You are here

Algérie 360

Subscribe to Algérie 360 feed Algérie 360
Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 29 min 57 sec ago

Ouverture du 9e festival du tapis d’Ath Hicham : Soutien aux artisans pour vendre leurs produits

Mon, 11/05/2018 - 12:00

Les autorités «soutiendront les artisans et notamment les tapissiers» pour les aider à écouler leurs produits, a indiqué samedi le wali de Tizi-Ouzou Abdelhakim Chater, à l’ouverture de la 9ème édition du festival culturel local du Tapis d’Ath Hicham. Lors du coup d’envoi de cette manifestation qui a regroupé une cinquantaine d’artisans dont une trentaine de tisseuses de la wilaya de Tizi-Ouzou d’autres venus d’une dizaine de wilayas, le chef de l’exécutif local a rassuré les participants de l’engagement des pouvoirs publics à les aider et à les soutenir pour pérenniser cette activité. «Nous allons soutenir cette activité qui permet à des femmes au foyer d’assurer une ressource pour leurs familles.

La wilaya aidera ces artisans à écouler leurs productions à travers l’organisation de foires à Tizi-Ouzou, comme nous les soutiendrons pour participer à des manifestions en dehors de la wilaya», a indiqué M. Chater qui a ajouté que les entreprises et établissements publics notamment touristiques tels que les hôtels seront sollicités pour faire la promotion de ce produit de l’artisanat local». Le chef de l’exécutif local a rendu hommage aux femmes qui «ont préservé cet héritage et cet élément de l’identité national qui au-delà de sa portée économique a aussi une dimension culturelle qui est aussi importante», déclarant que «les artisans et les artistes sont des rivières qui irriguent le grand réceptacle de la culture nationale ancestrale et authentique»’. Pour sa part le président de l’Assemblée populaire de wilaya (APW) Youcef Aouchiche, a rappelé la disponibilité de l’institution élue qu’il représente à accompagner les artisans pour le maintien de leurs activités qui sont une richesse culturelle et une composante très importante du patrimoine national qu’il faudra prendre en charge pour qu’elle soit au service du développement économique de la wilaya», a-t-il dit.

Le commissaire de ce festival Oud Belaid Mokrane a précisé que cette manifestation vise «la pérennisation du métier artisanal de la tapisserie et à promouvoir le tapis traditionnel réputé pour son originalité et sa richesse en motifs géométriques berbères, fabriqué à Ath Hicham, en offrant aux artisanes une opportunité pour exposer et proposer à la vente leurs produits». Ce festival s’étalera jusqu’au 7 de ce mois de novembre avec au menu une exposition vente de tapis et autres produits de l’antiquisant, une séance d’estampillage de tapis avec le Centre de Tipasa, une table ronde sous le thème «L’artisanat et la femme rurale», un concours du meilleur tapis et du meilleur produit dérivé et un circuit touristique pour les artisans hors wilaya sont aussi au menu de cette 9e édition.

The post Ouverture du 9e festival du tapis d’Ath Hicham : Soutien aux artisans pour vendre leurs produits appeared first on .

Categories: Afrique

Ils revendiquent la promotion du développement socio-économique de la région : Des citoyens organisent un rassemblement à Ouargla

Mon, 11/05/2018 - 11:58

Des centaines de citoyens d’Ouargla ont organisé samedi, un rassemblement pour revendiquer la promotion du développement socio-économique de la région, avant de se disperser dans le calme, a-t-on constaté.

Rassemblés à la place «Rose de Sables» de la ville, les protestataires ont soulevé une série de revendications socio-économiques, et préoccupations liées notamment à l’amélioration des conditions de vie des citoyens de la région. Des participants au rassemblement ont estimé que ce mouvement est une reconduction du mouvement de protestation initié au mois de septembre dernier pour étayer– selon eux– les préoccupations soulevées par les citoyens aux responsables concernés, et les faire aboutir afin de contribuer à l’amélioration des conditions de vie des citoyens. Une motion a été adoptée portant les préoccupations de la population de Ouargla, afférentes notamment à «l’accélération du lancement des travaux du projet du CHU», «réalisation d’un hôpital de brulures», «séparation du centre anticancéreux de l’EPH-Mohamed Boudiaf», «relance du centre des prestations médicales de la caisse d’assurance sociale», « extension de la capacité d’inscrits à la faculté de médecine à l’université de Ouargla», «assurer le service permanent au niveau des structures de la santé de proximité, notamment celles des régions enclavées».
«L’implication des associations locales dans le traitement du volet emploi», «réalisation d’un aéroport international à Ouargla», parachèvement de la tranche du projet du tramway», ainsi que «la réalisation d’un réseau d’assainissement en fonction des normes universelles», font partie des revendications retenues par les protestataires. Ils ont également revendiqué «la réalisation de logements adaptées aux spécificités de la région», «la délimitation de vastes parcelles de terrain à attribuer» et «la redistribution du foncier agricole récupéré au profit des jeunes». Les autorités de la wilaya de Ouargla ont annoncé récemment la levée du gel sur une série d’opérations de développement, des secteurs vitaux, notamment, la santé, l’éducation, l’industrie et des mines, en sus de l’acquisition de nouveaux équipements médicaux dans le but d’assurer une meilleure prise en charge médicale des patients de la région. De nombreux équipes sportives de la wilaya ont également bénéficié des contrats de sponsoring du groupe Sonatrach dans le cadre de la promotion du mouvement sportif dans les régions du Sud du pays.

The post Ils revendiquent la promotion du développement socio-économique de la région : Des citoyens organisent un rassemblement à Ouargla appeared first on .

Categories: Afrique

Colloque à l’université Hassiba Ben Bouali (Chlef) : Une cinquantaine de chercheurs planchent sur les «gaz quantiques»

Mon, 11/05/2018 - 11:56

Un colloque international sur les «gaz quantiques» (ou gaz ultra-froids) a été ouvert samedi dernier à l’université Hassiba Ben Bouali de Chlef avec la participation d’une cinquantaine de chercheurs (nationaux et étrangers) et étudiants en post-graduation. Une équipe d’experts venus de centres de recherches et universités de France, d’Allemagne, d’Italie et des Pays bas, assurent l’encadrement de cette manifestation scientifique, qui se poursuivra jusqu’à mercredi, avec au menu l’examen des dernières découvertes survenus en matière de gaz quantique. Ce colloque international est le reflet de l’»intérêt, conféré par l’université algérienne, à ce type de sciences de précision, au vu du nombre d’applications offertes par ce gaz, qui est une technique du refroidissement d’atomes par laser», a indiqué à l’APS Abdelâali Boudjemâa, doyen de la faculté des sciences exactes du pôle universitaire d’Ouled Fares. Il a cité parmi ces applications d’importance, les horloges ultra précises, l’amélioration du système GPS, les gyromètres et gravimètres, entre autres.

La rencontre a également pour objectif, a-t-il ajouté, de réunir les étudiants doctorants et en master avec des experts réputés dans le domaine dans le but d’élargir leurs connaissances et savoir et, partant, donner un nouveau souffle à ce domaine de recherche en Algérie. Sachant que des chercheurs de nombreuses universités nationales (Oran, Sétif, Constantine, El Oued, Adrar, Saida) prennent part à ce colloque. Selon le responsable, les gaz quantiques sont des gaz ultra froids (-273 degrés) sur lesquels les scientifiques fondent de grands espoirs pour développer de nouvelles applications d’importance, dont la principale est représentée par l’ordinateur quantique. Les étudiants présents ont loué cette initiative qui leur permet, ont-ils dit, de «faire connaissance avec des experts (nationaux et étrangers) de haut niveau, en leur exposant leurs recherches en la matière.» Les conférences animées à l’occasion ont été axées sur les différentes variantes de ces gaz, dont «Gaz de bosons et fermions dégénérés, localisation d’Anderson, transitions fluide-isolant induites par le désordre, gaz quantiques fortement corrélés et gaz Anderson». Les participants à cette rencontre auront la latitude d’exposer leurs études, avec possibilité d’édition des meilleurs parmi elles. Des workshops sur le même thème sont également prévus au profit des étudiants en master et doctorat.

