Le véhicule Mercedes à bord duquel fut assassiné le chanteur et chantre de l’amazighité Matoub Lounès est, entre autres biens, au centre d’une affaire judiciaire qui sera, à en croire sa famille, jugée ce 10 octobre par le tribunal de Tizi Ouzou. Dans la requête déposée au tribunal le 11 septembre dernier, la Mercedes de Lounès, qui est devenue un véritable patrimoine, exposé dans le garage de sa demeure, a été cité parmi les objets dont sa veuve Nadia réclame l’évaluation de la valeur par un expert pour, ainsi, pouvoir récupérer sa part de l’héritage laissé par son défunt époux.
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Sixième langue du monde après le mandarin, l’anglais, l’espagnol, l’arabe et le hindi, la langue de Molière est parlée par 11 millions d’Algériens. C’est ce qu’a indiqué hier l’Organisation internationale de la francophonie, qui révèle qu’il y a plus d’un million de francophones dans 39 pays et que la langue française concerne 57 pays, soit plus de 15% du PIB mondial. L’Algérie est classée à la quatrième place derrière la France (63 millions), le Congo (33 millions) et l’Allemagne (12 millions). Elle devance le Maroc, le Royaume-Uni, le Canada, l’Italie et le Cameroun qui comptent 9 millions de francophones, mais aussi le Québec et la Côte d’Ivoire (7 millions), la Tunisie (6 millions), la Suisse, l’Espagne et Madagascar (5 millions). Ces données ont été révélées à la veille du 17e Sommet de la francophonie qui se déroule les 11 et 12 octobre à Erevan, en Arménie.
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La coordination entre les secrétaires généraux du Front de libération nationale (FLN) et du Rassemblement national démocratique (RND) n’est pas si parfaite que prétendu. Du moins, ils ne tiennent pas la même comptabilité. S’exprimant le même jour, le premier à Béchar, le second à Alger, sur la pétition des députés pour la démission du président de l’APN, Saïd Bouhadja, ils ont avancé des chiffres différents. Djamel Ould Abbès a parlé de 351 signataires, alors qu’Ahmed Ouyahia a évoqué, lui, le nombre de 361, soit 10 de plus.
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La campagne pour le 5e mandat pour Bouteflika semble avoir démarré précocement à Oran. C’est en tout cas ce qu’il est donné de déduire à la vue de cette gigantesque enseigne publicitaire, un portrait du chef de l’État, planté depuis quelques jours près du rond-point pépinière de Bir El-Djir, à Oran.
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Lila Lamrani, une philosophe universitaire française d’origine algérienne, exclue sans raison officielle d’un poste à la Sorbonne Abou Dhabi après avoir signé une promesse d’embauche, indique l’AFP.
Lila Lamrani avait signé fin juillet une promesse d’embauche pour le poste de directrice du département de philosophie et sociologie de Sorbonne université Abou Dhabi, université de droit émirien, est une antenne de la Sorbonne Université à Paris, qui a notamment la main sur les enseignements qui y sont dispensés et la délivrance des diplômes.
Parmi les prétendants au poste, elle avait été classée première par l’université française, qui avait donc transmis son dossier pour le recrutement à Abou Dhabi. Or mi-août, Mme Lamrani reçoit un mail lui indiquant que l’offre faite est finalement retirée. Aucune explication n’accompagne cette décision.
Depuis, la chercheuse d’origine algérienne, qui a notamment travaillé sur le monde arabe, l’herméneutique coranique, et a créé l’association pour la Palestine à l’ENS (Ecole normale supérieure), cherche à comprendre les raisons de ce refus. « Je ne peux faire que des suppositions », a-t-elle dit lundi à l’AFP.
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Le contrôle excessif exercé par les forces marocaines dans les territoires sahraouis occupés, allant jusqu’à interdire les militants des droits de l’homme et les journalistes, inquiète de plus en plus le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH) auprès des Nations unies.
