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L’envoyé des Nations unies au Yémen, Martin Griffiths, a présenté lundi une nouvelle initiative de contrôle commun sous supervision de l’ONU sur la ville de Hodeida aux deux parties du conflit yéménite lors de consultations de paix en Suède, alors que l’accord sur l’échange des prisonniers est en voie d’être finalisé.
L’initiative onusienne sur la gestion de la ville de Hodeida consiste en le retrait de toutes les forces des éléments du mouvement « Ansarullah » (Houthis) et du gouvernement yéménite et de l’arrêt des combats, ainsi que la création d’une instance commune de gestion du port sous supervision de l’ONU.
Les membres de la délégation gouvernementale yéménite, ayant confirmé avoir reçu cette proposition, comptent réagir aujourd’hui à l’initiative en tenant compte des aspects humanitaires et des « questions de souveraineté ».
En ce qui concerne le dossier des prisonniers, trois comités ont été formés, dont un qui se chargera de l’échange de corps des combattants décédés lors du conflit.
Le second comité sera chargé, quant à lui, de réunir les prisonniers détenus par les Houthis à Sanaa et de les transporter par avion à l’aéroport de Sayoun à Hadramout, ainsi que de réunir les prisonniers aux mains du gouvernement yéménite de les envoyer à Sanaa à partir de Hadramout, toujours sous la supervision et la participation de l’ONU et du Comité international de la Croix-Rouge internationale (CICR).
La troisième commission s’occupera, pour sa part, d’enquêter sur les dossiers des personnes disparues, de la libération tout élément détenu dans l’une ou l’autre des parties et dont le nom ne figure pas dans les déclarations échangées.
La délégation du gouvernement yéménite a évoqué, dans ce contexte, de « réels progrès » réalisés sur les aspects techniques des mécanismes d’échange de prisonniers lors des pourparlers.
Quant de la situation à Taiz, les discussions ont porté sur la proposition du gouvernement yéménite de lever le siège et le retrait des éléments Houthis des principales entrées ouest et est de la ville, tandis que la partie houthie a avancé la possibilité d’ouvrir des corridors humanitaires.
Selon des sources médiatiques, les deux parties peuvent procéder, dans les prochaines 48 heures, à la libération de 200 prisonniers de chaque partie, au titre d’un « geste de bonne foi », alors que la délégation gouvernementale insistait sur la libération des quatre dirigeants inclus dans la résolution 2216 du Conseil de sécurité, dont l’ancien ministre de la défense, le général major, Mahmoud al-Subaihi.
Les nouvelles discussions entre le gouvernement yéménite et les éléments Houthis, entamés jeudi à Rimbo (Suède) sous l’égide de l’ONU devraient permettre aux belligérants de s’entendre sur une issue politique au conflit qui a fait au moins 10.000 morts et placé jusqu’à 20 millions de personnes en situation d’insécurité alimentaire.
Selon une source de l’ONU, les deux camps ont exprimé leur disposition à avancer dans les négociations et de se revoir dans les prochains jours.
« Si nous quittons ces consultations en ayant fait des progrès – progrès sur l’instauration de la confiance et l’établissement d’un cadre -, nous pouvons avoir un nouveau cycle de discussions » dans les prochains mois, a confirmé le chef de la délégation Houthis, Mohammed Abdelsalam.
Malgré les positions encore hostiles entre les deux parties, des responsables onusiens se sont félicités de « l’esprit positif » des négociateurs et ont fait état d’avancées notamment sur les conditions de mise en œuvre d’un accord d’échange de prisonniers conclu cette semaine.
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Sa chanson « Echemaâ » (La bougie), a bercé toute une génération au début des années 1990. Son décès prématuré à l’âge de 37 ans, endeuillera tout Alger.
Originaire du village d’Aït Bouali (commune de Fréha, Tizi-Ouzou), il est né le 30 janvier 1961 à Bouzaréah, sur les hauteurs d’Alger. Il a grandi dans le quartier populeux de Gai Soleil, au sein d’une famille modeste, entassé dans un appartement exigu, niché au douzième étage.
Au départ, respectant la trilogie des démunis (s’en sortir par le sort, le spectacle ou le trabendo), il est attiré par le football. Son père s’y oppose et, à la suite de très bons résultats scolaires, préfère l’encourager à aller plus loin dans ses études.Kamel suit le chemin du frère aîné qui s’adonnait à la musique et choisit la voie artistique.
Ses débuts, il les effectue en 1974, lorsque, membre de l’UNJA, il monte un groupe chaâbi. Sa voix posée et attendrissante le fera vite remarquer, d’abord par les gars du quartier, ses premiers admirateurs. A la tête d’une nouvelle formation, il anime en 1978, fêtes de mariage et de circoncision et son nom circule avec de plus en plus d’insistance. Il lui faudra toutefois attendre 1985 pour tenter un essai discographique qui ne sortira jamais, car le producteur décrétera la mort du chaâbi face à la déferlante raï. Commercialisé sous forme de cassettes en 1990, il n’obtient aucun succès. Deux enregistrements suivront, mais la reconnaissance tarde à venir. En 1991, coup de tonnerre dans un ciel endeuillé par la violence ambiante, une cassette émerge : « Echemaâ » (La bougie), récitée avec conviction sur le mode sika sbania (flamenco), est un succès dans lequel toute une jeunesse se reconnaît.
Subissant l’influence à la fois de cheikh El Hasnaoui et de Dahmane El Harrachi, Kamel Messaoudi commet « Ah ya Dzaïr », un vrai manifeste où le chaâbi renoue avec la réalité sans perdre de sa poésie. Très exigent envers lui-même, il choisit méticuleusement ses sujets. Il préfère des chansons à thèmes et des paroles de choc qui laissent des empreintes.
Appréciant aussi bien Ezzahi que George Michael ou Magda Roumi, il est conscient que c’est grâce aux jeunes de sa génération, tels Meskoud et Doumaz, que le renouveau du chaâbi devient possible.Le 10 décembre 1998, après avoir participé à une émission télévisée en direct, Kamel Messaoudi décède dans un accident de la circulation survenu à Alger.
Source :
« Dictionnaire encyclopédique de l’Algérie », par Achour Cheurfi. Editions ANEP, 2007.