The post Colloque à l’université Hassiba Ben Bouali (Chlef) : Une cinquantaine de chercheurs planchent sur les «gaz quantiques» appeared first on .

Categories: Afrique

Inondations en Sicile : Douze morts, dont une famille de neuf personnes

Mon, 11/05/2018 - 11:54

Douze personnes, dont une famille de neuf personnes surprise dans une maison par la brusque montée des eaux d’une rivière sortie de son lit, ont trouvé la mort dans la nuit de samedi à dimanche, dans la région de Palerme en Sicile. Selon les médias italiens, le bilan des morts s’est alourdi dimanche matin avec la découverte de deux personnes d’origine sicilienne vivant en Allemagne, un homme et une femme- bloquées à l’intérieur de leur véhicule dans un torrent de la région d’Agrigente, un peu plus au sud.
Les corps des neuf membres de la même famille, dont des enfants âgés de 1 an, 3 ans et 15 ans, ont été retrouvés dans la localité de Casteldaccia, une commune côtière à l’est de Palerme, ont annoncé les pompiers. Les six autres victimes sont âgées de 32 ans à 65 ans. La maison de campagne où ces Palermitains passaient la fin de semaine a été submergée par les eaux et la boue après le débordement d’une petite rivière, la Milicia, sortie de son lit après les fortes pluies tombées samedi. «C’est une immense tragédie», a commenté dimanche, le maire de la commune.
Trois autres personnes de la même famille, dont l’une a grimpé dans un arbre pour se mettre à l’abri, ont réussi à échapper au drame, rapportent les médias italiens. Un gérant de station-service de 44 ans a également trouvé la mort tard samedi soir dans la région à Vicari en essayant de rejoindre à bord d’une jeep son lieu de travail où un employé était bloqué, précise notamment l’agence italienne Agi.
Un passager de 20 ans n’a pas encore été retrouvé. Les secouristes sont aussi à la recherche d’un médecin de 40 ans qui tentait d’aller travailler à l’hôpital de Corleone et a dû abandonner sa voiture sur une route en raison des intempéries.

Hécatombe d’arbres dans le Nord-est
L’armée a été déployée pour vérifier les conditions des principales routes de la région, coupées à de nombreux endroits à la circulation. Des vents violents et de très fortes pluies avaient déjà fait vingt morts cette semaine dans d’autres régions d’Italie, selon un décompte de la protection civile. Vendredi, deux personnes avaient trouvé la mort, dont une femme âgée de 87 ans et une touriste allemande âgée de 62 ans frappée par la foudre en Sardaigne. Le patrimoine naturel du nord-est du pays a été particulièrement ravagé cette semaine, avec des millions d’arbres déracinés. En Vénétie, des forêts sur les versants des montagnes des Dolomites ont été anéanties, après des vents très violents qui ont soufflé jeudi. Des images aériennes fournies en fin de semaine par les pompiers ont mis en évidence un spectacle de désolation, tandis que le gouverneur de la région a comparé l’hécatombe à un «tremblement de terre».
Le ministère italien de l’Intérieur Matteo Salvini s’est rendu sur place dimanche, survolant les environs de la ville alpine de Belluno, constatant aussi via son compte Twitter «des forêts détruites et un territoire dévasté». Le niveau d’alerte restait élevé dimanche dans six régions italiennes.
La protection civile italienne a qualifié cette vague de mauvais temps de «l’une des situations météorologiques les plus complexes de ces 60 dernières années». Venise avait ainsi subi lundi dernier, l’une des pires montées des eaux de son histoire récente avec des rafales de vents atteignant les 180 km/h.

The post Inondations en Sicile : Douze morts, dont une famille de neuf personnes appeared first on .

Categories: Afrique

Bahreïn: Le chef de l’opposition condamné à la perpétuité

Mon, 11/05/2018 - 11:53

Le chef de l’opposition chiite à Bahreïn, Cheikh Ali Salmane, a été condamné dimanche, en appel, à la prison à perpétuité pour «intelligence» avec le Qatar, pays du Golfe boycotté par Manama et d’autres alliés de l’Arabie saoudite. Des ONG ont aussitôt dénoncé un jugement politique.

Arrêté en 2014, Ali Salmane purge déjà une peine de quatre ans de prison dans une autre affaire. Il a été condamné en juillet 2015 pour «incitation à la haine confessionnelle», dans un pays à majorité chiite dirigé par une monarchie sunnite. Poursuivis aussi pour «intelligence» avec le Qatar, le chef du mouvement Al-Wefaq, ainsi que deux de ses collaborateurs, Hassan Sultan et Ali al-Aswad, avaient été acquittés en juin par la Haute cour pénale de Bahreïn. Le procureur général avait néanmoins interjeté appel. Le jugement de dimanche peut encore faire l’objet d’un recours devant la Cour de cassation. Le procureur a affirmé dans un communiqué que les trois hommes avaient été condamnés à la perpétuité à l’unanimité par la Cour d’appel pour «actes d’hostilité envers le royaume de Bahreïn» et «intelligence avec le Qatar (…) pour renverser l’ordre constitutionnel dans le pays». Ali Salmane avait une première fois été inculpé le 1er novembre 2017 «d’intelligence avec l’Etat du Qatar (…) en vue de nuire à Bahreïn et de renverser son régime».

Procès d’opposants
Les autorités avaient alors affirmé se baser sur une conversation téléphonique datant de 2011 entre l’opposant chiite bahreïni et l’ancien Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem Al-Thani. Cette inculpation était intervenue après l’embargo décrété en juin 2017 contre le Qatar par l’Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis et l’Egypte. Ces pays avaient accusé le Qatar de soutenir des mouvements islamistes radicaux, ce que Doha a démenti, et de se rapprocher de l’Iran chiite. Le Qatar avait accusé ses adversaires de chercher à mettre sa politique étrangère sous tutelle. Le petit royaume de Bahreïn, siège de la Ve Flotte des Etats-Unis, est secoué par des manifestations sporadiques depuis la répression en 2011 d’un mouvement de contestation animé principalement par des chiites qui réclament la «fin des discriminations» et des «réformes démocratiques» à la dynastie sunnite. Les procès d’opposants n’ont jamais cessé depuis la répression de la contestation de 2011, et le roi de Bahreïn a approuvé l’an dernier un amendement constitutionnel donnant à la justice militaire la possibilité de juger des civils accusés de «terrorisme». L’objectif est d’accélérer les procédures de jugement alors que le royaume estime être la cible d’individus et de groupes «violents», ainsi que de «tentatives de déstabilisation» de l’Iran. Des mouvements d’opposition de tous bords ont été dissous. Des centaines d’opposants sont actuellement emprisonnés ou jugés, certains ont même été déchus de leur nationalité. Des journalistes, des blogueurs et des intellectuels font également l’objet d’enquêtes. Des organisations de défense des droits de l’Homme dénoncent régulièrement l’iniquité des procès.

Prochaines élections
Amnesty International n’a pas tardé à condamner le verdict de dimanche, le qualifiant de «parodie de justice». C’est «une preuve des efforts illégaux déployés sans relâche par les autorités de Bahreïn pour museler toute opposition», a jugé Heba Morayef, directrice régionale du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord chez Amnesty. «Cheikh Ali Salmane est un prisonnier de conscience, détenu pour le seul exercice pacifique de son droit à la liberté d’expression». Le mouvement Al-Wefaq, dissous par les autorités, a appelé en octobre au boycott d’élections législatives prévues dans trois semaines. Le roi de Bahreïn a fixé au 24 novembre la date pour le renouvellement du Parlement mais, dès juin, les autorités avaient interdit aux dirigeants et membres des mouvements dissous de s’y présenter. Outre Al-Wefaq, la Cour de cassation a validé en 2017 la dissolution de l’Action nationale démocratique (Waad), un mouvement d’opposition libéral. Al-Wefaq avait boycotté les législatives de 2014 en dénonçant un scrutin fait pour «consolider le pouvoir autoritaire» de la dynastie sunnite des Al-Khalifa. Pour protester contre la répression de ses partisans lors des manifestations déclenchées dans la foulée du Printemps arabe, Al-Wefaq avait retiré en mai 2011 ses 18 députés du Parlement (40 sièges).

The post Bahreïn: Le chef de l’opposition condamné à la perpétuité appeared first on .

