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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 3 days 14 hours ago

Cinquième mandat présidentiel: Le RND poursuit la promotion de l’option

Sun, 10/28/2018 - 16:29

Le RND poursuit de faire la promotion d’un cinquième mandat pour le président de la République, et ce, en la vulgarisant auprès des cadres, militants du parti au niveau local mais également auprès de simples citoyens conviés à des conseils de wilaya du parti.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Il s’agit, selon le chargé à la communication du parti, qui animait, hier samedi en milieu d’après-midi, le conseil de wilaya du parti au niveau de la capitale, à la salle Ali-Maâchi, des Pins-Maritimes, d’expliquer le bien-fondé de la résolution de la dernière session du conseil national, appelant le président de la République à candidater pour un cinquième mandat de suite. Et les arguments d’une telle option ne manquent pas, selon Seddik Chihab, qui estime, en premier lieu, que la présence de Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’Etat est comme un «gage de stabilité et de consolidation de ce que nous avons entamé avec lui depuis 1999», année de l’entame de son premier mandat.
Il y a également le souci du «renforcement et de l’approfondissement du processus démocratique, de la poursuite des réformes structurelles engagées, de la consolidation de l’ouverture économique et, enfin, la sécurisation du pays et de la nation».
A propos du changement opéré à la tête de la Chambre basse du Parlement, le porte-parole du RND l’inscrit sur le compte d’une «mésentente» entre la majorité qui a permis à Saïd Bouhadja d’être à la tête de l’Assemblée populaire nationale (APN). Une mésentente née d’une «incompatibilité» dans la vision, ce qui a engendré un blocage de l’institution législative». D’où, poursuit Chihab, cette même majorité qui a été obligée de lui retirer sa confiance», estimant que la raison d’incompatibilité ne pouvait déboucher sur la dissolution de l’Assemblée, les mêmes forces qui l’ont porté au perchoir lui ont retiré la confiance en toute démocratie» A noter que la rencontre d’hier était la seconde à être animée par le porte-parole du RND après celle qu’il a encadrée la matinée à Tizi-ouzou, rencontres qui s’inscrivent dans le cadre d’un planning de 48 conseils de wilaya devant être achevé à la fin du mois de novembre prochain avec une cadence de 12 conclaves par quinzaine de jours.
M. K.

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M’sila: Distribution de 1 200 logements

Sun, 10/28/2018 - 16:25

A l’instar de toutes les wilayas du pays, la wilaya de M’sila a organisé une cérémonie de remise des clés de 1 200 logements dont 1 020 habitations rurales et 180 logements publics aidés.
Les autorités de la wilaya ont présidé cette cérémonie organisée cette fin de semaine à l’université Mohamed-Boudiaf où des représentants des bénéficiaires venus de 26 communes de la wilaya ont reçu les actes de leurs nouvelles habitations. En cette occasion, le wali de M’sila a parlé d’un riche programme dont dispose la wilaya du Hodna, faisant savoir à l’assistance, composée des autorités civiles et militaires, aux côtés des bénéficiaires venus des 26 communes de la wilaya, que sa wilaya a bénéficié de 87 633 logements tous types confondus de 2005 jusqu’à 2018, répartis en 33 670 logements publics locatifs et 43 245 logements ruraux aidés, en ajoutant que les bénéficiaires de logements ruraux ont touché le montant de 700 000 DA chacun.

Le premier responsable de l’exécutif a confirmé que la wilaya a connu la remise des clés lors de la célébration de plusieurs festivités nationales et religieuses durant l’année 2017-2018, tout en rappelant le nombre distribué qui est de 4 464 logements publics et 7 748 logements dont l’étude des dossiers est à pied d’œuvre au niveau des commissions de daïra en vue de procéder à la remise des actes dans 26 communes de la wilaya. Cependant, on prépare la distribution de 4 000 logements ruraux durant l’année en cours, a ajouté M. El Hadj Mokdad wali de M’sila. Ce dernier a également rappelé la remise des clés de 1 385 logements publics locatifs la semaine passée en plus de la vente de 500 logements locatifs dans la ville de Bou Saâda.
Quant au programme de ce type de logements, la wilaya de M’sila dispose de 2 400 unités réparties en 1 600 logements au profit de la ville de M’sila et 400 habitations dans les villes de Bou-Saâda et Sidi-Aïssa.
A la fin de son discours, le wali de M’sila a déclaré que le programme comporte encore le début des travaux de réalisation de 2 800 logements promotionnels aidés (LPA) et que ses services sont en cours d’étude de distribution des lotissements composés de 9 951 lots répartis à travers les 47 communes de la wilaya.
A. Laïdi

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Blida: Un trentenaire chute mortellement du 2e étage d’une habitation à El-Affroun

Sun, 10/28/2018 - 16:25

Un homme âgé de 32 ans est décédé jeudi dernier à 19h20 suite à une chute du 2e étage d’une habitation située à la rue Kabou-Mohamed à El-Affroun, à 25 kilomètres à l’ouest de Blida.
La victime, qui faisait l’objet d’un mandat d’arrêt lancé par la justice, tentait de fuir les services de sécurité qui étaient venus exécuter l’ordre de la justice de l’arrêter. Cependant, sa chute lui a été fatale et les éléments de la Protection civile qui ont tout fait pour le réanimer n’ont pu lui sauver la vie puisque, selon le médecin, il est décédé sur le coup après avoir touché le sol. Le corps du défunt a été transporté à la morgue de l’hôpital d’El-Affroun.

Un homme de 51 ans met fin à sa vie
Un homme de 51 ans s’est donné la mort jeudi dernier aux environs de 9 heures du matin en se jetant du 4e étage d’un immeuble situé à la cité Benboulaïd à Blida. La victime est décédée sur le coup et son corps a été transporté à la morgue de l’hôpital Frantz-Fanon par les éléments de la Protection civile. Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ce drame.
M. B.

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Nouvelle ville de Draâ Errich (Annaba): Les attentes des locataires en voie de règlement

Sun, 10/28/2018 - 16:25

Les attentes des premiers locataires ayant emménagé durant la deuxième quinzaine du mois de septembre écoulé dans des logements sociaux de la nouvelle ville Draâ Errich, une vingtaine de kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya, ont fait l’objet, en début de semaine, d’une visite de travail du wali de Annaba.
Plus de 2 000 familles sur les 7 000 concernées par cette attribution destinée aux demandeurs des quartiers de la commune de Annaba ont élu domicile à Draâ Errich sauf que les décisions de leur relogement ont été prises dans la précipitation par le wali partant. Ce qui a de fait généré des insuffisances en matière de distribution d’eau potable, d’éclairage public, d’assainissement et de viabilisation. Il faut dire que le programme de cette sortie du wali sur le terrain, la première à cette nouvelle ville depuis son installation, il y a moins d’un mois, était bien rempli. Lors de sa visite, le wali, accompagné des directeurs de l’exécutif concernés, avait prêté une oreille attentive aux multiples doléances des locataires. Il ne s’est pas limité à enregistrer uniquement ces insuffisances.
Sur place et à chaque étape de la visite, il s’est enquis d’abord sur la nature du problème avant d’instruire le directeur concerné de le prendre en charge dans les meilleurs délais. C’est le cas de l’alimentation en eau potable.
Le directeur de l’Algérienne des eaux (ADE) s’est engagé à résoudre ce problème dans la soirée du même jour. Engagement qui a été tenu, sauf que ce précieux liquide n’arrivait pas encore à tous les étages supérieurs des tours, selon les dires de leurs occupants. Le problème trouvera sa solution avec la mise en service dans les prochains jours de moyens techniques plus performants qui augmenteront la pression, explique le responsable local de l’ADE.
Autre préoccupation relevée par les habitants concerne l’éclairage public d’une partie des bâtiments nouvellement occupés. Présent sur place, le représentant de la Sonelgaz a fait savoir au wali que cette question sera réglée dans les 24 heures. Promesse également tenue, selon les habitants.
Pour les ascenseurs des tours qui sont installés mais qui ne fonctionnent pas encore au détriment des occupants notamment les personnes âgées, le wali a fixé une dizaine de jours à l’entreprise en charge pour leur mise en marche. Outre les 3 groupes scolaires et 1 CEM qui accueillent déjà les écoliers, le chef du projet de la nouvelle ville a relevé l’existence de 23 autres projets d’équipements publics (locaux pour la Gendarmerie et la Sûreté nationales, annexe communale, lycée, salle de soins, entre autres) sont en bonne voie. Interpellé par le wali sur le problème des rejets des eaux, le directeur des ressources en eau a affirmé avoir reçu confirmation du ministère de tutelle sur l’accord pour une station de relevage et de traitement.
La préservation de l’environnement de cette nouvelle ville, promise pour être une cité intelligente, doit faire l’objet d’une attention particulière, a insisté le wali, en préconisant le recours à un pôle de revalorisation des déchets. Il a, dans ce cadre, invité les responsables et habitants au respect des normes d’hygiène, à multiplier les espaces verts, la plantation d’arbres, surtout que près de la moitié des 1 400 hectares de cette ville est destinée à la verdure, fait-t-il remarquer.
Lors de cette visite, le wali a annoncé la distribution de 600 logements sociaux locatifs pour la date anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale du 1er Novembre 1954. Les sept familles sinistrées de la rue Souidani-Boudjemaâ et la famille qui occupe un bâtiment réservé aux urgences de l’hôpital Ibn Sina feront partie des relogés à cette date, a indiqué le wali de Annaba. Il annoncera également l’octroi de deux ambulances médicalisées au profit du CHU de Annaba et de la polyclinique du village de Seraïdi. Au sujet des investissements pour la relance du développement de la wilaya, Toufik Mezhoud, tout en soulignant la disponibilité de l’administration d’encourager et aider tout investisseur, a, cependant, tenu à avertir ceux dont l’intérêt est porté uniquement sur l’acquisition de terrain sans matérialiser leur projet.
Leur but étant la spéculation foncière qui a hypothéqué des milliers d’hectares dans cette wilaya. C’est pourquoi, il a limité à six mois la période maximale pour le lancement des projets avec un apport financier personnel conséquent.
A. Bouacha