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La Russie est montée au deuxième rang du classement des plus grands exportateurs d’armes dans le monde avec une part totale de 9,5%, dépassant ainsi le Royaume-Uni, selon un rapport de l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm, ont rapporté lundi des médias russes.
L’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) a publié, lundi, un rapport sur l’état du commerce mondial des armes pour l’année 2017, a indiqué l’agence Sputnik.
Selon le SIPRI, la Russie a pour la première fois depuis le début des années 2000 occupé la deuxième position du classement des pays ayant vendu le plus d’armes, a ajouté la même source.
Ainsi, la part totale des ventes d’armes, réalisées par dix sociétés russes du top 100 mondial, s’est élevée à 9,5% durant cette période.
Depuis 2002, le deuxième le plus grand vendeur d’armes dans le monde était le Royaume-Uni.
Dans ce classement publié lundi, la Grande-Bretagne est reléguée à la troisième position avec une part de 9%. Toutefois, le marché reste toujours dominé par le complexe militaro-américain qui s’arroge de 57% des parts de marché mondial des armements.
Selon les conclusions du SIPRI, neuf entreprises russes incluses dans le classement ont augmenté à des degrés divers leurs ventes à l’échelle internationale, alors que trois groupes russes ont enregistré une croissance de leurs ventes de plus de 15% durant l’année 2017.
Le classement de l’Institut de recherche sur la paix de Stockholm a relevé, pour la première fois, que l’entreprise russe Almaz-Antei qui fabrique des défenses contre l’aviation et des défenses antimissiles, est apparue dans la liste des dix plus grands producteurs d’armes dans le monde.
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Placé à la tête de la société EvCon, filiale de Cevital, chargée de réaliser le projet innovant de fabrication de membranes pour la production d’eau ultra pure, Kamel Benkoussa est fier de rappeler le caractère pionnier de cette technologie qui mettra l’Algérie dans le rang des pays qui disposent de la technologie de pointe.
“(…) Grâce à EvCon, l’Algérie est désormais le seul pays au monde à développer et industrialiser une technologie de pointe, plus avancée que celle des pays industrialisés”, a indiqué le jeune dirigeant algérien dans une interview parue dans l’édition du mois de novembre de Dziri Magazine.
“C’est une première mondiale et historique dont les Algériens peuvent être fiers”,a-t-il ajouté, tout en précisant que grâce à des messages de soutien, Issad Rebrab a décidé d’exposer la machine inventée par EvCon à Alger. C’était en décembre dernier. Évoquant cette nouvelle technologie, Kamel Benkoussa rappelle qu’il s’agit d’une technologie “unique au monde” qui “bouleversera profondément ses secteurs d’application, qui sont la production d’eau ultra pure d’injection, le traitement des eaux usées des différentes industries et le dessalement d’eau de mer”.
“Ses avantages résident dans ses membranes hydrophobiques de troisième génération qui filtrent la vapeur au lieu de l’eau, avec un résultat d’une qualité 10 fois supérieure par rapport aux procédés actuels, à des coûts moindres et avec une économie d’énergie considérable”, a-t-il rappelé. Interrogé sur les domaines d’utilisation de la membrane produite, le dirigeant d’EvCon rappelle qu’elle “produira de l’eau ultra pure d’injection pour l’industrie pharmaceutique, de l’eau ultra pure pour l’industrie des semi-conducteurs et pour l’agro-industrie. Elle sera également utilisée pour le dessalement d’eau de mer et pour le traitement des eaux usées de l’industrie chimique et du pétrole et du gaz”. Si elle a été développée en Allemagne, cette technologie va être appliquée en Algérie, indique Kamel Benkoussa. “Nous allons donc bientôt lancer deux centres de fabrication de ces membranes en Algérie, avec des lignes de production entièrement automatisées et une technologie très avancée, une première pour notre pays ! Ces deux centres de production ne sont qu’un début.
D’autres vont rapidement suivre pour nous permettre de satisfaire les demandes de nos partenaires et clients qui sont tous à l’international”, a-t-il indiqué.Parce qu’elle est novatrice, la technologie acquise par Cevital suscite “un fort engouement auprès des géants de l’industrie mondiale. La presse a parlé de Bosch, Dohler, Siemens et Schlumberger. Mais il y en a beaucoup d’autres !”, rappelle également le dirigeant de la filiale de Cevital. “Grâce à la technologie EvCon, le groupe Cevital, déjà connu et reconnu, tutoiera les sommets de l’industrie mondiale”, a indiqué Kamel Benkoussa.
Ali B.
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La Conférence intergouvernementale visant à élaborer et à adopter un Pacte mondial sur les migrations, débute ses travaux, ce lundi à Marrakech. Le ministre de l’Intérieur, Nouredine Bedoui, y prend part en qualité de représentant du Président Abdelaziz Bouteflika.
Organisée sous les auspices des Nations Unies, cette rencontre s’intitule « Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants », par le biais de laquelle les États membres s’engagent à inaugurer un processus de négociations intergouvernementales devant déboucher sur l’adoption d’un Pacte mondial sur ce phénomène.
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Le tirage au sort des 32es de finale de la Coupe d’Algérie de football seniors, effectué dimanche à l’ESHRA d’Aïn Benian (Alger), a donné lieu à des affiches au sommet opposant DRB Tadjenanet-CR Belouizdad et ES Sétif-O Médéa, pensionnaires de la Ligue 1 Mobilis.
D’autres affiches alléchantes mettront aux prises des équipes de Ligues 1 et 2, à savoir JSM Bejaia-JSM Skikda (Ligue 2), RC Kouba-MC Alger et USM Alger-ASM Oran.
Le détenteur du trophée, l’USM Bel Abbès aura une tâche facile devant MS Cherchell,alors que le CS Constantine, champion d’Algérie en titre, sera opposé au RC Bougaaa.
