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Updated: 3 days 9 hours ago

Le bilan du séisme suivi d’un Tsunami en Indonésie dépasse 1.400 morts : L’espoir de retrouver des survivants s’éloigne

Thu, 10/04/2018 - 16:14

Le bilan du séisme suivi d’un tsunami sur l’île indonésienne des Célèbes a dépassé les 1 400 morts hier alors que les besoins sont «immenses» dans les zones sinistrées et que le temps presse pour dégager des survivants.

Le bilan s’élève à 1.411 morts, a affirmé M. Tohir, un porte-parole de l’armée. L’agence de gestion des catastrophes naturelle a précisé que 519 corps avaient déjà été enterrés. Les autorités se sont fixé jusqu’à vendredi, soit une semaine après la catastrophe, pour retrouver d’éventuels survivants. Au-delà, les chances seront proches de zéro. Les secours se concentrent sur quelques sites autour de Palu, une ville de la côte ouest qui a été ravagée, et notamment à l’hôtel Roa-Roa où une soixantaine de personnes seraient toujours ensevelies sous les gravats. Les efforts se focalisent aussi sur un centre commercial, un restaurant ou encore le quartier de Balaroa où la puissance de la secousse a transformé le sol en bouillie. Près de 200.000 personnes ont besoin d’une aide humanitaire d’urgence, parmi lesquelles des dizaines de milliers d’enfants, selon le bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha). On estime à 66.000 le nombre de logements détruits vendredi par la secousse de magnitude 7,5 et le raz-de-marée destructeur qu’elle a engendré. Le gouvernement indonésien a beau avoir affirmé aux équipes étrangères intervenant dans les zones sinistrées que la situation était sous contrôle, les habitants de localités éloignées comme Wani, dans la province de Donggala, disent n’avoir pas, ou presque pas, vu la couleur de l’aide. «Douze personnes sont portées disparues dans cette zone», affirme à l’AFP un habitant, Mohammad Thahir Talib, 39 ans. «Il se peut qu’il y ait aussi des corps plus au sud.»

«Sentiment de frustration»
A Genève, les Nations unies ont fait part de leur frustration quant à la lenteur de la réponse. «Bien que le gouvernement et les organisations d’urgence travaillent sans relâche pour apporter une aide vitale, les besoins demeurent immenses», a indiqué mardi l’Ocha dans un communiqué. «Le sentiment des équipes travaillant sur place est un sentiment de frustration», a expliqué à Genève Jens Laerke, de l’Ocha. «Des portions importantes de ce qui pourrait être la zone la plus touchée n’ont toujours pas été complètement atteintes. Mais les équipes se démènent et font ce qu’elles peuvent». Les survivants combattent la faim et la soif. L’eau potable et la nourriture manquent et les autorités sont dépassées par le nombre de blessés. Sur le terrain, des responsables expliquent que, si le gouvernement a indiqué que toute aide était la bienvenue, les «mécanismes de mise en oeuvre» de cette aide manquent.

Port endommagé
Les créneaux d’atterrissage sur l’aéroport de Palu sont réservés à l’armée indonésienne, mais il devrait rouvrir jeudi matin aux vols commerciaux. Les installations portuaires de Palu, porte d’accès cruciale dans cette région accidentée, ont été fortement endommagées. Les points d’amarrages sont intacts mais la plupart des grues et équipements nécessaires au déchargement des navires ont été renversés, explique l’ONU. Dans la ville de Palu, la police a effectué mardi des tirs de semonce et utilisé les gaz lacrymogènes pour disperser des pilleurs. Sur la route qui part la ville vers le nord, un journaliste de l’AFP a vu des jeunes élever des barrages et exiger des «donations» pour ouvrir la voie.
Ailleurs des centaines de personnes arpentent les décombres d’une usine effondrée pour tenter de récupérer ce qui peut l’être. Le président indonésien Joko Widodo, qui fait campagne pour sa réélection l’an prochain, a affirmé que la police et l’armée gardaient le contrôle de la zone et qu’il n’y avait «pas de pillages», au cours de sa deuxième visite à Palu depuis la catastrophe. Le Centre de coordination de l’aide humanitaire de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), basée à Jakarta, a fait état d’un besoin urgent de sacs mortuaires.
Dans le climat équatorial chaud et humide qui prévaut en Indonésie, la décomposition est accélérée et fournit un terrain propice aux maladies.

Éruption volcanique
Les secours manquent aussi d’équipements lourds. Ils peinent également du fait de la coupure des routes et de l’ampleur même des dégâts. L’électricité a été rétablie mardi soir dans certains quartiers de Palu. Mais dans d’autres, des habitants se pressaient autour de rallonges électriques dans les quelques bâtiments disposant encore de courant et les files d’attente pour obtenir quelques litres d’essence pouvaient dépasser 24 heures.
Le manque d’installations sanitaires est par ailleurs un problème de plus en plus grave. «Partout, les gens veulent aller aux toilettes mais il n’y en a pas.
Alors il faut faire ses besoins de nuit, au bord de la route», explique Armawati Yarmin, 50 ans. Archipel de 17.000 îles et îlots formé par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne et eurasienne), l’Indonésie se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, zone de forte activité sismique. Un risque qui a été illustré mercredi par l’éruption du volcan Soputan, situé dans l’extrême nord-est des Célèbes, à un millier de km de Palu, et qui crachait des cendres à plus de 5.800 mètres d’altitude.

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Classes d’alphabétisation: Hausse du nombre de nouveaux inscrits à Constantine

Thu, 10/04/2018 - 16:12

Le nombre de nouveaux inscrits, aux cours d’alphabétisation a connu une hausse au titre de la saison scolaire 2018-2019, dans la wilaya de Constantine, passant de 5.000 apprenants recensés l’année dernière à 5.800 enregistrés actuellement, a indiqué le directeur local de l’Office national d’alphabétisation et d’enseignement pour adultes (ONAEA), Hocine Hemadi. Ce nombre «important» de nouvelles inscriptions est le fruit des campagnes de sensibilisation à la lutte contre l’illettrisme menées par une caravane qui a sillonné différentes régions de la wilaya, y compris les zones rurales défavorisées , a précisé à l’APS, ce responsable en marge de l’ouverture de la nouvelle rentrée.

Ces campagnes dédiées à la lutte contre l’analphabétisme ont été encadrées et animées par des enseignants de l’ONAEA en étroite collaboration avec les représentants de la société civile et les mosquées, a souligné le responsable. Avec l’inscription de ces nouveaux apprenants, le nombre global des scolarisés de ce secteur a été porté à 15.800 personnes ayant rejoint les bancs des classes à travers les 12 communes de la wilaya, a fait savoir la même source. Pas moins de 230 enseignants sur l’effectif global sont contractuels, 83 autres ont été recrutés par le biais de l’Agence nationale de l’emploi (Anem), tandis que 48 autres sont des enseignants bénévoles, a détaillé M. Hemadi, faisant remarquer que l’ensemble de ces enseignants a bénéficié, avant leur prise de fonction, d’une formation spécialisée axée sur la psychologie et la pédagogie de l’enseignement pour adultes.

Au total, 300 classes ont été réservées à cette catégorie de la société dont 81 relèvent des mosquées, 76 appartiennent aux écoles primaires, alors que le reste est réparti sur les établissements pénitenciers et le secteur de l’action sociale et de la solidarité ainsi que les maisons de jeunes, a révélé la même source. Dans la wilaya de Constantine, le nombre des personnes libérées de l’analphabétisme durant la saison scolaire 2017-2018, a dépassé 1.500 personnes dont une majorité sont des femmes, a-t-on signalé à l’ONAEA.

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CAN 2019 – Qualifications: Algérie – Bénin, la liste des joueurs dévoilée

Thu, 10/04/2018 - 16:10

La liste des 23 joueurs convoqués pour la double confrontation face au Bénin, prévue les 12 et 16 octobre prochains,  a été rendue public ce jeudi par la Fédération algérienne de football (FAF). Ces deux rencontres entrent dans le cadre de la 3e et 4e journée (groupe D) des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations CAN 2019.

