A. Boudrouma
La décision de transférer l’entreprise de wilaya SOTKI vers l’entreprise de travaux routiers ALTRO n’a pas été du goût des travailleurs de SOTSKI qui n’ont trouvé d’autre alternative que d’enclencher un mouvement de grève. Ils protestent contre cette décision qui ne prendrait pas en charge leurs droits socioprofessionnels.C’est pour cette raison que les 130 travailleurs se sont rassemblés au siège de leur entreprise à la zone d’activité de Hamrouch-Hamoudi pour exprimer leur mécontentement. Ils ont soutenu avoir été informés qu’ils devaient préalablement rompre leur relation de travail avec leur employeur SOTSKI pour pouvoir rejoindre ALTRO. Ils appréhendent le risque de perdre l’avantage de l’expérience cumulée durant 15 ans pour certains et demandent la régularisation de leur situation salariale, puisqu’ils ont un arriéré de salaires de 3 mois et espèrent trouver des réponses satisfaisantes à leurs préoccupations.
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Yazid Alilat
Le report de la prochaine élection présidentielle devient de plus en plus une éventualité politique pour les partis d’opposition comme pour ceux de l’alliance présidentielle.Abderrezak Makri, président du MSP, préconise le report d’au moins une année de cette élection présidentielle prévue en avril prochain, et affirme que le président Bouteflika ne sera pas candidat. En clair, il n’y aura pas, selon lui, un 5e mandat, appuyé et soutenu jusque-là par les partis de l’alliance présidentielle (FLN, TAJ, RND et MPA). Makri affirme même, dans un entretien à TSA, que son appel au report de cette élection a trouvé un bon écho tant au sein de l’opposition qu’au sein des partis du pouvoir. Affirmatif, il souligne qu’«il n’y aura pas de cinquième mandat, pour des raisons évidentes de santé du président Bouteflika.
Des gens au sein du pouvoir, certains parmi ceux qui appelaient au cinquième mandat, veulent le remplacer et c’est pourquoi ils souhaitent aller vers des élections sans réformes». Il souligne également que son parti a contacté «tous ceux que nous avons estimé qu’ils pourraient être utiles pour le succès de l’initiative, mais par respect pour eux et pour moi-même, je me refuse de les citer.» Il estime qu’un consensus politique est vital pour aller vers des réformes profondes, autant sur le plan politique qu’économique, car il faut, selon lui, qu’il y ait un changement radical de la nature du régime, dont les prérogatives actuellement «impériales» du chef de l’Etat. Makri préconise également la révision du code électoral, puis la concrétisation de l’indépendance de la justice, de la liberté d’expression et d’association. Mais, pour lui, il est urgent d’arriver à un consensus entre les forces politiques nationales pour éviter un scénario catastrophe et l’impasse politique actuelle. «Il y a une impasse, le pouvoir vit une crise, sans solutions, à cause en grande partie de la maladie du président. On peut facilement arriver à la situation du Venezuela, en tout cas la situation sociale et économique est très difficile. Le pouvoir ne peut pas assumer ses responsabilités et l’opposition n’a pas les moyens de faire bouger les choses. Tout le monde s’est donc rendu à l’évidence qu’on doit se rencontrer. Cela pourrait prendre la forme d’une conférence nationale qui ne doit pas être exclusive», a-t-il expliqué, cité par la même source. Pour lui, le report de la prochaine élection doit donner «toutes ses chances de succès» à la conférence nationale sur le consensus. «Le report de l’élection présidentielle est très probable. C’est une demande de nombreux partis, même le pouvoir pourrait l’accepter, il y a des échos dans ce sens. On sait qu’en l’état actuel des choses, il n’y a aucune possibilité d’organiser des élections honnêtes en 2019. Il faut prendre le temps qu’il faut pour engager des réformes. Néanmoins, il y a une différence entre le report et le prolongement du mandat du président Bouteflika, a-t-il encore expliqué. «Si on reporte le scrutin sans aller vers des réformes, ce serait un prolongement. Et ce n’est pas là notre revendication.»Les propos de Makri et son appel au report de la prochaine présidentielle s’expliqueraient par la nécessité de parvenir à un compromis politique entre le pouvoir et l’opposition. Il avait au lendemain du discours du président début décembre à la conférence gouvernement-walis indiqué dans une déclaration postée sur sa page facebook qu’«il se confirme jour après jour que l’horizon est bouché en prévision de la présidentielle 2019», et que «l’option du cinquième mandat n’est pas à l’ordre du jour. Les gens du pouvoir ne sont pas capables de s’unir sur une seule candidature consensuelle et l’opposition ne peut participer à ce scrutin dans ce flou ambiant et l’absence de garanties», avait-il ajouté. Quant à «la conférence nationale dont on parle, elle doit avoir pour objet l’engagement de réformes politiques profondes qui permettront d’aller vers de vraies réformes économiques», a-t-il insisté.