C’est ce qu’a affirmé le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, dans son rapport préliminaire sur le dossier sahraoui, qui fera prochainement l’objet d’un débat au sein du Conseil de sécurité.
« Les autorités marocaines continuent de restreindre l’accès au Sahara occidental aux visiteurs étrangers, y compris aux journalistes et aux avocats du Maroc », relève le SG de l’ONU dans son rapport préliminaire sur le Sahara occidental, qui sera discuté dans les prochaines jours au Conseil de sécurité. M. Guterres a indiqué que le HCDH a reçu plusieurs rapports sur « la répression des manifestations revendiquant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination » ainsi que « la cessation du pillage des ressources naturelles ». Selon l’ONU, le Haut-Commissariat continue de recevoir des rapports sur l’impunité des auteurs des violations perpétrées contre les Sahraouis, en particulier sur les arrestations arbitraires et sur les actes de torture et les mauvais traitements infligés aux détenus. Faisant écho des rencontres de l’envoyé personnel, Horst Kohler, avec les représentants de la société civile à Laâyoune et à Dakhla, le secrétaire général évoque « la frustration » des Sahraouis à l’égard des politiques discriminatoires du Maroc.
L’échange entre Horst Kohler et les représentants de la société civile dans ces deux villes occupées a mis, en effet, à nu le mensonge sur les projets d’investissement du Maroc prétendument présentés comme des programmes de développement des territoires sahraouis.
Les représentants de la société civile ont exprimé leur inquiétude « face aux projets de développement financés par le Maroc sur le territoire, affirmant qu’ils ne profitaient pas à la population autochtone sahraouie », note le rapport.
« Ces mêmes représentants ont exprimé leur frustration à l’égard des politiques discriminatoires qui les empêchent d’accéder à des emplois et à des opportunités économiques et restreignent leur liberté d’exprimer leurs opinions politiques », rapporte l’ONU.
Les ONG, qui n’ont pas été épargnées par le système répressif marocain, se disent « préoccupées » pour leur propre sécurité après les violations commises à leur encontre par la police marocaine, précise encore l’ONU. « Ces ONG sont unanimes quant à l’autodétermination du peuple sahraoui. « C’est le seul moyen de résoudre le conflit », soulignent-elles.
En outre, les Sahraouis de Laâyoune et Dakhla, deux principales villes des territoires occupés, ont réaffirmé au médiateur onusien, à l’occasion de ses rencontres avec les « élus » locaux, autrement dit les représentants du Makhzen, leur déception pour ce qui est l’emploi et l’accès à l’investissement.
« Ces soi-disant élus ne font rien pour le développement local, et ne se soucient pas du sort des populations », accusaient-ils en s’adressant au représentant de l’ONU.
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Le fils du défunt Hocine Aït Ahmed, Jugurtha, journaliste installé en Suisse, compte s’impliquer davantage dans les affaires internes du FFS, même s’il n’a aucun lien organique ni aucune légitimité sauf celle d’une filiation avec le fondateur du parti.
Après avoir soutenu Chafai Bouaiche contre la direction actuelle du parti, il s’est encore une fois manifesté en déclarant son appui à Salima Ghezali, élue députée sur la liste d’Alger. Dimanche matin, il s’est déplacé au siège du FFS pour soutenir Salima Ghezali, qui devait passer en conseil de discipline pour avoir fait publier sur un site électronique, au mois d’août dernier, une lettre adressée au vice-ministre de la Défense, le général de corps d’armée Ahmed Gaid Salah.