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Tlemcen: Suicide d’un jeune homme à Sebdou

Sun, 10/28/2018 - 16:21

Un homme âgé de 38 ans a été retrouvé, jeudi dans la soirée, pendu à une corde accrochée à la toiture de sa chambre au domicile parental sis à la cité Chahid-Bouanani de Sebdou, a-t-on appris de la protection civile, qui a transféré la dépouille mortelle vers l’hôpital de la ville pour une éventuelle autopsie.
On ignore, tout de même, les raisons qui ont poussé le jeune homme à mettre prématurément fin à sa vie, cependant, seule l’enquête ouverte, aussitôt, par la gendarmerie nationale pourrait déterminer les circonstances de cet acte suicidaire.
B. Henine

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Devises: Le marché des paradoxes

Sun, 10/28/2018 - 16:21

Le marché de la devise reste, assurément, le plus occulte, le plus mystérieux et plus étrangement mal organisé en Algérie. Un paradoxe, en fait, qu’est cette situation de voir, d’un côté, les banques se montrer extrêmement rigoureuses, voire exagérément rigoureuses lors qu’il s’agit de la devise et, de l’autre, un marché parallèle de cette même devise, où les échanges se font en plein air, au vu et au su de tous, au cœur même de la capitale et de plusieurs autres grandes villes du pays ! Devant une telle situation, il était quasiment dans l’ordre naturel des choses d’assister, régulièrement, à des saisies de sommes colossales en devises, au niveau des frontières ou des aéroports et destinées à l’évasion. Des fausses déclarations également de la part de nombreux importateurs qui font carrément saigner l’économie nationale. Qu’est-ce qui explique cette anarchie «tolérée» du marché de la devise ?

Bouabdellah Kacemi, Chercheur au CRASC, au Soir d’Algérie :
«Il y a une marionnette qui joue mais on ne sait pas qui tire les ficelles»

Chercheur au Crasc, Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle, Bouabdellah Kacemi tente de nous éclairer sur les saisies de devises régulièrement opérées en Algérie.

Entretien réalisé par Abla Chérif
Le Soir d’Algérie : Les transferts illicites de devises font l’actualité depuis un moment. Comment analysez-vous ce fait ?
Bouabdellah Kacemi : C’est un sujet sur lequel il y a beaucoup à dire et sur lequel peu de choses ont été dites jusqu’à présent. Lorsque l’on évoque ces saisies de devises, que je lis ce que rapporte la presse, des souvenirs me reviennent, ceux de faits similaires s’étant produits quelques années auparavant et à une époque marquée par ce que l’on appelle l’affaire Khalifa. La même problématique se posait, des tentatives de transfert de devises s’opéraient, mais les médias n’étaient pas aussi diversifiés qu’aujourd’hui. Ce que je veux dire, c’est que ce problème s’est toujours posé à des degrés moindres. Mais nous en sommes toujours aussi au stade de constat des faits et de questionnement : d’où viennent ces devises, qui détient cet argent et à qui profite-t-il ? Inévitablement, et en premier lieu, je pense au marché parallèle de devises.

Que voulez-vous dire ?
Nous sommes dans un pays où il y a des banques, mais où le marché parallèle l’emporte. L’Etat a bien tenté d’installer des bureaux de change officiels, l’intention était réelle, sincère, mais il n’y est pas parvenu. Ailleurs, cela se fait pourtant normalement. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il s’agit d’un dossier sensible et que peu de personnes en parlent, il ne fait pas l’objet d’un débat. A mon avis, l’essentiel de la problématique est lié au marché de change parallèle. Il faut enquêter de manière sérieuse y compris auprès des importateurs, vérifier si ces derniers ont réellement acheté tous les produits qu’ils ont facturés. Les devises qui s’échappent sont une atteinte à l’économie nationale. Et puis, il faut se poser des questions : comment cet argent est-il véhiculé ? Pourquoi toujours l’évasion vers la Turquie, Dubaï, l’eldorado fiscal, et puis qui sont ces personnes qui s’adonnent à ce trafic?

Des étrangers figurent parfois parmi les auteurs de ce trafic…
Oui mais, nous ne savons pas si ce sont des concessionnaires, des travailleurs, peu d’informations circulent sur le sujet. En revanche, je ne pense pas que ces saisies soient propres à cette période. Ce sont des faits importants, il faut les analyser froidement. Sur cette base, on constate qu’un phénomène ayant toujours existé bénéficie aujourd’hui d’un effet médiatique de grande ampleur. Je ne dis pas qu’il y avait un manque de vigilance auparavant mais les informations ne circulaient pas de la même manière. Aujourd’hui, on s’aperçoit que nous sommes face à un très grand réseau que des rabatteurs chargés de faire circuler tout cet argent existent dans toutes les régions… Tout cela n’existait pas avant la décennie noire. Les milliardaires sont apparus à la fin de cette période ; avant, les gens très riches n’étaient pas si nombreux.

Qu’est-ce qui vous fait dire que cela a toujours existé ?
C’est comme les produits prohibés, ils sont toujours sortis hors de nos frontières. Les saisies s’effectuent d’ailleurs au niveau des accès autorisés, frontières, douanes. Dans le contexte de crise économique que nous vivons, la fuite des devises prend, cependant, un aspect plus important. Et c’est normal. Où va tout cet argent ? Qui sert-il, qui se trouve derrière ce phénomène ? Dans les lieux où s’effectuent les changes parallèles circulent de très grandes sommes d’argent, cela se passe au square Port-Saïd ou ailleurs, mais ce sont des cercles fermés, on ne peut rien savoir de ce qui s’y passe réellement. Et puis, il faut le dire, l’Etat évite de s’en mêler d’une manière ou d’une autre.

Pourquoi ?
Si vous allez en voyage, auprès de qui allez-vous changer votre argent ? Auprès des réseaux parallèles. Deux banques officielles existent pourtant, elles peuvent vous offrir l’argent demandé, mais elles ne le font pas, alors qu’ailleurs, il s’agit d’un procédé normal. Chez nous, c’est comme si on lançait un message : allez chercher des devises au marché parallèle. Et, naturellement, les gens se tournent vers l’informel.

