Algérie 360

Doté d’une largeur de 14 mètres, le nouvel écran immersif LED de Cinema Onyx est le plus grand écran jamais installé dans l’un des cinq plus grands cinémas en Chine.

  

Samsung Electronics Co., Ltd. a dévoilé son plus grand écran Onyx 3D au Capital Cinema situé dans le quartier de Xicheng à Pékin, en Chine, lors de la cérémonie d’inauguration le 7 décembre dernier. Le dernier écran à LED de Cinema Onyx de 14 mètres de Samsung est désormais disponible sur le marché pour les salles de cinéma à travers le monde.

«Notre nouvel écran Onyx marque une étape historique pour l’industrie, alors que nous entamons la prochaine génération de cinéma dans le monde», a déclaré Seog-gi Kim, vice-président exécutif de la division Visual Display chez Samsung Electronics. « Nous sommes ravis de collaborer avec Capital Cinema pour promouvoir le nouveau standard de l’industrie en matière de qualité d’image sur un grand écran. »

Samsung a lancé Onyx pour la première fois en juillet 2017 avec un modèle mesurant environ 10 mètres (33,6 pieds) de large. En répondant à la demande des consommateurs pour des écrans ultra-grands et à la demande des entreprises visant à obtenir des bénéfices plus élevés et à augmenter les ventes de billets, le nouveau modèle Onyx de Samsung s’étend sur 14 mètres de large. La nouvelle variante Onyx est 1,4 fois plus large et présente une surface presque deux fois supérieure à celle du modèle d’origine, offrant aux cinéphiles une expérience cinématographique immersive de haute qualité sans précédent.

Les écrans LED de Cinema Onyx de Samsung s’adaptent à pratiquement toutes les configurations de site, tout en offrant une qualité d’image, des performances techniques et une fiabilité inégalées, allant au-delà des opérations classiques utilisant des projecteurs. L’écran extraordinaire installé au Capital Theatre associe une résolution 4K, une qualité d’image HDR et un niveau de luminosité maximal de 88fL, soit près de six fois plus que les technologies de projecteur standard. Onyx est également certifié DCI (3D-ready and Digital Cinema Initiatives), offrant la possibilité d’afficher une grande variété de types de contenu.

Fondé en 1937, Capital Cinema a été au premier plan de l’industrie chinoise de la projection de films depuis plus de 80 ans. Aujourd’hui, il conserve son statut de destination de choix pour les sorties de films en salles et figure parmi les cinq premiers cinémas en Chine en termes de vente de billets.

«Nous sommes toujours à la recherche de nouveaux moyens pour améliorer notre expérience client», a déclaré Deng Yonghong, PDG de Capital Cinema. «C’est pourquoi nous sommes absolument ravis d’incorporer le premier écran à LED de Cinema Onyx de 14 mètres au monde dans nos salles de cinéma, car il crée une expérience cinématographique optimale et inégalée, ainsi qu’un environnement immersif différent de tout ce que nos clients ont connu auparavant.  »

Les écrans Samsung Onyx LED ont été installés dans le monde entier, grâce à des partenariats avec Pacific Theatres de Los Angeles, aux États-Unis, et l’Arena Cinemas à Sihlcity Zurich, en Suisse.

Pour plus d’informations sur Samsung Onyx, veuillez visiter: https://displaysolutions.samsung.com/led-signage/onyx

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S.M.

  Le premier bilan des cinq dernières années du registre de surveillance des AVC à Oran révèle clairement la nécessité d’asseoir une stratégie globale pour agir en amont par le contrôle des facteurs à risques de cette grave pathologie et notamment l’hypertension artérielle, le diabète, l’excès de cholestérol, le tabagisme et le sédentarisme. 2.800 AVC ont ainsi été recensés depuis la création du registre de surveillance à l’hôpital d’Oran avec une moyenne de trois AVC par jour. C’est ce qui a été annoncé lors de la 4ème journée du registre de surveillance des AVC de l’hôpital d’Oran. Le plus préoccupant est que l’incidence de cette pathologie semble progresser d’année en année en raison des antécédents d’hypertension artérielle qui multiplieraient par neuf le risque de souffrir d’un AVC avant 45 ans. L’hypertension, un facteur de risque majeur, serait responsable de 44% des AVC hémorragiques et du tiers des AVC ischémiques. D’autres facteurs de risques expliqueraient cette progression des AVC parmi la population en particulier le stress et la mauvaise alimentation.

Ainsi entre janvier et novembre de cette année, 502 AVC ont été recensés avec une progression de 58 cas par rapport à 2017 (444 cas). Près de 1.000 AVC (946 pour être plus précis) ont été dénombrés en 23 mois avec une moyenne de 78 cas par mois. Sur les 502 AVC signalés en 2018, seuls 45 cas ont bénéficié de la thrombolyse qui est efficace sauf si elle est administrée les 4 premières heures après la survenue de l’AVC. La thrombolyse est en fait un médicament autorisant la dissolution du caillot pour déboucher l’artère. La profession médicale semble se mobiliser à Oran pour aller en guerre contre cette pathologie qui peut avoir des effets irréversibles physiques, émotionnels, comportementaux et sociaux. L’AVC peut souvent modifier la capacité d’une personne à penser et à apprendre.

Les spécialistes recommandent une meilleure formation du corps médical et notamment les médecins généralistes sur les premiers signaux d’alerte des accidents vasculaires cérébraux pour sauver des vies. Les accidents vasculaires ischémiques durables sont généralement précédés d’accidents ischémiques transitoires dont les symptômes sont brefs. Ces symptômes trop souvent négligés par les patients doivent amener à consulter. Parmi ces symptômes il y a les troubles de langage, de compréhension et d’équilibre, la paralysie d’un membre ou d’un côté, la baisse brutale et unilatérale de la vision ou vision double et des troubles de la sensibilité d’un membre ou d’un côté.

