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Updated: 21 hours 52 min ago

Des familles sensibilisées à leur environnement

Mon, 12/10/2018 - 11:24

A. E. A.

Une caravane de sensibilisation en direction de la «famille productive», entrant dans le cadre de la Journée arabe de la famille, qui coïncide avec le 4 décembre de chaque année, sillonne depuis hier différentes communes de la wilaya.

Selon la chef du service «famille» à la direction de l’Action sociale, Farida Abbès, la caravane est composée d’éléments de l’agence du micro-crédit (Angem), l’agence de développement social (ADS), des associations comme les «Oulémas musulmans» et «Djoussour», de la direction de l’action sociale (DAS), etc.

La commune Messaoud Boudjeriou a été la première à recevoir hier la visite de la caravane de sensibilisation, dit-elle, dont le programme tracé du 9 au 12 décembre prévoit des haltes à Benbadis, aujourd’hui, à Ouled Rahmoune, demain et après-demain à Zighoud-Youcef.

L’objectif du périple est d’apporter le soutien aux familles productives de ces localités déshéritées, surtout en matière économique à l’effet de les pousser à participer dans les programmes de développement de leurs régions, qui sont en général à vocation agricole.

Notre interlocutrice fait savoir que l’opération de sensibilisation a pour but également de les encourager à la conservation de leur milieu de vie, en conformité avec le slogan de la Journée arabe de cette année, dont l’intitulé est «le rôle de la famille dans la préservation de l’environnement».

Ce sont, donc, surtout les familles vivant des conditions difficiles, qui activent dans des métiers traditionnels, qui cherchent à développer et moderniser les produits, qui sont ciblées. Et tout le travail consistera à les sensibiliser à adopter des programmes de développement dans divers domaines de l’agriculture, et aussi dans des métiers ou industries, affirme-t-elle.

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Crise des gilets jaunes: Les Français dans l’attente d’une réponse de l’exécutif

Mon, 12/10/2018 - 11:20

La mobilisation à Paris a fait «beaucoup plus de dégâts» que celle du 1er décembre, a estimé le premier adjoint de la maire Anne Hidalgo.

Les yeux restent braqués en France sur le président Emmanuel Macron, dans l’attente de réponses à la crise des Gilets jaunes, au lendemain d’une mobilisation avec de nouvelles violences et un nombre record d’interpellations. Une semaine après les images d’émeutes qui avaient fait le tour du monde, les manifestants n’ont pas renoncé à défiler dans la capitale française et dans plusieurs villes de province, éprouvées par des débordements et de fortes dégradations.
Au niveau national, la mobilisation de ces Français modestes, née sur les réseaux sociaux et qui entre dans sa quatrième semaine (manifestations, barrages filtrants, sit-in), a réuni 136.000 manifestants, preuve qu’elle ne faiblit pas. A Paris, ils ont été plus nombreux (10.000 contre 8000 le 1er décembre). Pour tenter d’éviter des scènes de guérilla urbaine, les forces de l’ordre ont procédé à un nombre record de 1.082 interpellations à Paris, selon la préfecture. Un bilan en très nette hausse par rapport à la précédente mobilisation (412 personnes interpellées). A Paris encore, barricadée de façon exceptionnelle dans divers quartiers stratégiques, les violences ont été nombreuses: voitures brûlées, vitrines brisées, heurts entre manifestants et forces de l’ordre, tirs de gaz lacrymogène en particulier sur la célèbre avenue des Champs-Elysées…
En pleine préparation des fêtes de Noël, les commerçants ont été nombreux à baisser le rideau samedi.
La mobilisation à Paris a fait «beaucoup plus de dégâts» matériels que celle du 1er décembre, a renchéri Emmanuel Grégoire, premier adjoint de la maire Anne Hidalgo.
En province, notamment à Bordeaux et Toulouse (sud-ouest), mais aussi à Marseille (sud-est) et Nantes (ouest), heurts et dégradations ont été importants.
Dans plusieurs villes, des voitures et du mobilier urbain ont été incendiés, des vitrines saccagées et des magasins pillés. Face à un mouvement hors des cadres établis, les regards sont tournés vers Emmanuel Macron, à la recherche d’une sortie politique.
Les Gilets jaunes sont issus majoritairement des classes populaires et moyenne. Cette France des fins de mois difficiles se dit excédée par la politique fiscale et sociale d’Emmanuel Macron. Leur mobilisation est devenue le creuset d’autres contestations françaises (lycéens et étudiants, routiers, agriculteurs, ambulanciers). Emmanuel Macron a été vertement critiqué par une quinzaine de maires et élus des Yvelines (région parisienne) lors d’une rencontre à l’Elysée vendredi, qui ont dénoncé, pendant trois heures, devant lui, sa méthode de réforme «catastrophique» et «inappropriée», rapporte dimanche le quotidien Le Parisien.

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Categories: Afrique

Sommet du CCG à Riyadh: Les lignes de fracture en examen

Mon, 12/10/2018 - 11:18

Ce groupement régional, né en 1981 sur un réflexe d’autodéfense face à l’Iran, a perdu, au fil des ans, de sa pertinence.

Les six pétromonarchies arabes du Golfe tenaient hier leur sommet annuel à Riyadh dans un contexte de crises multiples: dispute persistante avec le Qatar, dont l’émir est absent, guerre au Yémen et affaire Khashoggi, du nom du journaliste tué au consulat saoudien d’Istanbul. Malgré ces enjeux, aucune annonce majeure n’est attendue. Sans surprise, malgré l’invitation protocolaire qui lui avait été transmise, l’émir cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani ne sera pas à Riyadh, et le Qatar sera représenté par le numéro deux de sa diplomatie, le secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Sultan al-Merrikhi, selon un porte-parole officiel à Doha. Son petit mais richissime pays reste ostracisé par ses puissants voisins que sont l’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis, qui l’accusent de soutenir des groupes islamistes radicaux et de leur préférer l’Iran. Bahreïn, autre membre du CCG, s’est associé à l’embargo contre le Qatar, avec l’Egypte. En juin 2017, les quatre pays ont rompu tout lien avec Doha -qui ne cesse de rejeter les accusations- et ne semblent pas prêts à desserrer l’étau autour de l’émirat gazier..

