Dans 10 jours, une deuxième opération d’exportation aura lieu et une troisième dans 15 jours, en direction de Dakar.
Une caravane transportant des produits nationaux, dans différentes filières, a été lancée hier depuis le Palais des expositions (Safex) en direction, de Nouakchott en Mauritanie. Supervisée par le ministère du Commerce et pilotée par l’entreprise nationale Logitrans, la caravane en question est composée de 20 semi-remorques transportant 400 tonnes de différents produits nationaux. La cargaison est composée de 220 tonnes de produits agricoles (pommes de terre, oignons, citrouilles), 40 tonnes de produits électroménagers, 120 tonnes de produits agroalimentaires et 20 tonnes de produits hygiéniques. Les produits acheminés représentent 5 opérateurs économiques. Il s’agit d’ECD Foods, les Moulins Amor Benamor, la Sarl Faderco, la Sarl Sobco et Concord SPA. Le voyage devrait durer 9 jours. La caravane doit parcourir 3 500 km dont 1 800 km en territoire algérien et 1 700 km en territoire mauritanien. S’exprimant en marge de l’événement, le ministre du Commerce, Saïd Djellab, a indiqué que l’Algérie est entrée dans la bataille de l’exportation et que l’année prochaine sera pleine de bonnes surprises en matière d’exportation. Après cette caravane en direction de Nouakchott, le ministre a indiqué que dans 10 jours, une deuxième opération d’exportation aura lieu et une troisième dans 15 jours en direction de Dakar. Le ministre annoncera également que d’ici la fin de l’année, il y aura une grande opération d’exportation de matériaux de construction d’une société algérienne qui partira de Tamanrasset vers le Niger. Cette opération comprendra 150 semi-remorques de matériaux de construction. Tout porte à croire que la dynamique des exportations hors hydrocarbures en Algérie sera renforcée en 2019 par un accompagnement spécial des exportateurs sur les plans organisationnel, logistique et incitatif. Le marché africain est l’une des priorités majeures de la stratégie algérienne en matière d’exportation de produits finis. Un peu plus de 50 accords d’exportation dans divers domaines de production ont été signés avec des pays africains dont 25 contrats avec des opérateurs économiques mauritaniens. En effet, l’Algérie mise sur la Mauritanie en tant que rampe de lancement pour son déploiement économique sur le continent africain. Bien que très modeste, le marché mauritanien pourrait aider les entreprises algériennes à se lancer à la conquête des marchés de l’Afrique de l’Ouest, notamment du Sénégal. Il faut dire que l’inauguration du poste frontalier terrestre Chahid Mustapha-Ben Boulaïd entre l’Algérie et la Mauritanie a constitué la première pierre, posée pour promouvoir la coopération commerciale entre l’Algérie et la Mauritanie. Ce poste frontalier sera renforcé par la création d’une base logistique dans la wilaya de Tindouf en faveur des opérateurs économiques exportateurs. Pour rappel, le poste frontalier terrestre Chahid Mustapha-Ben Boulaïd a déjà servi pour le passage de la caravane qui avait acheminé les marchandises algériennes qui ont été exposées lors de l’exposition spécifiques des produits algériens à Nouakchott en Mauritanie, du 23 au 29 octobre 2018.
Saïd Smati
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Écrit par Samir Mouloud et NADIA BELLIL
Les imams d’Algérie vont consacrer demain leur prêche au thème de la « harga » et tenter de dissuader les candidats à l’immigration clandestine et de leur projet de quitter le pays par tous les moyens. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs les a appelé
, en effet, à consacrer le prêche à la sensibilisation aux risques et aux périls de la « harga ». Mohamed Aïssa a expliqué son initiative par le fait que la prière du vendredi, par son côté rassembleur, permet aux imams de diffuser la bonne parole et de « soulever la question sensible de l’immigration irrégulière afin de convaincre de son caractère potentiellement meurtrier. Pour le ministre, la « Méditerranée, ce cimetière à ciel ouvert, comme les bateaux de la mort, sont devenus un cauchemar pour les familles algériennes ». « Exposer sa vie au danger est contraire aux préceptes, valeurs et principes de l’Islam. C’est un péché », ajoute le ministre dans son message posté sur sa page Facebook. Dans une déclaration à « Reporters », le président du Syndicat national des imams, Djelloul Hadjimi, indique que les responsables des mosquées et lieux de culte musulman ont été invités à consacrer une partie de leur prêche du vendredi aux dangers de la « harga ». Il a ajouté que la corporation des imams n’a pas attendu les instructions de Mohamed Aïssa pour aborder ce sujet d’actualité brûlante et appeler les fidèles à la sensibilisation contre « l’infortune » de la migration irrégulière. « Recourir à la voie irrégulière pour gagner un autre pays n’est pas une solution.
Elle est largement prohibée parce que des vies humaines sont mises en danger », ajoute l’imam, en s’appuyant sur des versets coraniques.
