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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 16 hours 58 min ago

La quantité a été collectée par NETCOM et extranet en 2018 : 200 tonnes de pain dans les poubelles d’Alger

Wed, 01/16/2019 - 11:02

à elle seule, l’Epic Extranet a collecté plus d’un million de tonnes d’ordures ménagères en 2018, soit 100 000 tonnes de plus qu’en 2017.  

Près de 200 tonnes de pain rassis ont été récupérées des décharges de la wilaya d’Alger, durant l’année 2018. Plus de la moitié, soit plus de 105 tonnes, a été collectée dans les quartiers et les cités de 31 communes qui ont enregistré des opérations de relogement dans de nouvelles cités. Le reste a été “enlevé” dans les centres urbains, communes “intra-muros” au nombre de 26 sur les 57 que compte la capitale. Cette quantité importante de pain jeté dans les poubelles l’année écoulée renseigne bien sur le gaspillage alimentaire effréné qui a pris l’ampleur d’un fléau dans la société, alors que des devises sonnantes et trébuchantes ont été dépensées pour importer le blé tendre afin de produire la baguette en question. Signalons au passage que l’Algérie demeure l’un des plus grands importateurs de blé notamment tendre. Selon les établissements publics (Epic) en charge de la collecte des déchets ménagers dans la capitale, Netcom et Extranet, le pic de dilapidation de pain rassis et autres dérivés de blé tendre ou dur est généralement atteint durant les 30 jours du mois de Ramadhan et lors des fêtes religieuses et familiales. “C’est durant ces périodes cérémoniales que la consommation prend une courbe ascendante, ce qui génère un taux de gaspillage important”, dit-on. C’est dire que les campagnes de sensibilisation initiées ces dernières années pour revenir à la consommation “nécessaire et utile” du pain n’ont pas eu l’effet escompté sur le comportement et le mode de consommation des Algériens. Le bilan dressé par les deux opérateurs chargés du ramassage des ordures ménagères fait ressortir que la production des déchets augmente d’année en année. Extranet, chargée de la collecte des déchets ménagers de deux tiers de la population d’Alger, soit 2,3 millions d’habitants, assure avoir ramassé plus d’un million de tonnes d’ordures ménagères en 2018, soit une augmentation de près de 100 000 tonnes par rapport à 2017. Le directeur général d’Extranet, Rachid Mechab, cité par l’APS, a attribué cette hausse de production des ordures, à l’augmentation du nombre de foyers dans le périmètre d’intervention de l’Epic suite aux opérations de relogement. Cet établissement couvre, à lui seul, 80%, dit-on, du territoire de la wilaya d’Alger. Autrement dit, l’Epic de Mechab assure l’enlèvement des déchets des deux tiers de la population algéroise. À en croire Mme Nassima Yakoubi, chargée de communication à Netcom, plus de 450 000 tonnes de déchets ménagers ont été collectées durant la  même période (2018) au niveau de 26 communes où intervient l’Epic en question. S’agissant des opérations de tri sélectif, de recyclage et de récupération, le DG de l’Epic Extranet  fera savoir que plus de 1 470 tonnes de carton, près de 53 tonnes de plastique et environ 216 000 peaux de mouton ont été récupérés durant la même période.
Il a rappelé, dans le même registre, que les matières recyclables constituent “une source importante” dans le cadre de la stratégie de développement durable et la création d’emplois. Pour sa part, Mme Yakoubi a fait savoir que Netcom a mis en place plus de 3 500 nouveaux bacs dont une partie est destinée au tri sélectif sur des sites pilotes. “L’établissement a récupéré, durant  l’année écoulée, plus de 1 900 tonnes de carton et 504 tonnes de plastique”, a-t-elle conclu.

Hanafi H.

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Tizi Ouzou : Plus de 21 000 emplois créés en 2018

Wed, 01/16/2019 - 11:00

Plus de 21 000 postes d’emploi ont été créés durant l’année 2018 dans la wilaya de Tizi-Ouzou, a-t-on appris dimanche du directeur local de l’emploi, Mustapha Aouici, à l’occasion du salon de l’emploi organisé par sa direction à la maison de l’environnement.

Sur ces 21 000 emplois, 19 993 représentent les placements réalisés par l’agence de wilaya de l’emploi (AWEM) dont 15 536 ont été effectués dans le cadre du marché classique de l’emploi, 2035 au titre du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DAIP) et 2422 en CTA dans le cadre des contrats de travail aidé (CTA), selon un bilan communiqué par le directeur de cette Agence, Tizerarine Yazid. Pour le reste des emplois, M. Aouici a précisé que 525 emplois ont été créés dans le cadre du dispositif de l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ) suite à la création, durant l’année écoulée, de 185 microentreprises.

Le dispositif de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC) a permis, quant à lui, la création de 161 emplois suite à la mise sur pied de 58 microentreprises selon le même bilan arrêté au 31/12/2018, a-t-il ajouté. Le directeur de l’emploi, a précisé qu’en 2018 la commande publique confiée aux microentreprises, créées par la CNAC et l’ANSEJ dans le cadre de l’attribution préférentiel de 20 % de la commande publique pour ce type d’entités économiques, est de 70 marchés totalisant un montant de 293 millions de DA, ce qui a permis, a-t-il observé, la création de 329 emplois supplémentaires.

M. Aouici a relevé que la wilaya de Tizi-Ouzou recèle d’importantes ressources qui peuvent contribuer à créer de l’emploi et de la richesse. L’un de ces atouts est le secteur de l’artisanat qui a été mis en avant durant ce salon de l’emploi organisé à l’occasion de Yennayer sous l’égide du ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Le directeur local du tourisme, Rachid Gheddouchi, a indiqué que quelque 5 448 postes d’emploi ont été créés en 2018 dans le secteur de l’artisanat dans les trois branches d’activité que sont les services, l’artisanat traditionnel et l’art, la production de biens et la production de services.

Le nombre d’emplois cumulés, créés dans ce secteur depuis la mise sur pied de la chambre des métiers et de l’artisanat en 1998 est de 35 019 postes, a souligné M. Gheddouchi. Ce même responsable a indiqué que le nombre d’artisans enregistrés au niveau de la CAM de Tizi-Ouzou est de 13 433 qui exercent dans plusieurs domaines dont la poterie, la bijouterie, le tissage, la vannerie, l’ébénisterie, l’art culinaire (couscous, pains et gâteaux traditionnel), l’habit et la broderie traditionnels. A l’occasion du Salon de l’emploi, le wali Abdelhakim Chater a présidé une cérémonie de remise de 16 contrats de formation-insertion au profit de tapissières d’Ath Hicham (commune d’Ait Yahia) dans le cadre d’une convention de partenariat pour la formation et l’insertion professionnelle des tisseuses de la wilaya de Tizi-Ouzou signée entre les directions locales de l’emploi et du tourisme et de l’artisanat lors de la 9ème édition du festival culturel local du tapis d’Ath Hicham.

La convention porte sur la réservation de 30 contrats de formation-insertion (CFI) au profit de tapissières du village Ath Hicham. « Ces contrats permettront aux jeunes filles de bénéficier d’une formation dans le tissage, animée par d’anciennes tapissières d’Ath Hicham et ce pour assurer la transmission du savoir-faire entre les deux générations », a expliqué, M. Aouici. Cette formation est d’une durée de six mois renouvelables une fois, soit une année durant laquelle les stagiaires vont bénéficier d’un présalaire mensuel de 12 000 DA.

