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Updated: 1 day 17 hours ago

Ouargla: Les commerces informels envahissent les trottoirs

Thu, 05/31/2018 - 13:27

Non protégés, ces aliments sont exposés à toutes sortes de microbes et de bactéries, véhiculés notamment par les nuées de mouches, les poussières et les rejets des véhicules.

De nombreux vendeurs, en particulier des enfants, activant dans l’informel, ont envahi depuis le début du mois du Ramadhan les trottoirs de différents boulevards, ruelles et quartiers de la ville de Ouargla, exposant des produits alimentaires sans le moindre respect des conditions et normes d’hygiène et de salubrité a constaté l’APS.
Le phénomène de commercialisation anarchique et illicite de produits alimentaires durant le mois sacré n’a pas cessé de s’intensifier à Ouargla, au fil des années, sans aucune considération pour la santé du consommateur qui très souvent est sérieusement menacé. A la rue Che Guevara, le marché quotidien du vieux ksar de Ouargla, ainsi que les quartiers de Gherbouz, En-Nasr, Béni-Thour, Sidi Bel-Abbès et plusieurs autres endroits de cette grande agglomération urbaine, du pain en tous genres, formes et saveurs, des galettes préparées à la maison et des «diouls» ou «malsouka» (feuilles de brick), des gâteaux traditionnels, telles que la «zlabia» et le «kalbellouz», en plus d’autres denrées de consommation sont proposées aux jeûneurs, en l’absence quasi-totale des règles de conservation et de propreté indispensables pour ce type de produits rapidement périssables.

Non protégés, ces aliments exposés à toutes sortes de microbes et de bactéries, véhiculés notamment par les nuées de mouches, les poussières et les rejets des véhicules, constituent un foyer de microbes et un véritable risque pour la santé des consommateurs, alertent des agents de la santé publique.
La vente des grillades sur la voie publique est un autre type de commerce informel qui a pris sa place, ces dernières années, dans la vie des Ouarglis, particulièrement durant les soirées du mois sacré. Elle est pratiquée généralement, juste après le ftour par des jeunes vendeurs occasionnels qui préparent des brochettes de viande rouge, volaille ou de merguez.

Pas moins de 77 brigades, dont 40 de contrôle des pratiques commerciales et 37 de la répression des fraudes, ont été mobilisées par la direction du commerce à travers les 21 communes que compte la wilaya de Ouargla, à l’occasion du mois du Ramadhan, selon la direction du secteur. Malgré ces efforts, la lutte contre l’informel reste un défi à relever, étant donné que les vendeurs activant dans l’informel se multiplient d’une année à une autre trouvant une clientèle nombreuse, surtout des passagers et des personnes à revenus modestes.

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35% des cancers sont causés par le tabac: Mortelle cigarette

Thu, 05/31/2018 - 13:22

La nouvelle loi sur la santé prévoit plusieurs mesures d’intensification de la prévention et la lutte contre le tabagisme.

Le tabagisme est la cause de quelque 15 000 décès par an en Algérie, et 35% des cancers diagnostiqués sont causés par le tabac qui est également la source de maladies cardiovasculaires, respiratoires et infectieuses.
Face à cette calamité, les pouvoirs publics ne restent pas inactifs comme par exemple l’aide au sevrage qu’ils pourvoient au sein des structures sanitaires qui assurent des activités psychopédagogiques.
Ainsi, la loi sur la santé, adoptée le 30 avril dernier par l’Assemblée populaire nationale (APN), prévoit plusieurs mesures d’intensification de la prévention et la lutte contre le tabagisme, dans le but de protéger et préserver la santé de la population, et par là réduire les énormes dépenses de soins qui en découlent.
Il est énoncé que les services de santé, en collaboration avec les secteurs concernés, élaborent et mettent en place les programmes de prévention et de lutte contre le tabagisme.
Sont considérés comme produits du tabac, ceux destinés à être fumés, prisés, chiqués, mâchés ou sucés lorsqu’ils sont, même partiellement, constitués de tabac.

La loi adoptée introduit ainsi de nouvelles dispositions pénales à l’encontre des contrevenants. Toute promotion, parrainage ou publicité en faveur des produits du tabac est interdite stipule un article qui consacre une dizaine de mentions destinées à la prévention et la lutte contre le tabagisme. Quiconque contrevient à cette interdiction est puni d’une amende de 500 000 à
1 000 000 DA, selon les dispositions pénales de ce texte de loi qui sera voté aujourd’hui au Conseil de la nation, en vue de son application.

En matière de prévention et de sensibilisation, le texte prescrit par ailleurs que la commercialisation des produits du tabac est subordonnée à l’apposition, sur la partie la plus visible de l’emballage et en grands caractères, d’un avertissement général portant la mention suivante: «La consommation du tabac est nocive pour la santé». Pour les paquets de cigarettes, en plus de la mise en garde générale, un avertissement spécifique, des dessins ou des pictogrammes émanant de l’autorité sanitaire, doivent figurer sur l’autre grande face du paquet. En plus des recommandations sanitaires prévues, toutes les formes de conditionnement et d’étiquetage des produits du tabac doivent porter des «indications sur les principaux constituants toxiques et leurs émissions». Les fabricants et importateurs de produits du tabac sont tenus de communiquer toutes les informations relatives à la composition et aux émissions des produits du tabac aux autorités compétentes qui doivent opérer les vérifications nécessaires conformément aux critères et normes établis. Tout contrevenant aux dispositions des différents articles inhérents à la consommation de tabac, est puni d’un emprisonnement de six mois à une année accompagné d’une amende de 500 000 à 1 000 000 DA. En cas de récidive, l’amende est portée au double.

L’article cité mentionne qu’il est «interdit de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif ou accueillant du public», les modalités d’application de cet article seront fixées par voie réglementaire. De plus, la vente de tabac ou produits du tabac aux mineurs est interdite.
Le contrevenant aux dispositions de l’article 58 s’expose à une amende de 2 000 à 5 000 DA, alors que pour l’article 59 il est passible d’une amende de 200 000 DA à 400 000 DA et en cas de récidive, l’amende est portée au double.

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Aéroport international Ahmed Ben Bella d’Oran: Une passerelle pour relier le parking à étages à la nouvelle aérogare

Thu, 05/31/2018 - 13:05

Lancés fin 2012, les travaux de réalisation de la nouvelle aérogare de l’aéroport international Ahmed Ben Bella d’Oran, confiés à l’entreprise «COSIDER Constructions» avancent à un rythme appréciable avec un taux d’avancement des travaux de 73%.