Programme des 1/16es de finale:
1.Amel Bousaâda-ORB Boumahra
2.MBS Oued Sly-USM Annaba
3.I HChellala-USM Khenchela
4.USM Alger-ASM Oran
5.IB Lakhdaria-JS Saoura
6.DRB Tadjenanet-CR Bélouizdad
7.MSP Batna-CR Bouquirat
8.HAMR Annaba-CRV Moussa
9.GC Mascara-CABB Arreridj
10.SA Mohammadia-USM Sétif
11.MO Bejaia-O Magran
12.O Akbou-NA Hussein Dey
13.USB. Douala-ICS Tlemcen
14.El Bayadh-AS Ain M’lila
15.US Remchi-MC El Eulma
16.JS Ghir Abadla-USM El Harrach
17. MB Rouissat-JSM Tiaret
18.ASS Nationale-CRB A. Oussara
19.CA Batn
a-ESB Besbes
20.USM Blida-Paradou AC
21.WA Tlemcen-USMD BenKhedda
22.MBBazer Sakhra-CR Beni Thour
23.JSM Bejaia-JSM Skikda
24.Amel Ghris-JS Kabylie
25.SA Sétif-CRB Kais
26.MC Oran-ASB Maghnia
27.RA Ain Defla-NT Souf
28.ES Sétif-O Médéa
29.CS Constantine-RC Bougaaa
30.NC Magra-FCB A.Ramdane
31.USM Bel Abbès-MS Cherchell
32.RC Kouba-MC Alger
Les rencontres des 1/32 de finale se dérouleront les 17 et 18 décembre.
USM Alger-USM Bel Abbès, éventuel choc des 1/16es de finale
Le tirage au sort des 1/16es de finale de la Coupe d’Algérie seniors de football, pourrait donner lieu à un choc explosif mettant aux prises l’USM Alger au détenteur du trophée, l’USM Bel Abbès.
Les autres matches des 16es de finale ont été plus au moins équilibrés. Les rencontres se dérouleront les 27, 28 et 29 décembre.
Programme des 32es de finale:
Vainqueur du match 5 – vainqueur du match 29
Vainqueur du match 7 – vainqueur du match 25
Vainqueur du match 14 – vainqueur du match 23
Vainqueur du match 17 – vainqueur du match 18
Vainqueur du match 27 – vainqueur du match 26
Vainqueur du match 2 – vainqueur du match 22
Vainqueur du match 15 – vainqueur du match 30
Vainqueur du match 9 – vainqueur du match 21
Vainqueur du match 19 – vainqueur du match 6
Vainqueur du match 1 – vainqueur du match 28
Vainqueur du match 8 – vainqueur du match 32
Vainqueur du match 16 – vainqueur du match 11
Vainqueur du match 13 – vainqueur du match 20
Vainqueur du match 10 – vainqueur du match 24
Vainqueur du match 3 – vainqueur du match 12
Vainqueur du match 4 – vainqueur du match 31.
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La nécessaire structuration et la mutualisation des procédures logistiques lors des opérations d’export a été relevée dimanche à Alger par les opérateurs économiques et représentants des structures portuaires du pays.
Lors de son intervention à l’occasion de la seconde journée du Symposium international sur la translogistique, le transit et l’entreposage des marchandises (SITTEM 2018), le directeur de la gare maritime de l’Entreprise du port de Béjaia, Halim Kacemi, a mis en exergue l’intérêt d’optimiser les différentes procédures de transit pour réduire les délais et donc les coûts de la logistique au profit des opérateurs économiques.
« Le temps moyen de séjour d’un conteneur au niveau du port de Bejaïa depuis son débarquement jusqu’à sa sortie du port est de seize jours », a-t-il fait savoir, indiquant qu’au niveau de ports étrangers, comme celui de Barcelone, ce même délai est de deux à trois jours.
Pour y remédier, il a plaidé pour la densification des solutions informatiques pour fluidifier les opérations de transit.
« L’informatique n’est pas un choix, c’est une nécessité », a-t-il insisté, en se réjouissant de la future mise en place d’un guichet unique informatique accessible à l’ensemble des acteurs intervenant dans l’acte d’exporter.
M. Kacemi a également estimé nécessaire la réalisation entrepôts logistiques implantés dans les « lieux privilégiés » à proximité des ports notamment avec la nécessaire implication des pouvoirs publics dans ce processus pour assurer une localisation appropriée des terrains ainsi que leur taille.
De plus, il s’est dit favorable à la fixation d’un cadre réglementaire « pour éviter un mitage du territoire par des activités logistiques déstructurées », ainsi qu’à la création d’une agence nationale de la logistique apte à coordonner l’ensemble des procédures et initiatives en faveur de la facilitation des opérations logistiques.
Pour sa part, le directeur général de la société Boublenza, spécialisée dans l`exportation de la poudre de caroube, Chakib Boublenza, a noté plusieurs défis à relever au profit du secteur logistique national.
Il a ainsi relevé le manque d’infrastructures logistiques modernes et d’offres de services professionnelles intégrées ainsi que le fractionnement des chaines de transport dû aux mauvaises connexions intermodales.
M. Boublenza a également appelé à remédier la carence en digitalisation des opérations administratives et commerciales et à la lourdeur des procédures de contrôle aux frontières.
Par ailleurs, en marge de cette rencontre, la directrice informatique de l’Entreprise du port d’Alger, Mme Berahma, a fait savoir que les autorités des ports nationaux ont pris conscience de l’importance de la digitalisation de leurs structures.
Ainsi, le port d’Alger bénéficie de son système d’information permettant la dématérialisation de « l’ensemble du processus de passage des marchandises au niveau des ports » contribuant à la baisse des délais de passage, a-t-elle rappelé.
La même responsable est également revenue sur le projet de guichet unique portuaire en cours d’élaboration par le ministère des Travaux publics et des Transports « en cours de finalisation ».
Selon Mme Berahma, cela réduira sensiblement les délais de séjour des conteneurs sur les ports.
Sur 800.000 unités débarquées sur l’ensemble des ports commerciaux du pays en une journée, il est possible d’économiser jusqu’à 12 millions d’euros/jour, soutient-elle.
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Un Algérien issu de l’immigration clandestine a été arrêté en Sardaigne (l’Italie).
D’après le média italien castedduonline, Yacine Messadi est un organisateur des voyages de « Harraga » (migrants) sur la ligne Annaba-Sardaigne.