Les joueurs convoqués sont :

Gardiens de but :

Rais M’Bolhi – Moustapha Zeghba – Azzedine Doukha

Défenseurs :

Aissa Mandi – Ramy Bensebaini – Rafik Halliche – Mehdi Tahart – Djamel Benlamri – Youcef Attal –  Mohamed Fares

Milieux :

Nabil Bentaleb – Saphir Taider – Adam Ouanas – Adlene Guedioura – Sofiane Feghouli – Rachid Ghezzal – Ryad Mahrez

Attaquants :

Ismail Bennacer – Yacine Brahimi – Yassine Benzia – Ishak Belfodil – Islam Slimani – Baghdad Bounedjah

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Irak: Barham Salih à la présidence, Adel Abdoul Mahdi Premier ministre

Thu, 10/04/2018 - 16:07

Barham Salih, vétéran de la scène politique kurde, a été élu mardi, à la présidence irakienne par le Parlement, après plusieurs mois de tractations, et a aussitôt chargé Adel Abdoul Mahdi de former un nouveau gouvernement.

«Je promets de préserver l’unité et la sécurité de l’Irak», a déclaré cet ingénieur de 58 ans formé en Grande-Bretagne, qui appartient l’Union patriotique du Kurdistan (UPK), lors de sa prestation de serment. Le poste de chef de l’État est essentiellement honorifique, mais son attribution est une étape-clé dans la formation d’une nouvelle administration, six mois après les législatives de mai, dont les résultats n’ont pas permis de constituer une majorité parlementaire. Depuis le renversement de Saddam Hussein, en 2003, la présidence est réservée à un Kurde, le Premier ministre, véritable chef de l’exécutif, doit être chiite et le président du parlement, sunnite. Le nouveau chef de l’État qui succède à Fouad Massoum a recueilli les suffrages de 219 des 329 députés. Il avait quinze jours pour charger un membre du groupe parlementaire le plus important de former un gouvernement, mais il a donc préféré le faire sur le champ. Adel Abdoul Mahdi, un économiste de 76 ans, dispose quant à lui, de 30 jours pour constituer son équipe et obtenir la confiance du Parlement.

MAHDI NOMMÉ PAR CONSENSUS
Il aura la lourde tâche de superviser la reconstruction d’une grande partie du pays, après quatre ans d’affrontements avec les djihadistes de l’État islamique, d’apaiser les tensions ethniques et religieuses, et de trouver un équilibre diplomatique entre les États-Unis et l’Iran, les deux principaux alliés de Bagdad, qui sont aussi ennemis jurés. Adel Abdoul Mahdi a quitté l’Irak en 1969 pour s’exiler en France, où il a travaillé pour des cercles de réflexion et des magazines francophones et arabophones. Son père, un membre du clergé chiite très respecté, a été siégé au gouvernement sous la monarchie qui a été renversée en 1958. Il a été choisi par deux coalitions rivales dirigées pour l’une par l’imam chiite Moqtada al Sadr et le chef du gouvernement sortant Haïdar al Abadi et, pour l’autre, par le chef des milices chiites pro-iraniennes Hadi al Amiri et l’ancien premier ministre Nouri al Maliki. Les deux blocs, nommés respectivement Islah et Binaa, assurent détenir la majorité au parlement. «La nomination de M. Adel Abdoul Mahdi est intervenue à la suite d’un accord entre le bloc Binaa et le bloc Islah pour faire en sorte qu’il soit désigné par consensus et pas par un bloc majoritaire afin de régler le problème de la détermination du bloc majoritaire», a expliqué Ahmed al Assadi, porte-parole de la coalition d’Amiri et Maliki.

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Sanctions contre l’Iran : Washington rappelé à l’ordre par la justice internationale

Thu, 10/04/2018 - 16:01

La Cour internationale de justice (CIJ) a ordonné mercredi aux Etats-Unis de mettre fin aux sanctions contre l’Iran visant des biens «à des fins humanitaires», un revers pour Washington qui a toutefois récusé la compétence de la Cour dans cette affaire.

La CIJ se prononçait sur la demande de Téhéran de suspendre les sanctions américaines réimposées par Donald Trump après sa dénonciation de l’accord sur le nucléaire iranien, la République islamique dénonçant de graves conséquences sur son économie.
Les juges de la Cour basée à La Haye, plus haute instance judiciaire des Nations unies, ont décidé à l’unanimité que les sanctions imposées visant certains biens constituaient une violation d’un traité d’amitié conclu en 1955 entre l’Iran et les États-Unis. «La Cour indique, à l’unanimité, que les Etats-Unis (…) doivent, par les moyens de leurs choix, supprimer toute entrave que les mesures annoncées le 8 mai 2018 mettent à la libre exportation vers l’Iran de médicaments et de matériel médical, de denrées alimentaires et de produits agricoles», et de biens nécessaires à la sécurité de l’aviation civile, a déclaré le juge président Abdulqawi Ahmed Yusuf. Les décisions de la CIJ sont contraignantes et ne peuvent pas faire l’objet d’une procédure en appel. Mais la Cour n’a aucun moyen de les faire appliquer. Téhéran et Washington ont tous deux déjà ignoré l’avis de la Cour dans le passé, et les Etats-Unis ont fermement récusé sa compétence dans cette affaire.
La décision de la CIJ intervient dans un contexte de tensions grandissantes entre l’Iran et les Etats-Unis, le président américain Donald Trump promettant une nouvelle fois la semaine passée devant l’Assemblée générale de l’ONU de nouvelles mesures punitives «plus dures que jamais, pour contrer l’ensemble du comportement malveillant de l’Iran», accusé de déstabiliser le Moyen-Orient.

Economie iranienne «étranglée»
Accusant les états-Unis d’«étrangler» son économie, l’Iran a entamé une bataille judiciaire devant la CIJ après la réimposition par Donald Trump de sanctions unilatérales sévères contre Téhéran, suspendues depuis l’accord international sur le nucléaire iranien conclu en 2015.
Le président américain a retiré en mai son pays de cet accord signé par l’Iran et les grandes puissances, dans lequel la République islamique s’engage à ne pas chercher à se doter de l’arme atomique. Les sanctions comprennent des blocages sur les transactions financières et les importations de matières premières, ainsi que des mesures pénalisantes sur les achats dans le secteur automobile et l’aviation commerciale. Washington estime que leur rétablissement est nécessaire afin de protéger la sécurité internationale.
Selon Donald Trump, les mesures visent à «intensifier la pression» sur le régime iranien afin qu’il «change de comportement», notamment en ce qui concerne son programme balistique.
D’après Téhéran, la politique de Washington a des «conséquences dramatiques» sur l’économie iranienne et «viole de nombreuses dispositions» du traité américano-iranien de 1955, qui encourage les échanges commerciaux. De son côté, Washington avance que Téhéran ne s’est pas montré «de bonne foi» en invoquant le traité dans cette procédure.

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Brésil: Bolsonaro grimpe dans les sondages

Thu, 10/04/2018 - 15:59

Les milieux d’affaires ont clairement choisi leur camp au Brésil: à cinq jours du premier tour d’une présidentielle aussi imprévisible que polarisée, la Bourse a salué mardi, par une nette hausse la publication d’un sondage très favorable au candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro. L’indice Ibovespa a enregistré une hausse de 3,78 % à la clôture, après avoir reculé deux jours de suite. Le réal reprenait également des couleurs par rapport au dollar, la monnaie brésilienne étant cotée à 3,93 pour un dollar, soit une hausse de 2,09 % par rapport à lundi. Pour les analystes, les marchés ont ainsi salué le résultat d’un sondage de l’institut Ibope, publié lundi soir, qui a crédité Jair Bolsonaro, 63 ans, de 31 % des intentions de vote pour le premier tour de dimanche, soit quatre points supplémentaires par rapport à jeudi.

