Farid Haddouche
«L’université Akli Mohand Oulhadj de Bouira a reçu cette année 3.532 nouveaux bacheliers inscrits dans 11 domaines et spécialités. Parmi ces derniers, 47 nouveaux étudiants ont été admis au niveau de l’institut de technologie (IT), après entretien», selon les précisions du rectorat. Les 3.532 nouveaux étudiants qui se sont inscrits à l’université Akli Mohand Oulhadj ont été orientés vers 11 filières disponibles. A savoir les sciences et les sciences appliquées, sciences de la nature et de la vie, sciences économiques et commerciales et sciences de la gestion, littérature et langues, droit et les sciences politiques, sciences humaines et sociales et autres. Selon les statistiques obtenues auprès de l’université, il s’agit de 610 étudiants inscrits dans la filière des sciences économique et commerciales et sciences de la gestion, 500 étudiants en sciences de la nature et de la vie, 452 étudiants dans la filière sciences et technologie, 256 en mathématiques et informatique, 351 en droit, 300 dans les sciences humaines, 250 en sciences sociales, 238 en langue et littérature arabe, 195 en lettres françaises, 103 en langue et culture amazighe, 90 à l’institut de technologique hydraulique, 12 en sciences de la matière et 99 étudiants inscrits en sciences islamiques.Ainsi, avec les 3.532 nouveaux étudiants inscrits venus remplir les rangs de l’université de Bouira qui s’élèveront à 22.923 étudiants, 16.975 en licence, 5.948 en master. Le même communiqué a relevé qu’«il est à noter que cette ultime opération des inscriptions a été perturbée par l’ingérence des membres de deux organisations estudiantines. Il s’agit en l’occurrence des organisations LNEA et UGEL, dont les étudiants membres ont essayé, par diverses manières, de perturber le bon déroulement de cette opération, notamment en installant des bureaux et des banderoles à l’entrée de la bibliothèque centrale».
Suite à une instruction du recteur de l’université, le professeur Noureddine Benali-Cherif qui a chapeauté l’opération des inscriptions, les concernés ont été sommés de libérer les lieux et de respecter le règlement intérieur de l’université, l’opération a repris normalement. Décidément, ces organisations estudiantines satellitaires de partis politiques, au lieu d’améliorer l’environnement universitaire, contribuent malheureusement à l’aggravation des clivages.
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Tahar Mansour
Les services de la BMPJ d’El-Affroun viennent de mettre fin aux agissements d’un individu qui a agressé un aveugle à l’intérieur de la salle d’eau d’une mosquée pour lui subtiliser l’argent qui se trouvait dans sa poche.Selon les déclarations de la victime qui a déposé une plainte auprès de la BMPJ, l’individu a profité du fait que sa victime soit âgée et aveugle pour s’approcher d’elle à l’intérieur de la salle d’eau de la mosquée pour lui voler son argent.
Devant la résistance de la victime, l’agresseur l’a poussée et lui a volé l’argent qui se trouvait dans sa poche. Une enquête a donc été initiée qui a permis aux enquêteurs de la BMPJ d’identifier le mis en cause et de l’arrêter pour le présenter à la justice qui statuera sur son cas.