Outre les liens diplomatiques, ils ont mis fin à toute relation économique et commerciale avec le Qatar qui, pour sa part, a décidé de quitter en janvier prochain l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dominée par l’Arabie saoudite. «Le Qatar a brûlé tous les vaisseaux qui lui permettraient de reprendre» pleinement sa place au sein du CCG, a dit le chef de la diplomatie de Bahreïn, cheikh Khaled ben Ahmed Al-Khalifa. Le CCG comprend également le Koweït et Oman, qui sont restés à l’écart de la dispute avec Doha. Ce groupement régional, né en 1981 sur un réflexe d’autodéfense face à l’Iran, a perdu, au fil des ans, de sa pertinence. Son secrétaire général, Abdellatif al-Zayani, a indiqué que le 39e sommet du CCG allait «passer en revue les liens avec l’Iran» après le rétablissement de sanctions américaines.

Mais la ligne de fracture est claire au sein du CCG entre les tenants d’une ligne dure à l’égard de Téhéran représentée par Riyadh, Abou Dhabi et Manama, et les adeptes de liens normaux avec l’Iran, comme Mascate et Koweït, sans compter Doha qui souhaite aller plus loin dans les relations avec Téhéran. Le sommet d’une journée doit commencer ses travaux en fin d’après-midi après l’arrivée de toutes les délégations, selon les médias saoudiens.
Le sommet du CCG se tient alors que les belligérants yéménites sont réunis en Suède sous les auspices des Nations unies, pour trouver une sortie de la guerre qui ravage depuis 2015 le Yémen. L’Arabie saoudite et les Emirats arabes unis sont concernés en premier lieu par ce conflit, étant les piliers de la coalition militaire contre les rebelles Houthis, alliés à l’Iran. Le Qatar est entré à reculons dans cette coalition, avant de s’en retirer.

Les pourparlers en Suède n’auraient pas pu se tenir si Ryad n’avait pas encouragé son allié, le gouvernement yéménite du président Abd Rabbo Mansour Hadi, reconnu par la communauté internationale, à s’y rendre. Les images de dévastation provoquée par les raids aériens de la coalition menée par l’Arabie saoudite au Yémen et celles de la crise humanitaire, décrite comme la pire au monde par l’ONU, ont convaincu les grandes puissances de la nécessité d’accélérer un règlement du conflit. L’Arabie saoudite reste également sous pression, empêtrée dans l’affaire de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, tué dans le consulat de son pays début octobre à Istanbul. Ce meurtre d’abord nié puis reconnu par Riyadh embarrasse au plus haut niveau le royaume, d’autant plus que la responsabilité du prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane a été évoquée dans cette affaire en Turquie et aux Etats-Unis.Le Qatar a tiré indirectement profit des critiques et des pressions subies par Riyadh de la part de nombreux élus américains, qui ne suivent pas le président Donald Trump dans sa démarche consistant à dédouaner le jeune prince héritier saoudien, surnommé «MBS».

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Categories: Afrique

Ouvrir le capital social des SSPA: La FAF met les clubs devant leurs responsabilités

Mon, 12/10/2018 - 11:11

Par Saïd MEKKI

Depuis l’avènement du professionnalisme dans le football algérien en 2010, sur injonction de la toute puissante FIFA, les clubs sont passés du statut d’associations sportives à celui de sociétés sportives par actions (SSPA).

Mais ils n’ont, depuis, pas procédé à l’ouverture du capital social de ces SSPA, laissant, ainsi, les choses traîner jusqu’à mener vers le pourrissement. Le dernier rapport de la Cour des comptes en est la parfaite illustration. De tous les clubs, il n’y en a que quelques-uns qui ont été repris par des Entreprises publiques économiques, alors que l’USM Alger a été reprise par le Groupe Haddad. Avec l’accumulation des dettes, où le président de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar, a annoncé récemment que pas moins de 10 clubs seront interdits de recrutement durant ce mercato, il faut bien reconnaître qu’il faut passer à l’action pour l’ouverture du capital et permettre aux «investisseurs» d’aider à la promotion des clubs et, par conséquent, le football national.

C’est la raison pour laquelle, selon les dernières nouvelles, la Fédération algérienne de football (FAF) compte procéder à l’envoi d’une missive aux clubs de Ligue 1, leur demandant d’ouvrir le capital social de leurs sociétés, avant que l’instance fédérale n’intervienne pour solliciter des entreprises publiques et privées dans le but d’investir dans ces clubs et avoir la majorité des actions. Les clubs qui n’ont pas encore de société doivent donc bouger. Là, il est important de signaler qu’en réalité, les clubs professionnels algériens se doivent d’assurer et de respecter les dispositions et les clauses contenues dans le cahier des charges sur le professionnalisme dans notre football.

Accompagnement de l’Etat
L’Etat a accompagné ces clubs dans le processus de mise en place du professionnalisme, en leur octroyant des aides directes et indirectes, mais l’objectif est, désormais, de voir ces clubs, au fur et à mesure, se prendre en charge eux-mêmes et réduire, par conséquent, la charge de l’état. Car, en réalité, lorsqu’on parle de professionnalisme, on parle de concurrence entre «investisseurs» et donc parler strictement «finances» et «commerce».
La recherche des sources et ressources financières incombe aux responsables des clubs, mais, apparemment, ce n’est pas le cas pour tous. Ceci sans parler du cas des «relations clubs pro-club amateur». On se souvient bien que lors de l’ouverture du Symposium sur le football national, il y a une année, le ministre de la Jeunesse et des Sports d’alors, El Hadi Ould Ali, avait, au cours de son allocution, axé son discours sur la nécessité de trouver des solutions pour le renouveau du football national qui se trouve dans un état «critique». Et parmi les recommandations du MJS, «la nécessité pour les clubs professionnels d’ouvrir leur capital social afin de garantir une meilleure rationalisation de l’argent avec une maîtrise parfaite en matière de gestion». «Cela va permettre aux clubs de s’adapter aux conjonctures financières du pays», avait-il dit.

