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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 day 55 min ago

La situation météorologique actuelle va « perdurer », des pluies dès samedi

Wed, 05/30/2018 - 19:10

La situation météorologique actuelle va « perdurer » avec, notamment, une perturbation prévue dès samedi prochain sur les régions côtières et proche-côtières de l’Ouest du pays avant d’atteindre le Centre avec une « moindre intensité », a indiqué mercredi Mme Houaria Benrekta, prévisionniste à l’Office national de météorologie (ONM).

« La situation qui a prévalu ces dernières semaines s’explique par un flux Sud-Ouest chaud et humide vers le Nord du pays provoquant des pluies, parfois orageuses, sur les régions côtières. La même situation a été  observée dans les régions intérieures, notamment les Hauts-Plateaux qui ont connu de fortes précipitations, ainsi que des chutes de grêle », a indiqué Mme Benrekta à l’APS.

Elle a précisé que cette situation météorologique était « normale » et reflète « les caractéristiques météorologiques de la région méditerranéenne, connue par ses variabilités intra-annuelle et intra-saison, à l’exemple de la saison printanière de cette année qui a vu une période pluvieuse plus prolongée que d’habitude ». APS

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Education-concours de recrutement externe: retrait des convocations à partir de jeudi

Wed, 05/30/2018 - 19:07
ALGER- La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghabrit a annoncé mercredi, que les candidats au concours de recrutement externe pour les postes de professeur d’enseignement primaire et des catégories administratives, prévu le 12 juin prochain, peuvent retirer leurs convocations à partir de jeudi à 17h00.

Le retrait se fait sur le site électronique http://concours.onec.dz, a précisé la ministre sur les réseaux sociaux.

Mme Benghabrit avait annoncé auparavant « l’ouverture d’un concours de recrutement externe, faisant état de 8.586 postes à pourvoir entre professeurs d’enseignement primaire et d’autres catégories administratives ».

Le nombre de postes à pourvoir sur concours concernent les professeurs d’enseignement primaire est de 3.378 postes, les conseillers d’orientation et de guidance scolaire et professionnelle de 239 postes, les intendants de 213 postes, les intendants adjoints de 694 postes, les superviseurs de

l’éducation de 2.265 postes, les laborantins principaux de 300 postes et les laborantins de 1.407 postes.

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L’Algérien Noureddine Amir élu président des Comités des droits de l’Homme de l’ONU

Wed, 05/30/2018 - 19:04

NEW YORK- L’ancien diplomate algérien et professeur de droit, Noureddine Amir, a été élu mardi à New York, président des neuf Comités des droits de l’Homme de l’ONU.

Noureddine Amir a été élu lors d’une réunion sur le système des traités internationaux qui s’est tenue mardi à New York.

Titulaire d’un Doctorat en Droit et diplomate de carrière, le professeur Amir a exercé dans plusieurs postes diplomatiques avant d’être élu, la première fois, en 2001 en qualité d’expert au Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD).

En 2017 il a été réélu triomphalement au même Comité pour un cinquième mandat de quatre ans qui a débuté en janvier 2018.

Avec son élection mardi, M. Noureddine Amir va présider les neufs organes de traités qui surveillent la mise en £uvre des principaux traités internationaux sur les droits de l’Homme.

Ces organes de traités sont des comités d’experts indépendants qui veillent à l’application des principaux traités internationaux sur les droits de l’Homme.

Ils font partie du système des Nations Unies pour la promotion et la protection des droits de l’Homme.

Il s’agit notamment du Comité des droits de l’Homme (CCPR), du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), du Comité contre la torture (CAT), du Comité des disparitions forcées (CED), du Comité pour les droits de l’enfant (CRC), et du Comité pour l’élimination de la  discrimination à l’égard des femmes (CEDAW).

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Des démarches en Algérie pour interdire la « Chicha » dans les lieux publics

Wed, 05/30/2018 - 18:52

La chicha est une pipe à eau de taille variée, destinée principalement à fumer du tabac ou de l’essence de fruits. Elle est aussi appelé gheylan, arguileh, chilam ou sisha. Ces différents synonymes proviennent de sources différentes, car l’origine exacte de la shisha n’est pas encore bien définie.

Sous le thème choisi par le ministère de la santé pour cette année concernant la lutte contre le tabac « La Chicha, le tabac qui détruit le cœur » notamment avec la prolifération des clubs dans les grandes villes, plusieurs spécialiste de la santé ont averti contre la consommation de ce genre de tabac qui contient des substances toxiques à l’instar du charbon outre qu’il contribue à la transmission des maladies à travers son utilisation collective. A cet effet plusieurs démarches pour interdire la « Chicha » dans les lieux publics sont en cours en Algérie.

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Constantine – Un voleur à la casse trahi par une caméra de surveillance

Wed, 05/30/2018 - 17:00

par A. Z.

  L’une des caméras de surveillance, au centre ville, a permis de dévoiler l’identité d’un voleur à la casse qui s’attaquait aux véhicules en stationnement et les dépouillait des objets qu’il pouvait emporter et vendre assez facilement, à l’image des postes-radio et plus s’il en trouve à l’intérieur de la voiture.

Une enquête a été ouverte par les éléments de la 15ème Sûreté urbaine, à la suite de deux plaintes déposées, avant-hier, auprès du Commissariat par deux victimes, dont les voitures ont été ciblées par le voleur, et qui font état de la disparition des radios automobiles, téléphone portable et autres sommes d’argent.

Ainsi, en se faisant aider par les enregistrements d’une caméra de surveillance, les enquêteurs identifieront le voleur, qui sera localisé et arrêté dans un court laps de temps, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya.

Ajoutant que tous les objets volés de l’intérieur des véhicules ont été récupérés, soit un poste radio, un téléphone portable, une somme d’argent et saisie d’une arme blanche trouvée en possession du mis en cause.

A l’issue des procédures pénales, le présumé coupable a été présenté devant le procureur de la République, près le tribunal de Ziadia, a conclu la même source.

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Selon un rapport publié par les services de la wilaya: 569 sites de bidonvilles éradiqués à Alger

Wed, 05/30/2018 - 16:54

Par Zakaria Zemri.