Ce projet qui sera achevé avant la fin de l’année en cours, verra la réalisation d’une nouvelle passerelle qui reliera le parking à étages à la nouvelle aérogare internationale sur d’une distance de 300 mètres dotée de toutes les commodités, comme l’ascenseur et l’escalator. Cette passerelle qui sera toute vitrée sera à la charge de l’Etablissement de gestion des services aéroportuaires l’EGSA / Oran , a-t-on appris de la cellule de communication de cet établissement. Notre source ajoute qu’en plus de la réalisation d’un auvent qui reliera la nouvelle aérogare à l’actuelle aérogare internationale, des aménagements des espaces verts extérieurs sont prévu au niveau du parking, des routes d’accès… etc. Oran qui abritera, en 2021, la 19e édition des Jeux méditerranéens, s’offre ainsi un aéroport aux standards internationaux. Un aéroport d’une superficie totale de 43. 600 m² et d’une superficie au sol de 15.000 m² et d’une capacité d’accueil de 3.500.000 passagers/an extensible à 6 millions de passagers/an.

Pour rappel, le wali a visité la semaine passée le projet. En plus des rencontres hebdomadaires pour évaluer l’état d’avancement des travaux en cours, le wali d’Oran, Mouloud Cherifi, a indiqué, lors de sa visite d’inspection sur le site, qu’une réunion de travail sera tenue le mois de juin prochain avec l’ensemble des opérateurs concernés et les directeurs de l’exécutif de wilaya pour établir un état des lieux, selon la cellule de communication de la wilaya.

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Port d’Alger: Des vendeurs ambulants dénoncent la «hogra»

Thu, 05/31/2018 - 12:56

Par M. Aziza.

Une trentaine de vendeurs ambulants ayant bénéficié sur la base d’arrêtés et cahiers des charges d’étals de vente de produits de la pêche au port d’Alger à l’ère de l’ex ministre Sid Ahmed Ferroukhi, ont été invités par les autorités locales de «rentrez chez eux et de ne plus occuper les lieux».

Ces habitués du port d’Alger et ces vendeurs connus depuis des années à la poissonnerie d’Alger ont rejoint hier la salle de conférence de l’Union générale des Commerçants et Artisans algériens à Alger pour exprimer leur colère et leur indignation, en dénonçant la Hogra dont ils disent être victimes.

Hocine Bellout, président du Comité national des marins pêcheurs, a défendu énergiquement ces vendeurs qui malgré toutes les entraves tentent de gagner leur pain et nourrir leur famille dignement.

Alors qu’ils attendaient la fin des travaux au sein de la poissonnerie d’Alger mise en service en 1939 et réhabilitée en 2014, en bénéficiant d’étals à l’intérieur, ces vendeurs ambulants ont été surpris par le fait que la poissonnerie est scellée par cadenas avant l’arrivée d’un jeune qui a bénéficiée des trente étals qui appartenaient en fait à ces vendeurs sur la base d’arrêtés ou décisions de l’ex-ministre de l’agriculture. Pis, précisent ces pères de famille, «on est quotidiennement harcelés par les services de sécurité qui nous empêchent d’étaler nos produits en dehors de la poissonnerie et saisissent nos marchandises». « C’est simple, nous n’avons ni le droit d’exposer ou de vendre nos produits dans la poissonnerie où se trouvent nos propres étals, plutôt les étals promis, qui ont été octroyés à un jeune de 35 ans arrivant de Mostaganem, ni même le droit de vendre nos produits à l’extérieur». Les protestataires affirment qu’ils n’ont rien contre ce commerçant, mais ils se disent en colère contre l’attitude des autorités locales qui «ont sacrifié 30 anciens vendeurs de poisson d’Alger pour faire plaisir à un seul commerçant».

Un des vendeurs précise qu’«on a sollicité depuis déjà trois ans les autorités locales pour réaménager les trottoirs pour un accès facile à la poissonnerie, en vain. Mais depuis l’arrivée de ce commerçant les toitures ont été réhabilitées en trois mois».

A bout de nerf, un vendeur qui avait commencé ce travail depuis l’âge de six ans pour soutenir sa famille, a dénoncé le fait que les autorités locales lui ont permis plusieurs restaurants près de la poissonnerie. «Il avait même bénéficié des sanitaires réservés depuis le temps aux mandataires du port d’Alger».

Ces vendeurs qui ont eu déjà des arrêtés d’installation de leurs étals se disent déterminés à défendre leur gagne-pain «malgré la pression de la police qui s’est accentuée en ce mois sacré, et depuis l’arrivée de jeune commerçant. Nous allons continuer à étaler nos produits en attendant une solution de la part des pouvoirs publics». «Ils ont bien donné à ce petit jeune nos 30 étals, qu’ils nous trouvent alors une solution !»

Le président du comité des pêcheurs a lancé un appel au nom des vendeurs au président de la République et au Premier ministre pour trouver une solution à ces pères de familles. Il a également demandé l’intervention urgente du ministre de l’Agriculture et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi.

Jeter des poissons pêchés à la mer est «crime économique»

Le président du comité national des marins-pêcheurs, Hocine Bellout a dénoncé pour sa part les vidéos montrant des pêcheurs jeter à la mer des kilos de poisson bleu et d’autres jetés dans la nature, dans la wilaya de Mostaganem. Des vidéos qui ont été partagées et dénoncées par les internautes. Pour Bellout, cet acte n’est pas le premier, «on en est déjà à la troisième vidéo partagée par des facebookeurs montrant des pêcheurs en train de jeter le surplus des sardines en mer, sans que cela ne préoccupe les autorités concernées».

Pour Bellout, le directeur de la pêche doit être sanctionné, voire interpellé par la tutelle, car il s’agit bien d’un crime économique, des actes qui sont punis par la loi algérienne. C’est l’appât du gain, «les pêcheurs jettent le surplus de poisson bleu à la mer pour maintenir les prix élevés. Ça ne les arrange pas de céder le casier de sardines à moins de 10. 000 ou 6.000 Da. Donc ils jettent le poisson pêché en mer. Pourtant, plusieurs mesures existent pour palier au surplus de poisson bleu pêché. Il a rappelé que l’an dernier les pêcheurs ont jeté de la sardine dans le port de Mostaganem au su de tout le monde. Il regrette en affirmant que «ce qui est partagé sur les réseaux sociaux n’est qu’une petite partie du phénomène».