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Rachid Boutlelis

  La prolifération des chiens et des chats errants au niveau des localités de la commune d’Aïn El-Turck inquiète de plus en plus les habitants, déjà confrontés à une multitude d’autres problèmes tels que l’hygiène et la voirie, l’assainissement… En l’absence d’opérations régulières de capture, le nombre de chiens et de chats errants ne cesse de croître au niveau de l’ensemble des localités. A Bouisseville, à titre d’exemple, il est quasiment impossible d’emprunter certaines ruelles le matin de crainte d’être la cible d’une attaque de meutes de chiens qui foisonnent au niveau des parkings et près des bacs à ordures. Mais la plus grande concentration de ces animaux errants se trouve au niveau du marché de fruits et légumes d’Aïn El-Turck. Les commerçants et les habitués de ce marché viennent de lancer un appel pressant aux services concernés pour lancer une opération de lutte contre les chiens errants, qui envahissent chaque matin les artères de ce marché. Selon des commerçants qui se sont rapprochés du Quotidien d’Oran, la situation est devenue insoutenable au vu du nombre impressionnant de chiens errants qui investissent chaque jour le marché, créant un climat de terreur parmi les riverains. «Tôt le matin, nous sommes contraints de prendre toutes les précautions pour ouvrir nos commerces, de peur d’être attaqués par des meutes de 10 à 15 chiens qui viennent flâner dans les bacs à ordures», assure un boucher. Ce dernier affirme qu’à maintes reprises, ce phénomène a été signalé aux services de la commune mais rien n’a été fait. «Même les habitués du marché n’osent pas s’aventurer le matin et préfèrent patienter jusqu’aux environs de 11 heures pour rejoindre le marché», assure notre interlocuteur. Ce phénomène a été l’un des thèmes mis en exergue lors d’un conclave de ladite APC. Il a été question des dangers que représentent ces animaux nuisibles pour la population, notamment les enfants, et la nécessité de lancer des opérations de battues régulières pour lutter contre la prolifération de ces animaux. Notons, en effet, que les meutes de chiens errants semblent avoir tendance à se multiplier dans les quatre communes côtières que compte la contrée et ce, en l’absence d’une véritable planification organisée pour réguler les opérations d’assainissement. «Nous sommes conscients des dangers que représentent ces chiens errants, mais malheureusement, nous ne disposons ni de véhicule et encore moins du nécessaire à leur capture», a confié un agent de l’APC d’Aïn El-Turck, avant de renchérir : « Nous faisons appel à des entreprises privées pour tenter de juguler ce phénomène ». Toujours est-il que la présence de ces animaux en groupe dans les abords immédiats des établissements scolaires et des marchés crée souvent la panique parmi les passants, notamment les écoliers. Des cas de morsures ont même été signalés par les parents d’élèves qui ont vainement interpellé, à maintes reprises, les élus locaux et ce, pour revendiquer une action visant à assainir cette situation. «Je me vois dans l’obligation d’accompagner tous les matins mon enfant à l’école à cause de ces meutes de chiens, qui rodent dans les abords immédiats de son établissement scolaire», a fait remarquer un parent d’élève de l’école primaire Ahmed-Wahby, sise dans la localité de Paradis-Plage. Le même son de cloche s’est fait entendre chez plusieurs responsables de famille demeurant à Aïn El-Turck. Certains gardiens de parking attirent ces chiens errants en leur offrant de la nourriture et argumentent ce fait, sans se convaincre eux-mêmes, qu’ils les assistent pour surveiller les véhicules des locataires des cités essaimées dans cette municipalité. La présence de ces chiens sur les différents axes routiers de la contrée d’Aïn El-Turck expose également les usagers à des risques d’accidents de la circulation et suscite également leur courroux.

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Aujourd’hui, Inter Partner Assistance (IPA) Algérie, pionnier du secteur de l’assistance en Algérie, fête ses dix ans. C’est l’occasion de revenir non seulement sur les succès et les réalisations du spécialiste des interventions d’urgence, mais aussi de dévoiler ses prochaines orientations et ambitions pour garder sa position de leader incontesté du marché.

IPA Algérie est née d’une joint-venture entre la SAE Exact (filiale à 100% de la SAA, leader sur le marché national de l’assurance automobile) et IPA SA (filiale à 100% AXA Partners), afin de capter le marché algérien en se démarquant sur le segment business-to-business.

Spécialisé dans l’assistance automobile, le voyage, la santé et la conciergerie, IPA Algérie affiche une croissance profitable à deux chiffres. Les raisons de son succès sont en grande partie dues à sa stratégie de fidélisation de ses partenaires, sa rigueur et l’accent mis sur l’expérience client. En effet, IPA a très rapidement pris le virage de la digitalisation de ses outils et de ses parcours clients, s’alignant ainsi avec les ambitions d’AXA, avec, entre autres, le lancement de Here With You (application permettant au client la géolocalisation en temps réel de son remorqueur et de suivre son parcours jusqu’à son arrivée sur les lieux), du Customer Pulse (enquête de satisfaction client effectuée à chaud après réalisation des prestations d’Assistance) et du Missionnement Automatique (application qui permet l’attribution automatique des missions aux prestataires afin d’apporter une qualité de service optimale et un délai d’intervention réduit).