Plus de 55% des bidonvilles de la capitale éradiqués depuis 2014, avec 44 000 familles relogées et 460 hectares de terrains récupérés.

«Alger capitale sans bidonvilles», tel est le titre du rapport publié par les services de la wilaya d’Alger. La capitale n’en est certes pas encore là, mais les progrès sont remarquables! 316 des 569 sites de bidonvilles recensés à Alger en 2007 ont été éradiqués pour le plus grand bien de la ville. 44 000 familles ont été relogées dans le cadre des 23 opérations de relogement qui ont eu lieu depuis 2014. Les 253 sites restants abritent quelque 14 468 familles. Ces destructions de logements anarchiques ont permis de libérer plus de 460 hectares de terrain, qui ont permis la réalisation de plusieurs projets structurants de la capitale.

Parmi ces projets figurent plusieurs programmes de construction de logements, l’aménagement de oued El Harrach, le barrage de Douera, pour ne citer que ceux-là. Le premier bidonville a avoir été rasé est celui de Haï Eremli, au Gué de Constantine. Ce bidonville était probablement le plus grand du pays. D’une superficie de 54 hectares, il abritait plus de 4000 familles, et ce pendant plus de 21 ans. Il a été éradiqué en 2015. Les autres bidonvilles notoires à avoir été rasés sont ceux de El Kerouch à Réghaïa, oued El Hamiz et Gué de Constantine. Plusieurs autres ont été éliminés simultanément, le 26 décembre 2017, à savoir ceux de Bouzaréah, de Ouled Fayet et de Aïn Bénian, pour un total de 2405 familles et 13 hectares. Ces opérations peuvent certes régler les problèmes d’hygiène que subissaient ces familles, mais il serait fortuit de déterminer une stratégie à même de dissuader les familles de s’installer dans des bidonvilles ou de construire des habitation précaires, ainsi que de reloger ces familles de sorte à ne pas se retrouver avec une grande concentration de misère au même endroit, et ainsi éviter des problèmes de délinquance que certains quartiers d’Alger connaissent. Un bon recensement des familles vivant dans les bidonvilles est aussi de mise, car les «baraques» se marchandent et valent leurs poids en termes de promesse de relogement.

Enfin, la protection des terrains agricoles est primordiale, et il ne sert à rien de bétonner des terres fertiles, pour reloger des familles qui ne pourront pas être nourries.

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Ghardaïa: 2 morts et 12 blessés dans une collision

Wed, 05/30/2018 - 16:45

par R.N.

Deux personnes ont trouvé la mort et 12 autres ont été grièvement blessées dans un accident de circulation survenu hier à une quinzaine de kilomètres de Mansoura (sud de Ghardaïa), a-t-on appris auprès de la Protection civile. L’accident s’est produit sur l’axe de la RN-1, lorsqu’un camion transportant des pastèques est entrée en collision frontale avec un camion de transport de travailleurs d’un chantier, causant la mort sur place de deux personnes et faisant 12 blesses souffrant de multiples traumatismes, précise la même source.

Les corps des victimes décédées sur place ont été transférés vers la morgue de la polyclinique de Hassi-Lefhal, tandis que les blessés ont été évacués vers la polyclinique de Mansoura. Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances précises de cet accident.

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35 morts sur les routes en une semaine

Wed, 05/30/2018 - 16:40

par R.N.

Trente-cinq (35) personnes ont trouvé la mort 961 autres ont été blessées , suite 827 accidents de la circulation survenus du 20 au 26 mai, sur le territoire national indiquent mardi les services de la Protection civile dans un communiqué. La wilaya d’El Tarf déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 6 personnes alors que 18 autres ont été blessées, suite à 12 accidents de la route.

Par ailleurs, les secours de la Protection civile sont intervenus pour l’évacuation 8.097 malades vers des structures sanitaires.

En outre, 796 interventions ont été effectuées pour l’extinction de 550 incendies urbains, industriels et autres, alors que 4709 opérations d’assistance aux personnes en danger et opérations diverses ont été menées durant la même période.

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Avant-première algérienne de solo, a star wars story: Entre exaltation et sentiment mitigé

Wed, 05/30/2018 - 16:24

Par O. Hind.

Grande déception pour ce qui est du spin -off sur Han solo, mais de belles sensations et découvertes dans l’Avengers…

Les téméraires cinéphiles ont bravé le mauvais temps lundi soir pour aller voir en avant-première algérienne le long métrage Solo: A Star Wars Story. Le film qui a fait partie récemment de la sélection officielle de la 71e édition du festival de Cannes dans la catégorie hors compétition. Il aborde la jeunesse du personnage Han Solo campé d’habitude par Harrison Ford. Jeune donc, il est interprété par Alden Ehrenreich, un contrebandier rebelle, mais gentil, qui remplit sa mission en se revêtant de l’habit, attitude et caractère assez têtu de l’ancien Han Solo de la Saga.

Dans ce second film dérivé de la franchise Star Wars (après Rogue One: A Star Wars Story sorti en 2016, Ndlr) il est accompagné par Lando Calrissian, joué par Donald Glover, Emilia Clarke qui tient le rôle de Qi’ra, la première compagne de Han Solo, mais aussi Woody Harrelson qui incarne le mentor de Han Solo du nom de Beckett. Et comme dans n’importe quelle histoire de guerre à la sauce américaine qui se respecte, il ne peut y avoir de conflit sans une histoire d’amour derrière.
En effet, Han Solo sera amené à se battre à la fois pour gagner de l’argent, mais aussi faire des affaires avec l’homme qui a pris celle qu’il aime, dans l’espoir de la reconquérir. En gros, l’amour et ses racines, la confiance ou la traîtrise, sont le nerf de la guerre, le moteur du cinéma hollywoodien.