Categories: Afrique

Trump aux Américains : Votez républicain ou les Etats-Unis seront envahis

Mon, 11/05/2018 - 11:53

Le président Donald Trump a averti les Américains samedi qu’une victoire démocrate aux élections législatives de mi-mandat mardi précipiterait l’avènement du socialisme aux Etats-Unis et l’arrivée de hordes de criminels venus d’Amérique centrale, son argument de campagne final pour sauver la majorité républicaine. «Ils imposeront le socialisme en Floride.

Bienvenue au Venezuela» a lancé Donald Trump samedi soir à Pensacola en Floride, lors d’un meeting de soutien aux candidats républicains au Sénat et au poste de gouverneur, Rick Scott et Ron DeSantis. L’avion présidentiel Air Force One était garé sur le tarmac de l’aéroport où se tenait le meeting, en toile de fond, comme l’avion Trump figurait en arrière-plan de ses meetings de candidat, il y a deux ans. A chaque étape, le milliardaire républicain vante les excellents chiffres de l’emploi et les baisses d’impôts adoptées en décembre 2017, avant de se lancer dans une description apocalyptique de la politique migratoire de ses adversaires.
Les démocrates, a-t-il dit, veulent «effacer les frontières» et faire passer «les clandestins avant les citoyens américains». «Le programme immigration des démocrates est de faire venir le trafic de drogues, le trafic d’êtres humains, et les cartels criminels», a-t-il aussi lancé dans le Montana. Depuis des semaines, il parle en termes inquiétants des caravanes de plusieurs milliers de migrants d’Amérique centrale traversant actuellement le Mexique vers les Etats-Unis, et contre qui il a envoyé des milliers de soldats à la frontière mexicaine. Selon lui, 300 d’entre eux sont «très mauvais». Il a dit avoir reçu des informations du Mexique sur ces migrants. «Les barbelés peuvent être une bien jolie chose, quand ils sont bien posés», a aussi dit le 45e président américain.

Obama très demandé
Le premier rendez-vous électoral national depuis l’élection de 2016 déterminera qui contrôlera les deux chambres du Congrès jusqu’à la prochaine présidentielle, le 3 novembre 2020.
Le républicain n’entretient pas le suspense sur sa candidature à ce scrutin-là, plaisantant sur son prochain slogan (traduisible par «Maintenir la grandeur de l’Amérique»), et assurant que ses débats contre le futur candidat démocrate seront «très faciles». Du côté démocrate, c’est son prédécesseur Barack Obama qui a endossé le costume du sauveur, après avoir passé 22 mois dans une relative réserve politique. Il y a huit ans, Barack Obama s’apprêtait à subir un raz de marée républicain à ses propres premières élections de mi-mandat: c’était la «révolution» de la mouvance conservatrice du Tea Party. Cette année, le retraité a la cote et est la figure la plus recherchée du parti démocrate, en l’absence de leader naturel. «Je suis là pour une simple raison: vous demander d’aller voter», a lancé Barack Obama vendredi soir à Atlanta, en Géorgie, pour soutenir la femme qui pourrait devenir mardi la première gouverneure noire élue de cet Etat du Sud, Stacey Abrams. «Les conséquences de l’abstention sont profondes, car l’Amérique est à la croisée des chemins», a-t-il déclaré. «Les valeurs de notre pays sont en jeu». Barack Obama sera à nouveau en meetings dimanche, tout comme Donald Trump.

Votes anticipés
Chez les républicains, les candidats recherchent activement le soutien de Donald Trump, qui reste la personnalité la plus rassembleuse et populaire du parti et assume que ces élections soient un référendum sur sa personne. Echaudés par la surprise de 2016, les médias américains se montrent plus prudents et évitent toute prédiction définitive à partir des sondages qui donnent un avantage aux démocrates pour la chambre basse du Congrès. Pour les 435 sièges de la Chambre des représentants, renouvelés pour deux ans, la course se concentre sur une soixantaine de circonscriptions, les autres étant assez solidement ancrées chez l’un ou l’autre parti. Quant au Sénat, 35 sièges sur 100 sont en jeu, pour des mandats de six ans. Hasard du calendrier, ces Etats sont pour la plupart dans des régions conservatrices, ce qui complique toute reconquête démocrate. Les élections semblent bénéficier cette année d’une mobilisation inédite pour un rendez-vous qui habituellement ne suscite qu’une participation de 40 à 45%, contre plus de 60% aux présidentielles. Plus de 32 millions d’électeurs ont déjà voté par correspondance ou en personne, selon Michael McDonald, professeur à l’Université de Floride. C’est 20% de plus que l’ensemble des votes anticipés aux élections de mi-mandat de 2014, selon lui.

The post Trump aux Américains : Votez républicain ou les Etats-Unis seront envahis appeared first on .

Categories: Afrique

Corée du Nord : Mise en garde de Pyongyang sur un retour à sa politique nucléaire

Mon, 11/05/2018 - 11:49

Pyongyang a prévenu les états-Unis qu’elle envisagerait «sérieusement» de revenir à sa stratégie politique de développement de son arsenal nucléaire si les sanctions économiques imposées à son pays n’étaient pas levées.

Pendant des années, Pyongyang a mené une politique dite du «byungjin», ou «développement simultané» de ses capacités nucléaires et de son économie. En avril, le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un avait annoncé que la quête pour se doter de l’arme nucléaire était terminée et que le Nord, se concentrerait désormais «sur la construction économique socialiste». La péninsule connaît un «nouveau climat de détente et de paix», avait-il expliqué. Dans un communiqué, le ministère nord-coréen des Affaires étrangères a déclaré que Pyongyang pourrait revenir à la politique du «byungjin» si les états-Unis ne changeaient pas d’attitude en matière de sanctions. «Le mot «byungjin» pourrait refaire son apparition et un changement de politique pourrait être sérieusement envisagé», selon ce texte publié vendredi soir, par l’agence officielle KCNA.

Lors de leur sommet historique à Singapour en juin, M. Kim et le président Donald Trump avaient signé une déclaration vague sur la dénucléarisation mais depuis, les négociations n’ont guère progressé. En pointe des efforts internationaux menés en 2017 pour faire pression sur l’économie nord-coréenne, les états-Unis refusent un allègement des sanctions tant que le Nord n’aura pas procédé à une «dénucléarisation finale et entièrement vérifiée». Pyongyang a condamné les «méthodes de gangster» des Américains accusés d’exiger son désarmement unilatéral sans faire de concession. «L’amélioration des relations et les sanctions sont incompatibles», ajoute le communiqué signé par le directeur de l’Institut des études américaines du ministère des Affaires étrangères. Toujours attendue, «la réponse correspondante des états-Unis», ajoute le texte.

La Corée du Nord, qui est soumise à de multiples sanctions de l’ONU du fait de ses programmes nucléaire et balistique interdits ainsi qu’à des sanctions unilatérales de Washington, se montre de plus en plus impatiente avec les états-Unis. Le mois dernier, les médias officiels avaient accusé Washington de «double jeu» et critiqué implicitement Donald Trump pour des propos selon lesquels Séoul ne lèverait pas ses propres sanctions contre le Nord sans l’aval de Washington. Des divergences d’approche sur le dossier nord-coréen sont apparues entre Séoul et son allié américain, qui déploie
28 .500 soldats en Corée du Sud pour la protéger de son voisin. Le président sud-coréen Moon Jae-in est partisan de longue date d’un dialogue avec le Nord. Il a fait miroiter à Pyongyang investissements et projets transfrontaliers pour l’inciter à la dénucléarisation. Washington martèle pour sa part que les sanctions doivent être maintenues tant que la dénucléarisation ne sera pas totale.

The post Corée du Nord : Mise en garde de Pyongyang sur un retour à sa politique nucléaire appeared first on .

Categories: Afrique

Festival de cinéma de Carthage : Ouverture sous haute surveillance

Mon, 11/05/2018 - 11:48

Les 29es Journées cinématographiques de Carthage (JCC), qui se veulent une vitrine du film engagé d’Afrique et du monde arabe, ont débuté samedi soir sous une haute surveillance, six jours après un attentat-suicide au coeur de Tunis.

