Algérie 360

Le rythme s’accélère dans l’usine de Sovac Production de Relizane. Les modèles se suivent et ne se ressemblent pas. Après la VW Golf R-Line, la nouvelle VW Polo, la Seat Arona, c’est au tour de la Seat Leon de rejoindre la procession bigarrée des véhicules du groupe allemand qui iront enrichir l’offre proposée au client algérien.
L’annonce de cette nouvelle arrivée dans le Club Sovac  vient d’être faite en début de cette semaine avec une ouverture immédiate des commandes.
Seat Leon retrouve les structures de vente du représentant de la marque avec sa finition la plus recherchée, à savoir la FR. C’est aussi avec son design rafraîchi et sa dotation de nouvelle génération qu’elle ambitionne de reconquérir des parts de marché perdues depuis la réorganisation du marché de l’automobile en Algérie.
L’argumentaire imparable de Leon c’est qu’elle partage la même plate-forme que la Golf 7 et aussi une longue liste d’équipements tant de confort que de sécurité. Au niveau du design, on retrouve la ligne générale déjà déclinée par le passé avec une sensible évolution qui lui procure modernisme et distinction. Elle se pare des nouveaux attributs d’élégance du groupe, comme les phares Full LED et leur éclairage si particulier et qui ne laisse guère indifférent. D’autant que dans sa conception, il a su allier esthétisme, prouesse technologique et sécurité. D’autres signes extérieurs viennent compléter le pack Fr, à l’image des jantes en alliage 18 pouces, le spolier arrière, l’entourage des vitres en chrome ainsi que deux sorties d’échappement chromées et le toit ouvrant panoramique.
Dans l’habitacle, la part belle est réservée au confort et au bien-être du conducteur et de ses passagers, volumes généreux, sellerie de qualité, des sièges sport à l’avant, un nouveau tableau de bord, une console centrale orientée conducteur avec éclairage en LED et un aménagement ergonomique de toutes les commandes donnant accès à un large choix de fonctionnalités.
Côté équipements, la palette est tout aussi large et variée, démarrage sans clé, climatisation automatique, système multimédia avec écran couleur 8 pouces, régulateur de vitesse, détecteur de fatigue, aide au stationnement avant et arrière avec caméra de recul, ABS, ESC, verrouillage centralisé, contrôle de la pression des pneus, etc.
Sous le capot, Leon FR est animée par un bloc diesel, le 2.0 TDI développant une puissance de 140 Ch, associé à une boîte de vitesses manuelle de 6 rapports.
La Seat Leon FR assemblée en Algérie par Sovac Production est proposée au prix de 3 549 000 DA.
B. B.

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Le candidat malheureux du principal parti d’opposition turc à la présidentielle du 24 juin, Muharrem Ince, a annoncé hier qu’il souhaitait prendre la tête du parti en délogeant l’actuel chef de la formation, Kemal Kiliçdaroglu.
«J’ai proposé (à M. Kiliçdaroglu) de convoquer un congrès extraordinaire, que je devienne président du parti et lui président d’honneur», a déclaré M. Ince lors d’une intervention télévisée à Ankara, au lendemain d’une rencontre entre les deux hommes. La présidentielle a été confortablement remportée par le président sortant Recep Tayyip Erdogan mais M. Ince a réussi à remporter 30,6% des voix, loin devant les autres candidats de l’opposition. En ce qui concerne les législatives, le Parti républicain du peuple (CHP, social-démocrate), emmené par M. Kiliçdaroglu, n’a remporté que 22,6% des voix. M. Kiliçdaroglu «pourra poursuivre les travaux en tant que président de groupe au parlement, et moi je préparerai le parti aux (futures) élections, en travaillant d’Edirne (nord-ouest) à Ardahan (nord-est)», a ajouté M. Ince. «S’il dit non, le parti règlera lui-même la question», a-t-il poursuivi.  Cet ancien professeur de physique a déjà tenté à deux reprises de prendre la tête du parti, sans succès, mais a tout de même été choisi par M. Kiliçdaroglu pour briguer la présidence face à M. Erdogan. Les tensions entre les deux hommes sont néanmoins palpables, alors que le CHP se prépare pour les élections municipales prévues en mars 2019. M. Ince a, d’ores et déjà, annoncé qu’il allait se rendre dans les 81 provinces de Turquie pour remercier les électeurs qui ont voté pour lui à la présidentielle.