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A. Mallem
Rencontré, hier, à la Maison de la Culture Malek Haddad’ où était célébrait la Journée internationale et arabe de l’Habitat, M. Benzerda Miloud, président du Conseil local de l’ordre des architectes (CLOA) de Constantine, a dénoncé avec force et sans ambages, les communes qui continuent toujours à autoriser les constructions sans permis, avec une simple autorisation. «Ces communes ont été identifiées, a-t-il dit, il s’agit de Ain Abid, Constantine et Hamma Bouziane, connues aujourd’hui, comme étant des paradis des constructions illicites ». Et notre interlocuteur d’exhiber l’article 55 de la loi 90/29 du 1/12/ 1990, relative à l’aménagement et à l’urbanisme, qui stipule que le dossier de demande de permis de construire, géré par la commune, doit être élaboré par un architecte agréé, avant qu’il ne soit approuvé par le service concerné de la commune qui délivre le permis de construire. « Malheureusement, s’est désolé M. Benzerda, cette loi est ignorée par la plupart des communes de la wilaya qui continuent à délivrer les permis de construire, sans l’avis de l’architecte agréé. Elles vont, même, jusqu’à utiliser de simples «autorisations de construire», document qui n’est pas du tout prévu par les textes de la loi. Or, on ne peut pas autoriser les gens à construire avec une simple autorisation parce que la responsabilité du cadre bâti incombe à l’architecte et à nul autre». Aussi, a-t-il exigé, «nous demandons instamment, l’application de la réglementation, en vigueur,pour les dossiers de constructions délivrés par les services de la commune ». Ce dernier a affirmé avoir remarqué que les communes de Ain Abid, Constantine et Hamma Bouziane délivrent des permis de construire qui ne s’appuient pas sur un ancrage juridique qu’est l’article 55 de la loi qu’il venait de citer. Et l’on a pu constater, dernièrement, les conséquences de cette ignorance de la loi, au cours des dernières inondations qui se sont produites à Hamma Bouziane, soutient-il. Si un aménagement ou une construction est engagé, sans études, sans la participation de l’architecte, les gens vont élever leurs constructions n’importe où, jusque dans les lits des oueds qu’ils vont obstruer et provoquer ainsi les inondations, souligne Benzerda. « Dans l’acte de construire, il y a la trilogie Entreprise- maître d’ouvrage- architecte. Ce dernier jouant le rôle de contrôleur de la qualité de la construction et le contrôle de l’utilisation des deniers publics. Mais les communes ne veulent pas de la présence de l’architecte agréé et font appel à des architectes du service qui sont appointés par l’Administration de la commune. Ils ne sont donc pas indépendants. Et cela est contraire à l’éthique, a considéré M. Benzerda, en faisant appel aux responsables communaux pour respecter les lois de la République, afin de protéger le citoyen, contre tous les risques, notamment les effondrements résultants des vices de constructions, les inondations et la mauvaise qualité du bâti.
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R.N.
Un double appel a été introduit par le parquet d’Oran et les deux accusés, à savoir le meurtrier et son complice, condamnés le 19 septembre dernier à la peine capitale à l’issue du procès du meurtre et de l’attentat à la pudeur commis contre la petite Salsabil, a-t-on appris hier auprès du parquet.Le tribunal criminel de première instance d’Oran avait prononcé la peine capitale à l’encontre de K.A (18 ans), reconnu coupable d’attentat à la pudeur, suivi du meurtre de la petite Z. Selsabil, âgée de 8 ans, commis le 18 août dernier, ainsi qu’à l’encontre de son complice, C.M.
Le représentant du ministère public avait, dans son réquisitoire, requis la peine capitale contre l’assassin présumé de la petite Salsabil, qui n’est autre que le voisin de la victime.
Ce dernier a été inculpé de meurtre avec préméditation et attentat à la pudeur sur mineure de moins de 16 ans et, lors de son arrestation, a reconnu les faits retenus contre lui, de même lors de son procès. La peine capitale a été également requise contre le second mis en cause, C.M, âgé de 31 ans, accusé de complicité de meurtre.
En effet, K.A est passé aux aveux lors de l’enquête, reconnaissant avoir attiré chez lui la petite Salsabil durant la matinée du samedi 18 août dernier alors qu’elle se dirigeait vers l’un des magasins du quartier et avoir abusé d’elle, avant de l’étrangler.
A la barre, K.A a déclaré qu’il ne voulait pas tuer la fillette qui s’était débattue et l’avait menacé d’en parler à ses parents. Il l’a alors étranglée, puis a essayé de la ranimer, mais la petite fille était déjà morte. Le prévenu a ajouté qu’il se trouvait, à ce moment là, sous l’effet de psychotropes et que son complice, C.M, l’a aidé à transporter le corps de la victime à bord de son véhicule utilitaire, emballé dans un sac en plastique, pour la déposer dans une décharge, à quelques centaines de mètres du lieu du crime, à Haï Chouhada, non loin de Haï El Yasmine 2 où réside la fillette. C.M a, pour sa part, nié les faits retenus contre lui durant l’enquête et lors de l’audience, indiquant qu’il était victime d’un complot mais s’est empêtré dans ses contradictions. Un témoin capital dans cette affaire, un gérant de café mitoyen au lieu du crime, a déclaré avoir aperçu le véhicule de C.M devant le lieu du crime et a même vu le prévenu déposer un grand sac en plastique à l’arrière du véhicule utilitaire. Les avocats des deux complices, commis d’office, avaient essayé de trouver quelques circonstances atténuantes, sans résultat, K.A et son complice C.M ont été condamnés à mort. La date du procès en appel n’a pas encore été déterminée.