Avec les critiques des partis d’opposition, dont le RCD, il est de plus en plus évident que le soudain silence des partis de l’alliance présidentielle sur cette prochaine élection est porteur de lourdes incertitudes, et qu’un virage à 180 degrés est en train d’être amorcé. La proposition du président du MSP serait une perche tendue notamment vers les partis de l’alliance présidentielle, qui seraient favorables à un report, même s’ils ne l’ont pas exprimé directement. Car le président de TAJ, Amar Ghoul, avait appelé tout naturellement à une conférence nationale du consensus pour trouver une issue à une impasse politique de plus en plus évidente. Une proposition qui a été reprise et soutenue dimanche lors de la réunion des quatre partis de l’alliance présidentielle. Cette réunion, tenue au siège du RND, a été sanctionnée par une déclaration dans laquelle le FLN, le RND, TAJ et le MPA ont accueilli favorablement l’appel à cette conférence pour le consensus, comme ils appuient toutes les initiatives qui visent «l’approfondissement des réformes économiques» et «le renouveau du projet économique».
Le parti d’Amar Ghoul a annoncé qu’il va entamer des discussions avec les personnalités politiques pour débattre de sa proposition d’organiser une conférence pour le consensus national, avant la présidentielle d’avril 2019. «Nous proposons une conférence pour le consensus national pour construire une nouvelle Algérie», a affirmé Tahar Chaoui, président du groupe parlementaire de TAJ. Au fond, le président de TAJ comme les autres partis de l’alliance présidentielle ne seraient pas défavorables au report de l’élection présidentielle, car, selon Tahar Chaoui, «on n’écarte pas au sein du parti de débattre lors de cette conférence du report de la prochaine présidentielle». «Nous sommes ouverts à toutes les propositions et avis à condition qu’ils soient dans l’intérêt national», a t-il précisé. «Cette conférence est ouverte à tous les partis du pouvoir et de l’opposition», a encore précisé dans des déclarations de presse ce confident du président de TAJ, un parti au sein duquel on estime que «la tenue de cette conférence est plus importante que la présidentielle».The post Présidentielle 2019: Le report, une solution à «l’impasse» ? appeared first on .
A.Ouélaa
Inaugurée depuis quatre ans, la placette du 11-Décembre 1960, entre la gare routière et la résidence des 1000 lits des filles de l’Université Chadli Bendjedid, avec ses bancs publics, ses espaces verts, ses allées estampillées, attire étudiants, passants et autres flâneurs.Mais d’espace de convivialité et de repos, elle est en passe de devenir un lieu malfamé par moments, du fait de jeunes délinquants qui commencent à se comporter comme les maîtres des lieux, à partir de l’après-midi. Des étudiants nous ont déclaré que des psychotropes y circulent et des bagarres entre bandes de jeunes éclatent parfois.
C’était le cas justement ce jeudi, quand une bagarre d’une rare violence a éclaté entre plusieurs jeunes. L’échauffourée a nécessité l’intervention de la police. Les commerçants dont les magasins sont situés en face de la placette ont à plusieurs fois manifesté leurs inquiétudes. Ils disent redouter le pire, au cas où la situation reste en l’état.
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Yazid Alilat
Le recours à la production de l’eau non conventionnelle à travers les stations de dessalement d’eau de mer a permis à l’Algérie, qui avait un moment envisagé d’importer de l’eau, de faire face au stress hydrique des années 2000, constaté dans certaines régions du pays, en particulier dans l’Ouest et le Centre.C’est ce qu’a affirmé, hier lundi, Abdelouahab Smati, directeur central chargé des Ressources en eaux non conventionnelles au ministère des Ressources en eau. Il a expliqué à la Radio nationale que l’Etat a eu recours, dans les années 2000, aux «eaux non conventionnelles, et cela a été une alternative, qui fait partie de la stratégie nationale en termes de ressources hydriques.» Il a souligné que durant les 20 dernières années, il y a eu un déficit pluviométrique de 30% et donc «l’utilisation des ressources non conventionnelles était appropriée, et graduellement nous avions ciblé les régions de l’ouest du pays parce que ce sont elles qui ont subi ce déficit d’une manière assez importante.» Selon M. Smati, «la part des ressources non conventionnelles dans l’alimentation en eau potable est de 2,2 millions de m³/jour, soit 17% de l’alimentation en eau potable, 50% sont produites à partir des eaux souterraines et 33% des eaux de barrages».
Sur le déficit en AEP de certaines villes de l’est du pays, comme à Annaba, il a expliqué qu’ «à l’Est, on a suffisamment de ressources, mais il y a eu un déstockage du barrage de Meksa, après plusieurs années de déficit pluviométrique, ce qui explique le problème du manque d’eau à Annaba.» Il a assuré qu’il y a le projet d’une station de dessalement de 300.000 m³ «prévue pour diversifier la ressource et pas seulement pour la ville d’Annaba, et il y aura donc les barrages, les ressources souterraines et le dessalement pour toucher également les villes de Guelma, Skikda, El Tarf.» La station de dessalement d’El Tarf, d’une capacité de 300.000 m³/j, sera installée à côté de la station hydroélectrique de Sonelgaz. «Ce qui est prévu dans cette région est de transférer les eaux de barrages, le surplus estimé à 200 millions de m³ vers les zones de Souk Ahras et Tébessa, mais aussi pour appuyer l’usine d’engrais phosphatés et sécuriser toute la région et son développement», explique M. Smati.Pour le choix des stations de dessalement afin de faire face au stress hydrique, il a expliqué que «l’optique des stations de dessalement devait être graduelle, à commencer par les régions centre et ouest, impactées par le déficit pluviométrique en 2003. L’étude avait défini 13 stations, dont celles de Bejaia et Annaba, et augmenter la capacité des stations de dessalement.» Cependant, les difficultés financières enregistrées, à partir de 2014 «ont retardé la réalisation des stations de Zeralda, d’une capacité de 230.000 m³/jour pour alimenter Alger, ainsi que celles d’El Tarf, de Bejaia, de 50.000 m³/j extensible à 100.000 m³/j, puis celle de Skikda de 70.000 m³/j pour alimenter l’usine d’engrais phosphatés et la région en eau potable.» Les prévisions tablent sur 14 stations de dessalement, alors qu’initialement, le plan en prévoyait 13. Le coût global est de 2,7 milliards de dollars, a indiqué M. Smati, qui a précisé qu’une station de dessalement d’eau de mer de 200.000 m³ coûte entre 250 et 300 millions de dollars. Il a annoncé, d’autre part, la possible création, par le ministère, d’un «grand groupe industriel pour sécuriser et maintenir nos futures stations de dessalement.»
