Le règlement des sinistres matériels véhicules, enregistrés au niveau de la branche dommages chez les compagnies d’assurances, pour l’exercice de l’année 2015 aura lieu en septembre. C’est ce qu’a indiqué Hassen Khelifati, PDG d’Alliance Assurances et vice-président de l’Union des assureurs et des réassureurs. Selon la même source, les sinistres non réglés et qui s’inscrivent dans les exercices postérieurs aux années 2016 feront l’objet d’une nouvelle convention Assainissement des recours au coût moyen (ARCM). Pour rappel, les 11 compagnies d’assurances avaient organisé, le 28 mai dernier, la cinquième cérémonie d’échanges de chèques entre les sociétés d’assurances, toutes signataires de la convention ARCM pour assainir les dossiers sinistres automobiles au titre des recours inter-compagnies pour l’exercice de l’année 2014.
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Plus de 5,81 millions de Chinois sont sortis de la pauvreté due à la maladie grâce à l’amélioration des soins outre les politiques favorables de prise en charge, a déclaré lundi le chef de la Commission nationale de la santé, Ma Xiaowei. « Les programmes de lutte contre la pauvreté causée par la maladie ont réalisé des progrès significatifs », a déclaré M. Ma cité par l’agence de presse Chine Nouvelle.
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Pour capter l’électorat, à l’occasion des élections législatives de septembre prochain en Mauritanie, le parti de la majorité présidentielle, l’Union pour la République (UPR), mène une campagne d’adhésion sur un site de vente en ligne appelé Voursa. Sur ce site spécialisé dans les transactions immobilières, la vente-achat de véhicules, etc., il propose l’achat de carte d’identité depuis mars dernier. Au début du printemps, plusieurs médias ont rapporté des informations liées à l’achat des voix, notamment dans le milieu des couches les plus démunies en Mauritanie. Le prix d’une pièce d’identité a atteint parfois 29 dollars. Le numéro joint à l’annonce de l’UPR sur Voursa est toujours opérationnel, selon la presse mauritanienne.
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Les détenus du mouvement Hirak du Rif ont entamé lundi une grève de la faim illimitée protestant contre le verdict prononcé par la Cour de Casablanca mardi dernier dans lequel de lourdes de peines ont été infligées aux militant de la contestation qui avait ébranlé le Royaume marocain depuis octobre 2016. Incarcérés à la prison d’Oukacha de Casablanca, les militants du Hirak ont décidé d’observer une grève de la faim illimitée pour protester contre les lourdes peines prononcées à leur encontre la semaine dernière par la Cour d’appel et refusent également de faire appel des jugements prononcés.
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Égypte, 14 février 1945. Le Quincy, grand vaisseau de guerre américain, navigue sur les eaux du canal de Suez. À son bord, deux hommes, que tout ou presque devrait opposer, négocient les bases d’une alliance qui va bouleverser la géopolitique du Moyen-Orient. D’un côté, le plus grand président américain de son siècle, Franklin Delano Roosevelt. De l’autre, le fondateur du royaume d’Arabie saoudite, Abdel Aziz ibn Abdel Rahmane al-Saoud.
Quelques jours avant cette rencontre, Roosevelt est à Yalta aux côtés de Joseph Staline et de Winston Churchill. La légende – pas tout à fait exacte sur le plan historique – veut que les Soviétiques, les Britanniques et les Américains aient décidé du « partage du monde » à cette occasion, en l’absence du général de Gaulle, qui n’était pas convié. À peine la conférence de Yalta terminée que le président américain s’envole pour le Caire où il embarque à bord du Quincy. Il profite de l’occasion pour s’entretenir avec « les trois rois » : Farouk d’Égypte, Hailé Sélassié d’Éthiopie, surnommé le Négus, et ibn Saoud d’Arabie. Avec ce dernier, il aborde principalement deux sujets : l’immigration des juifs en Palestine et surtout le… pétrole.
‘’En parlant cinq minutes’’
Les États-Unis disposent d’une importante communauté juive et n’occupent pas encore, à l’époque, un rôle prépondérant dans la région. Roosevelt cherche à convaincre son hôte de l’importance de l’immigration des juifs en Palestine. À la suite de cette conversation, Roosevelt confiera au Congrès avoir « plus appris sur le problème musulman et le problème juif en parlant avec ibn Saoud cinq minutes que je n’ai pu apprendre par l’échange de deux ou trois douzaines de lettres ».