En dix années d’existence, IPA Algérie a inscrit l’innovation au cœur de son métier en s’affichant comme
précurseur de l’assistance habitation et santé, notamment pour le tiers payant et le complément d’avis médical.

Aujourd’hui, l’entité souhaite élargir son domaine d’expertise à de nouveaux produits d’assurance et de nouvelles lignes de business, telles que l’assurance du téléphone portable, l’extension de garantie pour l’automobile ou les appareils électro-ménagers.

IPA profite de la célébration de ses dix ans de création pour annoncer l’augmentation du capital social de la société afin de le tripler et le porter à 150 MDA. Ce choix stratégique démontre ainsi la volonté d’IPA de poursuivre sa conquête du marché algérien en élargissant sa gamme de services tout en restant un acteur de confiance, répondant aux besoins de ses clients et partenaires.

M. Lamine Benaissa, CEO d’Inter Partner Assistance Algérie, affirme : « En tant que pionniers de l’assistance, nous sommes fiers de célébrer 10 années de succès d’IPA en Algérie. Dans les prochaines années, nous continuerons à croître, à bien servir nos partenaires et leurs clients et à innover en intégrant de nouvelles lignes de métiers. »

M. Nacer Sais, Président du Conseil d’Administration d’Inter Partner Assistance Algérie et Président directeur général de la SAA, affirme également : « La SAA, en tant que leader du marché de l’assurance en Algérie, est ravie du partenariat avec AXA Partners qui a donné naissance à IPA Algérie, première compagnie d’assistance ».

De son côté, M. Gilbert Chahine, CEO d’AXA Partners souligne : « AXA Partners négocie un virage ambitieux en Algérie afin d’apporter le meilleur service à nos clients. En augmentant significativement notre capital social, nous renforçons notre solidité financière et affirmons notre volonté de conquérir de nouveaux territoires en ouvrant de nouvelles voies. »

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J. Boukraa

Dans le but de promouvoir la culture de la sécurité et de la santé au travail, la Cnas (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) d’Oran organise demain une journée d’information et de formation sous le thème «l’évaluation des risques professionnels : un outil indispensable de prévention». Cette rencontre régionale qui se tiendra à l’hôtel Sheraton d’Oran verra la participation des différents acteurs de la prévention de la région Ouest et les spécialistes de la sécurité et la santé au travail. La campagne d’information et de sensibilisation vise le bien-être des travailleurs, qui est lié à un environnement professionnel sûr. Cette journée a également pour objectifs «la mise en place d’une meilleure organisation des lieux de travail afin d’assurer les bonnes conditions d’hygiène et de sécurité en entreprise, la diffusion de toute information bonne, pratique, indispensable à l’amélioration des attitudes des travailleurs et permettre ainsi aux employeurs de maîtriser les risques liés à l’organisation des lieux de travail». Selon la Cnas ce séminaire « vise à promouvoir l’évaluation des risques professionnels comme outil de prévention et d’amélioration des conditions de travail. A ce titre, ce regroupement mettra en lumière l’enjeu de l’évaluation des risques professionnels pour l’entreprise et sa nécessité pour la prévention. Il est aussi question de débattre des avantages du diagnostic des risques à priori pour la prévention et le suivi médical des travailleurs, et de la problématique de l’obligation des entreprises à adopter cet outil qui a fait ses preuves dans tous les pays qui nous ont précédés dans cette démarche de prévention des risques professionnels. Cet événement donnera aux participants l’opportunité de débattre les grands enjeux de l’évaluation des risques professionnels pour la santé et la sécurité des travailleurs d’une part et pour l’entreprise d’autre part. Ce sera aussi l’occasion d’échanger, par conséquent, les bonnes pratiques grâce aux retours d’expérience des entreprises engagées dans cette démarche ».

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Le milieu offensif international algérien Riyad  Boudebouz, en manque du temps de jeu avec le Bétis Séville (Liga espagnole  de football) est convoité par plusieurs clubs de Ligue 1 française, dont  l’OGC Nice, croit savoir ce lundi le magazine France Football. « Evoquée en fin de mercato d’été, la piste menant à Ryad Boudebouz  pourrait être relancée par l’OGC Nice. Les Aiglons chercheraient notamment  à améliorer la relation technique entre leur milieu de terrain et leur  attaque. Joueur référencé de Ligue 1, Boudebouz est capable d’apporter du  liant par sa qualité de transmission qui avait fait de lui à Montpellier  l’un des meilleurs passeurs du Championnat, il y a deux saisons. Nice a  tenté de faire venir l’international algérien dans les 48 dernières heures  du marché au mois d’août, mais le Betis Séville avait mis son veto », écrit  FF. Ayant rejoint le club andalou durant l’été 2017 en provenance de  Montpellier (France) pour un contrat de quatre saisons, Boudebouz (28 ans)  n’a pu exprimer pleinement son talent avec le Bétis. Il compte neuf  apparitions (597 minutes) depuis le début de la saison, toutes compétitions  confondues. Boudebouz (25 sélections avec l’E.N/ 2 buts) avait quitté la France en  2017 après neuf saisons (301 matchs, 45 buts et 53 passes décisives) où il  avait eu à porter également les couleurs de Bastia et Sochaux.

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AXA Assurances Algérie participe à la 18ème édition du salon de l’automobile, des cycles et motocycles de l’Ouest (AutoWest-2018), qui se déroule jusqu’au  15 décembre au centre des conventions Ahmed Ben Ahmed d’Oran. Cette nouvelle édition qui est placée sous le slogan « La production automobile algérienne : Diversification et développement » constitue une plateforme d’échanges pour les professionnels du secteur automobile ainsi qu’une vitrine de la production automobile nationale.