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La gamme Skoda n’est pas en reste dans la politique de diversification des produits que mène Sovac une année après l’inauguration de son usine de Relizane. C’est la berline Octavia qui se voit décliné en de nouvelles finitions, chacune adaptée aux besoins d’une catégorie de clients. Dès le début de ce mois de juillet, l’offre Octavia est désormais plus large avec le lancement des versions Business, Clever et Laurin & Klement.
C’est, en effet, ce qu’on apprend dans un communiqué qui nous a été transmis et qui précise que ces trois nouvelles finitions viennent remplacer en effet les deux déjà existantes et ambitionner ainsi de répondre aux attentes de la clientèle.
Elles sont équipées du bloc moteur des précédentes versions : 2.0 TDI 143 Ch.
La nouvelle gamme Octavia sera composée d’une finition entrée de gamme Business, destinée essentiellement aux entreprises, avec un positionnement prix renouvelé, 3 149 000 DA. Skoda Algérie lance une offre intermédiaire entre les deux modèles d’entrée de gamme et le plus équipé, c’est l’Octavia Clever qui vient souligner la volonté du groupe de rechercher le meilleur positionnement qualité/prix et renforcer son leadership sur le segment des berlines compacts. Octavia Clever est plutôt destinée aux cadres, chefs d’entreprise, enseignants,
médecins et autres au prix de 3 699 000 DA.
Pour les plus exigeants, toujours en quête de plus de confort, de technologie et de prestige, l’édition spéciale Laurin & Klement est la nouvelle offre de Skoda.
Elle est commercialisée pour la première fois en Algérie, en remplacement de la version style et s’accompagne d’une offre d’équipements présentée par Sovac comme étant exceptionnelle et exclusive.
Baptisée «Laurin & Klement» en hommage aux deux fondateurs de la marque tchèque, cette finition haut de gamme incarne le style, l’élégance et la perfection. Elle se distingue particulièrement par sa signature raffinée «Laurin & Klement» et ses jantes en alliage «Turbine anthracite» de 18″. Elle est proposée à un prix de 4 500 000 DA.
LSA

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L’équipementier allemand ZF, spécialiste des boîtes de vitesses, a présenté un système d’hybridation «clés en main» sur base de Duster. Un système d’hybridation qui profitera en particulier aux tractions avant équipées de boîtes robotisées.
Les véhicules équipés de ce type de boîtes de vitesses, moins coûteuses que les automatiques à convertisseur de couple ou les boîtes à double embrayage, ont la fâcheuse tendance à manquer de douceur. Le système hybride développé par ZF, dénommé eAMT et présenté sur un Duster, vient remédier à ce problème. On retrouve, sur l’essieu arrière, un moteur électrique connecté à un capteur branché sur la boîte de vitesses. Quand la boîte robotisée débraye, le moteur électrique comble le «trou» entre les vitesses, rendant la transition beaucoup plus douce.
Le système s’apparente donc à une motorisation plug-in hybride, avec la taille du moteur et des batteries ainsi que leur positionnement laissé à la discrétion des constructeurs. En fonction de la taille du moteur, l’essieu arrière électrique pourra même, comme dans une hybride classique, donner un coup de boost lors des dépassements, ou transformer une traction en 4×4 temporaire lorsque les conditions le demandent.
Le véhicule pourrait également utiliser son seul moteur électrique pour rouler en mode «zéro émission» à l’échappement. Pratique pour les bouchons, ou lors de courts déplacements.