La capitale tunisienne a été frappée lundi dernier sur sa principale avenue, par son premier attentat en près de trois ans. La kamikaze, âgée de 30 ans, a actionné une charge explosive contre des forces de police, blessant 20 personnes, à quelques mètres des principaux sites du festival. En 2015, pendant les JCC, un kamikaze tunisien s’était fait aussi exploser dans un bus de la garde présidentielle au centre de Tunis, tuant 12 de ses agents. Depuis mardi, l’avenue Habib Bourguiba décorée en préparation à cette 29ème édition, a été animée par la musique et la danse en présence de foules compactes. Samedi, des barricades ont été installées et des issues à cette principale avenue ont été fermées et contrôlées par la police qui avait procédé depuis le matin à des fouilles des sacs, a constaté l’AFP. « Ces journées sont importantes. On a voulu montrer que la Tunisie continue à vivre.

La Tunisie combat le terrorisme par des moyens sécuritaires (…) mais aussi par la culture », a déclaré à l’AFP, le chef du gouvernement tunisien Youssef Chahed, présent à l’ouverture des JCC, nées il y a 52 ans. « Nous avons voulu montrer à quelques jours et à quelques pas de l’attentat avorté de lundi passé que la Tunisie vit, donner un message de paix et de tolérance et montrer que la Tunisie avance dans sa transition démocratique », a-t-il ajouté. Pour Nejib Ayed, directeur de cette 29e édition des JCC, l’attentat « va renforcer notre détermination et notre enthousiasme pour faire réussir ces journées ». Selon les organisateurs, tous les invités du festival ont confirmé leur présence pour soutenir cette manifestation cinématographique. Ce festival réservé aux réalisateurs arabes et africains est un rendez-vous culturel majeur en Tunisie et il est très attendu par les cinéphiles. Jusqu’au 10 novembre, au moins 200 films seront projetés dans les salles de Tunis et à l’intérieur du pays. Samedi soir, des acteurs vedettes, en tenue de soirée ont défilé sur le tapis rouge sous la coupole de la toute nouvelle Cité de la Culture, décorée à cette occasion. La compétition officielle compte 44 films, dont 13 longs-métrages. Cette année encore, des projections seront programmées dans des prisons. « La 29ème édition fêtera les valeurs de la tolérance, de l’ouverture et de l’amour », a assuré Néjib Ayed.

The post Festival de cinéma de Carthage : Ouverture sous haute surveillance appeared first on .

Categories: Afrique

Sit-in des cavaliers et dirigeants devant la FEA suite à l’interruption de la compétition : Le président de la FEA au banc des accusés

Mon, 11/05/2018 - 11:45

Fait sans précédent dans les annales de l’équitation en Algérie. Les championnats nationaux d’équitation cadets, juniors et séniors, organisés simultanément durant 3 jours, ont été interrompus pour cause d’impraticabilité de la carrière de compétition.

Les cavaliers participants ainsi que les dirigeants en colère ont pris d’assaut le siège de la FEA pour dénoncer le manque de clairvoyance de la FEA dans la gestion du calendrier des compétitions dont ils subissent les lourds préjudices. Dans l’après-midi du vendredi, soit au deuxième jour des compétitions, la carrière du complexe sportif du Caroubier dont la réalisation a coûté la bagatelle somme de 250 millions de DA, s’est transformée en un véritable bourbier suscitant la colère des participants. Ce qui devait être une carrière gazonnée de compétition était, suite aux averse pluviales, devenue un bourbier représentant un réel danger pour les chevaux et pour les cavaliers participant à cette compétition considérée comme étant la plus prestigieuse compétition devant clore la saison sportive 2018. Toutefois et bien que des dirigeants des centres équestres ont, dans le passé, interpellé les gestionnaires à organiser cette compétition durant le mois de juin ou juillet comme cela été dans le passé, les gestionnaires de la FEA se sont obstinés à organiser cette compétition durant le mois de novembre faisant fi des conditions climatiques pouvant altérer le déroulement de cette compétition nationale.

Devant le flot de contestations, émanant des participants et dirigeants, les gestionnaires ont provoqué une réunion du bureau fédéral qui, réellement, est inexistant puisque 5 membres de ce bureau se sont insurgés et dénoncé la gestion aléatoire de la part des gestionnaires de cette instance fédérale actuellement dans l’impasse. Contraint de trouver une issue et fournir des réponses aux contestataires, le SG qui occupe également le poste de DG de la SCHPM a, par le biais d’un communiqué entouré d’ambiguïtés, annoncé le report de la compétition au 9 et 10 Novembre du mois en cours. Un communiqué qui n’a pas manqué de susciter une grande polémique notamment concernant les articles 264.3.6 (relatifs à la révision à la baisse des hauteurs des obstacles) et des contestations de la part de certains cavaliers qui estiment que celui-ci est illégal tant il est vrai qu’il ne porte ni de date ni de référence et que son contenu s’appuie sur la réglementation de la FEI plutôt que sur le règlement particulier relatif aux compétitions nationales existant. En effet, le report de cette compétition au 9 et 10 Novembre induirait des préjudices supplémentaires aux participants devant prendre en charge les multiples frais inhérents (frais d’hébergement des chevaux, frais d’hôtellerie et de restauration… etc.).
Il est à rappeler que l’organisation des championnats simultanément pour les trois catégories (cadets, juniors et séniors) et le choix de leur déroulement, ont été imposés par les gestionnaires de la FEA en dépit des correspondances adressées par bon nombre de responsables de centres équestres. Les mêmes responsables de centres équestres ont, de surcroît, jugé utile de rappeler que l’organisation des épreuves du titre national aurait dû se dérouler durant le mois de juin ou juillet comme par le passé, permettant ainsi au cavaliers et aux chevaux de se reposer durant les vacances estivales. Pour l’heure, il est indéniable de mettre en relief la responsabilité de la FEA qui serait logiquement contrainte de prendre en charge une partie des dépenses auxquelles feront face les délégations sportives venues des quatre coins du pays et obligées de rallonger leur séjour à Alger. Cet imbroglio découlant de la gestion hasardeuse de la part des gestionnaires de la FEA confirme le manque de concertation de ces derniers avec les pratiquants et responsables de centres équestres qui, faut-il le rappeler, ont introduit une série de plaintes auprès du TAS et s’apprêteraient même à introduire une plainte collective au pénal. Par ailleurs et selon certaines indiscrétions, le tollé a atteint son paroxysme poussant certains responsables et autres pratiquants des sports équestres à envisager d’organiser un sit-in devant le siège de la wilaya d’Alger pour protester et dénoncer la gestion aléatoire de la FEA de la part des gestionnaires et leur président Metidji M’hamed Zoubir.

Métidji M’hamed Zoubir, un Président fantomatique
Le président de la Fédération équestre algérienne ne cesse de briller par son absence durant les compétitions nationales de même que durant le déroulement du championnat d’Algérie. Une attitude qui n’est pas similaire à ses prédécesseurs à l’instar de Feu Aouchiche, Feu Cheloufi, Feu Kaïd Ahmed… etc. qui, animés par la passion du cheval, se sentaient investis par l’obligation d’assister aux compétitions et partager les moments les plus émouvants de cette compétition particulière au terme de laquelle ils remettaient le sacre aux champions. Que dire du comportement de l’actuel président que certaines personnes interprètent comme un comportement frisant le mépris ? Que dire de l’actuel président qui, durant l’organisation de concours internationaux au sein de son Haras à Mostaganem, est omniprésent ? Que dire, lorsque ce même président dépense des milliards puisés des fonds de la FEA au profit des cavaliers étrangers (prise en charge totale des cavaliers et des chevaux) contrairement aux cavaliers algériens contraints de faire face aux diverses dépenses ? Le moins que l’on puisse dire est que ce comportement est condamné par beaucoup de personnes évoluant dans le milieu équestre depuis des lustres. Des hommes du cheval qui estiment que l’actuel président de la FEA est en passe de devenir un responsable fantomatique…
Hamid Z.

The post Sit-in des cavaliers et dirigeants devant la FEA suite à l’interruption de la compétition : Le président de la FEA au banc des accusés appeared first on .