Le jeune homme soupçonné de radicalisation, dirigerait à partir de la Sardaigne une « organisation criminelle qui gérait et exploitait » les migrants venus d’Algérie principalement de Annaba. Selon la même source, c’était lui qui « achetait les moteurs et embarcations à travers ses relais en Algérie, payait les passeurs et maintenait un contact avec les familles des migrants ». En ajoutant qu’il : « gérait ce réseau criminel avec un Tunisien du nom de Nidham Hammouda, qui se chargeait de l’approvisionnement en drogue, notamment le hachich ». Lors de l’arrestation de ces deux derniers, 50 kg de hachich ont été saisis, dont 30 kg était en possession de Yacine Messadi.The post Un Algérien organisateur de voyage des ‘harragas’ a été arrêté en Italie appeared first on .
l’appel du comité pour la libération du blogueur Merzoug Touati, des centaines de citoyens venus de différentes régions du pays, se sont donné rendez-vous, aujourd’hui lundi, au centre-ville de Béjaïa, devant la maison de la culture Taos Amrouche, pour marcher vers la place de la Liberté Saïd Mekbel.
Contrairement à la marche précédente du 20 novembre, fortement réprimée et empêchée par la police, la manifestation de ce lundi semble, pour l’instant, se dérouler dans de bonnes conditions.
Les organisateurs, qui ont publié, sur leurs pages facebook, des images de l’entame de la marche, peu avant 11h, n’ont signalé aucun incident.
En prison depuis janvier 2017, Merzoug Touati est accusé d’«intelligence avec une puissance étrangère », suite à la diffusion sur son blog personnel, Elhogra.com., d’une interview-vidéo avec un diplomate israélien.
En juin dernier, il a été condamné à sept ans de prison ferme par le tribunal de Béjaïa.
Rédaction Web
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Par Hasna YACOUB
La réunion d’hier a ignoré totalement la proposition de TAJ. Cela sonne comme une réponse du berger à la bergère qui signifie «on passe l’éponge sur ce faux pas».
L’instance de coordination des partis de l’Alliance présidentielle, qui regroupe le FLN, le RND, le TAJ et le MPA, a tenu, hier, sa deuxième réunion. Encore une, sans les leaders des partis politiques, sans un programme clair ni des actions bien définies. Créée en début du mois de novembre dernier, la «coordination de soutien à M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République», telle que dénommée par ses initiateurs, se voulait un cadre «pour travailler ensemble à l’élaboration d’un programme d’action unifié en prévision de la prochaine présidentielle». Elle s’est suffi, hier d’appuyer le dernier message du chef de l’Etat adressé lors de la réunion gouvernement-walis. Elle a alors dénoncé les «manoeuvres politiques qui veulent déstabiliser le pays» et affirmé être prête à étudier toutes les initiatives dont le but est «l’approfondissement des réformes politiques».
Pourquoi n’a-t-elle donc pas débattu de la proposition faite, il y a quelques jours, par l’un de ses membres, en l’occurrence Amar Ghoul? Si c’est le cas, le communiqué qui a sanctionné la réunion n’en a pas fait état. C’est peut-être pour éluder cette question que les «seconds couteaux» ont été désignés pour la tenue de cette réunion. Amar Ghoul, faut-il le rappeler, a appelé, mercredi dernier, à une conférence avant la présidentielle d’avril afin de dégager «un consensus national» pour faire face à «la situation compliquée du pays». Le président du parti Tajamoue Amal El Djazaïr a expliqué que c’est là un moyen pour l’Algérie «de remédier aux lacunes et écarter les différentes menaces». Si les menaces ont toujours trouvé une explication avec «la main étrangère», de quelles lacunes parle Amar Ghoul? Et quelle situation compliquée? Surtout à un moment où ses «alliés» ne cessent d’évoquer les pas géants réalisés par l’Algérie durant les deux dernières décennies et la sagesse du chef de l’Etat qui a réussi à mener à bon port le pays malgré la crise financière mondiale. Ce faux pas du président de TAJ a été interprété, par de nombreux observateurs, comme un appel au report du scrutin présidentiel. Comment Amar Ghoul peut-il emboîter le pas à Makri du MSP sachant pertinemment que ce dernier a reçu une fin de non-recevoir de l’ensemble des partis de l’Alliance dont sa propre formation politique. Amar Ghoul a-t-il changé de position ou s’est-il juste mal fait comprendre? Quel que soit le cas, il doit des explications à ses alliés. Car un parti qui soutient la continuité ne peut appeler au report de l’élection présidentielle.
Cela revient à ôter à l’Algérie son cachet de pays démocratique. Cela revient aussi à fouler aux pieds la Constitution alors que le président de la République a toujours veillé au respect de la Loi fondamentale et à la défense de la démocratie avec le renforcement des droits de l’opposition et le respect du calendrier électoral. En lançant son initiative, Amar Ghoul a-t-il fait cavalier seul? Tout porte à le croire puisque le président de TAJ avait, en plus de l’Alliance, une nouvelle instance pour consulter ses alliés. La coordination, fraîchement créée, pouvait constituer l’organe idoine pour débattre de l’idée, «intrigante», il faut le reconnaître, de Amar Ghoul. Intrigante car peut-on appeler à une conférence nationale à quatre mois de l’élection présidentielle sans retarder cette échéance? Cela remet en cause la solidité des institutions de l’Etat. L’ancien ministre des Travaux publics a-t-il voulu faire un coup d’éclat ou s’inscrit-il dans l’option de son géniteur le MSP? La question est légitime si l’on rappelle que TAJ est né «de la côte» du MSP.
La réunion d’hier a ignoré totalement la proposition de TAJ. Cela sonne comme une réponse du berger à la bergère qui signifie «on passe l’éponge sur ce faux pas», mais il faut comprendre que seule la coordination et par la voix de ses deux puissants partis, à savoir le FLN et le RND, est habilitée à se prononcer sur une question aussi importante. Et qu’il s’agisse d’organiser une conférence nationale, d’aboutir à un consensus, de réviser la Constitution ou bien de poursuivre sereinement la marche vers la prochaine échéance électorale, la décision doit impérativement être algérienne. Elle doit être une solution viable, crédible, légale et acceptée par tous.
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La Région Auvergne Rhône Alpes et le Consulat général d’Algérie à Lyon, en partenariat avec le Bureau Business France à Alger, organisent La Journée de l’Algérie, qui se déroulera le 31 janvier 2019 à l’Hôtel de la Région à Lyon.
Cette journée se fixe comme objectif de nouer et de renforcer des relations de partenariat entre les entreprises algériennes et les entreprises de la Région Auvergne Rhône Alpes, considérée comme l’un des 4 moteurs économiques de l’Union Européenne.