C’est bien lui qui tire les ficelles ou qui abat les cartes de la machine du mal. Fait nouveau, nous apprenons que c’est Han Solo qui avait délivré Shoubaka d’une prison dans laquelle il était jeté et c’est ainsi qu’ils sont devenus des amis inséparables. Avec des courses-poursuites, dans un train ou des plans à la sauce Clint Eastwoodienne, Solo: A Star Wars Story se révèle être du type space western.
Un genre qui colle bien à la peau de Han Solo grâce à sa dégaine légendaire de dur à cuir, tombeur de dames. La première partie de la réalisation de Ron Howard, ne convainc, pas pis encore, elle endort le spectateur bien qu’elle nous introduise les personnages, mais de façon à se détacher entièrement de l’esprit, la philosophie et les valeurs mêmes qui ont fait l’âme de Stars Wars, à savoir combattre pour la dignité d’un peuple contre l’empire des ténèbres. Certains plans tablent sur la nostalgie de l’ancienne Saga sans grande ferveur et quelques personnages intéressants sont vite expédiés à la casse pour disparaître de l’écran alors qu’ils auraient mérité d’être encore là du moins pour nourrir les à-côté de l’intrigue. Mais on préfère vite s’attarder sur les principaux personnages qui vont devoir se lancer dans une aventure risquée dont le seul objectif est le vol d’un précieux matériel pour le fournir au grand entrepreneur véreux qui lui-même obéit à une puissance dont on devine déjà les ambitions et le secret.

En arrière-plan donc, ce film exalte les odeurs de l’argent et du carburant, même l’espace est réduit à une technologie sans le grand côté spectaculaire. Bien évidemment, nous ne sommes pas encore arrivés à l’époque de la Saga de Star Wars, mais tout de même, le poids de la science-fiction et, son pendant extravagant moderniste est bien présent à fortes doses d’effets spéciaux et de petites bestioles et monstres à coups de renfort divertissant.
Pour autant, c’est seulement à la 2e partie, voire 3e que le film dénoue enfin ses intentions et retrouve un semblant d’élan glorieux, celui qui unit tout les amoureux de Star Wars, à savoir le sacrifice et l’abnégation au service d’une cause humaniste, pour contrer le mal suprême qui ne rêve que de régner de son plein pouvoir sur le monde et réduire en poussière celui qui osera lui tenir tête…Aussi, entre amusement et sentiment d’héroïsme latent, Solo: A Star Wars Story se résume à une montée de plusieurs velléités de briller en vue d’atteindre la superbe de cette Saga, mais sans grand enjeu dramatique. Avec seulement des prétentions suggérées, le film n’atteint pas la valeur d’un Roge one. Loin s’en faut. On reste souvent sur notre faim. L’émotion est diluée dans la beauté des paysages et quelques gros plans et échanges de regards qui certes, émoustillent un peu les sens, nous pensons à ce chaleureux baiser échangé entre les deux tourtereaux maudits, mais ceci est loin de rehausser le niveau de ce film qui pèche par quelques séquences limites absurdes et des personnages dénués d’âme.. ou presque…Peine perdue, la vigueur scénaristique y compris au niveau des dialogues, nous allons la retrouver dans la première partie de la soirée au Théâtre de verdure, soirée qui fut marquée par la projection du film Avengers: Infinity War. Un film de supers héros basé sur les histoires des comics de Marvel.

Alors que les Avengers et leurs alliés ont continué de protéger le monde face à des menaces bien trop grandes pour être combattues par un héros seul, un nouveau danger est venu de l’espace: Thanos. Despote craint dans tout l’univers, Thanos a pour objectif de recueillir les six Pierres d’Infinité, des artefacts parmi les plus puissants de l’univers, et de les utiliser afin d’imposer sa volonté sur toute la réalité. Tous les combats que les Avengers ont menés culminent dans cette bataille. Ceci est le synopsis de ce film. Des combats sans faille, des sensations fortes, des émotions en veux-tu en voilà, de la haine en passant par la colère, la tristesse, mais aussi une bonne dose d’humour, des effets spéciaux à vous couper le souffle, ajouté, à cela quelques personnages attachants, malgré leur foisonnement, l’on ne s’ennuie pourtant pas une seconde.
Le film fait incursion dans le Wakanda for ever de Black Panther. Les fans du genre apprécieront. La fin des plus tragiques est poignante et rend humain le plus monstrueux d’entre nous, ce qui a le mérite de méditer sur notre triste sort et l’avenir de notre existence sur cette planète. A 600 DA la soirée, les Nuits du Cinéma vous invitent ainsi tout au long du Ramadhan à suivre des moments palpitants hautement cinématographiques. Pour info, vous pouvez voir (pour les absents) ou revoir les deux films cités plus haut, à savoir Solo: A Star Wars Story encore vendredi 1er juin à minuit et le 8 juin à 22h, tandis que Avengers sera projeté à nouveau samedi 2 juin à minuit et le 06 juin à 22h.

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«L’année miraculeuse»: Dernier roman de Mohamed Magani

Wed, 05/30/2018 - 16:14

Dans son dernier ouvrage «L’année miraculeuse» le romancier Mohamed Magani aborde le déchirement, le traumatisme et le retour à la vie sur fond de destinées croisées de personnages en quête de reconstruction. Ce roman de 334 pages, publié par les éditions «Chihab» relate des récits de vies qui s’entremêlent et ayant pour décor principal les villes d’Alger et d’Amsterdam, inspiré des différents voyages de l’auteur et de ses références littéraires.

«L’année miraculeuse» raconte la vie de Smaïl, un haut cadre de l’administration, démis de ses fonctions dans le milieu des années 1990. L’échec professionnel, lui a imposé un tout autre mode de vie «dénué d’avantages et de pouvoir», se double d’un divorce suite auquel il échoue à Amsterdam où il mène une vie monotone de jeune retraité. Un coup de foudre à l’aéroport entraîne cet homme, en quête de reconstruction, dans une aventure rocambolesque, il s’empare inconsciemment de la valise d’une jeune femme séduisante au visage familier pour s’assurer de la revoir. Smaïl se lance dans une expédition à la recherche de ce visage, aperçu à peine quelques minutes, à Alger puis à Amsterdam. Lotfia, la propriétaire de la valise volée, qui s’avère avoir été une ancienne collègue de Smaïl, est une femme à bout de nerfs qui a dû quitter l’«administration rigide» pour s’installer en France, se marier contre l’avis de ses parents pour fuir un quotidien et un mode de vie «étouffant qui ne la contentait plus».