Où est passée la DNCG?
Cela veut, ainsi donc, dire que les clubs doivent trouver les ressources nécessaires pour s’autofinancer, tout en abandonnant les subventions de l’État, conformément au cahier des charges du professionnalisme (l’État s’est engagé toutefois à accompagner les clubs jusqu’en 2018). Or, il se trouve que cette date est bien à l’orée de sa limite. Reste à savoir ce que préconise le nouveau ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab, avec la fin de la date initialement prévue pour le désengagement de l’Etat. Enfin, il est tout aussi important de rappeler que la Fédération algérienne de football se doit également de relancer véritablement et dans la pratique la fameuse direction nationale de contrôle et de la gestion (DNCG) pour aider justement les responsables des clubs à la bonne gestion. On a beau parler de cette direction et demander à ce qu’elle soit mise en place, mais les choses n’ont pas encore dépassé le stade de la théorie, avec tout le désagrément que cela peut engranger. A bon entendeur…

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CR Belouizdad: Les dettes en voie d’être réglées

Mon, 12/10/2018 - 11:09

Par Mohamed BENHAMLA 

Une fois ces dettes réglées, le Chabab sera autorisé à recruter dès le prochain mercato d’hiver, qui débutera le 15 du mois courant.

L’affaire des dettes d’anciens joueurs du CR Belouizdad, qui ont eu gain de cause après leur recours à la Chambre de résolution des litiges (CRL) est en voie d’être réglée. La direction du Groupe Madar Holding, actionnaire majoritaire de la SSPA/CRB, a récupéré les états de tous ces joueurs et commencera dès cette semaine à régulariser ceux-ci. Selon le directeur général des Rouge et Blanc d’Alger, il s’agit de régler le cas d’une trentaine de joueurs, alors que le président de la Ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar, a indiqué que le Chabab reste le club le plus endetté, avec une somme avoisinant les 12 milliards de centimes.

Une fois ces dettes réglées, le Chabab sera autorisé à recruter dès le prochain mercato d’hiver, qui débutera le 15 du mois courant. Dans un premier temps, les responsables belouizdadis cherchaient à trouver une solution à l’amiable avec ces créanciers, en convenant d’un échéancier. Mais plusieurs parmi ces derniers ont refusé cela, exigeant qu’ils soient payés jusqu’au dernier centime. Cela a poussé, par la suite, les Belouizdadis à trancher, en décidant de payer tout le monde afin de pouvoir passer à autre chose. Après la régularisation de ce cas, les responsables du Groupe Madar Holding passeront à l’assainissement d’autres dettes, notamment celles liées aux impôts, aux assurances et à d’autres créanciers, chose qui va permettre, selon la stratégie des responsables en question, de repartir de zéro la saison prochaine et entamer, de ce fait, la mise en place du «projet» annoncé.

Sur un autre registre, le recrutement au Chabab est toujours en stand-by. Jusqu’à l’heure, seul Sofiane Bouchar a apposé sa signature sur un contrat de 30 mois, en provenance du MCO. L’on a su par des indiscrétions que l’entraîneur Abdelkader Amrani aurait refusé Youcef Chibane (MCO), au motif qu’il n’entre pas dans ses plans de jeu, ainsi que Abdelkarim Zouari (USMBA), étant donné qu’il évolue à un poste où l’équipe dispose déjà d’autres joueurs. Amrani veut, à vrai dire, renforcer sa ligne défensive ainsi que la pointe de l’attaque, soit là où un manque s’est fait sentir de la phase-aller. Amrani ne veut rien laisser au hasard afin d’entamer comme il se doit sa quête du sauvetage de l’équipe du spectre de la relégation, elle qui pointe à la dernière place du classement avec 10 petits points engrangés en 15 journées.

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Signature d’un protocole d’accord de coassurance et de coopération entre la SAA et AXA Algérie

Mon, 12/10/2018 - 11:04

La SAA, entreprise publique leadeur des assurances en Algérie et AXA Algérie, fruit du partenariat entre le FNI, la BEA  et le Groupe AXA, leadeur mondial des assurances, ont signé un protocole d’accord de coassurance et de coopération.

Cette convention signée par les deux entreprises publiques économiques en date du 07 novembre 2018, au siège de la SAA, par M. Nacer SAIS, PDG de la SAA et M. Pierre VASSEROT, CEO d’AXA Assurances Algérie, permet de renforcer les liens entre les deux sociétés et d’ouvrir des perspectives prometteuses en matière de développement et de collaboration.

L’accord a pour principaux objectifs, l’amélioration de la production nationale des assurances, la mobilisation des capacités des deux compagnies et la promotion de l’excellence technique dans l’accompagnement des assurés en matière de couverture et de prévention des risques.

La coopération et la mobilisation des capacités des deux compagnies concernent notamment les domaines suivants :

  • Les opérations de coassurance ;
  •         Les opérations d’évaluation et d’appréciation des risques; et
  • Les programmes de formation.

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8es de finale retour de la coupe arabe des clubs, USM Alger – Al-Merrikh (Soudan), aujourd’hui à 19h: Mission « remontada » pour les Rouge et Noir

Mon, 12/10/2018 - 11:04

Outre le handicap de trois buts à remonter, l’entraîneur français Thierry Froger doit se passer des services de deux pièces maîtresses: le gardien de but Mohamed Lamine Zemmamouche et le buteur-maison, le Congolais Prince Ibara, tous les deux blessés.

L’USM Alger, sèchement battue par les Soudanais d’Al-Merrikh (4-1) lors de la première manche à Omdurman, tentera de réaliser une «remontada», aujourd’hui au stade du 5-Juillet à partir de 19h, en match comptant pour les 8es de finale retour de la Coupe arabe des clubs champions. Même si la mission s’annonce d’ores et déjà compliquée face à un adversaire qui n’est plus à présenter, il n’en demeure pas moins que les Algérois ont des atouts à faire valoir qui pourraient leur permettre de passer l’écueil des Soudanais et de continuer l’aventure dans cette lucrative Coupe arabe. Al-Merrikh aborde cette rencontre affecté sur le plan psychologique suite à son élimination surprise dès le tour préliminaire de la Ligue des champions d’Afrique par les Ougandais de Vipers SC.

«C’est un important rendez-vous qu’on ne doit surtout pas rater. La Coupe arabe des clubs champions est un objectif pour nous et on doit coûte que coûte arracher la qualification. Certes, ce sera très difficile, mais pas impossible. Ce n’est pas évident de remporter le match sur un score de trois buts à zéro, mais on croit dur comme fer en nos chances et avec la présence de nos supporters, on est capables de réaliser l’exploit», a assuré le milieu offensif usmiste Rafik Bouderbal, une manière pour lui d’inciter ses coéquipiers à ne pas baisser les bras.