L’événement sera centré sur plusieurs filières phares, à savoir l’agriculture et l’élevage, les industries agroalimentaires, la maintenance automobile, la plasturgie, l’énergie solaire, le tourisme de montagne et le thermalisme. Des visites de sites, spécialisés sur ces différentes thématiques seront organisées par la Région le 1er février 2019.
Cette Journée permettra d’exposer la conjoncture économique et les opportunités d’affaires qu’offre l’Algérie, de présenter les atouts économiques et industriels de la région Auvergne Rhône Alpes, et d’aborder les potentialités de partenariat dans les filières prioritaires, à travers des tables rondes et des témoignages d’entreprises. Après un déjeuner convivial de networking, l’après-midi sera consacré à des rendez-vous B2B ciblés par secteurs d’activités, entre les sociétés algériennes et françaises présentes.
En amont de cette échéance, du 26 au 30 janvier 2019 se tiendra à Lyon, le salon international de l’hôtellerie et de la restauration (SIRHA), que tous les opérateurs algériens intéressés sont cordialement invités à visiter. Le 30 janvier sera également organisée dans le cadre du SIHRA, une action de promotion de l’Algérie et des produits algériens sur le pavillon de la région Auvergne Rhône
Alpes.
Les entreprises intéressées pour participer à « la Journée de l’Algérie » le 31 janvier prochain peuvent se rapprocher de la mission Economique Business France (alger@businessfrance.fr).
Le nombre de place étant limité, les inscriptions seront sujettes à validation.
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“Il ne faut pas s’étonner que nous récoltions toujours de mauvais scores, et ce n’est pas près de changer s’il n’y a pas de changement de politique”, estime Youcef Boucherim, expert international en TIC.
L’Algérie continue de figurer sur la liste des plus mauvais élèves de la classe dans le monde en termes de débit internet fixe et mobile, selon le classement, pour octobre 2018, de Speedtest Global Index qui met à nu une réalité que les responsables du secteur veulent, pourtant, à tout prix nier. Les données de cet organisme de référence sont sans équivoque et font état, d’emblée, d’un recul de deux points pour l’Algérie qui se retrouve, alors, à l’avant-dernière place mondiale sur 130 pays par rapport à la vitesse de la connexion internet fixe, et à la 121e position sur 124 pays testés en internet mobile. “C’est moche”, attestent les spécialistes du domaine qui déplorent que “l’Algérie soit à la traîne dans le domaine des TIC en général”. Aussi, avec une vitesse établie à 3,84 mégaoctets par seconde (mbps), l’Algérie finit en queue du peloton juste devant le Yémen en dernière position (130), qui dispose d’une vitesse de (2,94 mbps). Les deux pays sont devancés par le Liban avec 6,29 mbps, la Libye 6,50, l’Égypte 6,51, la Syrie
8,89 pour ne donner que ces pays arabes. Au niveau africain, on enregistre également un très mauvais score comparé déjà à nos voisins les plus proches. Avec une vitesse estimée à 8,19 Mbps la Tunisie occupe la 119e place et le Maroc la 101e place avec 13,59 Mbps pour ce qui est du fixe et à la 66e place avec 20,84 Mbps et le Maroc à la 75e place avec 18,19 pour ce qui est du mobile. Les places du podium reviennent à la Norvège avec un débit de 67,17 Mbps, l’Islande 67,05, Singapour 57,28 et le Canada 56,37 pour le mobile. Pour le fixe, Singapour prend le dessus sur la Norvège et l’Islande en arrachant la première place avec 181,47 Mbps. Les Émirats et le Qatar réussissent la performance d’occuper les 7e et 8e places avec respectivement des débits de 52,79 et 51,12 Mbps (mobile) alors que pour le fixe, les Émirats se positionnent à la 51e place avec
34,85 Mbps, le Qatar à la 53e place avec 34,14 Mbps et le Ghana à la 67e place avec 25,11Mbps.
Le satellite lancé par l’Algérie en 2017 toujours inexploité
“Il ne faut pas s’étonner que nous récoltions toujours de mauvais scores et ce n’est pas près de changer s’il n’y a pas de changement de politique”, a soutenu Youcef Boucherim expert international en TIC. Il explique : “Nous devons avoir des contenus algériens, des Data center en Algérie et des sites web hébergés en Algérie comme nous devons exploiter toutes nos potentialités.” L’expert en question fait sans nul doute allusion au satellite lancé par l’Algérie en 2017 qui reste inexploité à ce jour. “Ce sont des solutions de soutien imparables. Le satellite donne une marge importante d’accessibilité à internet, ne serait-ce que pour les zones enclavées et autres”. Spécialiste également du domaine, Farid Farah abonde dans le même sens et soutient : “Il faut laisser les opérateurs avoir leurs propres bandes passantes (câbles marins) pour améliorer la connectivité car ils peuvent s’avérer un très bon complément à ce que fait l’État.” Farid Farah, très didactique comme à son habitude détaille : “Pour le mobile, il existe un manque de canaux fréquentiels en plus d’une surutilisation des données importées qui passent par des câbles sous-marins. Et comme l’Algérie a besoin de nouveaux câbles, il faut mettre les moyens et consentir à davantage d’investissements.” Iheb Tekkour, spécialiste des TIC et très au fait des réseaux sociaux, n’en pense pas moins. “Oui, nous devons reconnaître que nous avons un sacré problème sur les bras qu’il nous faut vite régler si nous voulons réellement nous investir dans le e-commerce et le e-payment et construire une économie numérique.”
Nabila Saïdoun
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L’addiction aux écrans des téléphones portables, des tablettes et des téléviseurs est aujourd’hui, un vrai fléau qui n’épargne ni les adultes, ni les enfants. Ce que les experts qualifient de «très alarmant» a, en effet, un impact négatif sur la santé physique des enfants mais aussi sur leur psychique.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Insistant sur l’importance du besoin relationnel et affectif de l’enfant, Mme Zahra Lakaksa, formatrice en parentalité et consommation, est affirmative : «L’écran ne satisfait pas les besoins affectifs de l’enfant.»
Elle explique que l’enfant se développe par expérimentation et qu’il a besoin d’essayer pour apprendre. «Comment alors un téléviseur ou un autre écran va substituer à ce besoin de
l’enfant ?», s’interroge-t-elle, hier, au forum du quotidien El Moudjahid à Alger.