Une vérité cachée ayant éclaboussé son couple, Lotfia se retrouve abandonnée par son mari français qui la prive, sous la menace d’expulsion de France, de voir son enfant unique. Tout en continuant à chercher à revoir son fils, elle décide de s’installer à Amsterdam. Réunis aux Pays-Bas, les deux anciens collègues vont, alors, se lancer dans une quête d’eux-mêmes et de l’amour pour recoller les morceaux de leurs vies brisées.
Si ces histoires semblent se dérouler et se rencontrer naturellement, elles confrontent également des univers et des modes de vies différents: Amsterdam, la ville de la tolérance par excellence, épargnée des troubles, et Alger, vécue comme un souvenir chargé de traumatismes et de déceptions.
Placer ce roman à Amsterdam est également un prétexte pour l’auteur d’évoquer Albert Camus, dont «La chute» qui se déroule dans cette même ville, et introduire des extraits de l’auteur dans sa propre fiction. Mohamed Magani a sorti son premier roman, «La faille du ciel», en 1987.
Il a également publié des études sur l’histoire et la sociologie chez Ibn Khaldoun, et sur l’enseignement ainsi que des recueils de nouvelles en anglais. Depuis 2006, l’auteur enchaîne les romans «Scène de pêche», «La fenêtre rouge», «Rue des perplexes», et «Quand passent les âmes errantes».

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Leilat cha’bi: Des mémoires constantinoises à l’histoire algérienne

Wed, 05/30/2018 - 16:05

Mériem Merdaci, organisatrice de l’ évènement sous la seule enseigne de sa maison d’édition, s’est révélée en parfaite maîtresse de cérémonie.

Ce qui pouvait paraître, à première vue, comme un pari risqué, aura bel et bien été tenu et «Leilat Cha’bi», la première du genre, initiée par la maison d’édition «Les Editions du Champ Libre» a confirmé répondre à de réelles attentes tant dans le monde des musiques de Constantine que plus largement au sein du public. Ainsi donc «Le café Riche», espace incontournable des rencontres constantinoises depuis le Ramadhan dernier, aura, une fois de plus affiché complet et aura accueilli une assistance de qualité avec une notable empreinte de la famille du cha’bi.

Mériem Merdaci, organisatrice de l’ évènement sous la seule enseigne de sa maison d’édition, s’est révélée en parfaite maîtresse de cérémonie et après les paroles de bienvenue et de remerciements – en particulier à notre journal – aux différents soutiens de la manifestation, en a exposé les motifs et les objectifs «L’objectif est double, rassembler d’une part la famille du cha’bi de Constantine et ouvrir droit par la suite à une réflexion collective sur le statut de la musique cha’bi et son histoire en Algérie.» Si, comme elle le rappelait, cette rencontre s’appuyait aussi sur la présentation de l’ouvrage «Les Compagnons de Sidi Guessouma.

Contribution à l’histoire du cha’bi» dont elle avait assuré la publication, elle ne manquera de relever tout le travail de promotion du cha’bi de Constantine à travers le pays à l’occasion de rencontres, débats, de conférences ou sur les plateaux de télévision qui avaient accueilli l’auteur. C’est en tout cas le sens qu’elle assigne au documentaire en cours de réalisation sur le sujet et dont la projection de la bande annonce signait l’entrée dans le vif de «Leilat Cha’bi».A son invitation l’auteur a exposé l’objectif de son travail de recherche et les enjeux liés à l’identification du cha’bi qu’il situera comme une «créativité algérienne adossée, en profondeur, à l’esprit de résistance qui allait s’affirmer avec de plus en plus de force à partir du début du XXème siècle» et sur cette thématique du cha’bi «musique algérienne, musique de toute l’Algérie» que se sont ouverts les précieux témoignages des artistes présents et de leurs familles.

La présence des enfants du regretté cheikh Mohamed Chérif Merkouche – dont Hamdani Hammadi, lauréat du Festival de musique classique algérienne, dira qu’il était «La voix du cha’bi à Constantine» – de Larbi Merouani, formé sous les auspices du Fondouq Sidi Guessouma, de Khoudir Benrachi, de Mohamed Bouhabib ou encore Driss Amine Khoudja fils de feu Aâmi Mouloud Leqzaderi comme l’appelaient les anciens, mais aussi de nombreux mélomanes – dont Abdelhamid Chibane, adjoint du maire de Constantine – rajoutait une indéniable note d’émotion qui allait se retrouver dans les différents témoignages. Les mémoires de quatre générations au moins de musiciens du cha’bi allaient être revisitées et on évoquera ainsi les figures des pionniers – Mohamed Larbi Zeroula, Boudjema Madoui, Mouloud Amine Khodja entre autres- des talentueux passeurs du cha’bi à l’image des frères Ammar et Omar Bouhabib, des frères Boudida, de Salah Filali mais aussi des fulgurantes contributions de Ahmed Ydjer et Cheikh El Ouanas.

Les territoires du chabi – le billard de Allouane Bentounsi de la rue Cherbonneau, le local de Tayeb Bouda, entre autres ont alimenté la note de nostalgie, mais confirmé l’enracinement du cha’bi dans le coeur de Constantine. Festive, chaleureuse et marquée par l’émotion cette première «nuit du cha’bi» doit en appeler d’autres a estimé Mériem Merdaci et elle aura été illuminée par les belles prestations de Mohamed Bouhabib, Fayçal Leghraba et Mohamed Hamdi, comme si l’évènement prenait sens d’un passage de flambeau entre les mains de la nouvelle génération.
L’assistance n’a pas manqué d’avoir une pensée pour Ammar Bouhabib, Salah Filai, Dahmane Boudida, absents pour des raisons de santé et de saluer la mémoire de Mouloud Kracha et Nadir Bouda disparus il y a peu.
Une nuit constantinoise qui appelle en tout état de cause plus de lumière sur ces noms d’artistes qui méritent mieux que la méconnaissance.

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Le Discop francophone face à Nollywood et l’audiovisuel arabe

Wed, 05/30/2018 - 15:54

Par Amira Soltane.