Dans une lettre datée du 5 avril 1945, le père du New Deal donne une double assurance au roi d’Arabie saoudite sur ce même sujet. 1) Lui personnellement, comme président, ne ferait jamais rien qui puisse être hostile aux Arabes. 2) Le gouvernement des États-Unis n’opérerait aucun changement dans sa politique de base en Palestine sans une consultation complète et préalable avec à la fois les Juifs et les Arabes.
Malgré ces belles paroles, qui amènent forcément à se demander si Roosevelt, s’il avait vécu quelques années de plus, aurait été favorable ou non à la création d’Israël, c’est bien le deuxième objet des discussions, le pétrole, qui va donner une portée historique au Pacte du Quincy.
Au Moyen-Orient, le temps de l’épice et de la soie, qui a fait la renommée des échelles du Levant, est révolu. C’est l’odeur pestilentielle du pétrole qui imprègne déjà la région. Après avoir vu leurs rêves fracassés par le double jeu de leurs alliés français et anglais, à la suite de la révolte arabe contre l’Empire ottoman, les peuples arabes vont vivre une nouvelle ère avec la découverte du pétrole. Une découverte qui fait du désert d’Arabie, périphérie de la géopolitique du Moyen-Orient depuis la mort du Prophète en 632, l’un des nouveaux centres politiques de la région.
Si le « Sphinx de la Maison-Blanche », pourtant gravement malade, prend le temps de s’entretenir avec ce Bédouin, installé depuis 1932 sur le trône du nouveau royaume, c’est parce qu’il a conscience de l’importance stratégique que comporte une alliance entre les États-Unis et l’Arabie saoudite. Dans une note rapide à Daisy (son amie et sa confidente), Roosevelt ne peut s’empêcher de décrire l’entourage pittoresque de son hôte : « Des esclaves (noirs), un goûteur, un astrologue et huit moutons vivants. » Ibn Saoud aurait été autorisé à amener ses moutons à bord parce qu’il ne mangeait que de l’agneau que seuls ses hommes pouvaient égorger. Cela aurait apparemment follement amusé Roosevelt.
Deux hommes que tout oppose
Il faut dire que rien ne rapproche, a priori, les deux hommes. Le premier, riche héritier d’une famille new-yorkaise, vient d’entamer son quatrième mandat en tant que président des États-Unis. Une présidence pendant laquelle il a dû gérer une partie des moments les plus difficiles de l’histoire américaine : les séquelles de la crise de 1929, l’entre-deux-guerres, la montée des totalitarismes dans les années 30, l’attaque japonaise contre Pearl Harbor, l’entrée en guerre des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale… À chaque fois, l’homme affronte les événements avec courage et lucidité. En 1945, il n’a pas marché depuis bientôt 20 ans. Pourtant, que ce soit devant ses acolytes à Yalta ou à bord du Quincy, il se tient comme un empereur visionnaire, alliant subtilement sagesse et puissance.
Le second est le premier souverain moderne de l’Arabie saoudite, le fondateur du troisième État saoudien. Profitant de la chute de l’Empire ottoman, et du soutien des Anglais, il écarte ses concurrents hachémites et s’empare progressivement du Najd puis du Hijaz. Grâce à son alliance avec les Ikhwans, qui prônent une application rigoriste de l’islam, il acquiert une double légitimité : politique et religieuse.
Pétrole contre sécurité
Ce qui unit les deux hommes, c’est leur besoin essentiel de ce que peut leur procurer l’autre. Pragmatiques, ils concluent un pacte pour une durée de 60 ans. Aux États-Unis, l’assurance de pouvoir exploiter le pétrole saoudien. Aux Saoudiens, celle d’être protégés par le parapluie américain. L’une des alliances les plus improbables, mais pourtant des plus pérennes, de cette deuxième partie du XXe siècle. L’alliance entre le nouveau leader du monde occidental, parangon de liberté, de démocratie et de modernité, et le régime théocratique d’Arabie saoudite, nouvel épicentre du Golfe et symbole de rigorisme et d’hermétisme.
Le fameux pacte du Quincy, signé le 14 février 1945, tient en cinq points :
– Ibn Saoud n’aliénait aucune partie du territoire, les compagnies concessionnaires ne seraient que locataires des terrains.
– La durée des concessions est prévue pour 60 ans. À l’expiration du contrat (en 2005 !) les puits, les installations et le matériel reviendraient en totalité à la monarchie. À l’échéance, le contrat a été prolongé pour une nouvelle période similaire.
– Par extension, la stabilité de la péninsule Arabique fait partie des intérêts vitaux des États-Unis.
– Le soutien américain concerne non seulement sa qualité de fournisseur de pétrole à prix modéré mais aussi celle de la puissance hégémonique de la péninsule Arabique.