Le même responsable au ministère des Ressources en eau a indiqué qu’actuellement, l’Algérie compte 84 barrages, et «on sera à 85 bientôt». «Il y a l’option du dessalement d’eau de mer et le recyclage des eaux usées, avec la sécurisation des régions côtières et le transfert d’une partie de cette eau vers les régions agricoles et les Hauts Plateaux, et laisser les ressources souterraines se reposer et revenir à leur état initial», a-t-il souligné, avant de préciser qu’il y a 148 stations d’épuration et «nous sommes à 900 millions de m³ d’eau épurée. Mais, l’objectif primaire n’était pas la récupération mais la protection du littoral, protéger les villes de 100.000 habitants et plus et préserver la ressource en eau, qui est à l’amont des barrages en construction et en exploitation.»
Des cas d’exploitation de l’eau épurée pour les besoins agricoles ont été cités dont celle de Hennaya dans la wilaya de Tlemcen, de La Mactaâ de celle d’Oran pour 600 ha irrigués, de Boumerdès. «Nous envisageons, aussi, de la réutiliser pour les jardins et l’industrie afin de préserver les ressources en eau conventionnelle, notamment à Annaba», ajoute t-il, soulignant que «les stations d’épuration n’étaient pas installées pour l’AEP mais pour traiter les eaux usées et les remettre dans leurs sites naturels, mais également pour protéger le littoral, conformément à la Convention de Barcelone, le projet d’El Harrach en fait partie.»The post Dessalement d’eau de mer: Une alternative au stress hydrique appeared first on .
R.N.
Deux personnes ont trouvé la mort et trois autres ont été blessées dans un accident de la circulation survenu dimanche soir sur la route nationale (RN) 100 reliant la commune d’Ouled Hamla relevant de la wilaya d’Oum El Bouaghi à Teleghma (Mila), a-t-on appris hier auprès de la direction de la Protection civile. L’accident s’est produit suite à une collision entre deux véhicules qui a provoqué la mort de 2 personnes âgées de 36 et de 40 ans, et des blessures à 3 autres, a précisé la même source.Les dépouilles ont été acheminées par les éléments de l’unité secondaire de la daïra d’Ain M’lila vers la morgue de l’hôpital de la même commune tandis que les blessés ont été évacués vers le service des urgences du même établissement de santé pour bénéficier des soins médicaux nécessaires, a souligné la même source.
Une enquête a été ouverte par les services de la Gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame, a-t-on signalé de même source.
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Le ministère de l’Éducation nationale a appelé les directeurs des établissements éducatifs, tous cycles confondus, à ouvrir leurs portes aux élèves,
particulièrement en classe d’examen, pour leur assurer les cours de soutien pédagogique,durant la première semaine des vacances d’hiver et ce, en vue d’augmenter leurs chances de réussite. Dans une circulaire concernant »l’ouverture des établissements éducatifs durant la première semaine des vacances d’hiver »,
le ministère souligne que des séances de révision encadrées, surveillées ou en groupe, sont dédiés aux élèves du 23 au 27 décembre 2018. Cependant, le ministère, prévoit des « sanctions » strictes à l’encontre des enseignants qui s’absentent durant cette semaine, voire des « ponctions » sur les salaires et les primes de,rendement.
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A. Chabana
Le Tribunal criminel, près la cour de justice de Tébessa, vient de se prononcer dans une affaire liée au terrorisme, dans laquelle sont impliqués 9 accusés dont une femme, qui a écopé de 2 ans de prison ferme.Les autres peines vont de 2 à 15 ans d’emprisonnement. Les chefs d’inculpation sont le financement et l’adhésion à groupe terroriste.
L’un des accusés avait été arrêté par les éléments de l’ANP, près des frontières, au moment où il comptait rejoindre le maquis, à El Ogla, à 85 km à l’ouest de Tébessa. Celui-ci a reconnu les faits retenus contre lui. L’affaire remonte à 2016, lors de l’arrestation d’un individu, transportant sur sa moto, des matières utilisées dans les explosifs.
Déjà condamné dans d’autres affaires de terrorisme, le mis en cause avait admis, avoir l’intention de faire exploser le siège de la Sûreté de la daïra d’El Ogla.