Categories: Afrique

Déboires avec la justice, échecs scolaires et diplômés au chômage: Les raisons de la harga

Mon, 11/05/2018 - 11:44

L’aventure des harragas algériens se poursuit inexorablement, atteignant une intensité qui a fini par transformer le phénomène en véritable problème politique pour les Etats concernés et les pays vers lesquels déferlent les vagues de migrants irréguliers. Cette situation est au centre d’études poussées menées par des sociologues algériens.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Elles ont donné lieu à des rapports régulièrement réactualisés, impossibles à clôturer  en raison de l’ampleur des faits qui s’accumulent. Au Crasc (Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle), un projet mené conjointement entre l’Algérie et l’Espagne est ainsi continuellement alimenté.
L’étude a, de ce fait, été effectuée par deux équipes issues des deux côtés, espagnol et algérien. En qualité de collaborateur, Bouabdellah Kacemi a pris part aux travaux démarrés en 2007.
En raison de la persistance du phénomène, ils se poursuivent à ce jour et les conclusions sont souvent partagées avec Madrid mais aussi Rome, deux destinations qui attirent particulièrement les harragas. Toutes les données contenues dans les recherches sont basées sur un travail de terrain, des enquêtes menées tout le long des villes côtières, de régions connues pour constituer des points de départ des candidats à l’aventure, mais aussi et surtout de témoignages  souvent crus.
Dans ses conclusions, le sociologue évoque particulièrement le travail mené à Béni-Saf, dans l’Oranie, mais fait savoir plus globalement que la «harga» est passée par plusieurs étapes tout au long de ces dernières années. «Même si elle demeure largement majoritaire, affirme le sociologue, la jeunesse algérienne n’est plus la seule frange de la population à émigrer ou à vouloir le faire.
L’idée est aujourd’hui très répandue au sein de la population qui méconnaît malheureusement la vérité sur l’issue que connaît cette aventure». Il poursuit : «Aujourd’hui, on y trouve également des diplômés, des femmes, des enfants… les personnes qui succombent à la tentation sont de plus en plus nombreuses.» Explications : «Pour la jeunesse, les raisons sont claires.»
L’enquête menée démontre, selon lui, la présence d’une importante proportion de jeunes confrontés à des problèmes de justice. «Ce sont des personnes, ajoute notre interlocuteur, qui ont des déboires avec les instances judiciaires et qui ne trouvent que la fuite comme solution. Ceux-là sont nombreux, et il faut dire qu’on peut également retrouver ces cas parmi les adultes.»
La seconde catégorie concerne les «jeunes en échec scolaire et ceux ayant également échoué dans toutes les autres voies d’insertion sociale, stages…» A ceux-là s’est jointe (ces dernières années) une nouvelle catégorie, celle des diplômés qui estiment n’avoir aucun avenir en Algérie. «Ceux-là considèrent que le diplôme obtenu ne leur servira à rien compte tenu de l’offre et de la demande existants dans le pays, et prennent eux aussi la route de l’aventure dans l’espoir d’une situation meilleure.»
Selon une étude largement  menée par une universitaire algérienne, Rym Othmani, travaillant au sein de EHESS Ecoles des hautes études en sciences sociales) à Paris, le taux de diplômés harragas a atteint les 36% en 2016. «Ce sont des diplômés et des travailleurs qualifiés, âgés de 18 à 30 ans avec une prédominance d’hommes de la classe moyenne ayant affronté un marché du travail précaire et dans une démarche d’autonomie tentent l’aventure», expliquait cette dernière lors d’une conférence au Crasc.
Au fil des ans, toutes les franges de la population «ayant échoué dans la vie ou craignant d’échouer faute de perspectives» se sont ainsi retrouvées dans les embarcations de fortune. «Des images terribles ont démontré la présence d’enfants et même de bébés dans des barques en partance pour les hautes mers.» La raison : elle est simple, affirme Bouabdellah Kacemi, «ils ont été utilisés par leurs parents pour mettre toutes leurs chances de côté une fois arrivés à destination. Ils se disent que la présence d’un nourrisson ou d’un enfant en bas âge sera prise en considération par les organisations humanitaires, les organismes de défense des droits de l’Homme, et que cela leur permettra probablement d’être autorisés à rester sur la terre d’asile».
L’enquête menée sur le terrain a également fait ressortir l’existence d’un lien étroit avec la violence et le phénomène des harragas. «On ne le soupçonne pas, révèle le sociologue, mais un bon nombre de la violence qui sévit actuellement, celle de la jeunesse en particulier, est très liée à cette envie féroce de partir. Or, ces départs nécessitent beaucoup d’argent. Les personnes qui travaillent ont de quoi payer et ramassent la somme exigée, d’autres l’extirpent à leur famille, mais la majorité n’est pas en mesure de le faire. J’ai mené une enquête sur la violence, et lorsque je demandais à ces personnes pourquoi elles faisaient cela, elles me répondaient qu’elles volaient ou tabassaient pour payer leur voyage à bord d’une barque.» Vient enfin la dernière catégorie, «celle des Algériens désabusés par des stéréotypes, des discours et des promesses jamais tenues émanant des pouvoirs publics… Mais l’idée, l’envie de la harga est partout, elle s’est généralisée de manière dramatique à travers cette société qui ignore, cependant, les conséquences de ces départs».
Des départs parfois soldés par une mort certaine dans les eaux de la Méditerranée. «Ces personnes ne pensent qu’à l’émigration, pour elles, elles embarquent vers un monde meilleur qu’elles ne connaissent qu’à travers les publicités tapageuses des médias, elles le considèrent réellement comme un eldorado et n’ont autour d’elles que le récit des personnes ayant réussi, même si elles savent que c’est parfois au bout de trois ou quatre tentatives. Cette obsession leur fait oublier la réalité, les prisons dressées à l’autre bout, les refoulés, ou la vie impitoyable qui attend ceux qui ont eu la chance de rester. Les meilleurs d’entre eux travaillent dur pour survivre, les autres, et je me base sur des témoignages, tendent la main dans les marchés ou les cafés. Lors d’un stage en France, j’en ai rencontré plein qui mendiaient, qui suppliaient d’avoir ‘’1 euro pour vivre’’. C’est celle-là la réalité, mais les Algériens refusent de la voir et se portent toujours candidats à la mort ou à la mendicité.»
A. C.

The post Déboires avec la justice, échecs scolaires et diplômés au chômage: Les raisons de la harga appeared first on .

Categories: Afrique

Un rassemblement est prévu ce mercredi devant le siège du MESRS : Hadjar face à la colère des fonctionnaires

Mon, 11/05/2018 - 11:40

La Fédération des professionnels du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, affiliée au Syndicat national des personnels de l’administration publique (SNAPAP), a annoncé l’organisation d’un rassemblement national mercredi prochain devant le siège du ministère à Ben- Aknoun. Cette action intervient, expliquent ses initiateurs, suite à une fermeture totale des canaux de dialogue avec la tutelle, accusée d’entretenir une politique de deux poids deux mesures avec les partenaires sociaux.

Depuis 2015, soit à l’arrivée du ministre actuel de l’Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, la fédération affirme qu’elle n’a pas été invitée ni reçue aux nombreuses rencontres organisées par la tutelle avec les syndicats du secteur. Pourtant représentative et affilée à un syndicat reconnu au ministère du Travail; à savoir le SNAPAP, la fédération dénonce une politique de deux poids deux mesures injustifiée. Faisant état de 7 demandes d’audience officielles adressées à la tutelle, la fédération souligne qu’aucune d’elles n’a reçu de réponse, positive soit-elle ou négative. Une situation qui a poussé cette organisation, a fait savoir hier son président lors d’une conférence de presse organisée au siège du SNAPAP, à aller vers l’organisation d’une action de contestation.

En effet, la fédération a donné rendez-vous à tous ses délégués au niveau national afin de se rassembler le mercredi 7 novembre à partir de 10h devant le siège du ministère à Ben-Aknoun. Cette décision, prise par le conseil national organisé le 18 octobre dernier à Alger, a pour objectif, a poursuivi le syndicaliste, de faire pression sur le département de Hadjar et d’attirer l’attention des responsables sur les problèmes auxquels font face les travailleurs du secteur. Ça sera également l’occasion de dénoncer l’atteinte au droit syndical et les poursuites judiciaires entamées contre les délégués syndicaux, au niveau de plusieurs wilayas sans raisons valables, souligne-t-il.