– Les Etats-Unis garantissent la stabilité de la péninsule et plus largement de l’ensemble de la région du Golfe sous forme d’assistance juridique, militaires dans les contentieux opposant les Saoud aux autres émirats de la péninsule.
Ce pacte marque l’entrée fracassante des États-Unis sur la scène moyen-orientale et consolide véritablement le pouvoir de la famille Saoud. Les Américains s’apprêtent à prendre la place des Britanniques dans le monde arabe, et l’Arabie saoudite profite de cette alliance opportune pour s’imposer progressivement comme une puissance régionale… et concurrencer l’Égypte, la Jordanie et l’Irak.
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Désormais, les automobilistes qui franchiront le seuil de l’aéroport international Houari-Boumediene devront payer leur parking plus cher. En effet, l’Établissement de gestion de services aéroportuaire (EGSA) a décidé d’augmenter, à compter d’hier, les tarifs de stationnement. Mis à part la gratuité maintenue pour ceux transitent pour une durée de moins de 30 minutes, le reste des prix a été revu à la hausse. La révision des tarifs s’étend aux clients qui auraient perdu leur ticket. Ces derniers devront payer une pénalité de 1 200 DA, alors que celle-ci n’était que de 500 DA auparavant. C’est la deuxième hausse après celle qui avait été appliquée le 1er juillet 2017 et qui avait soulevé le courroux des usagers, mais surtout des chauffeurs de taxi et des livreurs de marchandises.
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Des efforts colossaux seront déployés à différents niveaux pour mettre fin au stationnement anarchique dans les grandes villes spécialement à Alger, ou on recense plus de 1200 parkings sauvages.
En effet, pour éradiquer ce phénomène et mettre fin aux pratiques des gardiens de parking illégaux, ces derniers risquent d’écoper jusqu’à 06 mois de prison.
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Le rendez-vous, prévu dans un bassin de 50m, verra la participation de 39 clubs issus des 13 ligues de wilaya suivantes: Alger, Tipasa, Boumerdès, Béjaïa, Biskra, Tizi-Ouzou, Oran, Tlemcen, Blida, Batna, Sétif, Constantine et Jijel.
Le championnat s’étalera sur 5 jours avec deux séances quotidiennes (les matinées pour les éliminatoires et les après-midi pour les finales).
Par ailleurs, l’instance fédérale a programmé la Coupe d’Algérie de water-polo pour les U16 et U21 garçons à la piscine du 1er-Mai (Alger), les 5 et 6 juillet. La catégorie des U16 regroupera 5 clubs alors que celle des U21 verra la participation de 6 clubs.
Programme de la 1ère journée/Mercredi 4 juillet:
1ère séance (09h00) – séries
– 50m papillon (messieurs)
– 50m nage libre (dames)
– 100m brasse (messieurs)
– 400m quatre nages (dames)
– 800m nage libre (messieurs)
– 100m papillon (dames)
– 200m dos (messieurs)
– 4x200m nage libre (dames)
– 4x200m nage libre (messieurs)
2e séance (17h00) – finales
– 50m papillon (messieurs)
– 50m nage libre (dames)
– 100m brasse (messieurs)
– 400m quatre nages (dames)
– 800m nage libre (messieurs)
– 100m papillon (dames)
– 200m dos (messieurs)
– 4x200m nage libre (dames)
– 4x200m nage libre (messieurs).
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LONDRES – Le tennisman Youcef Rihane est le seul des douze algériens les mieux classés sur le plan mondial de la catégorie « juniors » à avoir enregistré une petite progression dans le classement de cette semaine, dévoilé lundi par la Fédération internationale de tennis (ITF).
Ses douze compatriotes (huit garçons et quatre filles) ont tous régressé, à commencer par Amen Ali-Moussa et Yanis Benmansour ayant perdu 16 places chacun, au moment où Adel Khalil Radjaâ et Ryad Anseur ont reculé de dix places.
Pour leur part, Samir Hamza Reguig, Matis Amier et Mohamed-Racym Rahim ont perdu neufs places, soit trois de plus que Mohamed-Ali Abibsi, qui lui n’a reculé que de six places cette semaine.
Rihane, qui a gagné une place dans ce nouveau classement reste donc l’Algérien le mieux positionné sur le plan mondial de la catégorie junior (173e), loin devant Reguig (1261e) et le tandem Amier – Rahim, tous les deux à la 1492e plac
Chez les filles, Houria Boukholda a réussi à se maintenir au 1366e rang, qu’elle occupe depuis la semaine passée, au moment où ses compatriotes Lynda Benkaddour, Bochra Rehab Mebarki et Amina Ahlem Felloussa ont toutes enregistré une régression.