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K. Assia
De jour en jour, le phénomène de l’émigration clandestine prend de plus en plus d’ampleur. Le pire a été évité, hier, au large d’Oran, à 4 miles marins au nord d’Aïn El-Turck. Pas moins de 14 candidats à l’émigration dont une femme et son bébé de quatre mois ont été ramenés, difficilement, sur la terre ferme par les gardes-côtes d’Oran. Les harraga avaient refusé d’obtempérer et sont allés même plus loin en s’aspergeant d’essence, menaçant de s’immoler par le feu. Face à cette situation dramatique, les gardes-côtes ont fait preuve d’une grande psychologie, pour éviter le drame et ramener les migrants clandestins à la raison. Ce n’est qu’après de longs pourparlers pour les convaincre, que les harraga ont fini par entendre raison. Ils ont été conduits au port d’Oran et une enquête a été ouverte par les services compétents. Ces migrants avaient embarqué à partir d’Aïn El-Turck, dans l’espoir de rallier les côtes espagnoles.D’ailleurs, cette journée n’a pas été de tout repos pour les forces navales de la façade maritime ouest puisque, entre la nuit de dimanche et lundi jusqu’à 12h, quelque 88 harraga ont été interceptés au large d’Oran, Arzew, Mostaganem et Ghazaouet. Parmi ces clandestins, on signale sept femmes, huit mineurs et trois ressortissants libyens. Devant cette recrudescence des tentatives d’émigration clandestine, et de plus en plus souvent impliquant des femmes et des enfants, plusieurs questions restent posées. Jusqu’où ces migrants, qui n’hésitent pas à risquer la vie de leurs propres enfants pour un eldorado fictif, sont près d’aller ?
Les forces navales de la façade maritime ouest avaient intercepté, du 1er septembre au 26 septembre, 235 harraga et secouru 77 autres au niveau des plages de l’ouest, soit un total de 312. Parmi les migrants, figuraient 11 femmes et 27 mineurs. D’importants moyens ont été mobilisés pour ramener sur la terre ferme les candidats à l’émigration clandestine.
Depuis le mois de juillet, des dizaines de tentatives d’émigration clandestine ont été avortées par les gardes-côtes au large d’Oran, de Mostaganem, d’Aïn Témouchent et de Ghazaouet. En début d’année, une commission, présidée par le wali d’Oran et composée des services des gardes-côtes, de la gendarmerie et de la sûreté de la wilaya d’Oran, avait été installée pour tenter de faire face au phénomène de l’émigration clandestine, étudier son évolution et dégager des solutions. Les éléments du groupement de la gendarmerie et la sûreté d’Oran ont, pour leur part, renforcé leur dispositif sur la terre ferme pour lutter contre l’émigration clandestine.
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M. M.
Le Conseil national des Enseignants du Supérieur (CNES) inscrit la hausse des salaires parmi les priorités de ses revendications socioprofessionnelles.Lors de la réunion de son Conseil national le 22 septembre dernier, le CNES «a exprimé son indignation par rapport à la situation socioprofessionnelle de l’enseignant universitaire», en particulier dans son aspect salarial.
Ainsi, selon le syndicat, «les salaires de 70% des enseignants ne dépasse pas 46.000 DA depuis 2008», revendiquant ainsi une rémunération «décente» de pas moins que «100.000 DA», selon un communiqué du CNES.
Autres revendications socioprofessionnelles, le CNES appelle à «relancer les programmes de logements gelés depuis quelques mois» et de «prévoir de nouveaux quotas pour les enseignants», mais également consacrer le «désistement des logements au profit des enseignants comme c’est le cas pour les autres secteurs».
Dans le volet «pédagogie et recherche scientifique», le CNES demande de «lever le gel concernant la création des laboratoires scientifiques et limiter le pouvoir de l’administratif sur le scientifique». Le communiqué dénonce le «dictat de l’administration» en matière «d’ouverture de certaines spécialités», et s’interroge sur les raisons ayant poussé à la fermeture de certaines d’entre-elles comme les «sciences politiques, la sociologie politique et l’interprétariat».
