tenu des effets de cet accord en matière de gestion future de la migration et des répercussions de certaines dispositions sur la situation de la migration dans nos pays au niveau local et international, « l’Algérie, après avoir examiné la version finale de ce texte, juge utile de formuler une série d’observations.
A ce propos, le ministre a souligné la nécessité de soutenir le caractère global, multidimensionnel et solidaire de ce Pacte ainsi que ses principes directeurs promouvant la dimension humanitaire de la migration mais aussi le droit souverain des Etats à la définition de leurs politiques nationales en la matière ainsi que leur rôle fondamental dans la mise en œuvre et le suivi de l’accord et son caractère juridiquement non contraignant outre la répartition équitable des responsabilités et des charges et le développement durable ainsi que le respect des droits de l’Homme et la coopération internationale ».
« L’Algérie appuie les objectifs de cet accord visant la lutte contre les problèmes structurels incitant les personnes à quitter leurs pays, les impacts négatifs des changements climatiques et la dégradation de l’environnement », a précisé le ministre ajoutant que « l’Algérie soutient, également, les objectifs visant à sauver les vies humaines et le renforcement des mécanismes de prévention internationale contre le trafic des migrants et l’élimination de la traite des êtres humains ainsi que la lutte contre toutes formes de discrimination et de racisme ».
Concernant les autres objectifs présentés sous forme d’engagements officiels non conformes au caractère juridique non contraignant de cet accord, la délégation algérienne estime que la version finale du texte « ne distingue pas entre les migrants légaux et illégaux, notamment en matière d’accès aux services fondamentaux et d’intégration ».
M. Bedoui a indiqué, dans ce sens, que « l’absence de distinction entre ces deux catégories de migrants dans un contexte international n’est pas appropriée puisque cela ne contribue pas efficacement à la lutte contre la migration clandestine« , soulignant que « si l’Algérie s’engage à aider les migrants quelque soit leur situation, elle considère cela comme une solidarité dictée par des considérations humanitaires et qui ne doit pas être adaptée comme étant un engagement officiel qui pourrait devenir juridiquement contraignant au fil du temps « .
« L’Algérie est aujourd’hui parmi les pays les plus exposés au phénomène de la migration clandestine, mais cette réalité difficile et complexe pourrait s’aggraver à l’avenir si des mesures nécessaires ne seront pas prises afin de lutter contre les causes de ce phénomène », a-t-il ajouté.
A cet effet, M. Bedoui a indiqué que la teneur de cet accord « ne prévoit pas suffisamment de mesures concrètes en matière de prévention et de gestion des conflits armés, de crises politiques, de la famine et de la sécheresse », ajoutant qu' »il est inutile de lutter contre les effets de la migration clandestine sans éliminer ses véritables causes », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, M. Bedoui a réaffirmé que l’Algérie « soutenant le principe du respect de la souveraineté des Etats et le caractère juridiquement non contraignant de cet accord, elle estime en revanche que le mécanisme de sa mise en œuvre et son suivi doit être de manière volontaire et progressive et préalablement approuvé par les Etats, en prenant compte la réalité de la migration dans chaque pays ainsi que leurs capacités et moyens tout en excluant toute forme d’exploitation du dossier de la migration pour s’ingérer dans les affaires internes des Etats », a affirmé M. Bedoui.
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ALGER- La délégation algérienne participant aux négociations de la Conférence des Nations-Unies sur les changements climatiques (COP24), qui se tient à Katowice en Pologne, du 10 au 14 décembre, tend à aboutir à des résultats garantissant l’équilibre des intérêts entre tous les pays parties à l’accord de Paris, signé en 2015, a indiqué, lundi, un communiqué du ministère de l’Environnement et des énergies renouvelables.
Présidée par la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima-Zohra Zerouati, la délégation algérienne veut convaincre les pays participants à adopter des décisions reposant sur des principes fondamentaux et à leur tête « le souci de voir les résultats définitifs de la conférence refléter, de manière équilibrée, les intérêts et visions des Etats parties de l’accord de Paris sur le climat », a précisé la même source.
L’Algérie rejette également la renégociation de l’accord de Paris qui représente le consensus des Etats, a-t-on précisé de même source.