« Salima Ghezali, qui a été une conseillère politique de mon père choisie et appréciée par lui pour la finesse de ses analyses, est jalousée par quelques apparatchiks sans envergure. Elle est la personnalité, au sein du parti, qui peut garantir et préserver aujourd’hui les idéaux et la ligne politique édifiée par Hocine Aït Ahmed », avait-il écrit. Le député Bouaiche, qui devait lui aussi passer en conseil de discipline ne s’y pas présenté, mais s’en est excusé, invoquant une indisponibilité. De ce fait, son passage devant cette commission a été reporté à une date ultérieure. A quelques mois du congrès qui devrait désigner une nouvelle direction, le fils de Aït Ahmed veut peser de tout son poids pour renverser la tendance et acculer la direction actuelle du parti, en froid avec lui. Il faut relever que Salima Ghezali est proche de Jugurtha, le fils du regretté chef historique du parti.
Lors de la dernière crise interne, les deux fils du fondateur du parti ont rejoint le front aux côtés du « cabinet noir » contre le duo Laskri-Djilani. La famille d’Aït Ahmed a soutenu publiquement Chafaâ Bouaiche, Aziz Baloul, Salima Ghezali, Karim Baloul et Bahloul dans leur démarche hostile à la direction du FFS issue du dernier congrès extraordinaire 20 avril dernier.
Le 3 août dernier, le fis cadet du fondateur du FFS avait apporté son soutien à l’ex-chef du groupe parlementaire du FFS, Chafaâ Bouaiche, après le gel de ses activités au sein du parti en attendant sa comparution devant la commission de discipline, au motif de dénigrement des militants et cadres du parti sur les réseaux sociaux : « Entre le marteau et l’enclume ! Sisyphe n’est pas un mythe. C’est une réalité souvent brutale qu’il faut appréhender avec abnégation et philosophie comme tu le fais. Merci pour ton engagement exemplaire. Ton courage. Tu n’as rien à te reprocher, bien au contraire. Ta parole, responsable et libre est incompatible avec la culture du caporalisme et du centralisme démocratique en marche sous nos yeux ébahis », peut-on lire dans le message de soutien et de prise de position envoyé par Jugurtha Aït Ahmed à Chafaâ Bouaiche.
L’autre fils de Hocine Aït Ahmed, Salah, qui ne s’est jamais exprimé par le passé sur la vie interne du FFS, a aussi rompu son silence et s’est engagé dans la bataille à visage découvert. Commentant une sortie du premier secrétaire du FFS à Draâ El Mizan, lors de laquelle il a affirmé que le FFS « n’est pas une question de famille », Salah Aït Ahmed compare le trio Ali Laskri, Mohand Amokrane Chérifi et Hadj Djilani à ceux qui ont pris le pouvoir de force en 1962 : « Pervertir pour enterrer la collégialité, objectif stratégique du triumvirat Ali Laskri, Mohand Amokrane Chérifi et Hadj Djilani », lit-on sur son compte facebook. Un ancien cadre du FFS révèle que la famille et les proches de Hocine Aït Ahmed « voulaient avoir le contrôle total des appareils du parti au lendemain de la disparition de ce dernier.
La famille et les proches d’Aït Ahmed ne veulent pas admettre que le parti a changé de main. Ils souhaitent toujours garder la main sur les affaires du parti. Les enfants de Hocine Aït Ahmed n’ont pas de lien organique avec le parti. Leur position est avant tout symbolique », indique-t-il.
Le clan Laskri ne compte pas laisser passer cette « offense », lui qui répète souvent que le parti est revenu aux mains des militants.
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Le SIPSA SIMA 2018, le plus grand Salon international de l’élevage et de l’agroéquipement en Afrique, ouvre ses portes ce dimanche au Palais des expositions (SAFEX) à Alger.
Ce Salon de référence pour l’ensemble des productions animales et végétales au Maghreb et en Afrique regroupe les professionnels de la filière en vue de renforcer leurs liens et d’accéder aux innovations. Ceci en leur ouvrant la voie vers une agriculture performante.
