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Affaire Khashoggi et guerre au Yémen: L’Arabie saoudite sous pression occidentale

Tue, 11/13/2018 - 16:10

Les alliés de Riyad ne comptent pas lâcher le royaume, mais cela ne les empêche pas de monnayer leur soutien à l’Arabie Saoudite en maintenant la pression sur les Ben Salmane.

Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont haussé le ton face à l’Arabie Saoudite à qui il est exigé aujourd’hui de mettre fin à sa guerre d’agression au Yémen, mais aussi de sanctionner les auteurs et les commanditaires de l’assassinat du journaliste saoudien opposant Jamal Khashoggi. Si les alliés de Riyad épargnent le roi, qu’ils n’impliquent pas directement, ils exercent en revanche une forte pression sur le prétendu au trône, le prince héritier Mohamed Ben Salmane, soupçonné d’être derrière la liquidation le 2 octobre dernier de Jamal Khashoggi dans le consulat saoudien à Istanbul. Dimanche soir, le secrétaire d’État américain, Mike Pompeo, est revenu à la charge en affirmant que Washington allait “demander des comptes à toutes les personnes impliquées dans le meurtre de Jamal Khashoggi”, estimant “que l’Arabie Saoudite devait en faire de même”.

Dans un entretien téléphonique avec Mohammed ben Salmane, dit “MBS”, M. Pompeo a également appelé à la “fin des hostilités” au Yémen ainsi qu’à des négociations, a indiqué la porte-parole du département d’État, Heather Nauert. Jeudi, le même Mike Pompeo s’était ainsi dit publiquement satisfait de la coopération des autorités saoudiennes pour faire la lumière sur ce crime. Mais la rencontre samedi soir à Paris des présidents turc et américain, lors d’un dîner organisé par l’Élysée, semble avoir été derrière ce changement de ton et le raidissement de Washington. Cela intervient aussi au lendemain des déclarations du président turc Recep Tayyip Erdogan, qui a affirmé avoir communiqué aux Américains des enregistrements supposément réalisés au consulat saoudien d’Istanbul le jour de la mort de Jamal Khashoggi. “Ils ont écouté les conversations qui ont eu lieu ici. Ils savent”, a assuré samedi le président turc lors d’une conférence de presse télévisée.

Vendredi, M. Erdogan avait déjà soutenu, dans une tribune, que l’ordre d’assassiner le journaliste saoudien émanait “des plus hauts niveaux du gouvernement”. Le président turc avait écarté la responsabilité du roi Salmane, mais n’avait pas absous, en revanche, son fils, régulièrement mis en cause depuis plusieurs semaines par des responsables et des médias turcs. Concernant la guerre au Yémen, Washington et Londres ont décidé de prendre quelque distance avec Riyad, même si l’on ignore encore les véritables motivations de cette décision qui intervient, elle aussi, dans un contexte particulier. Washington et Londres font pression sur l’Arabie Saoudite pour que la coalition qu’elle commande dans ce pays cesse les hostilités, que l’ONU dénonce sans cesse. L’Administration américaine de Donald Trump, visiblement sous la pression du Congrès, a confirmé l’annonce samedi par Riyad que la coalition sous commandement saoudien au Yémen allait désormais effectuer elle-même le ravitaillement en vol de ses avions, assuré jusqu’ici par les États-Unis. Le ministre britannique est favorable à une “nouvelle action” au Conseil de sécurité pour soutenir les efforts du médiateur de l’ONU au Yémen Martin Griffiths qui cherche à organiser un nouveau round de négociations “d’ici la fin de l’année”.

L. M./Agences

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Categories: Afrique

Conférence de Palerme sur la Libye: Haftar joue au chat et à la souris

Tue, 11/13/2018 - 15:35

Par Chaabane BENSACI

Outre Fayez al Serraj, Salah Aguila et Khaled al Mechri, le gouvernement italien a également invité à la réunion des dignitaires ainsi que des représentants de tribus et de la société civile.

Comme en juin dernier à Paris, une conférence internationale sur l’avenir de la Libye, en proie au chaos depuis 2011, s’est ouverte hier à Palerme, en Italie, avec comme premier aléa et contretemps improductif sur les résultats des discussions, l’incertitude concernant la présence en Sicile du maréchal Khalifa Haftar, l’homme fort de la Cyrénaïque. Il s’agit là d’une nouvelle opération visant à concrétiser le processus électoral et politique envisagé par le médiateur de l’ONU, Ghassan Salamé, dans la feuille de route présentée en décembre 2017 au Conseil de sécurité de l’ONU. Son ambition d’organiser des consultations législatives et présidentielle avant la fin 2018 avait alors séduit les pays membres qui ont ensuite multiplié les pressions sur les protagonistes de la crise, mais en vain! A un mois de l’échéance fixée alors, à savoir le 10 décembre, on sait clairement aujourd’hui que non seulement le calendrier était intenable, mais que les multiples facettes de la crise sont tellement contraignantes qu’aucune solution hâtive et circonstanciée ne saurait suffire pour ouvrir la voie à une solution globale.

Jeudi dernier, les Nations unies se sont résignées à reconnaître que, compte tenu des divisions et des luttes de pouvoir acharnées entre les différentes parties au conflit, la recherche d’une solution consensuelle implique le report du processus électoral à une date ultérieure, le printemps 2019 faisant office de nouveau cap pour le médiateur et ses efforts à Tripoli.La conférence de Palerme visait ainsi à conforter cette nouvelle approche, mais voilà que le refus injustifié de Khalifa Haftar d’y participer lui porte un coup regrettable, fragilisant davantage la médiation onusienne et démontrant, si besoin en est, que les forces de l’Armée nationale libyenne autoproclamée (ANL), qui contrôlent la plus grande partie du pays peuvent imposer leur loi, quelles que soient les pressions de la communauté internationale.Un des proches collaborateurs du maréchal libyen a d’ailleurs indiqué que le chef du gouvernement italien Giuseppe Conte s’était rendu dimanche à Benghazi, dans l’est de la Libye, pour tenter de convaincre Khalifa Haftar de faire le déplacement à Palerme, une information catégoriquement démentie ensuite par une source proche du gouvernement italien.

Du coup, on ne sait pas s’il y a eu un entretien téléphonique entre les deux hommes et quelles pourraient être les motifs invoqués par Haftar pour justifier son absence éventuelle ou confirmer sa participation, coupant court aux rumeurs actuelles.Toujours est-il que le fait même de le convier à la table des pourparlers aux côtés du chef du gouvernement reconnu (GNA), Fayez al Serraj, du président du Parlement, Aguila Salah, et celui du Conseil d’Etat, la chambre haute à Tripoli, Khaled al-Mechri, comme ce fut le cas précédemment à Paris, montre à quel point l’homme dispose d’atouts incontournables alors même que la situation de la Libye ne fait que renforcer son analyse et ses griefs à l’encontre de ses rivaux, comme les milices islamistes de Misrata, Zintan et autres brigades de défense de Benghazi.

Rome a également invité des dignitaires et des représentants de tribus ainsi que de la société civile, dans l’espoir d’apaiser les tensions qui minent continuellement les diverses parties, selon les circonstances et les intérêts du moment. Fayez al Serraj a une de fois plus nourri l’espoir que cette nouvelle conférence aboutisse à une volonté consensuelle de sortir le pays de la crise grâce à une «vision commune du dossier libyen». Il a, de ce fait, beaucoup insisté sur «la nécessité d’unifier les positions», sachant que l’Italie, contrairement à la France, est bien plus préoccupée par la question migratoire dont ses côtes font l’objet avec l’arrivée continue de dizaines de milliers de candidats. Raison pour laquelle le président du Conseil Giuseppe Conte a déclaré peu avant la tenue de la réunion que «la conférence de Palerme est un pas fondamental dans l’objectif de la stabilisation de la Libye et pour la sécurité de toute la Méditerranée».