De son côté, le vice-président de cette organisation, Djabri Hocine, a fait savoir que la fédération reste attachée à une plateforme de revendications, dont l’ouverture du dialogue et la concertation avec les membres de l’union, et ce à tous les niveaux (ministère et wilayas). «Nous revendiquons l’ouverture des négociations autour de l’amélioration de la situation socioprofessionnelle des travailleurs et dénonçons les harcèlements que connaissent les travailleurs et les syndicalistes au niveau de plusieurs wilayas », a-t-il déclaré à ce propos, avant d’appeler à mettre fin aux répressions exercées contre les adhérents. Selon le même intervenant, si la tutelle persiste à faire la sourde oreille et ne donne aucune suite positive, il n’est pas alors exclu d’entamer d’autres actions de contestation d’envergure conformément à la réglementation.

Ania Nait Chalal

The post Un rassemblement est prévu ce mercredi devant le siège du MESRS : Hadjar face à la colère des fonctionnaires appeared first on .

Categories: Afrique

Le ministre Hadjar est appelé à intervenir en urgence : Graves dépassements à l’université « Alger 2 »

Mon, 11/05/2018 - 11:37

C’est le point le plus noir dans les institutions et administrations algériennes : la bureaucratie qui impose des procédures trop lentes et souvent inutiles. Une réalité qui correspond aussi à un taux d’absentéisme élevé chez les salariés de ces administrations.

Il y en a partout, et les universités sont malheureusement le parfait exemple. Et ils frappent en priorité les nouveaux étudiants, ceux qui n’ont pas des « bras et des coudes ». « Al-maârifa ». En témoigne le nombre de formulaires, procédures et paperasses, exigés par les différents départements des universités. Dans ces administrations, censées orienter et simplifier la vie aux étudiants, les dépassements sont la règle. On savait la dérive généralisée, mais manifestement, cela s’amplifie. L’année dernière, déjà, étudiants et enseignants avaient tiré la sonnette d’alarme en montrant que ces dépassements bureaucratiques ont fortement augmenté. Ce cri d’alarme met en exergue l’incapacité des responsables aux universités devant ce phénomène alors qu’ils ont tous les moyens pour agir.

Un phénomène qui s’amplifie
Mercredi dernier, beaucoup d’étudiants, anciens et en post-graduation, dont certains arrivés des wilayas de l’intérieur du pays, se sont dirigés au département de langue arabe et langues orientales (université Alger 2), pour avoir des documents leur permettant de continuer leur dossier de master ou de doctorat. Problème : l’agent chargé de la pédagogie est absent, son bureau est fermé. Sans préavis, les étudiants se sont retrouvés livrer à eux-mêmes. Les agents des autres bureaux ont tout simplement refusé de fournir la moindre information. « Il n’est pas là, je n’en sait rien. Et je ne veux pas m’en mêler ». Une réponse à laquelle est confronté tout demandeur après le soi-disant monsieur qui occupe ce bureau. La situation est néanmoins ahurissante, comme l’avait constaté sur place « Le Courrier d’Algérie».
À ces manquements de professionnalisme, l’indifférence des agents de l’administration est accompagnée par une complicité maligne, où chacun évitait de dénoncer son collègue absent de son poste.

Bureaux fermés, téléphone éteint
Un agent supplétif, recruté depuis un mois seulement, devrait remplacer l’agent absent, mais devant son inexpérience, il tentait, sur insistance des étudiants désœuvrés et las d’attendre, d’appeler l’agent absent. En vain, son téléphone est éteint. L’agent supplétif finira alors par déserter son bureau à 12H pour fuir les interrogations des étudiants qui ne cessent d’arriver. Pendant ce temps, entre le premier étage et le rez-de-chaussée du bâtiment administratif, un étudiant, de Bordj Bou-Arreridj, effectuait d’interminables va-et-vient entre le bureau du doyen et celui de la présidente du département de langue arabe. Celle-ci aurait refusé de lui délivrer « une attestation de classement », pourtant recommandée et approuvée par le doyen lui-même. Cet étudiant, qui a obtenu sa licence à Alger mais qui vient de décrocher son concours de doctorat à l’université de Bordj Bou-Arreridj doit avoir ce document avant ce dimanche s’il ne veut pas perdre son poste.

Un délai qui semble impossible : le lendemain étant le jeudi ; 1er novembre – férié -, ensuite le week-end, des journées dans lesquelles ne travaille pas l’administration. Vers 13H, alors que tous les employés sont presque tous partis chez eux – normalement le temps de fermeture des bureaux c’est 15H -, des parents d’une jeune étudiante arrivent pour l’inscrire au master. Ils viennent de Médéa. Personne pour les accueillir, personne pour les orienter, le vigile s’est contenté de leur conseiller de revenir un autre jour, car il n’y a personne. En état de nervosité extrême, les parents insistent pour voir le recteur. Ils attendent dans l’escalier-même l’arrivée de ce dernier, qui ne se pointait qu’aux environs de 14H 30, mais pour reprendre son cartable et quitter son bureau lui aussi. Rappelons que le vice-doyen de ce même département a démissionné depuis un mois. Son non remplacement à causé d’autres problèmes bureaucratiques : beaucoup d’attestations et de dossiers ne sont pas signés et un délai d’attente qui s’allonge au grand dam des étudiants. Le département de langue arabe et langues orientales se situe à l’ancienne faculté de droit à Ben Aknoun, il renferme tous les dossiers de pédagogie et archives des facultés de Béni Messous et Bouzaréah.

Paperasses et procédures très éloignées de la réalité
Paperasses parfois inutiles, des procédures différentes à suivre d’une université, un département à un autre, et des horaires d’ouverture de l’administration aussi très limités que non respectés. Un véritable calvaire. Et la liste des contraintes bureaucratiques continue. Les promesses de généralisation de l’informatisation de l’université algérienne et l’assouplissement des procédures sont très éloignées de la réalité. Des étudiants interrogés au sein de cette université ont fait même part de pratiques discriminatoires et incriminées. Par exemple : un étudiant nous a avoué qu’après un va-et-vient fatiguant au bureau du président du département de langue arabe pour obtenir la signature de son «attestation d’interruption de scolarité», il lui a suffi de faire la connaissance de quelqu’un d’une organisation estudiantine pour régler rapidement son problème. « Il m’a juste accompagné et présenté auprès de la présidente du département, pour que celle-ci daigne signer mon attestation sans me demander de revenir un autre jour », a-t-il confié sous anonymat. Le recours à ce genre de moyens semble même être recommandé par certains fonctionnaires ici, nous confient d’autres étudiants. Telle est donc la situation aujourd’hui.

Des responsables qui ne réagissent pas
Le doyen de ce département de langue arabe et langues orientales a pourtant, à sa disposition, tous les moyens – de l’avertissement des fonctionnaires au blâme, jusqu’à la mise de fin de contrats des administratifs fautifs –pour réagir. Il ne les aplique pas. Un «avis aux fonctionnaires», signé par le doyen et le président du département, est pourtant accroché au mur devant l’entrée des bureaux : « nous avons constaté récemment un flagrant laisser-aller dans les différents services de l’administration et surtout l’absentéisme élevé des agents qui quittent leurs bureaux tôt avant le temps réglementaire. De ce fait, les enseignants et étudiants sont obligés d’attendre longtemps devant des bureaux fermés sans avoir à obtenir leurs paperasses (…) Nous insistons sur le fait de respecter les horaires de travail, faute de quoi, des mesures légales et adéquates seront prises contre les réfractaires ». Mais qui peut le croire, tant la situation est gangrénée ?
Hamid Mecheri

The post Le ministre Hadjar est appelé à intervenir en urgence : Graves dépassements à l’université « Alger 2 » appeared first on .

Categories: Afrique

Plus de 20.000 migrants armés à la porte de l’Europe, dont des Algériens !

Mon, 11/05/2018 - 11:35

Plus de 20.000 migrants armés venant du Proche-Orient et d’Afrique se concentrent à la frontière entre la Bosnie-Herzégovine et la Croatie, dans l’intention de pénétrer en Union européenne, rapporte le journal autrichien Kronen Zeitung.