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K. Assia
Le procureur de la République près le tribunal de Sidi Bel- Abbès a ordonné, avant-hier, la mise en détention préventive de trois personnes dont deux femmes. Celles-ci sont accusées dans l’affaire de l’assassinat du magistrat Mohamed El Hanani âgé de 61 ans, originaire de Sidi Bel-Abbès et exerçant près de la Cour de Chlef. Il s’agit de l’épouse de la victime âgée de 33 ans, de sa fille d’un premier mariage, âgée de 18 ans et d’un complice, un étudiant universitaire originaire de Blida et âgé de 20 ans. Le corps sans vie aurait été minutieusement lavé dans une baignoire pour effacer toutes traces.La nouvelle faisant état de la disparition du magistrat avait fait le tour de la ville. C’est la femme du magistrat qui aurait alerté la police de sa disparition faisant croire à un kidnapping. Les recherches entamées par la police et la famille du défunt ont duré environ 48 heures sans résultat. Au matin de la journée du vendredi, le magistrat disparu a été retrouvé mort au fond d’un puits situé au cimetière de Sidi Bel-Abbès. La dépouille a été déposée à la morgue de l’EPH de Sidi Djillali pour l’autopsie médico-légale.
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J. Boukraa
Des dizaines de souscripteurs au programme de logement de la formule dite AADL (Agence d’amélioration et de développement du logement) 2013, dont les dossiers ont été acceptés mais qui ne peuvent pas accéder au site pour le paiement de la 1ère tranche, ont organisé hier un sit-in devant la direction régionale AADL à Bir el-Djir. Les protestataires affirment avoir postulé à ce programme en 2013. «Plus de 5 ans se sont écoulées et on n’a toujours pas vu le bout du tunnel.On est plus d’un millier à Oran qui avons complété les dossiers durant toutes les étapes des souscriptions, mais à ce jour aucune suite n’a été donnée à nos demandes», dira un représentant des manifestants. «Nous avons organisé cette action pacifique pour attirer l’attention des pouvoirs publics et des autorités locales sur notre problème», a-t-il ajouté. Outre cette action de protestation les souscripteurs viennent aussi d’adresser une lettre ouverte au président de la République et au ministre de l’Habitat. Ils demandent leur intervention pour que la situation soit réglée et qu’ils puissent de facto être un tant soit peu sûres d’avoir un logement en fin de compte. «Ils évoquent des dossiers perdus ou mal saisis, ayant conduit à des erreurs diverses et surtout ayant fait l’objet de recours et qui ont tardé à être traités», peut on lire dans leur lettre. Les demandeurs souhaitent que les autorités et à leur tête le président de la République trouvent rapidement la solution idoine surtout que beaucoup font face quotidiennement à des problèmes qui pèsent lourdement tel que les locations dont le prix ne cesse d’augmenter a contrario de leur pouvoir d’achat, surtout les pères de familles. Les protestataires ont été reçus par le directeur régional de l’AADL qui leur a promis de transmettre leurs doléances au ministère.
Pour rappel, sur un programme totalisant 32.000 logements de type AADL, la wilaya d’Oran connaît le lancement de la réalisation de près de 30.000, dont certains ont été distribuées. D’autres, dont le taux d’avancement est très appréciable, seront distribués prochainement.
Certains projets connaissent aussi un bon rythme de travaux dans différents chantiers. Il y a lieu de signaler que la wilaya d’Oran a bénéficié en 2013 d’un premier quota de 30.000 logements AADL dont 10.000 répartis entre des F3 et F4 sont en cours de réalisation dans la daïra d’Es-Senia sur une superficie de 80 hectares et dont une partie de ce quota a déjà été livrée.
Le nouveau pôle urbain Ahmed-Zabana de Misserghine, à l’ouest d’Oran va aussi abriter près de 17.300 logements AADL dont 6.000 ont déjà été lancés. En 2017, Oran a bénéficié d’un quota supplémentaire de 13.000 logements AADL.
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K. Assia
La nouvelle équipe élue de la Chambre de commerce et d’industrie de l’Oranie (CCIO) a affiché hier, ses ambitions et surtout sa volonté à promouvoir l’activité économique et à renforcer l’espace d’échanges et de coopération afin de permettre à la Chambre de commerce de se hisser au rang requis. Lors d’une cérémonie organisée, hier, en présence du directeur de la CCIO pour l’installation du nouveau bureau élu avec pour président de la CCIO, M. Karim Cherif et comme 1er vice-président M. Rachid Ait Habib et 2ème vice-président M. Belkacem Belaroui, la nouvelle équipe a fait part des grands axes de son programme d’action et qui sont l’appui à l’entrepreneuriat, à travers l’accompagnement des porteurs de projets à travers un système de mentorat de coaching, le réseautage local et international et qui est l’accueil des délégations et le renforcement de la coopération avec les chambres locales et étrangères ayant pour objectif d’augmenter l’attractivité économique. Le troisième axe de ce plan porte sur le volet relatif aux compétences et à l’information avec des formations diplômantes et qualifiantes qui seront organisées au profit des compétences ce qui permettra un meilleur perfectionnement des ressources humaines. Il est, aussi, question d’accompagnement à l’export à travers la sensibilisation et la formation des entreprises et la participation aux missions économiques et aux salons internationaux. Le nouveau programme prévoit, également, l’innovation et la transformation digitale. Tout en affichant la volonté des élus à s’inscrire dans une démarche innovante, nos interlocuteurs ont affiché leur entière disponibilité à défendre l’intérêt de toutes les entreprises adhérentes à la CCIO en les assistant et aussi en les informant sur l’actualité économique. Notons par ailleurs, que 18 commissions techniques seront installées.The post Installée officiellement hier: La nouvelle instance élue de la CCIO dévoile ses ambitions appeared first on .