Certains analystes ont lié cette fuite de devises à la crise qui secoue le pays…
C’est normal, et c’est valable dans tous les pays au monde où les gens ont peur de l’avenir. Généralement, ce sont les personnes qui ont de l’argent qui ont peur. En Algérie, il y a également un sentiment d’insécurité, de crainte d’instabilité. Nous sommes en pleine crise économique, paradoxalement, c’est une période propice à l’évasion fiscale, car c’est de cela dont il s’agit, en fait. L’argent est un enjeu, un pouvoir, normalement, il relève de l’autorité de l’Etat, pas d’un groupe d’intérêt ou un réseau. D’autant plus qu’on ne sait pas ce qu’ils vont faire de cet argent ni d’où il provient. C’est très dangereux. La drogue, les armes, sont aussi des sources d’argent… Il y a une marionnette qui joue mais on ne sait pas qui tire les ficelles. Nous sommes face à un grand défi socioéconomique. C’est une évasion fiscale probablement basée sur l’argent du contribuable mais qui servira, sans doute, les intérêts d’une autre nation ou des étrangers, c’est malheureux…
A. C.

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Tipaza: Des chantiers en léthargie menacés de résiliation

Sun, 10/28/2018 - 16:21

C’est le cas du chantier retardataire concernant la construction du siège de la direction de wilaya des moudjahidine, nous a révélé M. Badjou, le chargé de communication de la Wilaya de Tipasa.
Selon ce dernier, lors d’une inspection surprise inopinée, effectuée récemment au chef-lieu de la wilaya, M. Bouchemma Mohamed, le nouveau wali de Tipasa, sévi à l’encontre de plusieurs chantiers qui accusaient d’importants retards dans la réalisation de projets publics. A ce titre, l’entreprise chargée de la réalisation du projet de siège de Wilaya des moudjahidine a été sommée de finaliser ses travaux pour une réception définitive au 31 décembre 2018, et, à défaut, il sera procédé à la résiliation du contrat de cette entreprise.
Toujours selon notre source, cette visite inopinée a permis de visiter les structures du nouvel hôpital de 120 lits sis au cœur du chef-lieu de la wilaya, que la commune du chef-lieu de wilaya de Tipasa disposerait d’un autre hôpital qui renforcerait les capacités d’accueil et de prise en charge médicale déjà existantes à l’échelle de la wilaya. Ainsi, selon cette source, cet hôpital de 120 lits, situé dans la partie ouest de la ville, a été réalisé en 25 mois et il se trouverait actuellement achevé et entièrement équipé. Sa réalisation aurait coûté 240 milliards de centimes alors que son équipement en matériel, en appareillage et en divers plateaux techniques aurait nécessité une enveloppe de plus de 74 milliards de centimes.
Toujours selon nos sources, l’ensemble des effectifs, médical, paramédical et administratif, nécessaires à son fonctionnement y ont été affectés. Cet hôpital est doté d’une aile pour les urgences médicales d’une capacité de 18 lits, d’un bloc de chirurgie de 28 lits, d’un service spécialisé en cardiologie de 28 lits, d’un autre pour la médecine interne de 28 lits, d’une aile pour la réanimation de 14 lits, d’une aile pour l’oncologie pédiatrique de 8 lits ainsi que d’une radiologie équipée également d’un scanner, d’un échographe et d’un équipement de radiologie numérique. Ainsi, il a été révélé que ce nouvel hôpital de Tipasa assurera sept spécialités, dont la cardiologie, la chirurgie cardiaque et la rééducation fonctionnelle, introduites pour la première fois dans cette wilaya. Il a été précisé, par ailleurs, que cet établissement comptera également des services pour la chirurgie générale, la chirurgie médicale, la médecine interne, la réanimation, l’oncologie et la cancérologie pédiatrique, comme il englobera également des laboratoires et un service de radiologie doté d’un scanner.
La wilaya de Tipasa compte, en outre, un hôpital psychiatrique à Nador, des services hospitalo-universitaires pour la médecine et la neurologie à Cherchell et des services d’oncologie, parallèlement à 16 établissements publics de santé de proximité (EPSP). Ce secteur dispose également de sept scanners, renforcés par un centre de wilaya de collecte de sang, d’un laboratoire d’analyses et d’hygiène mais aussi d’un appareil d’imagerie par résonance magnétique (IRM).
S’agissant de la préservation du cadre de vie et de l’environnement, le wali de Tipasa a instruit les responsables locaux de dédier l’ensemble des poches foncières disponibles et inutilisées à la réalisation des espaces verts et aux structures sportives et sociales pour jeunes.
Dans ce cadre, la placette Tafsa, qui dispose d’extensions, bénéficiera d’un projet d’érection de pépinières urbaines où seront érigés des espaces avec serres multi-chapelles, en vue d’agrémenter le cadre de vie. A l’issue de cette visite, le wali a mis l’accent sur l’impératif de ne plus ériger des constructions au cœur ou à la périphérie du centre-ville afin de ne pas altérer le panorama touristique et environnemental de Tipasa.
Houari Larbi

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Deux dossiers identiques, deux traitements différents – CRB–USMAn : le deux poids, deux mesures de la FAF

Sun, 10/28/2018 - 16:15

En accordant un délai supplémentaire au club annabi, la FAF vient de désavouer la CD de la LFP et crée un précédent grave. Explications.

Dans un communiqué publié vendredi soir sur son site officiel, la FAF indique que “profitant de la tenue de la session mensuelle du bureau fédéral, ce vendredi 26 octobre 2018, le président de la Fédération algérienne de football en compagnie du président de la LFP a convié à une réunion, le président de l’USM Annaba, M. Zaïm en vue de trouver une issue aux dettes que ce club traîne depuis des années auprès d’un certain nombre de joueurs. Le président de l’USM Annaba a promis de régulariser la situation de son club tout en demandant un temps pour pouvoir le faire…” Le même Zaïm annonce dans un enregistrement vidéo publié sur le même site de la FAF que “l’USM Annaba vient de bénéficier d’un nouveau délai pour payer cette dette (de 9 milliards 600 millions de centimes), soit jusqu’à la fin de la saison, et révèle également que son club pourra recruter lors du prochain mercato hivernal”. Or, il faut savoir que lors de sa réunion ordinaire de lundi la commission de discipline de la LFP, organe juridictionnel de la FAF, avait déjà statué dans l’affaire de l’USM Annaba dont d’anciens joueurs n’ont pas été payés. “La commission invite le club à régulariser la situation financière pour les 20 joueurs dans un délai de 15 jours, au plus tard le 5 novembre 2018. Par défaut, la commission prend les sanctions citées dans l’article 91 du code disciplinaire de la FAF”, note le communiqué de la CD de la LFP. Que prévoit justement l’article 91 du code disciplinaire de la FAF ? “Outre les dispositions prévues par l’article 90 du présent code disciplinaire, tout club, entraîneur, joueur qui ne paie pas intégralement ou paie en partie une somme d’argent due à un autre membre (fédération, club, joueur, entraîneur) ou à la FIFA, bien qu’il ait été condamné par un organe quelconque de la FAF, de la FIFA ou du TAS (décision financière) ou quiconque ne respecte pas une décision non financière de ces mêmes organes et instances sera sanctionné d’une amende de cinquante mille dinars (50 000 DA) ; par suite, il recevra des autorités juridictionnelles de la LFP, la Fédération et/ou d’autres instances internationales un dernier délai de grâce pour s’acquitter de sa dette ; s’il s’agit d’un club, il sera mis en garde d’avoir à régler sa dette sous peine de déduction de points ou de rétrogradation dans la catégorie inférieure”, stipule cet article.