Les députés indépendants demandent une allocation chômage de 18 000 DA
Par ailleurs, le groupe parlementaire des indépendants à l’Assemblée populaire nationale (APN) interpelle le Premier ministre Ahmed Ouyahia à propos du phénomène de la harga. « Nous, en tant que groupe parlementaire des indépendants, avons interpellé via une question orale le gouvernement, à travers la saisine du Premier ministre en sa qualité de premier responsable exécutif, pour qu’il prenne en charge l’épineuse question de la harga », a confié, hier à «Reporters», Lamine Osmane, président du groupe parlementaire des indépendants à l’APN. Aussi, et tout en expliquant que « le peuple vit une situation sociale critique à travers cette harga », Osmane notera qu’« il est de notre devoir de tirer la sonnette d’alarme et d’alerter les pouvoirs publics sur cette problématique des plus préoccupantes».
Le groupe parlementaire des indépendants ne se limite pas à la saisine du Premier ministre mais formule tout autant des propositions pour mettre fin à ce fléau « qui ne cesse de prendre de l’ampleur », tient-il à préciser. C’est ainsi qu’il réclame une allocation chômage de l’ordre de 18 000 DA aux jeunes chômeurs
« jusqu’à ce qu’on leur trouve des emplois, et ne s’aventurent plus dans la harga », précise-t-il.
« Pour les jeunes de plus de 26 ans et qui sont toujours à la recherche d’un emploi, l’Etat doit mettre la main à la caisse pour les aider et leur permettre de vivre décemment dans l’honneur et de ne pas risquer leur vie dans la harga », a-t-il expliqué à cet égard. Le gouvernement accédera-t-il à cette demande intervenant dans une situation économique et financière difficile ? Rien n’est moins sûr au regard des récentes mises en garde du Gouverneur de la Banque d’Algérie (BA) Mohamed Loukal, lors de sa présentation du rapport annuel sur l’évolution économique et monétaire de l’Algérie en 2016 et 2017. C’est cette même situation financière délicate qui a été, également, à l’origine du refus de la révision de l’allocation des handicapés. En effet, la ministre de la Solidarité nationale Ghania Eddalia avait été saisie récemment par des députés, lors d’une question orale à propos de la situation de « pauvreté » dans laquelle évolue la catégorie des handicapés. La ministre, qui avait reconnu la légitimité de la revendication, compte tenu des conditions « de vie actuelles de cette frange de la société et des difficultés auxquelles elle se heurte », avait déploré une situation financière qui « ne peut pour l’heure répondre à cette exigence ». Les personnes handicapées dont le taux d’invalidité est de 100%, ne pouvant pas travailler, âgés de plus de 18 ans et sans aucune source de revenu, bénéficient d’une allocation financière de 4 000 DA/mois et les handicapés dont le taux d’invalidité est inférieur à 100% bénéficient d’une allocation de 3 000 DA/mois. Des observateurs estiment que si le gouvernement n’a pas répondu favorablement à l’exigence de revoir l’allocation des handicapés, il est peu probable qu’il alloue une allocation chômage de 18 000 DA. Peut-être que le gouvernement à défaut de mettre la main à la poche pourrait trouver d’autres solutions au phénomène de la harga.
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La sélection nationale des joueurs locaux, renforcée par deux joueurs évoluant à l’étranger, rencontrera cet après-midi (13h00 heure algérienne), l’Equipe nationale du Qatar, à Doha, en match amical à huis clos.
Pour le premier match officiel de la sélection des locaux sous la houlette du sélectionneur Djamel Belmadi, il faut dire que ce sera un match «historique» dans la mesure où c’est la première fois qu’un match amical officiel de l’équipe algérienne est annoncé à huis clos, sans la présence du public et surtout également, de la presse. L’explication à cette option est simple: c’est le sélectionneur du Qatar, l’Espagnol Félix Sanchez, qui a exigé que cette rencontre se joue sans la présence du public et de la presse. Il s’agit de l’avant-dernier test pour le Qatar qui doit affronter l’Iran le 31 décembre, avant la coupe d’Asie des nations prévue du 5 janvier au 1er février. En d’autres termes, le coach espagnol du Qatar veut cacher ses options tactiques et techniques aux différents concurrents à la phase finale de la coupe d’Asie, des nations qui débutera le 5 janvier prochain aux Emirats arabes unis. Le Qatar se trouve en effet d’une part, dans le groupe «E» en compagnie de l’Arabie saoudite, du Liban, et de la Corée du Nord, d’autre part, il est important de signaler qu’à l’issue de ce match amical, on ne pourrait faire d’analyse et on se contentera uniquement des déclarations des sélectionneurs et des joueurs. Ça serait donc un match important pour les sélectionneurs des deux équipes ainsi que pour les joueurs qui tenteront d’arracher une place avec la sélection nationale fanion. D’ailleurs, le sélectionneur des Verts et ex-sélectionneur du Qatar, retrouvera ses mêmes joueurs qataris qu’il a drivés, avant de rejoindre l’équipe d’Algérie. Il connaît bien donc, cette formation qatarie et il sait très bien qu’elle est supérieure à celle qu’il mène aujourd’hui. Encore faut-il bien préciser que le Qatar de ces dernières années est bien différent de celui des années 70 où l’Algérie pouvait le battre sur des scores lourds. Le football qatari a beaucoup progressé, contrairement au nôtre. En tout cas, ce match amical est important pour le choix des joueurs et des tactiques qu’ils pourront adopter. Pour les joueurs de Belmadi, il s’agit de montrer ce dont ils sont capables pour avoir la confiance du sélectionneur en vue d’une éventuelle convocation chez les A. «Le Qatar est en train de préparer la Coupe d’Asie des nations, ils sont sur une série de très bons matchs. C’est une équipe de qualité. Ça va être un très bon test pour nos joueurs, une bonne opportunité de pouvoir démontrer leurs qualités et une opportunité pour moi aussi de voir à ce niveau ce qu’ils sont capables de faire», a indiqué Belmadi dans un entretien vidéo diffusé samedi en fin de soirée sur le site officiel de la EAF.