J. Boukraa
Après plusieurs année d’attente, la wilaya d’Oran verra le projet de la maison de l’environnement se concrétiser. La directrice de l’Environnement a indiqué récemment sur les ondes de la radio locale que les travaux de réalisation ont été achevés et cette structure tant attendue par les écologistes et les amoureux de la nature et de l’environnement sera prochainement ouverte. La maison de l’environnement, qui va entrer en en activité incessamment, est considérée comme un espace de formation, de sensibilisation et d’éducation environnementale, a souligné la responsable. La maison de l’environnement va regrouper les associations qui activent dans le domaine de l’environnement ainsi que les présidents des comités de quartiers qui s’occupent de ce volet. Cette maison va apporter un plus concernant l’éducation sur l’environnement, elle va être un lien entre les différents organismes qui ont trait et œuvrent pour la préservation de l’environnement et le développement durable. Cette nouvelle infrastructure a pour objectif de former, d’éduquer et de sensibiliser l’ensemble des acteurs sociaux, notamment les clubs-verts, les établissements éducatifs, les professionnels et les associations, pour participer à l’émergence d’une culture environnementale au sein de la société. Les différents clubs de l’environnement des divers établissements de l’éducation pourront également se retrouver en ce lieu ainsi que les chercheurs et les étudiants qui ont des travaux dans le secteur sus-cité pour développer les projets de l’environnement. Elle s’occupe aussi de l’initiation des jeunes générations aux sujets en rapport avec l’environnement à travers de nouvelles techniques et méthodes d’apprentissage, en plus d’assurer des formations spécifiques autour de l’environnement au profit de tous les intervenants publics et privés. Pour rappel, les travaux de réalisation de la «Maison de l’Environnement» d’Oran sise à Es-Sedikia lancés en 2011 ont connu un grand retard pour diverses raisons. Cette maison est destinée à abriter toutes les manifestations nationales et internationales d’ordre écologique. Elle est dotée d’un espace d’exposition permanent sur la flore et la faune que recèle la région oranaise, une salle de projection thématique, des ateliers de travaux pratiques et autres structures environnementales, entre autres.The post Très attendue par les écologistes et les amoureux de la nature: Ouverture prochaine de la maison de l’environnement appeared first on .
D. B.
Géré depuis son ouverture par les services de la division des Affaires économiques de la commune d’Oran, le nouveau marché de véhicules d’El Hamri, sera cédé en concession au plus offrant, a-t-on appris, hier, de sources proches de l’APC. Nos interlocuteurs indiquent qu’un avais d’adjudication sera lancé pour la location de cet espace, au plus offrant. Nos sources indiquent que la décision de recourir à la concession en location à un privé, fait suite à un constat faisant état de la faible rentabilité de cet espace, pratiquement boudé par les courtiers et les clients. En effet, l’ouverture du nouveau marché de véhicules ne semble pas susciter un engouement pour les courtiers d’Oran qui préfèrent de loin occuper l’espace public, au marché informel des Castors. Ce « souk » qui est à l’origine de nombreux désagréments pour les riverains, devait être éradiqué. Toutefois les ruelles de ce quartier sont toujours squattées par de nombreux courtiers. Abordés à ce sujet, des courtiers ont affirmé qu’ils boudent le nouveau marché à cause des taxes d’entrée. Pourtant et de l’avis de sources proches de la commune, les taxes fixées par l’APC ont été, minutieusement, étudiése pour permettre l’accès à un maximum de courtiers. Même les potentiels clients en quête d’un véhicule ne semblent pas attirés par ce nouveau marché et semble plutôt privilégier le marché informel. « Outre le problème des taxes d’accès, il faut signaler que les clients se sont habitués au marché des Castors, et beaucoup ignorent même l’existence d’un nouveau marché », affirme un courtier. Ce dernier indique que l’achat et la vente de la majeure partie des voitures s’effectue dans les marchés de l’informel. Après plus de 8 mois de travaux d’aménagements, le nouveau marché d’El Hamri, totalement aménagé, a été ouvert il y a plus de 4 mois. La mise en exploitation de ce site a été décidée à l’issue d’une visite effectuée par le maire d’Oran et les membres de son exécutif, pour un constat de visu. En parallèle, les marchés illicites de vente de voitures au quartier de l’hippodrome, à Courbet et sur le 2ème périphérique devaient être interdits par arrêté du président de l’APC.Pour interdire toute activité sur ces sites des dispositions devaient être prises, conformément à la loi pour interdire tout stationnement de véhicules, en dehors des espaces réservés légalement aux salles des fêtes ou autres commerçants. Avant l’ouverture du marché, la commune a arrêté les tarifs relatifs au droit d’accès de véhicules. Les prix retenus sont pour les jours de semaine : 100 DA pour les véhicules légers, 300 DA pour les camions, 500 DA pour les engins et 200 DA pour les motos. Des prix spéciaux sont fixés pour le vendredi et qui sont respectivement de : 500 DA, 1.000 DA, 1.500 DA et 600 DA. Ce marché, érigé sur le site des anciens abattoirs, devrait permettre à la commune d’Oran de renflouer ses caisses. C’est, aussi, un soulagement pour les habitants de ces quartiers qui n’ont cessé d’interpeller les responsables locaux pour la délocalisation de ces marchés informels. Malheureusement, ils vivent toujours le calvaire.