Le Discop, le marché africain de l’audiovisuel, a ouvert ses portes lundi à Abidjan en Côte d’Ivoire. Voulant coller aux succès du MIP TV de Cannes, le Discop est devenu un rendez-vous important et incontournable des professionnels du petit écran africain. L’objectif est de mettre en contact des acheteurs et des producteurs de contenus. Sur le continent, le potentiel est immense. Fini la domination des telenovelas d’Amérique du Sud; ces 10 dernières années, les pays francophones se sont mis à produire leur propre contenu télévisé.

C’est la quatrième fois que ce rendez-vous de Discop est lancé depuis 2015, où on propose un «marché» où s’achète et se vend du contenu fini, en cours de production ou en développement, des activités de networking, des soirées, un programme Next Gen (nouvelle génération). Il réunit plus de 700 participants de 70 pays. Si aucun représentant des chaînes privées algériennes n’est présent à Abidjan, la télévision publique, l’Eptv, est présente à travers le directeur commercial Aziz Kourta et le directeur de la chaîne francophone Canal Algérie. La mission: acheter des programmes africains abordables sur le plan financier. L’objectif est de trouver aussi des solutions pour financer une production de qualité en Afrique francophone reste un enjeu majeur. Dans ce contexte financier difficile, les producteurs sont des héros au quotidien, estiment les professionnels
Pour contourner ce problème d’argent, de plus en plus de réalisateurs se servent d’Internet comme d’un tremplin pour être repérés. Comme les Youtubeurs, les créateurs de contenus tentent de faire vendre leur produit durant ce rendez-vous audiovisuel.

Résultat: sans procédures simplifiées et avec des Etats africains dont les budgets sont souvent trop restreints pour investir dans des émissions de qualité, les sources de financement se trouvent encore trop souvent à l’étranger. TV5 Monde, par exemple, investit 1 million d’euros par an dans la production de séries africaines. Il faut dire que ce marché est plus destiné aux produits audiovisuels francophones qu’aux produits anglophones dominés par Nollywood.
Depuis quelques années, la liste des séries made in Afrique francophone n’a cessé de s’allonger. Avec plus de 2 200 chaînes de télévision qui diffusent par satellite sur le continent, l’appétit pour l’Afrique grandit. Pas étonnant quand on sait que 150 millions de personnes sur le continent parlent français et sont en attente de contenus qui leur ressemblent. Un continent qui est partagé entre la montée en puissance de la culture anglophone des pays du sud et de l’est de l’Afrique qui totalise plus de 200 millions et la montée de la culture arabe avec plus de 200 millions des pays d’Afrique du Nord, dont 100 millions sont situés en Egypte et qui demeure comme le plus important marché arabe de l’audiovisuel.

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Institution de yennayer fête légale: Les sénateurs saluent cette décision

Wed, 05/30/2018 - 15:46

Par Mohamed Boufatah.

Ce texte de loi sera voté aujourd’hui.

Le projet de loi modifiant et complétant la loi n° 63- 278 du 26 juillet 1963 fixant la liste des fêtes légales a été débattu, hier, en plénière du Conseil de la nation en l’absence du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, parti à Genève prendre part à la 107e Conférence internationale du travail (CIT). Ce dernier a été représenté au Sénat par le ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Beda. A titre de rappel, ledit texte de loi a été adopté en avril dernier à l’APN. Intervenant à la fin des débats, Mahdjoub Bedda a affirmé que «l’ouverture du champ de recherche dans les questions techniques inhérentes à cette question, sera prise en charge au titre de la loi organique portant création de l’Académie de langue amazighe qui veillera à la promotion et au développement de cette langue dans ses différentes variantes linguistiques». A travers leurs interventions, hier, en plénière, les membres du Conseil de la nation ont salué la décision du président Bouteflika de consacrer le jour de l’An amazigh fête légale. D’après ces derniers, «cette décision qui contribuera au raffermissement de l’unité nationale et à la consolidation de la stabilité, constitue un rempart contre les agendas suspects des ennemis de l’Algérie et les tentatives d’influence extérieure». Dans ce contexte, Aïcha Bakri, sénatrice du tiers présidentiel a affirmé que «cette décision qui est un acquis historique sera inscrite en lettres d’or dans l’Histoire». Aux yeux de la majorité des sénateurs, «l’histoire retiendra cet acte éclairé, venu consolider les fondements de l’identité nationale dans sa triple composante».
Les sénateurs de la majorité parlementaire et ceux du tiers présidentiel ont estimé à l’unanimité que «cette officialisation est un jalon supplémentaire et une consécration de la dimension nationale de la composante amazighe pour raffermir l’unité nationale, consolider la stabilité du pays et renforcer la cohésion entre Algériens». A ce propos, Mahmoud Kissari du Front de Libération nationale (FLN) a indiqué que «l’institution du 12 janvier, fête nationale et journée chômée et payée, revêt des dimensions juridiques, politiques et socio-culturelles», rappelant que cet acte consolidera la stabilité et l’unité nationale…». Abdelhamid Latrech, estime que «cette consécration est un raffermissement de l’unité nationale et une consolidation des fondements nationaux». D’autres intervenants ont affirmé que «l’Histoire retiendra pour le président Bouteflika cette décision qui barre la route à toute instrumentalisation de l’identité nationale». Pour Nacer Belmadani du RND, «l’initiative du président Bouteflika permettra de renforcer la Réconciliation nationale loin de l’instrumentalisation politique».
«L’introduction du jour de l’An amazigh dans le calendrier des fêtes légales a permis de trancher une des questions les plus polémiques et de la mettre à l’abri des tiraillements politiques», a estimé le sénateur Mohamed Rachedi. Un autre membre du Conseil de la nation a évoqué les aspects techniques qui devraient, selon lui, être confiés à des linguistes.

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«Une journée au soleil»: Prochainement à la cinémathèque d’Oran

Wed, 05/30/2018 - 15:34

Le film documentaire «Une journée au soleil», du journaliste et cinéaste algérien Arezki Metref, sera projeté samedi prochain à la cinémathèque d’Oran, a-t-on appris hier de la direction de cette structure culturelle. Cette oeuvre de création récente, dédiée à l’histoire de l’émigration algérienne en France, sera projetée en présence du réalisateur et plusieurs invités, a-t-on précisé de même source.