Cette 18e édition est placée sous le thème « Pour une agriculture intelligente, face au défi d’une sécurité alimentaire et sanitaire durable », pour marquer l’importance de l’introduction de nouvelles technologies dans ce secteur. L’édition de cette année, qui accueille les Pays-Bas comme invité d’honneur, verra aussi la représentation de 45 pays avec un total de 500 exposants répartis sur une surface de 31 000 m2. Le nombre attendu de visiteurs professionnels atteindra 21 000 selon les prévisions. Une grande gamme de produits sera de ce fait présentée afin de répondre à tous les besoins des exploitations agricoles et des professionnels de l’élevage. Matériels et équipements d’élevage, production et santé animales, élevage (avicole, bovin, caprin), aquaculture, travail du sol, irrigation, nouvelles technologie, services… sont autant de produits que les pavillons de la SAFEX abriteront quatre jours durant. Pour le directeur de ce Salon, le docteur Amine Bensemmane, « avec l’adoption de cette thématique le Salon SIPSA poursuit sa contribution dans l’identification des stratégies les plus adaptées pour augmenter durablement la productivité et la résilience des cultures ». Il est aussi question, selon lui, « d’œuvrer dans la continuité de la consolidation des bases de notre sécurité alimentaire qui constitue la ligne de mire de la politique nationale en la matière ».
Il y a lieu de noter que le choix de la thématique tombe à point avec les recommandations des experts en agriculture qui, rappelons-le, lors du séminaire international sur l’agriculture 4.0 organisé la semaine passée à Alger, ont à l’unanimité plaidé pour la nécessité d’introduire les nouvelles technologies dans l’agriculture. « Il faut adopter toute solution qui peut améliorer la productivité et qui permettra aussi de mettre à la disposition du consommateur un produit à un meilleur prix », a notamment recommandé Sid-Ahmed Ferroukhi, ex-ministre algérien de l’Agriculture. Selon lui, « dans les années à venir nous serons plus nombreux, plus exigeants sur l’alimentation, nous devons donc produire plus, mieux et avec moins de ressources ». « Cela ne peut pas se faire sans l’intégration de nouvelles technologies », a-t-il estimé.
Cet événement de quatre jours sera également ponctué par des rencontres B to B destinées à favoriser les échanges entre investisseurs et porteurs de projets. Des forums abordant plusieurs questions pendantes de politique agricole seront aussi organisés en marge de ce Salon.
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La Journée internationale de l’enseignant a été instituée pour marquer la reconnaissance du rôle des enseignants dans le développement de la Nation.
Elle offre l’occasion pour les professionnels du secteur de s’interroger sur leur rôle dans l’éducation des enfants et favorise une prise de conscience quant à leur implication dans le développement du pays.
A ce sujet, la ville millénaire d’El-Atteuf a célébré avant-hier la fête internationale de l’enseignant, placée cette année sous le thème « L’enseignant comme acteur principal pour un système éducatif de qualité ».
Elle est synonyme d’appel à changer l’école algérienne pour en faire le lieu « où nos enfants acquièrent la capacité d’accomplir leurs rêves pour une solide éducation.
Cet évènement constitue également le lieu pour les acteurs du secteur d’engager des discussions autour des difficultés rencontrées dans l’exercice de leur profession et d’en proposer les pistes de solutions.
Lors d’une cérémonie solennelle organisée à cette occasion par l’APC d’El-Atteuf, certains intervenants ont déploré quelques lacunes qui touchent l’enseignement, entre autres, le fort taux d’échec scolaire dans la région du sud du pays, à cause de la baisse du niveau général de l’enseignement, ainsi qu’« une crise de confiance » qui s’est installée à tous les niveaux », pendant que d’autres ont dénoncé les agressions au sein des établissements scolaires, allusion faite à la récente agression fâcheuse par un surveillant sur un élève, au CEM Rabie-Ibn-Habib de Ghardaïa.
Partant de ce constat, la ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, avait bien, à travers ses multiples instructions, invité toute la communauté enseignante et tous les partenaires à bien accomplir leur tâche pour une éducation efficace et à trouver ensemble des solutions pour l’avènement d’une école au service du développement, une école qui doit offrir à tous les enfants de Ghardaïa et de toute l’Algérie, quelle que soit leur origine d’éducation, publique ou privée, les mêmes chances de réussite ».