Le CRB est en droit de demander réparation
Et d’ajouter : “En cas de non-paiement ou de non-respect de la décision malgré le dernier délai de grâce accordé, une interdiction de recrutement de joueurs est prononcée. Si le club ne respecte pas ce dernier délai, la Fédération et/ou la ligue concernée sera tenue d’appliquer les sanctions prononcées. La déduction de points portera sur trois paliers (3 points, 6 points et 9 points) en fonction du montant dû. Une suspension de toute activité relative au football peut par ailleurs être prononcée contre toute personne physique (dirigeants, joueurs, entraîneur).Tout recours contre une décision prise en vertu du présent article doit être interjeté auprès du TAS, dans un délai de 24 heures après sa notification, sous peine de forclusion.” Autrement dit, les dirigeants de l’USMAn ont jusqu’au 5 novembre pour payer leur dette évaluée à près de 10 milliards. Avec cette décision qui ne repose sur aucune base juridique, la FAF qui aurait pu passer néanmoins par sa commission de recours (second organe juridictionnel de la fédération), ne serait-ce que pour sauver la face, désavoue brutalement la LFP et privilégie les petits arrangements de circonstance à l’application stricte de la loi. C’est là la première violation de la réglementation dans cette affaire. La seconde concerne la démarche de la FAF avec un autre club dans un dossier quasi similaire. En effet, la FAF n’a pas eu la même indulgence avec la direction du CRB en début de saison dont l’équipe s’est vue infliger une défalcation de trois points et qui doit payer encore des dettes avant le prochain mercato sous peine de nouvelles sanctions. Une politique du deux poids, deux mesures inexplicable et inacceptable. L’été dernier, les dirigeants du CRB avaient tenté également d’arracher une audience avec le président de la FAF, Kheirredine Zetchi, pour avoir un nouveau délai.
En vain. Pourquoi ? Aujourd’hui, la direction du CRB n’est-elle pas en mesure de demander réparation, soit restituer les trois points défalqués au club, voire même reprogrammer la rencontre CRB-ASAM que la Chabab a perdue sur tapis vert ?

SAMIR LAMARI

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Assassinat de Jamal Khashoggi: Riyad refuse d’extrader les 18 suspects vers Ankara

Sun, 10/28/2018 - 16:12

Avant même l’arrivée aujourd’hui à Istanbul du procureur général saoudien, l’Arabie Saoudite dit non à la demande d’extradition formulée, vendredi, par Ankara.

La demande du procureur général turc d’extrader les 18 Saoudiens, accusés d’avoir assassiné le journaliste Jamal Khashoggi dans le consulat saoudien d’Istanbul, a été rejetée hier par l’Arabie Saoudite. S’exprimant lors d’une conférence sur la sécurité à Manama (Bahreïn), le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al-Jubeir, a déclaré : “Sur la question de l’extradition, ces individus sont des citoyens saoudiens. Ils sont détenus en Arabie Saoudite, l’enquête est menée en Arabie Saoudite et ils seront poursuivis en Arabie Saoudite.” Le chef de la diplomatie saoudienne a assuré, samedi, que le royaume “surmontera” cette épreuve. “La question, comme je l’ai dit, fait l’objet d’une enquête. Nous saurons la vérité. Les responsables devront rendre des comptes. Et nous mettrons en place des mécanismes pour nous assurer que ceci ne se renouvellera pas”, a-t-il affirmé. Riyad oppose ainsi une fin de non-recevoir au parquet turc, qui a lancé une procédure d’extradition contre 18 Saoudiens soupçonnés d’implication dans le meurtre du journaliste Jamal Khashoggi au consulat de son pays à Istanbul.

Deux jours avant la venue en Turquie du procureur général saoudien, qui doit faire le point aujourd’hui avec son homologue turc, ce dernier a remis, vendredi, les noms des 18 suspects soupçonnés d’implication dans ce meurtre prémédité au ministère de la Justice. Après avoir nié sa mort, les autorités saoudiennes, sous la pression internationale, ont fini par admettre qu’il avait été tué au consulat lors d’une opération “non autorisée”, soutenant que le prince héritier Mohammed Ben Salmane n’était pas au courant de cette opération. D’ailleurs, le procureur général saoudien, Saoud Ben Abdallah al-Muajab, a évoqué, jeudi, pour la première fois, le caractère “prémédité” du meurtre. Ce meurtre, qui a terni l’image du prince Mohammed, a suscité une vague de critiques internationales et affecté les relations de Washington avec le royaume, sur lequel les États-Unis s’appuient beaucoup pour contrer l’influence de l’Iran dans la région. Reste à savoir maintenant que fera Donald Trump après avoir pris connaissance, jeudi, du rapport détaillé sur cette affaire que lui a présenté la directrice de la CIA. “Gina Haspel a remis au président américain ses conclusions et ses analyses de son voyage en Turquie, où elle a rencontré les responsables de l’enquête”, a indiqué la Maison- Blanche.

Selon la presse turque, Ankara a partagé avec Mme Haspel des enregistrements vidéo et audio du déroulement du meurtre de Khashoggi. Mais la question qui revient avec insistance est relative au cadavre de Jamal Khashoggi, comme l’a martelé, vendredi, le président turc. “Le fait que Jamal Khashoggi a été tué est une évidence. Mais où est-il ? Où est son corps ?”, a insisté Recep Tayyip Erdogan. Par ailleurs, Hatice Cengiz, la fiancée turque du journaliste saoudien assassiné Jamal Khashoggi, a exigé, vendredi, que soient punis tous les responsables de cette barbarie. “Ma demande est que tous les responsables impliqués dans cette barbarie, du plus bas au plus haut niveau, soient punis et traduits en justice”, a-t-elle déclaré dans une interview à la chaîne Habertürk TV.

Merzak Tigrine

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Embargo de l’UE sur la vente d’armes à l’Arabie Saoudite: Le niet d’Emmanuel Macron à Bruxelles

Sun, 10/28/2018 - 16:08

Au moment où la position de la chancelière allemande, Angela Merkel, en faveur d’un embargo de l’UE sur les armes à l’Arabie Saoudite, trouve des soutiens, dont le dernier en date est celui de l’Autriche, le président français Emmanuel Macron a critiqué implicitement son alliée européenne sur ce sujet. Emmanuel Macron a dénoncé la “pure démagogie” des pays qui, comme l’Allemagne, veulent cesser d’exporter des armes vers l’Arabie Saoudite en raison du scandale Khashoggi. “C’est une pure démagogie que de dire d’arrêter les ventes d’armes à Riyad suite à l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi au consulat saoudien d’Istanbul début octobre. Les ventes d’armes n’ont rien à voir avec M. Khashoggi, il ne faut pas tout confondre”, a souligné le chef de l’État français au cours d’une conférence de presse à Bratislava, dans une rare expression publique de désaccord avec sa principale partenaire en Europe. “Je suis très admiratif envers ceux qui, avant de savoir, disent on ne vendra plus d’armes ! Ils en vendent déjà parfois plus que la France à travers les joint-ventures (coentreprises) qu’ils ont !”, a affirmé Emmanuel Macron, en réponse à la question d’une journaliste sur les appels de l’Allemagne et de l’Autriche à cesser les ventes d’armes à Riyad.

De son côté, la chancelière allemande est revenue depuis Prague sur la proposition allemande faite en début de semaine de ne plus livrer d’armes à Riyad. “Nous avons dit qu’il faut éclaircir ce qui constituait les dessous de ce crime horrible et jusque-là, nous n’allons pas fournir d’armes à l’Arabie Saoudite”, a expliqué Angela Merkel. “Nous allons naturellement parler au sein de l’UE pour savoir comment nous voyons nos démarches ultérieures”, a-t-elle précisé. La ministre autrichienne des Affaires étrangères, Karin Kneissl, a appelé à un embargo de l’UE sur les livraisons d’armes à l’Arabie Saoudite, le justifiant par la guerre au Yémen plutôt que par l’affaire Khashoggi, dans une interview parue, hier.

M. T./AgenceS

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Pennsylvanie (États-Unis): Plusieurs morts dans l’attaque d’une synagogue

Sun, 10/28/2018 - 16:07

La fusillade s’est déroulée dans la synagogue “Arbre de vie” (Tree of Life) où des fidèles étaient rassemblés pour le jour de repos juif du chabbat.