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Maltraitance et agression sexuelle : 6000 enfants victimes de violence

Thu, 05/31/2018 - 11:07

Plus de 81 cas d’enlèvements d’enfants ont été enregistrés à l’échelle nationale en 2017.

La maltraitance des enfants est en hausse. Les services de la police judiciaire ont recensé un peu plus de 6000 cas de mauvais traitement sur des enfants en 2017!
La violence contre les enfants ne cesse de prendre des proportions alarmantes. Le bilan établi, hier, à Alger par la direction de la police judiciaire sur les violences donne des sueurs froides.
En effet, plus de 6 000 enfants ont été victimes de violences durant l’année 2017. Les auteurs de ces mauvais traitements sont surtout des membres de la même famille (80% des cas). «6 000 enfants ont été victimes de violence au niveau national dont la violence physique vient en premier lieu avec près de 3 661 enfants, plus de 1 130 affaires d’abus sexuels et 81 cas d’enlèvements en 2017», regrette le commissaire Boudemala Khaled, du Bureau national de la protection de l’enfance et de la délinquance juvénile à la direction de la police judiciaire, lors d’une conférence consacrée aux efforts de la police dans la prévention et la sensibilisation contre les violences faites aux enfants, sous toutes ses formes.
L’officier supérieur, a fait état d’une «hausse sensible de la délinquance juvénile et des actes de violence à l’encontre des enfants en 2017 dont plus de 5423 enfants ont commis des infractions». S’agissant des cas de disparitions, il fait savoir que 2711 cas ont été enregistrés en 2017 dont 320 victimes ont été délivrées et remises à leurs parents saines et sauves grâce à l’intervention des agents de la Sûreté nationale. On note, que 81 cas d’enlèvements ont été enregistrés durant l’année précédente.
Le commissaire Boudemala a tiré la sonnette d’alarme sur les graves violences commises par des «enfants» en truffant des chiffres incroyables dont «18 enfants ont été auteurs d’homicide volontaire, 17 autres enfants ont tenté de commettre des meurtres», il a précisé, en outre, que ces chiffres effarants, qui ne sont que des statistiques de l’année 2017, dénotent la situation alarmante dans laquelle sont nos enfants et le degré de décomposition de notre société.
Expliquant la nature des délits commis par les petits délinquants, le même officier de la police développe que le vol vient en tête avec 1592 cas, suivi de 1344 cas de coups et violences physiques volontaires, 265 affaires concernant la détérioration des biens publics et 27 cas pour ce qui concerne les violences et insultes envers les parents. Faisant observer que «les services de la Sûreté nationale ont enregistré 5223 cas de délinquants mineurs en 2017 impliqués dans différentes formes de délits, dont 218 filles. En outre, 17 mineurs ont commis des meurtres», ajoute le même responsable qui étale que cette baisse est due aux efforts consentis par la Dgsn lors des campagnes de sensibilisation et de prévention menées à travers le pays. ll a mis en exergue l’importance de l’action de sensibilisation menée par la Dgsn en coordination avec la société civile pour mettre un terme à la délinquance juvénile et à la violence à l’encontre des enfants. Selon un autre officier, renforcer la prévention, l’un des objectifs de la réforme de la protection de l’enfance lancée par la Dgsn.

Par Ilhem TERKI

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Dinamo Zagreb: Al Ahly du Caire veut Soudani

Thu, 05/31/2018 - 11:05

Proche d’un départ du Dinamo Zagreb, Hillal Soudani est annoncé un peu partout ces derniers temps. Après Nottingham Forest et Al-Ahli en Arabie saoudite, c’est désormais le grand Al Ahly d’Egypte qui met le buteur algérien dans son viseur. Selon certains médias locaux, le club le plus titré d’Egypte, qui vient de gagner de nouveau le championnat veut Soudani pour remplacer le Marocain Walid Azrou (22 ans) qui a terminé meilleur buteur avec 18 buts.

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CSC: Bezzaz évincé, budget réduit

Thu, 05/31/2018 - 11:01

Le CS Constantine aurait, sans nul doute, espéré une intersaison plus dégagée que celle qui se profile. Alors que les autres prétendants au titre s’activent sur le marché des transferts, du côté de Constantine on parle plus de joueurs libérés ou qui veulent partir que d’arrivées. Alors que des cadres comme Abdenour Belkheir veulent aller monnayer leur talent ailleurs le club peine a recruter de nouveaux joueurs parce que le propriétaire, l’Entreprise nationale de travaux aux puits (Entp) filiale de la Sonatrach, ne veut pas mettre la main à la poche pour surenchérir sur le marché. Par ailleurs on notera le départ de Yacine Bezzaz (36 ans) par la petite porte. L’ex-international qui aura passé 8 saisons au CSC entrecoupées par des passages en France à l’USMA et au MCO a été poussé vers la sortie alors qu’il lui reste un an de contrat.

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Coupe davis 2018 de tennis: L’Algérie avec cinq athlètes à Nairobi

Thu, 05/31/2018 - 10:48

Cinq tennismen représenteront l’Algérie lors de la Coupe Davis 2018 (Groupe 3/Zone Afrique), prévue du 18 au 24 juin prochain à Nairobi (Kenya). Il s’agit de Mohamed Hassan, Youcef Ghezzal, Nazim Makhlouf, Aymen Ikhkef et le jeune Youcef Rihane, qui seront encadrés par Noujim Hakim, le directeur des Equipes nationales (DEN). Pour aider les athlètes sélectionnés à bien préparer cette compétition, la Direction technique nationale (DTN) a programmé un stage bloqué du 1er au 15 juin. Les tennismen algériens seront engagés également dans «deux tournoi Futures en Tunisie» a indiqué la FAT dans un communiqué.

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Brésil: Dernière étape de préparation

Thu, 05/31/2018 - 10:41

Neymar et la Seleçao ont participé à deux séances de travail sur le terrain d’entraînement de Tottenham, en prévision de leur match amical face à la Croatie, dimanche à Liverpool. Avant d’affronter le Croatie dimanche en amical à Liverpool, la Seleçao a effectué mardi dernier deux séances de travail sur le terrain d’entraînement de Tottenham, dans le grand Londres. Outre Neymar, très souriant, Philippe Coutinho, Gabriel Jesus, Thiago Silva et Marquinhos ont participé à ces entraînements qui ont duré un peu plus d’une heure. Dans la matinée, les joueurs brésiliens ont effectué un travail d’étirement et de course alors que la séance de l’après-midi était consacrée à des exercices tactiques, avec une mini opposition sur une partie réduite du terrain. En fin de session, les défenseurs ont eu droit à un travail spécifique pour coordonner leurs mouvements.