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M. Nadir
Dans un accès de colère, un jeune homme de 27 ans a frappé son père à l’aide d’un grand couteau lui sectionnant deux doigts de la main gauche. Le fils indigne a été condamné à six ans de prison, à l’issue d’un procès dans lequel le père ne s’est pas constitué partie civile.Retour sur les faits
Un jour d’Aïd el Kebir. Le vendredi 1er septembre 2017, jour de l’Aïd el Adha, le dénommé Kh. Belkheir, 52 ans, se présente devant les services de police de Bir El-Djir pour se plaindre de son fils Amine qui proférait des menaces à l’endroit de ses frère et sœurs et risquait de commettre « une bêtise ». Les policiers confient au père inquiet un numéro de téléphone et lui enjoignent de les appeler en cas de problème. L’homme rentre chez lui et entreprend le rite du sacrifice quand Amine surgit, une arme blanche à la main, en proférant des insanités. Belkheir se réfugie dans une pièce de la maison familiale mais son fils le rejoint et réussit à l’atteindre à la main gauche, lui sectionnant l’index et le majeur ; une grave blessure qui lui vaudra un arrêt de travail de 33 jours et un handicap permanent.
Aveux immédiats
Interpellé par la police, l’agresseur reconnaît les faits en indiquant avoir cédé sous pression de problèmes familiaux persistants : cohabitation difficile de trois familles nombreuses, traitement avilissant du père, mère malade mentale décédée quelques années plus tôt, absence de communication…, soit une vie extrêmement difficile et une pression constante sur les nerfs.
Après l’instruction, Amine sera inculpé pour coups et blessures sur ascendant ayant entraîné des infirmités permanentes, conformément à l’article 267, alinéa 3, du code pénal.
Amine : « On me traitait de bâtard »
A la barre, l’accusé tentera d’expliquer son geste et les motivations qui l’avaient conduit à ce geste fatal: « Je n’ai pas frappé volontairement », commence-t-il avant de se faire reprendre par le président d’audience qui lui rappelle qu’il a quand même poursuivi son père jusque dans la pièce où il s’était réfugié : « J’étais hors de moi… On m’a toujours traité de bâtard… c’était très difficile à endurer… C’est comme cela que j’ai explosé», criera presque le mis en cause.
Après le décès de la mère d’Amine qui souffrait de troubles mentaux, Belkheir s’est remarié et a eu sept enfants, et tous vivaient dans la même maison héritée du grand-père paternel : « Nous vivions tous sous le même toit. Moi avec ma tante paternelle divorcée, mon père avec sa famille et mon oncle avec les siens », relate encore Amine pour donner la mesure des problèmes qui pouvaient naître d’une telle promiscuité : « Je regrette mon geste… ce jour-là, j’ai perdu la tête !», conclura-t-il pendant que ses sœurs, présentes à l’audience, pleurent en silence.
Le parquet requiert 12 ans de réclusion
Loin de s’émouvoir du témoignage de l’accusé (en tout cas, il n’en laisse rien paraître), le jeune représentant du ministère public rappellera le déroulement des faits tels que consignés dans l’arrêt de renvoi, avant de relever que le coup porté par l’accusé a entraîné un handicap permanent.
Dans son argumentaire, il mettra en évidence les aveux de l’accusé, refusera de croire à la sincérité des regrets exprimés et requerra 12 ans de réclusion criminelle. Au cours de sa plaidoirie, l’avocate de la défense (commise d’office) reconnaîtra que l’acte de son client est inadmissible avant de mettre en avant les remords exprimés par Amine et la situation sociale difficile pour demander les circonstances atténuantes : « Son père lui a pardonné et ne s’est pas constitué partie civile.
Il a même tenté de lui rendre visite en prison », dira-t-elle en sollicitant la clémence du tribunal : « Etre traité de bâtard est propre à détruire une personnalité ». Après délibérations, le Tribunal criminel de 1re instance accordera les circonstances atténuantes pour le fils meurtri et le condamnera à 6 ans de prison.
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K. Assia
La lutte contre la criminalité sous toutes ses formes se poursuit à Oran. Ainsi, 14 personnes ont été arrêtées en 48 heures, soit du 29 novembre au 2 décembre, par les agents de la police judiciaire de la Sûreté de la wilaya pour différents délits Dans ce registre, 5 individus ont été arrêtés pour port d’armes prohibées et cinq couteaux ont été saisis. Par ailleurs, deux personnes recherchées par la justice ont été arrêtées et cinq individus ont été appréhendés pour détention et vente de stupéfiants. Les enquêteurs ont saisi 9 comprimés psychotropes. D’autre part, les policiers ont arrêté deux personnes pour vol, ce qui porte le nombre global des personnes arrêtées à 14.Par ailleurs, 13 opérations de police ont été menées à travers plusieurs quartiers de la ville et se sont soldées par l’arrestation de cinq personnes pour détention et vente de stupéfiants et port d’armes prohibées entre autres. Au total, les policiers ont arrêté 19 personnes dans le cadre de la lutte contre la criminalité.
