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Football / Ligue 1 (2e journée – mise à jour) : le programme

Fri, 08/24/2018 - 16:46

Programme des matchs en retard comptant pour la 2e journée du Championnat d’Algérie de football, Ligue 1 Mobilis, prévus samedi (17h00):

Alger (20-Août-1955) : NA Husseïn-Dey – USM Alger

Batna       : AS Aïn M’lila – ES Sétif (à huis clos)

Tadjenanet      : DRB Tadjenanet – MC Alger

Déjà joués:

MO Béjaïa – JS Kabylie       1-1

USM Bel-Abbès – O Médéa   1-2

JS Saoura – MC Oran            2-0

CABB Arréridj – CS Constantine 0-0

Paradou AC – CR Belouizdad     0-0

Classement          Pts          J

  1. MO Béjaïa 4 2

–. JS Saoura     4    2

  1. AS Aïn-M’lila 3 1

–. ES Sétif        3         1

–. USM Alger    3         1

–. O. Médéa     3          2

  1. JS Kabylie 2 2

–. CABB Arréridj 2          2

–. CS Constantine 2     2

–. Paradou AC         2      2

  1. NA Husseïn-Dey 1 1

–. MC Oran    1     2

–. MC Alger     1     1

  1. DRB Tadjenanet 0 1

–. USM Bel-Abbès     0         2

  1. CR Belouizdad -2 2

NDLR : ce classement prend en considération la victoire de l’ASAM devant le CRB sur tapis vert (3-0) et la défalcation de 3 points à ce dernier.

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Ligue 1 (2e journée – mise à jour) : les « Africains » hors de leurs bases

Fri, 08/24/2018 - 16:31

 Les trois clubs algériens engagés en compétitions africaines, le MC Alger et l’ES Sétif (Ligue des champions) et l’USM Alger (Coupe de la Confédération), vont devoir se mettre au travail samedi à l’occasion de la mise à jour du calendrier de Ligue 1 (2e journée), avant de passer aux choses sérieuses, à savoir la compétition continentale prévue mardi et mercredi.

Tout d’abord, l’ES Sétif qui compte 3 points après sa victoire devant l’USM Bel-Abbès (3-0), effectuera un court déplacement à Batna pour y affronter à huis clos le promu, l’AS Aïn M’lila (3 pts – 1 match) dont le stade n’a pas été homologué.

Les camarades du capitaine Abdelmoumen Djabou comptent glaner un 2e succès pour s’installer en tête du classement et surtout préparer dans les meilleures conditions le « duel fratricide » qui l’opposera mardi au stade 5-Juillet (Alger) au MCA en Ligue des champions d’Afrique.

De leur côté, les M’lilis, vainqueurs sans coup férir (sur tapis vert) du CR Belouizdad lors de la journée inaugurale, visent également le même objectif, à savoir gagner cette fois-ci sur le terrain et prendre la 1re place du classement. Toutefois, ils seront privés de leur public pour cause de huis clos qui remonte à la saison écoulée.

Non loin de là, le MCA (1 pt – 1 m) sera l’hôte du DRB Tadjenanet (0 pt – 1 m) dans un match à double tranchant.

Le « doyen », déjà dos au mur dans les deux compétitions (nationale et africaine), sera sommé de réagir avant son « big » match de mardi. Le DRBT, battu par l’USM Alger à l’extérieur (1-3), fera appel à toute sa volonté pour mater son adversaire du jour qui n’est pas au mieux de sa forme après la débâcle d’El-Jadida (2-0) et qui pense beaucoup plus à son rendez-vous décisif face à l' »Aigle » sétifien.

Enfin, l’USMA (3 pts – 1 m) fera un petit saut au stade 20-Août-1955 (Alger) pour y affronter son voisin, le NA Husseïn-Dey (1 pt – 1 m). Les « Sang et Or » de Bilal Dziri ont réalisé une petite performance en accrochant le champion en titre, le CS Constantine, au stade Hamlaoui même (1-1) le week-end dernier.

La tâche des camarades de Chafaï semble compliquée, surtout qu’ils pensent beaucoup plus au match de mercredi face aux Kényans de Gor Mahia, avec lesquels ils partagent la 1re place du groupe D et qui leur disputent l’un des deux billets des quarts de finale.

Cette journée avait débuté, rappelle-t-on, le 17 août et s’est poursuivie le lendemain.

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Attaque terroriste en Libye : L’Algérie condamne « avec vigueur »

Fri, 08/24/2018 - 16:25

 L’Algérie a condamné « avec vigueur » l’attaque terroriste qui a ciblé jeudi un barrage de sécurité au niveau de l’entrée Ouest de la ville de Zliten, à l’Est de la capitale libyenne Tripoli, faisant des morts et des blessés parmi les membres des forces de sécurité.

« L’Algérie considère cette attaque comme un acte terroriste qui dévoile encore une fois la face ignoble des groupes terroristes qui ne cessent de semer la terreur et la peur et de profaner les symboles sacrés », a indiqué le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

« L’Algérie présente aux familles des victimes ses sincères condoléances ainsi que sa compassion avec les familles des blessés, réaffirmant sa solidarité avec le gouvernement et le peuple libyens dans la lutte contre le terrorisme », a ajouté le communiqué.

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« La bataille d’Alger, un film dans l’histoire » de Malek Bensmail en compétition en Croatie

Fri, 08/24/2018 - 16:23

Le long métrage documentaire « La bataille d’Alger, un film dans l’histoire » du réalisateur Malek Bensmail a été sélectionné en compétition du History Film Festival (Festival du film d’histoire) prévu du 5 au 9 septembre dans la ville de Rijeka (ouest de la Croatie), a-t-on appris auprès du réalisateur.

Sorti en 2018, ce film revient sur les secrets de tournage et de production du célèbre film « La bataille d’Alger » réalisé en 1966 par l’Italien Gillo Pontecorvo tout en explorant les idéologies de l’époque qui ont donné naissance à ce film de référence lauréat du Lion d’Or de la Mostra de Venise.

Dernière production du documentariste « La bataille d’Alger, un film dans l’histoire » avait reçu le Prix du jury de sa catégorie au dernier Festival international d’Oran du film arabe (Fiofa) en juillet dernier.

Malek Bensmail sera en compétition avec des films comme « Croisades » du réalisateur égyptien Abderrahmane Adel, « A l’interieur du zoo humain » du Français Pascal Blanchard, « Hunted » du réalisateur philippin Phyllio Grae Grande, « Maestos des camps » de l’Argentrin Alexandre Valenti, ou encore « Berlin 1936, Hitler’s Games » du Français Jérôme Prieur.

Plusieurs œuvres en compétition sont dédié à la vie et l’œuvre de personnalités importantes de la politique ou de la culture comme le film « Kokocha, oeuvre-vie » du Français Michel Rodde, « The American Dream Of Bobby Kennedy » du Français Patrick Jeudy, « Sasha Sokolov, le dernier écrivain russe » de Ilya Belov, « Les trois morts de Mussolini » d’Emmanuelle Nobécourt, ou encore « Che Guevara, naissance d’un mythe » du cubain Tancrède Ramonet.

Créé par un réseau de cinéastes et producteurs indépendants,  History Film Festival est le seul festival dédié exclusivement au documentaire historique et qui a pour objectif de donner de la visibilité à ce genre cinématographique et d’offrir une plateforme d’échange entre professionnels.

Cinéaste spécialisé du documentaire, Malek Bensmail avait réalisé son premier film « Territoire(s) » en 1996 qui sera suivi de « Décibled » (1998), « Aliénations » (2004), « La Chine est encore loin » (2008), « 1962, de l’Algérie française à l’Algérie algérienne » (2012), ou encore «  »Ulysse, le bruleur de frontières et la mer blanche du milieu » (2013).