De 2015 à 2018
Au passage, il est utile de rappeler que, l’Algérie et le Qatar se sont déjà rencontrés le 26 mars 2015 où le Qatar était alors dirigé par le même Djamel Belmadi qui a battu sur le même stade de cet après-midi, Abdellah Bin Khalifa, la sélection algérienne drivée par le Français Christian Gourcuff (1-0). L’unique but de la partie a été marqué par Ali Saâd à la demi-heure du jeu. La sélection «A» algérienne avec les Mahrez, Taïder, Bentaleb, R. Ghezzal, Belfodil, Brahimi, Slimani et autres ont bien raté leur match face aux Qataris. Aujourd’hui, seul Belaïli était présent lors du match de 2015. A ce moment-là, il n’était que remplaçant: aujourd’hui, c’est un «cadre» qui aide les jeunes à se familiariser avec la sélection algérienne. Côté qatari, on citera le nom de ce joueur né et formé en France alors qu’il est d’origine algéro-marocaine. Il s’agit du milieu de terrain Karim Boudiaf. En 2010 lorsque Yebda, Ziani, Belhadj et Matmour faisaient des merveilles chez les Verts, Saâdane ne s’intéressait pas à Boudiaf qui avait même joué avec le fils de Rabah Madjer au Qatar. Voyant le Mondial qatari à l’horizon, Boudiaf ne réfléchit pas à deux fois pour une naturalisation et le voilà qatari. Il est en sélection du Qatar depuis 2013.
Les Qataris, c’est du solide
Et justement, question préparation, le Qatar est entré en stage, il y a une semaine environ avec pas moins de 27 joueurs. Ce qui explique pourquoi le sélectionneur espagnol de cette équipe qatari multiplie les matchs amicaux pour faire un choix le plus juste et le plus judicieux afin de bien aborder la coupe d’Asie. C’est pourquoi depuis le début de ce dernier stage, le Qatar a déjà battu en amical, dimanche dernier la Jordanie (2-0) à Doha avant de jouer, hier, son deuxième match amical toujours à Doha face au Kirghistan. Aujourd’hui, c’est au tour de la sélection algérienne des locaux renforcée par l’attaquant Baghdad Bounedjah (Al-Sadd/Qatar) et le milieu offensif Youcef Belaïli (ES Tunis/ Tunisie) d’être le sparring-partner de l’équipe du Qatar. Ensuite, les Qataris joueront leur dernier match amical le 2 janvier prochain face à l’Iran, avant de s’envoler en direction des Emirats pour disputer la phase finale de la coupe d’Asie. Avec ce nombre de matchs amicaux juste pour cette semaine, il est certain que le sélectionneur du Qatar va procéder à des changements dans son «onze» rentrant, pour «simuler» les matchs dans la même tranche de jours (48 heures) chaque match en phase de poules. Un turn over est donc obligatoire pour permettre à des joueurs de récupérer entre les matchs. Le tout pour bien préparer l’équipe à la phase finale de la coupe d’Asie. Quant à Belmadi, c’est surtout pour voir les «jeunes» Algériens à l’oeuvre pour une éventuelle convocation chez les A.
Par Saïd MEKKI
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Le ministre du tourisme, Abdelkader Benmessaoud, a évoqué hier sa feuille de route pour cette saison du Tourisme Hivernal. Et principalement la problématique que pose l’obtention du visa pour les touristes. Il a ainsi, promis les délais pour son obtention ne sauraient dépasser 3 jours.
Le ministre a évoqué également les coûts exorbitants du séjour. En affirmant que la majorité des hôtels afficheront des réductions qui oscilleront autour de 30% .
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Abane Ramdane est né le 10 juin 1920 à Azouza dans la commune de Larbaâ Nath Irathen dans la wilaya de Tizi Ouzou(Algérie), et assassiné le 27 décembre 1957 au Maroc. C’était un homme politique algérien qui a joué un rôle essentiel dans l’histoire de la révolution algérienne, il est considéré aujourd’hui encore comme le dirigeant « le plus politique » du FLN, surnommé « l’architecte de la révolution ».
Afin de lutter contre la domination française, Abane Ramdane a su regrouper et unir au sein du FLN l’ensemble des courants politiques. Il est le principal organisateur du congrès du Soummam, et a opté pour le pluralisme politique et linguistique en Algérie.
C’est lui même qui a décidé avec Larbi Ben M’Hidi et Yacef Saadi de déclencher la bataille d’Alger, durant laquelle, il est chargé avec Ben M’hidi de superviser l’action militaire, et coordonner l’action et la propagande politiques en direction de la population algérienne.
Il est assassiné le 27 décembre 1957, à l’age de 37 ans, dans une ferme proche de la ville marocaine de Tétouan. Son corps, disparu, est symboliquement rapatrié en Algérie en 1984, pour être « inhumé » au carré des martyrs du cimetière d’El Alia, à Alger.