Cependant, encourageant fortement les enseignants à se mobiliser pour un enseignement de haute qualité, la ministre avait aussi insisté et appelé à changer l’école algérienne pour en faire le lieu « où nos enfants acquièrent la capacité de prédire leur avenir. Une école véritablement républicaine qui n’a ni affiliation politique ni coloration syndicale ou autres ».
Cette louable initiative a été aussi l’occasion d’honorer certains retraités de l’enseignement et de récompenser les élèves lauréats qui se sont distingués lors des examens de fin d’année scolaire 2017/2018, dans les trois paliers de l’enseignement.
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Le président sud-coréen Moon Jae-in a déclaré lundi que les conditions étaient réunies pour la tenue d’un second sommet entre le dirigeant nord-coréen, Kim Jong Un, et le président américain Donald Trump. M. Moon a précisé lors d’un conseil des ministres que la récente visite à Pyongyang du secrétaire d’Etat américain Mike Pompeo avait créé une atmosphère et des conditions favorables à la tenue de ce nouveau sommet, après celui organisé à Singapour le 12 juin dernier.
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Le président démissionnaire d’Interpol, le vice-ministre chinois de la Sécurité publique Meng Hongmei, a « accepté des pots-de-vin », a indiqué Pékin lundi, quelques heures après avoir annoncé que M. Meng était placé sous enquête. M. Meng « a accepté des pots-de-vin et est soupçonné d’avoir violé la loi », a rapporté dans un communiqué le ministère de la Sécurité publique. Ce communiqué est présenté comme un compte-rendu d’une réunion organisée lundi dans la cellule du Parti communiste chinois (PCC) du ministère de la Sécurité publique (police).
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Un rapport mondial sur le changement climatique a met en garde contre des vagues de chaleur mortelles qui pourraient frapper l’Inde, comme celle de 2015 qui a tué au moins 2.500 personnes si le monde se réchauffait de 2 degrés Celsius par rapport aux niveaux préindustriels. Le rapport, publié lundi par le Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat (GIEC), mentionne spécifiquement Kolkata et Karachi parmi les villes qui pourraient faire face à une menace accrue de vagues de chaleur.
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La proportion de soldats britanniques souffrant de stress post-traumatique (PTSD) est en hausse, en particulier parmi ceux ayant servi en Irak et en Afghanistan, révèle une étude publiée lundi. Environ 6% de membres actuels ou passés de l’armée souffraient de stress post-traumatique en 2014/2016, soit deux points de plus qu’en 2004/2006, indiquent les résultats de cette étude publiée dans le British Journal of Psychiatry. La hausse est particulièrement notable chez ceux qui ont combattu en Irak et en Afghanistan. « 17% ont signalé des symptômes évoquant un probable PTSD, comparé à 6% parmi ceux déployés dans des fonctions de soutien telles que la médecine, la logistique, la signalisation et le personnel navigant », souligne l’étude réalisée par le Centre de recherche sur la santé militaire du King’s College de Londres.
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Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Verchinine a affirmé lundi que « tout serait fait afin d’éviter les souffrances » des civils d’Idleb en Syrie, évoquant une « éventuelle offensive pour la libération de cette province syrienne des mains des terroristes ». « En cas d’offensive dans la province syrienne d’Idleb, il devrait s’agir d’opérations de précision et non de man£uvres d’envergure », a déclaré à Sputnik le vice-ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Verchinine. »Nous comptons éviter les souffrances civiles provoquées par des hostilités d’envergure », a-t-il indiqué.