La séance permettra ainsi au public de découvrir ce nouveau documentaire dont le scénario a été coécrit par Metref avec Marie-Joëlle Rupp, fille de l’anticolonialiste Serge Michel (1922-1997). Tourné en France dans un café parisien, «Le Soleil», le film retrace l’histoire de l’émigration algérienne dans ce pays à travers plusieurs témoignages et portraits de personnes ayant fréquenté ce lieu de sociabilité et chargé d’histoire.
«Ce lieu mythique au coeur des mémoires conjuguées, immigrée, ouvrière et révolutionnaire, verra se croiser des ouvriers, intellectuels, écrivains, musiciens, commerçants», indique le synopsis. «Une journée au Soleil» a remporté, en avril dernier, le Grand-prix du documentaire à la 11ème édition du Festival Issni N’Ourgh international du
film amazigh d’Agadir (Finifa, Maroc), rappelle-t-on.
La programmation de ce film à Oran est organisée par la Cinémathèque algérienne en collaboration avec l’Institut de développement des ressources humaines (Idrh, Oran) et le Centre d’études maghrébines en Algérie (Cema, Oran), rappelle-t-on.

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Qui cuisine pendant le Ramadan?

Wed, 05/30/2018 - 15:32

Le mois sacré du ramadan, est un mois de piété et d’abstinance, il est donc impératif de se faire plaisir tout en évitant le gaspillage.
Une panoplie de spécialités culinaires viennent se dresser sur la table de l’ftour. Mais la question qui se pose est, qui est l’auteur de ce festin?
De manière générale, c’est la femme (la soeur, la mère ou la grand mère) qui cuisine pendant le mois du ramadan et qui tente de satisfaire les palais de chaque membre de la famille. Cela dit il y a de nombreux hommes qui cuisinent également pendant le ramadan.
En effet certains hommes préfèrent endosser le rôle du cuisinier au court du mois du ramadan, pendant que la femme s’occupe d’autres taches domestiques. La répartition des taches se retrouve de ce fait équilibrée.
Voici le témoignage d’un homme marié qui cuisine pendant le mois du Ramadan:
« Je travaille la journée, je termine à 16H je rentre puis je cuisine. Même si je suis marié, je préfère faire la cuisine, étant donner que c’est toujours moi qui le fait. Pendant ce temps ma femme s’occupe des enfants, ce qui lui demande déjà beaucoup d’efforts ».

LDJ. Sarah

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Dans la région nord du Cameroun: 32 morts au cours d’un affrontement avec un groupe armé

Wed, 05/30/2018 - 15:22

Le groupe décapité à Menka est «une bande armée» constituée depuis des mois pour «semer la terreur et la désolation au sein de la population», selon M. Tchiroma, porte-parole du gouvernement qui lui impute l’assassinat de gendarmes, des enlèvements, des viols et des rackets. Trente-deux personnes, dont cinq «otages», ont été tuées la semaine dernière à Menka, dans la région anglophone du Nord-Ouest au Cameroun, lors d’un affrontement entre forces de sécurité et un groupe armé reclus dans un motel, selon un bilan officiel du gouvernement camerounais. «Vingt-sept terroristes (ont été) neutralisés» le 25 mai lors d’une «opération spéciale» menée par 30 militaires et policiers pour déloger «des assaillants» qui avaient pris possession d’un motel à Menka, a déclaré lundi soir à la presse Issa Tchiroma Bakary, ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement.

Il a affirmé que «15 otages» se trouvaient dans l’établissement et que cinq d’entre eux avaient été tués «par les terroristes» après les «sommations» des forces camerounaises pour qu’ils se rendent et libèrent leurs otages. Un policier a été blessé, de même qu’un «terroriste», alors qu’un autre, une femme, s’est rendue, a affirmé le porte-parole. «Cinq fusils à pompe en service seulement dans les unités spéciales ont été saisis, ainsi que 17 armes de guerre et 10 armes de chasse, avec plus de 2 000 munitions, une trentaine de tenues militaires et cinq bérets qui appartenaient aux gendarmes et policiers froidement assassinés par ces mêmes terroristes à Bali, Bello et Batibo» dans la même région du Nord-Ouest, selon M. Tchiroma. Il a réfuté les «allégations de carnage perpétré par l’armée camerounaise sur les populations civiles». Les images des morts de Menka ont fait le tour des réseaux sociaux et provoqué l’indignation d’hommes politiques et de défenseur des droits humains du Cameroun. D’après le leader de l’opposition, Ni John Fru Ndi, qui s’est rendu samedi à Menka, des «civils» font partie des victimes. Un député de son parti, Nji Tumasang, avait affirmé que trois autres personnes, dont une soupçonnée d’appartenir au groupe du motel et un conducteur de moto-taxi, avaient été arrêtées dans un hôpital d’une localité voisine (Buchi) et exécutées par des soldats.

Le groupe décapité à Menka est «une bande armée» constituée depuis des mois pour «semer la terreur et la désolation au sein de la population», selon M. Tchroma. Il a affirmé que ce groupe serait à l’origine de l’assassinat de gendarmes dans la région, d’enlèvements, de viols et rackets. Les combats entre l’armée et des groupes armés séparatistes sont devenus presque quotidiens dans les régions anglophones du Nord-Ouest et du Sud-Ouest, de même que les enlèvements de Camerounais et d’étrangers. Selon le centre d’études International Crisis Group (ICG), «au moins 120» civils et «au moins 43» membres des forces de sécurité ont été tués depuis fin 2016.

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Protection du peuple palestinien: Le Conseil de sécurité votera une résolution

Wed, 05/30/2018 - 15:05

Le Conseil de sécurité des Nations unies devrait voter la fin de cette semaine sur un projet de résolution appelant à fournir une protection internationale au peuple palestinien dans les territoires occupés contre les tueries commises quotidiennement par les forces d’occupation israéliennes. C’est ce qu’a indiqué Saleh Rafat, membre du Comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) lundi à la radio voix de Palestine. Le responsable palestinien a ajouté que si les Etats-Unis décidaient d’opposer leur veto à la résolution, les Palestiniens demanderaient à l’Assemblée générale des Nations unies de convoquer une réunion extraordinaire sous le titre «L’Union pour la paix». Depuis le 30 mars dernier, plus de 120 Palestiniens ont été tués et 13 000 autres ont été blessés dans la bande de Ghaza par des tirs à balles réelles de l’armée d’occupation israélienne, lors de manifestations pacifiques organisées pour la levée du blocus imposé à la bande de Ghaza et le retour des réfugiés spoliés de leurs terres en 1948. Ces massacres avaient suscité une vive condamnation de la communauté internationale réclamant au Conseil de sécurité de l’ONU d’assurer une protection urgente au peuple palestinien. Par ailleurs, le responsable palestinien a annoncé que le président Mahmoud Abbas va diriger une réunion pour le Comité exécutif de l’OLP.