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Houari Boumédiène de son vrai nom Mohamed Ben Brahim Boukharouba est né le 23 août 1932 à Guelma, et décédé le 27 décembre 1978 à Alger. Houari Boumédiène était un militaire promu colonel et un homme politique. Très jeune il est connu à travers les événements sanglants du 8 mai 1945 à Sétif et à Guelma, dont il précise plus tard : « Ce jour-là, j’ai vieilli prématurément. L’adolescent que j’étais est devenu un homme. Ce jour-là, le monde a basculé. Même les ancêtres ont bougé sous terre. Et les enfants ont compris qu’il faudrait se battre les armes à la main pour devenir des hommes libres. Personne ne peut oublier ce jour-là».
Houari Boumédiène a entreprit des études coraniques dans divers institut à savoir: l’institut Kettania de Constantine, puis l’institut Zitouna de Tunis ; et enfin l’institut al-Azhar du Caire.
En 1955 il retourne en Algérie où il rejoint les rangs de l’Armée de libération nationale, après l’indépendance il devient vice-président et ministre de la Défense du Conseil de la Révolution.
En 1975 il accueille le premier sommet de l’OPEP par le biais duquel les membres du cartel ont pu définir une politique pétrolière concertée. Dans le sillage de cette même réunion, il parvient à sceller la paix entre l’Iran du Chah et l’Irak de Saddam Hussein. Sur le plan intérieur, il fit voter en 1976 une charte en vertu de laquelle il promulgue la constitution d’une Assemblée législative ainsi que la création du poste de président de la République, soumis au suffrage universel.
À partir de l’année 1978, les apparitions publiques du président Houari Boumédiène diminuent, souffrant d’une maladie du sang, il décède le 27 décembre 1978.
En son honneur l’aéroport d’Alger porte son nom : « Aéroport d’Alger Houari Boumédiène », ainsi que sa commune de naissance qui se situe à l’ouest de Guelma.
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Par Hasna YACOUB
Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, réunira aujourd’hui, le Conseil des ministres pour signer l’avant-projet de la loi de finances 2019. C’est du moins ce qu’ont affirmé nos sources. Ce qui reste très probable vu que le chef de l’Etat est tenu, selon les lois de la République, de signer ce document avant la fin de l’année en cours, à savoir le lundi prochain. Lors de ce dernier conseil de l’année 2018, le président Bouteflika fera des déclarations importantes, comme l’a laissé entendre, en début de cette semaine, la secrétaire générale du PT, Louisa Hanoune, ou se suffira de donner des orientations générales à son Exécutif pour une mise en oeuvre scrupuleuse et diligente du programme tracé pour le développement du pays sur tous les plans en ces temps durs de crise économique. Si le président de la République décide de faire des déclarations politiques, cela ne pourrait porter que sur la prochaine échéance électorale, ce qui permettra, à ne pas en douter, de dissiper l’épais brouillard qui s’est abattu, depuis quelques semaines déjà, sur la scène politique. Mais en ce qui concerne l’économie, des déclarations, il en fera certainement. Car, il faut rappeler que pour l’année 2019, le projet de loi de finances a été établi sur la base d’un baril de pétrole à 50 dollars. Ce prix était censé être un prix de sécurité qui offre une certaine manoeuvre aux décideurs pour rééquilibrer la balance budgétaire or, depuis quelques jours, le scénario imaginé par l’Algérie tourne presque au cauchemar, puisque actuellement avec un prix de baril oscillant autour des 50 dollars, la ligne rouge est atteinte et si elle venait à être franchie, cela remettrait sérieusement en question bon nombre d’objectifs et compromettrait les décisions prises dans le cadre de la loi de finances 2019. L’Exécutif sera peut-être appelé par le chef de l’Etat à réfléchir à un plan B pour faire face à cette situation en attendant la mise sur les rails de l’ensemble des réformes économiques permettant au pays de sortir de l’emprise des exportations des hydrocarbures. Ce qui reste certain, c’est que l’Algérie est condamnée à poursuivre ses investissements afin de lancer la machine de la production nationale et de créer son tissu de petites et moyennes entreprises. Seule manière de faire baisser sérieusement les importations et d’aller vers les exportations hors hydrocarbures. C’est cet objectif qui a été tracé dans le projet de loi de finances 2019 qui table sur une croissance de 2,6%, une inflation qui ne dépasse pas les 4,5% et une réduction du déficit jusqu’à -17,2 milliards de dollars. Tout cela sans qu’il n’y ait d’impact sur le niveau de vie du citoyen puisque aucune nouvelle taxe n’est prévue pour cette année et le montant des transferts sociaux a été revu à la hausse pour atteindre les 1772,5 milliards de dinars. Ce qui confirme donc le maintien de la politique sociale et le soutien aux familles pour lequel un budget de 445,3 milliards de dinars est prévu.
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par K. B.
Les éléments de contrôle des voyageurs des services des Douanes du port maritime de Ghazaouet ont saisi, au courant de la semaine dernière 16.000 euros, un montant qu’un voyageur qui venait d’Almeria (Espagne) n’a pas déclaré lors des formalités, à son arrivée au port, a-t-on appris hier auprès de la direction régionale des Douanes de Tlemcen.En effet, c’est au cours d’un contrôle des passagers que les douaniers chargés de la visite des voyageurs ont découvert cette somme d’argent en devises dissimulée sous les vêtements d’un individu, un Algérien établi en France, qui ne l’a pas déclarée auprès des Douanes, ce qui constitue une infraction à la législation des changes. Le contrevenant en question a été, selon la même source, présenté devant la justice, à Ghazaouet. Il devra s’acquitter d’une amende équivalente à 10 fois le montant saisi.