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En prévision des sénatoriales: « Le FLN newlook investit le terrain »

Tue, 11/13/2018 - 14:52

Par Mohamed BOUFATAH 

Une cellule de suivi de la coalition de soutien au président de la République a été créée. Elle tiendra sa première réunion dimanche prochain.

Le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès, a affirmé que «tous les membres du bureau politique newlook », au nombre de 18, se sont déployés sur le terrain avec d’autres membres du comité central pour superviser le déroulement des primaires dans les 48 wilayas en prévision des sénatoriales du 29 décembre prochain». De même, note-t-il, «ils ont procédé, durant ces deux derniers jours, à la tenue des assemblées générales dans une vingtaine de wilayas où la désignation et la cooptation ont été totalement bannies». «D’ores et déjà, 20 candidats ont été élus par les urnes», a-t-il ajouté. «Cette opération d’élections primaires pour désigner les candidats au renouvellement partiel des membres du Sénat se terminera la semaine prochaine», a-t-il fait savoir.

Dans ce contexte, une instruction portant la transparence, l’ouverture des candidatures à tous les militants, a été émise par le secrétaire général. «Il y a deux jours, des incidents physiques ayant émaillé ces primaires ont été signalés entre les quatre prétendants de M’sila. Des grabuges et des contestations ont été signalés également à Annaba où les primaires entre 17 candidats ont dû être reportées à lundi prochain», a-t-il reconnu. «Naturellement, la fidélité au président et au parti sont les principaux critères retenus pour tous les candidats», a-t-il soutenu. En outre, il a déclaré que «dans le cadre de la coalition de soutien au président de la République créée récemment par les quatre partis (FLN, RND, MPA et TAJ) en prévision de l’élection présidentielle de 2019, il a été convenu de mettre sur pied une cellule de concertation et de suivi permanente composée de deux dirigeants de chaque parti».

Dans cet ordre d’idées, il a annoncé que «la première réunion des huit membres de cette cellule permanente pour la poursuite de la mission du président au-delà de 2019, est programmée pour dimanche prochain au siège du parti à Hydra». Par ailleurs, il a rappelé que «trois gros livres d’un volume global de plus de 2 000 pages, comportant le bilan des réalisations du président depuis 1999, chiffres et graphiques à l’appui, ont été élaborés par le parti». «Ces documents sont transmis au président de la République», a-t-il réitéré. «A partir de cet acquis, on a sollicité Monsieur le président pour la poursuite de sa mission et la décision finale lui appartient. Le mérite du chef de l’Etat est d’avoir surtout empêcher la dislocation de l’ Algérie», a-t-il observé.

En fait, indique-t-il, «le président n’a pas encore répondu» aux sollicitations ou supplications de rempiler pour un autre mandat. En substance, ma déclaration à ce sujet a été «mal interprétée par les médias étrangers». J’ai dit: «Il est une évidence que le candidat naturel du FLN à la présidentielle c’est le président du parti. Je n’ai pas dit que c’est le candidat officiel de l’Algérie. Chaque parti a un candidat», a-t-il encore réitéré. «Il est possible que le président annoncera la décision deux mois avant le scrutin présidentiel du 19 avril prochain», a-t-il estimé. «J’ai dit aux journalistes à Aïn Defla tout récemment que désormais, au FLN on ne parle que de sénatoriales. Je m’interdis de parler de présidentielle jusqu’au 1er janvier 2019», a-t-il souligné. S’agissant du clash entre le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh et le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, il a indiqué «qu’il interdit à quiconque de mêler le FLN dans les affaires de l’Exécutif. Le FLN soutient le gouvernement, à sa tête Ahmed Ouyahia», a-t-il poursuivi.

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Intervention des chefs des groupes parlementaires: Entre soutien et critique

Tue, 11/13/2018 - 14:35

Par Nadia BENAKLI 

Les chefs des groupes parlementaires de la coalition ont lancé un appel au président de la République à poursuivre son oeuvre.

Les débats sur le projet de loi de finances 2019 ne branchent pas trop les députés. Ces derniers étaient nombreux à déserter, hier, l’hémicycle. Au deuxième jour, l’examen du projet de loi s’est déroulé dans une ambiance morose. Plusieurs intervenants étaient même portés absents. Les chefs des groupes parlementaires ont intervenu (hier) pour exprimer leurs orientations. La présidentielle s’est même invitée au débat. Le chef du groupe parlementaire du RND, Fouad Ben Merabet a réitéré l’appel de son parti au président de la République, l’invitant à poursuivre son processus. «Le groupe parlementaire du RND réitère la position du parti en appelant le président de la République Abdelaziz Bouteflika, a poursuivre la gestion du pays», a-t-il affirmé en réitérant son engagement à oeuvrer avec les partenaires de la nouvelle alliance pour concrétiser cette démarche.

Concernant le projet de loi en question, le RND s’est félicité de l’esprit de ce projet qui ne contient aucune augmentation qui risque de toucher au pouvoir d’achat des Algériens. Le maintien de la politique de subvention sociale ne laisse aucun doute sur l’engagement de l’Etat à soutenir les couches défavorisées, et ce, malgré la situation de crise économique du pays marquée par le recul des ressources financières. Il a même salué la levée du gel sur les projets dans plusieurs secteurs d’activités. Le RND a également mis en exergue les efforts déployés par le gouvernement pour maîtriser l’inflation en recourant au financement non conventionnel, et ce, malgré les critiques acerbes de l’opposition. Voulant répondre directement à l’opposition, le groupe parlementaire du RND a défendu son chef, le Premier ministre et secrétaire général du parti, qui a prouvé l’efficacité de cette option qui a permis au pays d’éviter le recours à l’endettement extérieur.

Le parti majoritaire du FLN a abondé dans le même sens. Son chef de groupe parlementaire, Bouabdellah, a également mis en exergue l’efficacité des orientations données par le président de la République pour la gestion de la crise économique et son engagement à maintenir le caractère social dans ce projet de loi. Idem pour le parti de TAJ qui a insisté sur le soutien au président de la République et à la consécration de la politique du gouvernement. Le chef du groupe parlementaire des indépendants, Lamine Osmani, a de son côté, apporté tout son soutien à la politique du gouvernement et les décisions contenues dans le projet de loi de finances 2019. «Nous, groupe parlementaire des indépendants, prêtons soutien au gouvernement de notre pays dans l’application de la loi de finances 2019 qui contient des prévisions objectives qui portent sur la création d’une économie diversifiée», lit-on dans sa déclaration.

Contrairement à la majorité, les autres partis n’ont pas été tendres avec le gouvernement. Le groupe parlementaire du MSP a vivement critiqué le gouvernement sur sa gestion précaire de la crise. «Le projet de loi de finances n’apporte pas des mécanismes pour modifier et corriger les dysfonctionnements dans la gestion des affaires du pays», a fait remarquer Ahmed Sadouk. Le porte-parole du MSP à l’APN déplore même l’absence d’une vision à court et à moyen terme, chez le gouvernement. Selon lui, le gouvernement se base dans sa politique de financement sur des moyens fragiles, à savoir la fiscalité pétrolière, les impôts et le financement non conventionnel. Le MSP estime que l’absence d’augmentation et de taxe dans ce projet de loi n’est qu’une politique pour acheter la paix sociale à la veille de la présidentielles tout en prévoyant de fortes augmentations dans la prochaine loi de finances complémentaire de 2019.