Le wali a rappelé que la wilaya de Tizi-Ouzou se singularise par ses activités artisanales qui sont pratiquées par des femmes tel que le tissage, la vannerie, la poterie, l’habit traditionnel et la tapisserie et qui génèrent des ressources pour les familles. « La wilaya œuvre à la promotion de ces activités par la multiplication des salons et foires qui permettent aux artisans de vendre leurs produits », a-t-il dit.

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Frontière mexicaine : Le Pentagone prolonge la mission de l’armée

Wed, 01/16/2019 - 10:58

Le Pentagone a prolongé jusque fin septembre le déploiement des troupes américaines à la frontière avec le Mexique, pour soutenir les gardes-frontières face à l’arrivée de migrants en attendant un hypothétique mur.

«Le ministre de la Défense par intérim Pat Shanahan a approuvé la demande d’assistance du ministère de la Sécurité intérieure jusqu’au 30 septembre 2019», a indiqué un porte-parole dans un communiqué lundi. Plus de 4.500 soldats sont stationnés le long de cette frontière longue de plus de 3.000 km. Ce déploiement avait été annoncé par le président Donald Trump avant les élections législatives du 6 novembre, dans le but de contrer l’arrivée de plusieurs milliers de migrants faisant route vers les États-Unis depuis l’Amérique centrale. Il devait se terminer à la mi-décembre.

Mais le ministère de la Sécurité intérieure (DHS) avait dans un premier temps demandé au Pentagone de l’étendre jusqu’au 31 janvier, compte tenu d’une «menace continue» à la frontière. Le DHS avait ensuite adressé fin décembre une nouvelle demande d’assistance au Pentagone. Elle vient d’être approuvée, avec non seulement une prolongation du déploiement, mais aussi un changement de la nature de la mission des militaires. «Le soutien du ministère de la Défense à la frontière sud-ouest passe d’une fortification des points d’entrée à la surveillance mobile et à la détection, ainsi qu’à la mise en place de fil barbelé entre les points d’entrée», précise dans son communiqué le ministère, qui «continuera à fournir un soutien aérien».

Militaires divisés
La lutte contre l’immigration clandestine est au coeur du «shutdown» qui paralyse depuis plus de trois semaines une partie des administrations fédérales américaines. Aucun compromis n’a pu être trouvé jusqu’ici entre le président républicain Donald Trump, qui réclame 5,7 milliards de dollars pour la construction d’un mur anti-migrants à la frontière avec le Mexique, et les démocrates, farouchement opposés à ce projet, qu’ils jugent «immoral», coûteux et inefficace. M. Trump semble simplement avoir renoncé, pour le moment, à invoquer les pouvoirs exceptionnels que lui donnerait une déclaration d’urgence, après plusieurs jours à s’interroger publiquement sur cette possibilité.

Pour lui, l’immigration des Latino-Américains reste le sujet numéro un. Jeudi, il disait s’attendre à l’arrivée d’une nouvelle colonne de migrants «gigantesque», «plus grande que tout ce qu’on a vu», venue d’Amérique centrale. Des dizaines de candidats au départ se rassemblaient lundi dans la ville de San Pedro Sula, au Honduras, pour partir vers les États-Unis. Ce déploiement de soldats avait été l’un des points de désaccord qui a provoqué le départ en décembre de son secrétaire à la Défense Jim Mattis. Quand il avait rendu visite à ces soldats en novembre, il avait affirmé que le travail à court terme était surtout de poser des obstacles au franchissement de la frontière. «À plus long terme, c’est disons quelque chose qui reste à voir», avait-il lâché. Les militaires eux-mêmes semblaient divisés sur le sujet.

Certains, s’exprimant dans la presse américaine sous couvert d’anonymat, avaient fait part de leurs doutes, avant que la hiérarchie ne rappelle les consignes strictes du devoir de réserve. D’autres, interrogés par l’AFP, avaient estimé qu’ils s’entraînaient là à la défense du territoire, même sans armée en face. Les gardes-frontières sont restés seuls à intervenir face aux tentatives d’entrée en force sur le territoire américain, tirant des gaz lacrymogènes à deux reprises depuis novembre.

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Constantine – 106 logements évolutifs à Didouche Mourad: Les habitants dénoncent le stationnement anarchique

Wed, 01/16/2019 - 08:56

A. El Abci

Les habitants des 106 logements évolutifs de Didouche Mourad se plaignent de l’anarchie qui règne dans leur cité, notamment à l’entrée, où ils éprouvent de grosses gênes pour accéder, mais aussi des risques d’accident du fait qu’elle est située en bordure de la RN 3, reliant Constantine à Skikda, et où les véhicules passent en trombe, disent-ils. En effet et selon certains des habitants qui nous ont contactés hier, cette situation est derrière plusieurs accidents de la route, heureusement jusqu’à présent sans entraîner de décès ou de blessés graves. Les victimes ont été jusqu’à présent, font-ils savoir, surtout des enfants avec les tout-petits qui vont à l’école coranique de la mosquée, qui se trouve en face de la cité, en sus des élèves fréquentant le CEM «Ibn Taymia» et le nouveau lycée, ouvert récemment. «Aussi, poursuivent-ils, nous avons fait auparavant des démarches auprès de la mairie pour demander l’installation de ralentisseurs, projet qui a été accepté et dont même le traçage a été effectué après.

Malheureusement, tout est tombé à l’eau dernièrement. Le P/APC vient de signifier son refus, en disant que l’endroit ne s’y prête pas et qu’il va falloir le reporter, jusqu’à trouver le lieu le mieux approprié pour son aménagement», disent-ils. Nos interlocuteurs des 106 logements évolutifs ne se limitent pas à ce seul aspect, et en énumèrent d’autres, à l’instar des fidèles de la mosquée en face de la cité, qui, aux heures de prière stationnent leurs voitures sur les trottoirs de devant la cité, poussant les piétons à descendre sur la chaussée dans leur déplacement. Et de signaler en outre, les parents d’enfants qui font des entraînements deux fois par semaine, au niveau du stade municipal situé aussi à proximité, et qui pour les récupérer n’hésitent pas non plus à stationner leurs voitures n’importe comment, ajoutant à l’anarchie des lieux.

Le résultat de tout cela pour les habitants, c’est qu’à leur sortie de la cité, ils se trouvent énormément gênés par une visibilité réduite, du fait de cette grande pagaille de stationnement sur la chaussée et sur les trottoirs. «Dans ces conditions, nous avons proposé à la mairie de Didouche d’aménager un parking dans un espace assez grand, situé à droite de l’entrée de la cité, qui a servi auparavant d’aire de jeux pour enfants, et qui a été abandonné après et retourné à l’état de piste. Son aménagement en parking soulagera les habitants des affres des encombrements de voitures devant leur cité. L’APC a promis d’étudier la question et nous attendons toujours du concret», concluent-ils.

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Besbes: Saisie de plus de 20 kilos de corail

Wed, 01/16/2019 - 08:54

A. Ouélaa

    Les services de la sûreté de daira de Besbes, agissant sur information faisant état de l’acheminement d’une grande quantité de corail, à bord d’un véhicule touristique immatriculé dans la wilaya de Mila, ont multiplié les patrouilles et barrages. Et, c’est à hauteur de Oued Boukhrofa que le véhicule en question a été intercepté, en fin d’après-midi de dimanche dernier. La fouille du véhicule a permis de découvrir, soigneusement caché dans deux sacs en plastique, 20 kilos de corail rouge. Une ceinture sertie de corail a aussi été saisie, contenant 260 grammes de corail.