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De toutes les poésies du grand barde et non moins érudit qu’est Si Thami Medaghri (décédé en 1856), celle relative à l’histoire amoureuse d’un esclave noir appelé Gnaoui demeure l’œuvre la plus rocambolesque qui soit, d’autant qu’elle décrit une aventure embrasée entre un asservi et une fille de la haute société, nommée Zahoua. Et dès l’entame de la qacida, qui porte à juste titre le nom de Gnaoui, notre poète qui se met dans la peau de l’épris  va demander à ceux qui l’écoutent d’être compatissants à son égard et de ne pas le condamner avant de connaître son histoire.
«Ô toi qui me blâme, connais-tu mes épreuves ? Mon cœur est étrillé par les joues de celle que j’aime, Mouleiti Zahoua.» Sauf que notre Gnaoui, par un jour des plus accablants, fut désagréablement surpris par le départ non annoncé de sa bien-aimée. Sa famille a, en effet, mis les bouts à la lueur de l’étoile le laissant dans un triste état, le poussant à s’écrier : «Combien affligeant est le jour où elle m’a quitté, elle m’a laissé en pleurs sous ma tente et mon esprit totalement consumé. Il est à plaindre celui délaissé par ses gens après une longue compagnie.»
Après ses gémissements qui déchirent les cœurs même les plus implacables, notre Gnaoui va, dans une douloureuse remémoration, vanter à qui veut l’entendre la joliesse de sa dulcinée.
Ne pouvant résister à sa séparation, il va à sa recherche. Perdu dans le néant imposé par la désunion, il s’aidera des sons des chaînes en or et autres anneaux que portent les femmes pour retrouver leur sillage. «Lewla ma hess enouaqess entih ma’â essahwa», s’ésclamera-t-il.
Pour s’orienter, le Gnaoui va guetter le moindre bruit. Manque de chance, il tomba nez à nez sur une autre famille que celle de sa bien-aimée qui va le réduire en esclavage et lui ordonner, non sans sévérité, de ramoner les cendres, de ramasser les branchages, de ramener l’eau de la source, de paître les brebis, de traire les chamelles et de porter les chérubins dans ses bras lorsqu’ils pleurent. Le voyant à l’œuvre, cette famille sera émerveillée par la qualité de sa besogne. Elle décide du coup de le garder pour elle. Toutefois, sa belle qui a eu vent du retour de Gnaoui demanda à le récupérer. La famille l’ayant retrouvé la première s’opposa et exigea de le concéder aux surenchères et récita ces vers : «Cet esclave nul autre n’égale son labeur, accordons-lui la faveur d’écourter son malheur.»
Refusant que son Gnaoui soit sacrifié, Zahoua ou la fille de la haute société, puisque c’est par ce nom qu’elle était connue, proposa que l’on passe au tirage au sort et départir son avenir par le jeu du hasard comme ce fut le cas pour le prophète Jonas. Ainsi, l’on fit venir des chiromanciennes et autres magiciennes pour tirer les présages. Mais notre Gnaoui, lors des jets des bâtonnets, en fut berné par un tour de magie et cru qu’il était réellement voué à être rattaché à jamais à ses nouveaux maîtres. Il pensa dès lors à conjurer le sort. Dans une naïveté des plus déconcertantes, il s’adonna à un enfumage pour amadouer les esprits. «Djab bkhour enned ouel qmari, djab el djaoui», dira Thami El Medaghri au sujet de Gnaoui. Il fit venir encens, bâtons d’acacias et benjoin qu’il brûla. Les esprits se manifestèrent et l’enjoignirent de sacrifier une bête s’il veut être sauvé de son malheur. Aux fins de parfaire sa conjuration, il fit appel à un adroit devin capable de décrypter les codes enfouis dans les ténèbres et lire sur les omoplates pour ce qu’il en est de son sort. «Eychouf fel ktef kif qalou fih oue n’haou», avertit notre poète. Une autre armada de sorciers, tous aguerris et émérites savants en la matière, coururent à son secours et lui délivrèrent talismans et signes magiques dont les effets furent immédiats.
Du coup, sa bien-aimée apparaît tout en sourire et dégageant un suave parfum qu’il huma de toute sa poitrine. Rien qu’en le respirant, sa souffrance disparut. Gnaoui va enfin recouvrer son espoir, celui d’appartenir à la famille de Zahoua. Elle s’écria à qui voulait l’entendre que «Hadha el ‘âbd enta’â oualdi memlouk hrari», cet esclave est la propriété de son père et que pour cela elle possède des témoins qu’aucun corrupteur ne peut fléchir car ses témoins sont ses cheveux, ses sourcils, ses joues, son front… En somme, tout un corps que la sveltesse ne peut mentir.
Une plaidoirie que le juge accepta sans coup férir et rejeta celui des plaignants, arguant que leurs preuves étaient vides en teneur. «Thebet rsoum el bahia oua sqat rsoum men d’âw», renseigna le poète sur une audience au terme de laquelle justice fut rendue. Dès cet instant, il ne resta à Gnaoui que de savourer sa victoire et vivre le restant de sa vie dans les délices d’une retrouvaille qui, non sans contentement, va lui procurer joie et merveille, celle-là même qui fut joliment agrémentée par les mirifiques sons des luths et autres instruments pareils. Dans sa séance de délectation, Gnaoui prend à témoin toute l’assistance pour leur signifier qu’il est l’heureux esclave de Zahoua, la chandelle de ses yeux. «Ana ghlam ouelfi mesbah thmadi.»
M. Belarbi.

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Le secrétaire général de Nahda réfute toute crise au sein du mouvement dont il dit être le «premier responsable jusqu’à preuve du contraire».
Mohamed Kebci – Alger (Le Soir) – Mohamed Dhouibi défie ses détracteurs parmi lesquels son prédécesseur Fateh Rebaï qui, depuis quelque temps, objectent de le destituer. «Qu’ils convainquent le tiers des membres du Conseil consultatif national et adoptent à la majorité simple la motion de destitution à mon encontre», affirmait, hier, Dhouibi en réaction à la dernière sortie de ses contradicteurs. Procédure «statutaire» à laquelle, d’ailleurs, le secrétaire général a recouru pour convoquer une session extraordinaire de cette instance, le 5 mai dernier. Ce que réfutent Rebaï et 52 de ses compères dont de nombreux membres du Conseil consultatif national, de membres du bureau national et d’anciens députés du mouvement, qui, dans un récent communiqué, ont estimé «illégale» cette session. Et d’accuser dans la foulée, Dhouibi, de «s’entêter à piétiner les statuts et le règlement intérieur du parti» et de «pousser les militants dans un différend dont ils ne sont pas partie prenante». Pour eux, le secrétaire général du mouvement a «agressé » le Conseil consultatif national en se «rebellant», selon eux, contre ses résolutions. La manière ? En faisant réunir cette instance avec des personnes «qui ne sont plus membres»
Pour eux, la convocation d’une session extraordinaire du Conseil consultatif du parti au nom du tiers de ses membres est «caduque» et en dehors des prérogatives du secrétaire général que lui confèrent les statuts, notamment l’article 28 – alinéa 2 qui stipule que la convocation est assujettie à l’accord préalable du bureau national. D’où, dénoncent-ils, son recours à des «membres ayant quitté le mouvement et dont certains sont même portés candidats sous l’étendard d’autres partis, s’engluant de fait, dans les dépassements».
Griefs que Dhouibi rejette, affirmant jouer et à fond la carte de la «légalité et de la transparence» qui constituent, poursuit-il, «les constantes de notre action». «Les choses sont claires, qu’ils viennent et qu’ils se soumettent à l’épreuve de l’urne», soutient-il, ajoutant que le cap au sein de Nahda est mis sur le sixième congrès du mouvement prévu les 15,16 et 17 novembre prochain.
Un rendez-vous dont la commission de préparation a tenu, le week-end dernier, sa seconde réunion lors de laquelle cinq sous-commissions (règlements et statuts, politique, organisation, administration et logistique, communication et information et, enfin, mobilisation et organisation féminine. Avec, en sus, l’établissement d’un planning de travail jusqu’à la tenue du congrès ordinaire du mouvement, le sixième, prévu les 15,16 et 17 novembre prochain.
M. K.