Benkaddour, l’Algérienne la mieux classée sur le plan mondial a perdu deux places pour se retrouver au 219e rang. Mais elle reste néanmoins loin devant Boukoulda (1366e), Mebarki (-7 places/2201e) et Felloussa (-10 places / 2428e).
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ALGER – La volleyeuse internationale algérienne Sabrina Tamaloult est en train de passer « quelques jours » à Nice (France) et n’a pas fugué lors des Jeux méditerranéens (JM) qui ont pris fin dimanche à Tarragone (Espagne), a insisté lundi son président de fédération, Mustapha Lemouchi.
« Je voudrais insister sur la validité de son visa Schengen qui court jusqu’au 3 août 2018. La concernée passe quelques jours avec sa soeur à Nice qu’elle a gagnée depuis Barcelone (90 km de Tarragone) », a indiqué Lemouchi à l’APS.
« Notre volleyeuse a disputé tout son tournoi des JM puis demandé l’autorisation de partir du Directeur technique national adjoint, Lyamine Benseghier et du sélectionneur adjoint, Ali Sellah qui lui a remis son passeport pour pouvoir voyager », a-t-il ajouté.
Une déclaration qui vient appuyer la sortie médiatique d’Hassiba Boulmerka, chef de la délégation algérienne en Espagne, laquelle avait insisté sur le fait que la joueuse de la sélection féminine U23 de volley-ball « a reçu l’aval des responsables de la délégation pour quitter le village méditerranéen et rejoindre sa soeur à Barcelone ».
Des « informations » partagées sur les réseaux sociaux et relayées par certains titres de la presse nationale parlent depuis plusieurs jours d’une supposée « fugue » de la joueuse du NR Chlef (19 ans) laquelle aurait quitté le village des athlètes à Tarragone à 2h du matin, ce qui a fait enfler la rumeur.
« Parler de fugue veut dire que personne ne sait où se trouve l’athlète, ce qui n’est pas le cas. Ses parents le savent et ont été contactés par le COA (Comité olympique et sportif algérien) ainsi que par notre sélectionneur. Pourquoi personne ne parle des autres volleyeurs qui ont demandé l’autorisation de quitter le village après leur élimination pour effectuer des activités extra-sportives ? », s’est demandé Lemouchi.
Des vidéos partagées en effet sur les réseaux sociaux montrent des membres de la sélection algérienne masculine de volley au Camp Nou, emblématique stade du FC Barcelone qui organise des visites guidées.
La sélection féminine algérienne de volley-ball (U23), engagée lors des JM-2018, a complètement raté son tournoi, concédant deux défaites face à la Slovénie et au Portugal sur le même score de 3 sets à 0. Elle a terminé dernière du groupe D avec un zéro pointé.
Même chose pour le Six national masculin, qui a perdu ses deux matchs de poule devant la Croatie (3-2) puis la France (3-1).
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ALGER – Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a évoqué lundi une éventuelle révision des subventions destinées à l’énergie à partir de 2019, assurant que l’Etat n’opérera aucun changement sans mener une grande compagne de communication dirigée vers les citoyens.
« L’actuelle politique de subventions ne peut pas continuer comme ça pour l’équité sociale. Dans sa forme actuelle, le simple citoyen ne peut pas profiter de cette politique mieux que quelqu’un qui dispose d’un revenu plus important, ce n’est pas normal », a soutenu M. Raouya sur les ondes de la radio nationale.
« Rien ne sera fait tant que nous ne disposerons pas de l’ensemble des paramètres permettant l’identification des ménages, les montants alloués, ainsi que la manière d’y procéder »(assure Rouya)
Affirmant que son département mène actuellement des études sur l’actuelle politique de subventions à travers une commission mise en place qui travaille en collaboration avec la Banque mondiale, le ministre a expliqué que ces études montrent que les ménages à bas revenus profitent des subventions allouées aux produits de base (huile, sucre…) à hauteur de 7% du montant global de la subvention, alors que les personnes a fort revenu en bénéficient avec le double de ce pourcentage: « il faudrait y remédier », a-t-il relevé.
« Nous ne toucherons pas aux subventions tant qu’on n’a pas encore terminé nos études en la matière. Et lorsqu’on les terminera, cela va se faire avec l’ensemble des pouvoirs publics. Nous devrions nous asseoir autour d’une table, les rediscuter et, par la suite, mener une grande compagne de communication dirigée vers nos citoyens pour leur expliquer comment on doit procéder », a avancé le ministre.