Présenté devant le tribunal de Dréan, le convoyeur de cette quantité de corail a été placé sous contrôle judiciaire. Enfin, la valeur marchande de cette quantité de corail a été estimée à plus de 500 millions de centimes.

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Cambriolages et falsification de billets de banque, trois arrestations

Wed, 01/16/2019 - 08:54

A. Z.

    Les éléments de la sûreté de daïra d’Ibn Ziad ont arrêté trois (3) individus, âgés entre 20 et 32 ans, présumés impliqués dans des affaires de cambriolage ayant ciblé des locaux commerciaux et falsification de billets de banque en monnaie nationale et étrangère.

L’enquête a été entamée à la suite d’une plainte déposée par un commerçant, signalant un cambriolage en cours dans son magasin.

Le déplacement rapide des enquêteurs permettra de prendre le cambrioleur en flagrant délit à l’intérieur du local, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya. Une somme d’argent a été récupérée et le mis en cause a été emmené au commissariat, signale le même communiqué. L’enquête ouverte aboutira à la conclusion de l’implication du mis en cause dans trois autres affaires de cambriolage qui ont touché des locaux commerciaux situés au centre-ville d’Aïn Abid.

Et la perquisition du domicile du suspect permettra aux enquêteurs de récupérer tous les objets volés aux victimes, dont deux téléphones portables, des paquets de cigarettes, ainsi que des sommes d’argent en monnaie nationale et étrangère (dinars tunisiens). Lors de cette perquisition dans le domicile du suspect, signale la même source, les enquêteurs ont procédé à la saisie d’une imprimante et d’une liasse de papier blanc sur lequel devaient être imprimés des billets de banque en monnaie nationale et étrangère. Les investigations ont également permis d’arrêter deux autres individus, sur lesquels pèsent des soupçons de complicité avec le principal mis en cause dans ces affaires. A l’issue des procédures pénales, dans 5 dossiers distincts, les trois mis en cause ont été présentés devant le procureur de la République territorialement compétent.

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Education: 2 500 enseignants au concours de promotion

Wed, 01/16/2019 - 08:53

A. Zerzouri

     Près de 2 500 enseignants des trois paliers ont participé, hier, au concours interne de promotion aux grades d’enseignants principaux et formateurs. Les participants à ce concours ont été dispatchés à travers six (6) centres au niveau de la wilaya, nous a indiqué le directeur de l’Education, M. Mohamed Bouhali, tout en soulignant que le concours se déroule dans de bonnes conditions. Notre interlocuteur a encore souligné dans ce sillage que le même dispositif du baccalauréat a été adopté pour ce concours, notamment en matière de correction, avec codage des copies des candidats avant de passer au stade de la correction.

Notons qu’au mois de décembre dernier, le ministère avait annoncé que plus de 40 000 postes sont ouverts, sur le territoire national, au concours de promotion aux grades d’enseignants principaux et formateurs. Précisant que le cycle primaire a bénéficié de la plus grande part, avec 16 353 des postes accordés, en plus de 11 751 postes pour le cycle moyen et enfin 12 790 pour le secondaire.

Quant aux conditions à remplir pour bénéficier de la promotion aux grades de professeur principal et d’enseignant formateur, les candidats et enseignants nommés du cycle primaire, moyen et secondaire, doivent justifier d’au moins cinq années d’ancienneté, pour pouvoir se présenter aux examens de promotion. Et, parmi les catégories exclues du concours, on signalera également les enseignants mis à la retraite ainsi que ceux admis aux examens professionnels organisés en 2018 pour accéder aux grades de directeur d’établissement éducatif concernés par la formation spécialisée, ou après inscription sur les listes de qualification en 2018 pour l’accès aux grades de censeur, de conseiller en éducation et de directeur adjoint au primaire.

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Annaba: Vols et agressions, deux arrestations

Wed, 01/16/2019 - 08:48

A. Ouélaa

     A l’origine d’une vingtaine de vols, qu’il commettaient à visage découvert et sous la menace d’armes blanches, deux dangereux malfaiteurs, originaires de la localité d’Essarouel, commune d’El Bouni, connus sous les sobriquets de «Salim El Djinn » et « le terroriste », ont été arrêtés avant- hier par plusieurs policiers relevant de plusieurs arrondissements. Des plaintes ont été déposées par les victimes de ces deux agresseurs dont les agissements ont fini par installer une véritable psychose parmi les paisibles citoyens.

Les deux mis en cause, présentés lundi denier devant le tribunal correctionnel de Annaba, ont été placés sous mandat de dépôt par le magistrat instructeur.

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Scandale de l’eau minérale texanna : L’usine mise sous audit

Wed, 01/16/2019 - 08:48

L’affaire du scandale de l’eau minérale Texanna connait un nouveau rebondissement.L’usine est sous audit, jusqu’à la détermination de l’origine des corps(résidus) étrangers, qui menacent la santé des consommateurs.

C’est ce qu’a révélé lors de son passage à la chaîne 3de la Radio nationale Abderrahmane Benhazi, directeur général du contrôle au ministère du Commerce. Il a, à cette occasion, expliqué que cette mesure de suspension de l’activité de production de l’unité Texanna a été engagée « après avoir constaté la présence de corps étrangers dans certains lots, notamment les lots 310, 314 et le 315 ». Et d’indiquer que « Plus de 37 prélèvements d’échantillons ont été effectués ».

L’activité de l’usine suspecte depuis une année

Monsieur Benhazi a fait savoir que l’usine « faisait l’objet d’un suivi de la part des services de contrôle de la qualité du ministère du Commerce depuis janvier 2018 ». « Est-ce que le problème se pose au niveau de la production ? De la source ? Du filtrage ou de l’emballage ? Nous sommes en train d’étudier tous ces aspects », conclut le directeur général du contrôle au ministère du Commerce.

Par : R. N.

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Selon des syndicats de l’Education: La grève du 21 janvier inévitable

Wed, 01/16/2019 - 08:45

M. Aziza

Le spectre de la grève plane toujours sur le secteur de l’Education. Pourtant, les réunions bilatérales de dialogue entre la ministre et les syndicats du secteur se poursuivent encore. Selon certains syndicats «la grève nationale prévue le 21 janvier prochain sera probablement maintenue» pour ne pas dire «inévitable».

Le président de l’Union nationale du personnel de l’éducation et de la formation (Unpef), Sadek Dziri, a déjà tranché en affirmant que sa formation est pour le maintien de la grève en attendant bien évidemment la clôture de la série des réunions bilatérales avec le reste des syndicats, afin de décider d’aller en bloc vers une grève nationale.

Ayant déjà rencontré la ministre de l’Education le 9 janvier passé, les membres de l’Unpef parlent d’insatisfaction, voire de mécontentement, quant aux résultats obtenus à l’issue de leur rencontre avec Nouria Benghabrit. Sadek Dziri a reconnu que «les discussions étaient longues, intenses et très franches, mais nous n’avons rien obtenu», «nos revendications n’ont trouvé aucun écho positif».