Selon elle, l’utilisation ou pas des écrans a un impact sur le développement de la personnalité naissante de l’enfant. «L’enfant a besoin de développer ses sens pour devenir soit un adulte et un acteur actif d’une société citoyenne, soit un consommateur, de développer son sens de responsabilité ou bien devenir une victime, de développer sa confiance et de s’affirmer ou bien d’être soumis», détaille-t-elle.
Pour le président de l’association «Attention danger, formons, informons» de France, Karim Naït Medjani, l’écran est devenu, aujourd’hui, un objet qui détruit au lieu d’un objet qui construit.
Opticien de formation, il précise que la lumière bleue que dégagent les écrans des téléphones portables, des tablettes et des téléviseurs stimule des hormones chez l’humain et empêche en premier lieu le sommeil.
Selon lui, les images stroboscopiques diffusées sur ces écrans dérèglent le système visuel et met l’enfant dans un état de sidération.
Notons la différence des sensibilités entre les garçons et les filles, il souligne que les deux n’ont pas le même comportement face à la réception des images et des sons. «Devant ces images rapides et bruyantes, le garçon ne va pas bouger devant l’écran alors que la fille, elle, au bout d’un temps, va chercher le contact humain», explique-t-il.
Karim Naït Medjani affirme ainsi que l’addiction à ces écrans bloque le développement de l’enfant, stagne son imagination et réduit sa relation avec d’autres enfants. Pourtant, poursuit-il, «les professionnels préconisent qu’aucun enfant ne doit être soumis à écran avant sept ans, l’âge où l’apprentissage de la langue a été accompli».
De son côté, le psychologue clinicien et chef de service médicopédagogique à la DAS (Direction des affaires sociales) de Bouira, Lounès Lallem, qualifie ce constat de «très alarmant».
«Face à l’écran, l’enfant est en rupture avec ses parents et passe à côté de ses activités ludiques», dit-il, avant d’ajouter que l’exposition prolongée aux écrans de tous ces appareils électroniques endommage les modalités neurocérébrales de l’enfant.
Pour lui, l’écran est nuisible avant l’âge de cinq ans. «L’enfant peut développer des difficultés de langage de comportement, et ne pas réagir ni aux consignes ni quand on l’appelle», dit-il.
Outre les défaillances visuelles et auditives, les écrans peuvent aussi provoquer un autisme. Les intervenants mettent, ainsi, en garde contre cet autisme acquis à cause de l’environnement. «L’enfant exposé aux écrans peut ainsi présenter les mêmes symptômes d’autisme entre troubles de conduite sociale, isolement et agressivité», explique le psychologue clinicien. Seulement, poursuit-il, «à l’arrêt de l’utilisation des écrans, un changement spectaculaire se produit et les symptômes disparaissent».
Ry. N.
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Le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), enregistre une moyenne de 100 secousses par mois, soit entre 2 à 3 secousses/Jour, ne dépassant généralement pas trois degrés sur l’échelle ouverte de Richter, a déclaré dimanche à Blida, son Directeur général, Abdelkrim Yellès.
« L’Algérie, au même titre que de nombreux pays européens (comme l’Italie et le Portugal), est caractérisée par une activité sismique intense, en enregistrant plus d’une centaine de séismes /mois, dont 90% sont des microséismes(de 2 à 3 degrés), non ressentis par la population », a indiqué M.Yellés, , dans une déclaration à la presse, en marge de la clôture des travaux d’un projet de recherche sur les mécanismes de réduction des risques liés aux séismes, réalisé en collaboration avec l’Union Européenne.
Lancé à l’initiative du CRAAG , en coordination avec l’université Saàd Dahlab de Blida , et en partenariat avec les universités de Porto ( Portugal) et de Pavia(Italie) , ce projet de recherche, dont la première étape a été clôturée aujourd’hui après deux années d’études et de recherches, vise « la mise en place de mécanismes susceptibles de prévenir les risques liés aux séismes, tout en réduisant les dégâts matériels occasionnés par cette catastrophe naturelle », a-t-il expliqué.
Selon Hamoud Beldjoudi, chercheur au niveau du CRAAG, le projet en question aborde notamment le niveau de résistance des vieilles bâtisses aux séismes, en prenant pour modèle la wilaya de Blida.
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Par Mohamed BOUFATAH
Le respect des droits de l’homme est traduit, explique El Habiri, dans la réunion de toutes les garanties concernant le respect de la dignité humaine.
Le directeur général de la Sûreté nationales le colonel Mustapha El Habiri, a affirmé hier, que le principe du respect des droits de l’homme est fondamental pour la Dgsn. «Le souci de se conformer à la Constitution concernant le respect des droits de l’homme est un souci quotidien pour les éléments de la police dans l’exercice de leur mission», a indiqué El Habiri dans un message envoyé à l’occasion d’une journée d’information sur les mécanismes de renforcement des principes des droits de l’homme dans la mission de la police organisée par la Dgsn à l’Ecole supérieure de police d’ Alger.
Le respect des droits de l’homme est traduit, explique El Habiri, dans son message lu par l’inspecteur général de police Hachichi Mohamed Tahar, dans la réunion de toutes les garanties concernant le respect de la dignité humaine. «La personne inculpée est accueillie à présent dans des cellules répondant aux normes. L’inculpé a le droit pendant la période de la mise sous mandat de dépôt à discuter avec son avocat, à la nourriture, à la propreté, au bon traitement, à la prise en charge sanitaire et à la communication avec sa famille», a souligné le Dgsn. «Le respect des droits de l’homme par la direction générale de la Sûreté nationale se manifeste aussi à travers l’importance accordée à la formation en matière des droits de l’homme pour les éléments de la police judiciaire et aux officiers dans leur formation fondamentale et l’implication des médias dans la couverture des missions de la Dgsn», a signifié en outre le colonel Mustapha El Habiri, ajoutant que la Dgsn privilégie dans son travail le principe de la coordination avec les autres corps de la sécurité, tels que la douane et la Gendarmerie.