N’écartant pas l’ouverture d’un « débat national » avant toute révision des subventions, le ministre a, néanmoins, évoqué une éventuelle révision des subventions destinées à l’énergie à partir de 2019 si, bien évidemment, on sera prêt à le faire ».
Par ailleurs, concernant le recours au financement non conventionnel et les éventuels risques d’inflation qu’il peut engendrer, notamment après les observations faites par le FMI, le ministre a rappelé que « Algérie est souveraine de choisir cette voie », ajoutant que « cela n’est pas sans risques, mais le risque est mesuré ».
« Nous prenons l’ensemble des règles de rigueur pour pouvoir maitriser cet aspect du financement non conventionnel qui est destiné beaucoup plus à l’investissement pour maintenir une croissance soutenue », a-t-il insisté, notant que les prévisions tablaient sur un taux d’inflation de 5,5% en 2018, alors qu’il est encore autour de 4% actuellement, et se situerait à une moyenne de 4,3% sur toute la période 2018/2020.
M. Raouya a, en outre, exclu tout recours à l’endettement externe sauf pour « certains cas » où le rendement est « assez appréciable », citant l’exemple du financement du projet du port Centre d’El Hamdania (Cherchell) « qui peut être financé par un crédit de la Chine ».
A propos de l’affaire de saisie des 701 kg de cocaïne et l’éventualité de l’implication de douaniers ou d’agents de l’administration fiscale, M. Raouya a indiqué que « rien n’est encore confirmé, mais l’Etat est déterminé à lutter contre toutes les pratiques frauduleuses ».
« Nous luttons sans merci contre la corruption qui peut engendrer de graves conséquences sur l’Etat », a-t-il fait valoir.
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Le tribunal correctionnel de la ville de Boumerdès a condamné, en première instance, un baron du pillage de sable marin des plages de Zemmouri à 18 mois de prison ferme. Son complice, arrêté en sa compagnie, a écopé de la même peine. La justice les accuse de vol de sable marin.
Pour rappel, ces deux suspects ont été arrêtés fin mai par les gendarmes de Thénia alors qu’ils escortaient deux camions chargés de sable volé d’une plage du village de Hadj-Ahmed, près de Zemmouri, localité surnommée la bourse du sable.
Un peu plus tard, un autre pilleur, entrepreneur et proche de ce baron, a été arrêté par les éléments de la BMPJ de Zemmouri alors qu’il tentait de fuir.
Mercredi, deux autres pilleurs ont été arrêtés. En tout état de cause, nos sources indiquent que même si le baron cité plus haut a été condamné – il ne peut être maintenu indéfiniment en détention provisoire – les magistrats sont décidés à poursuivre leur enquête sur ce pillage qui rapporte des milliards aux délinquants lesquels, au moyen de la corruption, se permettent de piétiner les lois de la République, de s’emparer des terrains du domaine national et de construire des villas au vu et au su des responsables locaux, souvent complices.
Dans cette situation, les citoyens ne peuvent qu’espérer que l’institution judiciaire aille jusqu’au bout de son engagement.
Abachi L.
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Face à l’augmentation des effectifs dans le seul collège (établissement primaire transformé en collège) dont dispose la commune de Tiout et vu la distance qui sépare ce collège aux nouvelles habitations issues de l’extension du tissu urbain de la commune (2 à 4 km), les parents d’élèves sollicitent des pouvoirs publics l’inscription d’un éventuel projet pour la réalisation d’un CEM dans le quartier populeux Moula-Abdelkader sis à l’entrée de Tiout.
D’ailleurs, cette commune n’a jamais bénéficié d’un collège moyen, or, l’établissement existant était à l’origine une école primaire qui a été transformée à la hâte et dépourvue de toutes les structures nécessaires pour un CEM, indique-t-on.
L’unique d’ailleurs, qui n’arrive plus à contenir tous les élèves issus du chef-lieu de la commune et des hameaux environnants.
L’effectif des élèves devient de plus en plus lourd, il est actuellement de 37 à 40 par salle dans les 14 classes que compte cet établissement, alors que d’un autre côté, les filles abandonnent le collège au fur et à mesure qu’elles grandissent, vu la distance qui sépare le CEM de leurs habitations.
«Nous voulons des écoles près de chez nous, afin que nos enfants réussissent, car faire une navette de 4 kmx4 fois/jour à pied, surtout pour les filles, nous pensons que l’Etat déploie chaque année et continue à déployer des sommes colossales pour la scolarisation des enfants, dans la réalisation de grands projets scolaires (établissements primaires, moyens, secondaires, universitaires, centres de formation etc.) ; il y va donc de notre grand souci pour l’éducation de nos enfants», ont encore indiqué les parents d’élèves.