Le président du Parti social libéral (PSL), privé de campagne sur le terrain après avoir été poignardé le 6 septembre pendant un bain de foule, creuse ainsi son avance, désormais de 10 points, sur son principal adversaire, le candidat du Parti des travailleurs (PT, gauche) Fernando Haddad, qui plafonne à 21 %. Une tendance confirmée après la clôture de la bourse par le résultat d’un autre sondage publié mardi soir, par l’institut Datafolha, avec un avantage encore plus important, de 11 points (32 % contre 21 % pour M. Haddad). « Les marchés sont optimistes avec Bolsonaro », a commenté auprès de l’AFP André Perfeito, du cabinet de conseil Spinelli. Cette euphorie « va faire décoller les marchés dans les prochains jours », a-t-il prédit avant même la parution du sondage de mardi soir, et la confirmation de l’avance du candidat d’extrême droite. Mardi, des hausses importantes étaient, notamment constatées sur les cours des entreprises publiques que le principal conseiller économique de M. Bolsonaro, Paulo Guedes, prévoit de privatiser partiellement ou en totalité en cas de victoire.

L’action ordinaire de la compagnie pétrolière nationale Petrobras a bondi de 6,74 % et celle de la compagnie d’électricité Electrobras de 9,02 %. Le secteur bancaire, sur lequel Fernando Haddad souhaite faire pression pour qu’il baisse les taux d’intérêt, a également réagi positivement à son mauvais score dans le dernier sondage, avec des hausses de 3,37 % pour la banque Itau Unibanco, de 5,93 % pour Santander. La dépréciation du réal a été freinée, après un plus bas historique à la mi-septembre où le dollar s’échangeait à 4,19 réais. « Chicago Boy » Les investisseurs avaient d’abord misé sur les candidats du centre. Mais ni l’ancien gouverneur de Sao Paulo, Geraldo Alckim (8 %) du PSDB (centre droit), ni Henrique Meirelles, (2 %), le candidat du MDB, le parti du président sortant Michel Temer, n’ont réussi à percer. Même s’il admet ouvertement son incompétence en matière économique, Jair Bolsonaro est parvenu à séduire les milieux d’affaires grâce à Paulo Guedes, un « Chicago Boy » ultra-libéral. Le conseiller économique préconise de nombreuses privatisations pour réduire une dette très importante (77,3 % du PIB) et la mise en place d’un régime de retraites par capitalisation.

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23e SILA: Le romancier chinois Mo Yan, prix Nobel de littérature sera présent

Thu, 10/04/2018 - 15:55

Le prix Nobel de littérature de l’année 2012, le romancier chinois Mo Yan, est attendu au 23e Salon international du livre d’Alger (Sila), prévu du 29 octobre au 10 novembre prochains aux Palais des expositions des Pins maritimes, annonce mardi un communiqué du ministère de la Culture. Présent parmi les représentants de la Chine, invité d’honneur de cette édition, le prix Nobel 2012 de littérature animera une conférence, avant d’assister à un hommage qui lui sera rendu par le commissariat du Salon, dans une cérémonie prévue à son honneur. La delégation chinoise compte plus de 150 membres entre écrivains et éditeurs, précise la même source. La participation de Mo Yan au 23e Sila s’inscrit dans le cadre du «renforcement des relations historiques» sino-algériennes qui célèbrent cette année leur 60e anniversaire, et intervient également en guise de «reconnaissance de la présence et la place qu’occupe la Culture algérienne dans le monde», selon le communiqué.
Le 23e Sila, qui mettra à l’honneur la littérature chinoise, présente avec 3.000 titres en Arabe et en Anglais, verra la participation d’un millier d’éditeurs algériens et étrangers représentant 47 pays, répartis sur 970 maisons d’éditions dont 271 algériennes.
D’autres hommages à des figures de la culture algérienne, en plus des conférences et des tables rondes, sont prévus par le commissariat du 23e Sila, à l’image de Abdellah Cheriet, Said Boutadjine, Abou Kassem Saad Allah ou encore l’écrivain et archiviste, Mourad Bourboune, scénariste du film sur Larbi Ben M’hidi.

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Lady Gaga au cinéma: Une actrice est née

Thu, 10/04/2018 - 15:51

La popstar Lady Gaga a mis sa légendaire extravagance de côté pour faire ses débuts au cinéma dans «A Star is born», premier long métrage de Bradley Cooper en salles mercredi, dans lequel elle incarne une jeune chanteuse prometteuse, avec force mais sans fard.

«On a vu tellement de versions de ce film et on sait que cette histoire a surmonté l’épreuve du temps, c’est pour ça qu’elle touche les gens à travers le monde et j’ai hâte que tout le monde puisse la voir», avait déclaré Lady Gaga à la Mostra de Venise où «A Star is born», troisième remake du film culte, avait été présenté hors compétition.
La première version signée William A. Wellman, sortie en 1937, avait déjà donné lieu à des remakes de George Cukor en 1954, avec Judy Garland et de Frank Pierson, en 1976, avec Barbra Streisand. Loin des excentricités dont elle est coutumière, l’interprète de «Poker Face» apparaît au naturel, fragile et hésitante, dans le film, où elle incarne Ally, une chanteuse prometteuse mais qui doute de son talent. Sa route croise celle de Jackson Maine (Bradley Cooper), chanteur de country alcoolique dont la carrière est sur le déclin, qui la propulse sur le devant de la scène et fait d’elle une star adulée. «J’ai toujours aimé me transformer, changer de peau, de personnage, ça fait partie de mon art, de ma musique et ce qui est incroyable dans cette aventure avec Bradley c’est qu’il a voulu me voir sans fard», a indiqué Lady Gaga, de son vrai nom Stefani Germanotta. «Je me souviens très bien quand je suis descendue de chez moi avec Bradley pour aller faire les essais, il avait un coton à la main et il m’a démaquillée en disant qu’il ne voulait rien sur mon visage», a ajouté la New-yorkaise de 32 ans.

Le nez de la Callas
Prometteuse dans son premier grand rôle sur grand écran, l’artiste aux 180 millions de disques dans le monde en dix ans a aussi évoqué ses débuts, faisant le parallèle avec son personnage.
«Au début, Ally ne croit plus en elle tandis que moi, quand j’ai commencé dans la musique à 19 ans, je suis partie tambour battant. J’allais de bar en bar en cherchant du travail, je croyais vraiment en moi», a-t-elle confié à Venise.
L’acteur Bradley Cooper («American Sniper», «Very Bad Trip»), qui signe à 43 ans sa première mise en scène, a expliqué s’être immédiatement entendu avec la popstar. «Elle m’a mis à l’aise dès notre première rencontre et je mentirais si je disais que j’étais nerveux.
Quand vous voyez une artiste de ce calibre vous traiter comme son égal, ça vous rend plus fort», a-t-il expliqué. «En faisant le film, on a pu la voir chanter tous les jours, toute l’équipe s’asseyait et on oubliait qu’on était en train de travailler», a-t-il ajouté.
Lancé en 2011, le film a connu de multiples rebondissements. Clint Eastwood qui devait initialement diriger la chanteuse Beyoncé dans le rôle d’Ally a finalement laissé la place à Bradley Cooper tandis que Lady Gaga a rejoint le projet en 2016.
«Je n’étais pas la plus belle fille du coin», a encore déclaré la chanteuse, qui a plaisanté sur son nez (dont le personnage d’Ally fait un complexe) en réponse à une journaliste qui l’a comparé à celui de Maria Callas…
«Merci !», a-t-elle répondu en se tournant de profil et en faisant glisser son index le long de son nez.

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Pétrole: le Brent à plus de 86 dollars

Thu, 10/04/2018 - 15:48

Les prix du pétrole ont clôturé mercredi à leur plus haut niveau depuis 2014 à New York et à Londres, poussés par des commentaires de responsables américains sur l’Iran remettant sur le devant de la scène les sanctions imminentes contre le pétrole iranien. Le baril de light sweet crude (WTI) pour livraison en novembre, référence américaine du brut, a gagné 1,18 dollar ou 1,6% pour clôturer à 76,41 dollars sur le New York Mercantile Exchange. Il est monté dans la journée jusqu’à 76,90 dollars. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre a bondi de 1,49 dollar ou 1,8% pour terminer à 86,29 dollars sur l’Intercontinental Exchange (ICE). Il a grimpé jusqu’à 86,74 dollars en cours de séance.