Un tireur a ouvert le feu hier dans une synagogue de Pittsburgh, en Pennsylvanie, où les fidèles étaient rassemblés pendant le chabbat, faisant plusieurs morts, avant de se rendre. Donald Trump a immédiatement dénoncé le climat de “haine” aux Etats-Unis et dans le monde. Selon le président américain, le bilan de cette fusillade risque d’être “plus dévastateur” qu’annoncé initialement. Les médias américains évoquant au moins quatre morts.
Refusant de confirmer ces chiffres, le directeur de la sécurité publique de Pittsburgh a ajouté qu’il y avait six blessés, dont quatre parmi les forces de l’ordre. “La scène est terrible à l’intérieur”, a ajouté Wendell Hissrich devant les caméras. “C’est l’une des pires scènes de crime sur laquelle je me sois rendu, et j’ai été sur des accidents d’avion”, a-t-il ajouté. Les motivations du tireur, qui a été placé en garde-à-vue, n’étaient pas connues dans l’immédiat. Selon plusieurs médias, il s’agit d’un homme de 46 ans, nommé Rob Bowers et auteur de messages antisémites sur les réseaux sociaux.
Il aurait proféré des menaces à caractère antisémite lors de l’attaque. La fusillade s’est déroulée dans la synagogue “Arbre de vie” (Tree of Life) où des fidèles étaient rassemblés pour le jour de repos juif du chabbat. Tout a commencé peu après 10h00 (14h00 GMT) quand la police locale a appelé les habitants du quartier à rester chez eux. “Il y a un tireur dans la zone de Wilkins et Shady. Evitez le quartier”, ont tweeté les services de sécurité publique de la ville, qui ont déployé d’importantes forces sur place.
L’agence fédérale chargée du contrôle des armes, tabac et explosifs, ATF, a ensuite précisé que des agents spéciaux se rendaient à leur côté.
Peu après, la police a expliqué que l’auteur des tirs s’était rendu. La télévision affiliée à la chaîne CBS a évoqué huit morts, dont deux policiers, tandis que Fox News Pittsburgh parlait de quatre personnes abattues et de nombreux blessés. Malgré l’arrestation du tireur, le maire de Pittsburgh, Bill Peduto, a estimé que la zone n’était “pas sécurisée”. “Tous les habitants doivent rester à l’intérieur de leur domicile”, a-t-il écrit sur Twitter.
Cette attaque a jeté la consternation dans la communauté juive et bien au-delà. “Je suis juste triste. Je ne sais pas quoi vous dire (…) ça ne devrait pas arriver, point. ça ne devrait pas arriver dans une synagogue”, a déclaré sur CNN, Jeff Finkelstein, le président de la “Jewish Federation of Greater Pittsburgh”. “Nous sommes en contact étroit avec les forces de l’ordre pour comprendre l’étendue de cette attaque antisémite”, a de son côté commenté Jonathan Greenblatt, le directeur de l’Anti-defamation league, la principale organisation de lutte contre l’antisémitisme aux Etats-Unis.
Le président Trump a déploré une “chose terrible”, contre laquelle “quelque chose doit être fait”. Il a notamment proposé de renforcer la législation sur la peine de mort contre les auteurs d’attaques sur des lieux de culte. “Quand des gens font ce genre de chose, ils devraient se voir infliger la peine capitale”, a-t-il dit à la presse avant de s’envoler pour une rencontre avec des agriculteurs. “Mon cœur saigne après les nouvelles venant de Pittsburgh. La violence doit s’arrêter”, a de son côté écrit sur Twitter, la Première dame Melania Trump. “Prions pour les morts, les blessés, toutes les familles touchées et pour nos courageux premiers secours”, a ajouté le vice-président Mike Pence sur le réseau social.
Cette fusillade intervient alors que les Etats-Unis ont enregistré en 2017 une hausse des attaques à caractère antisémite avec quelque 1 986 incidents (harcèlement, vandalisme, agressions) sur l’année en hausse de 57% par rapport à 2016, selon l’Anti-defamation league. La police de New York a de son côté fait savoir qu’elle renforçait la sécurité autour des lieux de culte de la ville, avec notamment des patrouilles supplémentaires.

AFP

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Ils participent aujourd’hui à la réunion de la commission des finances de l’APN: Le PT, le RCD et le MSP renouent avec la vie parlementaire

Sun, 10/28/2018 - 16:04

Bien que convaincus des faiblesses, de la soumission et même du manque de représentativité de l’Assemblée nationale, les trois partis estiment inopérant, inutile, voire suicidaire, le retrait de leurs députés après le coup de force opéré par les partis de la “majorité”.

En l’absence de concertation entre les partis de l’opposition siégeant à l’Assemblée nationale pour arrêter une position commune vis-à-vis de l’élection dans des conditions controversées d’un nouveau président de l’APN, le RCD et le PT ont décidé de reprendre leurs activités parlementaires. Leurs députés participeront ainsi, aujourd’hui, à l’audition du ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, autour du projet de loi de finances 2019 par la commission finances et budget de l’APN. “Nous avons appelé, la veille et le jour de l’élection d’un nouveau président de l’APN, les partis de l’opposition à une concertation, mais nous n’avons pas eu de réponse. Nous restons disponibles à le faire à l’avenir. Mais aujourd’hui, notre présence à l’Assemblée offre une tribune pour défendre les positions et principes de notre parti. Nous avons défendu la légalité, et force est de constater que Bouhadja reste scotché au coup de fil du président de la République”, a déclaré, hier, Amar Saoudi, député RCD et membre de la commission des finances.
Ramdane Youcef Taâzibt, député et membre de la direction du PT, affirme, lui aussi, que son parti n’a pas été contacté pour une concertation avec l’opposition. Il précise que le PT n’a pas fait, non plus, le premier pas dans ce sens, sa conviction étant que cela ne sert à rien de quitter pour l’instant l’APN. “Nous allons assister à l’audition d’Abderrahmane Raouya sur le PLF 2019 afin de faire entendre la voix de ceux qui souffrent des politiques du gouvernement. De toutes les façons, cette Assemblée est issue de la fraude et de la connexion entre l’argent et la politique depuis 2017. Il faut qu’on se batte jusqu’au bout pour respecter notre engagement et notre mandat tant que c’est possible. Quand cela ne sera plus le cas, on prendra nos responsabilités”, explique Ramdane Taâzibt.
Constituant la première force de l’opposition au plan numérique au sein de l’APN, le MSP a, lui aussi, exclu dès le début un retrait de ses députés, considérant cette option comme suicidaire. “Notre présence est une forme de résistance contre les pratiques immorales qui caractérisent le système en place qui est frappé d’illégalité à cause de la fraude et du recours au putsch qui ont plongé le pays dans l’impasse”, a soutenu, il y a quelques jours, le président de cette formation politique, Abderrezak Makri.
Seul le groupe parlementaire FFS a annoncé, dans un communiqué rendu public hier, la suspension de ses activités au sein du Parlement, en raison “du flou qui entoure la gestion de la crise de l’Assemblée nationale”.
Cette décision a été prise en marge de la conférence nationale des élus qui s’est tenue ce week-end à Zéralda, en concertation avec la direction du parti. Le FFS dénonce “le recours au coup de force et à la violence comme moyens de se maintenir au pouvoir et d’accéder aux responsabilités”, mais ne prend position ni pour Saïd Bouhadja ni pour Mouad Bouchareb élu, mercredi dernier,  nouveau président de l’APN par la majorité parlementaire.

Nissa H.

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Ooredoo récompense les meilleurs points de vente partenaires de l’Ouest

Sun, 10/28/2018 - 15:59

Ooredoo a organisé récemment à Mostaganem, une cérémonie de remise de prix aux lauréats de son challenge destiné à ses points de vente partenaires de la région Ouest du pays.

Cette rencontre conviviale organisée au Complexe touristique AZ Hotels, a réuni les meilleurs points de vente partenaires de Ooredoo venus de toutes les wilayas de l’Ouest et s’est déroulée en présence de l’encadrement de Ooredoo à leur tête la Directeur Général M. Abdullatif Hamad Dafallah.

Ainsi, vingt-six (26) points de vente partenaires lauréats qui se sont distingués par leurs réalisations et les résultats exceptionnels à travers la région Ouest du pays, ont été récompensés et ont reçu des cadeaux de valeur notamment des véhicules et des scooters.

Ces récompenses offertes en guise d’encouragements en reconnaissance à leurs efforts visent à consolider les relations privilégiées entre Ooredoo et ses partenaires et à améliorer continuellement la qualité de ses services pour offrir le meilleur aux clients de Ooredoo partout en Algérie.