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Personnes aux besoins spécifiques : Temmar remet des décisions d’attribution de locaux

Fri, 08/24/2018 - 16:19

Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar a présidé jeudi, une cérémonie de remise des décisions d’attribution de locaux commerciaux relevant de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) de Bir Mourad Rais (Alger), dont une grande partie a été consacrée à des personnes handicapées.

La cérémonie s’est déroulée en présence de la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme, Ghania Eddalia.

A ce propos, M. Temmar a fait état du recensement, jusqu’à juin 2018, de près de 6.480 locaux de l’OPGI, 2.902 de l’AADL et 2.854 de l’entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) non distribués encore, soulignant la nécessité d’accorder la priorité aux services publics lors de l’opération de distribution.

Ce quota de locaux réservé aux personnes handicapées s’inscrit dans le cadre « de la concrétisation des recommandations du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui accorde un intérêt particulier à cette frange de la société, notamment à travers la réunion de toutes les conditions nécessaires à son insertion sociale », a-t-il précisé.

Pour sa part, la ministre de la Solidarité a indiqué que la distribution de ces locaux intervenait dans le cadre « d’une coordination effective entre les deux secteurs, en matière d’insertion sociale des personnes aux besoins spécifiques, en leur assurant des postes de travail », mettant en avant par la même la détermination de son secteur à consacrer un quota de logements à cette frange à chaque opération de distribution.

Les deux secteurs s’emploient à faciliter l’accès des personnes à mobilité réduite à l’ensemble du cadre de vie ordinaire, a-t-elle ajouté.

La cérémonie a été marquée par la remise de contrats de travail à des personnes handicapées ainsi que des attestations du meilleur locataire et du meilleur employé de cette catégorie à l’OPGI.

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Boudebouz officiellement de retour !

Fri, 08/24/2018 - 16:14

Absent des derniers rassemblement de l’Equipe nationale depuis l’ère du coach espagnol de l’EN, Lucas Alcaraz, le milieu de terrain international algérien Ryad Boudebouz, qui a un peu disparu de l’effectif des Verts, en dépit de ses prestations il faut le dire brillantes avec le Betis Séville, est enfin de retour. L’ancien numéro 10 Sochalien, auteur d’une belle série de matchs de préparation puis lors du premier match du championant d’Espagne, a reçu sa convocation dans cette liste élargie de 35joueurs, pour le prochain déplacement de la bande à Djamel Belmadi à Banjul où la sélection nationale sera appelée à affronter la Gambie, pour le compte de la seconde journée des éliminatoires CAN 2019. Ignoré donc depuis un moment, Boudebouz voudra prouver à Belmadi qu’il mérite bien sa confiance.

10 mois après, Mbolhi revient  
C’est vrai que le sélectionneur national ne veut pas trop chambouler l’effectif de l’EN mais Djamel Belmadi compte bien faire revenir des joueurs dont la convocation  ne constitue aucunement une surprise tant elle s’impose comme un fait naturel et logique. En plus de Ryad Boudebouz, Belmadi a fait appel à Rais Ouaheb Mbolhi qui a reçu officiellement sa convocation, comme indiqué hier par le site officiel du club saoudien d’Al Ittifaq où évolue Mbolhi depuis la saison passée. Ecarté par l’ancien staff de l’Equipe nationale, Rais, qui n’a plus revu ses camarades en stage depuis le 7 octobre passé, effectuera son retour, à l’occasion du prochain regroupement, pour préparer le déplacement périlleux à Banjul.

 Feghouli et Ounas, comme attendu
Sofiane Feghouli sera aussi de retour. En difficulté avec Galatasaray, Sofiane, qui a reçu sa convocation de la part de la FAF, reste une valeur sûre de l’EN et sa présence peut contribuer au renouvellement du groupe. Djamel Belmadi entend aussi déjà remettre en valeur certains acquis des Verts à l’image d’Adam Ounas. Ce dernier était tout heureux de recevoir sa convocation pour le prochain stage de l’Equipe nationale qui précédera la rencontre face à la Gambie à Banjul. Par ailleurs comme révélé par nos soins, Belmadi compte beaucoup sur Ishak Belfodil. Lui aussi sera l’un des atouts offensifs de l’EN, en prévision des prochaines échéances.

Belmadi veut relancer la concurrence
Le sélectionneur national Djamel Belmadi avait, lors de sa dernière sortie en conférence de presse, affirmé qu’il comptait bien redistribuer les cartes pour relancer une concurrence un petit peu matée jusqu’ici par d’abord Christian Gourcuff, puis enterrée complètement depuis des semaines maintenant. Belmadi a ainsi convoqué Ryad Boudebouz pour  bien entendu  se donner plus  d’atouts offensifs et surtout éviter le confort de certains joueurs qui évoluent dans le même registre.   C’est pourquoi, il compte convoquer les meilleurs du moment sans aucune arrière-pensée, ni système de quotas. Ce n’est d’ailleurs qu’ainsi que le nouvel entraineur des Verts pourra réussir dans sa mission délicate de remettre sur rails une équipe pleine de talents mais en manque criant de résultats, pour différentes raisons.

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Aid El-Adha: le programme de permanence suivi à 99.25% à Alger (direction de commerce)

Fri, 08/24/2018 - 16:00

Le taux de suivi du programme des permanences durant la fête de l’Aïd El-Adha à Alger a dépassé les 99.25% soit plus de 5000 commerçants réquisitionnés « ayant assuré le service minimum en matière de produits de large consommation » a indiqué à l’APS, le représentant de la Direction du commerce de la wilaya d’Alger, Dehar Layachi.

La direction du commerce a réquisitionné, cette année, 5230 commerçants pour assurer la permanence durant les jours de l’Aïd, a précisé M. Layachi, faisant état de 5205 commerçants ayant suivi la permanence, soit 99.25% contre 25 commerçants contrevenants.

Des mesures coercitives seront prises à l’encontre des commerçants contrevenants dont notamment la fermeture de leurs locaux pour une durée d’un mois et une amende allant de 30.000 à 200.000 DA, conformément à la loi 08-18 du 10 juin 2018 relative aux conditions d’application des activités commerciales, a ajouté le même responsable.

Pour ce qui est de la rareté du pain depuis la veille de l’Aïd et jusqu’au deuxième jour, le représentant de la direction du commerce a fait savoir qu’Alger « enregistre 661 boulangeries dont 513 unités ont été mobilisées, soit 77,61 %, estimant que le pain était « disponible », notamment avec le « renforcement des boulangeries par 10 points de vente relevant de la boulangerie industrielle d’El Khroub (Constantine) qui a « assuré l’approvisionnement » à travers les grandes places relevant des communes de Dar El Beida (en face l’APC), El Harrach (place centrale), Kouba (place de l’APC), Bab El Oued (place des trois horloges), Alger centre (Grande poste), Sidi M’hamed (1er mai face au siège de l’UGTA), Chéraga et El Biar (place Kennedy) et Bir Touta (place de la commune). Les points de vente du pain resteront ouverts pendant 6 jours, du 20 au 25 août 2018, tel que « convenu » dans le contrat conclu entre la direction du commerce et la boulangerie industrielle d’El Khroub, selon la même source.

La direction du commerce de la wilaya d’Alger a mobilisé près de 190 agents de contrôle relevant de 13 inspections régionales du commerce, répartis sur 95 équipes ayant couvert toutes les communes de la wilaya pour s’assurer du respect de la réquisition.

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Les Verts à Banjul le 5 ou le 6 septembre !