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La circulation dans la Capitale pourrait bien être perturbée, aujourd’hui. Et pour cause : la Wilaya d’Alger reprend la 3e et dernière
phase de la 24e opération de relogement. 1.800 familles vivants dans des habitations précaires, des bidon villes bâtis sur des zones sensibles ou à vocation industrielle ou agricole, sont concernées. Parmi elles, on compte également celles occupants des espaces dans des établissements scolaires.
Les itinéraires qui pourraient en être perturbés sont délimités dans les zones où va se dérouler l’opération.Ainsi, la zone de départ se situe au niveau des sites suivants : – La Casbah. -Cité Dergana. -Ain Kahla (Cheraga).-Cité Bentalha (Baraki ). – Bourouba.
Les familles seront conduites vers leurs nouvelles demeures au niveau de : Ouled Fayet, Douiéra, Cité Mihoubet Baraki.
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ÉTAPE 1Préchauffez le four th.6 (180°C).
ÉTAPE 2Coupez le pain en tranches fines.
ÉTAPE 3Coupez les tomates en rondelles, déposez 1 rondelle de tomate sur 1 tranche de pain.
ÉTAPE 4Coupez la mozzarella en tranches et déposez-en 1 sur la tomate.
ÉTAPE 5Salez, poivrez et saupoudrez d’herbes de Provence et l’huile d’olive.
ÉTAPE 6Faîtes de même pour toutes les tranches et placez-les sur la plaque du four.
ÉTAPE 7Enfournez pendant 10 min.
ÉTAPE 8Servez tiède.
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ÉTAPE 1Préparation de la crème : pour une crème onctueuse, mélangez le fromage frais type « St Moret » à la crème légère. Salez et poivrez à votre goût. Réservez la crème au frais pendant 1 h minimum. Placez ensuite cette crème dans une poche à douille.
ÉTAPE 2Sur une planche en bois, découpez le saumon fumé en petites tranches (de la taille de vos crackers).
ÉTAPE 3Le montage : disposez le mélange avec la poche à douille sur vos crackers. « Coiffez » vos toasts avec la tranche de saumon et terminez par un brin d’aneth.
ÉTAPE 4Réservez au frais avant de servir. Complétez d’une rondelle de citron vert pour la décoration.
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ÉTAPE 1Epluchez les pommes de terreet râpez-les. Placez-les dans une terrine et réservez. Épluchez les oignons, coupez-les grossièrement puis mixez-les. Ajoutez-les dans la terrine. Mélangez.
ÉTAPE 2Ajoutez les oeufs entiers un à un et la farine, salez et poivrez à votre convenance. Mélangez bien le tout avec une cuillère en bois.
ÉTAPE 3Versez de l’huile d’olive dans une poêle et faites-la chauffer à feu moyen. Lorsque l’huile est chaude, déposez-y des petits tas de pâte, formés à l’aide de deux petites cuillères. Faites cuire quelques minutes en retournant à mi cuisson afin que les beignets soient bien dorés de chaque côté. Servez les beignets de pomme de terre bien chauds.
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Ce mercredi, la protection civile vient enfin de parvenir a extraire la dépouille du jeune AYACHE Mahdjoubi, âgé de 31 ans, tombé il y a maintenant 9 jours dans un puits, situé dans le village d’oum cheml, au sud-ouest de la wilaya m’sila.
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(Agence Ecofin) – Le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, le 21 décembre 2018, un décaissement d’un montant de 35,05 millions de droits de tirages spéciaux (DTS), soit environ 48,6 millions $, en faveur du Tchad.
Ce nouvel appui financier intervient à l’issue de la troisième revue du programme économique et financier appuyé par un accord au titre de la facilité élargie de crédit (FEC) avec le Tchad. Il porte ainsi le total des décaissements effectués au titre de cet accord à 140,2 millions de DTS (environ 194,5 millions $).
L’institution de Bretton Woods a, par ailleurs, approuvé la demande présentée par les autorités tchadiennes d’une dérogation « pour inobservation du critère de réalisation continu relatif à l’accumulation de nouveaux arriérés de paiements extérieurs par l’Etat et les entreprises publiques non financières ».
Concernant la mise en œuvre de ce programme appuyé par la FEC, le FMI relève qu’en dépit de certains retards, les réformes structurelles entreprises par les autorités tchadiennes se poursuivent de façon « satisfaisante ».
« Les autorités sont déterminées à continuer de stabiliser la position budgétaire, de dynamiser la croissance hors pétrole et de réduire la vulnérabilité du secteur bancaire.», note l’institution.
« A cet égard, il s’agit principalement de maîtriser la masse salariale, ainsi que d’améliorer la mobilisation des recettes intérieures et la gestion des finances publiques. Cela contribuerait à créer un espace suffisant pour accroître les dépenses sociales et l’investissement public, et pour réduire la dette et les arriérés intérieurs. Il sera essentiel aussi de renforcer la législation relative à la lutte contre la corruption et de s’attaquer aux faiblesses de certaines banques intérieures.», soutient le FMI.