B. Henine.
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TLS Contact: annonce une nouvelle note concernant le renouvellement du visa de circulation: « Tous les demandeurs de visa Schengen, y compris les détenteurs de visa de circulation, un dossier complet conformément à la réglementation Schengen (Notamment, preuves de ressources et justificatifs d’hébergement confirmés ».
Les demandeurs de visa doivent fournir tout les justificatifs nécessaires de ressources ainsi que ceux de l’hébergement, informe TLS Contact.
LDJ. Sarah
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Le maire de Constantine Nadjib Arab devrait effectuer un remaniement au niveau des structures de l’APC. Ce changement est prévu très prochainement et s’effectuera lors d’une session extraordinaire, selon Abd El Hamid Chibane qui a présidé par intérim la dernière séance ordinaire.
L’une des raisons d’un remaniement, c’est la vacance du poste de vice-président du patrimoine qui dure depuis l’installation du P/APC, car l’ex-P/APC Ali Mechaâr à qui, ce poste revient refuse, pour des raisons de santé, de prendre ses fonctions.
Le FLN avec la majorité écrasante de 28 sièges devant les 15 partagés entre l’opposition, ne souffre d’aucune pression politique de cette dernière, constituée du RND et El Islah. Donc aucune crainte pour Nadjib Arab à conduire ce remaniement et aller jusqu’au bout de ses intentions, c’est cela qui pourra insufler un nouveau dynamisme à l’APC, selon l’analyse faite par certains de l’entourage du P/APC, qui affirment «que la feuille de route de ce quinquennat a été déjà tracée par la mairie qui a mis le paquet dans les six mois écoulés ; reste qu’il mène, seulement, la baraque le restant du mandat avec succès».
Par ailleurs, il a été décidé lors de la tenue de la dernière session ordinaire de plusieurs projets dont la démolition des immeubles menaçant ruine à la cité Benboulaid validée pour une enveloppe de 27 132 000,00 DA et avec un délai de 52 jours.
Aussi, on notera un projet de réalisation d’un réseau d’assainissement au niveau du côté supérieur de l’Onama dont le montant a été fixé à 19 593 404,00 DA et un délai de réalisation de 7 mois, puis la réalisation d’un réseau d’assainissement à la cité El Amel, à proximité de la cité du 1er-Novembre avec 20 896 39,00 DA sur une période de 5 mois.
En ce qui concerne le volet assainissement, l’APC a octroyé à la Société polyvalente des travaux et d’environnement, Divindus (SOPT), à titre de gré à gré, le marché de 9 secteurs de collecte au niveau du centre-ville, pour 6 mois avec 97 987 987,83 DA. Cette même entreprise publique (SOPT) a eu 23 secteurs de collecte au niveau du côté Est de la ville, et ce, par le biais du marché gré à gré qui sera, comme le précédent marché sus-cité, présenté pour visa au niveau de la commission de wilaya des marchés, affirme-t-on dans la lecture du rapport de présentation.
Ilhem Tir
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L’Office des établissements des jeunes (Odej) de Boumerdès organise du 30 juin au 5 juillet la 7e rencontre nationale des clubs verts. Selon Ahmed Kara, le directeur de l’Odej de Boumerdès, 28 wilayas ont jusqu’à présent confirmé leur participation.
Durant ces journées d’échanges entre environ 500 jeunes, membres des clubs verts venant de différentes régions du pays, pas moins de 50 stands d’exposition seront installés.
La préservation de l’environnement, le civisme et la citoyenneté seront les thèmes que développeront les exposants. En plus de ces expositions, des tables rondes et des conférences seront animées. Trois concours seront également organisés.
Le premier concerne le meilleur projet sur l’environnement, le second portera sur le meilleur stand et le troisième concernera le meilleur dessin d’enfant sur la préservation de l’environnement. «En plus de ces expositions, un riche programme culturel sera mis en exécution. Par ailleurs, nos invités découvriront notre wilaya à travers des sorties», dira Kara.
Juste après cette rencontre, les établissements sous la tutelle de l’Odej de Boumerdès, notamment les auberges de jeunes et les camps de jeunes de la wilaya reprendront leurs activités d’été dans le cadre du programme de la mobilité des jeunes pour accueillir plus de 1 600 jeunes venant principalement des régions du Grand Sud du pays.
Abachi L.