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Bourse d’Alger: Les entreprises publiques boudent le marché boursier

Wed, 05/30/2018 - 14:57

La Bourse d’Alger, mise en place en 1997, est toujours boudée par les PME algériennes, mais surtout par les grandes entreprises publiques, en particulier les groupes Sonatrach et Sonelgaz.

Les raisons de cette énigme sont brièvement énumérées par le directeur général de la Bourse d’Alger, M. Yazid Benmouhoub. Il a expliqué hier à la radio nationale que «les conditions d’émergence de l’époque n’étaient pas propices pour avoir un marché de capitaux, mais aujourd’hui, avec le stress financier depuis 2014, cela a montré d’abord les limites du système de financement classique basé à 97% sur le financement bancaire. Et l’idée donc est d’aller vers d’autres sources de financement, et parmi lesquelles la Bourse, le marché des capitaux, qui pourrait jouer un rôle important dans le financement des entreprises». Pour lui, il y a «plusieurs facteurs» qui expliquent pourquoi les entreprises tournent le dos au marché des capitaux, dont «l’absence de culture boursière», car «des chefs d’entreprises ne savent pas que la Bourse peut les financer, il y a aussi les crédits bancaires bonifiés qui bloquent» l’entrée des entreprises en Bourse.

«Maintenant, nous pensons qu’il faut de nouvelles sources de financement, car le financement bancaire a des limites. La Banque d’Algérie empêche d’aller au-delà d’un ratio de financement, et donc il y a l’éventualité des financements de la Bourse», estime M. Benmouhoub, selon lequel il y a sur le tissu économique national près d’un million de PME qui sont loin des standards internationaux. Sans être vraiment critique, M. Benmouhoub pense que les conditions actuelles d’accès aux crédits bancaires, dont beaucoup sont bonifiés constituent le principal obstacle de l’entrée en Bourse de beaucoup d’entreprises, publiques ou privées. «Mais, nous pensons que la Bourse est une alternative pour le financement de ces entreprises», souligne t-il, avant de relever que «nous voulons inverser la tendance et alléger le fardeau sur le financement bancaire», soulignant qu’au second semestre 2017, «la liquidité bancaire avait chuté, ce qui avait affecté la disponibilité de crédits pour les entreprises».

«Pour les PME, qui répondent aux critères selon la loi de juin 2017, il y a un peu plus de 3.000 sociétés, dont une partie peut être financée sur le marché boursier», estime t-il, précisant que «le dispositif est là, et même appuyé par des exonérations fiscales, des allègements de taux d’ouverture (10% pour les PME)». Pour autant, il déplore le fait que les «sociétés privées soient réfractaires à l’ouverture du capital, il faut peut-être les faire passer par des fonds d’investissement et les aider à se structurer, et le meilleur moyen de le faire est la Bourse d’Alger.» M. Benmouhoub estime en outre que «le facteur fiscal ne suffit plus pour relancer la Bourse d’Alger, car les sociétés émettrices bénéficient depuis 2015 d’une réduction de l’IBS. Il faut donc chercher d’autres solutions ailleurs, comme revoir certains aspects liés aux avantages donnés aux entreprises, avec des points aux sociétés cotées en bourse.» Le marché informel plombe t-il le marché boursier ? M. Benmouhoub est affirmatif, estimant qu’il est clair qu»’il impacte non seulement la Bourse, mais tout le secteur économique». Mais, pour lui, «les moyens de paiement électronique vont assécher graduellement la masse monétaire, qui circule sur le marché informel, et la ramener vers le marché formel». «Il est très difficile pour nous de le concurrencer en termes de rendement», explique-t-il, rappelant qu’en 2017, «les sociétés cotées en bourse ont donné 11% de rendement, ce qui est assez élevé par rapport à ce qui existe sur le marché. Mais cela n’a pas suffi à drainer davantage d’investisseurs ou d’entreprises cotées». En 2013, par ailleurs, le ministère des Finances avait recommandé aux entreprises d’entrer en bourse, mais sans grand résultat, car les «patrons de PME se posent la question de savoir pourquoi les entreprises publiques ne sont pas cotées en bourse», même si, «pour le secteur privé, il doit aller chercher les sources de financement là où elles sont, contrairement aux entreprises publiques, propriété de l’Etat et donc financées par les banques.» Pour autant, le premier responsable de la Bourse d’Alger estime que «par rapport aux besoins des entreprises nationales, cela ne doit être appuyée que par des financements, et cela ne peut être permis que par le marché des capitaux, c’est-à-dire la Bourse».

«La balle est dans le camp des entreprises», lance t-il. Par ailleurs, il s’est interrogé sur l’utilisation des fonds d’investissements, octroyés à raison d’un milliard de dinars par l’Etat à chacune des 48 wilayas pour relancer les PME locales. «Au 31 décembre 2017, à peine 10% de ce montant a été utilisé», déplore-t-il, avant de s’interroger sur les raisons qui empêchent l’entrée en Bourse de «plusieurs entreprises en vue.» «On se demande pourquoi elles ne sont pas en Bourse, car la Bourse est un élément pour les booster de manière considérable», a-t-il souligné, avant de citer le cas de Biopharm, dont l’entrée en Bourse lui a donné de «la visibilité à l’international.»