95% de ces migrants qui souhaitent traverser la frontière sont des hommes jeunes, presque tous armés d’un couteau. Un policier a déjà été poignardé», ajoute le quotidien, qui précise qu’il s’agit de  Pakistanais, d’Algériens, d’Iraniens et de Marocains…

Les migrants veulent aller en Allemagne et dans les pays scandinaves. L’Autriche bénéficie désormais d’une mauvaise réputation auprès d’eux», conclut Kroner Zeitung.

The post Plus de 20.000 migrants armés à la porte de l’Europe, dont des Algériens ! appeared first on .

Categories: Afrique

Fluctuation des prix du poulet : Les spécialistes appellent à organiser la filière avicole

Mon, 11/05/2018 - 11:33

Après une « brève » baisse, le prix du poulet tutoie de nouveau les cimes, et ce, en dépit des récentes exonérations fiscales consenties par l’Etat en faveur de la filière avicole. En effet, ce produit très prisé par les Algériens a, de nouveau, déserté leurs tables, après que son prix a atteint le seuil des 400DA/kg. Idem pour l’escalope, dont son prix a atteint les 790DA/kg. Quant au prix des œufs, il tend à se stabiliser autour de 13 DA l’unité. Cette situation n’est guère nouvelle en Algérie. Pour en savoir davantage sur cette fluctuation des prix nous avons pris attache avec Laâla Boukhalfa, spécialiste et ancien haut cadre du secteur avicole. Ce dernier estime que «le prix du poulet connaitra toujours cette fluctuation tant que le secteur n’est pas assaini ». Pour l’expert, « la crise que traverse l’aviculture n’est pas récente, mais elle date depuis plusieurs décennies. Il y a des hauts et des bas qui s’expliquent par le manque d’organisation ».
Dans le détail, Laâla Boukhalfa a précisé que « de nombreux éleveurs ont dû abandonner leur activité en raison de la chute brutale du prix du poulet durant l’été ». « Encaissant les pertes, les aviculteurs ont préféré abandonner leur activité », a estimé notre interlocuteur, qui a précisé que « cet abandon a engendré un déséquilibre entre l’offre et la demande sur le marché ». Malgré ce, il a précisé que « la hausse des prix va davantage encourager les aviculteurs à reprendre leur activité même si les conditions actuelles ne sont pas tout à fait encourageantes ».
En effet, il précisera que le prix du poussin reste excessivement élevé et il est cédé à 120 DA/unité. S’étalant davantage sur ce point, l’expert a précisé que le « retour massif des éleveurs à leur activité est à l’origine de cette hausse des prix ». Néanmoins, il a tenu à souligner que le prix du poussin ne devrait pas dépasser les 50 DA/unité pour assurer la « stabilité des prix de la production ». Néanmoins, Laâla Boukhalfa a alerté que « le retour de l’investissement dans le secteur va encore plonger dans la surproduction ». Autrement, la filière restera « instable ».

Pour ce qui est de la seconde raison à l’origine de cette fluctuation, l’expert a indiqué que « la non maitrise de ce qu’on appelle les grands-parentaux et les souches parentales est à l’origine de cette instabilité que connait le secteur ». Dans le détail, il précisera que la production nationale en grands parentaux est assurée par deux unités implantées à Tlemcen et Djelfa. Mais cette production n’arrive pas à couvrir plus de 50% des besoins, ce qui pousse le ministère de l’Agriculture à recourir à l’importation. « Les besoins nationaux en grands parentaux sont estimés entre 3 et 6 millions d’unités », a-t-il dit en précisant que le ministère doit œuvrer à assurer un certain équilibre. « Dans la mesure où la production en grands parentaux est de 6 millions d’unités, le marché sera inondé, alors qu’une production de 3 millions d’unité est insuffisante », a-t-il argumenté.

Pour ce qui est du gel de l’application de la TVA (taxe sur la valeur ajoutée) sur les intrants de la filière avicole, décidé par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, Laâla Boukhalfa a précisé que cette décision ne va qu’aggraver la situation. Autrement, il a précisé que « c’est une perte de temps, durant lequel le gouvernement devrait plutôt se pencher sur son organisation ». « La suppression de la TVA n’a pas fait baisser les prix », a-t-il attesté en indiquant que le consommateur continue de payer la TVA tandis que l’importateur est exonéré ! ». Pour ce qui est de la campagne de boycott lancée récemment par l’APOCE, notre interlocuteur a estimé que celle-ci ne va pas arranger les choses. Pour lui, « seule l’organisation du secteur peut mener à la stabilité du marché du poulet ».
Lamia Boufassa

The post Fluctuation des prix du poulet : Les spécialistes appellent à organiser la filière avicole appeared first on .

Categories: Afrique

Dziri quitte le NAHD : 9 clubs de la L1 se séparent de leurs coachs après 11 journées seulement

Mon, 11/05/2018 - 11:27

Décidemment, on n’est pas sorti de l’auberge. L’entraîneur dans le football algérien continue d’être le fusible privilégié des présidents de clubs. Le hic, est que même lorsqu’il réussit de bons résultats, il n’est pas à l’abri du limogeage. Le cas du coach de Nasria, Bilel Dziri, est des plus édifiants. En effet, ce dernier qui était l’agréable surprise de la saison passée en terminant à la 3e place en championnat assurant par là même le NAHD à la Coupe de la CAF après plusieurs années d’absence de la scène continentale, n’a pas dérogé à la règle. Cette distinction ne lui a pas suffi pour poursuivre sa mission à la tête de la barre technique des Sang et Or. Et même si le NAHD a marqué le pas il y a quelques journées cette saison, il n’en demeure pas moins que son parcours demeure positif. L’équipe a toutes les cartes en mains d’ailleurs pour revenir en force.

Cela n’a pas pour autant dissuadé les dirigeants du Nasria à se retourner contre Dziri. Ce dernier, sentant qu’il est devenu désormais indésirable, a décidé de jeter l’éponge dans la soirée de samedi. «J’ai compris que les dirigeants en voulaient plus de moi. Je ne pouvais ainsi rester, malgré le bon travail que j’ai réalisé. Je rappelle au passage qu’en 30 matchs en tant qu’entraineur en chef du NAHD, je n’en ai perdu que 4. Mon bilan est donc des plus positifs», a réagi l’ancien milieu international quelques instants après son départ du NAHD. Après ce divorce, ils sont pas moins de neuf clubs de la Ligue 1 à s’être séparés de leurs coachs après seulement 11 journées. Au train où vont les choses, tous les records en la matière sont en passe de tomber.

C’est dire que même en limitant cette saison à deux, les licences d’entraîneurs octroyés par club, la LNF a échoué dans son entreprise de mettre fin à cette instabilité chronique dans les barres techniques des clubs. Il y a quelques jours, deux entraîneurs ont été limogés et un autre a démissionné. Il s’agit de Saïd Hammouche (O Médéa), Sid-Ahmed Slimani (RC Kouba) et Lamine Bougherara (JSM Skikda). D’autres techniciens sont sur la sellette et risquent fort de venir allonger cette longue liste avant la fin de l’année. Il est connu l’entraîneur est le premier fusible à sauter, en cas de mauvais résultats. Ceci est valable dans tous les pays, mais chez nous ça prend des proportions hallucinantes. La valse des entraineurs devient par la force des choses, un sport national. Du coup, un jeu des chaises musicales s’installe permettant à des techniciens d’entraîner deux, voire trois équipes durant la même saison. Certains d’entre eux n’ont même pas le temps de chômer. A peine ont-ils été limogés, ils rebondissent aussitôt après dans un autre club. Il faut dire que la demande est grande et pressante, alors que l’offre est limitée. Ce sont les mêmes techniciens que l’on retrouve sur le marché. Ils font le tour des équipes. C’est valable aussi bien en Ligue 1 qu’en Ligue 2.

Hakim S.

The post Dziri quitte le NAHD : 9 clubs de la L1 se séparent de leurs coachs après 11 journées seulement appeared first on .