Les cours du brut avaient pourtant débuté la séance près de l’équilibre, alors que la Russie et l’Arabie saoudite ont affirmé avoir ouvert les vannes à fond pour assurer un certain équilibre sur le marché. Les investisseurs s’inquiètent en effet depuis plusieurs mois d’un potentiel déficit de l’offre d’or noir sur le marché mondial après l’entrée en vigueur début novembre de sanctions américaines contre les exportations de l’Iran. Donald Trump, qui voit d’un mauvais oeil la flambée des prix de l’essence juste avant les élections de mi-mandat en novembre, accuse régulièrement l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et ses partenaires d’avoir fait grimper les prix en limitant leurs extractions depuis début 2017. Mais le président russe Vladimir Poutine lui a répondu mercredi lors d’un forum consacré à l’Energie à Moscou que son pays avait déjà augmenté sa production de 400.000 barils par jour. « S’il le faut, nous pourrions l’augmenter encore de 200 à 300.000 barils par jour », a-t-il indiqué. Le prix du brut est « essentiellement le résultat des activités de l’actuelle administration américaine » et « de sa politique irresponsable qui a un impact direct sur l’économie mondiale », a-t-il aussi affirmé.

Le ministre saoudien de l’Energie, Khaled al-Faleh, a pour sa part indiqué que son pays extrayait début octobre environ 10,7 millions de barils par jour, soit le niveau de son record historique de 10,72 millions de barils atteint en novembre 2016, et pourrait encore augmenter la cadence en novembre.Les prix des barils ont piqué du nez juste après la diffusion en cours de séance d’un rapport américain montrant une hausse bien plus élevée que prévu des stocks de brut aux États-Unis, en raison notamment d’une chute des exportations. Mais ce repli n’a pas duré. « Les investisseurs spéculatifs en ont profité pour faire des achats à des prix moins élevés », selon Robert Yawger de Mizuho. « Puis Mike Pompeo et John Bolton ont parlé de l’Iran, ce qui a fait bondir les cours », a-t-il ajouté. Le chef de la diplomatie américaine a notamment accusé l’Iran d’être « derrière la menace actuelle contre les Américains en Irak » tandis que le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump a affirmé que « le régime iranien (avait) systématiquement conduit une politique hostile aux États-Unis » lors d’un point-presse à la Maison Blanche. « Ces commentaires font encore monter la température entre les deux pays avant même l’entrée en vigueur des sanctions », a remarqué Phil Flynn de Price Futures Group.

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Fraude fiscale: le Panama donne le coup d’envoi à l’échange d’informations

Thu, 10/04/2018 - 15:47

Le Panama a commencé fin septembre à procéder à des échanges automatiques d’informations selon les normes de l’OCDE contre la fraude fiscale, a annoncé mercredi le gouvernement panaméen. « Pour la première fois, un échange automatique d’informations a été effectué », a déclaré en conférence de presse le directeur général des Finances David Hidalgo. Ce premier échange a été réalisé le 28 septembre dernier, soit deux jours avant la date limite pour que le Panama se mette en règle avec les normes de l’Organisation pour la coopération et le développement économique (OCDE), a-t-il précisé. A cette occasion, le Panama a fourni 670 rapports de 337 entités financières, a encore indiqué M. Hidalgo. Le Panama s’est engagé à échanger des données émanant de ses institutions financières avec 33 pays. Un chiffre que le pays d’Amérique centrale souhaite augmenter dès l’année prochaine.

Parmi les bénéficiaires de ces échanges d’informations figurent notamment la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Portugal, l’Espagne, l’Italie, le Mexique, le Japon, l’Irlande, le Luxembourg, les Pays-Bas, l’Australie et l’Inde. « C’est positif de respecter ces normes et nos engagements afin de ne pas figurer sur une liste » noire des paradis fiscaux, a souligné le directeur général des Finances du Panama. De son côté, Alejandro Santos, chef de mission du Fonds monétaire international (FMI), a engagé le Panama à approuver un projet de loi actuellement à l’examen par le Parlement, qui prévoit de sanctionner par cinq années de prison toute évasion fiscale supérieure à 300.000 dollars. « C’est très important, pour démontrer que (le Panama) continue ses progrès pour lutter contre le blanchiment d’argent », et qu’il évite ainsi d’être inscrit sur une liste noire des paradis fiscaux, a insisté le responsable du FMI.

A la suite du scandale d’évasion fiscale des « Panama Papers » en 2016, l’OCDE a accusé le pays centro-américain d’être « le dernier grand bastion » où peuvent se cacher des grandes fortunes. La France a alors inscrit le Panama sur sa liste des paradis fiscaux. L’Union européenne avait fait de même avant de se raviser peu après. Ces mises à l’index ont poussé le Panama à accélérer des réformes de la réglementation de son secteur financier et à adhérer à plusieurs accords de l’OCDE, notamment celui sur l’échange automatique d’informations. AFP

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Peugeot Citroën Production Algérie : La nouvelle C3 sera le premier modèle Citroën

Thu, 10/04/2018 - 15:45

Par Khaled A.

La nouvelle C3 sera le premier modèle Citroën qui sortira des lignes d’assemblage du PIA (Projet Industriel Algérie) du Groupe PSA.

Annoncée comme premier modèle pour la gamme Citroën, la C-Elysée ne le sera finalement pas puisque ça sera à la nouvelle génération de la C3 d’avoir la lourde tâche de relancer l’activité commerciale de SAIDA, représentant de la marque en Algérie.

En effet, c’est ce que nous avons appris en marge du Salon de Paris auprès des concernés qui espère avoir ce modèle durant le premier semestre de l’année prochaine.

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Le président de l’ANCA, Hadj Tahar Boulanouar au « Courrier d’Algérie »: « L’informel accapare 40 % du marché de l’or en Algérie »

Thu, 10/04/2018 - 15:33

Dans l’entretien qu’il nous a accordé, hier à Alger, le président de l’Association nationale des commerçants et artisans (ANCA), Hadj Tahar Boulanouar, a affirmé que le marché illégal de l’or prospère en Algérie. Tout en soulignant, néanmoins que certains «bijoutiers informels» écoulent leurs marchandises sur ce marché pour échapper à la fiscalité.

-Le Courrier d’Algérie: On observe aujourd’hui que l’or s’est très répandu sur le marché noir. Qu’en pensez-vous ?
-Hadj Tahar Boulanouar : Effectivement, l’informel occupe, aujourd’hui, 40% du marché de l’or en Algérie et 50% de ces produits sont contrefaits. En effet, la contrefaçon inonde le marché alors que l’informel domine ce dernier.
Ce marché était, auparavant, basé sur l’artisanat. Aussi, avec le dégradation des métiers d’artisan, nous avons perdu plus de
30 000 artisans- bijoutiers qui achetaient (en vrac) et fabriquaient ce métal précieux. Avec la rareté de la matière première, ils ont fermé leurs boutiques.

-Outre cela, on remarque que le prix de l’or est « moins cher » au marché parallèle de «Dlala», par exemple, par rapport aux prix de l’or proposé par certains bijoutiers de la capitale. que pouvez-vous nous dire sur cela ?
-Absolument, le prix de l’or est moins cher par rapport aux prix proposés par les bijoutiers pour la raison que ces vendeurs «au noir» écoulent leurs produits sans payer toutes les charges fiscales. D’autant plus que la majorité de ces vendeurs de l’informel vend de l’or « trafiqué », avec des prix effectivement moins chers.

-En effet, dans ces conditions là, certains clients nous avouent, aussi, qu’ils acquièrent l’or importé chez des particuliers. quel est votre constat?
-Oui, la majorité de l’or importé est vendue souvent par des vendeurs de «CABA». Et je soulignerais aussi que 50% jusqu’à 100 % de cet or sont également vendus «plus cher» que le prix habituel.