L’USMA, championne d’automne, reste sur une défaite concédée à domicile en Ligue 1 face à l’ES Sétif (0-1). Outre le handicap de trois buts à remonter, l’entraîneur français Thierry Froger doit se passer des services de deux pièces maîtresses: le gardien de but Mohamed Lamine Zemmamouche et le buteur-maison, le Congolais Prince Ibara, tous les deux blessés. Le club phare de Soustara aura à coeur de rejoindre son voisin, le MC Alger, en quarts de finale. Le dernier match de ces 8es de finale opposera demain le Raja Casablanca (Maroc) à Al-Ismaïly (Egypte). A l’aller, les deux équipes ont fait match nul (0-0).

Six clubs ont assuré jusque-là leur qualification pour les quarts de finale:
MC Alger, Union d’Alexandrie (Egypte), Al-Wasl (Emirats arabes unis), ES Sahel (Tunisie), Ahly Djeddah et Al-Hilal (Arabie saoudite). La finale de la compétition se déroulera en avril prochain à Al-Aïn (Emirats arabes unis) et le vainqueur empochera une prime conséquente de 6 millions de dollars.

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Tournoi international d’Alger de Vovinam Viet Vo Dao: Les Algériens raflent 19 titres sur 20

Mon, 12/10/2018 - 11:01

La sélection algérienne de vovinam viet vo dao a outrageusement dominé la deuxième et dernière journée du tournoi international d’Alger, organisée à la Coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf.

Elle a remporté 19 des 20 finales qui ont été disputées samedi. Un scénario conforme à celui de la veille, puisque là-encore, les athlètes algériens avaient survolé la compétition, avec une moisson de 24 médailles: 10 or, 11 argent et 3 bronze. Un excellent parcours qui les avait dès lors placés en tête du classement général des médailles, loin devant l’Italie, deuxième avec 5 médailles (1 or, 2 argent et 2 bronze) au moment où la Côte d’Ivoire avait complété le podium de cette première journée, avec un total de 5 breloques (1 or et quatre bronze). Outre les 19 nouveaux titres, remportés samedi, la sélection algérienne a bonifié sa moisson de 18 médailles en agent et 11 bronze, ce qui porte son total cumulé à 72 médailles: 29 or, 29 argent et 14 bronze.

De son côté, le podium de cette première édition du tournoi international d’Alger est resté inchangé, avec l’Italie, toujours à la deuxième place, suivie de la Côte d’Ivoire. «La Squadra» a bonifié sa moisson de deux nouvelles médailles samedi (1 or, 1 bronze), alors que Les Eléphants en ont glané quatre (2 argent et 2 bronze). «Le niveau de la compétition était assez élevé, en présence de certains athlètes de renom, venus d’Europe, d’Asie et d’Afrique», a jugé l’international algérien Mechecuegue Oussama, sociétaire de l’Olympique Bourouba, ajoutant que «cette compétition est venue au bon moment» pour l’aider, lui et ses coéquipiers «à préparer les importantes échéances internationales à venir», notamment, les prochains championnats d’Afrique, prévus à la fin du mois en cours au Maroc.

Des propos confirmés par la sociétaire de l’AS Sûreté nationale, Ilham Teboudi, ayant considéré que «la concurrence a été très rude», en se disant «heureuse que les gros efforts fournis pendant la préparation aient porté leurs fruits». Onze sélections étrangères, représentant l’Italie, la Roumanie, la Belgique, la Côte d’Ivoire, la Libye, l’Egypte, le Liban, le Yémen, le Soudan, la Jordanie et le Belarus sont engagées dans ce tournoi. Elles se trouvent depuis mercredi au centre de regroupement et de préparation des élites nationales à Souidania (Alger). A noter aussi la présence du président de la Fédération internationale de Vovinam Viet Vodao, Mai Huu Tin, ayant suivi les débats avec beaucoup d’attention.

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Réalisés au profit des communaux: Des logements en attente d’attribution depuis plus de quatre années

Mon, 12/10/2018 - 09:00

D. B.

  Destinés aux travailleurs de la commune d’Oran, près d’une dizaine de logements réalisés au centre-vile, il y a plus de quatre années, n’ont toujours pas été distribués. Une situation qui exaspère de nombreux travailleurs en quête d’un logement depuis plusieurs années. A ce titre, des travailleurs de la commune d’Oran viennent d’interpeller le maire d’Oran pour se pencher, en urgence, sur le problème lié aux logements réalisés par la commune d’Oran, au profit des travailleurs et des cadres de la commune, dans l’angle du Bd de l’Industrie et de la rue Ettabari. Selon des travailleurs de l’APC, « une quinzaine de logements ont été réalisés et achevés, il y a plus de quatre années, mais n’ont, toujours, pas été attribués à leurs bénéficiaires ». Abandonnés, ces logements ont à maintes reprise fait l’objet de vols. En effet, et selon nos interlocuteurs, durant les premières années, en l’absence de gardiennage, des intrus se sont introduits à l’intérieur et ont tout emporté : portes, fenêtres, tuyauterie, lavabos, entre autres. « Alors que des centaines de cadres et travailleurs attendent un logement depuis plusieurs années, des logements neufs sont laissés à l’abandon », affirment nos sources.

Ces dernières signalent que si aucune décision n’est prise dans les plus brefs délais, ces logements risquent d’être squattés. Des élus de l’APC, affirment de leur côté, que l’ex wali d’Oran, avait donné son aval aux responsables de la commune pour l’élaboration d’une liste de bénéficiaires ; mais jusqu’à présent rien n’a été fait. Pourtant, il y a plus d’une année, une rencontre exclusivement consacrée au problème des programme de logements des communaux, s’est tenue au siège de l’APC. Cette rencontre regroupant les élus et les membres du Conseil syndical ainsi que le secrétaire général de l’APC et des directeurs de divisions et de délégations communales, avait permis de faire un point de situation sur ces programmes et les dispositions prises pour leur attribution. Selon nos interlocuteurs cette rencontre intervient en application de l’instruction ministérielle n°140 du 20 novembre 2016, émanant du ministère de tutelle et les directives de M. Nour-Eddine Bedoui, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, sur instruction du wali d’Oran, pour débattre de la situation et l’état de logements communaux et les perspectives de leur attribution.