Pour l’Algérie, le traitement des questions climatiques doit reposer sur la responsabilité historique des pays développés, principaux générateurs de gaz à effet de serre, durant ces dernières décennies, ainsi que la prise en compte des différences entre ces pays et ceux en voie de développement.
« Assurer le soutien financier par les pays développés demeure parmi les questions sensibles devant aboutir à une solution acceptable et applicable », ajoute la même source, soulignant que « l’Algérie choisit ses partenaires parmi les pays développés, sur la base du respect de leurs engagements d’assurer un soutien de pas moins de 100 milliards de dollars/an d’ici 2020, en veillant à l’équilibre entre l’atténuation et le mandat en terme de financement des projets par le Fonds vert pour le climat ».
Dans le cadre de la participation algérienne au sommet de Katowice, Mme Zerouati a présenté un aperçu sur la stratégie nationale en matière des énergies renouvelables non raccordées au réseau et ce durant une conférence organisée par le ministère allemand de l’Economie et de l’Energie au niveau de leur pavillon, en présence de représentants de différents Etats.
Par ailleurs, Mme Zerouati a rencontré le ministre sud coréen de l’environnement au niveau du pavillon de son pays, avec lequel elle a examiné les voies et moyens du partenariat dans le domaine de la protection de l’environnement, la lutte contre le changement climatique et l’échange technologique ainsi que le renforcement des relations dans ce domaine, conclut le communiqué.
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ALGER- Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, s’est entretenu, lundi à Marrakech (Maroc), avec ses homologues des Pays-Bas, du Niger, du Djibouti, de la Mauritanie, en marge des travaux de la Conférence internationale des Nations Unies pour l’adoption de la Charte mondiale, intitulée « Pour une migration sûre, organisée et régulière », indique un communiqué de ce ministère.
Les entretiens ont porté sur « les relations bilatérales avec ces pays, les moyens de les renforcer dans les domaines qui concernent le secteur de l’intérieur, ainsi que les questions relatives à la migration, aux moyens de lutte contre ce fléau et aux questions d’intérêt commun », précise le communiqué.
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ALGER- La reconnaissance par la France officielle de sa responsabilité dans la mort de Maurice Audin pendant la guerre de libération nationale, constitue une preuve de l’existence d’un système d’arrestation et de torture confié à l’armée coloniale durant cette période, a indiqué lundi à Alger, Pierre Audin, fils du défunt.
« Après plus de 60 ans, la France a enfin reconnu sa responsabilité dans la mort de mon père. C’est important que la France reconnaisse ses faits, car à travers cela, elle reconnait l’existence d’un système d’arrestations et d’exécutions sommaires pendant la guerre d’Algérie », a-t-il déclaré lors d’une cérémonie organisée à la Faculté centrale en hommage à Maurice Audin.
Le 11 juin 1957, Maurice Audin, un assistant de mathématiques à la Faculté d’Alger et membre du Parti communiste algérien, suspecté de soutenir le Front de libération nationale (FLN), a été arrêté par des parachutistes de l’armée française.
« Des milliers ont été victimes de ce système installé pendant la guerre de libération nationale par les autorités politiques françaises en utilisant l’armée française », a ajouté Pierre Audin.
Présent à la cérémonie, le mathématicien et député Cédric Villani a, de son côté, qualifié Maurice Audin de « symbole de courage, de fraternité et de dignité humaine ».
« Je suis extrêmement ému que cette cérémonie se tienne peu après la déclaration remise (par le Président français Emmanuel Macron) à la veuve Audin », a ajouté le député, estimant que « ce pas franchi était le fruit d’un long combat mené par l’avocat de la famille Audin, Roland Rappaport, décédé sans jamais faiblir et avec l’espoir que le combat porterait un jour ses fruits ».
Pour rappel, le 13 septembre dernier, le Président Macron s’est déplacé au domicile de la famille Audin pour remettre à la veuve de Maurice, Josette, une déclaration reconnaissant que la disparition et la mort sous la torture de son époux, avait été rendue possible par un système dont les gouvernements successifs ont permis le développement.
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ALGER- Le ministre de l’Habitat, de l’urbanisme et de la ville, Abdelwahid Temmar, prendra part mardi au Royaume de Bahreïn à la 5e conférence arabe sur l’habitat, prévue les 11 et 12 décembre et qui sera suivie par la 35e session du Conseil des ministres arabes de l’Habitat et de l’urbanisme, dont les travaux seront présidés par le Royaume de Bahreïn.