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Sur les 14 000 personnes infectées par le VIH/Sida: 150 sidéens sont décédés en 2017

Sun, 10/28/2018 - 15:58

Au 31 décembre 2017, plus de 14 000 personnes sont infectées par le VIH/Sida en Algérie et pas moins de 11 800 sidéens suivent régulièrement un traitement antirétroviral au niveau des centres spécialisés ouverts à travers le territoire national.
Cette situation épidémiologique, qui renseigne bien sur “la progression” vertigineuse de cette épidémie, a été dressée, hier, en marge des travaux du 1er Congrès de la Société algérienne d’infectiologie (SAI) et du 5e Congrès des sociétés arabes des maladies infectieuses, à l’hôtel El-Aurassi, à Alger, par Adel Zeddam, directeur d’Onusida Algérie.
M. Zeddam rappelle qu’au moins 200 cas décèdent annuellement. “On a enregistré 150 décès en 2017. Le nombre de décès s’est stabilisé sous la barre de 200 morts ces dernières années.” Pour le représentant de l’organisation onusienne, ce chiffre confirme bien que cette épidémie est bien prise en charge en termes de traitement. “L’Algérie reste le premier pays dans la région du Mena, en termes de couverture thérapeutique antirétrovirale, avec un taux qui dépasse de loin les 80%. Le meilleur exemple à citer à ce propos est qu’il n’existe pas de transmission du VIH de la mère à l’enfant. La situation thérapeutique est maîtrisée en Algérie.” Dans le même registre, le Dr Zertal de l’hôpital El-Kettar soutiendra que plus de la moitié des sidéens sont pris en charge par les centres d’Alger et celui d’Oran où de moyens conséquents y sont mobilisés. Pourquoi l’Algérie continue-t-elle alors d’enregistrer autant de décès ces dernières années ?
Le directeur d’Onusida Algérie n’y est pas allé par quatre chemins pour souligner que la prévention reste le parent pauvre de la stratégie nationale de lutte contre le VIH/Sida : “Beaucoup de choses restent à faire en matière de prévention, en raison du gisement de personnes non encore dépistées. La prévention est la riposte la plus appropriée face à cette maladie qui semble vite se propager ces dernières années. Le dépistage devra être placé en première ligne de la  stratégie de prévention, d’autant que les cas de décès enregistrés jusque-là sont liés au diagnostic généralement établi tardivement.
Sans détours, M. Zeddam ne manquera pas d’incriminer le comportement des gens dans la propagation du virus VIH/Sida par voie sexuelle. “Des enquêtes ont conclu que le comportement des gens vient en première ligne dans la transmission du sida. C’est la voie sexuelle qui est responsable du plus grand nombre de contamination. L’hygiène hospitalière ne représente pas beaucoup, selon l’étude. Il y a vraiment peu de cas propagés à cause de l’hygiène hospitalière.”
Dans le même ordre d’idées, des participants qui nous ont évoqué le dépistage universel ont expliqué que les services compétents sont en mesure de programmer le dépistage à l’occasion des tests prénataux, lors des tests de circoncision ou encore à l’occasion des examens effectués par des femmes enceintes. “Le corps médical est interpellé pour jouer un rôle en proposant carrément de faire des examens sérologiques pour dépister le sida et l’hépatite virale”, suggèrera le Dr Youcefi, secrétaire général de la SAI. “Beaucoup de personnes ignorent leur statut médical. Ils ne savent pas s’ils sont porteurs du virus de l’hépatite, alors que pas moins de 60 centres sont ouverts à cet effet à travers le territoire national, d’où l’importance de la sérologie en urgence.”
En attendant et selon des estimations établies sur la base du taux fixé par l’OMS qui est de l’ordre de 1% pour 100 000 habitants, pas moins de 400 000 cas d’hépatite C ne sont pas dépistés. Cependant, le taux fixé pour l’hépatite B, qui est classée par les maladies infectieuses qui bénéficient d’un traitement vaccinal depuis 2003, est de 2,5% pour 100 000 habitants.
“Les taux des personnes atteintes d’hépatite B sont ceux qui ont été dépistés avant l’actualisation du calendrier national des vaccins, soit avant 2003. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter pour les personnes nées postérieurement à 2003, puisqu’elles ont été vaccinées”, rappellera encore le Dr Youcefi. Ce rendez-vous académique, qui s’étalera sur trois jours, aura le mérite, dit-on, de lever le voile sur les actualités des autres maladies infectieuses “émergentes ou réémergentes” en Algérie.
Selon les estimations de l’Onusida, le taux des nouvelles infections en Algérie est de 38%, entre la période de 2010 à 2018. Des infectiologues devront débattre, également, des nouvelles maladies contagieuses.
Il sera question notamment du retour du vibrion cholérique qui avait fait deux morts et  102 cas de choléra confirmés cette année. Ils  devront se concerter, aussi, sur les différents modes de contamination et sur les voies de pénétration des virus, notamment de la dengue ou  West Nile Virus, ou celui d’Ebola.

Hanafi H.

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Nouvelle promotion sur Sahla box

Sun, 10/28/2018 - 15:55

Sahla box de Ooredoo, la solution qui vous offre l’Internet haut débit et des appels illimités chez vous !

Après le succès de sa dernière solution 4G Sahla box, Ooredoo revient avec une nouvelle promotion pour permettre à ses clients de vivre, en famille, la meilleure expérience haut débit à la maison.

En effet, la promo Sahla box de Ooredoo répond aux différents besoins de ses clients en leur offrant encore plus d’Internet et plus de validités allant jusqu’à 6 mois. Cette promo se décline en trois formules :

  • 6990Da : La box + 100Go + 1000Da d’appels vers Ooredoo, valables  1 mois.
  • 11990Da : La box + 200Go + 3000Da d’appels vers Ooredoo, valables  3 mois.
  • 16990Da : La box + 300Go + 10.000Da d’appels vers Ooredoo, valables  6 mois.

La Sahla box de Oordoo propose aussi des recharges flexibles offrant des appels illimités vers Ooredoo et jusqu’à 100 Go d’Internet.

Ainsi, le client peut effectuer un rechargement à tout moment en choisissant l’une des recharges disponibles :

  • Sahla box 2000 : le client bénéficie de 30 Go d’Internet et 2000 DA d’appels vers Ooredoo valables 30

 

  • Sahla box 4000 : le client bénéficie de 50 Go d’Internet et des appels illimités vers Ooredoo valables 30 jours et d’un accès gratuit à Internet pendant tout le mois et ce, même après épuisement du forfait.

 

  • Sahla box 6500 : le client bénéficie de 100 Go d’Internet, des appels illimités vers Ooredoo et de 120 minutes d’appels vers les autres réseaux valables 30 jours et d’un accès gratuit à Internet pendant tout le mois et ce, même après épuisement du forfait.

Outre les avantages Voix et Data qu’offre la box, le client a aussi la possibilité de partager le forfait Internet avec les membres de sa famille, sur leurs lignes mobiles, et accéder via l’application Sahla box App aux différents services innovants proposés par Ooredoo, tels que : Likoul by Ooredoo, Haya! Music, Starz Play…etc.

Pour rappel, Sahla box est une solution facile à installer, qui permet aux clients d’équiper leurs maisons d’une solution inédite offrant l’Internet haut débit, des appels illimités et un accès à une multitude de services.

La nouvelle Promo Sahla box est disponible au niveau des Espaces Ooredoo, des City- Shop Ooredoo, des Espaces Services Ooredoo et des points de vente agréés répartis sur tout le territoire national.

Avec la Sahla box, Ooredoo offre à ses clients la solution incontournable alliant l’Internet, les appels et un contenu multimédia leur permettant de partager avec toute la famille l’expérience du haut débit à la maison.

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Djamel Ould Abbès : Le candidat du FLN pour 2019 est Abdelaziz Bouteflika

Sun, 10/28/2018 - 15:52

Le Secrétaire général du Front de Libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbès, a déclaré aujourd’hui, que le seul candidat au élection présidentielle en Algérie est Abdelaziz Bouteflika.