Fri, 08/24/2018 - 15:59

La sélection nationale algérienne entamera son stage de préparation le 3 septembre au CTN de Sidi-Moussa. Pour ce qui concerne le voyage en Gambie, il s’effectuera à bord d’un vol spécial de la compagnie nationale, Air Algérie, deux ou trois jours avant le match. La FAF a retenu deux dates pour l’instant, à savoir les 5 et 6 septembre. L’instance fédérale est en train d’étudier toutes les possibilités en concertation avec le sélectionneur national, Djamel Belmadi pour mettre les joueurs dans de bonnes conditions.

Le choix de l’hôtel sera tranché prochainement
Concernant l’hôtel où sera logée la délégation algérienne, rien n’a été décidé encore. La FAF a retenu quelques noms d’hôtels, mais comme nous avons déjà indiqué il y a deux semaines, il y a de très fortes chances pour qu’elle opte pour l’Océan Bay situé au bord de l’océan Atlantique où les Verts ont logé à deux reprises en 2007 et en 2012 avec Vahid Halilhodzic. L’on s’attend de voir un membre de la FAF se rendre dans les prochaines heures en Gambie pour tout mettre en place.
Gambie-Algérie se jouera à 17h
Après avoir choisi la date du match, le samedi 8 septembre, la Fédération gambienne de football a choisi l’horaire du coup d’envoi. Le sélectionneur belge des Scorpions a refusé de programmer le match à 14h, afin de mettre ses joueurs dans de bonnes conditions, vu la très forte chaleur. Ainsi, il a été décidé de programmer la rencontre à 17h heure locale, soit 18h heure algérienne. Un horaire qui arrange beaucoup les affaires de l’équipe d’Algérie puisque les joueurs ne souffriront pas beaucoup des conditions climatiques. En 2012, les joueurs avaient souffert le martyre, malgré la victoire.

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Six individus en possession d’armes à feu arrêtés à Tiaret et Tissemsilt (MDN)

Fri, 08/24/2018 - 15:56

Six individus en possession d’armes à feu de confection artisanale et de trois fusils de chasse ont été arrêtés jeudi par les éléments de la Gendarmerie nationale à Tiaret et Tissemsilt, alors qu’un narcotrafiquant en possession de 5400 cartouches de cigarette a été arrêté par les éléments de l’Armée nationale populaire (ANP) à El Oued, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense nationale.

« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et la contrebande, les éléments de l’Armée nationale populaire ont arrêté à El Oued/4e RM, un narcotrafiquant en possession de 5400 cartouches de cigarette, tandis que les éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté, à Tiaret et Tissemsilt/2e RM, six (06) individus en possession de huit (08) armes à feu de confection artisanale et trois (03) fusils de chasse », note la même source.

Dans le même contexte, d’autres détachements de l’ANP « ont saisi un (01) véhicule et 7073 litres de carburant à Souk Ahras, Tébessa et El Taref/5e RM ».

Par ailleurs, des Garde-côtes « ont déjoué à Annaba/5e RM et Oran/2e RM une tentative d’émigration clandestine de 20 personnes de différentes nationalités à bord d’une embarcation de construction artisanale », ajoute le communiqué.

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Tom Saintfiet (sélectionneur de la Gambie) : «J’ai entraîné Belmadi à Al Gharrafa, je suis sûr qu’il va réussir»

Fri, 08/24/2018 - 15:56

En juillet dernier, la Fédération gambienne de football a désigné Tom Saintfiet nouveau sélectionneur des Scorpions. Satisfaits de l’expérience de Paul Put, les Gambiens ont fait appel à l’école belge. Tom Saintfiet s’exprime sur les colonnes du Buteur sur le match Gambie-Algérie prévu le 8 septembre à Banjul.

Comment préparez-vous le match contre l’Algérie ?
Je prépare le match le plus normalement du monde. J’ai pris en main cette équipe de Gambie en juillet dernier. Comme vous le savez, il n’y avait pas de date FIFA pour pouvoir préparer la rencontre. Je n’ai pas effectué le moindre stage. Mais j’ai pu superviser mes joueurs ainsi que mon prochain adversaire, l’Algérie.
C’est quoi le programme de préparation pour ce match ?
Ce sera une préparation ordinaire. Comme nous n’avons pas effectué de stage auparavant, je vais regrouper mes joueurs pour le 3 septembre et on commencera la préparation officielle du match face à l’Algérie. Il y aura presque une vingtaine de joueurs professionnels. On est en train de superviser certains joueurs locaux en ce moment. Ce n’est pas un stage pour les locaux car nous n’avons pas assez de moyens financiers. On les regarde chaque jour dans le but de trouver de bons joueurs, selon les postes qui nous manquent.
Après la défaite de la Gambie face au Bénin, peut-on dire que le match face à l’Algérie est décisif ?
C’est vrai que notre défaite face au Bénin lors du premier match est amère. C’est regrettable, même si je n’étais pas en poste. La rencontre s’est déroulée, il y a une année de cela. Ce sera un match important, certes, mais pas décisif. Il ne faut pas oublier que le changement du système de compétition nous arrange beaucoup. Ce ne sera pas un seul pays qualifié pour la phase finale. Désormais, nous avons plus de chance de nous qualifier car deux équipes de chaque groupe se iront à la phase finale. On essayera de réaliser un bon résultat face à l’équipe d’Algérie. Pour se qualifier, il est très important de faire le plein à domicile et c’est ce que nous allons tenter de faire.
Le groupe de la Gambie sera-t-il au complet ?
En principe nous serons au complet. Pour l’instant, il n’y a pas de blessés. C’est une bonne nouvelle pour moi afin de compter sur tous les joueurs.
Depuis votre arrivée en juillet, qu’est-ce qui a changé ?
Sincèrement, je ne peux pas vous répondre à cette question. Moi, j’ai une certaine expérience en Afrique. J’ai essayé de mettre en place une stratégie de travail. J’ai voulu donner leur chance aux meilleurs footballeurs locaux, mais le problème qui se pose ici, c’est que le championnat n’a pas encore débuté, contrairement à l’Algérie. Je rencontre des difficultés, mais j’essaye tout de même de faire de mon mieux pour bien préparer ce match face à l’Algérie.
Quels seront vos atouts pour battre l’Algérie ?
Notre principal atout, c’est notre public et la volonté. Après, il faut avouer que ce sera très difficile pour nous de battre une solide équipe comme l’Algérie, l’une des meilleures formations d’Afrique. Elle renferme dans ses rangs de très bons joueurs qui ont une réputation mondiale, comme Ghoulam, Brahimi, Mahrez et d’autres…Il y a aussi une différence énorme entre les deux équipes au niveau du classement mondial FIFA. Je pense que le fait que les Algériens ne connaissent pas bien notre équipe ainsi que ma stratégie de jeu est un avantage pour nous, ça nous permettra de jouer à fond face à un adversaire connu. Je vais miser sur certains joueurs comme Sané, notamment Assan Ceesay qui est l’attaquant du FC Lugano, un jeune joueur qui possède beaucoup de qualités.
Avez-vous commencé à superviser l’Algérie et qu’est-ce que vous avez constaté ?
Oui, j’ai suivi les derniers matchs de l’équipe d’Algérie et j’ai constaté qu’il y a beaucoup de changements. L’équipe d’Algérie a régressé en matière de résultat et ce n’est pas un secret, mais elle possède du potentiel. Il y a de bons joueurs dans cette équipe. Je vais demander à mes joueurs d’être vigilants sur le terrain et ne pas trop laisser d’espaces.
L’arrivée de Djamel Belmadi à la tête des Fennecs pourrait-il arranger les choses ?
J’espère que Djamel Belmadi va réussir. Sincèrement, j’ai beaucoup d’admiration pour lui. C’est un grand monsieur qui possède une très forte personnalité. Moi, je le connais bien puisque j’ai eu l’occasion de travailler avec lui à Al Gharrafa. Lorsqu’il a rejoint ce club, moi j’étais entraîneur-adjoint. Il connaît bien le football et j’espère qu’il va réussir, même si je pense que le problème de l’Algérie n’est pas un problème d’entraîneur. J’ai vu les matchs des Fennecs lorsque Madjer était sélectionneur et ça n’avait pas marché. Maintenant, Belmadi va sans aucun doute miser sur les mêmes joueurs, il doit changer certaines choses pour améliorer la situation. Je lui souhaite bonne chance.
Puisque vous connaissez Belmadi, pourriez-vous nous parler de l’homme ?
Ecoutez, ce sont ses résultats qui parlent pour lui. C’est un jeune entraîneur qui a réussi un début extraordinaire. Il a gagné pas mal de titres au Qatar. Maintenant, il est venu le moment pour lui de connaître un autre niveau, plus difficile. Je suis persuadé qu’il va réussir car c’est un entraîneur ambitieux.
Redoutez-vous l’équipe d’Algérie ?
Evidemment, je vous ai dit que l’équipe d’Algérie est difficile à manier. C’est difficile de battre une telle équipe surtout pour nous dans les circonstances actuelles, mais nous allons tout faire pour réussir un bon résultat. Dans le football, il n’y a pas de mission impossible. Ce sera difficile mais pas impossible.
Quels sont vos objectifs avec la Gambie ?
J’ai signé un contrat de neuf mois avec la fédération et mon objectif principal est de qualifier la Gambie à la phase finale de la CAN. Cela fait longtemps que la Gambie n’a pas remporté de matchs officiels. On va tenter de faire quelque chose.
Les problèmes à la fédération et l’éventuelle intervention de la FIFA ne vous font-ils pas peur ?
Non, ça ne m’inquiète pas. Les élections ont eu lieu dans de bonnes conditions et la FIFA l’a validé à ce que je sache, il n’y a pas de danger. Je suis serein.