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La vague de chaleur se poursuivra dans plusieurs régions du pays, avec des températures maximales oscillant entre 38 et 48°, annonce l’Office national de météorologie (ONM), qui lance un appel à la vigilance.
Samira Azzegag – Alger (Le Soir) – La vague de chaleur enregistrée depuis samedi dernier persistera jusqu’au week-end, selon les dernières prévisions et concernera 17 wilayas de l’est et du sud du pays. Il s’agit de Guelma (46 degrés), Annaba (45), Skikda et El Tarf (44), Bouira, El-Oued et Ouargla (43), l’est de Ghardaïa, tandis que le mercure a dépassé les 45°C au centre du Sahara. Quant à l’extrême sud, les températures ont franchi le seuil des 48°C.
Pour la journée d’aujourd’hui, la chaleur augmentera d’un cran dans le centre et l’est du pays, où les températures varieront entre 36 et 37°C. La hausse dans la région-est s’explique par «la montée d’un courant chaud des régions du Sahara et des Oasis vers le nord, notamment du côté est». Il y a également une explication scientifique donnée par l’ONM quant à la vague de chaleur qui a touché le centre du pays, causée par «la hausse du taux d’humidité qui a atteint 75% dans les régions côtières.
Une baisse remarquable des températures sera enregistrée, à partir de dimanche dans les régions-est. Cependant, l’ONM rappelle que la chaleur est tout à fait saisonnière notamment à Alger, où une température de 29°C est enregistrée. Il est, donc, indispensable en raison du pic de température prévu sur le territoire national de prendre les précautions nécessaires pour éviter les effets induits par les fortes chaleurs, particulièrement les personnes vulnérables ; les enfants en bas âge et les personnes âgées.
Il est conseillé d’éviter au maximum de sortir au moment des fortes chaleurs, éviter les activités extérieures, boire suffisamment d’eau et éviter les boissons très sucrées ou à forte teneur en caféine.
S. A.

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Du nouveau cette année sur quelques plages et piscines algéroises ! Une brigade de policiers en VTT (vélo tout terrain) sillonnera trois plages et les abords de piscines dans la capitale. L’opération pilote vise à assurer davantage de sécurité et de confort aux estivants.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Le coup d’envoi de la saison estivale a été donné, hier, aux piscines des Sablettes à l’est d’Alger, par le nouveau DGSN, Mustapha Lahbiri, qui s’est abstenu, cependant, de toute déclaration. Accompagné par le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, le DGSN a procédé au lancement officiel de la brigade des policiers en VTT. Ce dispositif de VTT, explique le commissaire Benabou Abderrahmane, de la Sûreté de la wilaya d’Alger, est une «opération pilote».
«Cette opération sera généralisée plus tard à travers le reste des wilayas côtières du pays», dit-il. Prévu dans le plan de la saison estivale de la Sûreté de la wilaya d’Alger, ce dispositif compte 34 agents formés pour le pilotage des VTT. Ils interviendront pour la sécurité des estivants à travers quatre points dans la capitale. «Quatre agents interviendront aux piscines des Sablettes au Caroubier, dix autres à la plage des Sablettes, huit à la plage Kettani de Bab-el-Oued et douze agents à la plage d’El Djamila (ex-La Madrague) à Aïn Bénian, à l’ouest de la capitale», précise-t-on.
Durant tout l’été, les estivants à travers ces quatre lieux de baignade se familiariseront ainsi avec la présence de policiers en polo et bermuda bleu et blanc et baskets blanches. Ces agents de police vont patrouiller ces plages et abords de piscines en VTT. «Ce sont des véhicules adaptés à la plage en plus d’être un moyen écologique», précise encore le commissaire Benabou Abderrahmane.
Selon lui, un autre moyen de locomotion sillonnera également les plages pour assurer la sécurité et le confort des estivants. Il s’agit des quads (quadricycles) qui, eux aussi, sont adaptés pour tout terrain.
«Douze quads seront disponibles sur les onze postes de police à Alger pour desservir les vingt-deux plages autorisées à la baignade dans la capitale», ajoute la même source.
Ry. N.

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C’est finalement l’Office national de développement et de promotion de la formation continue (Ondefoc) qui a été retenu pour assurer la formation de 1 467 salariés issus du groupe Hôtellerie, tourisme et thermalisme. Cet établissement public a surclassé les centres privés.

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Depuis quelques jours, une vidéo montrant un supporteur de l’équipe de France de football brûler un drapeau algérien circule sur les réseaux sociaux. L’Ambassade de France en Algérie condamne cet acte inadmissible, portant atteinte aux symboles nationaux de l’Algérie et à la relation d’amitié forte qui lie nos deux pays.