Le groupe parlementaire du parti El-Moustakbel critique également l’absence de vision stratégique dans la gestion de la crise. «On s’attendait à ce que ce projet de loi apporte de nouveaux mécanismes pour sortir de la dépendance aux hydrocarbures, mais en vain, ce qui met en jeu l’avenir des futures générations», regrette Hadj Barghouti, chef du groupe parlementaire du parti de Abdelaziz Belaïd. Par ailleurs, la réponse du ministre des Finances devait intervenir en fin de journée. Après deux jours de débat, le projet en question sera adopté ce jeudi

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L’ambassade de France en Algérie a fêté le centenaire de l’armistice de 1918: La mémoire tragique revisitée

Tue, 11/13/2018 - 14:31

Par Hocine NEFFAH

La commémoration prend un sens historique de par ce qu’elle véhicule comme symbolique tragique quant aux soldats algériens qui ont été mobilisés obligatoirement pour prendre part à cette grande guerre des plus effroyables et macabres qu’a connues l’histoire de l’humanité.

La commémoration du centenaire de la fin de la Première Guerre mondiale (1914-1918) et la signature de l’armistice entre les belligérants sonne comme un appel pour tous les pays qui étaient impliqués dans cette sale guerre pour tirer les enseignements et des leçons dans l’objectif que ces guerres de conquête et d’expansion ne se reproduisent plus. La France qui était partie prenante dans cette première guerre vient de faire de ce «centenaire» une sorte de halte en invitant de nombreux pays pour fêter ce grand événement qui a coûté la vie à 18 millions de personnes entre civiles et militaires. L’Algérie était présente dans cette commémoration en la personne du Premier ministre Ahmed Ouyahia qui a représenté le président de la République.Cet événement qui revêt un caractère international a été aussi fêté par l’ambassade de France en Algérie. La commémoration prend un sens historique de par ce qu’elle véhicule comme symbolique tragique quant aux soldats algériens qui ont été mobilisés obligatoirement pour prendre part à cette première guerre des plus effroyables et macabres qu’a connue l’histoire de l’humanité. L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, a exprimé la position de son pays à l’égard de cet historique événement et son rapport avec l’Algérie durant cette période. Dans ce sens, l’ambassadeur de France a mentionné que «Le président de la République française entend faire de cette mémoire partagée un élan vers l’avenir», précise le communiqué émanant des services de l’ambassade du France en Algérie.

La mémoire est la source même des rapports bilatéraux entre l’Algérie et la France. Les profondeurs de ces rapports remontent à un siècle et demi d’«interaction» faite de domination coloniale et de soulèvements et d’insurrections qui se sont achevés par une guerre de libération comme couronnement de ces rapports tumultueux entre les deux pays.
D’ailleurs, c’est dans ce sens que l’ambassadeur de France, Xavier Driencourt, a profité de cette commémoration du centenaire de l’armistice pour participer à une cérémonie qui se recueillera à la mémoire des soldats algériens de cette Première Guerre mondiale en rappelant qu’il s’agit de blessure et de symbole historique de par la charge et la profondeur de ces rapports qui ont été tissés dans la douleur. Faisant allusion à cet événement mondial où des soldats algériens étaient placés aux avant-postes de cette sale guerre entre les puissances qui envisageaient le partage du monde en soulignant que «Le Centenaire, à la fois blessure et symbole historique puissant, a donné lieu à de nombreuses cérémonies de commémorations dans plusieurs cimetières d’Alger et Oran.

Ces moments de recueillement ont réuni dans la fraternité les autorités civiles et militaires algériennes, les ambassadeurs de France, d’Allemagne, du Royaume-Uni et de Serbie, de nombreux représentants de la communauté diplomatique, ainsi que plusieurs délégations d’anciens combattants», assène-t-on.L’ambassadeur de France a saisi cette opportunité mémorielle pour passer un message de «Paix» en relation avec les retombées de la Première Guerre mondiale et les ravages perpétrés dans son sillage. L’ambassadeur de France a animé à cette occasion une «rencontre pour la paix». Cette rencontre a décrit l’événement de «Les ravages de la guerre ne doivent pas être oubliés. Ils nous rappellent sans cesse que la paix est le bien le plus précieux et le plus fragile que nous possédons, pour nous et nos familles. Ce bien, cette lumière doivent être partagés et transmis aux plus jeunes pour être préservés. C’était le sens de cette Rencontre pour la paix», souligne-t-on.La cérémonie a été conçue de telle sorte que le message de la paix doit supplanter celui des volontés bellicistes et leurs conséquences tragiques sur l’humanité.

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Syrie: L’armée syrienne riposte à des attaques terroristes à Hama

Tue, 11/13/2018 - 14:27

L’armée syrienne a mené dimanche des frappes contre des positions de terroristes dans le nord du gouvernorat de Hama, en réponse aux violations, constantes du régime de cessez-le-feu instauré en Syrie, a indiqué une source militaire syrienne citée par des médias. L’armée syrienne a frappé des positions de terroristes dans le nord du gouvernorat de Hama en réponse à leurs attaques, a indiqué la même source.»Les organisations terroristes ne cessent de violer le régime de cessez-le-feu, y compris dans les environs de Hama», a-t-elle ajouté. La télévision d’Etat syrienne a annoncé que l’armée syrienne a pilonné des positions de terroristes dans quatre villages du gouvernorat de Hama.

Les terroristes du groupe autoproclamé «Etat islamique» (Daech/EI) auraient également tiré avec des mortiers sur le quartier résidentiel Minyan d’Alep, blessant plusieurs habitants, selon des médias syriens. La limite administrative entre les gouvernorats de Hama et d’Idleb fait partie de la zone démilitarisée d’Idlib, créée conformément à l’entente à laquelle sont parvenus la Russie et la Turquie en septembre dernier à Sotchi. La Syrie avait souligné lors de cet accord qu’elle se réserve le droit de riposter à d’éventuelles attaques effectuées par les groupes terroristes.

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Combats meurtriers à Hodeïda, au Yémen: Washington et Londres haussent le ton

Tue, 11/13/2018 - 14:22

Le Yémen est le théâtre de la pire crise humanitaire au monde, rappelle régulièrement l’ONU.

Des combats particulièrement meurtriers font rage depuis hier dans la ville portuaire de Hodeïda, dans l’ouest du Yémen, au moment où Washington, Londres et l’ONU font pression sur l’Arabie saoudite pour que la coalition qu’elle commande dans ce pays cesse les hostilités. Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a, lui, mis en garde contre les conséquences «catastrophiques» d’une éventuelle destruction du port de Hodeïda, point d’entrée de plus des trois-quarts des importations et de l’aide humanitaire internationale dans le pays en guerre. Au moins 111 rebelles, 32 loyalistes et sept civils ont été tués au cours des dernières 24 heures dans ces affrontements dans la région, dont certains se déroulent dans des quartiers résidentiels de Hodeïda, ont indiqué lundides sources militaires et hospitalières.

Ce bilan a été donné alors que les rebelles Houthis, soutenus par l’Iran, opposent une farouche résistance à la progression des forces progouvernementales appuyées par l’Arabie saoudite et réussissent à la ralentir, a admis une source militaire loyaliste. Le chiffre de 32 combattants loyalistes tués en moins de 24 heures est le plus élevé depuis le début de cette phase de l’offensive sur Hodeïda, il y a 12 jours. Une source de la coalition antirebelles a indiqué que les Houthis avaient repoussé une tentative majeure d’avancée loyaliste en direction du port.
La coalition a de son côté visé les rebelles avec de multiples frappes aériennes, selon des sources militaires loyalistes. Dans la nuit, des corps carbonisés ont été amenés à l’hôpital militaire Al-Alfi, contrôlé par les rebelles depuis 2014, ont indiqué des sources de cet établissement. Au pouvoir à Hodeïda, grande ville stratégique sur la mer Rouge, les Houthis ont commencé à évacuer leurs blessés vers la capitale Sanaa dont ils sont maîtres également depuis quatre ans.
«Si à Hodeida, il y a une destruction du port, ça peut engendrer une situation absolument catastrophique», a mis en garde M. Guterres, rappelant que le Yémen se trouve déjà dans une situation humanitaire «désastreuse». Il a réitéré un appel pressant à «l’arrêt des combats». L’offensive des forces progouvernementales sur Hodeïda avait été lancée en juin, mais elle s’est nettement intensifiée depuis le 1er novembre avec un bilan d’au moins 593 morts jusqu’ici dans la région (461 rebelles, 125 loyalistes et 7 civils), selon des sources militaires et hospitalières.