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Directeur de la santé: « l’eau du robinet est potable »

Fri, 08/24/2018 - 15:51

Le directeur de la Santé de la wilaya d’Alger, Mohamed Miraoui a indiqué vendredi que « l’eau du robinet est potable et n’est pas à l’origine de l’épidémie du choléra ».

« L’eau du robinet est potable et n’a jamais été à l’origine du choléra », a affirmé M. Miraoui à l’APS, précisant que « la wilaya d’Alger n’est pas un foyer de cette épidémie transmise par des personnes ayant voyagé à Blida et Bouira ».

Rappelant que la wilaya d’Alger avait recensé (14) cas d’atteinte de choléra, dont (05) confirmés, le responsable a mis l’accent sur la nécessité de bien se laver les mains et de rincer les fruits et légumes avant leur consommation en ajoutant quelques gouttes de « javel » pour éviter toute éventuelle contamination.

« La wilaya d’Alger et tous les services concernés sont mobilisés pour faire face à cette épidémie », a-t-il rassuré, mettant en avant la campagne de sensibilisation lancée, dans ce sens, en faveur des citoyens.

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Les chaines qui diffuseront les rencontres de nos Pros, ce vendredi

Fri, 08/24/2018 - 15:50

19h Domino’s Ligue 2 Troyes – Metz (Kashi – Oukidja, Boulaya)

beIN Sports 16 (Arabe), beIN Sports 3 (France)

19h Domino’s Ligue 2 Ajaccio – Lorient (Nouri)

beIN Sports Max 4 (France)

19h Domino’s Ligue 2 Brest – Le Havre (Lekhal, Ferhat)

beIN Sports Max 5 (France)

19h Domino’s Ligue 2 Clermont – Sochaux (Jeannin – Daham)

beIN Sports Max 6 (France)

19h Domino’s Ligue 2 Orleans – Paris FC (Ziani – Kerrouche)

beIN Sports Max 9 (France)

19h Domino’s Ligue 2 Red Star – Auxerre (Merdji)

beIN Sports Max 10 (France)

19h30 Bundesliga Bayern Munich – Hoffenheim (Belfodil)

beIN Sports 5 (Arabe), beIN Sports 2 (France)

19h45 Ligue 1 Conforama Lyon – Strasbourg (Saadi)

beIN Sports 6 (Arabe), Canal+ Sport (France)

Publié dans : pros

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Les cas de choléra sont « isolés » et la situation est « maîtrisée »

Fri, 08/24/2018 - 14:34

ALGER – Le directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Dr. Djamel Fourar, a annoncé jeudi à Alger, que les cas de choléra enregistrés dans quatre wilayas du pays, étaient des cas « isolés et limités à des familles », soutenant que la situation était « maîtrisée ».

Lors d’une conférence de presse animée conjointement avec des cadres du ministère et le directeur général de l’Institut Pasteur pour donner des explications sur les cas de choléra dans les wilayas d’Alger, Blida, Tipaza et Bouira où 41 cas ont été enregistrés sur 88 cas suspects, le Dr. Fourar a indiqué que ces cas étaient « isolés et limités à des familles« , ajoutant que la situation était « maîtrisée« . Le Choléra est une infection contagieuse grave qui entraîne la mort, suite à des diarrhées aigües causées par le bacille Vibrio cholerae, qui se propage en l’absence d’hygiène ou suite à la consommation d’eau ou de fruits et légumes contaminés.

Le bacille qui vit entre un et sept jours, cause des diarrhées aigües entrainant une forte déshydratation du corps et autres complications au niveau du cœur, des poumons et des reins. Dr. Fourar a rassuré que la situation « n’est pas inquiétante et ne nécessite pas l’instauration d’un état d’urgence« , appelant les citoyens au respect des règles d’hygiène, à savoir « bien se laver les mains, rincer les fruits et les légumes avant leur consommation et s’abstenir de rendre visite aux malades atteints de choléra dans les hôpitaux« .

Pour sa part, le directeur général de l’Institut Pasteur, Dr. Zoubir Harrath, a affirmé que les analyses bactériologiques effectuées par l’Institut sur des échantillons prélevés de personnes atteintes ont confirmé que l’épidémie du choléra s’est propagée en raison du non-respect des règles d’hygiène concernant la consommation de certains aliments, excluant une contamination liée à la consommation d’eau. Les analyses en cours au niveau de l’Institut Pasteur sur les aliments consommés par les familles atteintes de choléra « révéleront prochainement les causes réelles de cette épidémie« , a-t-il ajouté.

Le Dr. Youcef Tarfani, sous-directeur au ministère de la santé, a exposé les différents cas enregistrés au niveau des quatre wilayas, précisant que 6 cas ont été recensés à Ain Bessam (Bouira) dont trois confirmés, 50 cas à Blida dont 22 confirmés, 18 à Tipaza dont 11 confirmés et 14 cas à Alger dont 5 confirmés. Le directeur de la santé de la wilaya d’Alger, Dr. Mohamed Miraoui, a révélé que 10 cas sur 14 admis à l’hôpital El Kettar ont quitté ce dernier, tandis que les quatre autres quitteront l’hôpital samedi. Le directeur de la santé de la wilaya de Blida, Ahmed Djemai, a annoncé que 12 cas sur 74 ont quitté l’hôpital de Boufarik, ajoutant que l’état de santé des autres malades « s’améliore progressivement » et ils devront quitter l’hôpital dans les prochains jours.

Par ailleurs, Dr. Kamel Ait Oubli de l’Institut national de Santé publique (INSP), a mis l’accent sur l’importance du respect des mesures préventives préconisées par le ministère de la Santé tout au long de l’année, notamment avant la saison estivale, à savoir « bien se laver les mains avec de l’eau et du savon, garder les aliments cuits loin des aliments crus et les conserver à une température adéquate, tout en contrôlant leur date de péremption, veiller à organiser et à garder les puits fermés et ne pas jeter les ordures à proximité de ces derniers, boire une eau contrôlée ou veiller à la faire bouillir en ajoutant quelques gouttes de javel en cas de stockage« .