L’Ambassade de France en Algérie relève toutefois que cet évènement, qui a eu lieu à Bourges, date du 30 juin 2014 et qu’il n’a donc aucun lien avec la Coupe du monde se déroulant actuellement en Russie.

Cet acte avait été condamné à l’époque par le préfet du Cher, le député du Cher et le maire de Bourges. Une enquête pour « dégradations de biens d’autrui et provocation publique à la haine raciale » avait été ouverte par le parquet de Bourges.

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Les plus grandes joies viennent souvent après les plus grandes batailles. Habituée à dérouler, la Belgique a dû attendre les dernières secondes face au Japon pour renaître de ses cendres (3-2) en huitième de finale de la Coupe du monde de la FIFA, Russie 2018.
Touchés par deux fois en plein cœur par les Samouraïs Bleus, les Diables Rouges ont traversé l’enfer pour trouver leurs armes mises en retrait et s’ouvrir les portes des quarts de finale contre le Brésil ce 6 juillet. Pour marquer encore plus la dramaturgie de ce combat épique, l’histoire s’est choisi trois héros atypiques. Coupable assumé d’une erreur défensive sur l’ouverture du score japonaise, Jan Vertonghen a été le premier à enfiler le costume de sauveur. Son coup de tête aussi précis qu’inattendu a redonné l’énergie du désespoir aux siens. «On commençait à imaginer le pire mais on a bénéficié d’une petite dose de chance au meilleur moment», reconnaît-il au micro de la FIFA. Déçu du scénario qui se jouait sous ses yeux, Roberto Martinez décidé de lancer Marouane Fellaini et Nacer Chadli. Le premier imposa directement son mètre 94 et son impact dans les duels pour reprendre le contrôle du ballon et faire parler sa tête, comme il y a quatre ans face à l’Algérie : «Il y a un petit air de déjà-vu avec ce but mais c’est surtout au niveau de la réaction collective que l’on démontre que l’on raisonne à l’échelle du groupe.» De son côté, Chadli a aussi joué son rôle à merveille : celui de dynamiteur sur son flanc gauche avant d’être l’auteur de la réplique finale à la conclusion d’une contre-attaque d’école. Blessé une majeure partie de la saison, l’un des joueurs les plus polyvalents de l’effectif belge avait connu la pire année de sa carrière avant d’être l’un des invités-surprises du sélectionneur. «Cela a vraiment été très dur mentalement. J’en ai souffert personnellement et cela rend ma Coupe du monde encore plus belle», confie-t-il avant de revenir sur le but le plus important de sa carrière. «J’ai autant pensé à ma famille qu’à l’équipe qui a montré tellement de caractère après avoir inscrit ce but libérateur. J’ai cravaché pour retrouver mes meilleures sensations et cela a payé.» Thomas Meunier avait d’ailleurs été aux premières loges lors des répétitions à l’entraînement. «On avait longtemps répété les centres la veille à l’entraînement et il mettait tout au fond. Je lui avais justement dit qu’il avait une âme de grand numéro neuf car il est tellement complet et fort quand il est en jambes», partage l’auteur de la passe décisive, pas non plus étonné par l’apport de Fellaini. «À l’image de Chadli, il a aussi ce petit truc en plus propre à lui qui peut faire la différence comme aujourd’hui. Ils ont vraiment quelque chose de spécial. On a encore montré plus que jamais qu’on n’était pas une équipe de 11, mais de 23 joueurs.» Eden Hazard, l’Homme du Match Budweiser, avait lui encore du mal à se se remettre de ses émotions à la sortie des vestiaires, trop conscient d’être passé tout près d’une élimination. «On a pu compter sur ce coup de chance avec le but de Vertonghen, avant de pouvoir compter sur l’esprit de corps dans la difficulté de l’ensemble du groupe. Je suis autant fier que soulagé», conclut un capitaine heureux d’avoir vu des seconds rôles prendre la tête de l’affiche.

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Simulation pour obtenir un penalty et larmes au coup de sifflet final en poule, réaction démesurée et théâtrale à un mauvais geste en 8e de finale: la superstar du Brésil Neymar continue de cristalliser les critiques au Mondial-2018, malgré ses buts et gestes de classe.
Ça ne se fait pas et les caméras l’ont capté : Le Mexicain Miguel Layun a essuyé ses crampons sur la cheville droite de Neymar, alors qu’il était assis au sol après un contact. Le joueur le plus cher du monde (222 M EUR) s’est alors tordu de douleur au sol, à grands renforts de cris façon Actors studio. Ce geste de Layun, répréhensible, n’a pas été sanctionné par l’arbitre. Le match a alors repris, Neymar gambadant de nouveau. Il n’en fallait pas plus pour que «Ney» passe de victime à coupable sur les réseaux sociaux et dans les rangs du Mexique, éliminé 2 à 0 en 8e de finale lundi à Samara, sur deux éclairs – un but et une passe – du crack brésilien. Gary Lineker, ex-international anglais devenu consultant, a lancé sur Twitter : «Neymar a la tolérance à la douleur la plus basse pour un joueur en Coupe du monde depuis que Opta (statisticien du foot réputé) existe». Peter Schmeichel, ex-gardien emblématique de Manchester United, a jugé le comportement du Brésilien «lamentable» au micro de la chaîne russe RT Sport où il est consultant. Puis le sélectionneur du Mexique Juan Carlos Osorio s’y est mis en conférence de presse. Extraits : «C’est une honte pour le football», «c’est un mauvais exemple pour le monde et tous les enfants qui regardent», «c’est un sport d’homme, il ne devrait pas y avoir autant de comédie»…