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Le square Port-Saïd, datant de l’ère coloniale, faisant le lien entre la Basse Casbah et Alger-centre rouvrira sera accessible au grand public vers la fin du mois courant, après la réalisation de travaux de réhabilitation entamés depuis février 2017, a annoncé lundi, le maire d’Alger-centre, Abdelhakim Bettache. « Le square Port-Saïd, qui a fait l’objet depuis février 2017 de travaux de réaménagement et de réhabilitation, sera ouvert pour le public vers la fin octobre. Tout a été refait et restauré, en usant des mêmes matériaux de l’époque coloniale afin de redonner au Square Port-Saïd, son lustre d’antan », a précisé M. Bettache.
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La force antijihadiste du G5 Sahel, qui tarde à monter en puissance, a programmé « trois opérations ces prochaines semaines », a annoncé lundi à l’AFP ministre française des Armées, Florence Parly, en visite de deux jours au Tchad. « L’équipement de la force conjointe (du G5 Sahel) est encore très insuffisant mais la force n’est pas inactive, loin s’en faut. Elle a mené six opérations depuis le lancement, et trois sont programmées dans les prochaine semaines sur chacun des trois fuseaux », a décrit Mme Parly à son arrivée à N’Djamena, où elle doit rencontrer le président Idriss Déby Itno et des soldats de la force française Barkhane déployée au Sahel (4.500 hommes). La ministre française avait annoncé plus tôt lundi sur Radio France International que le nouveau chef d’état-major de la force du G5 (le général mauritanien Hanena Ould Sidi, assisté d’un adjoint tchadien) avait « reprogrammé des opérations pour le mois d’octobre ».
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Une coupure de gaz est prévue jeudi prochain dans neuf (9) communes dans la wilaya d’Alger en raison de travaux de renforcement du réseau de transport de gaz, a indiqué lundi un communiqué de la direction de distribution de l’électricité et du gaz (SDA) de Belouizdad. « Dans le cadre des travaux de renforcement
du réseau de transport de gaz haute tension par le gestionnaire du réseau (GRTG), la Direction de distribution de l’électricité et du gaz de Belouizdad informe ses clients qu’une coupure du gaz est programmée le jeudi 11 octobre à partir de 22h00 pour une durée prévisionnelle de 18 heures », a précisé la même source. Les communes concernés par cette coupure sont : Sidi M’Hamed, Belouizdad, El Madania, El Mouradia, Kouba, Hussein Dey, Alger-Centre, El Biar et El Magharia. La SDA s’excuse auprès de sa clientèle pour les désagréments causés par cette coupure « provisoire » et mis à la disposition des citoyens un numéro vert (33 03) pour toute information, joignable 24h/24 et 7j/7, indique la même source.
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L’Union européenne (UE) se félicite de la « qualité » des réformes entreprises par l’Algérie dans le secteur de la Justice, en particulier dans le système pénitentiaire, a déclaré lundi à Alger le chef de la Délégation de l’Union européenne en Algérie, John O’Rourke.
« Nous nous félicitons de la qualité et de l’ambition des réformes entreprises par l’Algérie dans le secteur de la Justice et en particulier dans le système pénitentiaire ainsi que de la coopération lancée par les deux parties en 2006 pour appuyer l’effort algérien à mettre en place ces réformes », a indiqué M. O’Rourke, lors du colloque sur le thème « Algérie-UE, 10 ans de coopération en matière pénitentiaire, bilan et perspective ».
Il a affirmé que « depuis 2006, l’Algérie a consenti un effort majeur de réforme de la justice et du système pénitentiaire visant à mettre le secteur en conformité avec les standards internationaux ».
L’UE a contribué à la réforme pénitentiaire en Algérie à travers deux programmes.
Le premier a concerné l’appui de la réforme pénitentiaire de 2008 à 2014 portant sur la réinsertion, la formation des ressources humaines, les systèmes informatiques et la sécurité, alors que le second consiste en le jumelage avec l’administration française et italienne et tend à concrétiser et mettre en œuvre l’Accord d’association entre l’Algérie et l’UE, entre le 16 mai 2016 et le 15 novembre 2018.