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Vidéo : Les Méharistes, gardiens du désert

Fri, 08/24/2018 - 00:49

L’unité des Méharistes de l’Armée nationale populaire, montée sur des dromadaires dont les membres sont de fins connaisseurs du désert.

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L’aéroport et les téléphones mobiles

Fri, 08/24/2018 - 00:19

Les trabendistes transitant par l’aéroport Houari-Boumediène semblent avoir un faible pour les téléphones portables.
Ainsi, après les 815 mobiles saisis mercredi dernier, les douaniers ont intercepté ce vendredi 80 Samsung Galaxy et des téléphones de marque Huawei. Sept passagers sont à l’origine de cette tentative d’introduction frauduleuse. Deux autres passagers ont tenté, par ailleurs, de faire passer une quantité d’effets vestimentaires ainsi que des disques durs et des accessoires pour ordinateurs. Tous les passagers indélicats venaient de Dubaï et Doha.

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Guelma s’entiche des fast-foods

Fri, 08/24/2018 - 00:19

Les fast-foods prolifèrent à Guelma. Et les petits restos pour « casse-croute » sont maintenant rejoints par les grandes enseignes, Le Jasmin, Délice, Big Mac… l’offre de restauration rapide élaborée actuellement à Guelma, est très large, « on nous propose la meilleure qualité et plus de créativité», se réjouissent les riverains gourmets. C’est donc l’évolution des modes de consommation dans le secteur de la restauration, dans cette ancienne cité.
Après avoir conquis les lycéens, et les étudiants, ces fast-foods sont partis à la conquête des familles de toutes les couches sociales, et s’enfoncent partout. Par exemple, Le Jasmin, une structure d’environ 50 places s’intéresse essentiellement aux lycéennes et lycéens de Ben Mahmoud, Chaalal Messaoud et même aux collégiens du CEM Mohamed Abdou.
Ce nouveau resto compte une dizaine d’employés, tous jeunes universitaires. L’offre est suffisante, en termes de produits «phares», on cite les «tacos», les «mexicains» les «grecques»les «Merguez pain-maison»… « Nous allons à présent nous tourner vers la distribution à domicile », explique le gérant. Mais l’engouement pour la restauration rapide à Guelma n’a pas attendu l’arrivée de ces grandes enseignes.
Au boulevard Souidani Boudjemâa du centre-ville, les magasins «frère-Kahia» remplissent les estomacs des riverains depuis des années déjà. « Au début, nous faisions principalement des pizzas, des soufflés, la Mahdjouba… Mais maintenant, nous avons décidé d’élargir notre carte en proposant des sandwichs Chaouarma, viande hachée… Nous étions alors les premiers à proposer ces recettes », explique Mouloud un associé. Et d’ajouter « la matinée, la pizza et les Caldis au fromage et aux anchois ça marche, mais j’ai constaté ces dernières années que l’on me demandait des sandwichs. Maintenant, je trouve mon compte en servant en milieu d’après-midi des hamburgers vite faits et bien faits et qui ont du goût ». Comme au quartier « Route de Belkheir », qui compte cinq restaurants rapides (viande et grillades).
Ces commerces se sont multipliés à Guelma, et bien d’autres encore ont vu fleurir ce type de commerces ces dernières années. Et pour attirer sa clientèle, l’odeur alléchante du méchoui ne suffit pas toujours. « Il faut parfois faire preuve d’improvisation, et renouveler en permanence dans les recettes proposées afin d’éviter l’effet de mode » estiment les adeptes de ce créneau. « Notre clientèle devient de plus en plus familiale. Mais certains, qui veulent manger à la maison, prennent à emporter. Mais le méchoui est succulent sur place, juste après sa cuisson, ce qu’on explique à chaque fois aux clients », déclare le patron d’une « Chouwaya » de la route de Belkheir. « A Guelma, c’est très compliqué de trouver des terrasses le soir, surtout en cette période de canicule », expliquent les habitués de ces restos, en reconnaissant tout de même qu’ils sont accueillis à bras ouverts.
Globalement, les repas rapides hors domicile prennent le pas sur la restauration traditionnelle « service à table », qui a subi une perte considérable selon les spécialistes, contrairement à la restauration rapide qui « se porte aujourd’hui à merveille », révèle la même source.
Noureddine Guergour

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Jijel : Virée au front de mer de Kotama

Fri, 08/24/2018 - 00:13

En ce mois d’août, le front de mer Kotama, dans la ville de Jijel, connaît une ambiance animée dès la tombée de la nuit.

Une simple virée dans cette partie de la ville nous renseigne sur le grand flux d’estivants, essentiellement des familles qui se dirigent vers cet endroit pour profiter de la brise charriée par la mer. Une dizaine de chapiteaux sont dressés tout le long de ce front de mer par des jeunes vendant des produits artisanaux et autres objets décoratifs.
Ce coin longeant la plage de Casino est pris d’assaut quotidiennement par une nuée de visiteurs à la tombée de la nuit.
Jouxtant ces chapiteaux, des villas dont les propriétaires ont transformé le rez-de-chaussé en restaurants et pizzerias avec terrasse pour rentabiliser leurs biens en ces temps où l’argent. De nombreux habitants de ce quartier ont tiré profit de la cession des biens vacants au début des années 1980 au prix symbolique. On doit faire tout une gymnastique pour se frayer un chemin au milieu de la foule déambulant le long de ce front de mer composée essentiellement de familles estivantes à la recherche de fraîcheur et de détente.
La nouveauté de cette saison estivale est que les services de la commune ont réglementé les parkings dans cette partie de la ville. Cependant, certains estivants ont déploré le prix exorbitant de droit de stationnement qui est de 100 da.
Lors de notre passage dans ces lieux,  nous avons été désagréablement surpris par l’insalubrité des lieux : des bouteilles de tous genres et des sachets d’ordures éventrées jonchant le sol à chaque coin de cette partie de la ville dégageant des odeurs nauséabondes. Un peu plus loin en allant vers l’hôtel Kotama, du nom de la tribu berbère dont est issue la population de la région de Jijel, on trouve des jeunes marchands ambulants qui vendent du thé, des beignets et des jouets pour enfants.
Un fait intrigant : prendre une douche coûte 100 DA. Imaginez une famille composée de cinq personnes. Il y a lieu de souligner que de l’avis de nombreux estivants interrogés par nos soins concernant les services, ceux-ci demeurent en deçà de leurs attentes.
Pour ce qui est des prix, ils affirment qu’ils demeurent abordables contrairement aux années précédentes. Par exemple, une bouteille d’eau minérale coûte entre 40 et 50 DA dans les kiosques. Certains gérants de buvette et fast- food dressent des tables et des chaises à même le sable en vue d’offrir plus de plaisir aux clients, essentiellement des familles venues des quatre coins du pays, nous a confié Omar, serveur dans une buvette.
A proximité de la plage, on trouve toutes sortes de jeux pour enfants appartenant à un opérateur privé connu sur la place locale. Et les prix des billets demeurent à la portée des bourses moyennes.
Sur le sable, on croise des jeunes vendeurs à la sauvette dont certains sont des étudiants qui profitent de l’été pour se faire un peu d’argent. Ils dressent des étals de fortune pour vendre thé, beignets, mahdjebs dans des conditions d’hygiène qui laissent à désirer. La location chez l’habitant dans ce quartier très prisé reste chère vu sa proximité de cette splendide plage.
«J’ai loué un étage de villa à 9 000 DA la nuitée à un Algérois», nous a confié un gérant d’une agence immobilière sous couvert de l’anonymat.
La veillée nocturne sur le front de mer Kotama (ex-Casino du nom de l’hôtel durant l’époque coloniale) se poursuit jusqu’à une heure tardive de la nuit avec le va-et-vient incessant de estivants à la recherche d’un peu de fraîcheur et de farniente dans une ville hantée par le silence de la nuit et ses confessions intimes et tournée vers la mer.
Bouhali Mohammed-Cherif

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Cherchell, 20 siècles après Juba : un constat amer !