M.Temmar présentera aux travaux de la 35e session du Conseil des ministres arabes de l’Habitat et de l’urbanisme deux projections, la première sur l’expérience de l’Algérie en matière de « diversification des offres de logements » et la deuxième sur « la responsabilité sociale des entreprises du secteur privé dans l’exécution des projets du logement aidé ».
La 5ème conférence arabe sur l’Habitat tend à mettre la lumière sur le rôle des secteurs public et privé dans la garantie du logement social et ses tendances futures, et à débattre des approches relatives au rôle des ministères et instances gouvernementales dans l’implication des institutions financières et bancaires et des sociétés de promotion immobilière, dans la garantie du logement social.
La rencontre examinera, en outre, les mécanismes nécessaires à l’équilibre entre les potentialités et les ressources des Etats et les défis qui se posent en termes de logement social.
Placée sous le thème « le rôle futur du secteur public dans le logement social », la conférence débattra de 4 principaux axes dont le premier porte sur la révision des politiques de logement et les programmes et plans de soutien au développement urbain durable, alors que le deuxième axe concerne les mécanismes du renforcement du rôle du secteur privé dans la garantie des projets de logements sociaux.
Le troisième axe est consacré à la facilitation accordée au citoyen pour bénéficier du financement adéquat à l’acquisition d’un logement, tandis que le dernier porte sur les expériences pratiques des pays en matière de partenariat avec le secteur privé.
Organisée par le ministère bahreïni de l’Habitat en collaboration avec le Conseil des ministres arabes de l’Habitat, la Conférence arabe sur l’habitat se tient sous le patronage du Roi du Bahreïn, Hamad Ben Issa Al Khalifa en présence des ministres arabes de l’Habitat et de l’urbanisme et avec la participation de la directrice exécutive du programme des Nations Unies pour les établissements humains (ONU-Habitat), Maimunah Mohd Sharif et de plusieurs instances locales et internationales concernées par le secteur de l’Habitat et le développement durable.
A noter que cette Conférence, bi-anuelle qui se tient dans le pays abritant les réunions des ministres arabes de l’Habitat et de l’urbanisme, sous le patronage des chefs d’Etats, traite des nouveautés du secteur de l’Habitat et de l’urbanisme dans les pays arabes à traves des séances de débats.
Ces séances sont marquées par la participation d’eminentes personnalités, dont des ministres de l’habitat et de l’urbanismes et des représentants des instances internationales concernées par l’habitat à l’instar de l’ONU-Habitat ainsi que des chercheurs et des académiciens dont les études portent sur l’habitat.
Pour rappel les quatre dernières (04) sessions de cette conférence ont eu lieu en Egypte, en Irak, en Jordanie et en Arabie Saoudite, la 6e session est prévue aux Emirats Arabes Unies (EAU).
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ALGER- Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia, a indiqué, lundi à Alger, que le secteur des hydrocarbures avait enregistré, en 2016, une forte croissance et un ralentissement de la croissance économique en raison de la faible performance des activités hors hydrocarbures.
Présentant le projet de loi portant Règlement budgétaire 2016 lors d’une plénière de l’Assemblée populaire nationale (APN), tenue sous la présidence de M. Mouad Bouchareb, le ministre a précisé que « le taux de croissance était, en 2016, de l’ordre de 3,3% contre un taux prévisionnel de 4,60% dans la loi de Finances 2016 ».
Il a ajouté que « le secteur agricole avait connu un taux de 1,8% contre 4,7% prévu dans la loi de finances (2016), que le secteur commercial avait enregistré 2,9% contre un taux prévisionnel de 5,70% et que le taux de croissance du secteur des Travaux publics était de 5% contre un taux prévisionnel de 5,90% ».
Evoquant les hydrocarbures, le ministre a fait état d’une forte reprise en 2016 avec un taux de croissance de 7,70% contre 4,50% prévu (dans la LF 2016).
Par ailleurs, le produit intérieur brut (PIB) hors hydrocarbures a atteint 14.381 milliards DA en 2016 contre 15.902 milliards DA en 2015 soit un taux de croissance de 2,30% contre 4,70% prévu.