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K. Assia
Un dealer de 35 ans a été arrêté par les services de la 17ème Sûreté urbaine lors d’une tournée de contrôle effectuée dans le quartier des Aurès, ex- Bastille. Lors de sa fouille, les enquêteurs ont découvert en sa possession 13 barres de kif traité et un téléphone de marque Samsung. Poursuivant leurs investigations, les policiers ont procédé à une perquisition dans son domicile laquelle a permis de saisir 12 barres de kif et une somme de 25.000 dinars, soit un total de 25 barres. Il sera présenté au tribunal à l’issue des investigations. Par ailleurs, les agents de la Sûreté d’El Kerma, en collaboration avec les services de la BRI 1, ont arrêté quatre personnes âgées entre 31 et 33 ans pour détention et vente de produits psychotropes. Ils ont saisi 142 comprimés de différentes marques plus 11 millions de centimes.The post 25 barres de kif, des psychotropes et de l’argent saisis: Cinq dealers sous les verrous appeared first on .
J. B.
Un octogénaire a perdu la vie, avant-hier, dans un tragique accident de la circulation. Selon la protection civile, le drame s’est produit en début de soirée, sur la route reliant Gdyel et Hassi Ben-Okba, suite à une collision entre un camion et un pick-up de marque Mazda. La victime a rendu l’âme sur place. La dépouille a été déposée à la morgue de l’Hôpital 1er Novembre 1954. Une enquête a été ouverte.The post Axe Gdyel – Hassi Ben-Okba: Un octogénaire meurt dans une collision entre un camion et une voiture appeared first on .
Chergui Abdelghani
Dans notre football, l’argent coule à flots sans être utilisé à bon escient. Si l’on jette un regard sur les bilans financiers dressés chaque fin de saison par les clubs amateurs par exemple, l’on se rend compte que ces dépenses se chiffrent à coups de milliards de centimes et dont les justifications laissent planer le doute.Car pour un club amateur, tout versement de prime de match ou de mensualité est strictement interdit par la réglementation qui prévoit ceci : « Conformément aux dispositions de la loi sur le sport et l’éducation physique et du règlement de la FIFA relatif au statut et du transfert du joueur, le joueur amateur ne peut recevoir de prime de signature ou de salaire et aucune gratification de quelque nature qu’elle soit pouvant revêtir une forme de salaire ». Malheureusement, cette réglementation est bafouée du fait que le joueur amateur touche aussi bien les primes de signature, des mensualités et des primes de match, au moment où les jeunes catégories sont complètement délaissées.
Le comble, c’est que toutes ces dépenses sont portées sur les bilans financiers sans que les pouvoirs publics n’interviennent, notamment l’APC, la wilaya et la DJS, principaux bailleurs de fonds. Pour ce qui est du football professionnel, c’est vraiment la cacophonie car, avant tout, c’est une question de mentalités. Or, chez nous, les mentalités amateurs n’ont guère changé.
Dès lors, cette aventure dans le monde professionnel est pour ainsi dire vouée à l’échec. N’était-ce cette obligation instaurée par la FIFA, le professionnalisme en Algérie aurait été étouffé dans l’œuf. On ne peut parler de professionnalisme dès lors que l’on persiste avec une gestion amateur où l’on attend toujours de voir l’argent des contribuables dilapidé. Pour cela, les dirigeants de clubs doivent répondre de leurs actes.
Il n’est pas normal, en effet, de voir autant d’argent dépensé pour que ce même contribuable soit convié à de piètres prestations au plan local et à des résultats décevants sur le plan international. La meilleure illustration est claire comme l’eau de roche : les équipes nationales, toutes catégories confondues, sont dans l’obligation de faire appel à des joueurs évoluant à l’étranger du fait que leurs entraîneurs ont du mal à trouver des éléments au plan local. Pour cette huitième saison de professionnalisme, les clubs ont dépensé sans compter, mais pour quels résultats ?
A longueur d’année, les clubs crient famine, mais recrutent à coups de milliards, tout en continuant à attendre les pouvoirs publics leur ouvrir les vannes, alors que de leurs poches, il n’est pas sorti grand chose lorsqu’on sait que le meilleur d’entre ces présidents ne détient même pas 10% des actions du capital social de la SSPA hormis un ou deux.
La plupart des présidents, pour ne pas dire tous, sollicitent les grosses sociétés nationales publiques ainsi que les collectivités locales (wilayas et communes), leur demandant de s’impliquer dans ce professionnalisme, mais seulement en mettant de l’argent. Le reste n’est pas leur affaire. L’autre problème pour lequel les instances de notre football, MJS y compris, doivent sérieusement se pencher, c’est de mettre définitivement un terme à cette insolite ambivalence CSA/SSPA. Le CSA reste un club amateur avec ses objectifs socio-sportifs, tandis que la SSPA s’occupe des règles économiques. Tant que l’on surfe sur ces deux entités, le professionnalisme tardera à s’implanter en Algérie.
L’autre aspect qui pourrait assurer la pérennité des clubs professionnels a trait à la formation. La mise en place d’écoles et surtout d’académies est le seul garant pour ce professionnalisme.