«Ils lui ont marché dessus»
Interrogé par une journaliste brésilienne pour savoir s’il était juste de blâmer Neymar pour le geste de Layun, le coach de la «Tri» s’est contenté de répondre : «Je respecte votre opinion.» Et quand il lui a été demandé s’il visait bel et bien Neymar et pourquoi il ne le citait pas, Osorio a rétorqué : «Vous l’avez mentionné, pas moi, c’est votre interprétation, je ne l’ai pas mentionné lui.» Mais tout le monde avait compris. Quand Neymar, élu homme du match, a été interrogé en conférence de presse sur ces critiques, le sélectionneur de la Seleçao Tite, assis à ses côtés, a fait savoir qu’il s’en chargeait lui-même, car «les coaches parlent aux coaches». «Je ne veux pas répondre à Osorio. Des fois, vous faites des commentaires dans la chaleur du match. Mais j’ai vu ce qui s’est passé, vous regardez la vidéo, ils lui ont marché dessus, il n’y a rien à dire, juste à regarder», a taclé Tite. Pour sa part, Neymar y a vu «une tentative» de le «déstabiliser plus qu’autre chose». «Je me moque des critiques», a-t-il ajouté avant de conclure : «Je ne veux pas trop de polémique (…) je ne veux pas me faire remarquer autrement que sur le terrain.» Commentateur sportif vedette de TV Globo, Galvao Bueno a pris vigoureusement la défense de «Ney» en lançant : «Monsieur l’arbitre, vous êtes un lâche.» Voilà qui change, car il n’avait pas été tendre avec son compatriote le 22 juin.

«Résurgence du narcissisme»
Rembobinage. «Son geste artistique a coûté le penalty au Brésil», lâche ce même Galvao Bueno il y a dix jours. Neymar, les bras en croix, comme le Christ rédempteur à Rio, tombe après un semblant de contact dans la surface. L’arbitre siffle penalty, puis alerté par ses adjoints de l’assistance vidéo, visionne les images et se ravise. Au coup de sifflet final, le joueur du PSG, opéré début mars du pied droit, finit ensuite en pleurs, à genoux. «Ce n’est pas normal de pleurer pour un deuxième match de la Coupe du monde», s’insurge alors O Globo sur son site. «Une équipe doit afficher sa force mentale, pas sa fragilité. Sincères ou pas, les larmes de Neymar sont inquiétantes, insiste ce puissant média. C’était soit le symptôme d’une instabilité troublante, soit une résurgence du narcissisme que Neymar a réussi à contrôler pendant presque tout le match». Dans un tweet après le match, Neymar avait tenté de désamorcer: «Tout le monde sait par où je suis passé pour arriver jusque-là (ndlr: opération du pied droit). C’était des larmes de joie, de dépassement, de force.» Rançon de la gloire, rien ne lui sera pardonné.

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L’USM Alger, représentant algérien en phase de poules de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF), a bouclé sa première étape préparatoire en vue de la reprise de la compétition, en disputant lundi son deuxième et dernier match amical en marge du stage effectué à Gammarth (Tunisie). Les Rouge et Noir se sont inclinés face à l’ES Sahel (1-0), cinq jours après leur première défaite concédée devant l’Espérance de Tunis (2-0) sur deux réalisations du milieu offensif algérien et ancien sociétaire de… l’USMA, Youcef Belaïli. Le club de Soustara enchaînera avec un deuxième stage à Nairobi (Kenya), du 7 au 16 juillet, en vue du match en déplacement à Kigali, face aux Rwandais de Rayon Sports, prévu le 18 du même mois dans le cadre de la 3e journée (Gr. D) de la phase de poules de la Coupe de la Confédération. Avant le départ pour la capitale kényane, le staff technique devra arrêter l’effectif qui défendra les couleurs du club la saison prochaine, certains joueurs risquant d’être libérés pour insuffisance technique, selon la presse spécialisée. Au terme de la 2e journée de la phase de poules (Gr. D), l’USM Alger, dirigée désormais par le technicien français Thierry Froger en remplacement de Miloud Hamdi, occupe la tête du classement avec 4 points, devant les Kényans de Gor Mahia et les Rwandais de Rayon Sports avec 2 unités chacun, alors que les Tanzaniens des Young Africans ferment la marche avec 1 point.