L’Arabie saoudite a été considérablement affaiblie par l’affaire Jamal Khashoggi, du nom de ce journaliste tué le 2 octobre au consulat saoudien à Istanbul. Elle était déjà vivement critiquée pour des «bavures» à répétition ayant fait des centaines de victimes civiles lors de frappes aériennes depuis 2015 au Yémen. Tour à tour, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo et son homologue britannique Jeremy Hunt ont estimé que le temps de la négociation était venu pour le Yémen. Lors d’un entretien dimanche avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, également ministre de la Défense, M. Pompeo a explicitement appelé à «la fin des hostilités» au Yémen, demandant que «toutes les parties viennent à la table pour négocier une solution pacifique au conflit».
L’administration américaine de Donald Trump, visiblement sous la pression du Congrès, a confirmé l’annonce samedi par Riyadh que la coalition sous commandement saoudien au Yémen allait désormais effectuer elle-même le ravitaillement en vol de ses avions, assuré jusqu’ici par les Etats-Unis.

Dimanche, des premiers combats de rue ont éclaté dans un quartier résidentiel de l’est de Hodeïda. Un responsable militaire progouvernemental a affirmé que l’objectif était de «purger» ces rues de toute présence rebelle. Les Houthis ont positionné des snipers sur les toits des bâtiments et ont posé de nombreuses mines pour freiner l’avancée de leurs adversaires, tandis que des avions de combat et des hélicoptères d’attaque de la coalition sous commandement saoudien pilonnent régulièrement les positions rebelles. Paradoxe de la situation, le port de Hodeïda, situé dans le nord de la ville, est «jusqu’à présent ouvert» et opère «normalement», selon son directeur adjoint Yahya Sharafeddine. De son côté, Hervé Verhoosel, porte-parole du Programme alimentaire mondial (PAM), a indiqué que les combats n’avaient pas affecté jusqu’ici ses opérations. Le Yémen est le théâtre de la pire crise humanitaire au monde, rappelle régulièrement l’ONU, qui précise que 14 millions de civils sont en situation de pré-famine.

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Elle recevra le na Hussein-dey aujourd’hui à 17h30: La JS Kabylie ne jure que par la victoire

Tue, 11/13/2018 - 14:13

Par Kamel BOUDJADI

Les Canaris n’ont pas vraiment le choix, car il faudra se donner à fond pour arracher les trois points de cette rencontre à domicile.

Les Canaris tenteront cet après-midi de se racheter dans une rencontre qui s’annonce difficile. La mission double des camarades de Benyoucef semble à la portée, mais gare aux surprises. L’adversaire, le NAHD n’est pas du genre à se mettre sous la dent. Cette année, l’équipe algéroise offre un jeu des grands. L’équipe qui se trouve à la 8e position dans le classement est à prendre très au sérieux. C’est justement ce que disait le technicien Franck Dumas qui tenait une conférence de presse, hier, au siège du club. Pour lui, l’adversaire est une très bonne équipe qu’il faut aborder avec le plus grand sérieux. Les Canaris n’ont pas vraiment le choix, car il faudra se donner à fond pour arracher les trois points de cette rencontre à domicile. Jouer au stade du 1er-Novembre est un avantage de taille, car il permet aux joueurs de bénéficier du soutien des supporters. La rencontre de cet après-midi se présente aussi sous de bons auspices, car l’effectif sera au complet.

C’est ce que mentionnait hier, le club dans sa page officielle sur Facebook. Après une absence de plusieurs semaines, Boukhenchouche revient pour apporter un plus à son équipe qui a senti son absence. D’ailleurs, d’aucuns auraient pensé à son intégration face à l’USMA en début de rencontre et non comme remplaçant. La rencontre face au NAHD verra également le retour de Benyoucef qui a connu des péripéties inattendues, suite à son arrestation à l’aéroport. Rappelons aussi que la direction du club a exprimé son soulagement après les examens médicaux subis par le portier Salhi. Blessé lors de la rencontre face à l’USMA, ce dernier a été suivi et prêt à être aligné face au NAHD cet après-midi. Aussi, après une défaite concédée face à l’USMA, les Canaris ont là une occasion pour se racheter devant leurs supporters.

C’est en fait, un double avantage, car après cette rencontre face au NAHD, les Canaris recevront le CSC vendredi prochain. Une autre occasion de se rapprocher de l’actuel leader. Trois points à domicile sont toujours bons à prendre, car les sorties sont imprévisibles. La concurrence pour ce butin est féroce. Par ailleurs, les Canaris commencent à reprendre de la sérénité après plusieurs semaines sans jouer, mais très fatigantes pour le moral. Des rencontres prévues puis déprogrammées avec les incidences que cela induit sur le moral des joueurs. La situation mal vécue par les joueurs a d’ailleurs engendré une défaite face à l’USMA. Le lendemain, le président de la ligue a reconnu son erreur, mais ne pouvait rien changer aux conséquences, car la rencontre à été jouée avec l’avantage à l’USMA qui a pu récupérer ses joueurs blessés. Enfin, il convient de mentionner que de leur côté, les supporters kabyles se préparent pour passer d’agréables moments sur les gradins du stade du 1er-Novembre.

Ces derniers, après leur retour cette saison, sont une force incontestable pour le rendement des joueurs. L’autre point positif de ce retour est le recul de la violence dans ce stade qui a vu passer des moments cauchemardesques durant plusieurs saisons.

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Mustapha Benfodil, écrivain algérien, à l’expression: « Mettre en parole nos traumatismes collectifs… »

Tue, 11/13/2018 - 14:06

Par O. HIND

Artiste inclassable, l’auteur de Zarta et Archéologie du chaos amoureux est revenu après dix ans avec un nouveau roman touffu, singulier et bien éclectique, à son image. Bien entendu, ceux qui pensaient que notre journaliste avait chômé entre-temps, eh bien, ils se trompent lourdement car ce dernier n’a jamais été aussi prolifique que ces derniers temps. Mustapha Benfodil, boulimique de lecture autant que de créativité est devenu un touche-à-tout esthétique puisqu’il s’est attaqué à bon escient, ces dernières années, à la fois à l’écriture théâtrale qu’aux arts visuels… Ses déflagrations artistiques sont autant d’idées originales que de fruits exotiques. A commencer avec délicatesse, mais sans ménagement. Car l’on n’est jamais au bout de nos surprises. C’est dans ce génie littéraire que l’auteur du «roman plastique» Body writing se révèle car son écriture finit par faire corps parfaitement avec le vrai personnage qu’est «Mus» pour les intimes…