Le CNES interpelle aussi la tutelle concernant le manque d’enseignants et le recours qu’il considère abusif aux «heures supplémentaires». «Des milliers de détenteurs des diplômes de doctorat et magister, normalement considérés parmi l’élite, subissent une humiliation intolérable, plusieurs années après la fin de leurs études, ils peinent à trouver un poste décent, et cela malgré un besoin énorme dans l’enseignement supérieur, dont les responsables préfèrent gérer la pédagogie avec des heures supplémentaires au profit d’une catégorie d’enseignants qui ne font même pas leur charge normale, et aussi au profit de vacataires n’ayant même pas les diplômes requis», affirme le CNES. Le communiqué estime que des «sommes énormes sont utilisées de façon opaque avec ces heures supplémentaires», ce qui «nous pousse à interpeller la tutelle afin d’ouvrir une enquête concernant leur utilisation et d’ouvrir des postes pour les détenteurs des diplômes de magister et doctorat».
Concernant la «situation organique» du syndicat, le Conseil national «salue le rôle joué par les syndicalistes du CNES» «malgré le harcèlement et les blocages qu’ils subissent». «Nous rappelons qu’en dépit de la crise organique fabriquée de toutes pièces par des cercles que tout le monde connaît, le Conseil national ne ménagera aucun effort pour rassembler tous les honnêtes syndicalistes afin de renforcer notre syndicat. Une commission dont les prérogatives ont été définies par le Conseil national a été installée afin d’ouvrir des canaux de communication avec toutes les bonnes volontés qui militent pour un CNES autonome et fort», lit-on dans le communiqué signé par Abdelmalek Azzi, le coordinateur national du syndicat.
Sur les «libertés syndicales» en général, le CNES, qui «se considère partie prenante pour la création de la confédération des syndicats autonomes tout en insistant sur l’autonomie de notre syndicat», «dénonce le harcèlement subi par nos syndicalistes et tous les enseignants qui osent dénoncer la mauvaise gestion et la corruption dans leur université». Le document cite, à ce sujet, le cas du «membre du bureau de la section CNES de l’université Alger 3, Bengouia Mokhtar». «L’administration de l’université Alger 3 l’a traduit en conseil de discipline afin de le licencier, et la commission de recours nationale l’a rétabli dans ses droits, et jusqu’à ce jour, il n’a perçu aucun salaire». Le CNES «interpelle le premier responsable du secteur afin de mettre fin à toutes ces injustices et trouver des solutions aux différents problèmes vécus par le secteur».
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Le groupe audiovisuel beIN du Qatar a réclamé lundi un milliard de dollars pour un « piratage massif » imputé à l’Arabie saoudite, par ailleurs poursuivie par Doha devant l’Organisation mondiale du commerce (OMC) pour « violations de la propriété intellectuelle ».
En août, beIN avait déclaré avoir des « preuves irréfutables » sur l’implication de l’opérateur satellitaire Arabsat basé à Ryad dans des actes de piratage, également commis par une chaîne « soutenue par des Saoudiens » et se faisant appeler « beoutQ » pour ridiculiser la marque beIN. L’Arabie saoudite et Arabsat ont nié tout lien avec « beoutQ ».
Dans son communiqué, beIN a justifié sa plainte et sa demande de compensation d’un milliard de dollars en affirmant être « soumis au piratage le plus répandu que le monde ait jamais connu en matière de retransmission sportive ».
« Résultat des mesures arbitraires et discriminatoires mises en oeuvre par l’Arabie saoudite », beIN « a subi des préjudices excédant le milliard de dollars qui continuent d’augmenter chaque jour », a déclaré le bouquet de chaînes sportives et de divertissement.
BeIN a réaffirmé que des décodeurs « beoutQ » avaient été vendus ouvertement et à grande échelle à travers l’Arabie saoudite, bien que Ryad ait affirmé avoir mené des efforts « sans relâche » pour combattre le piratage.
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Un jeune élève scolarisé au collège d’enseignement moyen (CEM) « 18 Février », dans la ville de Hamla 3, à la wilaya de Batna, a été grièvement blessé à l’œil droit après avoir été violenté par son enseignante de mathématique. Selon le témoignage du père, l’élève a été hospitalisé après l’incident et il pourrait être opéré vu la gravité de sa blessure.