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C’est un véritable élan de solidarité qui s’est enclenché, hier, à la place publique près du siège de la daïra de Relizane, de la part des donneurs de sang. A la vue du véhicule de collecte de sang, stationné dans cet espace public, des dizaines de citoyens se sont portés volontaires pour donner un peu de leur sang. La collecte a commencé vers 9h30. Selon le médecin en chef, rencontré sur place dans la matinée, 15 poches de sang ont été remplies avant 11h. « Ce nombre pourrait connaître une hausse d’ici l’après-midi », dira notre interlocuteur qui a exprimé, par ailleurs, sa satisfaction quant à l’engouement que connaît cette opération.
Le médecin est secondé dans sa tâche par deux préleveuses et un laborantin. A la question de savoir si l’établissement hospitalier public Mohamed-Boudiaf de Relizane connaît un manque en matière de poches de sang, notre interlocutrice nous dira : «Le nombre de poches de sang dont dispose l’EPH est suffisant pour le moment.» Les poches collectées seront destinées, selon notre source, aux services qui en expriment la demande au quotidien, comme les urgences, l’hémodialyse, la maternité, la pédiatrie et tant d’autres services.
Il est à noter que ce véhicule de collecte de sang sillonne, régulièrement des localités de la wilaya de Relizane, afin de collecter des poches de sang et de sensibiliser les citoyens sur les bienfaits et l’importance de donner un peu de leur sang aux malades qui en ont grandement besoin.
A. Rahmane

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Aussitôt installé à la barre technique de la JSM Béjaïa, Mustapha Biskri, qui succède à Mounir Zeghdoud, se dit déjà très heureux de retrouver la ville de Yemma Gouraya après son passage au MOB.
«Je suis très content de retrouver Béjaïa, après l’expérience que j’avais connue la saison écoulée. Je voudrais remercier la direction d’avoir fait appel à moi pour prendre la tête du staff technique du club. Sachant que la JSM Béjaïa est un club qui n’est plus à présenter, je n’ai pas hésité un instant à donner mon accord aux dirigeants. Je connais très bien la situation du club, avec notamment cette nouvelle équipe dirigeante qui est en train de se mettre en place. Je ne vous cache pas que je suis un homme de défi. Nous allons bien évidemment travailler afin de redorer le blason du club et lui permettre de faire bonne figure la saison prochaine», a déclaré Biskri sur les colonnes de Compétition.
Le néo-driver de la JSMB affirme par ailleurs que la reprise des entraînements pour entamer la préparation de la nouvelle saison a été fixée pour la semaine prochaine. «Nous allons entamer les préparatifs en début de la semaine prochaine, au plus tard samedi. Nous allons avoir droit à au moins une dizaine de jours de préparation à Béjaïa avant d’effectuer un stage à Hammam Bourguiba de deux semaines en Tunisie». Quant à la composante de l’effectif, Biskri explique que le dossier «des recrues sera discuté incessamment» avant l’entame de la préparation.
Ah. A.

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Le CA Bordj Bou-Arréridj, nouveau pensionnaire de la Ligue 1, qui poursuit l’opération de recrutement, annonce la signature de l’international Mohamed Khoutir Ziti. Ayant porté les couleurs du CS Constantine, de l’ES Sétif et de la JS Kabylie, le désormais ex-arrière latéral sétifien a signé un contrat de deux saisons avec la formation des Criquets jaunes. Auparavant, le directoire du CABBA avait convaincu un autre défenseur à opter pour leur équipe, à savoir Farès Aggoune, qui arrive de la JS Saoura, après avoir passé une saison au RC Relizane à titre de prêt.
Ah. A.

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Une rencontre régionale organisée hier mardi par le CCI Dahra avec la collaboration des conseillers de la société FACT Algérie spécialisée dans la climatisation, ventilation, froid industriel et équipements et fournitures thermiques a regroupé les professionnels en agro-alimentaire et en agriculture et autres producteurs de la semence de la pomme de terre.
L’objectif de cette journée est d’échanger sur des expériences concrètes sur le stockage sous froid de la pomme de terre et des oignons et des projets d’exportations réussis.
Cette journée d’échange technique est devenue un rendez-vous incontournable des acteurs des filières fruits et légumes à Mostaganem et comme on sait, cette wilaya est à vocation agricole. Cette journée technique a permis aux professionnels de la chaîne du froid d’avoir des discussions privilégiées entre tous les acteurs des filières agricoles et des représentants de la recherche et du développement, producteurs, transformateurs, distributeurs, jusqu’aux consommateurs. Des thématiques ont été animées par les professionnels du métier de la Sarl FACT avec des témoignages de praticiens où ont été mêlées les interventions scientifiques et techniques qui laisseront également une large place aux échanges et aux débats.
«Dans les pays à climat chaud, comme en Algérie, le recours à la réfrigération est indispensable pour assurer la conservation, pour une longue durée, des pommes de terre de consommation, des oignons et des semences. Le grand avantage de la conservation sous froid est de stocker ces aliments sous une température contrôlée, dira l’un des intervenants.»
Les travaux menés par les dirigeants de la société FACT répondent de manière directe ou indirecte avec une stratégie de recherche et d’expérimentation spécifique à cette filière. Avec l’appui de plusieurs experts, en fin de ce colloque, un diagnostic a été réalisé pour connaître avec exactitude les nouvelles techniques de conservation sous froid de ces denrées alimentaires.
A. B.