Les présents avaient examiné, au cours de cette séance de travail, tout le programme, en tenant compte du quota déjà réalisé ou en voie d’exécution. « Il faut que les travailleurs communaux, les plus nécessiteux comme ceux qui vont prendre leur retraite, soit des prioritaires à ces logements. Nous allons frapper à d’autres portes pour que les travailleurs aient leurs logements», avait déclare le maire d’Oran. De son côté, le secrétaire général du Conseil syndical était optimiste et a affirmé que : « ce dossier est certes épineux à contrario des années précédentes où tout était clair vu le nombre satisfaisant de logements. Cette fois-ci, nous avons un nombre restreint de logements pour un grand nombre de travailleurs communaux nécessiteux. On s’attendait au moins à 105 logements prêts, ce qui n’est pas le cas, vu que seulement 64 sont disponibles »

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Les habitants de Brédéah enfin soulagés: Près de 7 milliards pour une école primaire

Mon, 12/10/2018 - 09:00

J. Boukraâ

  La direction des Equipements publics de la wilaya d’Oran a débloqué prés de 7 milliards de centimes pour la réalisation d’une école primaire, dans la localité de Bredeah, relevant de la daïra de Boutlelis. La structure dont les travaux s’étalent sur 12 mois, est composée de 11 classes, 1 salle des professeurs, 2 bureaux et 5 logements d’astreinte. Une fois ouverte l’école permettra de mettre un terme à la surcharge des classes dans cette localité et éviter de longs déplacements pour les élèves. Pour rappel la daïra de Boutlelis va réceptionner, prochainement, plusieurs projets d’utilité publique. Parmi ces projets 2 établissements scolaires primaires dans chef-lieu de la daïra et dans la commune de Misserghine.

La réception de ces 2 groupes scolaires, avant la fin d’année, va permettre d’alléger la pression et faire face à la surcharge des classes. Le secteur de la Santé sera aussi renforcé par la réception d’une salle de soins à Haï Ennaib. De même qu’une annexe communale sera ouverte à Hai El Hachem, dans la commune de Boutelis.

Plusieurs autres opérations d’aménagement urbain ont été retenues pour différentes communes relevant de cette daïra, notamment la commune de Misserghine, afin d’améliorer le cadre de vie des habitants. Entre autres opérations la réhabilitation de la voirie dans les cités ‘El Wiaam’ et ‘Haï Rabah’ pour lesquelles une enveloppe de 20 millions de DA a été débloquée.

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Cérémonie de béatification des 19 religieux: Oran fait valoir ses atouts hôteliers

Mon, 12/10/2018 - 08:55

H. B.

  La note complète a été donnée aux structures hôtelières oranaises ayant assuré l’hébergement des participants à la cérémonie de béatification des 19 religieux, dont les festivités se sont déroulées à la Basilique ‘Notre Dame de Santa Cruz’ ce samedi. Mobilisées depuis vendredi, date d’arrivée des premiers participants jusqu’à la mi-journée de dimanche, ces structures hôtelières, à l’instar de l’hôtel ‘Liberté’ ou de la Résidence hôtelière ‘Jasmins’ ont, en effet, su relever, avec brio, ce défi en assurant « une qualité de service aux standards internationaux », comme l’ont souligné des témoins rencontrés en marge de l’évènement de béatification. Les deux structures suscitées avaient, en effet, assuré l’hébergement et la restauration de différentes délégations venues de l’étranger mais aussi de l’intérieur du pays ( journalistes, religieux de l’église catholique et imams). L’hôtel ‘Liberté’ a même offert un dîner gastronomique aux saveurs locales (un couscous oranais) en l’honneur des participants. Avec un management aux standards internationaux, l’hôtel ‘Liberté’ s’est spécialisé dans les séjours touristiques et d’affaires. Facilement accessible, par le 3ème périphérique, ‘Liberté Hôtel Oran’ est à 10 mn de l’Aéroport Ahmed Ben Bella et à 5mn du port d’Oran. La ligne de tramway le relie au centre-ville, en 15 mn. Construit en R+12, dont 10 étages sont occupés par les chambres et suites. L’hôtel dispose également d’un parking au sous-sol pouvant recevoir 45 véhicules. Pour sa part, la Résidence hôtelière ‘Jasmins’ propose des appartements parmi les plus beaux d’Oran, équipés et aménagés pour vous s’y sentir comme chez soi, affirme les responsables de l’établissement. Ces prestations, a-t-on souligné, sont aussi bien adaptées aux vacances en famille, qu’aux séjours d’affaires. D’une superficie de 50 m² à 120 m², les 62 appartements meublés sont climatisés et insonorisés. En prévision des Jeux Méditerranéens 2021, Oran pourra ainsi compter sur ses multiples atouts hôteliers.

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Des quotas de logements en deçà des attentes à Aïn El-Turck: La confection des listes des bénéficiaires pose problème