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Récemment a été publié en France un ouvrage d’une grande actualité, notamment par rapport à la situation très inquiétante que connaît l’Algérie en matière de grande corruption et de criminalité transnationale organisée. Ce livre Argent sale : à qui profite le crime ?(*) est l’œuvre de Sylvie Matelly, économiste et directrice adjointe de l’Institut de relations internationales et stratégiques (Iris), et Carole Gomez, chercheuse à l’Iris. Nous publions ci-dessous quelques extraits d’entretiens accordés par les deux auteures.
Définir l’argent sale. Pour paraphraser le philosophe Thierry Ménissier(**), qui désignait ainsi la corruption, l’argent sale est une notion aussi bien parlante que mal définie. Si l’on comprend aisément de quoi il s’agit, arriver à poser un cadre, à définir est en revanche plus complexe. Alors que certains, comme Éric Vernier(***), par exemple, feront entrer dans cette catégorie tout flux d’argent issu d’activités illégales et immorales, d’autres nuanceront en ne prenant en compte que les activités illégales, issues par exemple de la criminalité organisée. Pour notre part, nous raisonnons en creux, c’est-à-dire que nous considérons comme argent sale tout argent qui doit connaître un blanchiment, pour pouvoir être réinjecté dans l’économie mondiale. En effet, l’argent sale issu d’activités répréhensibles se nourrit de tout un ensemble d’activités légales en tête desquelles se trouve, par exemple, l’optimisation fiscale. Ainsi, dans notre ouvrage, nous revenons sur les questions de corruption, de financement du terrorisme, de contrefaçon, de caisses noires et évidemment sur la question des paradis fiscaux. La difficulté de la règle est qu’elle est moins rapide que les techniques de fraude et de «production» de l’argent sale. Le temps de la loi est long, les détournements, crimes, évasions fiscales et autres phénomènes de l’argent sale vont très vite. Au-delà de la difficile définition qualitative, ce constat est renforcé par l’impossible quantification du phénomène d’argent sale, où des chiffres variant du simple au quintuple sont présentés.
Des estimations de 2 000 milliards de dollars, de 8% du PIB mondial et bien d’autres sont avancées. À la lecture de ces données, un constat s’impose rapidement : il est impossible d’estimer avec précision cette manne financière, sauf à raisonner par secteurs, mais qui, là encore, donneront des estimations, lesquelles, d’un spécialiste à l’autre, seront extrêmement variables. Dans ce contexte, les seuls moyens qui peuvent être efficaces dans la lutte contre ce phénomène sont culturels et liés au contrat social telles l’acceptation de l’impôt, la lutte contre les inégalités, etc. En d’autres termes, l’argent sale est d’abord et avant tout un choix de société !
Mondialisation, facteur d’aggravation de la corruption ?
La corruption constitue toujours un transfert d’argent. Dans ce contexte, quand la mondialisation facilite les transferts internationaux et conduit à une accumulation sans précédent dans l’histoire de l’humanité des richesses, tous les ingrédients sont là pour que le phénomène s’aggrave. Il n’est pas sûr toutefois qu’il se soit aggravé d’un point de vue relatif, c’est-à-dire pour ce qui concerne la part de ces richesses qui conduit à de la corruption. En effet, il y a à peine quelques décennies, la corruption était une pratique courante à peu près partout dans le monde et cela était, au mieux, toléré, au pire, considéré comme inévitable.
Aujourd’hui, la corruption est devenue quelque chose d’inacceptable dans de nombreux pays et par une part toujours plus nombreuse de la population mondiale. Les entreprises savent toutes qu’elles prennent d’énormes risques, à la fois légaux mais également réputationnels, en proposant des pots de vin pour obtenir un marché. Cela ne signifie pas qu’elles ne le font plus mais c’est une épée de Damoclès au-dessus de leur tête, pouvant entraîner leur disparition.
Nul doute que nombre d’entre elles y ont renoncé, le risque étant devenu trop grand. Et cette situation est aussi liée à une mondialisation qui connecte tout le monde et fait circuler très vite toutes les informations.
«Le temps de la loi est long»
La lutte contre l’argent sale peut être comparée à la lutte contre le dopage. Elle est indispensable, elle parvient à certains coups de filet, mais elle n’avance malheureusement pas au même rythme que ce qu’elle dénonce. La difficulté de la règle est qu’elle est moins rapide que les techniques de fraude et de «production» de l’argent sale. Le temps de la loi est long, les détournements, crimes, évasions fiscales et autres phénomènes de l’argent sale vont très vite. Autre limite, les règles restent aujourd’hui nationales alors que le phénomène de l’argent sale est mondial et internationalisé.