Intervenant de son côté à cette occasion, la présidente du Conseil national des droits de l’homme(Cndh), Fafa Benzerrouki Si Lakhder a indiqué que la Constitution de 2016 consacre tous les droits de l’homme. «La création du Conseil national des droits de l’homme en Algérie est la meilleure preuve», dira l’intervenante. S’exprimant en outre sur les dépassements enregistrés durant l’année de 2017 en termes des droits de l’homme, Fafa Benzerrouki Si Lakhder a fait savoir que le Conseil a reçu 900 plaintes. «La grande partie de ces plaintes a un rapport avec les verdicts prononcés par des juges», mentionne-t-elle. Au sujet de dépôt des plaintes, la présidente du Cndh a déclaré que le dépôt de ces dernières est désormais possible via la voie électronique.
Pour sa part, la représentante de Meriem Chorfi, déléguée à l’Organe national de la protection des droits des enfants a indiqué dans son intervention que les droits des enfants sont largement protégés en Algérie. «L’Algérie peut se targuer désormais comme étant un pays modèle en la matière», a ajouté l’intervenante. La représentante de Meriem Chorfi a fait savoir en outre que le numéro vert de dénonciation de la transgression des droits des enfants est d’ores et déjà opérationnel. «Il s’agit du: 11-11», a-t-elle souligné.
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Par Ikram GHIOUA
La question qui se pose actuellement est de savoir si ce réseau criminel entend faire des pays du Maghreb une nouvelle destination ou juste des terres de transit?
Plus d’une tonne de cocaïne a été saisie au Maroc, il y a deux jours. C’est ce qui a été annoncé, samedi dernier, par la police marocaine, lors d’une opération menée au niveau de la ville côtière d’El Jadida. Sept personnes, dont l’accusé principal, seront ensuite arrêtées dans le cadre d’une enquête, indique un communiqué du bureau central d’investigations judiciaires. Cette même source précise que la drogue est en provenance de l’Amérique latine. Selon les premiers éléments «les suspects auraient un lien avec un réseau criminel transnational actif dans le trafic international de cocaïne entre le Maroc, l’Amérique latine et l’Europe». Cette saisie intervient sept mois après la saisie d’une quantité aussi importante au port d’Oran.
En effet, plus de 700 kg de cocaïne ont été saisis, le 29 mai, et selon des sources il s’agit «d’une opération de narco-terrorisme et non pas de narcotrafic», devant servir «à financer l’achat d’armes pour déstabiliser l’Algérie». Mais il ne s’agit plus de l’Algérie qui fait face à ce nouveau défi, le Maroc aussi, serait dans ce cas ciblé par une déstabilisation, notamment qu’il s’agit d’un pays mitoyen qui partage des frontières côtières avec l’Algérie. Pourrait-il s’agir donc du même réseau criminel? Fort possible, indiquent des sources très bien informées. Rappelons qu’à ce sujet, le Premier ministre Ahmed Ouyahia avait déclaré le 23 juin, lors d’une conférence de presse que «lorsqu’on voit le flot de drogue qui s’abat sur nos frontières de plusieurs destinations, nous considérons que nous ne sommes pas dans l’excès de qualifier cela d’agression». Le Premier ministre avait bien pesé ses propos, puisque les frontières marocaines sont également une porte par laquelle transitent des quantités énormes de kif vers l’Algérie que l’Armée nationale populaire saisit au quotidien.
La question qui se pose actuellement est de savoir si ce réseau criminel entend faire des pays du Maghreb, une nouvelle destination ou juste des terres de transit? Il s’agit dans ce cas d’un nouveau circuit pour ce réseau, afin de répandre sa marchandise dans le monde et pas seulement en Europe. Selon un rapport de l’ONU «la dernière décennie a vu se développer différentes routes de trafic de cocaïne à destination de l’Europe». Ce trafic «en provenance d’Amérique centrale, le plus souvent via différents pays ouest-africains puis l’Afrique du Nord», ajoute l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime. Que ce soit pour l’Algérie ou le Maroc, derrière la cocaïne saisie se cache un grand réseau d’influence qui ne manque certainement pas de complices, aussi bien à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur.
Selon des sources hautement informées, ce n’est pas la première saisie en Algérie. Il y a quelques années, une quantité aussi importante de plus de 600 kg a été saisie et la plainte a été déposée contre X en l’absence d’indices. C’est pour dire que les côtes des pays du Maghreb semblent être la nouvelle passerelle pour ce réseau dans lequel sont impliqués de haut commis de de l’état et ce n’est pas surprenant que le Maroc dans le cadre de son enquête puisse démasquer de hauts responsables marocains!
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Par Mohamed TOUATI
La réponse sera connue aujourd’hui, les prix avaient sensiblement rebondi vendredi dernier suite à l’annonce de la réduction de 1,2 million de b/j décidée par les «25».
L’hémorragie a été stoppée certes. Reste à savoir si le rebond qu’ont connu les cours de l’or noir n’est pas qu’un feu de paille.
Le baril ayant souvent eu de ces tours de passe-passe insoupçonnés. Déroutants surtout. Le suspense sera sans aucun doute de courte durée. La réponse sera connue aujourd’hui, les prix avaient sensiblement rebondi vendredi dernier suite à l’annonce de la réduction de 1,2 million de b/j décidée par les «25». Un accord auquel ils sont parvenus après d’âpres négociations. Ce qui a eu pour conséquence, après une semaine calamiteuse, de doper les cours.
Le baril de Brent a pris 1,61 dollar pour clôturer la semaine qui s’est achevée le 7 décembre à 61,67 dollars.
Le WTI américain pour livraison en janvier s’est de son côté apprécié de 1,12 dollar pour finir à 52,61 dollars. Pour le moment on en est encore là. Cette euphorie sera-t-elle entretenue? Il n’y a aucune raison valable qui, en principe, devrait la contrarier.
La cohésion au sein de l’alliance Opep-non Opep semble sans faille. Ses membres sont décidés au moins à ce que les prix ne descendent pas au-dessous de leur niveau actuel. La fourchette a été estimée par la Russie, gros producteur mondial et membre influent de l’alliance Opep-non Opep qui a donné son accord pour réduire sa production journalière de 228.000 barils par jour. «Un prix compris entre 55 et 65 dollars le baril de brut est raisonnable tant pour les producteurs que pour les consommateurs» a déclaré le ministre russe de l’Énergie «La décision qui a été prise par (l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) et ses partenaires, Ndlr) permettra d’équilibrer le marché durant le premier et le
second trimestres [de l’année prochaine, ndlr]. Nous espérons au moins maintenir les cours actuels, a souligné Alexandre Novak.