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ACNOA: La réélection de Palenfo annulée

Thu, 05/31/2018 - 10:32

Tout est à refaire à l’ACNOA (Association des comités nationaux olympiques d’Afrique). L’élection de l’Ivoirien Lassana Palenfo pour un 4è mandat en mai 2017 a été annulée par le TAS (Tribunal arbitral du Sport) qui a rendu son verdict après de longs mois d’attente. «J’ai l’honneur de porter à votre connaissance que l’élection du président de l’ACNOA à Djibouti est annulée et que de nouvelles élections doivent être organisées concernant le pote sus-indiqué, ouverte à tous«, lit-on dans un courrier adressé par l’Algérien Mustapha Berraf, 1er vice-président, chargé de l’intérim de l’institution depuis la mise à l’écart de Palenfo par le Comité d’urgence en novembre 2017. Dans le même temps, les sanctions prononcées par l’ACNOA à l’encontre du Camerounais Kalkaba Malboun, candidat aux élections, mais finalement disqualifié pour violation du code éthique, sont annulées.

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Argentine: Messi atomise Haïti

Thu, 05/31/2018 - 10:26

L’Argentine a facilement dominé Haïti, 4 buts à zéro, mardi à Buenos Aires, grâce aux 62e, 63e et 64e buts de Messi en sélection, en match amical de préparation pour le Mondial, qui débute le 14 juin. En première période, l’équipe haïtienne aurait pu encaisser sept à huit buts, mais le gardien Johny Placide a sorti un grand match devant les canonniers argentins, Di Maria, Higuain et Messi. Le dernier triplé de Messi avait donné in extremis la qualification à l’Argentine, contre le Pérou, lors de la dernière journée des qualifications pour le Mondial. Aguëro, entré à la place de Higuain, mettait le 4e but de la soirée à la 68e minute. Les 55 000 spectateurs étaient ravis, notamment un grand nombre d’enfants venus avec parents ou grands-parents pour voir Messi et dire au revoir à la sélection à la veille de son départ pour la Russie.

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BeIN et la justice divine

Thu, 05/31/2018 - 10:19

Par Chaabane BENSACI .

Après avoir décrété une guerre sans merci contre les produits provenant des pays du Conseil de coopération du Golfe qui l’ont cloué au pilori en 2017, voici que le Qatar lance une autre offensive, dans le domaine particulièrement «sensible» du…football! Le groupe beIN Media a, en effet, annoncé lundi qu’il demande à la FIFA, à quelques encablures du Mondial-2018, «de prendre des mesures juridiques fortes pour mettre fin au ‘piratage » d’Arabsat, opérateur saoudien et supposé rival de la puissante firme qatarie. Compte tenu des tensions exacerbées qui minent les relations entre l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahrein et l’Egypte, d’un côté, et le Qatar, de l’autre, ainsi que du fait de la rupture des relations diplomatiques entre eux depuis bientôt un an, beIN, une chaîne basée à Doha, et qui détient les droits particulièrement onéreux de retransmission de nombreux évènements sportifs, dont la prochaine Coupe du monde en Russie (14 juin-15 juillet), n’a pas trouvé mieux que de mettre à l’index les dirigeants saoudiens. «Nous avons demandé à la FIFA (Fédération internationale de football) d’entreprendre une action légale directe contre Arabsat et les indications dont nous disposons montrent qu’elle (la FIFA) soutient cela», a déclaré Sophie Jordan, directrice juridique de beIN Media. «Nous avons demandé à la Fifa d’exercer une pression directe sur les pirates», via la justice, des discussions sont en cours et la FIFA est «très favorable à ce que nous faisons», a-t-elle encore insisté, ajoutant que cette atteinte menace l’ensemble des détenteurs de droits.

Dans son communiqué, la FIFA a affirmé «prendre les violations de sa propriété intellectuelle très au sérieux» et «combattre» ces infractions, y compris «le streaming illégal et les retransmissions sans autorisation». L’instance suprême du football mondial «travaille avec différents partenaires pour minimiser» leur impact aussi bien au Moyen-Orient et en Afrique du Nord que partout ailleurs, dans le monde…
On croît rêver. Avant la brouille ou plutôt la rupture fracassante de 2017, beIN qui détient des droits de retransmission exclusifs à travers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord des grands évènements sportifs ne voyait aucun inconvénient à ce que «le grand frère saoudien» bénéficie indûment de ses retransmissions. Mais voilà, les temps changent et les rapports entre frères ennemis aussi! En Arabie saoudite, clame le groupe qatari, des policiers font la chasse aux décodeurs beIN dans les hôtels et les restaurants, notamment. De surcroît, un réseau pirate, agissant sous l’appellation de «beoutQ» – une manière de détourner le sigle en ridiculisant la marque – se sert du satellite Arabsat pour retransmettre illégalement les programmes du groupe qatari. A en croire celui-ci, il s’agit d’ «un précédent dangereux».

Bon prince, le groupe qatari a tout de même tenu à préciser que le phénomène n’a commencé qu’en…octobre 2017, mais avec une ampleur inquiétante, depuis, tant au Moyen-Orient qu’en Afrique du Nord, affectant considérablement ses ressources propres et celles des détenteurs de droits. Les retransmissions de «beoutQ» seraient en train de faire tache d’huile jusqu’en Asie et elles ne se limitent plus, assure le groupe, aux seules compétitions sportives puisqu’elles concernent aussi les films et les séries TV. Autant dire, en termes crus, qu’il s’agit d’une opération de piratage «lourdement financée» et un autre responsable de beIN, Tom Keaveny, ne se gêne nullement pour le dire. Là où le bât blesse, conclut le groupe, c’est qu’aucune action en justice ne peut être estée en Arabie saoudite. Il n’y a plus, dès lors, qu’à s’en remettre à la justice divine!

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Benmessaoud affirme que Djelfa est un pôle touristique d’excellence

Thu, 05/31/2018 - 02:17

DJELFA – Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a affirmé, mardi à Djelfa, que la wilaya est un « pôle touristique d’excellence » et à sa place sur la carte touristique nationale.