L’Expression: Vous venez de sortir un nouveau roman intitulé «Body writing, vie et mort de Karim Fatimi», c’est présenté comme une sorte de biographie. Est-ce une histoire réelle ou bien inventée en toutes pièces?
Musptaha Benfodil: Justement tout le mystère est là. Parce que l’art a besoin de mystère, donc on va dire que dans tout ce que j’entreprends, la frontière est parfois tenue parce que j’emprunte à mon parcours personnel entre ce que j’invente mais pour casser le mystère je dirai qu’une grande partie du journal du matériau de ce roman est puisé de mes notes personnelles et notamment en ce qui concerne octobre 1988 parce que j’ai vécu ça de très près à Boufarik dans la ville où j’habitais et Bab Ezzouar, l’université où j’étais étudiant où on avait des comités contre la torture. On avait de très grands débats qui ont été structurants pour la suite. Il y a eu bien sûr toute la période des années 1990 aussi que j’ai documentée. La question qui traverse ce roman en filigrane est le rapport entre archives, archives personnelles, et histoire nationale.
Ça part de l’histoire d’un personnage, Karim Fatimi, c’est pour fixer le récit, la différence avec le métier d’historien je pense c’est que là on est dans quelque chose d’incarné. Quelque chose d’habité. Et c’est cette parole habitée que j’essaye de restituer bien sûr en usant des ressorts du roman. Il y a une vraie histoire, avec une femme qui s’appelle Mounia, qui va lire le journal de son mari, lire ses manuscrits.
C’est à travers le regard de Mounia que nous allons vivre cette reconstitution. Son mari vit un certain nombre de péripéties dans les années 1990 et ce livre repose un peu, sur cette guerre qu’on a vécue, qui n’a jamais été mise en parole. Par ce que ce sont des épisodes qui n’ont pas été mis en mots et c’est après sa mort que sa femme découvre certains épisodes. La femme de Karim Fatimi se met dans une posture presque de voyeur parce qu’elle va être happée par ce journal intime où elle va découvrir les divers épisodes de sa vie, mais à chaque fois elle va essayer d’engager un dialogue post mortem avec son mari sur des sujets qu’ils n’ont jamais abordés de leur vivant. De son vivant à lui. C’est aussi un roman pour, peut-être, mettre en parole des traumatismes collectifs qu’on n’a pas su dire au moment où ils se sont produits.

Le livre est très hybride au niveau formel. On y trouve de tout, même au niveau de la police des mots, l’on découvre des archives issues de vos propres archives personnelles, des photos, des dessins de la fille de ce couple…
Oui, c’est très fragmentaire. Les dessins ont deux fonctions. Et d’une parce que je suis attaché à travailler sur la texture, en plus du texte. La dimension visuelle et graphique m’importe aussi. Je suis extrêmement attaché à cette partie-là. C’est ce qui m’amène parfois à travailler sur les arts visuels. Il y a une autre dimension, dramaturgie. Cette fille a 4 ans au moment où son père décède.
C’est sur ses épaules que va reposer cette mémoire éclatée qui est symbolisée par tous ces manuscrits, par tous ces bouts de papiers qui abordent une trentaine d’années de notre histoire contemporaine. Il y a quelque chose de l’ordre de la transmission, mais aussi de l’ordre de la douceur. Les dessins d’enfant servaient aussi un peu à adoucir la violence du texte qui peut apparaître par endroits insoutenables.

Au niveau du langage on reconnaît votre style truffé de lexiques divers, de mots de la rue… un peu à votre image d’artiste polyvalent, journaliste, écrivain, mais pas que, puisque vous vous intéressez aussi au théâtre et aux arts visuels, ce langage est aussi un clin d’oeil à tout cela..
C’est un travail sur la langue. Effectivement, dans «body writing» c’est de l’anglais, on peut trouver aussi des mots en arabe du genre «chabaâtouna makrout» par exemple. Je revendique ce plurilinguisme qui est une richesse à la base, mais à la fin, quand on me demande dans quelle langue tu écris, je réponds, je ne vais pas me citer moi, mais je dirai qu’Assia Djebar écrit dans le Assia Djebar, Kateb Yacine écrit dans le Kateb Yacine, Kamel Daoud écrit dans le Kamel Daoud, Mehdi Acherchour écrit dans le Mehdi Acherchour, et Maissa Bey dans le Maissa Bey etc. C’est à ce titre-là et à ce prix-là qu’on est écrivain, c’est en inventant une langue.

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Zayen, auteur de chansons et organisateur de volontariats: Lorsque l’art se met au service de l’environnement

Tue, 11/13/2018 - 13:54

Par Kamel BOUDJADI 

Pour une innovation, c’en est une et par excellence. Dans le registre des choses ordinaires, l’on connaît les chanteurs engagés pour des convictions politiques et culturelles.

La Kabylie est, par ailleurs, très riches de ses enfants qui ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour les causes justes. Cette période marquée en lettres d’or se termine, mais la Kabylie ne pouvait rester sans que ses enfants ne viennent ouvrir d’autres chantiers pour le militantisme. Elle ne peut rester en marge ou derrière les luttes qui se mènent à l’universel. Et c’est dans ce registre qu’a émergé le jeune artiste Zayen. Il consacre son oeuvre artistique à un idéal universel. Zayen a choisi de s’engager dans le militantisme pour la protection de l’environnement et pour se faire, il mobilise tout son génie. Et il le fait avec brio.

Il traverse les frontières, les continents et les mers pour porter la voix de la terre agressée de toutes parts. A coups de poèmes et de chansons, Zayen sensibilise. Les siens d’abord, puis l’humanité entière. Il compose, il monte sur scène pour le même idéal: protéger la terre qui nous nourrit c’est nous protéger des conséquences du mal que nous lui causons, à chaque instant et à chaque geste. A fond dans son engagement, l’artiste, lorsqu’il ne chante pas, se jette dans le terrain. Par des actions, il sensibilise les siens sur la nécessaire protection de l’environnement. D’idées, il foisonne et surtout, il n’hésite pas à les transformer en actions. Des actions qui font de lui, incontestablement, un meneur d’hommes en matière de volontariat pour la protection de la terre et de l’environnement. Comme au temps des ancêtres.

Depuis quelques années, Zayen a accompli des actions novatrices et surtout avant-gardistes. Il sort des sentiers battus de la chanson engagée, d’abord par un clip qui a fait un grand succès à sa sortie chez les disquaires. Dda Musa ou Tighri n ugamma, avec la participation de 33 artistes est un hymne à la cause environnementale composé dans plusieurs langues: kabyle, arabe, chaoui, m’zab, français et russe. La chanson se veut comme un cri d’alarme sur la dégradation inquiétante de l’environnement et une situation déplorable qui, aujourd’hui, n’épargne pas nos agglomérations. L’objectif étant d’impliquer les artistes qui, par leurs voix diverses, feront un appel commun, afin que la sensibilisation des acteurs de la société civile soit à la hauteur de cet enjeu Action.
Joignant le geste à la parole, Zayen se lance dans des opérations de terrain. Un premier volontariat de nettoyage du barrage Taksebt est organisé avec la participation d’une vingtaine d’artistes.
Toujours sur le terrain, le jeune artiste organise une grande campagne de plantation d’arbres en collaboration avec la wilaya de Tizi Ouzou et la direction de la culture.
Durant l’été, Zayen a profité de son passage sur le littoral pour prendre part pleinement au festival de l’environnement qui s’est déroulé au village Arvi à Tigzirt.

La parade a sensibilisé petits et grands sur les thèmes de l’environnement et du développement durable, à travers des mélodies et des textes originaux. Pour couronner ce travail de longue haleine, l’artiste compose une comédie musicale écologique avec la participation de 30 artistes, chanteurs, comédiens, musiciens, poètes, animateurs. L’oeuvre a été présentée dans le cadre de la cérémonie des remises des prix aux lauréats du concours Rabah-Aïssat du village le plus propre, organisée par L’APW de Tizi Ouzou.

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La directrice de l’ANSEJ: les jeunes promoteurs pourront bénéficier d’un rééchelonnement de leurs dettes, non pas de leur effacement

Tue, 11/13/2018 - 12:01

Contrairement à ce qu’espéraient certains jeunes investisseurs en difficulté, ceux-ci ne pourront pas bénéficier d’un effacement des dettes contractées auprès des banques, par le biais de l’Agence nationale de soutien de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ).  