-De même, il existe des vendeurs qui vendent l’or discrètement, …
-Oui, ils vendent de l’or dans le cadre de l’informel. Mais,il faut savoir aussi d’oû ils ramènent cet or, ou bien qui sont leurs fournisseurs. Une question qu’on doit se poser quotidiennement.

-Le comble aussi, c’est que plusieurs acheteurs sont arnaqués et certains encourent la prison……
-Oui, on assiste, quotidiennement à ces arnaques ou escroqueries et malheureusement, certains de ces clients encourent la prison sans pouvoir se défendre.

-Enfin, est-ce qu’il existe une réglementation rigoureuse pour lutter contre le marché noir de l’or en Algérie ?
-Oui, elle existe comme pour toute activité illégale; seulement nous lançons un appel aux autorités publiques de revoir et de réorganiser ce marché en Algérie.
Entretien réalisé par Mehdi Isikioune

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Il estime que l’APN n’est pas en crise: Le sénateur Benzaïm en appelle à l’arbitrage du président Bouteflika

Thu, 10/04/2018 - 15:30

Le sénateur FLN, Abdelouahab Benzaïm, dont la relation avec le SG actuel Ould Abbès s’est détériorée provoquant son exclusion du parti, a estimé, hier, que la crise qui oppose actuellement le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) et le groupe parlementaire de son parti est un « conflit politique interne et partisan» et non pas une crise de l’institution législative.

Cependant, le sénateur a souligné que la seule solution pour éviter l’impasse d’un blocage de l’institution législative est l’intervention d’ « une autorité d’arbitrage », qui est le président, en procédant à la dissolution de l’APN. En marge d’une journée d’étude au Sénat sur « le contrôle parlementaire », Benzaïm a critiqué pour autant la démarche du FLN sur la collecte de signatures pour le retrait de confiance à Saïd Bouhadja, qui refuse toujours de répondre à la demande de son parti de démissionner, la jugeant « anticonstitutionnelle ». « C’est une affaire partisane, interne au FLN, car son groupe parlementaire est le premier à avoir demandé la démission du président de l’APN, qui s’accroche à son droit constitutionnel de continuer son mandat », a indiqué Benzaïm. Il a ajouté : « à mon avis, il se peut que d’autres parties puisse
nt intervenir dans les jours à venir afin de solutionner la crise et convaincre Bouhadja de démissionner. Des informations sur une démission de Bouhadja durant cette semaine ont beaucoup circulé après que les groupes parlementaires FLN, RND, TAJ, MPA et indépendants soient parvenu à recueillir 360 signatures pour exiger son départ de l’APN. Mais, dans des déclarations à la presse, Bouhadja a refusé d’entendre de démission, précisant « qu’il faut d’abord que je sache s’il s’agit d’une démission ou d’un limogeage ». Pour Benzaïm, « la question de retrait de confiance est illégale et anticonstitutionnelle (…) il reste que c’est une affaire politique, puisque son groupe parlementaire lui refuse de poursuivre son mandat comme président de l’APN. Et puisque Bouhadja refuse de démissionner, il reste l’option d’une autorité d’arbitrage, c’est-à-dire le président de la République, car l’Assemblée ne doit pas être bloquée, il faut qu’elle continue à fonctionner». Revenant sur la question de la motion de retrait de confiance, déclenchée par les groupes majoritaires à l’APN, Benzaïm a noté que ce procédé est désavoué même par le SG du FLN dans un premier temps, lors du mouvement de redressement lancé, l’année dernière pour le faire tomber. Il explique : « les membres du Comité central actuel sont au nombre de 500. Alors que 20 ou 25 seulement travaillent avec le SG actuel et les 380 restants sont à l’extérieur. Quand on a entamé une motion de retrait de confiance contre Ould Abbès en récoltant près de 380 signatures, ce dernier a rétorqué que “le temps des signatures est révolu”. Même à l’APN, je pense qu’actuellement le temps des signatures est révolu ». Pour Benzaïm, on risque de se diriger vers « une crise institutionnelle », ce qui impose l’impératif de l’intervention de président de la République. Sur les raisons qui poussent Bouhadja à se greffer à l’image de Président en affirmant qu’il est désigné par la Présidence et non pas élu et donc qu’il s’attend à « un appel du Président » pour prendre une décision, Benzaïm pense que « constitutionnellement, Bouhadja est élu car passé par l’urne et investi ensuite par son parti à la tête de l’Assemblée». «C’est une crise politique spécifique au parti du FLN que l’on veuille ou pas. C’est un conflit partisan où chacune des parties recourt et exploite ses prérogatives et alliances pour conforter sa position. Même Bouhadja à ses hommes qui le soutiennent et appuient sa légitimité, y compris parmi certains députés», a-t-il développé.
Hamid Mecheri

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Le prix du pétrole franchit la barre de 85 dollars Pari gagné par les pays producteurs, dont l’Algérie, sur Trump

Thu, 10/04/2018 - 15:29

Le prix du panier de pétrole continue sa tendance haussière en atteignant son plus haut niveau depuis quatre ans. En effet, le baril du Brent est affiché vers 16 heures mardi, à 85.30$, soit un seuil jamais atteint depuis pratiquement quatre ans.
Cette hausse intervient sur fond de pression du président américain, Donald Trump, sur l’Arabie saoudite et ses voisins du Golfe pour faire baisser les tarifs de l’or noir. Notons que les sanctions américaines contre le pétrole iranien devraient entrer en vigueur dès le mois prochain, ce qui entraînerait une hausse des prix dans les semaines et les mois à venir. Cette hausse est accompagnée, faut-il le souligner, par une baisse de l’offre suite au boycott du pétrole iranien par les alliés de Washington. Rappelons que l’Iran avait pompé ces derniers mois environ 3% du pétrole mondial, soit 100 millions de barils par jour.
De l’avis des observateurs, cette hausse des prix s’explique par les sanctions américaines infligées à Téhéran ainsi que par la signature de l’accord définissant la zone de libre-échange (NAFTA) par les États-Unis, le Mexique et le Canada. D’après des experts, les sanctions américaines et la détérioration de la situation au Venezuela entraineraient une baisse de l’offre et de surcroît une flambée des prix, au grand bonheur des pays exportateurs, qui pourraient atteindre la barre des 100 dollars.
Z.S. Loutari

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La DGSN parle de six tonnes de cannabis saisies en 2017: 400 établissements scolaires sont envahis par la drogue

Thu, 10/04/2018 - 15:26

Selon une étude récente, la drogue est présente partout en Algérie, aussi bien en milieu urbain que rural, elle touche toutes les franges de la société et plus particulièrement les jeunes dont la tranche d’âge se situe entre 12 et 35 ans.