« La wilaya de Djelfa a sa place sur la carte touristique nationale », a indiqué le ministre en marge d’une visite de travail dans la région, soulignant son intégration au titre du Plan national de développement du tourisme en tant que pôle régional englobant nombre de wilayas, et ce au vu de son potentiel naturel (entre paysages enchanteurs et forêts), et la disponibilité en son sein de zones thermales, outre sa richesse cultuelle, a ajouté M. Benmessaoud.

Le ministre, qui avait visité nombre de projets d’investissement dédiés au tourisme thermal, s’est notamment rendu à la source thermale de la commune de Charef, à 50 km à l’Ouest de Djelfa, où il a signalé l’existence, dans la région, de « trois sites thermaux » qui doivent être impérativement exploités pour « encourager cette forme de tourisme », a-t-il souligné.

Ceci d’autant plus que la wilaya s’apprête, a-t-il dit à ce propos, à réceptionner deux projets dans ce domaine « dans les prochains mois », ajoutés à un nombre de contrats de concession accordés pour cette forme de tourisme.

Toujours dans la commune de Charef, M. Benmessaoud a visité une exposition artisanale abritée par une tente traditionnelle, où lui a été présenté un exposé sur les Plans d’aménagement touristique des zones d’expansion touristique de Hammam Charef , de la source El Mesrane de Hassi Bahbah et la forêt Sin Elba.

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat a entamé sa visite par l’inspection du chantier d’un hôtel 4 étoiles en réalisation, au chef lieu de wilaya, un investissement privé dont il est attendu le renforcement, en lits supplémentaires, des capacités d’accueil de la wilaya.

Un autre investissement privé, représenté par un projet de réalisation d’un espace récréatif, à la forêt Sin Elba (à 5 km au l’Ouest de Djelfa), a fait l’objet également d’une visite du ministre. Sur place M. Benmessaoud a salué ce genre d’initiatives « que l’on se doit d’exploiter pour faire de la forêt un espace de villégiature pour les familles et pour les amoureux de la nature ». Sachant que cette forêt fait partie du barrage vert datant d’une quarantaine d’années.

Auparavant, le ministre s’était rendu à la Zaouia « Si Mohamed Rebih » de Medjbara (30 km au sud de Djelfa). En prenant part à une Halaqua pour la récitation du Coran, en compagnie du Cheikh de la Zaouia et de ses élèves, il a loué le rôle de ce type de structures dans l’enseignement du Coran.

Dans une déclaration à la presse, en marge de sa visite à Djelfa, M. Benmessaoud a annoncé la réception attendue, en perspective de la saison estivale 2018, de 60 hôtels d’une capacité d’accueil de 5000 lits.

Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat a clos sa visite dans la wilaya par l’inspection d’un chantier de réalisation d’un village de vacances à Hammam Charef, avant d’inspecter la station thermale de la même ville, exploitée par un privé, puis la distribution de contrats de concession au profit de promoteurs de projets touristiques, agrées par son ministère.

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Conseil de la Nation: adoption du projet de loi relatif à la santé

Thu, 05/31/2018 - 02:14
ALGER- Les membres du conseil de la Nation ont adopté mercredi, à la majorité, le projet de loi relatif à la santé, lors d’une séance plénière, présidée par M. Abdelkader Bensalah, président du conseil, en présence du ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme  hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui.

Le ministre a estimé, à l’issue du vote, que l’adoption du projet de loi constituait une « amorce réelle du processus de réforme du système sanitaire qui nécessite la mobilisation de toutes les capacités actives et créatives pour la formulation des textes réglementaires », précisant qu’une période transitoire de deux ans a été fixée, avant l’introduction du système sanitaire dans un nouveau cadre règlementaire ».

« L’avenir du système national de santé passe par l’actualisation du support législatif pour consacrer le rôle social de l’Etat et concrétiser ses engagements dans un nouveau cadre qui prenne en considération les mutations socio-économiques en Algérie », a-t-il expliqué.

La loi vise à garantir une « protection sanitaire globale pour tous les citoyens et dans toutes les circonstances », a précisé le ministre, ajoutant que « cette protection repose sur le secteur public qui constitue l’épine  dorsale du système national de santé, au côté d’un secteur privé complémentaire oeuvrant dans un cadre cohérent et organisé ».

Outre la consécration de la gratuité des soins comme « principe irréversible », M. Hasbellaoui a  souligné que les premiers objectifs du projet consistaient en la « réduction des disparités entre les régions dans l’accès aux prestations sanitaires, la définition du parcours du malade et la facilitation de l’accès aux soins dans un cadre pyramidal organisé ».

Outre l’accélération de la promulgation des textes réglementaires cités dans le projet de loi, la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la solidarité nationale au conseil de la Nation a recommandé également le développement des services de premiers soins dans les hôpitaux  publics.

Elle a salué, dans ce sens, « l’importance du développement de la médecine préventive, eu égard à son importance en matière de maîtrise de la prolifération des maladies, ainsi que le soutien de la production nationale des médicaments et l’encouragement de la recherche dans ce domaine ».

Les membres de la commission ont recommandé entre autres la promotion de la formation dans les corps des paramédicaux pour combler le déficit enregistré.

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ORAN : Le Jardin méditerranéen, l’incontournable attraction locale