Mon, 12/10/2018 - 08:55

Rachid Boutlelis

Malgré les instructions du wali quant à l’affichage des listes des bénéficiaires de logements sociaux avant la fin de l’année en cours, de nombreuses communes font face à un véritable casse-tête pour confectionner leurs listes, à cause à la fois des travaux inachevés et du nombre très élevé des demandeurs de logement par rapport aux quotas réalisés. C’est le cas des communes de la corniche oranaise et plus particulièrement Aïn El-Turck et Bousfer. A ce titre, des responsables de famille de la localité de St Germain, dans la municipalité d’Aïn El-Turck, qui tentent de survivre dans des conditions précaires dans des habitations rudimentaires, se sont rapprochés du Quotidien d’Oran pour exprimer leur inquiétude quant à leur hypothétique relogement. Les représentants de ces familles de mal-logés se rendent régulièrement au siège de l’APC et celui de la daïra pour attirer l’attention des responsables concernés à travers des regroupements. Un membre du comité de quartier de ladite localité a fait remarquer, à ce sujet, « que l’arrêt des travaux du projet de réalisation d’une cité 300 logements sociaux du quartier d’El Bahia, à mi-chemin du village de Cap Falcon, qui ont été lancés en 2011 par l’ex-wali d’Oran, M. Boudiaf en l’occurrence, inquiète grandement les familles postulantes ». Notons, en effet, que le lancement de ce projet de 300 logements sociaux a suscité une grande satisfaction chez ces familles, qui ont malheureusement désenchanté une année après en apprenant l’arrêt des travaux suite à la défaillance de l’entreprise chargée de la réalisation. « A ce jour, soit six années après leur subit arrêt, les travaux n’ont toujours pas redémarré. Les familles du vieux bâti, qui ont déposé des demandes de logement auprès des services concernés, ne savent plus à quel saint se vouer », a encore déclaré le représentant du comité. D’une source proche de l’APC d’Aïn El-Turck, on apprend que « les travaux de ce projet, qui se sont arrêtés à hauteur d’un taux d’avancement d’un peu plus de 20% et ce, suite à la défaillance de l’entreprise réalisatrice, devront recevoir l’aval du contrôle technique (CTC) afin d’être relancés. Au cas où ils ne répondraient plus aux normes, ces logements devront faire l’objet d’une opération de démolition pour être reconstruits par la suite ». En attendant le verdict, les familles postulantes devront prendre leur mal en patience. A Aïn El-Turck, un quota de 500 logements sociaux sera bientôt réceptionné. Ce quota sera attribué aux mal-logés de la daïra d’Aïn El-Turck. Il est fort probable que la faible offre du quota de logements sociaux, face à la forte demande, constituera un véritable casse-tête pour les responsables locaux. En effet, la demande s’amplifie encore au gré des familles sinistrées, venues de différentes régions du pays, notamment de l’Oranie, qui se sont installées dans les bidonvilles, essaimés à travers la contrée côtière d’Aïn El-Turck et dont les plus importants sont répertoriés dans le chef-lieu. Le projet de réalisation d’une cité de 500 logements sociaux ne sera vraisemblablement pas en mesure de satisfaire la demande considérable des familles postulantes qui dépasse les 4.000. Il faut signaler qu’outre les habitants des bidonvilles et les demandeurs de logement ayant déposé des dossiers, il y a plusieurs années, de nombreuses familles squattent des biens communaux notamment le théâtre de verdure de Trouville et des centres de colonies de vacances. Des familles qu’il faudrait aussi reloger pour permettre à la municipalité de récupérer ses biens. Pour cela, la daïra d’Aïn El-Turck a un besoin pressant de nouveaux programmes de logement à même de prendre en charge une partie des demandeurs, dont certains attendent un logement depuis plusieurs années.

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Haï El Yasmine: Chute mortelle d’une femme du 5ème étage

Mon, 12/10/2018 - 08:51

J. B.

Une femme a été victime d’une chute mortelle à Haï El Yasmine. La victime âgée de 24 ans est tombée, samedi après-midi, du balcon de son domicile situé au cinquième étage. Elle est morte sur place des suites de ses graves blessures. La dépouille de cette dernière, de nationalité syrienne, a été déposée à la morgue de l’hôpital pour subir une autopsie et une enquête de police a été ouverte.

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Les sous-sols d’un immeuble inondés par les eaux usées: Enième SOS des habitants de la résidence Colonel Othmane

Mon, 12/10/2018 - 08:51

Mokhtaria Bensaâd

Après toutes les tentatives auprès des services de l’OPGI pour régler le problème des eaux usées qui déversent directement dans le sous-sol de leur immeuble, les habitants de la résidence Colonel Othmane, située à la rue Ahmed Boudjelal (ex-rue Nancy), ne voient pas encore le bout du tunnel. Voilà deux années que le sous-sol qui fait office de garage est inondé par les eaux usées à hauteur de presque 5 centimètres et rien n’a été fait pour l’évacuation de ces eaux. Plus le temps passe et plus l’inquiétude des habitants augmente sous le risque d’effondrement qui pèse sur cet immeuble. Selon le représentant du collectif de la résidence, « une rencontre avec le représentant du wali a commencé à nous donner une lueur d’espoir que le problème sera réglé mais vu que les services de l’OPGI n’ont pas suivi, tous nos efforts ont été vains et la situation s’empire de jour en jour ». C’est un cri de détresse que lancent de nouveau les habitants auprès des autorités locales afin de déployer les moyens nécessaires pour vider le sous-sol des eaux usées, source des odeurs nauséabondes et de prolifération de rongeurs et moustiques. Si le niveau des eaux augmente, a indiqué notre interlocuteur, c’est tout l’immeuble qui est en danger avec le risque d’explosion du transformateur électrique. Le pire a déjà été évité de justesse, au mois de juillet dernier lorsque le niveau des eaux a atteint cet appareil, grâce à l’intervention des services de la Sonelgaz.

Ce risque est omniprésent pour les habitants qui attendent toujours les travaux de réparation du réseau d’assainissement de l’immeuble. Rappelons que les services de l’OPGI ont procédé à la fermeture du garage suite à la dégradation du réseau d’assainissement sans se soucier des conséquences de la stagnation des eaux dans ces lieux. Les habitants ont déjà intenté une action en justice contre l’OPGI sans avoir gain de cause.

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Salon de l’automobile: Des voitures hors de portée à des prix «remisés»

Mon, 12/10/2018 - 08:44

Sofiane M.

La 18ème édition du Salon de l’automobile, des cycles et motocycles de l’Ouest (AutoWest-2018) a été lancée hier matin au Palais des Expositions du CCO à Oran et se poursuivra jusqu’au 15 décembre en cours, avec la participation d’une quarantaine de marques présentes sur le marché local.

Ce Salon tant attendu par les acheteurs potentiels à la recherche d’une voiture à un prix accessible n’a malheureusement pas tenu toutes ses promesses. La déception se lisait sur le visage de nombreux visiteurs. Les prix proposés sur les modèles d’entrée de gamme de toutes les marques ont refroidit bien des ardeurs. La voiture la moins chère, la KIA Picanto, est proposée à partir de 139 millions de cts, mais ce prix peut augmenter à 190 millions cts pour certaines versions avec options.

La Renault Symbol modèle Extrême avec une motorisation 1.5 DCI 85 chevaux est proposée à un prix remisé de 175 millions de cts, alors que la Clio Nouvelle GT Line est à 235 millions de cts. Pour la Seat Ibiza High+ il faut débourser 249 millions de cts. Le modèle entrée de gamme de la Seat Ibiza est toutefois cédé à 199 millions de cts. Quant aux modèles haut de gamme, l’ATECA, elle est à 480 millions de cts, alors que la Léon est à 355 millions de cts. Le constructeur offre cependant en partenariat avec une banque française un crédit automobile 0% pour les acheteurs qui disposent d’un salaire mensuel d’au moins 75.000 dinars. Le client doit verser un apport personnel de119 millions de cts pour partir avec la voiture de ses rêves. Le reste du prix sera rééchelonné sur une période de deux à cinq ans, selon les capacités de remboursement du client. Certains concessionnaires, à l’exemple de celui représentant la marque Suzuki, ont participé au Salon avec des nouveaux modèles sans aucune disponibilité. «Il s’agit de voiture d’exposition. Il n’y a pas de disponibilité», répliquent les hôtesses interpellées sans cesse par des visiteurs intéressés.