Ce qui a irrité encore les syndicats ce sont «les déclarations provocatrices de la ministre de l’Education» qui avait accusé les syndicats, dimanche dernier sur la radio nationale, de vouloir mettre la pression sur l’Etat et d’avoir failli à leurs engagements envers la tutelle et le secteur. Elle avait alors affirmé que «les syndicats de l’Education n’arrivent même pas à s’entendre entre eux, notamment sur la question des œuvres sociales».

Le président de l’UNPEF a qualifié les déclarations de la ministre de «graves». «Dire que les syndicats veulent faire pression sur l’Etat, il faut d’abord qu’elle sache que l’Etat appartient à l’ensemble du peuple algérien, et l’Algérie nous appartient, à nous tous». En ce qui concerne les pressions exercées par les syndicats, le syndicaliste affirme qu’ «il faut également qu’elle sache que la mission principale des syndicalistes est de défendre les droits des travailleurs en privilégiant en premier lieu le dialogue constructif, mais si les syndicats n’obtiennent ni réponses ni résultats positifs, ils passent automatiquement et logiquement au front supérieur en faisant une pression pacifique, qui est généralement la grève ou la tenue de rassemblements». «Les syndicats du monde entier procèdent ainsi, pourquoi les syndicats algériens doivent-ils faire exception ?», s’interroge-t-il.

Le porte-parole du conseil des enseignants des lycées d’Algérie (CELA), Idir Achour, a affirmé pour sa part que «selon des échos, la grève serait inévitable». Il soulignera que son syndicat devra se réunir avec la première responsable du secteur au cours de la semaine prochaine. En ce qui concerne les dernières déclarations de Nouria Benghebrit, Idir Achour précise que la situation actuelle mérite une autre approche. «Une approche de dialogue constructif et de concertation continue», précise-t-il. Il notera que la ministre a évoqué un désaccord entre les syndicats sur la question des œuvres sociales, pourtant ce point n’a guère été évoqué dans la plate-forme de revendications des syndicats protestataires.

Pour lui, «Nouria Benghebrit est en train d’alimenter des conflits qui ont déjà existé et existent toujours entre les syndicats». «Ce n’est pas du tout une façon de gérer un dialogue, ; elle veut par ses déclarations provocantes gagner du temps et j’estime qu’elle n’est pas sur la bonne voie».

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Statut particulier, hausse des salaires, formation: Les imams satisfaits des discussions

Wed, 01/16/2019 - 08:45

Yazid Alilat

Les discussions entre la coordination nationale des imams et le ministère des Affaires religieuses et des Waqfs « se poursuivent dans un bon climat», a indiqué hier mardi son coordinateur national Djelloul Hedjimi.

Il a expliqué dans une déclaration au Quotidien d’Oran que « nous avons entamé des discussions avec le ministère à travers une commission spécialisée, et jusqu’à présent, ces pourparlers se déroulent dans de bonnes conditions». Interrogé sur ses attentes quant à la réussite de ces discussions, M. Hedjimi a indiqué que « l’essentiel est qu’on a commencé ces séances de discussions avec une commission du ministère», que « le dialogue a été lancé». « L’essentiel est que ces discussions se déroulent sans préconditions». Selon M. Hedjimi, « le ministre a accepté que ces discussions (avec la coordination des imams) soient menées sans conditions, et nous sommes satisfaits».

En outre, « le ministre a accepté de discuter sur toutes nos revendications», ajoute- t-il, avant de souligner que « ces discussions procèdent par priorités, selon l’importance des points à négocier». « Pour nous, le point le plus important est la révision du statut particulier de l’imam, la révision de la grille des salaires et d’autres points tout aussi importants». Il a également indiqué que des experts issus d’autres départements ministériels seront appelés à participer à ces discussions, notamment pour résoudre ou clarifier certains points de la plateforme de revendications des imams, dont la révision du statut particulier de la profession. « En tous les cas, les discussions devraient porter sur nombre de points et préoccupations de notre profession, et on va voir ce qu’il en ressortira avec ces discussions directes avec le ministère», a souligné M. Hedjimi, qui a manifesté sa « satisfaction» quant au lancement de ce cycle de discussions avec le ministère des Affaires religieuses autour de leurs revendications, dont une hausse des salaires et la révision du statut particulier. Pour arriver à tenir ces séances de travail avec une commission spécialisée du ministère, la coordination des imams avait à plusieurs reprises, entre le mois de mai et novembre derniers, menacé de recourir à des « sit-in» de protestation, et parlé de « grève » des imams. Dans la plateforme des revendications des imams, il y a également le logement, ainsi que « la dépénalisation du métier de l’imam ». Le statut particulier actuel des imams, qui date de 2008 et que la coordination veut revoir, prévoit en cas d’incitation à la violence des poursuites judiciaires. Les mêmes revendications portent également sur l’ouverture d’une formation continue dans les universités et l’application du principe d’égalité des chances pour les imams. Actuellement, les salaires des imams, qui émargent à la fonction publique, varient de 30.000 DA à 40.000 DA, plus les primes. La revendication de la profession d’une amélioration des salaires n’est pas nouvelle, et dure depuis la dernière revalorisation des salaires, en 2008, avec les nouveaux statuts des imams, payés selon les barèmes de la fonction publique, puisqu’ils émargent au budget du ministère des Affaires religieuses et des Waqfs. « Nous revendiquons autant une hausse des salaires des imams que la mise en place d’un nouveau statut particulier », insiste M. Hadjimi. Au mois de mai dernier, la coordination avait organisé un sit-in de protestation devant le siège de l’UGTA, à Alger. En 2008, le département des Affaires religieuses avait proposé dans le projet de statut particulier des fonctionnaires du secteur, et selon les grades, des primes entre 6.000 et 10.000 DA, alors que le salaire de base des imams est de 28.000 dinars. La coordination des imams d’Algérie, une organisation affiliée à l’UGTA, a, par ailleurs, manifesté son optimisme quant à la résolution de « toutes nos revendications». « Le ministre a accepté toutes nos propositions-revendications. Il s’agit maintenant de les discuter point par point», a-t-il dit.

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Pour relancer le processus de recouvrement des taxes à Ain El-Turck: Une commission sur le terrain pour recenser les espaces publics exploités

Wed, 01/16/2019 - 08:38

Rachid Boutlelis

     Une commission de contrôle de l’Apc d’Aïn El-Turck a entamé, avant-hier, une opération de recensement des terrasses et autres espaces sur la voie publique, utilisés pour le besoin d’une activité commerciale et ce, dans le but de relancer la perception des taxes exigées pour leur exploitation, apprend-on d’une source proche de la commune. Cette opération, qui a été instruite par le wali d’Oran, à l’intention des municipalités de la daïra d’Aïn El Turck, vise à relancer le processus de recouvrement des taxes aux établissements pratiquant certaines activités commerciales, comme à titre d’exemple les établissements hôteliers, de restauration ainsi que les cafétérias et toute autre activité commerciale nécessitant la concession d’un espace public, indique notre source. Cette instruction a été décidée dans le but, également, d’aligner au diapason les activités nécessitant, entre autres, l’autorisation d’une extension sur un espace, pour une terrasse, qui sera délimité au préalable par les services de l’APC et contribuera ainsi à renflouer les caisses des municipalités, en vue de s’autofinancer. Selon notre source une taxe de recouvrement sera retenue pour la concession d’un espace public et ce, en fonction de la haute et de la basse saison. Il importe de noter que conformément aux instructions du wali d’Oran, l’APC d’Aïn El Turck a désigné, quelques mois auparavant, un contrôleur qui a pour mission essentielle de relancer le processus de perception des taxes ainsi que pour les panneaux publicitaires.