Le président vénézuélien Nicolas Maduro, dont le pays a été terriblement affecté par la dégringolade des prix du pétrole, s’est lui aussi réjoui de cet accord. «Il va permettre la stabilisation des prix à un niveau juste, juste pour les producteurs, juste pour les consommateurs et juste pour l’économie en général», a-t-il déclaré dans un discours diffusé à la télévision officielle vénézuélienne VTV à son retour à Caracas après une visite à Moscou. Si la fourchette de prix annoncée par le ministre russe convient à son pays il faut savoir que d’autres membres de l’alliance ont certainement besoin d’un prix plus élevé pour assurer leurs équilibres budgétaires. Un baril à 80 dollars ferait probablement l’unanimité.
Pour l’économie nationale cela constituerait une bénédiction. Un tel prix permettrait à l’Algérie de continuer à réduire son déficit commercial et de surtout, moins recourir au financement non conventionnel dès le début de l’année prochaine. «Vu les nouvelles données économiques et l’amélioration de plusieurs indicateurs économiques, à savoir la hausse des recettes fiscales pétrolières, des cours du pétrole et des recettes fiscales ordinaires, il est possible de renoncer au recours au financement non conventionnel à partir de janvier 2019 ou d’y recourir dans une moindre mesure par rapport à 2018», a annoncé le directeur du Trésor, Fayçal Tadinit, devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale, dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances 2019. C’était à un moment où le baril planait autour des 85 dollars. Depuis, il a plongé sous les 60 dollars avant de se redresser vendredi. Quelle direction décidera-t-il de prendre? Réponse aujourd’hui.
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A. E. A.
Une caravane de sensibilisation en direction de la «famille productive», entrant dans le cadre de la Journée arabe de la famille, qui coïncide avec le 4 décembre de chaque année, sillonne depuis hier différentes communes de la wilaya.Selon la chef du service «famille» à la direction de l’Action sociale, Farida Abbès, la caravane est composée d’éléments de l’agence du micro-crédit (Angem), l’agence de développement social (ADS), des associations comme les «Oulémas musulmans» et «Djoussour», de la direction de l’action sociale (DAS), etc.
La commune Messaoud Boudjeriou a été la première à recevoir hier la visite de la caravane de sensibilisation, dit-elle, dont le programme tracé du 9 au 12 décembre prévoit des haltes à Benbadis, aujourd’hui, à Ouled Rahmoune, demain et après-demain à Zighoud-Youcef.
L’objectif du périple est d’apporter le soutien aux familles productives de ces localités déshéritées, surtout en matière économique à l’effet de les pousser à participer dans les programmes de développement de leurs régions, qui sont en général à vocation agricole.
Notre interlocutrice fait savoir que l’opération de sensibilisation a pour but également de les encourager à la conservation de leur milieu de vie, en conformité avec le slogan de la Journée arabe de cette année, dont l’intitulé est «le rôle de la famille dans la préservation de l’environnement».
Ce sont, donc, surtout les familles vivant des conditions difficiles, qui activent dans des métiers traditionnels, qui cherchent à développer et moderniser les produits, qui sont ciblées. Et tout le travail consistera à les sensibiliser à adopter des programmes de développement dans divers domaines de l’agriculture, et aussi dans des métiers ou industries, affirme-t-elle.
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La mobilisation à Paris a fait «beaucoup plus de dégâts» que celle du 1er décembre, a estimé le premier adjoint de la maire Anne Hidalgo.
Les yeux restent braqués en France sur le président Emmanuel Macron, dans l’attente de réponses à la crise des Gilets jaunes, au lendemain d’une mobilisation avec de nouvelles violences et un nombre record d’interpellations. Une semaine après les images d’émeutes qui avaient fait le tour du monde, les manifestants n’ont pas renoncé à défiler dans la capitale française et dans plusieurs villes de province, éprouvées par des débordements et de fortes dégradations.
Au niveau national, la mobilisation de ces Français modestes, née sur les réseaux sociaux et qui entre dans sa quatrième semaine (manifestations, barrages filtrants, sit-in), a réuni 136.000 manifestants, preuve qu’elle ne faiblit pas. A Paris, ils ont été plus nombreux (10.000 contre 8000 le 1er décembre). Pour tenter d’éviter des scènes de guérilla urbaine, les forces de l’ordre ont procédé à un nombre record de 1.082 interpellations à Paris, selon la préfecture. Un bilan en très nette hausse par rapport à la précédente mobilisation (412 personnes interpellées). A Paris encore, barricadée de façon exceptionnelle dans divers quartiers stratégiques, les violences ont été nombreuses: voitures brûlées, vitrines brisées, heurts entre manifestants et forces de l’ordre, tirs de gaz lacrymogène en particulier sur la célèbre avenue des Champs-Elysées…
En pleine préparation des fêtes de Noël, les commerçants ont été nombreux à baisser le rideau samedi.
La mobilisation à Paris a fait «beaucoup plus de dégâts» matériels que celle du 1er décembre, a renchéri Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire Anne Hidalgo.
En province, notamment à Bordeaux et Toulouse (sud-ouest), mais aussi à Marseille (sud-est) et Nantes (ouest), heurts et dégradations ont été importants.
Dans plusieurs villes, des voitures et du mobilier urbain ont été incendiés, des vitrines saccagées et des magasins pillés. Face à un mouvement hors des cadres établis, les regards sont tournés vers Emmanuel Macron, à la recherche d’une sortie politique.
Les Gilets jaunes sont issus majoritairement des classes populaires et moyenne. Cette France des fins de mois difficiles se dit excédée par la politique fiscale et sociale d’Emmanuel Macron. Leur mobilisation est devenue le creuset d’autres contestations françaises (lycéens et étudiants, routiers, agriculteurs, ambulanciers). Emmanuel Macron a été vertement critiqué par une quinzaine de maires et élus des Yvelines (région parisienne) lors d’une rencontre à l’Elysée vendredi, qui ont dénoncé, pendant trois heures, devant lui, sa méthode de réforme «catastrophique» et «inappropriée», rapporte dimanche le quotidien Le Parisien.
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