Soulignant que le prix moyen du baril de pétrole brut algérien était de 44,76 USD contre 52,81 USD en 2015, M. Raouia A rappelé que la LF 2015 avait retenu un prix référentiel de 45 USD le baril.
Le ministre des finances a fait état, également, du recul du taux de change par rapport au Dollar américain de 9,01 DA passant de 100,46 DA/1 USD en 2015 à 109,47 DA/1 USD en 2016.
Concernant la fiscalité pétrolière recouvrée en 2016, le ministre a avancé le chiffre de 1.807 milliards DA, dont 1.683 milliards DA affectés au budget de l’Etat, 3 milliards DA à l’Agence nationale de valorisation des ressources en hydrocarbures (ALNAFT) et 99 milliards DA au Fonds de régulation des recettes (FRR).
A la fin de l’année 2016, les réserves de change étaient estimés à 114 milliards USD et le solde de la balance commerciale avait enregistré un déficit de 17 milliards USD.
Evoquant l’encours de la dette publique, le ministre a fait savoir qu’ils ont représenté 3.534 milliards DA, dont 3.407 milliards DA de dette intérieure et 127 milliards DA de dette extérieure.
En outre, le ministre a indiqué que les dépenses de fonctionnement se sont élevées à 4.807 milliards DA, soit 60% du budget de l’Etat contre 3.177 milliards DA pour les dépenses d’équipement.
Lors de cette séance, le rapporteur de la Commission des finances et du budget, Hamid Boucharef, a donné un aperçu du rapport de la Commission sur le projet de loi, résumant une série de préoccupations et de recommandations portant essentiellement sur la nécessité de doter la Cour des comptes d’un système informatique efficient et des moyens matériels nécessaires et ressources humaines compétentes.
La Commission a recommandé également dans son rapport de renforcer la coordination entre les départements ministériels et la Cour des comptes pour lui permettre d’accomplir efficacement ses missions et de conférer à ses décisions un caractère plus coercitif, soulignant l’impératif de transmettre à la justice les dossiers et les affaires suspects et de mettre en place, au niveau de la Cour, un programme de formation en phase avec les normes internationales en vigueur en la matière.
== Appel à un plus grand contrôle des deniers publics et à la lutte contre la bureaucratie ==
Lors du débat autour du projet de loi du Règlement budgétaire 2016, les députés ont soulevé nombre de préoccupations allant dans le sens d’un plus grand contrôle des deniers publics et de la nécessité de lutter contre la bureaucratie. A ce propos, le député Benyoucef Zouani (TAJ) a mis en avant l’impératif d’activer les règles de transparence dans la gestion des dépenses publiques.
Soulignant l’importance de faciliter à la Cour des comptes son travail, il a appelé au renforcement de l’appareil judicaire et à la formation pour garantir la qualité du contrôle et la coordination entre les différents ministères.
Pour sa part, la députée Naima Djilali Aissa (FLN) a plaidé pour la poursuite des efforts de lutte contre la bureaucratie à travers la réforme du système administratif.
Elle a préconisé, en outre, l’adoption de la finance islamique et la numérisation du système bancaires en vue de faciliter les opérations commerciales ainsi que l’ouverture de succursales de banques publiques dans les pays africains et l’amélioration de mécanismes de contrôle de l’argent public.
De son côté, le député Mohammed Guidji (RND) a recommandé la promotion de l’investissement privé productif et générateur de richesse, proposant, par ailleurs, l’introduction dans le Code des marchés publics d’un article fixant la durée de réalisation des projets afin de garantir une meilleure maitrise des délais de réception.
Pour sa part, le député Ramdane Taazibt (PT) a mis l’accent sur la nécessité de consacrer une volonté politique forte pour surmonter les différents problèmes impactant le citoyen, notamment la dégradation du pouvoir d’achat et l’atteinte aux biens et libertés fondamentales.
D’autre part, le député Hebri Nabi (MSP) a demandé l’annulation des projets accusant des retards de réalisation et le renforcement du contrôle sur les deniers publics et les dépenses supplémentaires.
Soulignant, dans le même sillage, que la consommation des budgets sectoriels ne dépassait pas les 60%, il a estimé que c’est là un preuve de la non maturation des projets inscrits.