Thu, 05/31/2018 - 02:12

En ces soirées de Ramadhan, le Jardin méditerranéen ne désemplit pas. Dès la rupture du jeûne, des centaines de personnes affluent vers cet immense espace vert qui surplombe la baie d’Oran, près de Akid-Lotfi, pour profiter aussi bien de la beauté du site que des moyens de divertissement aménagés à l’occasion du mois sacré. “C’est très beau, mais surtout très convivial”, juge une femme d’un âge avancé, en appréciant la présence de nombreuses familles sous l’œil vigilant d’un important dispositif policier. Depuis 2006, année de son inauguration officielle, le Jardin méditerranéen — qui s’étire, sur la frange maritime Est, depuis la résidence El-Bahia jusqu’au rond-point Akid-Lotfi sur une étendue de cinq hectares — constitue l’une des principales attractions de la wilaya d’Oran, particulièrement pendant le mois de Ramadhan et la saison estivale.
Presqu’entièrement recouvert de gazon, de platanes et de palmiers, il est traversé par des pistes cyclables, destinées aussi bien aux flâneurs qu’aux enfants à bicyclette ou en rollers. En son milieu, un lac artificiel, peuplé de dizaines de crapauds, est enjambé par une passerelle en bois sur laquelle des jeunes se prennent souvent en photo grâce à leurs cellulaires… En ce mois de carême, de nouvelles attractions ont été installées pour les visiteurs. Alors que les bandes vertes, éclairées par des dizaines de lampadaires, sont occupées par des familles, pour beaucoup venues du quartier voisin avec leurs propres tables basses et chaises, les promeneurs peuvent prendre connaissance des produits artisanaux présentés dans des stands tenus par des façonniers venus de plusieurs wilayas du pays (robes, bijoux, produits de poterie, osier et autres articles en cuir…).  Les enfants et adolescents, eux, peuvent s’essayer au patinage sur glace avec l’aide d’un moniteur et sous la surveillance d’agents de sécurité. “Dommage que les adolescents ne fassent pas très attention, ils n’arrivent pas à maîtriser leurs élans et heurtent souvent les enfants”, se plaint une mère dont l’enfant a été gentiment percuté par un ado. À quelques mètres, un château gonflable aux couleurs chatoyantes est dressé pour les plus petits, dont les parents peuvent prendre un thé ou une boisson fraîche à l’un des kiosques ouverts à côté : “C’est un endroit très agréable aussi bien pour un café en famille que pour marcher ou profiter de la vue sur la mer”, reconnaît un quinquagénaire. Avec le Jardin méditerranéen, les autorités d’Oran ont réussi à offrir aux habitants un espace d’une rare beauté que des milliers de visiteurs apprécient tous les jours de l’année.

S. Ould Ali

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7e édition du concours “Rabah Aïssat” – Tizi Ouzou : 102 villages engagés dans la course à la propreté

Thu, 05/31/2018 - 02:08

Les dix premiers villages de l’édition 2018 seront connus le 11 octobre prochain, à l’issue des délibérations du jury.

Décidément, le traditionnel concours du village le plus propre de la wilaya de Tizi Ouzou, organisé chaque année par l’APW à la mémoire du regretté Rabah Aïssat, ex-P/APW, suscite un engouement chez les villageois. Pour preuve, 102 villages ont confirmé officiellement leur participation à la 7e édition prévue pour le compte de la présente année 2018, encore que “ce chiffre pourrait encore évoluer du fait que certains villages retardataires viennent de déposer leurs dossiers de candidature”, nous a déclaré, avant-hier à la mi-journée, Youcef Sidali, président de la commission “Santé, hygiène et environnement” auprès de l’APW. Il est à signaler que, cette année, les organisateurs ont encouragé davantage l’adhésion des villages et ce en récompensant dix villages au lieu de huit, comme lors des années précédentes, et ce, pour inciter les villageois à accorder plus d’importance à la préservation de l’environnement et à l’amélioration du cadre de vie en zone rurale. Partant de là, le montant global des récompenses s’élève désormais à 44 millions de DA, alors que pour l’édition précédente il était de 33 millions de DA. Ceci dit, le premier village du concours percevra la somme considérable de 9 millions de DA, le second aura 7 millions de DA, le troisième 6 millions de DA, puis 5 millions de DA pour le 4e, 4 millions de DA pour la 5e place, 3 millions de DA pour les 6e, 7e et 8e places, alors que les 9e et 10e places donneront lieu à des récompenses de 2 millions de DA. Par ailleurs, il faut savoir que le barème de notation portera sur plusieurs volets, en l’occurrence la propreté des voies publiques (25 points), la gestion des déchets ménagers (25 points), l’entretien des places publiques (20 points), des fontaines, des abreuvoirs et des sources d’eau (10 points), des lieux de culture et des monuments (10 points), des cimetières (7 points) et enfin la consistance du règlement spécial de protection de l’environnement (3 points). Il est à souligner que pour le compte de la 6e édition disputée en 2017, le nombre de participants a atteint 78 villages. La première place est revenue au village de Tiferdoud (commune d’Abi Youcef), suivi respectivement de Talbant (Bouzeguène), Ibekaren (Bouzeguène), Laghrous (Mekla), Houra (Bouzeguène) et enfin Izaouiène et Tighilt-Mahmoud (commune de Souk El-Tenine). Pour rappel, l’initiative de récompenser le village le plus propre de la wilaya a été prise en 2006 par le regretté Rabah Aïssat, ex-P/APW de Tizi Ouzou, avant d’être lâchement assassiné par un groupe terroriste le 12 octobre de la même année à Aïn Zaouia, dans sa commune natale (daïra de Draâ El-Mizan, 40 km au sud de Tizi Ouzou). Enfin, il faut savoir que les dix premiers villages de l’édition 2018 seront connus le 11 octobre prochain à l’issue des délibérations du jury.

O. Ghilès

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SÉTIF – Cité AÏN ROMANE : Sans eau depuis plus de dix jours

Thu, 05/31/2018 - 02:00

La souffrance des habitants de la cité Aïn Romane relevant de la commune d’Ouled Saber située à une dizaine de kilomètres à l’est du chef-lieu de wilaya continue. En effet, le sempiternel problème d’approvisionnement en eau potable envenime la vie des habitants de ladite cité. “Depuis le début du mois sacré, nous n’avons vu couler l’eau de nos robinets qu’une seule fois et les responsables font la sourde oreille”, nous dira Kamel, un habitant de la cité. Et de renchérir : “Chaque semaine, pour remplir une citerne de 500 litres, nous achetons l’eau à 1 200 DA. Nous ne sommes pas des commerçants. Il y a même des voisins qui n’ont aucun revenu.” Il est à noter que les responsables de la wilaya avaient promis dernièrement que le problème d’approvisionnement en eau sera résolu avant le mois sacré. En vain.