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Dans un premier bilan de lutte contre les incendies provoqués par la chaleur, enregistrés depuis le début de la saison de l’été de cette année, les services de la Protection civile sont intervenus pour sauver des récoltes et des têtes de bestiaux menacées d’être embrasées, voire calcinées, qui n’ont dû leur salut qu’à l’intervention efficace des éléments de la Protection civile de l’unité de la commune de Menaâ au sud de la wilaya où on a pu mettre à l’abri 25 têtes ovines cernées par les flammes, 2,5 hectares d’orge encore debout dans ses tiges en attendant sa moisson, 20 hectares de récoltes et d’herbes sèches dans une opération de sauvetage qui a duré plus de trois heures, selon le communiqué de la cellule de communication de la Direction de la Protection civile de la wilaya.
Malheureusement, on a pu enregistrer la destruction de champs de céréales et d’autres d’arbres fruitiers et cela, malgré les efforts déployés par les sapeurs-pompiers qui sont arrivés quand même à éteindre plusieurs hectares ayant enflammé et détruit 7,5 hectares d’orge, 635 bottes de foin, 55 abricotiers, 20 figuiers et 15 hectares de récoltes embrasés par le feu selon la même source d’information.
A. Laïdi.

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La colère est montée d’un cran ; depuis plusieurs mois, les habitants de cette localité réclament l’ouverture du seul accès à leur village, mais aucune solution ne semble pointer à l’horizon. Comprend qui peut à ce problème qui touche pourtant au quotidien de cette population, qui en fait, ne réclame pas grand-chose sauf le droit d’accéder à leur village.
Le rappel des faits : l’unique chemin, qui existait a été approprié par un tiers, qui l’a rattaché à son exploitation agricole, c’est du moins ce qu’affirment les habitants ,qui ont saisi toutes les instances, daïra, APC, gendarmerie, y compris la justice. Mais, que se passe-t-il donc ? Aucune autorité n’a pu donner suite à ce dossier à ce jour, alors que la tension monte et malheureusement, on sait comment se termine ce genre de problème, quand il perdure dans le monde rural. «On se pose la question, qui a intérêt à ce que la situation s’envenime, on ne réclame pourtant qu’un droit de passage pour nous et nos enfants, nous avons tapé à toutes les portes, tout le monde nous donne raison, mais quand il s’agit d’appliquer la loi, c’est une autre histoire. nous sommes de paisibles paysans nous ne cherchons pas à créer des problèmes alors nous lançons un appel solennel à M. Ali Benaïche, wali de Tlemcen, car nous jugeons que c’est la seule autorité qui peut mettre fin à notre calvaire», nous déclare un habitant du village.
Des problèmes de ce genre ont toujours existé, certes, mais ils ont été résolus, car il y a encore des lois dans ce pays qui protègent et les uns et les autres. Le wali de Tlemcen a réglé pas mal de problèmes depuis sa nomination à la tête de la wilaya, il a pris des mesures exceptionnelles pour faciliter les choses aux habitants du monde rural, il a instruit par exemple les responsables à ne plus exiger l’acte de propriété pour l’obtention du permis de construire quand il s’agit de terre d’héritiers dans les zones reculées. Alors trouver une solution pour un accès ne nécessite certainement pas une formule magique : le bon sens suffit.
M. Zenasni

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Pas moins de deux tragiques accidents de la circulation et un autre drame survenu au niveau du chantier de la pénétrante autoroutière ont été enregistrés dans la journée d’hier, faisant un bilan macabre de 2 morts et 11 blessés dans la matinée d’hier à travers la wilaya de Béjaïa.
Le premier drame s’est produit au niveau du chantier de réalisation du tunnel de la pénétrante autoroutière à Sidi-Aïch où un ressortissant étranger de nationalité chinoise, ouvrier du chantier, a été mortellement écrasé par un rétro-chargeur. La victime, âgée de 20 ans, est décédée sur le coup alors que le conducteur de l’engin, un ouvrier algérien de 34 ans se trouvant en état de choc émotionnel, a été évacué vers la structure sanitaire de Sidi-Aïch par les secours de la Protection civile qui se sont aussitôt déplacés sur les lieux, a-t-on appris de la Protection civile. Un autre grave accident de la route a été signalé dans la matinée d’hier vers 9h dans la municipalité d’Amizour, où un camion-citerne de marque FAW est entré en collision avec un bus de transport de voyageurs de marque Hyundai, avec 24 personnes à bord.
L’accident, qui s’est produit plus précisément au niveau du CW-21, à hauteur de la station électrique d’Amizour, a fait 9 blessés, 5 hommes âgés de 32 à 79 ans ; 3 femmes âgées de 19 à 77 ans, ainsi qu’un enfant de sexe masculin âgé de 12 ans.
L’ensemble des blessés souffrant de blessures plus ou moins légères ont été évacués par les éléments de la Protection civile vers l’hôpital d’Amizour, selon la Protection civile de Béjaïa. Le troisième accident de la route a été enregistré vers 11h13 lorsque une Seat Ibiza, immatriculée à Béjaïa a dérapé sur le CW-32 au lieu-dit Djermouna-Kherrata, avec 4 personnes à bord, avant de heurter 2 personnes de sexe féminin.
La première personne blessée a été évacuée par des particuliers avant l’arrivée des secours de la Protection civile tandis qu’une fillette de 8 ans est décédée sur place. Elle a été transférée vers l’hôpital de Kherrata par les pompiers.
A. Kersani

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