Fri, 08/24/2018 - 00:09

Il y a quelques années, lorsque j’étais en poste à Damas en tant qu’ambassadeur d’Algérie, mes amis syriens, en mission de travail dans notre pays, m’ont fait part à leur retour de leur grande déception après avoir visité Cherchell, sur ma recommandation… une ville d’Histoire qu’ils souhaitaient découvrir parée de ses plus beaux atours. Inutile de dire qu’à mon tour, j’en étais déçu et plus que confus  en recevant cette volée de bois vert…  qui m’a été distribuée et enveloppée dans le style le plus alambiqué de la langue du Levant.
Ma réaction, de retour dans mon pays, était d’écrire un livre sur ma ville natale, pour dire à ceux qui y vivent aujourd’hui — notamment les jeunes —avec cet esprit de «relativité», en se complaisant dans le vide psychologique, ce qu’était notre cité millénaire dans son histoire, sa culture, ses sciences et ses meilleures traditions, tout au long des siècles.
Mes amis syriens avaient raison de faire ce constat amer, eux qui ont véhiculé une grande civilisation et savent comment aimer et sauvegarder leur patrimoine historique et culturel, contrairement à nous qui, dans la tristesse qu’engendrent la plupart de nos villes, notamment les plus anciennes et les plus illustres dans le passé de notre pays, nous nous identifions volontiers à la désuétude qui les entourent en la considérant comme naturelle ou, mieux encore, en ne la sentant même pas. Ainsi, nous nous comportons comme ceux dont disait Baudelaire, dans Le goût du néant : «La vie n’a pas de but qui puisse la justifier, aucune espérance n’est possible, la seule attitude légitime est l’abandon à l’inertie…»
Cependant, après d’autres attaques de mes amis d’ici, également déçus par l’état de délabrement qui persiste et dans lequel se trouve aujourd’hui Cherchell, je me suis prescrit ce devoir de rappeler à tous certaines de mes réflexions concernant ce climat qui nous est imposé par notre inconscience, tout en les instruisant sur l’ancestralité de ma ville natale, qui s’érigeait, autrefois, comme une perle dans la Méditerranée. Ainsi, mon intervention, cette fois-ci, sur ce sujet précisément, comme ma précédente, publiée le 8 janvier 2013, sous le titre : «Cherchell, une ville convertie à la laideur» et qui n’a pas été appréciée par les autorités locales, procède du sentiment de rappeler constamment cette nécessité de se ressaisir, de prendre le taureau par les cornes et aller vers des mesures drastiques pour redonner le véritable visage à celle qui fut une brillante capitale dans l’Antiquité. De ce fait, j’adhère pleinement à la déception de mes amis qui la visitent souvent et qui, comme nous, les enfants de la cité, sont affligés par son état d’abandon. Nous comprenons même leur pesante exaspération de découvrir une ville subissant pleinement sa péremption, pour ne pas dire traînant péniblement ses dégradations. Ma présente contribution se veut non pas une attaque contre les représentants de l’Etat et les élus locaux, même si la plupart ont failli dans leur devoir de préserver notre passé et exhausser ses acquis et les développer, mais un voyage dans les profondeurs de l’Histoire qui nous transporte de l’Antiquité au présent avec l’intensité d’une course avec le temps. Et c’est là où je dis à ceux qui sont aussi déçus que nous-mêmes, ses enfants, au regard des dégâts causés par les hommes, par leur défaillance et leur indifférence, voilà ce qu’était notre cité dans l’Histoire, voilà ce qu’était Cherchell quand nous vivions pleinement et jalousement notre urbanité avec notre culture que dominaient les valeurs en matière de mœurs et de traditions.
Avant d’introduire ma réflexion sur cet important dossier, permettez-moi de vous recommander ma Trilogie : «La glorieuse épopée de nos ancêtres» où vous trouverez toutes les informations, celles du passé et du présent, en une monographie complète, sur «Iol-Caesarea-Cherchell» qui paraîtra d’ici peu.
Mais avant cette nécessaire parution, laissez-moi faire une rétrospective sur ma cité — pas celle des 245 ou 182 logements et demi, comme s’il n’y a pas de gens illustres pour honorer leurs débaptisations. Et là, mon esprit s’évade en ces moments chargés d’évocation et se mue en machine à remonter le temps. Au loin, les siècles se succèdent et l’Histoire déroule son fil, comme un écheveau à démêler.
Dans ma cité antique vivait, un certain temps, une population qui ne cessait de se réclamer de nobles origines mais aussi de traditions urbaines raffinées, propres et particulières aux autochtones, issues principalement de l’antique Berbérie, des proscrits de l’Andalousie et, pour une minorité non négligeable — d’implantation plus récente — de la puissante dynastie des Ottomans.
Oui, mon esprit me guide à travers les âges et, en remontant le temps tel un mouvement de balancier, mes aïeux m’interpellent pour me dire : «Regarde autour de toi. Comme un livre ouvert, tu as là, en face, tant d’Histoire et d’histoires !» De là, je comprends que d’illustres personnages ont fait la gloire et la réputation de cette cité, et leur royaume dont elle était la capitale, rapporté au contexte de l’époque, était une puissance dans le «concert des nations», pour utiliser le langage moderne. Ainsi, on ne peut occulter notre passé et ne pas remémorer nos ancêtres au temps des rois numides, Juba II architecte, homme de lettres et de sciences, son fils Ptolémée, enfant de Cherchell, le dernier roi de Maurétanie, Amokrane ou Macrin, également enfant de Cherchell — de son nom latinisé «Marcus Opellius Severus Macrinus Augustus» — qui fut empereur de Rome en 217, Priscianus Caesariensis ou Priscien, célèbre grammairien, né à Césarée (Cherchell) qui enseignait à Rome et à Constantinople et dont la scolastique a émerveillé le Moyen Age, et bien d’autres savants qui nourrissaient un véritable intérêt pour la littérature et la culture punique et gréco-romaine. Parmi eux, l’évêque Eméritus, un pur «produit du terroir» né à Caesarea (Cherchell) vers 350, fervent chef donatiste, qui fut un exemple concret de compétence, d’engagement et de rectitude. N’a-t-il pas obligé saint Augustin à venir, plus d’une fois, dans cette imposante capitale, pour discuter de ce qu’il souhaitait être des solutions pendant la résistance des circoncellions, nos combattants berbères du droit et de la liberté, qui ont renversé la situation entre maîtres et esclaves ?
Une époque riche en vie spirituelle, culturelle et artistique, qui ne peut qu’engendrer des chefs-d’œuvre de création. Alors, je ne m’étonne pas qu’elle ait pu enfanter ou adopter, des siècles après, de célèbres combattants, de grands érudits, d’illustres politiciens et hommes de culture. Ceux-là me viennent à l’esprit, un à un, me comblant de fierté et de bonheur. J’ai nommé le saint et éminent savant Sidi-Braham El Ghobrini, docteur en théologie et brillant disciple du cheikh El Bekri de l’université d’El Azhar, l’intrépide combattant Malek El Berkani, fougueux révolutionnaire dans toute la région des Béni-Menaceur jusqu’à Cherchell et au-delà, et son parent Mohamed Ibn Aïssa El Berkani, calife de l’Émir Abdelkader pour la région du Titteri, le docteur Mohamed Ibn Lerbey (ou Benlarbey), premier médecin algérien pendant la colonisation, fervent patriote et militant de la cause nationale, l’ami du non moins illustre Victor Hugo, qui l’a honoré de sa présence à la Sorbonne, le 16 juillet 1884, pour la soutenance de sa thèse de doctorat en médecine. Bien plus tard, ce chapitre des gloires, nous révélera Ahmed Benhamouda, professeur agrégé d’arabe, spécialiste en grammaire et en astronomie, auteur de plusieurs ouvrages en ces matières, comme il nous révélera la grande écrivaine Assia Djebar, que disons-nous la célébrissime…
Comment ne pouvait-elle pas connaître tout cet éclat quand sa destinée se trouvait, il y a plus de 20 siècles, aux mains de Juba II, monarque qui s’adonnait aux travaux scientifiques qui lui conféraient une réputation dans tout le bassin méditerranéen et même au-delà ? Ne possédait-il pas à Caesarea-Cherchell une bibliothèque qu’il a héritée de son grand-père le roi Hiempsal II et qui était aussi riche que celle d’Alexandrie ? N’a-t-il pas érigé, en l’honneur de la science, une université, la plus ancienne au monde ? Ne disait-on pas de lui : «Juba II, dit Pline l’Ancien, fut encore plus célèbre par ses doctes travaux que par son règne» ? N’est-ce pas dans la réflexion, avec sagesse et une grande diplomatie qu’il mena durant des années les destinées de son royaume ?