F. SENOUSSAOUI

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La salle Mohamed Zinet fermée pour un mois par le ministère de la culture : Cinuvers et Pamela Anderson…

Thu, 05/31/2018 - 01:56

L’information est tombée tel un couperet. Le ministère de la Culture a décidé de fermer la salle Mohamed Zinet pour un mois pour des motifs de diffusion de films piratés par cette salle. Le ministère de la Culture invoque plusieurs infractions dont celle de la diffusion d’un film qui aurait été jugé inapproprié pour le mois de Ramadhan. Cela fait suite à la parution d’un article sur un journal arabophone qui traite la comédienne Pamela Anderson qui joue dans le film comique Borat d’«actrice pornographique».
Un film qui, note-t-on, a été diffusé il y a deux semaines dans le cadre du ciné-club de Cinuvers. Aussi, la suspension de ce ciné-club pour des motifs qui relèvent de la morale aurait ainsi joué en défaveur de la salle Mohamed Zinet.
Le ministère de la Culture aurait ainsi trouvé la faille pour faire arrêter durant un mois le travail d’ une équipe de jeunes cinéphiles chevronnés dont le seul tort a été de vouloir distraire des centaines d’autres jeunes comme eux durant ce mois, sacralisé par certains jusqu’à la mythification crasse. S’il existe un vide juridique en tout cas concernant le travail des ciné-clubs croit-on savoir, la salle Mohamed Zinet pourtant considérée comme privée, tombe sous le couperet de la loi qui imposerait à ce qu’une commission de visionnage regarde d’abord les films avant leur diffusion sur grand écran. La question posée est: de quels films s’agit-il? Et pourquoi cette décision de fermer la salle, même temporairement, arrive le même jour de la sortie de cet article? Ce jugement de valeur sur un film a-t-il joué le rôle d’écran de fumée pour stopper une salle de cinéma devant faire son travail?
N’est-ce pas là une manoeuvre malhonnête qui sert d’excuse et de prétexte pour piéger une fois pour toutes une salle de cinéma dont le seul tort là aussi est de diffuser des films et d’abriter depuis des années des ciné-clubs dont de grands réalisateurs algériens en sont issus. On citera les noms de Karim Moussaoui, Sofia Djama, Hassan Ferhani pour ne citer que ceux-là dont les noms brillent aujourd’hui dans les grands festivals de cinéma au monde et pourtant, formés au biberon du ciné-club de Chrysalide qui, lui-même, n’avait jamais eu à se soucier de se prémunir d’un visa d’exploitation pour diffuser les grands chefs-d’oeuvre du cinéma universel et même algérien… Alors quelle mouche a-t-elle piquée aujourd’hui Azzedine Mihoubi? Vise-t-il par cet acte le réalisateur Yanis Koussim dont le producteur algérien actuel de son film Alger by night n’est autre que Sofiane Khodja, le directeur même de la salle Mohamed Zinet?
On a le droit de se poser la question… On ose espérer que non! Info capitale à retenir: Borat est en vente libre en Algérie, avec le timbre de l’Onda. Alors de qui se moque-t-on? Cinuvers aura-t-il joué finalement un simple rôle d’appât pour attraper l’hameçon? Tous les scénarios sont possibles…

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Passer le ramadhan à la cité universitaire : Les étudiantes à rude épreuve

Thu, 05/31/2018 - 01:54

Ces étudiantes, venues des quatre coins du pays, se débrouillent tant bien que mal pour passer les journées du Ramadhan, et cela n’est aucunement une mince affaire. Qui plus est, au moment où l’année tire vers sa fin, et que par conséquent, les examens tombent quasiment en même temps.

Le mois sacré du Ramadhan a un charme bien particulier quand celui-ci est vécu dans le foyer familial. C’est certain, rien ne vaut ces moments que l’on passe en famille, autour d’une table garnie, entouré des siens dans une ambiance des plus conviviales. Cependant, c’est dans un cadre beaucoup moins chaleureux que nombre de personnes passent cette période un peu «spéciale», en raison de telle ou de telle circonstance. Le travail ou encore les études sont autant de facteurs qui contraignent certains à être loin de chez eux durant ce mois. Ce sentiment, les étudiantes résidant dans des cités universitaires le connaissent très bien. Nous avons choisi de nous rendre à la résidence universitaire de jeunes filles de Ben Aknoun (Alger) pour avoir un petit aperçu sur la façon dont ces étudiantes, venues des quatre coins du pays, se débrouillent tant bien que mal pour passer les journées de Ramadhan, et cela n’est aucunement une mince affaire. Qui plus est, au moment où l’année tire vers sa fin, et que par conséquent, les examens tombent quasiment en même temps.
Nous sommes à la première semaine du Ramadhan, en cet après-midi ensoleillé, à l’entrée de la résidence universitaire. Nous jetons furtivement un premier coup d’oeil aux alentours. Rien d’inhabituel ne nous saute aux yeux, mis à part le fait que les va-et-vient des filles ou du personnel travaillant dans l’enceinte de l’établissement se font particulièrement plus rares qu’à l’accoutumée.