Dans les stands consacrés aux motocycles, les prix de certains modèles prisés par les jeunes étaient également hors de portée. Une bonne moto n’est pas cédée à moins de 64 millions de cts. Pour certains modèles de marques reconnues à l’exemple de Yamaha il faut débourser une petite fortune.

Certes, il y avait des motocycles de marques chinoises à des prix variant entre 11 et 20 millions de cts, mais, selon cet expert des deux-roues, il s’agit de modèles qui manquent de puissance à haut régime. Du coup pour les jeunes amateurs de la vitesse, ces motocycles ne représentent pas une bonne affaire. Il importe de noter que cette nouvelle édition est placée sous le slogan: «La production automobile algérienne : diversification et développement». Ce Salon a pour vocation, selon les organisateurs, de donner davantage de visibilité sur la variété de la gamme nationale, contribuant à la promotion du «made in Algeria». Une bonne partie des véhicules exposés sont produits en Algérie dans des usines implantées dans différentes wilayas du pays. Cette édition accueille également les divers services liés à l’automobile, dont ceux spécialisés dans les lubrifiants, le financement, les assurances et la géolocalisation.

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Batna: Deux morts et deux blessés graves dans une collision

Mon, 12/10/2018 - 08:44

R.N.

Deux (2) personnes sont décédées et deux (2) autres ont été grièvement blessées dans un accident de la circulation au lieu dit Temara dans la commune d’Ain Touta, wilaya de Batna, a indiqué dimanche la Protection civile. L’accident est survenu samedi soir suite une collision entre un véhicule touristique à bord duquel se trouvaient quatre personnes et un camion semi- remorque, a indiqué le chargé de l’information et de la communication de ce corps constitué, le lieutenant Hasane -Yahia Cherif, détaillant que les deux victimes, une mère et sa fille, âgées de 42 et 18 ans, sont décédées sur les lieux de l’accident. L’accident a provoqué également des blessures graves à deux autres personnes, un père et son fils, âgés de 44 ans et 11 ans, ajoute la même source. Les corps des victimes ont été acheminés vers la morgue de l’hôpital d’Ain Touta, tandis que les blessés ont été transférés vers le centre hospitalo-universitaire (CHU) au chef lieu de wilaya. Une enquête a été ouverte par les services de sécurité territorialement compétents afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame, a-t-on signalé de même source, faisant savoir que cette famille est originaire de la daïra d’El Hamma, dans la wilaya de Khenchela.

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Relizane: Quatre membres d’une famille tués par le monoxyde de carbone

Mon, 12/10/2018 - 08:39

Mahi Ahmed

Le monoxyde de carbone a fait de nouvelles victimes. Les éléments de l’unité principale du secteur de la protection civile de Relizane sont intervenus samedi à 19h55 dans les immeubles dits de DNC pour évacuer les corps sans vie de quatre membres d’une même famille, intoxiqués au monoxyde du carbone émanant d’un chauffage défectueux. Les victimes sont âgées de 5 à 51ans. Elles ont été évacuées à la morgue de l’EPH ‘Mohamed Boudiaf’.

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Les corps de deux fillettes repêchés d’un oued

Mon, 12/10/2018 - 08:37

R.N.

Les corps sans vie de deux fillettes âgées de 3 ans ont été repêchés de l’oued Menasfa dans la commune de Mendès (30 km au sud de Relizane), a-t-on appris, hier, de l’unité principale de la protection civile. Les éléments de la Protection civile ont repêché, samedi aux environs de 20 heures, les corps de ces victimes, mortes par noyade dans l’oued Menasfa, traversant le centre-ville de Mendès. Ces deux victimes avaient été portées disparues. Leurs parents avaient alerté les services de la gendarmerie nationale qui ont déclenché avec les services de la protection civile une vaste opération de recherche. Les corps ont été découverts dans les eaux de l’oued, non loin de Haï Houachem, où résidaient les victimes avec leurs parents.

Les dépouilles ont été transférées à la polyclinique de Zemmoura pour autopsie. Les services de la sûreté ont ouvert une enquête sur cet accident.

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El Tarf: Deux corps repêchés

Mon, 12/10/2018 - 08:32

R.N.

Deux corps sans vie ont été repêchés par les services de la protection civile dans deux plages relevant de la daïra de Ben M’Hidi, dans la wilaya d’El Tarf, a-t-on appris, hier, du chargé de communication de ce corps constitué. Abdelghani Mansouri. Le corps de la première personne a été repêché, samedi en fin d’après-midi à la plage «Aouinet Kouka», a déclaré Abdelghani Mansouri, soulignant que la victime a été retrouvée à l’intérieur d’un tonneau, sans autre précision. La même source a également indiqué qu’un autre corps sans vie a été repêché, au cours de dernière semaine à la plage Henaya dans commune de Berrihane, daïra de Ben M’Hidi, ajoutant que les services de la protection civile se sont déployés, aussitôt l’alerte donnée. Repêchés dans un état de décomposition avancé, les deux corps ont été acheminés vers la morgue de l’hôpital de Ben M’Hidi pour les besoins de l’autopsie et l’identification, a-t-on encore noté. Une enquête a été ouverte par les services compétents pour déterminer avec exactitude les tenants et aboutissements de cette affaire, a-t-on conclu.

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Violation des droits d’association, d’expression et de manifestation: Un appel pour éviter le scénario des «Gilets jaunes»

Mon, 12/10/2018 - 08:29

M. Aziza

Quatre organisations non gouvernementales ont lancé hier un appel commun aux autorités pour le respect des libertés fondamentales à l’occasion de la célébration du 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH).