La direction de l’Education a assuré qu’une enquête sera ouverte pour définir les circonstances de ce drame.
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Le président de l’Entente sportive de Sétif est convoqué pour comparaître demain mardi devant le tribunal de Sétif, dans l’affaire de la coopérative immobilière Oum El-Hayat. Il est accusé d’abus de confiance, de détournement et de dilapidation de deniers d’une société privée. En effet, condamné à 5 ans de prison ferme assortis d’un milliard de centimes, le n°1 de l’ESS n’a pas pu accompagner son équipe qui devrait disputer le match aller de la demi-finale de la Champions League africaine 2018 au Caire. Il est à rappeler que des coopérateurs lésés par la gestion qualifiée d’anarchique ont porté plainte auprès de la justice contre l’ancien président de la coopérative fondée en 1999 et agréée en 2006, Hassène Hamar, qui a été reconnu coupable par le tribunal. Deux autres membres du bureau ont écopé de la même peine.
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Les étudiants inscrits sur le site du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique durant l’été pour le master et le doctorat sont toujours en attente de nouvelles pour leurs affectations vers les universités de leur choix, alors que les cours devraient commencer bientôt. Mis en place pour lutter contre les sélections par “copinage”, ce système de numérisation pour les étudiants en LMD ne semble apparemment pas avoir fonctionné, selon plusieurs étudiants approchés par Liberté. Preuve de ce dysfonctionnement, c’est que certaines universités ont affiché les listes des étudiants pris pour le master et le doctorat, on ne sait selon quels critères. À son lancement, le site dédié pour ce faire était quasiment inaccessible et a fait l’objet de nombreux bugs informatiques, en raison du nombre important de connexions. Le comble pour un ministère où les nouvelles technologies sont censées être totalement maîtrisées !
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Le 2e congrès du Front El-Moustakbal, qui a reconduit Abdelaziz Belaïd à la tête du parti, a été émaillé par des scènes de protestation de la part d’une partie des congressistes, qui ont contesté le fait que les banderoles du congrès ne soient pas écrites en langue amazighe. Le député Khaled Tazaghart et d’autres militants de ce parti ont notamment rappelé aux organisateurs du congrès que tamazight est une langue nationale et officielle, consacrée par la loi fondamentale du pays et que, de ce fait, elle doit avoir sa place au sein du parti.
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L’ambassadeur des États-Unis en Algérie ne s’occupe pas seulement de ses activités diplomatiques, à travers des rencontres régulières de responsables politiques et autres acteurs économiques algériens, mais s’adonne aussi à ce qui, visiblement, constitue un de ses “hobbies” : la plongée sous-marine.
Dans un tweet, accompagné d’une photo avec son épouse, John Desrocher rapporte avoir fait de la plongée au large de la baie d’Alger. “(…) ma femme Karen et moi avons fait de la plongée sous-marine au large de la côte d’Alger. Nous avons vu de beaux poissons et coraux, et une belle pieuvre”, écrit-il. “La plongée sous-marine est l’un de nos hobbies préférés. Qu’est-ce que tu aimes
faire ?”, ajoute-t-il, un tantinet amusé. Reste qu’il n’est pas le seul, puisque la femme de l’ambassadeur français en a fait de même, mais à Oran. Un coup de pub pour la mer algérienne…
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La liste des malades souffrant de la pathologie de foie, qui attendent depuis plus de deux ans pour subir une transplantation hépatique au CPMC, ne cesse de s’allonger en raison de la défaillance du matériel de base, notamment le scanner. Selon l’association d’aide aux malades souffrant de l’hépatite, le nombre de personnes qui attendent d’être greffées dans cet établissement a dépassé la centaine. Signalons qu’au centre de Batna assurant la greffe hépatique, 18 malades seulement ont subi la transplantation du foie depuis le début de l’année, selon la même source.
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Dans le cadre des efforts visant la promotion des exportations algériennes hors hydrocarbures et le développement des partenariats entre les entreprises algériennes et leurs homologues françaises, le consulat d’Algérie à Bordeaux (France) organise des Journées Algérie, et ce, du 10 au 13 octobre 2018. Cette manifestation qui s’étalera sur trois jours prévoit l’organisation de rencontres d’affaires B2B entre les entreprises présentes, des ateliers et séminaires thématiques qui auront pour objectif de mettre la lumière sur le potentiel économique algérien et promouvoir les investissements, notamment dans les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire, du tourisme, des industries électroniques et mécaniques, des énergies renouvelables et NTIC.