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A. El Abci
Les demandeurs de logements sociaux sont revenus, encore une fois, à la charge, en tenant un sit-in, hier, devant le siège de la daïra, pour réclamer leur relogement. Des habitants de la cité «Ennasr», à Boudraa Salah, qui ont déposé des recours « depuis longtemps », se sont également rassemblés sur les lieux pour demander une réponse définitive à leur cas. En effet, de nombreuses familles logées dans des conditions précaires, dans plusieurs quartiers et cités de la ville des ponts’, qui ont fait des demandes de logement et qui attendent d’en bénéficier, se sont données rendez-vous, hier, devant le siège de la daïra, avant d’aller se regrouper, pour certains d’entre eux, devant le siège du cabinet du wali. Il s’agit, surtout, selon leur représentant, Moncef, de gens qui n’ont pas été destinataires de décisions de pré-affectation et qui sont venus de Ziadia, Sidi Mabrouk, la cité Emir Abdelkader, Boumerzoug, mais aussi du centre-ville, avenue Belouizdad, Rahmani Achour Cherif, de la vieille ville de Souika et de la Casbah, notamment.L’affichage de la 2ème liste des demandeurs de logements, annoncée, dans un premier temps, pour le début de ce mois de décembre, ayant été reporté pour le 1er janvier prochain, «nous voulons voir le chef de la daïra pour lui rappeler notre cas », ont-ils clamé devant des policiers. Et d’indiquer, dans ce sillage, que chacun des présents veut transmettre son cas particulier, au 1er responsable de cette administration pour réclamer que son nom soit sur la liste des bénéficiaires. Les protestataires de la cité Ennasr, demandent, pour leur part, une suite à leurs recours après leur exclusion de la précédente opération de transfert, à Ali Mendjeli, qui a touché leurs voisins, en 2011, disent-ils. L’on apprend qu’ils sont près d’une quinzaine de familles qui attendent que l’on tranche dans leur cas, car « ils sont fatigués d’attendre et ne recevoir que des promesses de règlement qui ne vient toujours pas.
Finalement le chef de la daïra a reçu les concernés par le logement social auxquels il a répété, qu’il y a lieu d’être patient et qu’il y a assez de logements pour satisfaire tous ceux qui y ouvrent réellement droit, dans la prochaine liste ou dans celles qui suivront, leur dira-il.The post Constantine – Sit-in de demandeurs de logements devant le siège de la daïra appeared first on .
En marge de la cérémonie du lancement du nouveau Sorento assembléen Algérie chez Kia Al Djazair, les responsables de la marque ont annoncé l’introduction du GPL sur 3 des modèles made in DZ.
Il s’agira de la Picanto, Rio et Cerato, ces deux dernières seront proposées à la commande lors du salon d’Oran qui se tiendra du 9 au 15 décembre prochain. Kia Al Djazair, qui commercialise les modèles Kia assemblés au niveau de l’usine Gloviz/KIA de Batna, équipera 3 de ses modèles du kit GPL. Les Kia Picanto, RIO et Cerato seront proposées en GPLdès la semaine prochaine, à l’occasion de l’Autowest 2018.
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A.Z.
Cinq jours après le relogement d’une trentaine de familles, résidant dans des habitations précaires au vieux quartier «Achour Rahmani Cherif» (ex. Bardo), les autorités locales ont procédé, hier, au relogement de 25 autres familles, du quartier de S’Miha, en bas de la rue des «Maquisards». L’opération a été suivie par la démolition des vieilles bâtisses qu’occupaient les concernés, situées sur une terre en pente en face de la rue des «Maquisards». Notons que, comme la précédente opération de relogement, celle-ci a été entamée dans la discrétion et en l’absence des médias, non invités, ni tenus au courant de ces relogements menés d’un pas accéléré à la veille de la saison hivernale, à la grande joie des familles concernées, dont le déménagement a été marqué par les youyous des femmes. Rappelons qu’il s’agit d’une énième opération de relogement qui touche les habitants de ce quartier qui date de l’époque coloniale et qui ont été transférés à la nouvelle ville Ali Mendjeli.The post Vingt-cinq familles résidant au quartier de S’Miha relogées appeared first on .