Notons, également, que l’instruction du wali fait suite aux directives du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales concernant l’exploitation de ces richesses pour permettre aux municipalités de s’autofinancer et par ricochet mettre un terme à l’anarchie enfantée par l’accaparement illicite de la voie publique par certains contrevenants. Notre source indique, encore, que la taxe de recouvrement retenue sera fixée en fonction de la haute et de la basse saison.

Dans un autre contexte, on apprend de sources proches de l’APC d’Aïn El-Turck qu’une opération de recensement devra être lancée pour établir l’état des centres de vacances essaimés à travers le chef-lieu. Les responsables des services concernés de l’APC ont notifié leur ferme opposition contre l’exploitation de ces centres par des investisseurs qui auraient eu l’intention de les détourner de leur vocation initiale. Les mêmes sources ont ajouté qu’un recensement sera effectué pour dénombrer les centres de vacances et autres biens communaux squattés par des familles sinistrées et tenté, ainsi, de trouver une solution pour leur récupération. Dans cette optique, on apprend auprès de nos sources que des opérations de réhabilitation toucheront les colonies de vacances qui sont, actuellement, opérationnelles dans la municipalité d’Aïn El-Turck et ce, pour offrir les meilleures conditions de séjour aux colons. Cette opération de réhabilitation s’inscrit dans le cadre de cette formule de vacances, conformément aux instructions, émanant du ministère de l’Intérieur et adressées aux municipalités côtières.

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4ème Salon international de l’Agriculture «Agripro Expo» du 23 au 26 janvier: Plus de 150 exposants nationaux et étrangers attendus à Oran

Wed, 01/16/2019 - 08:38

J. Boukraâ

Le Centre des conventions d’Oran ‘Ahmed Ben Ahmed’ abrite du 23 au 26 janvier en cours, le 4ème Salon international de l’Agriculture «Agripro Expo». Organisé sous l’égide du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, plus de 150 exposants attendus à ce salon, placé sous le slogan: «les nouvelles technologies appliquées à l’Agriculture».

Outre les participants nationaux, des exposants viendront de Belgique, de France, d’Italie, d’Allemagne, de Turquie, de Chine, de Tunisie et de Pologne, entre autres, sont attendus à Oran. Il s’agit de faire découvrir et de mettre en valeur les acteurs majeurs du métier à un public de professionnels et d’amateurs et de partager et d’informer les participants et visiteurs des dernières réglementations et nouveautés du domaine en réunissant institutions, professionnels et associations.

Selon les organisateurs ‘Agripro Expo’ se veut un espace d’échange entre professionnels et amateurs de produits et nouveauté (démo-essai / dégustation/expo). ‘Agripro Expo’ est une plate-forme unique qui regroupe tous les métiers de l’Agriculture (culture, semence, élevage, phytosanitaire, vétérinaire, matériels…). Il s’agit de mettre en valeur, pour la première fois sur l’Ouest, d’un événement qui contribue à la renommée nationale et internationale de l’Agriculture. C’est faire découvrir les acteurs majeurs du métier à un public de professionnels et d’amateurs et partager et informer nos participants et visiteurs des dernières réglementations et nouveautés du domaine, en réunissant institutions, professionnels et associations».

Selon ces initiateurs «le salon ‘Agripro-Expo’ a pour ambition de devenir le rendez-vous incontournable de tous les acteurs régionaux et internationaux du monde agricole, en leur offrant une tribune unique pour présenter leur produit, leur diversité et leur nouveauté, dans une ville, Oran, une région, l’Oranie, un pays, l’Algérie, portés par un dynamisme économique et social exemplaire».

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Boudé par les courtiers et les clients: Un cahier de charges pour la concession du marché de véhicules d’El Hamri

Wed, 01/16/2019 - 08:36

D.B.

    Conformément aux instructions du maire d’Oran concernant l’exploitation, à bon escient, du patrimoine communal, un cahier de charges sera élaboré par les services de la commune d’Oran, dans les tout prochains jours, pour la concession en location du nouveau marché de véhicules d’El Hamri, a-t-on appris, hier, auprès de sources proches de l’APC. Cette procédure sera suivie par le lancement d’un avis d’adjudication, au plus offrant. Géré depuis son ouverture par les services de la division des Affaires économiques de la commune d’Oran, le nouveau marché de véhicules d’El Hamri, sera cédé en concession, pour une durée que déterminera le cahier de charges. Nos sources indiquent que la décision de recourir à la concession en location à un privé, fait suite à un constat faisant état de la faible rentabilité de cet espace, pratiquement boudé par les courtiers et les clients.

En effet, l’ouverture du nouveau marché de véhicules ne semble pas susciter un engouement pour les courtiers d’Oran qui préfèrent de loin occuper l’espace public, au marché informel des Castors. Ce ‘souk’ qui est à l’origine de nombreux désagréments pour les riverains, devait être éradiqué. Toutefois les ruelles de ce quartier sont toujours squattées par de nombreux courtiers. Abordés, à ce sujet, des courtiers ont affirmé qu’ils boudent le nouveau marché à cause des taxes d’entrée. Pourtant et de l’avis de sources proches de la commune, les taxes fixés par l’APC ont été minutieusement étudiées pour permettre l’accès à un maximum de courtiers . Même les potentiels clients en quête d’un véhicule ne semblent pas attirés par ce nouveau marché et semble plutôt privilégier le marché informel.

«Outre le problème des taxes d’accès, il faut signaler que les clients se sont habitués au marché des Castors, et beaucoup ignorent même l’existence d’un nouveau marché», affirme un courtier. Ce dernier indique que l’achat et la vente de la majeure partie des voitures s’effectue dans les marchés informels. Après plus de huit mois de travaux d’aménagements, le nouveau marché d’El Hamri, totalement aménagé, a été ouvert il y a plus de quatre mois. La mise en exploitation de ce site a été décidée à l’issue d’une visite effectuée par le maire d’Oran et les membres de son exécutif, pour un constat de visu. En parallèle, les marchés illicites de vente de voitures au quartier de l’hippodrome, à Courbet et au 2ème périphérique devaient être interdits par arrêté du président de l’APC.

Pour interdire toute activité sur ces sites, des dispositions devaient être prises, conformément à la loi, pour interdire tout stationnement de véhicules, en dehors des espaces réservés légalement aux salles des fêtes ou autres commerçants. Avant l’ouverture du marché, la commune a arrêté les tarifs relatifs au droit d’accès de véhicules.

Le prix arrêté est, pour les jours de semaine, de 100 DA pour les véhicules légers, 300 DA pour les camions, 500 DA pour les engins et 200 DA pour les motos. Un prix spécial est fixé, pour le vendredi, qui est respectivement de 500 DA, 1.000 DA, 1.500 DA et 600 DA. Ce marché, érigé sur le site des anciens abattoirs, devrait permettre à la commune d’Oran de renflouer ses caisses. C’est, aussi, un soulagement pour les habitants de ces quartiers qui n’ont cessé d’interpeller les responsables locaux pour la délocalisation de ces marchés informels. Malheureusement, ils vivent toujours le calvaire.