Enfin, pour nous résumer autant que possible, regagnons un autre passé, récent, celui-ci, qui nous livre quelques belles aventures, dans l’éclat des traditions et des mœurs locales qui, malheureusement, ont disparu des écrans radar de cette course effrénée à l’oubli. Et pourtant, elles étaient là, dans l’atmosphère d’un passé «pas tellement lointain», enserrées par les sentiments forts. Elles étaient là, dans la prairie des souvenirs pour nous donner l’occasion, encore une fois, de revisiter jadis  et retrouver cette magnifique cité millénaire aux traditions tout autant superbes que variées. Oui, de belles traditions qui restent vivaces dans l’esprit des citadins de Cherchell. La cérémonie du «bain du marié», après celle de la mariée, deux cérémonies fortes en couleurs, se pratiquaient, il y a des années avec autant de charme que d’émotion.
Ce sont de très anciennes traditions cherchelloises.
Ainsi, le marié, entouré de ses amis, occupait le hammam pendant un moment et, après ses ablutions – on ne peut les appeler autrement –, tout le groupe, précédé de la fameuse zorna, prenait la route de la maison conjugale, sous les airs de «El madad, el madad, el madad ya Rassoul Allah», une évocation qui nous vient de si loin, du temps du grand poète soufi Jalal Eddine Er-Roumi en implorant l’aide et l’assistance du Prophète que le salut soit sur lui.
Restons dans les fêtes nuptiales et évoquons ce charme du cérémonial de la «mariée de Sidi Maâmar», un décor qui sort d’une autre époque pour accueillir la célébration du mariage selon les préceptes de ce saint homme. Ainsi, la mariée se présente au domicile conjugal dans une tenue très humble à l’image de la tradition soufie. Les pieds nus, habillée d’un burnous, la tête enserrée d’un foulard rouge qui maintient deux bougies allumées de chaque côté du front, peignes et miroirs accrochés aux épaules, elle arrive ainsi dans son nouveau foyer. La mariée, sur une jument dûment préparée, sort de son domicile bien après minuit… plusieurs familles la font sortir peu avant la prière du fedjr, c’est-à-dire aux environs de quatre heures du matin pour rejoindre le domicile conjugal, en un cortège qui s’élance à travers les rues et ruelles de la ville sous le son du bendir, du derbouka et du tambourin.
Maintenant, pour ce qui est de la «mnâra», il s’agit là d’une cérémonie dont Cherchell peut se targuer d’être la seule dans le pays à la célébrer, chaque année, pendant le Mawlid Ennabaoui. Notre célèbre «mnâra» existait depuis des lustres, mais elle a disparu, on ne sait pour quelle raison, de notre paysage culturel. Les gens de la cité étaient passionnément attachés à cette procession derrière la superbe «lanterne», qui est le symbole de l’illumination des esprits par l’avènement de l’Envoyé de Dieu, le Prophète Mohamed que le Salut soit sur lui.
Il y avait aussi une autre procession, celle de Sidi Ali El Ferki, un saint, enterré dans l’îlot Joinville, au port de Cherchell.
Les marins pêcheurs suivaient cette procession, qui parcourait les rues de la ville, précédée d’un bœuf joliment auréolé de foulards, de rubans et de fleurs, généralement des colliers de beau jasmin de la cité. Elle se terminait au port, devant le sanctuaire du saint homme pour remercier Dieu, en signe de reconnaissance pour toute la mansuétude qu’il leur a prodiguée pendant l’année – leur métier étant toujours difficile – et l’implorer pour les préserver des dangers de la mer.
Egalement deux autres belles coutumes ont complètement disparu du décor — j’allais dire de ce paysage traditionnel de Cherchell — mais non de l’esprit des gens de ma génération. Il y a la procession de la sécheresse que l’on appelait chez nous, dans la pure sémantique locale, «Boughendja». Là, les jeunes filles confectionnaient une marionnette, en maquillant une louche d’où le mot berbère «aghoundjey», et passaient de maison en maison, chantant «Boughendja, boughendja, ya rabi aâtina chta» (mon Dieu, donnez-nous de la pluie).
L’autre coutume, non moins célèbre, qui est une tradition commune à certains pays arabes, où la culture s’est avantageusement et joliment incrustée, a aussi disparu de notre paysage. Il s’agit de cet homme, à la voix qui portait, qui passait à travers les quartiers pour réveiller les gens pour le s’hor ou pour annoncer l’Aïd, la veille de sa célébration.
Enfin, pour nous résumer seulement — parce qu’il en reste beaucoup — il y avait la «sortie printanière de Sidi-Yahia», qui est une autre tradition qui s’est éteinte comme plusieurs, malheureusement. Ainsi, au-delà du vivre-ensemble, dans le partage et la convivialité, les familles de Cherchell profitaient du loisir sain dans ce coin paradisiaque, un agréable milieu champêtre, et permettaient à leurs jeunes nubiles de tenir leur rôle dans le jeu merveilleux et «les hasards heureux de l’escarpolette».Voici notre Histoire, de la riche chronologie des rois Juba jusqu’à la période contemporaine ! La voici, celle qui nous rattrape et nous implore de lutter contre l’oubli, le laisser-aller et la froideur qui murent l’antique Iol-Caesarea qui agonise.
Avec toute cette charge et ses potentialités anciennes et présentes, avec ses traditions ancestrales et sa culture aux élans de création… ne mérite-elle pas plus d’attention et de considération ? N’est-ce pas criminel ce qui lui arrive, notamment l’indifférence et le délaissement de ses habitants et de ses responsables, de même que leur capitulation face au progrès ? Pouvons-nous imaginer Rome, Athènes, ou Le Caire sous les affres de l’abandon, du délabrement et de la saleté, ces trois capitales qui louent et glorifient leur passé en permanence ? Quelle insulte à l’Histoire ! Quelle injure à nos ancêtres ! Oui, ces deux mots ne sont pas de trop si l’on revient à 1962, où d’ardents analphabètes se sont précipités – pour ce qui est de notre ville – pour arracher les plaques de rue, qui affichaient des noms célèbres, des noms de nos ancêtres les Berbères, dont j’ai déjà cité les qualités et les exploits, les Juba, Ptolémée, Cléopâtre Sélénée, Macrin et Priscien.
Est-ce parce que ceux-là évoquent, de par leurs noms seulement, les mécréants «d’El Djahiliya», selon la vision étriquée des nouveaux chefs d’alors ? Il y a beaucoup de cela, mais il y a aussi l’analphabétisme politique car, plus tard, dans les années 1980, deux grands personnages connus à travers le monde, que la JFLN de Cherchell avait honorés, à l’occasion du 24 Avril, Journée internationale de la jeunesse contre l’impérialisme, le colonialisme, le néocolonialisme, le sionisme, le racisme et l’apartheid, ont eu le même sort que le roi Juba et les autres. Il s’agit de Menhel Chadid, l’officier palestinien, ayant fait ses études à l’Académie militaire de Cherchell et tombé au champ d’honneur en Palestine et du jeune Nguyen Van Troï, héros national de la République démocratique du Viêtnam, condamné et exécuté par les forces américaines. Ces deux héros de la lutte anti-impérialiste ont disparu des frontons, l’un de l’avenue, l’autre de la rue qui les portaient honorablement à Cherchell, sans aucune explication… !
Ah, cette déprédation qui ne veut pas quitter la Cité des Grands par la faute des petits !  En effet, Cherchell qui était un livre d’Histoire n’est, depuis longtemps, qu’une ville délaissée, soumise aux affres de la démission. Et, ce qui est dramatique, c’est le sempiternel dédain quant à la préservation et la revalorisation de notre patrimoine matériel et immatériel. Tout cela parce que la suffisance prétentieuse et l’ignorance prennent le dessus sur toutes les tentatives de bonne volonté —si elles existent — négligeant royalement l’héritage des ancêtres qui ont été les principaux artisans en l’imprégnant de la marque des civilisations les plus diverses.
En attendant le réveil, je ne peux que vous présenter ce constat amer, plus de 20 siècles après Juba II.
K. B.