Rappelons que l’accord FEC en faveur du Tchad, a été approuvé par le conseil d’administration du FMI le 30 juin 2017, pour un montant de 224,32 millions de DTS (environ 312,1 millions $, ou 160 % de la quote-part du pays).
Ce programme vise à aider le Tchad à rétablir la stabilité macroéconomique, à jeter les bases d’une croissance vigoureuse et inclusive, et à contribuer à l’effort régional qui est déployé pour rétablir et préserver la stabilité extérieure de la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (CEMAC).
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Agence Ecofin) – Le produit intérieur brut du Rwanda a enregistré une progression de 7,7% durant le troisième trimestre de 2018, grâce notamment aux bonnes performances des secteurs des services et de l’industrie, selon des données publiées par l’Institut national de la statistique (NISR).
Cette progression met l’économie du pays des mille collines sur la bonne voie pour atteindre le taux de croissance de 7,2% projeté pour l’ensemble de l’année 2018.
Entre le 1er juillet et le 30 septembre 2018, le secteur de l’industrie a enregistré une croissance de 12%, alors que celui des services a progressé de 7%.
Les secteurs des mines et de l’agriculture ont enregistré des taux de croissance respectifs de 7% et 5%.
Le secteur des services est le premier contributeur au PIB du Rwanda (48%), devant l’agriculture (28%).
Commentant les données de l’Institut national de la statistique, le ministre des Finances et de la Planification économique, Uzziel Ndagijimana, a indiqué que le taux de croissance de 7,2% prévu par le gouvernement, sera certainement atteint.
Selon lui, le gouvernement table sur un taux de croissance de 8% en 2019.
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Les habitants de cette localité, livrés à eux-mêmes, ne savent plus où donner de la tête ni à qui se plaindre du manque de soins et d’une prise en charge sérieuse qui mettrait fin à leurs souffrances.
Une journée au fin fond du désert. Parler du secteur de la santé à Bordj Badji Mokhtar, ville du désert, c’est prêcher dans le désert sans jeu de mots. Un secteur quasiment moribond et totalement abandonné par les praticiens de la santé, publics ou privés soient-ils. Les habitants de cette localité, livrés à eux-mêmes, ne savent plus où donner de la tête ni à qui se plaindre du manque de soins et d’une prise en charge sérieuse qui mettrait fin à leurs souffrances. C’est avec une grande dignité qu’ils font face à leurs déboires et à leur injuste abandon qui fait d’eux une population laissée pour compte, mais qui tient le coup. Se faire soigner dans cette localité du Grand Sud, c’est réussir le parcours du combattant pour avoir un rendez-vous préalable à une simple auscultation auprès d’un médecin généraliste. Pour y arriver, les pauvres malades doivent dans la plupart du temps attendre des jours, voire même des semaines pour obtenir le fameux sésame et non moins précieux rendez-vous…
Deux généralistes pour 70.000 personnes..
Il faut dire qu’en dépit de son statut de wilaya déléguée, Bordj Badji Mokhtar qui compte plus de 70.000 habitants, ne dispose que de deux médecins généralistes. Deux seuls praticiens qui, bien que dépassés par le nombre en nette croissance de malades, se vouent corps et âme à leur noble mission. A Bordj Badji Mokhtar, il ne faut surtout pas tomber malade, car se serait s’exposer à une rapide dégradation de votre état de santé sans que personne ne puisse vous venir en aide… Dans cette ville fantôme tout le monde est exposé aux maladies diverses, mais les plus vulnérables restent sans conteste les vieux, les enfants et les femmes, notamment celles enceintes. Lundi, 17 décembre, à 5 heures du matin, un avion transportant une délégation humanitaire, avec une dizaine de médecins spécialistes à son bord, a décollé d’Alger vers Adrar et de là vers Bordj Badji Mokhtar avec pour mission principale une grande opération d’approche, de proximité et de consultation de larges pans des populations locales.
Conscients de la situation désastreuse dans laquelle baigne le secteur de la santé dans cette partie du pays, lesdits médecins ont consacré une journée pour consulter près de 1500 personnes, dans une polyclinique à l’état d’abandon, désertée en raison du manque de moyens tant humains que matériels. Dépités par l’amère constatation faite quant à la situation du secteur et armés de leur seule motivation et d’une grande générosité dans l’effort personnel, ils se sont voué corps et âmes pour donner un peu de chaleur et de réconfort moral à tous les malades qu’ils ont examinés. Formée de spécialistes en cardiologie, gynécologie, pédiatrie, urologie et d’autres domaines, la délégation en question avait mission d’évaluer, sur tous les plans, la situation sanitaire dans la région.
Les témoignages de ces praticiens de la santé sont effarants tant l’état des lieux très délabré laisse à méditer sur le pourquoi et le comment de la situation. Le constat est sans appel. Même l’endroit ayant servi pour la consultation de centaines de malades qui affluaient des quatre coins de la région est dévasté, en ruine. Un véritable désastre. Tomber malade à Bordj Badji Mokhtar c’est tout simplement mettre un pied dans la tombe.