S’exprimant, mardi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, la directrice de cet organisme, Mme Samira Djaïder, explique  que des jeunes promoteurs « en difficulté de remboursement » de leurs dettes, avaient bénéficié d’un effacement des pénalités de retard et des intérêts cumulés, permettant à 160.000 parmi eux à rembourser les dettes contractées auprès des banques.

Pour ceux qui n’ont pu apurer leur situation, et afin qu’ils puissent pérenniser leurs activités, la directrice de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes signale que ceux-ci pourront  bénéficier d’un nouvel échéancier de remboursement.

Elle fait, par ailleurs, savoir que 21.000 promoteurs n’ayant pas pu mener leur projet à terme, ont fait appel au Fonds de garantie et se sont, ainsi, trouvés « soulagés » des crédits octroyés par les banques.

Elle chiffre à quelque 37.000 le nombre total de jeunes entrepreneurs confrontés à des difficultés de remboursement à avoir déposé des dossiers auprès de ce Fonds.

Sur un programme ANSEJ et CNAG de création, durant 2018, de 29.000 micros entreprises, devant générer environ 500.000 emplois,  il n’en a finalement été réalisé que 17.000 à ce jour. Mme Djaïder impute cette différence au fait que tout projet à financer devra, désormais, être orienté vers des « activités porteuses » créatrices d’emplois.

Elle annonce, d’autre part, que le lancement des divers dispositifs de création de micros entreprises a, à ce jour, permis la création de 1,2 million d’emplois.

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Conférence sur la Libye: Arrivée à Palerme de Ahmed Ouyahia

Tue, 11/13/2018 - 11:58

Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, est arrivée mardi matin à Palerme (sud de l’Italie) pour participer à la Conférence internationale sur la Libye qu’organise l’Italie en collaboration avec la mission d’appui des Nations unies en Libye.          

M. Ouyahia accompagné du ministre des Affaire étrangères, Abdelkader Messahel, devra prendre part d’abord à la réunion des pays voisins de la Libye avant d’assister à la Conférence internationale.

Outre les principaux dirigeants politiques libyens et le représentant spécial des Nations unies pour la Libye, Ghassan Salamé, plus d’un vingtaine de chefs d’Etats et de gouvernements, partenaires internationaux de la Libye, prennent part à cette conférence  dans l’objectif de trouver une solution à la crise dans laquelle se débat ce pays depuis la chute du régime Mouammar El Gueddafi en 2011.

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Incendie aux Etats-Unis: 42 morts, le bilan le plus lourd de l’histoire de la Californie

Tue, 11/13/2018 - 11:48

L’incendie de forêt qui fait rage dans le nord de la Californie a causé la mort de 42 personnes, devenant ainsi le plus meurtrier de l’histoire de cet Etat, a déclaré lundi  shérif du comté de Butte, Kory Honea.

« Jusqu’à présent, les restes de 13 nouvelles personnes ont été découverts, ce qui porte le nombre total des morts à 42. Si je comprends bien, il  de l’incendie de forêt le plus meurtrier de l’histoire de la Californie », a affirmé le shérif Honea lors d’une conférence de presse.

Il est ainsi revenu sur sa déclaration initiale selon laquelle cet incendie était le meurtrier de l’histoire de l’ensemble des Etats-Unis.

Le bilan précédent de cet incendie, le « Camp Fire », était de 29 morts, soit autant de victimes que lors du pire incendie de forêt qu’avait jusqu’alors connu cet Etat, et qui remontait à 1933.

Des milliers de pompiers continuaient à lutter lundi contre les flammes.

L’incendie était encore loin d’être contenu mais sa surface a été réduite de 4.500 hectares, les pompiers s’attachant notamment à protéger les bâtiments menacés par les flammes.

Les autorités étaient sans nouvelles de plus de 200 personnes.

De forts vents venus du nord-est continuaient à souffler sur la région, où plus de 4.500 pompiers étaient à pied d’oeuvre, avec une température maximale de près de 20 C prévue dans la journée et pas une goutte de pluie attendue d’ici à la fin du mois.

La ville de Paradise a été littéralement rayée de la carte, laissant la place à des paysages de désolation.

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Le PIB nominal en Algérie s’établirait à plus de 188 mds de dollars en 2018, selon le FMI

Tue, 11/13/2018 - 11:47

Le PIB nominal de l’Algérie devrait atteindre 188,3 milliards (mds) de dollars en 2018 contre 167,6 mds de dollars en 2017, une hausse soutenue par l’augmentation des dépenses publiques qui devraient doper la croissance cette année et l’année prochaine, selon les nouvelles prévisions du FMI publiées mardi.

Le PIB nominal de l’Algérie devrait franchir pour la première fois la barre des 200 mds de dollars en 2019 pour se chiffrer à 200,2 mds de dollars, prévoit l’institution de Bretton Woods dans son rapport sur les perspectives économiques de la région Moanap (Moyen-Orient, Afrique du Nord, Afghanistan et Pakistan), présenté mardi à Dubaï.

Le Fonds a maintenu inchangées ses prévisions d’octobre pour le PIB réel à 2,5% en 2018 contre 1,4% en 2017 et à 2,7% en 2019, précisant que  » l’augmentation des dépenses publiques devrait stimuler la croissance  » cette année.

Mais « la contraction budgétaire prévue pour les années à venir va probablement se traduire par un ralentissement de la croissance non pétrolière sur le moyen terme « , relève, toutefois, le préteur en dernier ressort.

Le FMI rappelle que l’Algérie, a  » augmenté ses dépenses afin de stimuler l’activité économique, en s’appuyant largement sur le financement monétaire « , soulignant que  » le retour à un rééquilibrage budgétaire rigoureux est prévu à partir de 2019 « .

 » La monétisation du déficit budgétaire en Algérie s’est traduite par des injections de liquidités considérables qui ont stimulé le crédit au secteur privé comme au secteur public en 2017 « , note le rapport.

A ce titre, le Fonds relève que le ratio investissement privé par rapport au PIB dans les pays exportateurs de pétrole de la région a été tiré par l’Algérie, dont le ratio moyen est passé de 14% à 22%.

Des progrès sont réalisés aussi, en matière d’amélioration du climat des affaires, constate le FMI qui cite à ce titre l’adoption de nouvelles lois visant à soutenir les petites et moyennes entreprises et le développement de cadres de partenariat public-privé.

En parallèle, le financement monétaire de l’économie ne s’est pas traduit pas une poussée inflationniste. Le FMI a maintenu ses prévisions d’octobre pour l’inflation à 6,5% en 2018 et à 6,7% en 2019, des taux qui sont en baisse par rapport à ses projections d’avril dernier.

A l’instar des autres pays exportateurs de pétrole de la région, l’Algérie devrait enregistrer une amélioration de ses soldes extérieurs et budgétaires grâce notamment au redressement des cours de brut.

Le rebond des cours pétroliers « apportera un soutien temporaire » aux pays exportateurs de pétrole de la région qui doivent, cependant, poursuivre les réformes et l’ajustement budgétaire pour renforcer leur résilience à long terme, souligne le FMI dans son rapport.

Ainsi, les exportations passeront à 46,2 mds de dollars en 2018 contre 37,6 mds de dollars en 2017. Le déficit du compte courant s’établira à -16,9 mds de dollars cette année contre -22,1 mds de dollars en 2017. En 2019 ce déficit baissera encore d’un milliard à -15,9 mds de dollars.

Le déficit du compte courant représentera -9% du PIB en 2018 comparé au -13,2% en 2017 et devrait se réduire à -7,9% du PIB en 2019, selon les mêmes données.