AXA Assurances Algérie prend part à cette édition à travers un stand d’exposition et propose des offres spéciales salon sur les assurances « Tout en 1 » (tous risques) et « Classic+ » (dommage collision) avec des remises allant jusqu’à 55%. Les clients peuvent en bénéficier sur place avec une souscription immédiate ou bien en différé avec l’établissement d’un devis promotionnel qu’ils pourront transformer jusqu’au 31 mars 2019.

A travers un contact fréquent et qualitatif avec ses clients, et la participation à ce type d’évènements, AXA Assurances Algérie réaffirme sa volonté de poursuivre son implication dans la promotion de l’économie nationale.

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Le manque de réussite a été fatal à l’USM Alger en huitième de finale « retour » de la Coupe arabe des clubs champions,  disputé lundi soir au Stade du 5-Juillet (Alger), car n’ayant réussi à  marquer que deux buts face aux Soudanais d’Al-Merrikh, alors qu’après la défaite (4-1) au match « aller », il se devaient de l’emporter au moins par  trois buts à zéro pour espérer se qualifier. En effet, malgré l’absence de plusieurs pièces maîtresses, dont celle de  l’attaquant Congolais Pince Ibara, actuel meilleur buteur du club avec six  réalisations, les Rouge et Noir ont réussi à sortir le grand jeu face au  Soudanais, en se procurant au passage un nombre incalculable d’occasions  franches, mais sans parvenir à les concrétiser. Le ratage le plus « douloureux » pour les gars de Soustara a probablement  été celui du défenseur Rabie Meftah, car survenu à une seconde du coup de  sifflet final, alors que l’USMA menait (2-0). Autrement dit, si l’ancien  « Canari » avait réussi à trouver le chemin, ce sont les siens que se  seraient qualifiés pour les quarts de finale. En effet, bien avant ce coup du sort, le milieu de terrain Oussama Chita  avait ouvert le score d’un tir bien placé à la 40′, avant que le très actif  Walid Ardji ne double la mise, pile à l’heure de jeu. Dès lors, 75% du job étaient déjà faits, et il ne restait plus que ce  fameux troisième but pour qualifier les Rouge et Noir au prochain tour,  mais cela ne fut finalement pas le cas, malgré un nombre surréaliste  d’occasions franches.  Il est cependant utile de signaler que même s’ils ont subi le jeu pendant  la majeure partie du temps, les Soudanais ont eu « leurs moments forts » dans  ce match et qui auraient pu anéantir précocement les espoirs Usmistes  d’inverser la tendance. D’ailleurs, la première chaude alerte dans cette rencontre fut soudanaise,  puisque dès la 14′, l’attaquant Mohamed Mahmoud avait failli surprendre le  gardien Smaïl Mansouri d’une belle tête croisée, puis c’était au tour de  son équipier Mohamed Mohamed de se présenter face à face avec le portier  usmiste, qui finalement a remporté ce duel. Un sauvetage miraculeux, qui a redonné de l’assurance aux camarades de  l’excellent Raouf Benguit, au point d’enflammer littéralement ce match. Quoique, en football, on ne le dira jamais assez : le fait de dominer  n’assure pas forcément la victoire, et les Usmistes ont pu le confirmer à  leurs dépens ce lundi. Une élimination amère pour les protégés de l’entraîneur français Thierry  Froger, car intervenant dans la foulée d’une autre sortie précoce en Coupe  de la Confédération africaine. A présent, il ne reste plus aux Usmistes que la Coupe d’Algérie et le  Championnat national pour se consoler.  Pour rappel, le MC Alger est le seul club algérien à avoir composté son  billet pour les quarts de finale de cette Coupe arabe des clubs champions,  après sa double victoire contre les Saoudiens d’Al-Nasr (1-0 à l’aller, à  l’extérieur, et 2-1 au retour, à domicile).  De son côté, l’autre représentant algérien dans cette compétition, l’ES  Sétif, s’est fait éliminer par les Saoudiens du Ahly Djeddah (aller : 0-1,  retour : 1-1). La finale de la compétition se déroulera en avril prochain, à Al-Aïn  (Emirats arabes unis), et le vainqueur empochera une prime conséquente de 6  millions de dollars. Ils ont déclaré : Thierry Froger (Entraîneur de l’USMA) : « Lors de ce match retour, on  disposait de 90 minutes pour essayer d’inverser la tendance et espérer nous  qualifier au prochain tour. Ce que nous avons fait, en dominant  outrageusement les débats et en nous procurant un grand nombre d’occasions.  Malheureusement, la réussite n’était pas au rendez-vous et cela a fini par tout remettre en cause. Il est évident que nous sommes très déçus par cette  élimination, surtout par rapport aux gros efforts fournis, mais je dois  reconnaitre que le contenu a été très prometteur et c’est de bon augure  pour la suite de notre parcours, notamment, en Championnat et en Coupe  d’Algérie. Pour ce qui de l’affaire Farouk Chafaï, je peux vous assurer  qu’elle n’a pas influé sur le rendement de l’USMA contre Al Merrikh. Ce n’était que l’affaire d’un seul joueur. Pour ce qui est des autres, ils  étaient tous concentrés sur le sujet et on a fait ce qu’il fallait ». Yamen Zelfani (Entraîneur d’Al Merrikh) : « Nous avons joué contre une très  bonne équipe, que je considère comme l’une des meilleures engagées dans  cette compétition. L’USMA a vraiment sorti le grand jeu lors de ce match  retour et c’est logique, car elle avait les moyens humains et matériels  pour espérer nous renverser. Ce qui a d’ailleurs failli arriver à maintes reprises, n’était le manque de réussite. Quoique, les gens doivent savoir  qu’Al Merrikh souffre actuellement de graves problèmes internes, qui ont  influé négativement sur son rendement. C’est ce qui explique d’ailleurs  notre piètre prestation lors de ce match retour. On s’est présentés à Alger  sans neuf titulaires habituels, pour diverses raisons, sans oublier le médecin de l’équipe, qui n’a pas pu nous accompagner. Le président, lui, a démissionné il y’a cinq jours et depuis, plus rien ne va. D’ailleurs, j’ai  l’intention de discuter avec mes employeurs dès la fin de cette conférence  pour essayer d’éclaircir mon avenir, même si au plus profond de moi-même,  je sais déjà qu’à 70% je  ne vais plus continuer. »