Témoignages poignants des médecins
Pour le docteur Beleli, spécialiste en urologie, cette mission vient malheureusement, confirmer un mal bien enraciné au sein d’une population sans protection. Tout commençait par une bonne intention. «Ce voyage était programmé le début de l’année en cours, malheureusement nous n’avons pas pu venir a cause du manque de transport. Y a pas de vol direct, ce qui nous paralyse, et pénalise les malades», regrette le docteur en décrivant l’état sanitaire des malades auscultés.
Inquiétés par la banalisation et l’abandon, ils lancent un cri de détresse. «Nous ne savons plus à qui nous adresser. Il faut savoir que cette région est un carrefour pour les migrants clandestins. Ce qui augmente la possibilité de contamination des maladies dangereuses. Et en manque de moyens, la situation risque de se dégrader», ajoute le même médecin en dénonçant avec force l’épidémie de l’indifférence. «Notre prochaine mission consiste à fournir des consultations en santé pour plus de malades. De vacciner le maximum d’enfants et d’aider des femmes à accoucher dans des meilleures conditions», souligne un autre médecin de la délégation. «Pour les patients qui ont besoin d’un traitement chirurgical en urgence, ils seront pris en charge au niveau de l’hôpital d’Adrar, lors de notre prochaine mission», expliquant, que malheureusement, aucune infrastructure sanitaire décente n’existe dans cette région.
Les malades doivent rouler près de 800km pour arriver à Adrar. Les soins médicaux sont aussi fournis aux personnes venant d’autres pays voisins. «Maladies gastriques, infections respiratoires, douleurs et courbatures généralisées, maladie de la peau, sont les principales pathologies fréquemment rencontrées», témoigne à L’Expression le docteur Beleli. Pour lui, en l’absence d’une prise en charge immédiate, certains cas se compliquent davantage. De son côté, le gynécologue a constaté lors de ses consultations que deux femmes enceintes portaient des foetus morts. Grossesses dans un stade avancé arrêté, sans que les mamans découvrent l’arrêt de leurs grossesses. Les femmes enceintes sont très vulnérables. Leurs situations dégénèrent au cours du parcours de leurs grossesses. «Ça provoque souvent des complications sévères et parfois fatales. La mortalité des femmes est très élevé», indique le même docteur. Sur les centaines de personnes inscrites, certains diagnostics sont critiques. Certains sont dans un état de santé déplorable, mais hélas, ils ne seront pas placés en observation pour effectuer des examens. La crise des médecins résidents, semble, compliquer davantage la situation sanitaire des habitants de cette région. Les médecins refusent d’exercer au Grand Sud. Pour certains, en manque de moyens, les médecins ne peuvent pas faire grand-chose…
Construction de nouvelles infrastructures décentes
Depuis quelques mois, le ministère de la Santé, avait déclaré que de nouveaux acquis pour le secteur de la santé viennent étoffer progressivement les structures de santé et les spécialités médicales dans la wilaya d’Adrar. Il s’agit de la construction d’un nouvel hôpital de 240 lits «Abdelkrim Bouderghouma», dans la nouvelle ville de Tellilen, au Nord d’Adrar.
La tutelle a estimé, dans ce cadre, que cette infrastructure, permettra d’atténuer la pression sur l’hôpital Ibn Sina, au chef-lieu de la wilaya d’Adrar. Aussi, est prévue la réalisation d’un autre hôpital psychiatrique de 120 lits, d’un établissement public hospitalier (EPH) de 120 lits, et d’un centre anticancéreux de 140 lits. On note, qu’une importante enveloppe a été accordée à l’équipement du centre anticancéreux. Un montant de 600 millions DA a, ainsi, été destinée à la mise en oeuvre et l’exploitation partielle de cette structure, dans le domaine de la radiothérapie, pour consolider la chimiothérapie disponible au niveau de certaines structures hospitalières de la wilaya. Les prochains mois seront probablement, marqués par d’autres missions similaires…
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Le retrait des troupes Américaines de Syrie aurait un impact négatif sur l’Irak, a déclaré, lundi, le Premier ministre Irakien Adel Abdulmahdi.
« Nous avons discuté de la décision Américaine de retirer ses troupes de la Syrie, laquelle aura des répercussions considérables sur l’Irak », a indiqué ce dernier lors d’une conférence de presse.
« S’il y a une tension de sécurité en Syrie, il y aura une vague migratoire, et l’Irak sera l’un des premiers pays exposés », a expliqué l’homme d’Etat Irakien.
Celui-ci a par ailleurs démenti que l’Irak ait reçu une demande de la part des Etats-Unis d’accueillir leurs troupes retirées de la Syrie.
Le Premier ministre Irakien a révélé que le secrétaire d’Etat Américain, Mike Pompeo, l’avait informé du retrait des troupes Américaines avant la mise en oeuvre de cette décision.
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Tous les enfants sont égaux devant la loi et les droits. Cependant ces droits de l’enfant -comme avoir une famille, le loisir, l’éducation et la santé – indéniablement acquis et aspire à une protection, sont tout bonnement bafoués.
Les aléas de la vie ne les privent pas seulement les enfants de ces droit mais ils subissent des comportements inhumains au sein de la famille, le voisinage ou endurent simplement sous le diktat de l’environnement précaire qui les entoure.
Des conditions qui les poussent à fréquenter des milieux qui ne sont pas les leurs à savoir : la délinquance, la criminalité ou la traite des enfants et se trouvant impuissant victimes de la mendicité, du travail forcé et de la prostitution.