Le FMI prévoit que le budget de l’Algérie sera à l’équilibre avec un baril à 105,1 dollars en 2018 et à 98,6 dollars en 2019.

Mais pour son équilibre extérieur elle aura besoin d’un baril beaucoup moins cher à 80,3 dollars en 2018 et à 78,9 dollars en 2019, selon les estimations du FMI.

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L’Algérie et l’UE déterminés à approfondir leurs relations

Tue, 11/13/2018 - 11:38

ALGER – Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, et la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, ont exprimé, lundi à Alger, leur « satisfaction » de la qualité des échanges qu’ils ont eus, réitérant leur détermination à œuvrer pour l’amélioration et l’approfondissement des relations algéro-européennes pour faire face aux défis communs.

« Nous appartenons au même espace et nous avons les mêmes défis à relever » (Messahel)

« Nous sommes satisfaits des résultats de cette visite qui permettra de renforcer le partenariat » entre l’Algérie et l’Union européenne (UE), a déclaré M. Messahel lors d’un point de presse conjoint avec Mme Mogherini, tenu à l’issue des travaux de la 2ème session du dialogue de haut niveau Algérie-UE sur la sécurité régionale et la lutte contre le terrorisme.

La coopération entre l’Algérie et l’UE « va se densifier », a soutenu le ministre qui a réaffirmé « la volonté » des deux parties à « affronter ensemble les défis régionaux et approfondir tous les aspects de la coopération pour le bénéfice de tous les citoyens algériens et européens ».

Il a estimé, à cet égard, que le lancement du dialogue stratégique sur le plan sécuritaire permettra de « renforcer la coopération déjà dense et diversifiée entre l’Algérie et l’UE ».

« Nous appartenons au même espace et nous avons les mêmes défis à relever », a-t-il affirmé, citant la crise en Libye, la situation au Sahel et, particulièrement, au Mali, ainsi que le fléau de la migration clandestine.

Evoquant les relations intermaghrébines, M. Messahel a fait savoir qu’il a présenté à Mme Mogherini « la démarche de l’Algérie » pour la construction de cet espace qui doit être, a-t-il dit, « plus cohérent », mettant l’accent sur la « sécurité qui bénéficiera non seulement aux pays de la région, mais aussi à l’UE ».

« L’Algérie et l’UE partagent les mêmes objectifs en termes de stabilité régionale et de sécurité » (Mogherini)

De son côté, la haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité a souligné l’importance pour l’Algérie et l’UE de « coordonner leurs réponses face aux défis régionaux que ce soit en termes de sécurité, de mobilité ou encore d’énergie et de relations économiques ».

Federica Mogherini a assuré, à cette occasion, que l’Algérie et l’UE « partagent les mêmes objectifs en termes de stabilité régionale et de sécurité », car, a-t-elle expliqué, les défis sécuritaires « ne connaissent pas de frontières ».

Elle a exprimé, à cet égard, sa « satisfaction » quant à la qualité des échanges qu’elle a eus et de l’engagement des parties à l’occasion du deuxième dialogue bilatéral de haut niveau entre l’UE et l’Algérie sur la sécurité régionale et la lutte anti-terroriste, faisant suite à la première session du dialogue qui a eu lieu à Bruxelles.

« Notre collaboration dans ce domaine se consolide, après le lancement du dialogue il y a un an à Bruxelles, et grâce aux échanges entre nos équipes au mois de juillet dernier », a-t-elle déclaré.

Relevant la « progression » de la coopération algéro-européenne, que ce soit dans le domaine de la sécurité, de l’énergie, de l’éducation ou de la diversification de l’économie, la première responsable de la diplomatie européenne a renouvelé la volonté de l’UE de « soutenir » les efforts des autorités algériennes pour diversifier l’économie du pays.

« De façon concrète, notre coopération technique et financière soutient les initiatives algériennes pour améliorer le climat des affaires, le cadre dans lequel opèrent les petites et moyennes entreprises ou la production agricole », a-t-elle relevé.

Elle a réitéré, à ce titre, la volonté de l’UE d’intensifier la coopération avec l’Algérie, aussi bien sur les dossiers de la Libye et du Sahel que sur le Moyen Orient.

Evoquant l’aspect commercial, Mme Mogherini a affirmé que l’Algérie et l’UE sont « d’accord » pour que les mesures de régulation des échanges commerciaux soient prises dans le respect de l’accord d’association, annonçant que des discussions sont en cours pour « établir notre vision commune, comme convenu lors du Conseil d’association en mai dernier ».

« Ma visite en Algérie, la troisième du genre, témoigne à la fois de l’importance de l’Algérie pour l’UE et de la qualité de notre partenariat », a-t-elle soutenu, exprimant sa « confiance » quant à l’avenir des relations entre l’Algérie et l’UE ».

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Coupe arabe des clubs de Handball: la commission de l’UAHB entame sa mission à Oran et Arzew

Tue, 11/13/2018 - 11:38

ORAN – La commission dépêchée par l’Union arabe de handball (UAHB) pour inspecter les infrastructures sportives et hôtelières à Oran et Arzew en vue de l’organisation dans les deux villes de la prochaine Coupe arabes des clubs vainqueurs de coupe, en mars prochain, entame mardi sa tournée.

La commission, composée de trois membres, est arrivée lundi soir à Oran où elle a été accueillie à l’aéroport Ahmed-Benbella par les autorités de la ville d’Arzew, qui s’est portée candidate pour l’organisation de l’épreuve arabe par le biais de la formation de l’ES Arzew.

Le secrétaire général de l’Union arabe de handball, Abdellah Al Aliane, qui préside ladite commission, a déclaré à la presse à son arrivée dans la capitale de l’Ouest du pays, en compagnie de Réda Al Manaai, président de la commission des compétitions et Saber Rifaï, président du club de Sakiat Ezzite de Sfax (Tunisie), vainqueur de la précédente édition, qu’il était « très content de voir l’Algérie renouer avec l’organisation des compétitions arabes en handball ».

L’ES Arzew, pensionnaire de la division Excellence, avait présenté sa  candidature pour accueillir la prochaine édition de la Coupe arabe des vainqueurs de coupe, lors du précédent tournoi, organisé en mars 2018 à Sfax, auquel elle avait participé en tant qu’invité d’honneur.

Le club de la ville pétrochimique était en concurrence avec le représentant de la ville marocaine de Tanger, rappelle-t-on.

Selon le directeur de la jeunesse et des sports d’Oran, Badreddine Gharbi, dans une récente déclaration à l’APS, trois salles omnisports sont retenues pour abriter l’épreuve arabe, à savoir, les salles d’Arzew, Akid-Lotfi et Sidi-El Bachir, les deux dernières étant implantées à Oran.

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Ligue 1 Mobilis: l’audience du président de la JS Kabylie reportée au 19 novembre

Tue, 11/13/2018 - 11:32

ALGER – L’audience du président de la JS Kabylie Chérif Mellal devant la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP), initialement prévue pour ce lundi est reportée au 19 novembre prochain à 11h00, a indiqué l’instance chargée de la gestion de la compétition sur son site officiel.

Selon la même source, la Commission de discipline a enregistré la demande de report de l’audience du premier responsable de la JSK. Ladite demande a été déposée lundi par la direction de la JSK au niveau de la LFP, précise la même source.

Le président de la JSK  était convoqué pour la séance de la commission de discipline de la LFP de ce lundi 12 novembre, afin de s’expliquer sur ses déclarations aux médias. Mellal avait violemment contesté le report du match de son équipe contre l’USM Alger (défaite: 1-0), critiquant  le président de la LFP Abdelkrim Medouar et sa gestion dans les différents organes de presse.