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La bataille politique de Zighoud Youcef, annoncée par les députés, prend des contrecoups et échappe aux acteurs qui l’ont généré et demeure captive d’El Mouradia. Un seul mot du Président de la République peut chambouler toute la scène politique et mettre tout ce beau monde qui a appelé au départ du quatrième homme de l’Etat, Saïd Bouahadja, à la porte, et du coup deux variantes préviennent l’aube d’une nouvelle recomposition du champ du pouvoir politique.
L’erreur de Bouahadja, et le complot des politiques des partis au pouvoir mènent tout droit vers la dissolution de l’APN, met en otage les élections Présidentielles et verse dans l’intérêt des partis de l’opposition qui voient en cette impasse, l’ajournement des prochaines échéances. C’est pourquoi, depuis le début du conflit, les différentes formations de l’opposition ont préféré garder le silence.
Ainsi, la scène politique sur fond de crise parlementaire, va vivre deux scénarios. Si le parlement est dissous, l’élection présidentielle sera reportée pour un délai ultérieur au maximum de trois ans pour programmer et réorganiser les législatives dans les mois qui suivent, et ce n’est qu’après l’installation de la nouvelle APN que les élections présidentielles seront évoquées. Un autre scénario pourrait surgir en plein conflit, la révision de la constitution et l’inclusion du poste de vice-président de la République pour blinder la représentation de la Présidence et affaiblir l’influence de la chambre parlementaire. Et évidement, les premiers perdants seront les actuels députés qui seront mis à la porte et séparés de leur salaire de 30milions de cts par mois.
Bouahadja, qui refuse toujours de présenter sa démission, malgré le retrait de confiance de la majorité des députés empoisonne toute tentative de solution au conflit et pousse le plan de dissolution, bien qu’il soit conscient que ses jours sont comptés à la tête de l’APN. Un bras de fer résolu qui pourrait donner une lecture aux évènements. Des sources non confirmées ont fait part d’un pacte secret entre Bouahadja et l’ancien chef du gouvernement Hamouche pour appuyer sa candidature.
La longue et profonde amitié qui lie les deux hommes depuis des années et qui déplait aux dirigeants du parti du FLN précipite le départ de Bouhadja, qui risque de subir le même sort que l’ancien président de l’APN Bachir Boumaâza qui fut écarté de toutes les missions officielles. Pour le moment, gagner du temps pour permettre de maintenir la situation actuelle et vivre en live les répercussions de ce duel déclaré dans l’arène de l’APN à sept mois des Présidentielles.
Belkacem
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L’Algérie est désormais « une école internationale de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme » a soutenu M. Aïssa lors du Forum de la Radio nationale. Il a également affirmé que l’Algérie oeuvre à présent, à la protection et à la préservation des jeunes qui n’ont pas connu ce fléau.
« Aujourd’hui, l’Algérie est exportatrice de modus operandi en matière de lutte contre l’extrémisme et en matière de formation des Imams dans ce domaine, à travers la coopération avec de nombreux pays d’Europe, d’Amérique, d’Afrique et d’Asie ».
M. Aïssa a Souligné les efforts de son secteur, en coopération avec celui de la Communication, pour contrecarrer le discours de l’extrémisme et du radicalisme en vue d’empêcher l’émergence de différends d’ordre confessionnel dans la société algérienne, le ministre a fait état de « l’exclusion, depuis 2015, de plusieurs Imams qui exploitaient les Mihrab pour propager le discours de la haine et de la discorde ».
« L’Algérie, qui a fini avec la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme, s’attèle à présent à l’assèchement de ses sources et à la protection contre ces dangers, tout en combattant les dérives sectaires », a-t-il indiqué.
M. Aïssa a ajouté que le terrorisme n’a aucun lien avec l’Islam, mais que ses causes sont d’ordre social, économique, psychologique et idéologique. Par ailleurs il a annoncé des ateliers pour débattre du référent religieux national afin, a-t-il dit, « de démontrer que l’Algérie est en droit de revenir au modèle religieux de ses aïeux, un modèle de modération et de juste milieux ».
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