Categories: Afrique

PLF 2019: affectation de 100 milliards de dinars aux plans communaux de développement

Mon, 11/05/2018 - 11:20

Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a annoncé dimanche à Alger, l’affectation, dans le cadre du projet de loi de finances (PLF) 2019, « d’une enveloppe de 100 milliards de dinars algériens aux plans communaux de développement (PCD) » pour permettre aux communes de répondre aux besoins des citoyens et de prendre en charge les projets de développement de proximité.

« Une enveloppe de 100 milliards de dinars a été allouée aux plans communaux de développement (PCD), ce qui reflète la forte volonté des autorités et leur détermination à poursuivre l’appui de la commune en vue de réaliser un développement local réel et global et lui permettre de  répondre aux besoins directes des citoyens et de prendre en charge les  projets locaux de proximité », dont les projets d’approvisionnement en eau  potable (AEP), d’assainissement et de désenclavement », a précisé M. Bedoui lors de la présentation d’un exposé devant la Commission des finances et du budget de l’Assemblée populaire nationale (APN) sur le budget de son secteur, dans le cadre du PLF 2019, en présence du ministre des Relations avec le Parlement, Mahdjoub Bedda.

A ce propos, le ministre a indiqué que la répartition de ces affectations aux communes s’opère « en concertation » dans le cadre d’une commission entre les ministères des Finances et de l’Intérieur sur la base de « critères objectifs et d’indicateurs démographiques, géographiques et financiers » afin de concilier entre les besoins exprimés et les moyens  financiers disponibles.

« Le volume des affectations accordées aux Collectivités locales à travers la Caisse de solidarité et de garantie des Collectivités locales connaitra  une baisse sensible », a fait savoir M. Bedoui précisant que cette Caisse consacrera durant 2019 « des aides au fonctionnement, à l’équipement et à l’investissement » en faveur des collectivité locales.

Il a ajouté que la Caisse de solidarité et de garantie des Collectivités  locales poursuivra ses efforts pour l’accompagnement du nouveau rôle économique des Collectivités locales à travers « l’affectation d’une  enveloppe financière sous forme de prêts relais temporaires destinés au financement des projets générateurs de revenus ».

L’élaboration du budget du ministère de l’Intérieur pour l’exercice 2019 a favorisé plusieurs axes dont « la rationalisation des dépenses et une plus grande maitrise de l’affectation des ressources », outre la mise en place de la stratégie de modernisation de l’administration et d’un programme de  formation global au profit des cadres et fonctionnaires locaux et centraux ainsi que des élus locaux, a-t-il fait savoir.

Le ministre a cité également la poursuite des mesures d’amélioration du service public, l’accélération de la cadence de réalisation des projets et  la priorisation de l’inscription de nouveaux programmes au profit des wilayas déléguées, du développement des zones frontalières et de la prise en charge optimales des risques.

Concernant le budget de fonctionnement de son secteur, M. Bedoui a fait état d' »une baisse de 3.34% par rapport à 2018″ avec de légères hausses  pour certains services, à l’image de la Direction générale de la Sûreté  nationale  (1.98 %) et la Protection civile (0.46 %), tandis que le budget.  Cependant, le budget de la Direction générale des télécommunications et des  liaisons a augmenté de 9.27 %.

« Le nombre des postes budgétaires proposés pour 2019 s’élève à 420033 dont  379329 permanents et 40704 contractuels », a-t-il encore dit.

S’agissant du budget d’équipement, le ministre a indiqué que « la priorité a été accordée » au parachèvement des projets en cours de réalisation tel  qu’ils ont été approuvés, et ce dans le cadre du « respect des orientations  du Gouvernement portant  plafonnement des dépenses pour la maîtrise de la  dépense publique encadrée à moyen terme 2018-2020 ».

Le budget d’équipement prévoit au niveau central « 17 nouvelles opérations pour une enveloppe de 9.999 millions de dinars ainsi que la réévaluation de  17 opérations ».

Par ailleurs, le ministre a ajouté que ses Services ont adopté « six dispositions législatives proposées » dans le but de « réadapter » certaines  taxes fiscales, dont « le paiement d’un montant de 1500 DA au titre de  droits de timbre sur le visa de prolongation de séjour en Algérie pour les  ressortissants en situation régulière, valable pour une durée de 16 à 30  jours, contre 1800DA pour le visa de prolongation de 31 à 45 jours ».

Les Collectivités locales ont été « autorisées » à octroyer des aides à d’autres Collectivités locales et l’orientation de la taxe sur les pneus  neufs importés au profit de la Caisse de solidarité et de garantie des collectivités locales au lieu du budget des communes.

The post PLF 2019: affectation de 100 milliards de dinars aux plans communaux de développement appeared first on .

Categories: Afrique

Amar Adjili en France pour nettoyer la ville de Marseille !

Mon, 11/05/2018 - 11:18

Engagé pour l’environnement, il organisait hier un ramassage avec Edmund Platt, un célèbre écologiste britannique.

Les deux hommes ont organisé un nettoyage collectif et ont ciblé les endroits les plus fréquentés du centre ville de Marseille. L’on compte parmi ces endroits la gare Saint Charles, mais aussi la Porte d’Aix .

The post Amar Adjili en France pour nettoyer la ville de Marseille ! appeared first on .

Categories: Afrique

La modernisation de l’Administration algérienne saluée par la presse allemande

Mon, 11/05/2018 - 11:17

Les réformes introduites, par le Gouvernement Algérien, pour améliorer le service public et rapprocher davantage l’Administration du citoyen, ont été salués par le magazine allemand spécialisé, « Business & Diplomacy », dans sa dernière édition.

La publication, très prisée dans les milieux d’affaires et diplomatiques en Allemagne, a consacré un article au projet de modernisation des services  publics administratifs en Algérie, qu’elle n’a pas manqué de qualifier de « prestigieux », eu égard aux moyens importants affectés par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire à  sa mise en œuvre.

The post La modernisation de l’Administration algérienne saluée par la presse allemande appeared first on .

Categories: Afrique

Kheireddine Zetchi, président de la FAF : on voudrait bien connaître les raisons qui ont poussé le président de la JSK à faire ce genre de déclarations

Mon, 11/05/2018 - 11:16

« Je suis choqué et surpris par les récentes déclarations du président de la JS Kabylie, Chérif Mellal », a affirmé le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, qui était lundi matin l’Invité de la rédaction de la Chaine 3 de la radio algérienne.

Appelant toutes les parties à la raison, le patron de la FAF, dira que « les présidents de club doivent absolument éviter les déclarations incendiaires », qui sont parfois faites « pour des raisons très minimes »

Qualifié les présidents de clubs de mafias est très grave, précise t-il, « Cherif Mellal est responsable de ses propos et  il devrait en assumer les conséquences. On voudra bien connaître les raisons qu’il l’ont poussé à faire ce genre de révélations ». ajoute M. Kheireddine Zetchi.

L’invité de la rédaction, précisera, que les commissions de discipline de la ligue professionnelle  et de l’éthique au niveau de la FAF vont « très certainement convoquer le président de la JSK », qui s’expliquera sur ce qu’il a dit.

The post Kheireddine Zetchi, président de la FAF : on voudrait bien connaître les raisons qui ont poussé le président de la JSK à faire ce genre de déclarations appeared first on .

Categories: Afrique

Yousfi effectuera lundi une visite de travail au Japon

Mon, 11/05/2018 - 11:11

ALGER- Le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Youcef Yousfi effectuera lundi une visite de travail au Japon à la tête d’une importante délégation, a indiqué dimanche un communiqué du ministère.

Cette délégation est composée de cadres du ministère, de dirigeants de certaines entreprises publiques et d’une trentaine de chefs d’entreprises privés, a précisé la même source.

Lors de son séjour au Japon, M. Yousfi mènera des entretiens avec des responsables et officiels japonais avec lesquels, il va discuter de l’état de la coopération allégro dans les différents domaines économiques.

A cette même occasion M. Yousfi rencontrera les opérateurs japonais pour examiner les opportunités de partenariat qui pourraient s’offrir aux deux pays, ajoute la même source.

Parmi les domaines susceptibles d’accélérer la coopération entre l’Algérie et le Japon, figurent les secteurs de l’automobile et des pièces de rechange, de la chimie, des mines, de l’électronique et du digital, a conclut le communiqué.

The post Yousfi effectuera lundi une visite de travail au Japon appeared first on .

Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.