Par ailleurs, la commission de discipline a sanctionné le gardien de l’USM Alger Zemmamouche Mohamed Lamine  d’un match de suspension pour « contestation de décision », purgé ce lundi en déplacement face au MC Oran (0-0) en mise à jour de la 14e journée. Le portier algérois s’est vu également infliger 30.000 DA d’amende.

Quatre autres joueurs ont écopé de la même sanction, il s’agit de Dahar Merouane (MO Bejaia), Zeghba Moustapha (ES Sétif), Rebiai Miloud (ES Sétif), et Zerara Toufik (CA Bordj Bou Arreridj).

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Concours national de l’artisanat: six artisans obtiennent des Prix

Tue, 11/13/2018 - 11:30

ALGER – Des Prix nationaux de l’artisanat et des métiers ont été distribués, lundi à Alger, à six (6) artisans issus de différentes wilayas du pays, lesquels sont lauréats du Concours national de l’artisanat qui a été organisé en vue de la sélection du meilleur produit artisanal et artistique 100% algérien.

Ces prix ont été remis à des artisans ayant innové dans la confection du tissage de la laine, la dinanderie, la tannerie et la chaudronnerie, la poterie, la verrerie et la sculpture sur bois.

Présidant la cérémonie de remise de ces prix, qui a été organisée à l’occasion de la Journée nationale de l’artisanat, le 9 novembre de chaque année, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a mis en avant la nécessité de  » développer la capacité de compétitivité dans le domaine de l’artisanat, en vue de créer des postes d’emploi et concrétiser le développement économique ».

M. Benmessaoud a rappelé, dans ce cadre, la Stratégie du secteur à l’horizon 2025, qui fixe la contribution de l’artisanat dans le développement national, en œuvrant à l’accélération de la croissance et à l’intensification des structures chargées de la promotion.

M. Benmessaoud a mis l’accent sur l’importance d' »adopter une vision locale proche des préoccupations des artisans et d’élargir la concertation entre les différents organismes et secteurs, en lien direct et indirect avec le secteur de l’artisanat, tout en encourageant l’action de proximité et en augmentant la présence de la société civile, en vue de faire face aux nouveaux défis qui exigent davantage d’efforts ».

Le ministre a relevé que la célébration de la Journée nationale de l’artisanat et l’institution de ce prix, soulignent « le grand intérêt qu’accorde le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à ce secteur et aux artisans des quatre coins du pays ».

A ce propos, il a indiqué que le secteur de l’Artisanat  » a contribué à la création d’environ un (1) million de postes d’emploi durables, répartis entre 338 spécialités, à la préservation du legs civilisationnel multiple et diversifié, ainsi qu’à la particularité culturelle de la personnalité algérienne, étant une composante de l’identité nationale ».

Un hommage a été rendu, à cette occasion, au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, en reconnaissance de ses efforts en matière de la promotion de l’artisanat et de l’encouragement du produit national dans ce domaine.

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Le safran à Oran: lancement des premières récoltes de l’or rouge

Tue, 11/13/2018 - 11:28

ORAN – La première cueillette du safran à Oran, planté il y a deux mois, a été lancée au niveau de la ferme de Misserghine, a-t-on constaté lors d’une sortie sur terrain.

La plantation de cette épice sur une superficie de 300 mètres carrés, la première du genre dans la wilaya, « a donné de bons résultats en dépit de la nature du sol argileux caractérisé par sa salinité », a affirmé la promotrice de ce projet à Oran, Allou Baba-Ahmed.

Les fleurs du safran, de couleur violette, à trois filaments soyeux se sont bien développées grâce au suivi et au soin quotidien avec l’adoption de techniques simples pour creuser des trous, poser des bulbes, fournir de l’eau et ne pas utiliser d’engrais et de produits chimiques pour les mauvaises herbes entourant la plante de safran, a souligné Baba Ahmed Allou.

La cueillette du safran s’effectue de bonne heure aux environs de 7 heures du matin avant l’ouverture de la fleur au contact du soleil pour préserver sa valeur nutritive, a expliqué cette agricultrice, notant que l’opération de cueillette se poursuivra jusqu’à la fin du mois courant, période de récolte de cette épice.

L’opération de cueillette qui se fait manuellement « nécessite une attention particulière afin de ne pas gâcher les pétales de la plante recouvrant les filaments délicats et sensibles et obtenir une récolte abondante après le séchage des fils rouges », selon Mme Allou, présidente de l’association de promotion de la femme rurale « Main dans la main » de la daira de Boutlélis.

Concernant la production de safran prévue, Mme Baba-Ahmed a fait savoir que la quantité à extraire ne peut être déterminée qu’après séchage, ajoutant que le plus important dans l’affaire est la réussite de cette expérience à Oran pour sa généralisation au profit des femmes rurales.

Chaque bulbe produit théoriquement entre une, trois fleurs et peut aller jusqu’à dix fleurs. Un hectare donne 190.000 fleurs pour un total d’un kilogramme de safran, a-t-elle expliqué.

L’expérience de plantation du safran à Misserghine est la deuxième du genre de cette agricultrice après une première expérience sur une petite parcelle a Ain El Beida (daira d’Es Sénia) en 2015, a-t-elle rappelé, soulignant  que celle-ci l’a encouragée à l’extension de la surface plantée.

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Bouira: Cinq ans de prison pour viol

Tue, 11/13/2018 - 11:20

Farid Haddouche

La cour de Bouira vient de prononcer un verdict de 5 années d’emprisonnement ferme contre un accusé. En effet, la cour criminelle a jugé une affaire se rapportant au viol sur une personne mineure n’ayant pas atteint l’âge de 18 ans. L’auteur répond aux initiales (I.T.) âgé de 23 ans, s’est vu infliger une peine de 5 ans de prison ferme. Les faits remontent au 19 mars 2017, lorsque le père de la victime se présenta à la gendarmerie pour déposer plainte contre le nommé I. T. l’accusant d’avoir violé sa fille (D. B.), un mineure qui avait 16 ans en ce temps-là. L’auteur fut arrêté par la suite. Ce jeudi lors de son passage à son procès devant la cour criminelle de Bouira, l’accusé a déclaré assumer toutes les conséquences qui ont découlé de son geste fatal. C’est-à-dire que depuis ce jour fatidique, la fille est tombée enceinte et a accouché d’un enfant. En racontant dans les détails comment il est arrivé à la connaître pour la première fois alors qu’elle fréquentait le collège, rapportant leur premier rendez-vous qui s’est déroulé dans un espace vert et boisé situé à la maison de l’environnement. Là, il pratiqua sur elle un acte sexuel, puis suivirent 2 autres rendez-vous dans une autre forêt à la lisière de la ville, où il abusa d’elle sous la menace. Selon la victime, l’auteur l’intimidait pour se soumettre à ses désirs, en lui déclarant même qu’il ira la dénoncer aux voisins et à d’autres connaissances. Comme la fille était mineure et fragile, vu qu’il exerça sur elle une violence morale très intense, elle se soumit à ses désirs. La procureure générale a réclamé dans son réquisitoire 15 années d’emprisonnement ferme à l’encontre de l’auteur. Elle a justifié le terrible sort auquel la victime a été vouée à cause de l’accusé. Car elle fut placée dans un centre de l’assistance sociale avec son bébé, vu que son père ne voulait pas la prendre en charge dans son domicile, refusant ainsi de supporter le déshonneur, suivant ses déclarations quand il a été appelé à la barre. Autrement, l’accusé s’est porté garant devant la justice, qu’après sa sortie de prison, il épouserait la fille, et reconnaîtrait l’enfant qui portera son nom. Cependant, le président de la cour s’interrogera si l’accusé ne changera pas d’avis une fois en liberté et qu’il refusera de reconnaître la paternité de l’enfant. Mais, la justice avec ses dispositions accompagnera la préservation des droits de la victime.

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Categories: Afrique

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