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Les espoirs de médaille algérienne à la 14e édition des Championnats du monde de natation en petit bassin, qui ont débuté hier et qui s’étaleront jusqu’au 16 décembre à Hangzhou (Chine), reposent sur les performances d’Oussama Sahnoune sur les distances de 50m et 100m nage libre, a indiqué le directeur technique national, Abdelkader Kaouah. « L’objectif de la Fédération est de voir Oussama Sahnoune atteindre les finales du 50m et 100m nage libre, ses distances de prédilection, après avoir réalisé à trois reprises les minimas de qualification pour les Mondiaux en Chine », a déclaré Kaouah à l’APS. « Oussama est au top de sa forme au point de vue technique et physique et possède les qualités pour arracher un podium sur les distances du sprint en nage libre », a-t-il ajouté. Concernant la participation des autres nageurs algériens, à savoir Djawed Syoud (19 ans), Souad Cherouati (29 ans) et Rania Nefsi (22 ans), le DTN a indiqué que leur « objectif sera d’aller le plus loin possible dans la compétition », soulignant que « se frotter aux meilleurs nageurs du monde est déjà bénéfique pour eux ». Outre la participation de Sahnoune (26 ans) sur les distances du 50m et 100m en nage libre et papillon, Syoud sera engagé sur 200m quatre nages, alors que Cherouati, spécialiste des longues distances, a décroché sa qualification sur 400m et 800m nage libre. Pour sa part, Nefsi sera engagée sur 100m et 400m quatre nages. A noter que les quatre nageurs algériens qualifiés aux Mondiaux-2018 évoluent dans des clubs à l’étranger où ils se préparent à longueur d’année. Sahnoune est sociétaire du célèbre Cercle des nageurs de Marseille (France), Syoud à Chalon-sur-Saône (France), Nefsi à l’Elite Longueuil (Canada) et Cherouati au Club de Lisbonne (Portugal). Un cinquième nageur algérien, à savoir Ramzi Chouchar, avait décroché sa qualification aux Mondiaux chinois, mais a dû renoncer à y participer à cause de problèmes extra-sportifs, en l’occurrence le retard pris dans les procédures d’inscription à l’Université en France où il s’est installé.

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Adjal Lahouari

C’est donc vrai que le temps érode la mémoire, car de nombreux anciens sportifs de renom sont partis dans la discrétion. Parfois, il a fallu que leurs proches signalent leur disparition. Tel est le cas de Mohamed El Kadiri, dont le parcours avait retenu notre attention il y a huit ans, et qui figure en bonne place dans la rubrique à succès « Un nom hier ». Avant toute chose, on peut dire qu’une mémoire de la ville d’Oran est partie à jamais. Et c’est pour cela que notre satisfaction est d’avoir eu auparavant des entretiens avec lui. Ce self-made- man aura réussi à tracer son chemin tant sur le plan sportif que social, et a coulé une vieillesse paisible entouré de ses enfants. Après des débuts en jeunes à l’EMO, il a effectué toute sa carrière à l’ASM, jusqu’au retrait des clubs algériens sur ordre de la direction du FLN. Il était junior lorsque l’avisé Hadj Hadefi l’a titularisé en équipe sénior avec ses coéquipiers Lasni, Bizizi, Kessaici, Lakhal Mohamed et Benghelam.

D’un caractère entier, il a défendu fidèlement l’ASM, avec une belle détermination grâce à ses qualités athlétiques et ses vertus morales. Ce grand footballeur, qui n’a pas été sélectionné pour des raisons demeurées obscures, a côtoyé des coéquipiers de renom, tels Boukerche, Beddiar, Neggaz, les frères Benatia, Bizizi, Oualadi, Benaïcha, Benarba, Benghelam, Djillali, Keloua Kaddour, Belhadj et la liste est très longue. Les hauts faits restent incontestablement le fameux parcours en coupe d’Afrique du Nord ainsi que les deux accessions en division d’honneur, l’élite de l’époque, où il y avait de rudes adversaires, tels le SCBA, l’USMO, le GCO, l’AS Marine Oran, le CDJ et l’AGSM entre autres.

On rappellera aussi que c’était un authentique nationaliste et qu’il était le compagnon du chahid Ahmed Zabana. Il a passé avec ce dernier son enfance et son adolescence. Tous deux ont en effet, fréquenté l’école de formations des métiers, qui était située dans le sous-sol du marché Karguentah. Son domicile est un véritable musée que les chercheurs devraient visiter. Avec ses camarades de combat, parmi lesquels on citera si Abdelbaki, Abdelhamid, Safa Mazouni, El Ouassini, Bouzidi, Henni Merouane, Zoubir et Si Omar, il a contribué à faire fonctionner les nombreux dispensaires avant le cessez-le-feu et l’approvisionnement en vaccin. Résumons : Hadj Mohamed El Kadiri, fier de ses racines prouvées par un arbre généalogique détaillé, footballeur et capitaine émérite, a laissé des souvenirs inoubliables. Et c’est notre devoir de mettre l’accent sur son œuvre, même de façon succincte.