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Secteur de la pêche et de l’aquaculture : Encourager les jeunes à se lancer dans ces créneaux

Fri, 08/24/2018 - 00:07

Pourvoyeur d’emploi, le secteur de la pêche et des ressources halieutiques à Mostaganem contribue à la sécurité alimentaire et participe efficacement à la vie économique de la wilaya avec une façade de 126 km de côtes.
La mise en pratique du système d’accompagnement à l’investissement par le biais des dispositifs de soutien de l’Etat dans les différentes filières de la pêche et de l’aquaculture est en exergue dans la wilaya de Mostaganem.  Dans ce contexte, une centaine de jeunes  de la promotion 2018 sortant de l’institut de la pêche de Mostaganem  peuvent à la faveur de ce système bénéficier entre autres de l’encouragement de crédit de financement et des avantages fiscaux.
Ainsi une nouvelle approche est préconisée pour les jeunes par l’injection de petits métiers pour augmenter la production de poissons.
Même les professionnels peuvent prétendre aux investissements dans ces créneaux et ce, grâce à l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (Ansej), de la Caisse d’assurance chômage (Cnac), de l’Agence nationale de gestion du micro crédit (Angem) et enfin le Fonds national de développement de la pêche et de l’aquaculture.
S’agissant des programmes à long terme de développement pour les prochaines années jusqu’à l’horizon 2020, un plan d’action est élaboré et prévoit  la réalisation de plusieurs projets d’investissement dans l’élevage de poissons, la construction d’embarcations, la maintenance et le conditionnement des produits de la mer.
A. Bensadok

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Investissements en Afrique : L’Allemagne se détourne de l’Algérie

Fri, 08/24/2018 - 00:04

Ce n’est sans doute pas le pays qui fait le plus de bruit lorsqu’est évoqué l’investissement étranger en Algérie, mais l’Allemagne n’en constitue pas moins un des partenaires les plus viables… jusqu’à nouvel ordre. Et ce nouvel ordre est apparemment en train d’arriver.
L’Algérie, du point de vue des investissements directs étrangers (IDE), est loin de constituer une destination privilégiée des investisseurs internationaux, comme il ressort des chiffres du World Investment Report de la Conférence des Nations-Unies pour le commerce et le développement (Cnuced) rendu public il y a un peu plus de deux mois. Si l’on doit se fier à une information relayée vendredi dernier par l’agence d’information économique africaine Ecofin, un partenaire risque de réduire sa présence en Algérie dans les mois et les années à venir. Il est fait état, en effet, d’un changement de cap de la politique économique africaine de l’Allemagne.
Une nouvelle orientation qui s’annonce au détriment de certains pays qui constituaient le point de chute des entreprises allemandes en Afrique. Tel que le rappelle le document de l’agence Ecofin, le pays d’Angela Merkel, jusqu’à il y a à peine deux ans, ne s’est particulièrement intéressé qu’à trois pays en Afrique. En effet, sur les 10 milliards de dollars d’investissements allemands sur le continent, chaque année, 89% se concentraient dans trois pays : l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Algérie.
En parallèle, depuis environ trois ans maintenant, ils sont près d’un million de réfugiés à avoir débarqué en Allemagne et instaurer ainsi un débat qui, entre autres, a convaincu la chancelière de stimuler les économies africaines car plus il y a d’opportunités d’emplois sur le continent, moins les Africains auront envie de s’exiler.
Il ne faudrait pas croire que les Allemands aient un soudain accès de philanthropie parce que, comme le souligne la publication de l’Agence africaine d’information économique, cette nouvelle orientation économique qui se dessine est due également, et dans une plus grande mesure, au fait que le premier exportateur européen cherche à rattraper son retard en matière de coopération économique avec l’Afrique par rapport à la Chine, aux Etats-Unis, à la France, à la Grande-Bretagne, et même à certains pays émergents comme l’Inde, le Brésil et la Corée du Sud, d’autant plus que le continent affiche un taux de croissance de 5% par an depuis une quinzaine d’années et que sa classe moyenne représente désormais un marché de plus de 300 millions de consommateurs potentiels.
Des raisons purement économiques donc, étayées par les propos de l’économiste tchadien Antoine Doudjidingao, cité par l’agence Ecofin, qui constatait que «la tournée effectuée par la chancelière allemande en Afrique, en octobre 2016, a permis aux délégations qui l’accompagnaient de constater, d’une part, le retard qu’accuse leur pays en Afrique, en matière d’investissements, et d’autre part, de remarquer l’expansion des investissements et échanges économiques de certaines puissances comme la Chine, l’Inde, la France ou encore la Grande-Bretagne avec le continent».
Il faut dire que ce changement de cap des Allemands se dessinait depuis deux ans déjà, lorsque leur présence s’est étendue au-delà de l’Afrique du Sud, le Nigeria et l’Algérie avec l’ouverture par l’Association des chambres de l’industrie et du commerce allemandes (DIHK) de représentations en Tanzanie et au Kenya pour connecter des entreprises comme Siemens, BASF, Bayer et BMW avec l’Afrique. Puis, affirme l’agence Ecofin, Berlin a pour intention de conclure avec les pays d’Afrique du Nord et du Sahel des accords similaires à celui qu’elle a signé en 2016 avec la Turquie, en vertu duquel Ankara a accepté le retour sur son territoire des migrants arrivés en Grèce, en contrepartie d’une aide financière de 6 milliards d’euros.
Des intentions qui rappellent évidemment la proposition de l’Union européenne faite aux pays de la rive sud, Algérie comprise, de servir de «réceptacle» aux milliers de candidats à la migration vers le Vieux Continent, contre des millions d’euros sonnants et trébuchants.
Azedine Maktour

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Categories: Afrique

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