Parmi les résultats « concrets » de la coopération entre l’Algérie et l’UE, figure notamment l’élaboration du « Référentiel des emplois et compétences » du personnel de la Direction générale de l’administration pénitentiaire et de la réinsertion (DGAPR), la Charte éthique et le Code déontologique médical, la formation et l’accompagnement des services d’orientation et d’évaluation de quatre établissements pénitentiaires pilote (El Harrach, Bejaia, Ain Oussara, Oran) pour la mise en œuvre d’outils modernes d’appréciation des risques de comportement violent, dangerosité et psychopathie, a-t-on indiqué auprès de l’UE.
Le chef de la Délégation de l’UE en Algérie a affirmé que la participation à ce colloque des administrations pénitentiaires des deux rives de la Méditerranée et de plusieurs pays de la région du Sahel « témoigne du fait que la réforme pénitentiaire est un défi commun et qu’il est donc primordial de partager nos expériences respectives et de mettre en commun nos savoir-faire ».
Le chef de la Délégation de l’UE a, à cette occasion, félicité l’Algérie pour la mise en œuvre, en 1993, d’un moratoire sur la peine de mort et pour la poursuite de son application.
« A l’occasion de la célébration, dans deux jours, de la Journée internationale contre la peine de mort, je tiens à remercier l’Algérie qui a su mettre, en 1993, un moratoire sur la peine de mort, dans des circonstances très difficiles, et qu’il continue à appliquer », Le chef de la Délégation de l’UE
De son côté, le secrétaire général du ministère de la Justice, Zouaoui Ladjine, a remercié l’UE pour son accompagnement et son soutien à l’Algérie dans son entreprise des réformes de la justice notamment de son système pénitentiaire.
Il a rappelé que l’arsenal pénitentiaire a connu (depuis son lancement en 1999 dans le cadre des réformes de la Justice initiées par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika) une progression et un ensemble de réformes ayant ciblé le cadre législatif.
Ces réformes visaient notamment le renforcement des droits des détenus, l’humanisation des conditions de détention et la concrétisation des meilleurs principes pour la politique de la réinsertion sociale des détenus, a-t-il dit.
Il s’agit aussi de l’amélioration du fonctionnement des établissements pénitentiaires suivant les standards internationaux, le renforcement de sa sécurité et la promotion de ses ressources humaines.
Le même responsable a indiqué que ces réformes portent, également, sur la modernisation du secteur pénitentiaire, par le biais de la construction d’établissements pénitentiaires en conformité avec les standards internationaux, l’introduction de l’informatique et la planification stratégique dans la gestion des établissements pénitentiaires.
Il a révélé, à cette occasion, que « 81 nouveaux établissements pénitentiaires sont déjà réalisés ou en cours de construction à travers le territoire national », ajoutant que ces infrastructures viennent remplacer celles datant de l’époque coloniale.
M. Ladjine a mis en avant aussi l’introduction des nouvelles technologies dans le système pénitentiaire comme l’utilisation du bracelet électronique pour les détenus jugés définitivement à des peines de moins de 3 ans de réclusion.
Dans ce sens, le directeur général de l’Administration pénitentiaire, Mokhtar Felioune, a annoncé la généralisation du bracelet électronique, appliqué actuellement dans certains tribunaux, « vers la fin novembre prochain ».
Le colloque vise à explorer les différents volets de la réforme pénitentiaire algérienne, de passer en revue les acquis de l’administration pénitentiaire et de réfléchir sur les leçons apprises pouvant aussi contribuer aux réflexions menées en ce moment par d’autres pays partenaires, a-t-on indiqué lors de la rencontre, qui traitera des conditions de détention, de la politique de réinsertion et de la sécurité ainsi que de la mise en place d’une réforme pénitentiaire.
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Le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, a appelé, lundi à Alger, à s’inspirer des sacrifices consentis par les moudjahidine, lors de la Guerre de libération nationale et d’en faire un modèle à suivre, pour les générations montantes, en vue de relever les défis qui se posent à l’Algérie.