Un état de fait qui fait que le phénomène de trafic de drogue prend une ampleur inquiétante aujourd’hui dans le pays. En dépit des actions conjuguées des services de sécurité, de la sévérité de la justice et des actions sporadiques de sensibilisation, la drogue s’est ancrée dans les villes, les cités et quartiers où elle fait des ravages. La jeunesse est exposée à ce mal du siècle et toutes les couches de la société, selon des spécialistes, ne sont pas épargnées par ce phénomène auquel même les filles n’échappent pas. Pour annihiler ce phénomène récurrent qui gangrène notre société, le chef de la cellule de lutte contre le trafic de stupéfiants à la DGSN, Djamel Guessoum a signalé, hier sur les ondes de la radio nationale, que : « La consommation de narcotiques au sein de l’ensemble des segments de la société algérienne, tant en milieu urbain que rural, est en train de se transformer en une sorte de montée vertigineuse. » Précisant dans ce sens que c’est un phénomène qui est en train de prendre de l’ampleur depuis une décennie déjà. Il a fait état de divers facteurs parmi lesquels il cite la position géographique du pays utilisé, à ses dépends, comme carrefour de transit de la drogue vers diverses destinations.
Le commissaire divisionnaire a signalé, lors de son intervention, qu’il reste malaisé de connaître précisément les types et les quantités réelles de drogue transportées via l’Algérie. Il note cependant qu’: « une partie se trouve tout naturellement déversée au niveau du marché local, qu’il s’agisse du cannabis, des psychotropes ou des opiacées d’une manière générale », a-t-il dit.
Par ailleurs, Djamel Guessoum a indiqué que : « les stupéfiants ont déjà fait leur intrusion dans près de 400 établissements scolaires, soit 1% du total, relevant cependant que l’Algérie est, pour autant, loin d’être dans le rouge » s’est-il référé à des statistiques de l’Office national de lutte contre la drogue.
Commentant l’évolution des prises de drogue effectuées par les divers services de sécurité, l’officier de la DGSN constate que si pour ce qui concerne le cannabis, il en a été saisi 56 tonnes en 2012 contre six tonnes en 2017, il en va tout autrement pour les psychotropes, dont il a été mis la main sur 3,6 millions de comprimés et procédé à 150 000 arrestations, au cours des cinq dernières années. Il précise, en outre, que les divers services agissant contre les réseaux de narcotrafiquants ont réussi, à ce jour, à en démembrer plus d’une vingtaine, révélant que la lutte est plus difficile à mener contre les petits dealers activant en milieu urbain.
à noter que l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie a élaboré une stratégie nationale de lutte contre la drogue (2018-2022) basée sur la prévention et la sensibilisation aux dangers des stupéfiants, sur les soins et sur la réduction de l’offre et la demande en matière de drogue. Cette stratégie, notons-le, vise à garantir les soins aux personnes souffrantes de dépendance en général en œuvrant à la réduction de la consommation et à minimiser les impacts sociaux et sanitaires.
B. M. Wali

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Ligue 1 Mobilis (9e journée): La JS Kabylie sur du velours et derby USMA – MCA à l’affiche

Thu, 10/04/2018 - 15:25

La 9e journée de la Ligue 1 Mobilis de football, étalée du 4 au 7 octobre, sera dominée par le derby algérois USMA-MCA, alors que le leader du championnat, la JS Kabylie, tentera de préserver son invincibilité en accueillant l’Olympique de Médéa, une équipe du bas du tableau actuellement.

Vainqueur lors de la précédente journée face au Paradou AC (3-1), l’USM Alger aura à cœur, samedi face à son voisin mouloudéen, de remporter le gain du match afin de rester sur la dynamique des victoires en championnat et ne pas se laisser distancer par le leader actuel. Le MCA, lui, tentera de remporter ce traditionnel derby, pour retrouver la confiance après les déboires connus par une formation qui occupe une peu reluisante 11è place au classement avec, cependant, un match en moins à disputer à domicile face au CS Constantine le 15 octobre. La 9è journée du championnat sera également marquée par une «confrontation prometteuse» entre le NA Hussein Dey et Paradou AC , deux formations au football académique. Ayant le vent en poupe, l’équipe entraînée par Bilal Dziri, 3è au classement, a ramené vendredi dernier, un précieux nul (1-1) de Ain M’lila, alors que la formation de Paradou reste sur une défaite – la seconde consécutive – face à l’USM Alger (3-1).

La lanterne rouge, le CR Belouizdad, effectuera un périlleux déplacement, en allant affronter le champion de la saison écoulée, le CS Constantine qui occupe actuellement la 4è place au classement avec un match en moins à disputer à Alger face au MCA le 15 octobre. Le CRB qui reste sur quatre défaites de rang, aura à priori du mal, à s’imposer face à une équipe du CSC difficile à manier sur la pelouse du stade Chahid Hamlaoui. Même constat pour la formation de l’USM Belabbès (15è) qui aura à affronter, hors de ses bases, la JS Saoura. Cette dernière, 7è au classement, reste sur une précieuse victoire (0-1) acquise samedi dernier à Béjaia face au MOB qui, à son tour, cherchera à se racheter en se déplaçant vendredi prochain à Tadjenanet pour se mesurer au DRBT (11è). Le CA Bordj Bou Arreridj (11è) reçoit l’AS Ain M’Lila (7è) dans un match qui s’annonce équilibré entre deux équipes cherchant à améliorer leur classement. La 9è journée du championnat sera clôturée dimanche avec le déroulement de la rencontre MC Oran – ES Sétif. Ce match a été décalé afin de permettre à l’équipe sétifienne de disputer au Caire la demi-finale (Aller) de la Ligue des champions d’Afrique perdue face au Ahly d’Egypte sur le score de 2 à 0.

Programme
Vendredi 5 octobre :
Stade 20-août (Alger) : NA Hussein Dey – Paradou AC (16h00)
Tadjenanet : DRB Tadjenanet – MO Béjaia (16h00)
Chahid Hamlaoui : CS Constantine – CR Belouizdad (17h00)
Bordj Bou Arreridj : CABB Arreridj – AS Ain Mlila (17h45)
Tizi-Ouzou : JS Kabylie – O. Médéa (17h45)
Saoura : JS Saoura – USM Bel Abbès (19h00)

Samedi :
Bologhine (Alger) : USM Alger – MC Alger (17h45)

Dimanche :
Ahmed-Zabana (Oran) : MC Oran – ES Sétif (17h00)

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La Caf offre une petite «fleur» en cadeau pour l’Algérie avec le CHAN 2022 : Quel poids pour le football algérien en Afrique ?

Thu, 10/04/2018 - 15:22

Beaucoup d’encre et de salive ont coulé et il faudra sans doute attendre longtemps pour comprendre (peut-être jamais) ce qui a présidé au choix de la Confédération africaine de football (CAF), un certain 20 septembre 2014 (c’était au temps de l’empereur Hayatou désormais aux oubliettes, pour ne pas dire les poubelles de l’histoire), au regard de l’organisation des prochaines CAN, la désignation du Cameroun, la Côte d’Ivoire et la Guinée pour accueillir, respectivement, les éditions de 2019, 2021 et 2023 de sa compétition-phare. Une grosse surprise à plusieurs égards. L’Algérie, grandissime favorite et disposant de plusieurs longueurs d’avance sur ses rivaux grâce à ses infrastructures et à ses moyens financiers, était recalée. Sèchement. à l’arrivée d’un scrutin qui fera date, nombre d’analystes oseront quelques pistes quant à ce «impair» de ne pas retenir l’Algérie: une tactique, tout simplement, de la CAF, pour palier, en ce temps-là, à un sérieux problème : Le désistement, pour des raisons de sécurité, de la Lybie dans l’organisation de l’édition de 2017. La suite, tout le monde la connaît au moment où l’histoire semble à nouveau bégayer avec ce petit «os» à se mettre sous la dent et qui s’appelle CHAN. On connaît la chanson. Merci qui ?

Faute de … grives
Une «bonne nouvelle» pour notre pays qui n’a pas organisé de compétition «sénior» depuis la CAN 1990, soit près de quatre longues décennies (38 ans au moment où l’on rédige ces quelques lignes, 42 ans lorsqu’elle aura l’insigne «honneur» d’accueillir sur ses terres la crème du jeu à onze continental local) et ce fameux et seul, unique titre remporté par les «Verts» devant le Nigéria dans un stade du «5-juillet» transformé en volcan après la réalisation d’un certain Oudjani dans un match fermé pourtant à double tour ? Beaucoup ont toutefois aisément franchi le pas en parlant de 1er victoire de Zetchi. Vrai ou faux, la question ne s’impose pas ou plus du moment, et on verra pourquoi (entre autres le nom de l’éventuel successeur du Cameroun à l’organisation de la CAN, la vraie, avec toutes les stars disséminées un peu partout dans le monde et qui font le bonheur des plus prestigieuses écuries d’Europe et d’ailleurs) 2019, que l’instance suprême en charge de la gestion du ballon rond africain, continue à ignorer superbement à l’heure des grandes décisions concernant l’avenir de la discipline après avoir été (sans retour bien sûr) l’un de ses incontournables fers de lance.