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Le surréalisme, pour Baya, n’est pas seulement un art qu’elle exerça avec brio. C’est aussi son vécu hors norme qui la conduit à l’universalité, à l’immortalité.

Née un matin de décembre 1931 à Borj el-Kiffan, à l’est d’Alger,  de son vrai nom Fatma Haddad, Baya perd ses parents à l’âge de cinq ans, mais trouve en Marguerite Camina Benhoura, intellectuelle française, une nouvelle mère. Une mère qui a compris son potentiel artistique et l’a encouragé à exploiter son talent en poursuivant des études d’art.

En effet, à seulement 16 ans, Baya, cette autodidacte, fut révélée par le grand galeriste français Aimé Maeght qui, en compagnie d’André Breton et à travers l’Exposition Internationale du surréalisme en 1947 à Paris, ont su mettre en lumière ses travaux.

C’est ainsi que sa palette lumineuse, son monde surréaliste et ses terres cuites à Vallauris charmèrent l’élite artistique parisienne, en particulier Pablo Picasso et Henri Matisse. Ils ont collaboré par la suite dans le mythique studio de poterie Madoura à Vallauris.

Elle inspira Picasso qui, en 1955, peint « les femmes d’Alger » avec Djamila Boupacha, comme icone.

Ainsi, elle a réussi à acquérir une notoriété en France et en Algérie. Elle expose en Algérie comme en France, avant d’abandonner ses pinceaux pour se consacrer à sa vie de famille dans les années 1950, lorsqu’elle épousa le chanteur El Hadj Mahieddine Mahfoud, pour ensuite, les reprendre après la mort de son mari.

Sa frénésie de création n’a plus de frein. Elle exposa ses œuvres en 1963 au Musée National des Beaux-Arts à Alger et participa l’année suivante à l’exposition des peintres algériens au Musée des Arts Décoratifs à Paris.  Elle participe à de nombreuses expositions collectives en Algérie, au Maghreb, en Europe, à Cuba et au Japon.

Pas d’hommes dans ses œuvres. Les thèmes de la peinture de Baya se retrouvent dans les textiles traditionnels, les tapis, les céramiques ; ce sont des poissons, des fruits, des papillons, des oiseaux, des fleurs, des instruments de musique, des femmes…Le tout, puisé de son environnement maghrébin. Une constance se dégage dans la répétition de ces formes qui sont sans cesse réinventées par l’artiste.

Baya meurt le 9 novembre 1998 à Blida, non sans laisser un patrimoine culturel d’une richesse inestimable.Son travail a été en exposition à la Grey Art Galery de New York durant tout le mois de mars.

A.B

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Abid Djebbar

  L’IS Tighennif a conservé son fauteuil de leader du groupe ouest de la division inter-régions au terme de la 12ème journée et conserve son avance sur ses poursuivants.

Cette fois, les gars de Tighenif sont venus à bout du CSR Athar Ramadine, par le score de 2 à 0. Un résultat qui permet à l’Idéal de rester à la 1re place au classement avec un total de 28 points, avec un bilan positif qui se résuma par 8 matchs gagnés, 4 nuls et aucune défaite. Le dauphin, en l’occurrence l’ICS Tlemcen se trouve toujours à 5 longueurs, tandis que les 2 formations du CR Témouchent et la JS Sig suivent, avec 23 points au compteur.

Les hommes du coach Hassaine Ghrissi, qui est soutenu par un comité vigilant, à leur tête Ismail Hamid et des supporters dévoués, tiennent bien évidemment à continuer sur leur lancée, cette saison, afin d’atteindre l’objectif assigné, celui d’accéder en DNA, une division qui leur revient de droit, puisque l’Idéal figurait dans ce palier. Pour le compte de la prochaine journée, l’IST se rendra au stade Benslimane de Mostaganem pour y affronter le WAM, une équipe en mauvaise posture, à la 12ème place. Justement, il s’agit d’un adversaire à ne pas sous-estimer.

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M. Lamine

  Le déplacement du NAHD en Zambie se fera finalement demain. La date de départ a été arrêtée après d’intenses tractations pour choisir l’itinéraire du trajet par avion qui permettra à la délégation du Nasria de rejoindre ce pays africain via une seule escale qui se fera à Ankara (Turquie). L’entraîneur Mohamed Lacète nous a indiqué que cet itinéraire est moins contraignant que celui qui était prévu mardi, car il permettra à ses joueurs d’arriver en Zambie moins fatigués. En outre, le staff technique et les joueurs du NAHD ont appris avec joie la décision prise par la CAF qui vient de délocaliser le match qui se jouera, finalement, au stade Nkoloma de Lusaka et non dans le stade de la ville de Chomo, ce qui leur évitera de rallier cette dernière par route et de bénéficier de bonnes conditions d’hébergement, dans la capitale zambienne.

Lacète paraissait confiant quant à l’issue de cette rencontre. « La plus grande partie de la préparation a été faite à Alger. En Zambie, on aura besoin d’une seule séance d’entraînement pour procéder aux derniers réglages de la tactique de jeu que les joueurs doivent appliquer lors de ce match. Bien sûr, notre objectif est d’éviter la défaite et, pourquoi pas, revenir avec une victoire même si Green Eagles est considéré comme une redoutable équipe », a indiqué le coach du Nasria, disant n’avoir aucune peur de l’arbitrage. « Sincèrement, je n’ai pas d’appréhension à propos de l’arbitrage. Je ne vais pas me focaliser sur cet aspect car, lors du match de l’aller, l’arbitre a été correct et les deux cartons jaunes adressés à Gasmi et Rayah étaient largement justifiés. Bien sûr, l’absence de ces deux joueurs se fera lourdement sentir, notamment celle de Gasmi en raison de son expérience en compétition africaine », a ajouté notre interlocuteur qui a, néanmoins, assuré qu’il fera confiance à ceux qui vont suppléer ces deux joueurs au sein de l’équipe-type.