S’exprimant lors d’une conférence historique organisée à l’occasion du 61e anniversaire de la disparition des quatre héros de la Casbah, tombés en martyrs (Hassiba Ben Bouali, Ali Ammar dit Ali La Pointe, Mahmoud Bouhamidi et Yacef Omar dit le petit Omar), le ministre a indiqué qu’il était « impératif d’ancrer l’histoire et les enseignements tirés de la révolution nationale, qui devraient être un modèle à suivre par les générations montantes pour mieux comprendre le présent et construire l’avenir ».
Il a rappelé, à ce propos, le message du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, dans lequel il a appelé les enfants de l’Algérie à faire des moudjahidine et des Chouhada « un exemple à suivre », en vue de « poursuivre le processus d’édification de la patrie ».
Partant du principe de fidélité au serment des Chouhada, « nous devons être à la hauteur de leurs sacrifices et même conscients de l’importance de la continuité pour relever les défis ».
« Si les sacrifices d’hier consentis par nos martyrs avaient permis à l’Algérie de recouvrer sa souveraineté, le peuple algérien aspire, aujourd’hui, à remporter le pari du progrès et du développement », a soutenu le ministre lors de cette rencontre tenue au Musée national du moudjahid, en présence de moudjahidine et de lycéens.
Accompagné par le wali d’Alger, Abdelkader Zoukh et des membres de la famille révolutionnaire, M. Zitouni a visité la maison des quatre martyrs à la Casbah où la Fatiha a été récitée à leur mémoire et une gerbe de fleurs a été déposée.
Par ailleurs, et dans une déclaration à la presse à l’issue de cette conférence, le ministre a relevé « des indicateurs positifs concernant le dossier de restitution des archives nationales de France « , ajoutant, par la même occasion, que la question du « retour des Pieds Noirs en Algérie n’est en vérité que des déclarations infondées faites à la presse ».
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Le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE), Abdelwahab Derbal a affirmé que toutes les lois régissant les opérations électorales resteront inchangées.
Dans une déclaration à Echorouk, le président de la HIISE a révélé dimanche que son instance ne dispose pas de prérogatives lui permettant de promulguer des lois, excluant toute révision de la loi électorale et celle régissant l’instance de surveillance des élections en raison des longues procédures que cela nécessite, estimant que cela ne puisse avoir lieu à quelques mois seulement de l’échéance présidentielle d’avril 2019.
En revanche, il a affirmé que les remarques faites à ces lois ne seront pas abandonnées, affirmant que la HIISE continue d’accomplir ses missions en faveur de l’amélioration du processus électoral tel qu’il est consacré par le législateur.
En outre, Abdelwahab Derbal a fait savoir que l’opinion publique aura droit à toutes les observations en ce qui concerne l’assiette électorale; qui a souvent fait l’objet de débat entre les partis et les candidats.
A la question de savoir si le travail de l’instance ne risque pas d’être entravé, il a affirmé que celle-ci collabore avec le ministère de l’Intérieur dans le sens d’aplanir l’ensemble des difficultés techniques et les problématiques juridiques par le biais des “commissions communes” créées pour ce but précis.
Selon lui, le programme des sessions de formation régionales, prévues du lundi au mercredi, consiste à expliquer les procédures ayant trait aux élections présidentielles.
Il est utile de rappeler que la HIISE avait indiqué dimanche dans un communiqué que des sessions de formation vont avoir lieu dans nombre de wilayas, à savoir Constantine, Béjaïa, Ghardaïa et Tlemcen.
D’après la même source, ce programme qui prévoit une série de rencontres régionales intervient en coïncidence avec la révision annuelle des listes électorales et à la veille des élections présidentielles.
Il sera axé sur trois points: “voies et moyens de révision des listes électorales, les procédures relatives aux élections présidentielles et le rôle de la HISSE dans de contrôle de ces élections”.
Echorouk / Traduit par: Moussa. K.
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