Une 1ère bataille de «gagnée» donc pour la Faf, dans sa version «zetchienne» ? Oui et non. Oui parce que cette compétition réservée exclusivement aux joueurs du cru peut constituer un joli tremplin dans l’éventualité d’une nouvelle candidature de l’Algérie espérer revoir, enfin, la messe du football continental (ce ne sera pas avant l’édition 2025, après que la Côte d’Ivoire 2021 et Guinée 2023 auront constitué, l’espace d’un tournoi sans pareil, l’heureux évènement … et ça fera déjà un bail pour un pays qui possède les moyens de sa politique alors le public national, déçu au plus haut point, perd patience) refaire le détour de terres des plus hospitalières, mais que l’auguste Confédération, pour des raisons obscures, feint d’en ignorer les immenses atouts au moment où, par exemple, un pays comme le Cameroun, en proie à d’inextricables problèmes, défraie la chronique en s’apprêtant à jeter l’éponge. Du moins à se voir retirer l’organisation du rendez-vous de 2019 prévu dans un peu moins d’une année (8 petits mois exactement, les dates du tournoi ayant été officiellement arrêtées pour la période du 15 juin au 13 juillet 2019, une première après s’être de tout temps déroulée en hiver pour des considérations d’ordre climatiques) pour n’avoir pas répondu au cahier de charges.

Menu fretin
Si l’incertitude plane donc encore sur le nom du pays hôte de cette édition à controverses et sur lequel le suspense demeure entier, et si l’on sait aussi que, pour la première fois également, 24 sélections y prendront part au lieu de 16 précédemment, l’«information» de cette rentrée footballistique en Afrique (on peut d’ores et déjà affirmer avec certitude que l’habituelle mission d’inspection attendue en Algérie pour confirmation, devrait tourner à la simple formalité, Alger ayant, avec les nouvelles installations en passe d’être réceptionnées, à l’image des stades de Baraki, Tizi-Ouzou et Oran, en plus de ceux déjà existants à l’instar des bijoux du «5-Juillet» et de Annaba, voire Hamlaoui de Constantine) reste indubitablement ce petit «cadeau», une sorte de fleur concédée (c’est le mot le plus juste) sous la forme d’une antichambre (le CHAN) en guise de porte ouverte, une sorte de fenêtre déblayant la voie de la CAN au plus tard dans trois éditions.

Du menu fretin (vraiment) après les défaites cinglantes, des gifles mêmes qui verront, par exemple, la Côte d’Ivoire et la Guinée l’emporter dans de drôles de matches à l’issue connue à l’avance, le dossier algérien, pourtant bien ficelé, se montrant (du point de vue de la CAF et de ses décideurs) dans l’incapacité de réunir les suffrages avant d’être sèchement recalé. Un «revers» que l’opinion nationale n’oubliera pas de sitôt bien sûr. L’Algérie tient enfin (la CAF l’a officialisé lors de la réunion de son comité exécutif tenu la semaine dernière à Sharm El Sheikh, en égypte) un tournoi «majeur» et doit se préparer, dès maintenant, à honorer ses engagements non seulement pour inscrire à son palmarès une 1ère étoile chez les «locaux» et réussir le pari (gagné à l’avance sûrement) de succéder avec brio à l’Ethiopie (2020), comme l’a fait le Maroc qui réalisera un joli coup double en 2018 en s’en sortant avec une mention très bien de l’avis des observateurs. Un pari qui veut dire, on n’en doute pas, l’ouverture sur un rêve vieux de quarante ans : celui de servir, à nouveau, de chapiteau pour la fête biennale du football africain.

Un rêve, et pour bien des motifs, qui n’écarte pas de nouvelles désillusions, la route étant semée d’embuches et de non-dits, la CAF nous ayant habitués aux mauvaises surprises et autres sanctions (qui a dit votes ?) tout aussi douteuses. Des incertitudes toujours. Pas seulement au sujet de la décision finale qu’aura à prendre, en novembre prochain, la CAF au sujet des capacités du Cameroun à abriter le prochain tournoi et des pays les mieux placés (l’Algérie ne figure pas, allez savoir pourquoi et c’est le président lui-même, le Malgache Ahmed Ahmed, qui le suggère, dans la liste des possibles pistes en mesure de répondre présent dans l’urgence) mais également d’un retour de l‘Algérie dans les bonnes grâces d’une Confédération appréciant décidément le deux poids- deux mesures et qui ne semble pas entrer dans les plans pour 2019, les choix étant limités, mais faits à l’avance.

Ahmed a dit
Alors qu’une commission était en train d’éplucher justement au Caire le rapport d’audit sur l’avancement des travaux au pays de Samuel Eto’o et dans une interview accordée à la revue «Le Monde Afrique», Ahmed balayait les ultimes doutes sur la question en écartant d’un revers de la main toute possibilité de voir ainsi l’Algérie prendre le témoin et revenir sur scène bien avant l’échéance de 2025. Le N°1 de la CAF, qui souligne avec insistance que «nous ne sommes plus dans un système de gouvernance dictatorial, où toutes les décisions étaient prises par une personne (…) à la CAF, il y a des compétences, des experts(…) Les décisions sont prises de façon collégiale» ne s’est pas (sans s’en rendre compte ?) empêché de donner un scoop qui aurait échappé à bien des analystes avec des propos ne laissant aucune place à d’autres lectures quand, et à une question lancinante sur les recours éventuels, il répondra sans détour (à tout un chacun de tirer les conclusions qu’il faut, ou la conclusion, car il n’y en a qu’une dans le sujet qui nous concerne, c’est-à-dire les chances algériennes, désormais réduites à néant) et sans trop réfléchir et sans exclure (décidément !) la piste marocaine: « Pourquoi ne parle-t-on pas de l’Afrique du Sud ou de l’égypte ? Ces pays disposent pourtant de toutes les conditions pour un tel événement.»

Plus clair, plus net et plus précis, on ne pouvait trouver pire. à la limite, on dira merci à la CAF et direction ou sa gouvernance «collégiale» d’avoir bien voulu tourner aussi facilement la page pour l’Algérie et de remiser, sans pendre de gants, bien des rêves au placard. Un rêve qui risque de perdurer. D’aller bien plus que cette CAN 2025 (la seule qui reste dans les cordes) qu’il faudra ficeler dès à présent dans les moindres détails avant de revenir sur la table des négociations et une candidature où les arguments (le lobbying est un terme disparu de notre dictionnaire et que nos responsables devraient se faire fort de réhabiliter dans notre langage courant) techniques ne devraient à nouveau pas suffire pour … séduire. En attendant, on peut, et on doit, largement se suffire de ce «cadeau» et se convaincre (sans rien espérer) du poids de notre football dans l’échiquier continental. En net recul. Loin, bien loin des attentes. Quand les dès sont pipés, les jeux faits, le suspense absent…
Azzouaou Aghilas

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Ligue 2 Mobilis (9e journée) : L’ASO Chlef en danger à Saida, plusieurs affiches au programme

Thu, 10/04/2018 - 15:22

Le leader l’ASO Chlef qui reste sur un semi-échec à domicile effectuera un périlleux déplacement à Saida pour affronter le Mouloudia local à l’occasion de la 9e journée du championnat de Ligue 2 Mobilis qui nous propose plusieurs affiches alléchantes dont le derby RC Relizane – ASM Oran et le choc MC El Eulma et l’USM Annaba, au moment où les mal classés RC Kouba et USM Blida seront en mission difficile face respectivement l’ES Mostaganem (3e) et la JSM Béjaïa (12e). Mais c’est selon toute vraisemblance le derby de l’Ouest, entre le RCR et l’ASMO qui devrait le plus captiver les regards, d’autant plus que les deux antagonistes se portent relativement bien en ce moment. L’ASMO reste en effet sur une importante victoire contre le MC El Eulma (2-1), alors que le RCR a ramené un précieux nul de Tlemcen, lors de son précédent derby contre le WAT.