Il reste à signaler que la rencontre Green Eagles – NAHD sera dirigée par un trio d’arbitres tanzanien.

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M. L.

L’USMH n’est plus ce club qui attirait, il n’y a pas longtemps, de très bons joueurs qui le considéraient comme un tremplin pour assurer leur avenir footballistique. Cette particularité qui faisait la notoriété du club harrachi a, tout simplement, disparue. L’USMH, recalée en Ligue 2 depuis la saison passée, se retrouve, carrément, menacée par la relégation en DNA. Douzième au classement avec seulement 14 points, l’équipe peine à remonter la pente. Plus grave, l’opération recrutement a du mal à démarrer pour renforcer qualitativement l’effectif. Seuls les attaquants Mahious (USMA) et Djerbia (JSMB) sont annoncés comme signataires à l’USMH, selon le nouvel entraîneur Chérif Hadjar, qui nous a déclaré que des contacts sont entrepris par les dirigeants du club avec d’autres joueurs.

Ceci au moment où des sources proches de l’équipe affirment que la direction du club n’est pas parvenue à s’entendre avec l’attaquant Benmeghit de l’ES Mostaganem, pour des raisons financières. Pour le moment, l’équipe se prépare activement pour la reprise du championnat. Ce jeudi, elle achèvera la première phase de la préparation, entamée à Tipaza, après avoir disputé deux matchs amicaux. Hadjar a assuré que ce stage a été très bénéfique pour ses joueurs qui se sont donnés à fond. « On a alterné entre le quotidien et le biquotidien, basés sur le technico-tactique et le physique. Les joueurs bénéficieront de quelques jours de repos avant de reprendre les entraînements au stade du 1er Novembre 1954 de Mohammadia. Je pense que mon équipe sera prête pour la reprise du championnat », a ajouté le coach de l’USMH, qui ne doute pas sur la capacité de sa formation à assurer le maintien. « L’USMHest une équipe qui ne mérite pas un tel sort, car des circonstances ont voulu qu’elle soit menacée par la relégation.

Il reste toute la phase retour et elle peut se dégager de la zone dangereuse », a indiqué le coach harrachi. Ceci dit, il faut dire que la colère gronde chez les supporters qui estiment que les dirigeants ont eu tort de mettre en avant l’intérêt financier pour libérer le milieu de terrain Laribi, parti à l’USMA, ainsi que l’attaquant Benamara, considérés comme les meilleurs joueurs du groupe, ceci au moment où les dirigeants ne sont pas arrivés à assurer un bon recrutement au profit de leur équipe.

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M. B.

Le RC Kouba ne devrait pas participer aux 1/32es de finale de la Coupe d’Algérie face au MCA, selon les dirigeants du club algérois, qui estiment que le Raed est toujours la cible des responsables de la LFP. Pour le président du RCK, Mohamed Seghir Farès, « l’équipe de Kouba est visée », a-t-il déclaré. Avant de préciser: « Le manager général Bessaoud et le DTS Chaib ont été empêchés d’assister à la cérémonie du tirage au sort des 1/32es et 1/16es de finale de la Coupe d’Algérie, qui s’est tenue à Aïn Benian. Jusqu’au jour d’aujourd’hui, personne n’a daigné nous expliquer pourquoi les deux représentants du RCK ont été victimes d’un tel traitement. Trois jours avant le déroulement de la cérémonie, nous avons essayé de prendre attache avec le secrétaire général de la FAF, pour lui communiquer les noms des représentants du RCK, mais personne ne nous a répondu. Ce qui s’est passé est prémédité et c’est la raison pour laquelle nous allons boycotter la Coupe d’Algérie ». Pour rappel, le président du RCK, Mohamed Seghir Farès est suspendu pour un an par la commission de la discipline de la FAF, pour «violation de l’obligation de réserve, outrage et atteinte à la dignité et à l’honneur d’un membre de la Ligue de football professionnel ». Farès, qui estime que le RCK est devenu la cible préférée de la LFP et de la FAF, se dit frustré par le comportement des responsables du football à l’égard du club.

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Adjal Lahouari

Ce soir, suite et fin de la première phase qui nous a offert de fortes émotions et du spectacle de haut niveau. Bien que moindre par rapport à celui de la journée d’hier, l’intérêt de cette étape n’est pas absent. Par ordre d’importance, on évoquera le choc Ajax-Bayern, un petit « remake » de Pays-Bas – Allemagne avec des internationaux dans les deux camps.

Il est clair que ceux de Munich sont plus en réussite en Ligue des champions qu’au sein de leur équipe nationale comme l’atteste fort bien leurs parcours.

En effet, il y a lieu de préciser que les coéquipiers de Neuer ont remporté quatre victoires, ne concédant qu’un nul à domicile face précisément à cette équipe d’Ajax qui revient au-devant de la scène après une assez longue éclipse. Les vrais amoureux du football offensif ne peuvent que se réjouir de la renaissance de ce club qui a marqué l’histoire de la coupe d’Europe au cours de la décennie 70, et qui a même conquis le trophée en 1995. Aussi, ce soir à Amsterdam, la première place du groupe est en jeu et les Bataves ne cachent pas leur ambition de détrôner leur prestigieux adversaire, certainement plus expérimenté mais qui, en revanche, est tenu de contenir les assauts de leurs adversaires, plus jeunes et plus conquérants. Il est évident que le Bayern serait satisfait du nul, mais les Hollandais ne vont se priver de mettre la pression et d’arracher la première place, laquelle donne droit à des avantages pour la phase éliminatoire qui débute le 12 février prochain.