Le Ramadhan à la cité universitaire…ce n’est pas la mer à boire!
En empruntant l’allée principale, nous pénétrons à l’intérieur du campus. Pas âme qui vive, à l’exception de quelques agents de sécurité ou administrateurs vaquant à leurs occupations. Ce n’est qu’après avoir parcouru quelques mètres qu’on aperçoit enfin quelques filles languissant près du bloc où se trouvent leurs chambres. En s’approchant du groupe, on questionne Linda afin d’avoir ses sentiments à ce moment précis.
L’étudiante de première année en langue allemande, nous raconte d’une manière blasée, le «petit calvaire» qu’elle vit ces derniers jours. «Ce n’est pas du tout évident de passer le Ramadhan dans une cité universitaire» «le temps semble tellement lourd et l’ennui se fait plus pesant à chaque jour qui passe», nous dit-elle en montrant avec de grands gestes le paysage qui l’entoure. Mais alors comment vit-elle le chamboulement occasionné par l’entrée du mois sacré parallèlement avec les examens? «Avec le dérèglement du rythme du sommeil, dur, dur de se concentrer sur ses examens», répond-elle. Elle renchérit en parlant des conditions bien incongrues qu’elle vit ces jours-ci: «Le plus difficile dans tout ça, c’est que, vu la piètre qualité des repas qu’on nous sert, on est parfois obligés de faire la cuisine nous-même dans nos chambres.» D’un air interloqué, elle se dit dépassée par les événements, à ne plus savoir que faire «cuisiner ou bucher ses cours!».
Un peu plus loin dans le jardin, une autre résidente, Zineb, fait les quatre cents pas. A la voir tourner en rond sans destination ni but apparents, sous un soleil de plomb, on comprend très vite que cette dernière, est elle aussi rongée par l’ennui. «Cette monotonie me rend folle, je n’en peux plus», s’empresse-t-elle de rétorquer après que nous eûmes émis cette remarque. «Nous sommes en arrêt de cours et les examens commencent dans deux jours, je ne suis pas à jour dans mes cours, et le fait de jeûner ne me donne guère l’envie de toucher à mes cahiers», ironise-t-elle en esquissant un sourire.
Par ailleurs, sur les traits de son visage se lie une perceptible mélancolie du fait de «l’absence de la chaleur familiale» en cette période particulière; «J’habite à Tlemcen et chez nous, le mois de Ramadhan est sacré, et jusque-là, je l’ai toujours passé chez moi»; elle s’étale en parlant non sans une pointe de «nostalgie» des mets spéciaux, concoctés avec soin par sa maman durant le Ramadhan. «Il faut dire que même si on nous donne à manger ici, cela n’a rien à voir avec les plats spécifiques à notre région et ce, sur tous les plans.»
En revanche, pour d’autres filles rencontrées au même endroit, passer le Ramadhan à la cité universitaire n’est pas si terrible, tel que le laisse entendre certaines. C’est le cas de Ines et ses deux copines. Ces dernières, étendues sur le gazon du jardin, noyées sous un tas de polycops et de registres, potassent leurs cours en préparation des examens. S’offrant quelques minutes de détente bien méritées, elles s’expriment sur leur expérience. Celles-ci nous disent avoir l’habitude de l’éloignement et qu’il suffit simplement de créer sa propre ambiance et la rendre agréable, peu importe l’endroit où nous sommes. «Bon c’est sûr qu’on n’est jamais mieux que parmi les siens, cela dit, entre copines on a su se construire une sorte de deuxième cocon familial», développe gaiement Hanane, tenant son stylo du bout des doigts. Selon elle, tout est une question de pragmatisme. Elle nous raconte ainsi que «pour la cuisine, tout ce qui est viande et salade, on les rapporte du réfectoire», «pour le reste, à savoir le bourak ou autres extras, nous les faisons nous-mêmes avec les moyens du bord à l’intérieur de la chambre».
Après la rupture du jeûne, «on sort prendre une bouffée d’oxygène avant de retourner bosser» poursuit Ines. Pour cette dernière, certes, les conditions ne sont pas toujours aisées dans ce genre de situation, mais elle préfère garder en mémoire pour plus tard, ces épreuves qui forgent de vraies amitiés. «Quand nous nous retrouvons ensemble pour la rupture du jeûne, on oublie très vite toutes les difficultés auxquelles nous sommes confrontées», nous dit-elle.
Pour sa part Manel confie elle aussi que le Ramadhan n’est pas totalement dénué de charme même en vivant dans un environnement peu approprié. Elle enchaîne en regrettant d’un autre côté que la qualité des plats servis dans les restos ne soit pas au rendez-vous, «sinon, pourquoi on se casserait la tête à préparer des plats dans nos chambres si étroites que nous arrivons à peine à tenir toutes dedans».
Pour revenir aux repas servis aux résidentes dans les réfectoires, nous sommes allés ce jour-là, nous enquérir de l’état de ce lieu tant critiqué par la majorité des filles rencontrées sur place.
On remarque que de ce côté-là, le mouvement se fait particulièrement plus dense à mesure que nous nous rapprochons du lieu communément appelé par les filles «resto». C’est ici même que les repas sont préparés et servis aux résidentes. Dans le couloir, les femmes de ménage finissent de passer la serpillère.
A l’intérieur de la cuisine, les cuisiniers s’affairent à la préparation des plats du jour. Au menu d’aujourd’hui, pommes boulangères et poulet rôti au four pour ce qui est du plat de résistance, en plus de la chorba et du «lhem lahlou». «Le menu est presque le même que celui du reste de l’année, sauf que pour ce mois on redouble d’efforts évidemment», nous a assuré la responsable de la restauration. En se promenant dans cette pièce spacieuse, on découvre des ustensiles de cuisine aussi imposants les uns que les autres posés de part et d’autre. Faisant office de «guide», la dame nous montre les plats réalisés ce jour-là, depuis la matinée. «Il est 14 h, et tout est pratiquement prêt à être servi», prend-elle le temps de nous expliquer. «Les filles commenceront à arriver dès 16 h pour se faire servir les plats du jour, et l’opération se poursuivra jusqu’à 18 h.» Elle poursuit en indiquant que le même procédé sera appliqué dans la soirée, pour le «shor» à partir de 23h. Pour elle, il est important de faire en sorte que les filles se sentent plus ou moins comme à la maison, bien qu’elle admette que «les repas préparés dans ce réfectoire n’égaleront jamais ceux de la maison». «Cela dit, c’est mieux que rien», conclut-elle en haussant les épaules.

Qu’en est-il des soirées ramadhanesques?
«Bof, c’est mort par ici, on ne nous laisse pas sortir dehors après 20 h, du coup, bah on s’occupe comme on peut», soutient sans grand enthousiasme l’une des étudiantes, en parlant de ces soirées. «Cela dit, une bonne tasse de thé et une quaâda entre filles font très bien l’affaire», soutient sa compère avec un engouement plus prononcé.
Le personnel travaillant dans la résidence universitaire de Ben Aknoun, nous explique en effet, qu’étant à la fin de l’année, et compte tenu du fait que la majorité des résidentes sont médecins et qu’elles sont toujours en grève, il n’y a pas grand-monde dans le campus. Idem pour le foyer, principalement le coin de prédilection pour les étudiantes, où l’affluence a connu une diminution importante.

Par Massiva ZEHRAOUI

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Annaba: Nouvelle station de la connexion sous-marine d’internet

Thu, 05/31/2018 - 00:12

La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, Mme Houda Imane Faraoun, accompagnée du wali d’Annaba Mohamed Selmani,ainsi les autorités locales, ont procédé ce mardi à Annaba à la pose de la première pierre pour la réalisation de la deuxième station du câble marin dans le cadre du nouveau projet MEDEX.

En marge d’une visite de travail et d’inspection effectuée dans la wilaya d’Annaba, la ministre a affirmé que le câble installé au centre maritime de Sidi Salem sera opérationnel à la fin du troisième trimestre 2018.

«Afin de suivre l’évolution accélérée des transactions et la demande grandissante sur le haut débit, il faut des investissements stratégiques pour consolider le réseau national haut-débit d’internet »,a-t-elle ajouté.

Mme Feraoun a notamment fait savoir que les projets de pose de deux câbles sous-marins supplémentaires à Annaba et Oran pour les ajouter au premier câble international SMW4 à Sidi Salem permettra à l’Algérie d’augmenter le volume de débit, de promouvoir les performances en matière des technologies et du numérique ainsi que d’obtenir une place de choix sur le marché africain du numérique et des technologies de l’information et de la communication.

Amel Ramdani / version française: Rachel Hamdi

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