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Réunion DG-Cadres de l’OPGI: Les mauvais payeurs et les locaux commerciaux non exploités en ligne de mire

Wed, 01/16/2019 - 08:32

K. Assia

Le directeur de l’Office de promotion et de gestion immobilière d’Oran, en l’occurrence M. Mohamed Baroud, a insisté avant-hier lundi, lors d’une séance de travail tenue en présence des cadres de l’office, sur la nécessité de mobiliser tous les moyens afin d’augmenter le taux de recouvrement des créances détenues auprès des locataires.

Celles-ci représentant le montant des loyers impayés s’élèvent à 70 milliards de centimes. L’office doit désormais multiplier les campagnes de sensibilisation auprès de ses clients. En dépit des innombrables correspondances, des locataires continuent de tourner le dos à des engagements pourtant consignés. Par ailleurs et lors de cette rencontre, le responsable de l’office a également demandé aux chefs des agences de convoquer les bénéficiaires des locaux commerciaux non exploités. Ce qui permettra de suivre de près la situation actuelle de ces locaux. Tout en insistant sur l’amélioration de l’accueil et également la prise en charge des doléances de la population, le DG a mis l’accent sur l’importance du dialogue et de la communication via les réseaux sociaux.

Les objectifs tracés dans le programme de l’office doivent être atteints, ce qui souligne, selon le responsable, la nécessité de renforcer et de déployer tous les efforts afin d’être au diapason. Il a également insisté sur le respect des délais afin de livrer les chantiers d’habitat et répondre favorablement aux attentes des habitants. Cette rencontre a également permis d’expliciter les grands axes du plan d’action 2019 et de le comparer à celui de l’année précédente.

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Séminaire sur la LF 2019 et son impact sur le développement local: La progression de la dette publique, de plus en plus, préoccupante

Wed, 01/16/2019 - 08:32

Sofiane M.

        Les nouvelles dispositions introduites par la loi de Finances 2019 et ses répercussions sur le développement local a été le thème du séminaire organisé, hier, par la Chambre de Commerce et d’Industrie de l’Oranie (CCIO), à l’hôtel ‘Sheraton’ avec pour objectif d’informer les opérateurs économiques publics et privés et d’anticiper les effets de ce texte de loi sur les entreprises locales et la consommation des ménages. Cette rencontre a regroupé des experts en Economie et en Finances, des cadres centraux des administrations fiscales, domaniales, douanières, des élus locaux et nationaux et des opérateurs économiques de tous bords.

Les différents intervenants ont épluché les articles de la nouvelle loi de Finances qui a, notamment, instauré des facilités fiscales au profit des entreprises. Il est, ainsi, annoncé l’extension de «l’option au régime d’imposition du bénéfice réel», aux sociétés étrangères ne disposant pas «d’installation professionnelle permanente en Algérie, relevant des directions des Impôts de wilaya et des centres des Impôts». Autre mesure importante de ce texte de loi est la «Reconduction, pour une période de cinq ans, à compter du 1er janvier 2019, de l’exonération en matière d’IRG et d’IBS, en faveur des produits des actions et titres assimilés cotés en bourse ou des obligations et titres assimilés d’une maturité égale ou supérieure à cinq ans, cotés en bourse ou négociés sur un marché organisé, ainsi que ceux des actions ou parts d’organismes de placements collectifs en valeurs mobilières».

Cette mesure concerne aussi «les produits et des plus-values de cession des obligations, titres assimilés et obligations assimilées du Trésor, cotés en bourse ou négociés sur un marché organisé, d’une échéance minimale de cinq ans, émis au cours d’une période de cinq ans, à compter du 1er janvier 2019 ». Cette exonération est valable « sur toute la durée de validité du titre émis au cours de cette période des dépôts à terme des banques, pour une période de cinq ans et plus ».

Il est aussi annoncé la « reconduction de l’exonération accordée en matière de droits d’enregistrement, pour une période de cinq ans à compter du 1er janvier 2019, au profit des opérations portant sur des valeurs mobilières cotées en bourse ou négociées sur un marché organisé». Le professeur universitaire, Bouklia Rafik Hassane, a insisté dans son intervention sur l’urgence de lancer des réformes du cadre budgétaire afin de se conformer aux engagements pris dans la loi de Finances 2019. L’universitaire s’est, essentiellement, inquiété de la progression de la dette publique qui est passée de 7,7% du PIB, en 2014 à près de 40% du PIB actuellement.

Il a, aussi, averti que le creusement du déficit public qui est passé à 10% du PIB risque d’avoir un coût lourd pour l’Economie nationale. L’universitaire ne s’est pas contenté de pointer les problèmes du doigt, mais il a suggéré des solutions pour soulager le budget de l’Etat. Il a préconisé ainsi, des réformes budgétaires et une gestion publique par objectifs fixés, au préalable, pour garantir une meilleure efficience des dépenses. Pour cela, il est nécessaire de réajuster le système national d’investissement public avec pour but de réduire de 20% les dépenses. Il a aussi recommandé le ciblage des transferts sociaux pour rationaliser les dépenses publiques et le recours aux énergies renouvelables afin d’économiser les hydrocarbures pour assurer un potentiel d’exportation. Il importe de noter à ce titre que le solde global du Trésor, pour l’exercice 2019, affiche un déficit de près de 2.200 mds DA.

Les experts en Economie ne sont pas en réalité les seuls à s’inquiéter de la progression de la dette publique. Le gouvernement a, en effet, décidé début décembre dernier de surveiller la dette des entreprises publiques. Le Conseil des participations de l’État (CPE) se préoccupe, désormais, de l’endettement des entreprises détenues par l’État, et son impact sur le Trésor public. Le CPE avait préconisé la mise en place de mesures d’urgence et un suivi permanent des départements ministériels de supervision. La loi de Finances de l’exercice 2019 a été publiée au Journal Officiel n°79, daté du 30 décembre 2018, rappelle-t-on.

Le cadrage macroéconomique retenu pour l’exercice 2019 table sur un prix de pétrole à 50 dollars le baril, un taux de croissance de 2,6% et un taux d’inflation de 4,5%. Sur le plan budgétaire, la loi prévoit des recettes de 6.508 milliards de DA, en légère hausse par rapport à celles de 2018, dont 2.714 mds DA de fiscalité pétrolière.

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Haï El Badr: Démolition de 22 constructions et de plateformes illicites

Wed, 01/16/2019 - 08:29

J. Boukraa

      Trois jours après la démolition d’une dizaine de plateformes illicites au niveau du site dit Douar B, par les services du secteur urbain Bouamama, une nouvelle opération de démolition a eu lieu avant-hier au niveau du secteur El Badr. Selon des sources proches de l’APC, 22 constructions et plateformes illicites, érigées sur le domaine public ont été démolies. L’opération supervisée par le chef de daïra, s’est déroulé sans incident. Nos sources indiquent que les habitations illicites démolies étaient inoccupées et devaient sûrement être revendues à des mal logés. Il y a trois jours, en application des directives du wali d’Oran, interdisant toute construction illicite sur le domaine public, les services du secteur urbain Bouamama, avaient démoli une dizaine de plateformes fraîchement érigées en vue de construire des habitations illicites, au niveau du site dit Douar B, a-t-on appris hier auprès du secteur urbain Bouamama. Nos interlocuteurs indiquent qu’une vingtaine d’autres constructions illicites sont programmées a la démolition dans les tout prochains jours. Cette opération intervient quelques jours après la démolition d’un mur érigé tout autour d’une ferme agricole, au niveau du site dit Coca. Selon des sources proches du secteur urbain, ce mur a été construit pour clôturer une terre agricole, dans la perspective de la morceler en lots de terrain avant de procéder a sa revente pour des mal logés pour ériger des constructions illicites. L’opération fait suite aux instructions du wali d’Oran, visant à mettre un terme a la prolifération des habitations illicites; notamment au niveau de Coca, connu pour être l’un des plus grands sites d’habitat précaire à Oran.