Le RCR pointe actuellement au 11e rang du classement général, avec 9 points, où il est précédé de très peu par son futur adversaire (10e / 10 pts), faisant que le derby de ce samedi, prévu à partir de 16h00 au stade Tahar Zoughari de Relizane, sera donc l’occasion pour lui de réussir un bon résultat, qui le fera remonter un peu plus au classement. Une ascension que visent également les deux actuels cinquièmes au classement général, le MC El Eulma et l’USM Annaba, qui voudront probablement réussir un bon résultat au cours de cette 9e journée. D’une part pour se rapprocher du podium, et de l’autre pour éviter de laisser trop d’espace au leader chélifien, qui les devance déjà de cinq longueurs. Le fait que l’ASO Chlef (1er/18 pts) soit appelé a effectuer un périlleux déplacement chez le MC Saïda (8e/11 pts), où il risque sérieusement de laisser des plumes, devrait les encourager un peu plus dans cette quête, tout comme l’ES Mostaganem (3e/13 pts), qui lui aura la tâche un peu plus facile en accueillant le mal classé, RC Kouba. Ce dernier n’est en effet que 14e (premier relégable) et n’a remporté aucune victoire depuis l’entame de la saison, faisant que théoriquement, il ne devrait pas poser trop de problèmes à l’ESM, même si ce dernier reste sur une courte défaite chez l’USMAn (1-0).

Autres formations concernées par cette course aux premiers rôles, le WA Tlemcen (2e) et l’US Biskra (3e), mais qui contrairement à l’ESM n’auront pas l’avantage du terrain au cours de cette 9e journée, puisqu’ils seront appelés à se déplacer respectivement chez le NC Magra (8e) et la JSM Skikda (12e). Néanmoins, malgré la difficulté de la tâche, ils devront essayer de revenir avec au moins un nul, et éviter ainsi de se faire supplanter par les nombreux poursuivants au classement, comme l’ESM, le MCEE et l’USMAn, qui justement espèrent un faux pas de leur part pour passer devant. Outre le RCK, un autre mal classé aura la mal-chance de jouer en déplacement au cours de cette 9e journée, en l’occurrence, l’USM Blida, appelée à se rendre chez la JSM Béjaïa. Un match qui s’annonce très difficile pour les Vert et Blanc, car la JSMB occupe actuellement une inconfortable 12e place au classement général, avec seulement trois longueurs d’avance sur le premier relégable, le RC Kouba. Le club de Yemma Gouraya devra donc impérativement l’emporter, pour éviter de compliquer sa situation davantage, lui qui espère toujours se relancer dans la course aux premiers rôles, comme l’exige son standing. Pour sa part, la lanterne rouge l’USM El Harrach aura la chance de recevoir l’Amel Boussaâda au stade du 1er-Novembre, ce qui devrait l’aider à remporter peut-être sa première victoire de la saison et enclencher par la même occasion sa remontée hors de la zone de turbulences.

Programme
Vendredi :
A Mostaganem (Stade OPOW) : ES Mostaganem – RC Kouba (16h00)
A Alger (Stade du 1er-Novembre-1954) : USM El Harrach – Amel Boussaâda (15h00)

Samedi :
A Magra (Stade communal) : NC Magra – WA Tlemcen (15h00)
A Saïda (Stade du 13-Avril 1958) : MC Saïda – ASO Chlef (16h00)
A Béjaïa (Stade de l’Unité Maghrébine) : JSM Béjaïa – USM Blida (16h00)
A Relizane (Stade Tahar Zoughari) : RC Relizane – ASM Oran (16h00)
A Skikda (Stade du 20-Août 1955) : JSM Skikda – US Biskra (17h00)
A El Eulma (Stade Messaoud Zougar) : MC El Eulma – USM Annaba (19h00)

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Ligue des champions européenne: Le Real Madrid surpris par la jeunesse du CSKA

Thu, 10/04/2018 - 15:17

Privé de quatre titulaires et mené d’entrée, le Real Madrid n’a pas réussi à renverser la situation à Moscou face au CSKA (1-0), qui a remporté une victoire de prestige mardi, pour la deuxième journée de la Ligue des champions.

Les triples tenants de la Ligue des champions, pourtant faciles vainqueurs de l’AS Rome 3-0 lors de la première journée, ont affiché un piètre visage dans la continuité de leurs derniers résultats décevants en Liga, une défaite 3-0 chez le Séville FC et un nul à domicile (0-0) dans le derby face à l’Atlético. Sans leur capitaine Sergio Ramos, ménagé, Gareth Bale (touché aux adducteurs), Marcelo (mollet), Isco (appendicite), ni leur maître à jouer croate Luka Modric (entré à l’heure de jeu), il faut dire que les conditions étaient réunies pour la surprise.
Trois poteaux pour le Real Pas impressionnée par l’enjeu, la jeune équipe russe a en effet fait trembler le club merengue par ses contres et les mouvements incessants de son avant-centre Fedor Chalov ou de ses milieux Nikola Vlasic, Ivan Oblyakov et Ilmat Akhmetov, 20 ans tous les quatre. Quand il souffrait face à la pression madrilène, le vice-champion de Russie a aussi été sauvé trois fois par ses montants sur une frappe de Casemiro (28e), une tête de Karim Benzema (40e), capitaine en l’absence de Ramos, puis une autre de Mariano Diaz (90e). Et l’expulsion de l’éternel gardien du CSKA Moscou Igor Akinfeev dans les arrêts de jeu, coupable d’une protestation un peu trop virulente, n’aura pas eu d’impact sur le résultat final.

«Confiance» en Benzema
«Il nous a manqué de la chance, on s’est créé beaucoup d’occasions, mais le ballon n’a pas voulu rentrer. Le but rapide les a aidé, pour le CSKA s’était la situation idéale», a commenté l’entraîneur du Real, Julen Lopetegui, qui n’a pas voulu accabler Karim Benzema, muet depuis un mois.
«Tous les joueurs gardent ma confiance (…) Benzema a fait un super début de saison, ce n’est pas que lui mais toute l’équipe qui n’a pas marqué», a-t-il déclaré. C’est la première fois depuis avril 2016 et un quart de finale à Wolfsburg (2-0) que le Real Madrid ne marque pas lors d’un match de C1. Le Real Madrid s’était mis en difficulté tout seul dès l’entame du match après une énorme erreur de Toni Kroos. L’Allemand a raté sa remise en retrait et Nikola Vlasic en a profité pour aller tromper Keylor Navas (2e). Le joueur arrivé d’Everton au mercato a aussi profité d’une hésitation coupable de Raphaël Varane, qui retrouvait le stade Loujniki deux mois et demi après y avoir été sacré champion du monde. Mais Akinfeev a finalement peu eu à s’employer au cours des 90 minutes, ne réalisant qu’une parade sur une frappe peu dangereuse de Ceballos (82e). En seconde mi-temps, le Real Madrid a même semblé impuissant à contourner le bloc russe, ne tentant sa chance que sur des frappes lointaines.
Lopetegui n’avait pourtant pas attendu l’heure de jeu pour effectuer ses trois changements, faisant rentrer Modric et l’ancien lyonnais Mariano. En première mi-temps, le jeune Alvaro Odriozola avait déjà remplacé Daniel Carvajal, blessé (43e). Ce qui n’arrange pas les affaires de l’infirmerie madrilène… Le CSKA, auteur d’un match nul 2-2 face au Viktoria Plzen en ouverture, occupe désormais la première place du groupe G, à la surprise générale devant les deux favoris, le Real et la Roma, victorieuse 5-0 contre Plzen.

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Ligue des champions de la CAF (1/2 finale aller): L’ES Sétif s’incline face à Al-Ahly (2-0)

Thu, 10/04/2018 - 15:16

L’ES Sétif s’est inclinée face à la formation égyptienne d’Al-Ahly sur le score de (2-0), mi-temps (2-0) mardi soir, au stade Al Salam au Caire en demi-finale aller de la Ligue des champions d’Afrique de football. Les buts de la rencontre ont été inscrits par Walid Soliman (23′) et Islam Mohareb (41′). La manche retour aura lieu le 23 octobre prochain au stade 8 mai 45 à 20h00. L’autre demi-finale disputée un peu plus tôt à Luanda, les Angolais de Primeiro De Agosto ont battu les Tunisiens de l’ES Tunis (1-0) .

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