Les politiques peuvent être dans certains cas irresponsables ou mal avertis du phénomène mais ils sont le plus souvent impuissants. Pourtant, la lutte doit se poursuivre, il est impossible d’accepter cela et il faut continuer à la fois à tenter de trouver des parades et à œuvrer pour que des règles globales soient mises en place.
On critique beaucoup les États-Unis quant à leur activisme politique en la matière qui menacerait la souveraineté des autres pays (ce qui est vrai, au demeurant !), mais force est de constater que cela produit des effets. Il suffit de relire l’histoire récente de la lutte contre la corruption… Ce qui est dommage c’est qu’ils ne soient pas plus imités dans leur activisme ! Cela présenterait deux avantages : contrebalancer le poids de ce pays et œuvrer contre l’argent sale.
Rôle de la société civile
Le rôle de la société civile est, sur cette question, immense. Par des manifestations monstres qui ont pesé sur les destitutions de chefs d’État, par l’activité d’ONG qui enquêtent et qui mettent en lumière l’activité de certains hommes et femmes politiques et entreprises, par l’influence croissante des lanceurs d’alerte ayant permis le dévoilement des différents scandales (UBSLeaks, LuxLeaks, Panama Papers, etc.), la société civile pèse de tout son poids sur les politiques à la fois nationales et internationales. Il s’agit évidemment d’un processus long et qui ne portera ses fruits que dans quelques années, voire quelques dizaines d’années, mais cela contribue considérablement au regard que nous portons sur les choses. À toutes fins utiles, il convient de se souvenir qu’il y a encore quelque temps, parler des paradis fiscaux, outre la dimension exotique de la chose, mettait surtout en avant le côté astucieux, presque filou de la manœuvre.
Ce n’est qu’avec des études, des enquêtes, des recherches que l’on a pu prendre conscience de l’impact désastreux de l’évitement de l’impôt sur les sociétés.
Synthèse LSC
(*) Sylvie Matelly, Carole Gomez, Argent sale, à qui profite le crime ?, éditions Eyrolles (France), 2018.
(**) Thierry Ménissier est un philosophe français, spécialisé en philosophie politique et en histoire des idées.
(***) Eric Vernier, docteur ès sciences de gestion, chercheur à l’Iris et consultant international. Il est l’auteur de Techniques de blanchiment et Fraude fiscale et paradis fiscaux chez Dunod (France).
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Exploitant une information faisant état d’un commerce de psychotropes dans le quartier Souffay, à l’est de la ville de Khemis Miliana, les éléments de la police judiciaire de la Sûreté de daïra ont procédé à une opération coup-de-poing dans ce quartier, indique-t-on de source policière.
Une surveillance discrète du domicile de l’individu soupçonné de se livrer à ce commerce et au moment où il venait de garer son véhicule près de l’appartement qu’il occupait seul, et dont il en avait fait le lieu de son trafic, a conduit à son interpellation. La fouille de la voiture par les policiers a permis de découvrir dans le coffre arrière 40 comprimés psychotropes et des fioles contenant des solutions aussi dangereuses. Forts d’un mandat de perquisition délivré par le procureur de la République, les enquêteurs ont découvert disséminé dans des vases et autres potiches, un lot de 86 autres de ces comprimés, 2 fioles de solutions à l’instar de celles découvertes dans la malle de la voiture, 21g de kif traité, 3 armes blanches dont 2 de grand format ainsi qu’un fusil de chasse factice, en plus d’une somme de 18 000 DA provenant du commerce auquel le mis en cause se livrait. Continuant leurs investigations, les policiers ont procédé à l’arrestation de deux autres individus impliqués dans ce commerce. Déférés au parquet de Khemis Miliana, les trois individus, âgés entre 23 et 31 ans, après avoir été entendus par le juge d’instruction, ont été placés en détention provisoire par le magistrat.
Karim O.
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Un enfant a trouvé la mort par noyade vendredi dans l’oued El-Mechaki relevant de la commune de Selma, a-t-on appris auprès d’une source locale proche de sa famille.
La victime répondant aux initiales de Chaker K., âgée de 11 ans et originaire de la commune de Chahna, était en compagnie d’une section de scouts musulmans en excursion dans cette région montagneuse.
On apprend, par ailleurs, que la noyade s’est produite aux environs de 14 heures dans ce oued fortement fréquenté.
La dépouille de la victime a été déposée à la morgue de l’hôpital Mohamed-Seddik-Benyahia de Jijel. Les services de sécurité ont ouvert une enquête pour déterminer les causes et les circonstances de cet incident tragique .
Bouhali Mohamed Cherif
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