Ces deux derniers mois les services du secteur urbain ont démoli plus d’une cinquantaine de constructions illicites. En effet, dans le cadre de la lutte contre la prolifération des bidonvilles, une vaste opération de démolition des habitations illicites a été effectuée à «Douar Tiartia» à El Hassi. Ainsi plus de 35 constructions illicites dont des constructions et extensions ont été démolies. L’opération fait suite à un contrôle effectué par les services du secteur urbain de Bouamama. En effet certains individus profitent des week-ends pour construire de nouveaux taudis dans l’espoir de bénéficier de logement dans le cadre des opérations de relogement lancées par les pouvoirs publics dans le cadre du programme de lute contre l’habitat précaire.

Certains se sont même investis dans l’achat et la vente des parcelles de terrain au niveau des forêts. C’est le cas de ces constructions qui étaient prêtes à être revendues. Toutefois, moins d’une année après une première opération de démolition des constructions illicites érigées à Coca dans le quartier d’El Hassi, des dizaines de familles sont revenues s’installer de nouveau sur ce même terrain forestier en y installant de nouvelles baraques. Ils ont d’ailleurs utilisé pour cela toutes les tôles, parpaings, vieux madriers, cartons et autres «matériaux» trouvés sur le terrain après l’opération de démolition. Ici personne n’ignore les dessous de ce «trafic» à ciel ouvert organisé depuis des années autour de la vente et la revente des baraques implantées illicitement sur le domaine public. Le wali d’Oran avait insisté, à plusieurs reprises, sur plus de rigueur dans l’application des lois contre toute forme d’agression sur les terres agricoles et autres domaines publics. Les nombreuses sorties du wali d’Oran, depuis son installation à la tête de la wilaya, ont permis au responsable de l’exécutif d’avoir un large aperçu sur la prolifération des constructions illicites sur les terres agricoles et sur le domaine forestier. La dynamique que connaît le secteur de l’habitat et la consistance des programmes confortent les autorités locales dans la volonté d’éradiquer totalement les constructions précaires. Suite aux dernières opérations de relogement, le nombre d’habitations illicites a explosé. Pour plusieurs citoyens, demeurer dans des bidonvilles est synonyme d’une attribution imminente d’un logement ou du moins une pré-affectation.

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FAF: Ould Zmirli démissionne pour se consacrer à la politique

Wed, 01/16/2019 - 08:29

K. M.

  Bachir Ould Zmirli, membre du bureau fédéral de la FAF, qui occupait aussi le poste de vice-président de la fédération, a démissionné suite à son élection comme sénateur du Rassemblement national démocratique (RND) pour la wilaya d’Alger. Etant élu à la FAF et au RND, Ould Zmirli tombe sous le coup de l’article 122 de la Constitution qui stipule : «Le mandat du député et du membre du Conseil de la nation est national. Il est renouvelable et non cumulable avec d’autres mandats ou fonctions». En ce sens, Ould Zmirli n’a pas le droit de cumuler deux mandats en tant qu’élu et a fini par choisir la politique au sport. La démission d’Ould Zmirli ne contraint pas la FAF à le remplacer. Cependant au cas où plus de trois membres démissionnent du bureau fédéral, la FAF sera obligée d’organiser des élections pour les remplacer. Pour ce qui est du NA Hussein Dey, c’est le frère de Bachir Ould Zmirli, en l’occurrence Mahfoud, qui occupe le poste de président de club.

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Tribunal criminel d’Oran: Peine de mort pour le meurtrier de Sidi Benyebka

Wed, 01/16/2019 - 08:29

M. Nadir

  Le tribunal criminel de première instance près la cour d’Oran a prononcé, hier, la peine de mort contre M. Houari, coupable d’avoir tué le dénommé B. Djameleddine à coups de couteau.

La tragédie remonte au mois de septembre 2017 lorsque les éléments de la police de Sidi Benyebka, commune située à une dizaine de kilomètres du chef-lieu de la daïra d’Arzew, ont été alertés sur l’admission aux urgences de l’hôpital d’El Mohguen d’un homme âgé de 28 ans présentant de graves blessures manifestement provoquées par un objet coupant. Après avoir subi deux interventions chirurgicales complexes et un transfert au CHU d’Oran, l’homme n’a pas survécu à ses graves blessures (au cœur, au foie et aux reins) qui ont entraîné une hémorragie massive et la perte de quelque quatre litres de sang.

Les premiers éléments de l’enquête mènent les policiers à une salle de jeu de Sidi Benyebka à proximité de laquelle ils constatent la présence de traces de sang. Interrogés, des témoins désignent le dénommé M. Houari comme étant l’auteur de l’agression mortelle de Djameleddine. Interpellé, le suspect, âgé de 21 ans, reconnaît l’agression et donne sa version des faits : ce jour-là, raconte-t-il, il est entré à la salle de jeux pour quelques parties de billard mais le défunt qui se trouvait déjà sur les lieux l’a empêché de jouer et lui a fait des avances. «Une altercation a éclaté, il m’a donné une gifle et m’a entraîné dehors où il a essayé de me frapper avec une batte de base-ball», affirme le suspect, en ajoutant avoir réussi de s’enfuir chez lui avant de revenir muni d’un couteau pour se venger. Houari, qui précisera avoir agi sous l’effet de la boisson, reconnaîtra avoir donné plusieurs coups de couteau à Djameleddine et avoir pris la fuite en jetant l’arme du crime dans le jardin du quartier. Lors de son procès, l’accusé a répété avoir réagi aux provocations du défunt et ses avances indécentes, et rejeté la préméditation et l’intention de donner la mort. Ce que les témoins, qui se sont succédé à la barre, ont récusé en affirmant que c’est l’accusé qui a fait des avances au défunt et que c’est lui qui l’a appelé dehors pour l’agresser au couteau. Dans sa plaidoirie, l’avocat de la partie civile a affirmé que les faits étaient clairs et qu’il n’y avait aucun doute sur les intentions de l’accusé lorsqu’il est allé chercher un couteau. Le représentant du ministère public a, lui, requis la réclusion à perpétuité en s’appuyant notamment sur les aveux de l’accusé et les dépositions accablantes des témoins. Quant à la défense, elle a tenté de plaider les coups et blessures ayant entraîné la mort sans intentions de la donner et solliciter les circonstances atténuantes pour son jeune client. Après délibérations, le tribunal a décidé que M. Houari était coupable d’homicide volontaire avec préméditation et l’a condamné à la peine maximale. Le condamné dispose de dix jours pour faire appel du verdict.

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Football – Mercato d’hiver: Une transhumance aux résultats incertains

Wed, 01/16/2019 - 08:26

M. Zeggai

Quatre joueurs ont quitté le championnat national en ce mercato d’hiver: Tayeb Meziani (ex-PAC) qui a opté pour l’ES Tunis, Aribi (ex-DRBT) pour l’ES Sahel, Nadir Korichi (ex-CRBAF) s’est engagé avec le CS Sfaxien et Mohamed El Amine Hammouche avec Al-Qaisoma (club de 2ème division saoudienne).