Les signataires de cet appel sont Amnesty International Algérie, Ligue algérienne des droits de l’homme (LADH), Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH, aile Zehouane), Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH, bureau d’Oran). Les organisations citées ont ainsi exprimé leurs inquiétudes suite aux violations des droits à la liberté d’expression, d’association, de manifestation pacifique et au libre exercice du droit syndical, en dépit des garanties constitutionnelles concernant ces droits. Elles ont dénoncé le harcèlement et les arrestations arbitraires de militants associatifs, de blogueurs et de journalistes, répression et interdiction de manifestations pacifiques à Alger et dans d’autres wilayas et interdictions ou restrictions imposées à un certain nombre d’associations, refus d’enregistrement des organisations syndicales et licenciement de syndicalistes.

Les quatre organisations réclament la libération immédiate et sans condition de toutes les personnes détenues uniquement pour avoir exercé pacifiquement leur droit à la liberté d’expression. La révision des dispositions qui érigent en infraction le droit à la liberté d’expression. Elles ont exigé, à travers cet appel, la modification des textes qui érigent en infraction le droit à la liberté de réunion, notamment les articles 97 et 98 du Code pénal. Ainsi que les articles 15, 17, 19 et 23 de la loi n°89-28 relative aux réunions et manifestations publiques, avec la révision de la loi n°12-06 relative aux associations pour une mise en conformité aux normes internationales applicables en matière de droits humains.

Tout en rappelant le contexte régional hostile et la période difficile que traverse l’Algérie avec la crise pétrolière et ses répercussions sur le niveau de vie des Algériennes et Algériens, les quatre organisations ont estimé qu’il est vital de construire un partenariat et un dialogue avec la société civile. Elles ont, dans ce contexte, appelé les autorités à faire participer les organisations syndicales à l’élaboration du nouveau code du travail. Et à enregistrer les syndicats ayant déposé leur dossier et réintégrer les syndicalistes licenciés et suspendus.

Mokhtar Bensaid, président de la Ligue algérienne des droits de l’homme (LADH), a appelé les autorités lors de son intervention à la conférence de presse, tenue hier au siège d’Amnesty International Algérie, «de faire l’effort d’entendre la voix des associations, des organisations et de la société civile». En regrettant «on a l’impression que les autorités algériennes vivent dans un autre monde», en appelant ainsi au «dialogue».

Et de souligner que les membres des organisations de défense des droits de l’homme ou les membres des associations ne cherchent pas de postes au sommet de l’Etat, mais seulement de l’interaction avec les autorités, une sorte de médiation entre l’Etat et la société. En s’interrogeant comment se fait-il que seulement 2% de la jeunesse algérienne s’intéressent à la politique ? Et comment expliquer que la jeunesse algérienne fuit le pays sur des embarcations de fortune et de la mort aujourd’hui, alors qu’elle n’a pas songé à le faire dans les années de braise, les années de la décennie noire (terrorisme) ? Il poursuit, pourquoi les chancelleries algériennes ne cherchent pas après leurs enfants dans les pays européens et dans les centres de détention des pays européens ?

Sur la corruption qui est «devenue une règle» selon le conférencier, il s’est interrogé «où sont passées les enquêtes, où est passée la Cour des comptes qui intervient très rarement, où est passé le Conseil national économique et social (Cnes) qui est le baromètre de l’économie algérienne ?» Il conclut, il y a beaucoup de lacunes et la situation peut dégénérer à n’importe quel moment. «On peut facilement se retrouver face à la fronde, comme celle vécue en France, les manifestations violentes des «Gilets jaunes», qui ont laissé les autorités françaises perplexes», prévient-il. M.Bensaid insiste qu’il faut promouvoir la culture du dialogue avec toutes les parties pour assoir une stabilité et une paix durable.

«Le ministère de l’Intérieur derrière la précarisation de la société civile»

Said Salhi, vice-président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH, aile Zehouane), a dans son intervention, hier, accusé le ministère de l’Intérieur d’être derrière la précarisation des associations et de la société civile, notamment avec la loi portant sur les procédures de conformité des associations.

Il a précisé que les associations ont subi cette loi et elles ont répondu aux exigences de cette loi, mais, dit-il, «50% des associations n’ont pas pu se conformer à la loi 06 portant réorganisation du monde associatif en Algérie». Cette loi, précise-t-il, «consacre le diktat, car on est vraiment à la merci de l’administration». Et d’expliquer «même en voulant créer une association, l’administration vous oblige à créer un certain type d’association puisque les administrations locales ont déjà établi des nomenclatures d’associations». C’est-à-dire des associations «génériques» qui parlent de l’environnement à titre d’exemple.

Sur les 93.000 associations déclarées, 10% d’entre elles sont des associations «thématiques», le reste ce ne sont que des associations de quartiers, associations religieuses, sportives. Pourtant, ces deux dernières doivent être régies par un dispositif assez particulier vu les enjeux. Mais, estime-t-il, l’administration a ainsi noyé les associations thématiques de défense des droits de l’homme, de la femme, des enfants dans un registre d’associations dont le nombre est astronomique.

Le conférencier s’interroge : «que fait aujourd’hui l’administration pour permettre à la société de s’organiser, de s’exprimer sur toutes les sensibilités ?»

Said Salhi s’est dit convaincu que le ministre de l’Intérieur est au courant de toutes ces dérives, «car cette loi est venue de l’exécutif», accusant : «et c’est le ministère de l’intérieur qui a donné des ordres à ses bureaux pour ne pas accuser réception aux demandes d’agrément de certaines associations, et ce, pour ne pas ester en justice le ministère de l’Intérieur en cas de non réponse sur la demande de certificat de conformité».

Dans cette situation de flou «ni agréée, ni dissoute», l’association ne peut ni ouvrir un compte bancaire, ni même louer un bureau parce qu’elle n’existe pas réellement en l’absence de «certificat de conformité». Il ajoute «c’est une manière de précariser les associations et la société civile».

En précisant «tant que la loi sur les associations n’est pas assez claire et ne protège pas les associations, on ne peut pas parler réellement d’un mouvement associatif, de la société civile prospère, organisée, représentative. Et de conclure «cette histoire de manifestations des gilets jaunes en France doit interpeller la conscience des pouvoirs publics, qui doivent penser à l’organisation des associations, des syndicats et de la société et non pas à leur précarisation, pour éviter que les Algériens s’organisent autrement», prévient-il. «Autrement, c’est le chaos, c’est l’émeute, c’est la fermeture des routes».

Les associations et la société civile sont des médiateurs qui appellent toujours au dialogue et à la médiation, parce qu’elles tentent toujours d’atténuer le conflit, «maintenant, si elles sont à la marge, le gouvernement assumera seul les conséquences».

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