Pour le second match de ce groupe, la cause est entendue pour le Benfica, qui a quatre points d’avance sur la formation grecque d’AEK Athènes, le seul club dont le compteur est toujours bloqué à zéro. Et ce n’est pas à Lisbonne que les Grecs vont se refaire une santé. Dans le groupe G, le Real aura l’opportunité d’arrondir son capital points avec la réception de la décevante formation russe du CSKA Moscou qui, malgré ses déboires, espère finir le parcours à la troisième place. Ceci ne nous empêchera pas de souligner la régression de cette l’équipe italienne de l’AS Rome qui a égaré le football qui faisait sa force il y a à peine une saison.

L’entraîneur Di Fransesco a du souci à se faire. De toute évidence, Manchester City est largement favori ce soir face au quatrième du groupe Hoffenheim, lequel n’a pas encore goûté aux joies de la victoire en cinq rencontres. Et ce n’est pas aujourd’hui qu’il va engranger son premier succès. Son entraîneur Julian Naglesman, un jeune de 31 ans dont on loue les conceptions novatrices outre Rhim, aura besoin de toute sa science pour limiter les dégâts face à la machine des Citizens où brille notre international Riyad Mahrez, même si l’équipe de Pep Guardiola vient de subir la première défaite de la saison face à l’un des poursuivants, le Chelsea de Sarri et de laisser le fauteuil de leader à Liverpool. Pour sa part, Lyon a eu gain de cause en obtenant la délocalisation de son match contre Chakhtior Donestk, qui aura lieu à Kiev, donc un atout supplémentaire pour les Français déjà qualifiés et qui auront à se faire pardonner leur défaite à domicile face à Rennes, en championnat de France. Il reste le groupe H où la Juventus, très efficace cette saison avec Cristiano Ronaldo, est appelée à terminer son parcours en tête.

Et ce ne sont pas leurs adversaires suisses des Young Boys qui vont empêcher la « Vieille Dame » de confirmer sa supériorité. Plus ardue s’annonce la tâche de Manchester United en Espagne face à Valence. En effet, l’équipe de Mourinho fait le désespoir de ses fans, habitués à tant de succès du temps d’Alex Fergusson.

Outre sa conception de jeu qui ne paie plus car ne surprenant personne, Mourinho a des frictions avec quelques cadres, à l’exemple de Pogba dont le rôle est primordial. Une fois de plus, Manchester va probablement se regrouper en défense et opérer par des contres. Telle est la décision de son sulfureux entraîneur, adepte du seul résultat et rien d’autre.

Aujourd’hui

(18h55): Viktoria Plzen – AS Rome

Real Madrid – CSKA Moscou

(21h00): Ajax Amsterdam – Bayern Munich

Benfica Lisbonne – AEK Athènes

Shakhtar Donetsk – Lyon

Manchester City – Hoffenheim

Valence CF – Manchester United

Young Boys – Juventus Turin

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Les Etats-Unis ont restitué mardi aux Philippines des trophées de guerre confisqués il y a près de 120 ans, soit trois cloches saisies dans une église lors d’une sanglante campagne de représailles, un geste destiné à clore un douloureux chapitre de l’histoire des deux pays. Manille réclame depuis des dizaines d’années le retour des cloches de Balangiga. Leur restitution survient au moment où les relations entre l’archipel et les Etats-Unis sont dans une phase délicate, le président philippin Rodrigo Duterte n’ayant pas fait mystère de sa volonté de se rapprocher de Pékin.

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Négociateurs chinois et américains ont discuté mardi par téléphone d’un calendrier de discussions pour tenter de mettre fin à leur conflit commercial, a annoncé le ministère chinois du Commerce. Le vice-Premier ministre chinois Liu He s’est entretenu avec le secrétaire américain au Trésor Steven Mnuchin et le représentant pour le Commerce Robert Lighthizer des moyens à mettre en oeuvre pour appliquer le « consensus » auquel sont parvenus les dirigeants des deux pays, Donald Trump et Xi Jinping, lors de leur sommet du 30 novembre à Buenos Aires, a précisé le ministère dans un communiqué.

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L’ambition de la Chine de dominer les technologies de télécommunication est en péril face aux inquiétudes des pays occidentaux qui s’alarment des risques de main-mise de Pékin sur des infrastructures vitales pour la sécurité des États. Les médias de Pékin soupçonnent que l’arrestation au Canada d’une haute responsable de Huawei, l’un des leaders mondiaux des équipements télécoms, n’est que la dernière tentative en date de l’administration Trump visant à couper les ailes à un champion technologique chinois.

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L’Iran a annoncé avoir effectué un « récent » test de missile, qui a été condamné il y a plus d’une semaine par les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France, a indiqué mardi une agence de  presse iranienne. « Nous poursuivons nos essais de missiles et ce (tir) récent fut un test important », a déclaré, cité par Fars, le général de brigade Amirali Hajizadeh, commandant de la force aérospatiale des Gardiens de la Révolution. Selon l’officier, Téhéran mène chaque année 40 à 50 tests de missiles, a rapporté l’agence de presse Fars qui n’évoque ni la date précise de l’essai, ni le type de missile testé.

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