En effet, ces écoles et académies assureront la relève au sein des clubs, leur épargneront des dépenses faramineuses pour le recrutement et constitueront une plus-value dès lorsqu’un jeune pourrait aussi être cédé à des sommes sonnantes et trébuchantes à d’autres clubs nationaux ou étrangers. On doit sortir du schéma actuel qui fait que seule la catégorie des séniors est la plus nantie en moyens financiers et matériels, alors que le reste des catégories est totalement délaissé.
La sortie du président de la FAF, Kheireddine Zetchi, au sujet de la prise en charge des jeunes catégories qui reste à la charge de la SSPA, devrait être suivie d’effets car nombreux sont les clubs qui continuent à occulter ces dernières. C’est pourquoi aujourd’hui la FAF et la LFP doivent être fermes et constituer un rempart à toute dérive et surtout au diktat des présidents de club qui ne veulent guère voir le professionnalisme prendre son envol en Algérie. Et ce, pour préserver leurs gros intérêts.
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ALGER – L’intérêt de la création de micro-entreprises pour la valorisation des forêts et des produits forestiers a été souligné lundi à Alger par le directeur général des forêts, Ali Mahmoudi.
Pour ce responsable, l’investissement dans les produits forestiers non ligneux (PFNL) représente un élément vital en faveur d’un développement économique durable. Les PNFL étant définis par l’ensemble des biens, autres que le bois, produits par la forêt et capables de générer de la richesse animale ou végétale.
Intervenant à l’occasion de l’atelier de lancement de développement des micro-entreprises forestières basées sur les produits forestiers non ligneux avec le soutien de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), M. Mahmoudi a estimé que lors des dernières années, la vision de la forêt et de ses fonctions est en phase d’évoluer.
« A la conservation des forêts, qui reste un objectif fondamental, s’ajoute celui de la valorisation des diverses richesse de ce patrimoine », a-t-il souligné. Cependant, il s’agit pour le même responsable, d’opérer cette orientation prudemment à travers une gestion durable, un respect écologique et une équité sociale, parallèlement à la rentabilité économique.
« La valeur économique est souvent sous estimée, notamment les produits non ligneux », a-t-il regretté. Le même responsable a rappelé que la filière des produits forestiers existe bel et bien dans le marché informel, notamment à travers les herboristeries, soulignant l’impératif d’organiser cette filière pour une meilleure valorisation des produits du terroir et la création d’emplois.
Dans ce cadre, il a fait savoir que les pouvoirs publics, avec la participation de la Direction générale des forêts (DGF), ont entamé l’organisation de cette filière par la création de conseils interprofessionnels « plantes aromatiques » et un conseil « bois et liège » à travers les wilayas du pays ainsi que deux conseils au niveau national.
Le projet de création de micro-entreprise lancé lundi en collaboration avec la FAO, a réuni les cadres de la DGF, des opérateurs économiques ainsi que plusieurs organisations de soutien à la création d’entreprise tels que l’ANSEJ et la CNAC.
Outre la valorisation des PFNL, M. Mahmoudi a indiqué que cette démarche vise également à réduire la pression entropique sur les forêts, notamment à travers la création d’emplois en faveur des populations résidant à proximité des forêts pour tirer profit de cet espace et réduire la pression anthropique sur les forêts.
Présent à cet atelier, le représentant de la FAO en Algérie, Nabil Assaf, a indiqué plusieurs pistes à entreprendre pour développer la filière des PFNL à travers le pays. Ainsi, il s’est dit favorable à la réalisation d’un inventaire et de cartographies des ressources naturelles PFNL pour améliorer la connaissance des potentialités nationales existantes.
Le représentant de la FAO a également indiqué que des expériences dans d’autres pays ont montré l’intérêt de faire évoluer les entités organisées sous forme de coopératives vers des micro-entreprises pour encourager la performance commerciale.
Ces expériences ont également souligné le besoin de doter les forêts abritant des ressources, de plans de gestion pluriannuels pour une exploitation rationnelle tout en arrêtant un programme scientifique de recherche appliquée pour les PFNL.
A noter que cet atelier a permis de s’attarder sur trois produits forestiers: Le romarin, le pin pignon et le caroubier. Selon les organisateurs de l’atelier, le choix s’est porté sur ces trois produits du fait de la maitrise de leur localisation. Le pin pignon est présent principalement sur les wilayas de Constantine et de Mostaganem, le romarin à Khenchela et le caroubier à Mostaganem et Blida.
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Selon la situation mensuelle de la banque centrale publiée au dernier journal officiel, le montant créé par la Banque d’Algérie jusqu’au 30 septembre 2018 s’élève à 4005 milliards de Dinars. Dans la situation mensuelle du mois d’août dernier, le montant produit dans le cadre de la planche à billets était de 3 585 milliards, ce qui implique un montant de 420 milliards de Dinars créés durant le mois de septembre dernier. A noter que les besoins émis par le Gouvernement en matière de financement du Trésor public étaient estimés à 2185 milliards de Dinars, soit 570 milliards de dinars en 2017, à 1815 milliards en 2018 et à 580 milliards en 2019. Ces chiffres sont-ils alarmants ? faut-il s’inquiéter à l’aube d’une année 2019 qui s’annonce palpitante !
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Les dépouilles des deux haragas de Raïs Hamidou à Alger noyés au large de Cagliari en Italie sont arrivés ce lundi à l’aéroport international Houari Boumediene d’Alger.
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