« Au non des membres du parti je déclare que le candidat du FLN pour l’élection présidentielle 2019 est Abdelaziz Bouteflika » ,précise aujourd’hui le SG du FLN. 

Après l’élection du nouveau président de l’Assemblée Populaire nationale, Ould Abbès est revenu sur la crise à l’APN. Selon le SG du FLN: « le parlement est entrain de vivre une nouvelle étape. Et précise que: « La crise à l’APN est  « une page tournée mais pas déchirée » , ce problème est passé au 5e étage entre l’ancien président de l’APN, said Bouhadja et les députés ».

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La France au 23 e salon international du livre d’Alger

Sun, 10/28/2018 - 15:50

Dans le cadre du 23e Salon international du Livre d’Alger qui se tiendra du 30 octobre au 10 novembre 2018,
l’Ambassade de France en Algérie et l’Institut français d’Algérie accueilleront le public sur un espace de 66m 2
situé dans le Pavillon central.
Cette année encore, et après une invitation d’honneur en 2015 qui avait permis à près de soixante-dix
personnalités du monde du livre de débattre et d’échanger, la France rendra un vibrant hommage à la
littérature française et francophone, à la hauteur de l’événement et de la relation culturelle et humaine qui lie
la France et l’Algérie.
De nombreux auteurs viendront présenter leurs derniers ouvrages et échanger avec le public autour de leur
œuvre. Nous sommes ainsi honorés d’accueillir des figures majeures de la littérature française et algérienne
comme Azouz Begag, romancier et ancien ministre, mais également Wilfried N’Sondé, Adlène Meddi, auteur
du très remarqué 1994, Pierre Pouchairet, David Foenkinos, lauréat du prix Renaudot en 2014 et romancier à
succès, Maïssa Bey, Abdelkader Djemaï, Akli Tadjer, ou encore Jean-Marie Blas de Roblès, lauréat du Prix
Médicis en 2008 pour Là où les tigres sont chez eux. Au total, ce sont plus d’une vingtaine d’invités qui
viendront témoigner au Pavillon France pour des rencontres-débats ouvertes à tous et sans inscription
préalable.
A ces rencontres littéraires s’ajouteront des tables rondes professionnelles qui évoqueront les problématiques
propres au secteur du livre. Ainsi Xavier Moni, libraire et président du syndicat de la librairie française
dialoguera avec ses collègues algériens, Fatiha Soual, présidente de l’association des libraires algériens, et
Smaïn M’hand, libraire et éditeur, tandis que Rébecca Byers, spécialiste des droits et des acquisitions,
interviendra au salon international de l’industrie du livre, Bookprod.
La programmation ne se limitera pas au seul stand du SILA car d’autres événements sont prévus à l’Institut
français d’Alger. Deux conférences sont notamment prévues, dont celle de Kamel Daoud, qui présentera son
dernier ouvrage, Le peintre dévorant la femme, ainsi que deux projections en présence d’une partie des
équipes du film : La Délicatesse, de David Foenkinos, et La loi de la jungle, d’Antonin Peretjatko. Bref, il y en
aura pour tous les goûts ! Le programme complet vous sera très bientôt communiqué.
Le pavillon France sera enfin un lieu d’information et de renseignement sur les différents services proposés
par l’Institut Français d’Algérie : les cours de français, le service Campus France ou encore les actions de
coopération menées par le Bureau du livre d’Alger.

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L’APN reprend ses travaux aujourd’hui : Le PLF 2019 au menu d’une Assemblée pacifiée

Sun, 10/28/2018 - 15:37

Écrit par Hakim Ould Mohamed

L’Assemblée populaire nationale se remet au travail dès aujourd’hui avec, au menu, l’examen et le débat du projet de loi de finances 2019. En effet, après quatre semaines de blocage, qui se sont soldées par l’ajournement de l’examen de l’ensemble des textes de loi, déposés au bureau de l’APN, les membres de la chambre basse du Parlement sont appelés à reprendre le chemin de  Zighoud-Youcef.

Le projet de loi de finances 2019 devrait être présenté aujourd’hui après un interminable aller-retour. Une semaine de plus aurait mis les députés hors délai réglementaire prévu par l’article 138 de la Constitution. Les députés de la Chambre basse du Parlement devront accélérer la cadence pour être dans les délais. Lors d’une récente réunion avec les partis de la majorité, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a instruit ces organisations fédérées autour du Président, à appuyer sur le champignon pour que le PLF 2019 soit traité dans le délai prévu par la loi. C’est le même sens à donner à la réunion, jeudi, du bureau de l’APN qui aurait examiné les voies et moyens susceptibles d’accomplir le travail « dans les délais réglementaires ». Tenu sous la présidence de Mouad Bouchareb, nouveau président de l’Assemblée, cette réunion a porté sur l’examen des voies et moyens nécessaires à l’examen du projet de la loi de finances au titre de l’année 2019, dans «les meilleures conditions réglementaires», lit-on dans un communiqué diffusé par l’APN. Moins de 24 heures après son installation, succédant à un Saïd Bouhadja qui aura bloqué les travaux de l’Assemblée durant quatre semaines, Mouad Bouchareb passe aussitôt aux travaux pratiques, comme pour tenter de rattraper le retard généré par les querelles politiciennes opposant le désormais ex-président de l’APN aux partis de la majorité parlementaire. Pour tenter de faciliter la tâche au successeur de Saïd Bouhadja à la tête de la Chambre basse du Parlement, les députés du RND, du FLN, de TAJ et du MPA, se sont donnés le mot d’accélérer la procédure, en évitant les files d’attente au micro des questions. Un procédé qui fait craindre à certains un traitement expéditif du projet de loi de finances 2019, même si certains autres s’accordent à dire que, faute d’enjeux majeurs autour de ce projet de loi, son passage au Parlement serait plutôt sans encombres.
Des enjeux budgétaires infimes :
Au plan des dépenses, le gouvernement a décidé de casser sa tirelire en révisant à la hausse les dépenses de fonctionnement. Les budgets dédiés à l’investissement et à l’équipement ont été, eux, révisés à la baisse pour des raisons jusqu’ici inexpliquées. En effet, le projet de loi de finances 2019 prévoit des recettes de 6 508 milliards DA (mds DA), en légère hausse par rapport à celles de 2018, dont 2 714 mds DA de fiscalité pétrolière. Quant aux dépenses budgétaires, elles s’élèveront à 8 557 mds DA, en légère baisse par rapport à celles de 2018. Le Budget de fonctionnement est estimé à 4 954 mds DA avec une légère hausse découlant de la situation sécuritaire aux frontières ainsi que du relèvement des transferts sociaux. C’est ainsi qu’une enveloppe budgétaire de 1 763 milliards de DA sera allouée aux transferts sociaux durant l’exercice 2019 (contre 1 760 milliards de DA en 2018), soit près de 21% de la totalité du budget de l’Etat de l’année 2019.
Les crédits budgétisés pour les transferts sociaux couvriront notamment plus de 445 mds DA destinés au soutien aux familles, tandis que près de 290 mds DA seront attribués aux retraites, et auxquels s’ajoutera une dotation d’appui de 500 mds DA à la Caisse nationale des retraites (CNR). Ces transferts sociaux comportent également près de 336 mds DA pour la politique publique de santé et plus de 350 mds DA pour la politique publique de l’habitat auxquels s’ajouteront près de 300 mds DA mobilisés pour ce secteur par le Fonds national d’investissement (FNI).
Pour le Budget d’équipement, il est ventilé entre 3 602 mds DA de crédits de paiements et 2 600 milliards DA d’autorisations de programme destinées à de nouveaux projets ou à des réévaluations.
Selon les concepteurs du PLF 2019, la légère baisse nominale du budget d’équipement ne correspond pas à un recul de la politique publique d’investissement, mais elle découle notamment d’une baisse de près de  300 mds DA des crédits consacrés l’année dernière à l’assainissement des créances détenues sur l’Etat. Le solde global du Trésor pour l’exercice 2019 affichera un déficit de près de 2 200 mds DA. Au chapitre fiscal, le projet de loi de finances 2019 a prévu des mesures destinées notamment à améliorer la gestion des finances publiques ainsi qu’à renforcer la lutte contre la fraude, ainsi que des mesures encourageant le secteur industriel. Il s’agit, entre autres mesures fiscales, des dispositions pour limiter le recours aux cabinets de consulting étrangers, la lutte contre l’évasion fiscale et le transfert de devises vers l’étranger, etc. C’est dire que les enjeux ne sont pas importants, étant donné que les urgences budgétaires semblent être prises en charge par le budget de fonctionnement, alors qu’au plan fiscal, l’absence de taxes et/ou d’augmentations d’autres impositions, font de ce projet de loi de finances un texte plus électoraliste que budgétaire.