Rencontrée par Karima Hasnaoui, l’officier Ait Messaoudène, membre représentant de la sûreté nationale au Conseil national de la protection de l’enfance, évoque plusieurs mécanismes mis en place par les pouvoirs publics pour lutter contre ces fléaux sociaux qui menacent l’enfance, citant des brigades régionales d’investigation sur la délinquance juvénile, les brigades régionales de protection de l’enfant et des personnes vulnérables.
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Le ministre de l’Industrie et des Mines a d’ailleurs effectué une visite au Japon le mois dernier.
Le ministre japonais des Affaires étrangères, Taro Kono, effectuera à partir d’aujourd’hui une visite officielle en Algérie. Lors de cette visite qui s’inscrit «dans le cadre des relations d’amitié et de coopération qu’entretiennent l’Algérie et le Japon, le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s’entretiendra avec son homologue japonais sur les relations bilatérales dans leurs différents volets, notamment économique», rapporte un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
La dimension économique de cette visite trouve sa justification dans la baisse brutale de la valeur des échanges entre les deux pays. En effet, en raison de la suspension d’importation de 850 produits, les échanges entre les deux pays sont passés de 2 milliards à 400 millions de dollars seulement. Un manque à gagner côté nippon qui n’est pas du tout négligeable et qui intervient dans un contexte international où l’Afrique, et l’Algérie en tête, entre dans les agendas des grandes puissances de la planète. Avant l’arrivée du ministre japonais, le Premier ministre algérien a accueilli son homologue sud-coréen, avec à la clé, une réelle volonté de sa part, de passer à la vitesse supérieure. Le Japon et la Corée du Sud sont précédés par la Chine qui ne cache pas son ambition de faire de l’Algérie une porte d’entrée vers l’Afrique dans le cadre de son mégaprojet «La ceinture et la route». Les trois dragons du sud-est-asiatique semblent animés de la même détermination à s’implanter sérieusement en Afrique et l’Algérie est visiblement un partenaire incontournable pour Pékin, Séoul et Tokyo.
Si les deux premiers s’appuient sur une ébauche de tradition de partenariat, pour le Japon par contre, les relations sont réduites à leur plus simple expression. Et pour cause, il n’y a pas eu une visite de niveau ministériel depuis août 2010. C’était le ministre délégué auprès du ministère de l’Economie japonaise qui s’était rendu à Alger.
Pour rattraper son retard, le gouvernement japonais a d’abord missionné son ambassadeur en Algérie pour des entretiens avec le président du FCE, le ministre du Travail et le ministre du Tourisme. Ces trois rendez-vous ont eu lieu durant les mois de novembre et décembre. Ceci laisse penser que la visite du ministre des Affaires étrangères japonais revêt un caractère essentiellement économique.
Il faut dire que le renforcement du partenariat a fait l’objet de plusieurs appels lancés d’un côté comme de l’autre. Le ministre de l’Industrie et des Mines a d’ailleurs effectué une visite au Japon le mois dernier. Il a notamment visité l’usine Toyota, et s’est entretenu avec des responsables des firmes Nissan et Suzuki. Ces trois prestigieuses marques veulent ouvrir des usines en Algérie. Leurs dossiers sont en attente de validation par le CNI.
Pour rappel, les relations diplomatiques algéro-nippones ne datent pas d’hier. Le Japon a reconnu l’Algérie le 4 juillet 1962, alors qu’un bureau du FLN avait été ouvert à Tokyo en 1958. Pour autant, les relations tardent à se renforcer. Pour preuve, le projet de signature d’une convention de non-double imposition et de facilitation de procédures d’investissement, assorties d’une garantie et d’une promotion réciproque de ces dernières, traîne depuis 2010. Pour autant, les relations ne sont pas à l’arrêt, et prennent une dimension universitaire. Un appel à projets de coopération technique avait été lancé par l’ambassade du Japon en Algérie en direction des universités. Le Japon accorde également des bourses d’études tous les ans à une poignée d’Algériens désirant y étudier. Deux Algériens, dont un ancien ambassadeur au Japon, ont même été décorés de l’Ordre du Soleil levant, la deuxième plus haute distinction au Japon.
Les relations entre les deux pays ont toujours été bonnes, et l’Algérie a beaucoup à gagner d’un partenariat renforcé avec le Japon. Ce pays est une grande puissance économique et technologique. Le Japon, lui, gagnerait à se rapprocher de l’Algérie de par les opportunités qu’elle recèle et par sa position géographique stratégique.
Avec le Japon, ce sont les principales puissances économiques de l’Asie qui s’intéressent au partenariat avec l’Algérie.
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Une Argentine qui avait été enlevée en Bolivie il y a 32 ans, alors qu’elle était âgée de 13 ans, a été retrouvée au terme d’une enquête conjointe argentino-bolivienne, a annoncé mardi la gendarmerie nationale argentine. Cette femme de 45 ans avait été victime d’un trafic de traite d’êtres humains, a précisé la gendarmerie dans un communiqué. A la demande des autorités judiciaires argentines, l’unité spéciale de lutte contre le crime de la police nationale bolivienne a rassemblé ces derniers mois des preuves de la présence de la disparue à Bermejo, petite ville située dans l’extrême sud du pays.
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