Par ailleurs, M. Benmouhoub est revenu sur le cas des huit entreprises publiques qui devaient intégrer la Bourse d’Alger, dont Mobilis, Cosider et des cimenteries, dont celle d’Ain Kebira. Pour rappel, c’est le Conseil des participations de l’Etat (CPE) qui avait donné son feu vert en 2013 à huit entreprises publiques pour l‘ouverture ou l‘augmentation de leur capital social à travers la Bourse. Il s‘agissait de trois cimenteries relevant du groupe public GICA (dont celle d‘Aïn Kebira), du Crédit populaire d‘Algérie (CPA), de la compagnie d’assurance Caar, de Cosider Carrières (filiale du groupe Cosider), de l‘entreprise hydro-aménagement et de Mobilis. Mais, l’Etat a stoppé net le processus, qui a été annoncé fin 2017 par le Premier ministre Ahmed Ouyahia. Selon M. Benmouhoub, ce choix, dicté par la conjoncture financière que traverse le pays, à savoir un manque drastique des liquidités bancaires, a été bénéfique aux PME, car «une éventuelle introduction en Bourse des entreprises publiques aurait un effet d’éviction sur les PME», qui n’ont pas le même attrait que les entreprises publiques. D’autre part, il estime que «la Bourse peut être un barrage au marché parallèle, si un nombre important d’entreprises entrent en Bourse et attirent la masse thésaurisée par les ménages». Et, même si l’Etat boude la Bourse des valeurs d’Alger en ne cotant pas la dernière opération d’emprunt obligataire de 2016, M. Benmouhoub a expliqué qu’en fait, depuis 2008, l’Etat cote les obligations du Trésor (ORT), et «97% de l’activité de la Bourse provient de l’activité des ORT, soit presque 400 milliards de dinars d’encours. Entre 2016 et 2017, on est passé de 14% à 24% d’augmentation du niveau des ORT au niveau de la Bourse d’Alger».

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Le passeport algérien gagne trois places dans le classement des passeports les plus puissants

Wed, 05/30/2018 - 14:54

« Henly Passport Index » est un classement des passeports de tout les pays du monde, selon le nombre de pays accessibles sans visas.

Le passeport japonais se retrouve à la tête du classement 2018 « Henly Passport Index« , permettant l’accès à 189 pays avec ou sans visa. Suivi du passeport allemand (188 pays sans formalité de visa), en troisième position se trouvent le passeport français, finlandais, italien, suédois, espagnol et sud coréen avec un accès à 187 pays sans visa.

Le passeport algérien gagne trois places en se retrouvant à la quatre-vingt-cinquième place.

LDJ. Sarah

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Raffinerie d’augusta: Guitouni défend Sonatrach

Wed, 05/30/2018 - 14:35

Le ministre de l’Énergie, Mustapha Guitouni, a défendu, hier, à Boumerdès, la décision de Sonatrach d’acquérir la raffinerie d’Augusta en Italie.

Le ministre de l’Énergie a insisté sur le fait que cette décision nerelève pas uniquement du P.-dgde Sonatrach ni même du seul conseild’administration du groupe pétrolierpublic.Le dossier de l’achat de la raffinerie »dépasse la Sonatrach et son conseild’administration qui l’a validé », aassuré M.

Guitouni.Ce dossier est « passé par le ministèrede l’Énergie et ensuite par le gouvernementqui a donné le feu vert pourque la raffinerie d’Augusta entredans le patrimoine de Sonatrach », at-il ajouté.Le ministre de l’Énergie est égalementrevenu sur le défaut de communicationà ce sujet qui a été reproché à Abdelmoumène Ould Kaddour. »Le P.-dg de Sonatrach a fait plusieurs conférences de presse, il estallé au Parlement, au Sénat et il aexpliqué qu’il a fait un investissementet avant qu’il ne le fasse, il a dit qu’ilsouhaitait restructurer la Sonatrach »,a argué M. Guitouni.L’achat de cette raffinerie en Italie estune bonne affaire, selon M. Guitouni.

« On dit qu’elle est âgée, qu’elle datede 1949 mais il y a eu des rénovations,chaque année on rénove », a-t-ilinsisté. Parmi les arguments avancés par le ministre de l’Énergie pour défendre l’opération menée par Sonatrach en Italie, le prix qu’aurait coûté une raffinerie neuve, à savoir 5 milliards dedollars, selon lui, en plus du délai de cinq ans pour sa réalisation.

L’achat de la raffinerie entre dans le cadre de la restructuration de Sonatrach et son plan de développement 2020-2030, a rappelé M. Guitouni qui a expliqué que cet achat s’est fait après « des pourparlers avec Exxon Mobil qui ont duré une année ».La consultation d’experts et des concertations avec les autorités italiennes se sont également inscrites dans le processus de l’achat de la raffinerie d’Augusta, a indiqué le ministre de l’Énergie.

Trop de gaspillage d’électricité

Lors de la même conférence de presse, le ministre de l’Énergie s’est légèrement emballé sur la question du gaspillage de l’électricité par lesAlgériens. « L’Algérien consomme six fois plusque le Tunisien et six fois plus que leMarocain », a-t-il remarqué, ajoutant que « c’est parce que nous gaspillons beaucoup et ça, tout le monde le sait ».

« Nous sommes le seul pays où l’énergie coûte aussi peu cher, elle est vendue à quatre dinars au consommateuret elle revient à 9 ou 10 dinars le kilowatt/heure », a appuyé le ministre, voulant probablement faire le lien entre le coût bas de l’électricité et songaspillage. La consommation d’électricité en Algérie varie beaucoup d’une période à l’autre de l’année, ce qui « n’est pas normal » pour le ministre.

« On n’apas une courbe plane, régulièrecomme dans d’autres pays, je pense que maintenant, les gens doiventcomprendre qu’ils doivent utilisercette énergie de façon raisonnable »,a-t-il soutenu. Et d’ajouter : « Chaque année, noussommes obligés d’investir deux milliards de dollars pour passer le pic del’été ».

La transition énergétique vers dessources de production renouvelables comme le solaire est « en train de sefaire », selon le ministre qui a annoncé l’objectif de son département de « passer aux 22.000 mégawatts en photovoltaïque », sans donner de délai précis pour atteindre cet objectif. « Nous sommes maintenant capables de faire du photovoltaïque et d’ailleurs nous sommes en train de le faire dans d’autres pays d’Afrique, je citele Soudan par exemple », a-t-ilaffirmé.

Par : RIAD EL HADI

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