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Des dizaines d’ouvrages seront présentés : Le livre amazigh en force au Sila

Sun, 10/28/2018 - 15:36

Le livre écrit en langue amazighe se taillera, encore une fois, une part considérable au prochain Salon international du livre d’Alger qui démarrera le 29 octobre à la Safex.

En plus de dizaines d’éditeurs qui ont inscrit sur leurs catalogues des nouveautés en tamazight dont plusieurs romans publiés en 2018, il y a lieu de souligner que le Haut Commissariat à l’amazighité a également édité de nombreuses publications, en plus des 300 titres publiés depuis 15 ans dans le cadre de la collection «Idlisen-negh», pour la même occasion. Le HCA prévoit aussi, pour ce Sila, l’organisation d’une journée d’étude dédiée à la «littérature amazighe, genèse, typologie et évolution». Cette journée dédiée au roman amazigh et à la littérature amazighe de manière générale se tiendra le 7 novembre 2018 à la salle Ali Maâchi de la Safex avec la participation d’un panel de spécialistes qui retraceront la naissance de la littérature amazighe ainsi que son parcours, ses particularités et aspects saillants à travers ses différents genres et débattront des nouveaux défis de l’écriture littéraire en tamazight (thématiques, public cible…). Pour cette nouvelle édition du Sila aussi, le HCA rebondira avec pas moins de 10 nouveaux livres émanant d’auteurs de deux générations appuyés par des actes de colloques organisés en 2017 et 2018, la revue «Tamazight Tura», les travaux de consulting composés de lexiques et d’études diverses. En outre, et dans le même sillage, le HCA précise que son stand sera, comme d’habitude, érigé au niveau du Pavillon central avec un programme de ventes-dédicaces quotidien du 30 octobre au 7 novembre. Le programme du HCA au Sila prévoit en outre la tenue d’une exposition-pédagogique destinée aux élèves, intitulée «Les Maures et les Numides en Afrique du Nord». «Avec un catalogue riche de plus de 300 titres, le HCA s’enorgueillit d’être leader dans le domaine de l’édition en tamazight en Algérie, voire même au Maghreb. Cet effort est consolidé grâce au partenariat entrepris notamment avec l’Entreprise nationale des arts graphiques (Enag) et l’Office des publications universitaires (OPU) pour inscrire chaque année, des nouveautés dans les domaines de la recherche linguistique, littéraire et anthropologique», lit-on dans un communiqué rendu public par le HCA à cette occasion. Le HCA précise qu’au-delà de la contribution à l’édition en tamazight, l’optique du HCA se veut d’être une bibliothèque ouverte à l’attention des lectrices et des lecteurs, d’ici et d’ailleurs, qui désirent s’imprégner de supports conçus et produits en tamazight et qui obéissent aux normes académiques et professionnelles. Le HCA rappelle enfin l’importance du fait qu’il y ait l’émergence d’une noria de jeunes talents qui, à chaque rentrée littéraire, marquent leur présence avec des oeuvres de bonne facture: des oeuvres qui méritent d’être encouragées et soutenues par la distribution commerciale, la promotion dans les foires de livres et qui peuvent faire l’objet d’une adaptation au cinéma et au théâtre. Il y a lieu de noter que les visiteurs du Sila pourront découvrir pour la première fois le roman «Anza» de Fahim Messaoudene qui a reçu il y a quelques jours le prix «Mohamed Dib» du meilleur roman en tamazight.
De nombreux autres écrivains rédigeant leurs livres en tamazight ayant pignon sur rue, sont invités au Sila, via leurs éditeurs. Ils ont confirmé leur participation à l’instar de Mohand Arkat qui sera présent pour dédicacer la nouvelle édition de son roman «Abrid Ntala», publié dans le cadre de la collection «Tasekla tamazight» des éditions «la Pensée» de Tizi Ouzou. Autant que Brahim Tazaghart qui vient aussi de rééditer son roman «Innig anegarru» épuisé depuis plusieurs années, faut-il le rappeler. Parmi les romanciers de langue amazighe qui participeront au prochain Sila on peut aussi citer les lauréats du prix Assia Djebar, à savoir Rachid Boukherroub, Lynda Koudache et Mustapha Zarouri. Quant aux maisons d’édition qui accordent une grande importance au livre amazigh et qui ne rateront pas ce rendez-vous, on peut citer, entre autres, «L’Odyssée», «El Amel», «Tira», «Tafat», «Rich’Essalam», «Identité», «Achab»…

Par Aomar MOHELLEBI

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AGEx de la Fédération algérienne de boxe (FAB)/En plus de celle de la passation de consignes : Les commissions de candidatures et de recours installées

Sun, 10/28/2018 - 15:32

Écrit par Saïd B.

La sagesse a primé lors de l’assemblée générale extraordinaire de la Fédération algérienne de boxe (FAB), vendredi dernier à Alger, puisque les membres de celle-ci ont procédé à l’installation des commissions de candidatures, de recours et de passation de consignes.

Certains pessimistes s’attendaient à des réactions de l’ex-président de l’instance fédérale algérienne Abdelmadjid Nehaïssia qui a eu gain de cause auprès du Tribunal arbitral du sport et de la justice pour retrouver son poste de président. Mais rien à signaler de ce côté et l’assemblée générale extraordinaire s’est déroulée dans une ambiance bien calme. Surtout après que le président actuel de la FAB, Abdeslam Dra, a lu une correspondance émanant du ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) pour la tenue de cette assemblée générale extraordinaire. Une AGEx portant sur l’élection d’un nouveau président conformément au verdict du Tribunal algérien de règlement des litiges sportifs (TARLS). Et ce «conformément au verdict du TAS». Cela voulait dire simplement que la procédure pour que l’ex-président retrouve son poste serait qu’il passe par une «réélection».

Le TAS acquitte mais ne réhabilite plus
Habituellement lorsque le TAS prononce une sentence, celle-ci est expressément appliquée, sans organisation d’une nouvelle AG élective. Ce qui n’est pas le cas actuellement ! Sans revenir en détail au sujet du retrait de confiance par des membres de cette même assemblée générale, le 15 juillet 2017 au Centre Ghermoul d’Alger, il faut rappeler que Nehaïssia avait été élu le 4 mars 2017 à la tête de la FAB pour le mandat olympique 2017-2020 en remplacement de Nabil Sadi.
Mais après le retrait de confiance à Nehaïssisa, une assemblée élective avait été organisée le 1er août. Et c’est ainsi que M. Abdeslam Draâ a été élu. Nehaïssisa a donc eu recours au TAS et au tribunal civil pour recouvrer ses droits à la tête de la FAB. Le TAS et le tribunal lui donnent raison et c’est suite à une correspondance du MJS que l’AGex de vendredi dernier a été organisée.

Dépôt de candidatures : le 4 novembre comme délai
C’est alors que 40 membres des 50 membres que compte l’AG, ont désigné Abdelkader Arbach président de la commission de candidatures tout en annonçant que «le dernier délai du dépôt des dossiers de candidatures est fixée au 4 novembre». Après sa désignation à la tête de la commission de candidatures, M. Arbach a déclaré : «Je remercie les membres de l’AG de leur confiance. Je vais faire le maximum pour mener à bien cette mission afin que notre Fédération retrouve sa légalité». Ainsi, la commission de candidature doit annoncer la liste officielle des candidats après le 4 novembre prochain avant que la commission de recours ne prenne le relais pour d’éventuelles contestations. Enfin, une Assemblée générale élective sera organisée à une date qui sera annoncée officiellement par les responsables concernés.

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