Douze nouveaux joueurs africains ont été recrutés en cette période hivernale, en attendant, le Sénégalais Boye, annoncé au CRB, en plus du retour du Camerounais Landry Ntankeu, signataire au NAHD, après une expérience avec l’ASMO, en 2015. Cela sans compter le Franco Algérien Roumadi que compte engager l’USMA et deux émigrés. Telles sont les nouveautés de ce mercato hivernal 2019 qui aura été marqué par l’intransigeance de la FAF relative à l’interdiction de recrutement aux clubs endettés.

Quelques heures avant la fermeture officielle du délai, qui était prévue hier à minuit, nous avons enregistré plus d’une centaine de transactions au sein des deux Ligues 1 et 2, alors que l’arrivée de Merouani (ASO) au MCA était encore d’actualité, hier, en début de soirée. Remarque: le Paradou AC et le l’USMBA sont les seuls clubs qui n’ont enregistré aucune arrivée lors de cette période. Le PAC en raison de l’éclosion de ses Académiciens, et l’USMBA à cause de la gestion catastrophique de l’équipe dirigeante et la crise financière qui a influé, négativement, dans cette opération.

Managers, agents de joueurs: source de confusion

Quel rôle jouent ces managers dans le développement du football national ? Disposent-ils de la compétence et les connaissances en matière réglementaire exigées pour faire face aux éventuels conflits de joueurs avec leurs employeurs ? Bien au contraire, ils sont en train de nuire à la carrière et à la mentalité des joueurs algériens. Leur seule préoccupation reste la « commission » qu’ils soutirent lors des transactions des joueurs avec la complicité des dirigeants des clubs. Ces pseudo-managers et autres agents de joueurs manquent d’anticipation, car « il est important de différencier la performance du moment et le potentiel à venir », dit-on. Ces intermédiaires disposent-ils d’une connaissance du football, aussi bien tactique que technique ? Nous en doutons.

Combien de joueurs et combien de clubs ont été induits en erreur ? Combien de jeunes ont été victimes de douteuses transactions ? Combien de joueurs ont été soutenus par ces managers dans leurs conflits avec la CRL ? Le plus grave, c’est que certains managers de clubs n’hésitent pas à exiger un mois de salaire aux joueurs devant opter pour leurs clubs. Là, les exemples ne manquent pas. Le tout dernier, on a appris qu’un manager d’un club de l’Ouest a conditionné le recrutement d’un entraîneur par le versement d’un salaire. D’autres jouent sur la prime de match pour prendre un pourcentage. C’est l’amère réalité du football algérien qui a besoin d’une grande lessive pour sortir de son marasme.

Directive de l’UNAF: Un vrai casse-tête

La dernière directive de l’Union Nord Africaine de Football (UNAF) concernant la libre circulation des joueurs des cinq fédérations membres (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Egypte) a ouvert un nouvel horizon aux joueurs vers d’autres cieux. Cette directive a réjoui certains managers et autres responsables de clubs pour se faire une fortune sur le dos des nouvelles recrues venues des pays membres de l’UNAF, mais le Bureau fédéral de la FAF a mis un terme à ce marché juteux, beaucoup plus pour donner la chance aux joueurs locaux et de s’épanouir dans leurs clubs.

A cet effet, la Tunisie a été le premier pays à avoir exploité cette directive à ne plus considérer les joueurs des pays d’Afrique du Nord comme des étrangers, ce qui explique l’arrivée de nouveaux joueurs dans le championnat tunisien.

Certains observateurs estiment que la FAF a pris une décision sage, dans l’intérêt du football national sinon, quel intérêt de submerger le championnat national avec des joueurs étrangers pour ne pas ensuite compter sur eux pour revêtir le maillot national ?

Le patron de la FAF, Kheireddine Zetchi, a confirmé que la mise en application de la dernière décision de l’UNAF n’est pas encore à l’ordre du jour, tout en laissant la porte ouverte en affirmant que la libre circulation des joueurs nord-africains ne pourrait intervenir avant la saison prochaine.

MOB, MCO, USMA et JSK: Les plus actifs sur le marché

Avec cinq nouvelles recrues chacun, ce sont le MOB et le MCO qui ont été les plus actifs lors de ce mercato. Leurs situations au classement en est peut-être la raison principale. Au Mouloudia de Béjaïa, on veut mettre tous les atouts de son côté pour éviter toute mauvaise surprise.

A la question qui s’impose le recrutement est-il étudié pour donner la complémentarité escomptée ? Réponse en fin de championnat. C’est la même question qui taraude l’esprit des fans du Mouloudia d’Oran où on estime que le recrutement n’est pas en conformité avec le rapport départs-arrivées. Deux défenseurs, l’Ivoirien Vivien et Mohamedi, deux milieux de terrain, Benamara et El Mouaden, et un attaquant de couloir, Aouedj, alors que l’équipe manque d’avant-centre, notamment après la libération de Chibane.

L’USMA, quant à elle, semble avoir mal géré cette opération après les voltes-faces de Serrar, chargé de la gestion technique de l’équipe. Pris par le temps et avec des fausses promesses de Belkaroui, Belkhiter et autres joueurs, Serrar s’est contenté d’un Franco-Algérien, à la toute dernière minute, à savoir le défenseur Yanis Roumadi, en provenance de la 2e division roumaine, sans avoir passé les tests. Alors que l’USMA enregistre un déficit dans la charnière centrale, on a fait venir deux attaquants, Zouari et le Libyen Ellafi et Belarbi, un milieu de terrain où l’équipe est bien pourvue avec les Benguit, Kouidri, Chita et Boukhemassa.

De son côté, la JSK n’a pas fait de folies en tenant compte de la réalité du terrain et de l’absence de joueurs répondant aux critères exigés par le haut niveau.

La JSK, en concertation avec son coach Frank Dumas, a opté pour la sagesse avec un recrutement, qui lui a semblé cohérent avec son budget et ses objectifs.

– Ligue 2

En Ligue 2, le WAT s’est parfaitement illustré dans ce domaine en faisant appel à cinq nouveaux éléments et ce, pour se donner les moyens de sa politique.

C’est le cas du NC Magra qui veut confirmer son statut de révélation de son groupe en convoitant des éléments de divisions inférieures, mais dont on dit le plus grand bien, tels que Mebarki (ex-IRBM), Chikhi (ex-NRB Touggourt) et Feggaâs (ex-CRVM). Sur le plan de la qualité, il nous semble que la JSM Béjaïa a fait le bon choix avec l’arrivée de joueurs ayant une certaine expérience, sans pour autant oublier l’USM Annaba. Quant à l’ASMO, victime d’une crise financière sans précédent , a été la grande déception dans ce genre de transactions avec la venue de joueurs inconnus au bataillon et limités techniquement, si l’on croit certains observateurs. Pour ce qui est du leader, l’ASO Chlef, s’est contentée d’engager deux joueurs seulement.

Il est vrai que le team de Samir Zaoui est sur la bonne voie, mais il aurait, peu-être, fallu entrevoir la suite de la compétition, avec notamment le risque des blessures et le cumul de la fatigue, surtout que le championnat et surtout la course à l’accession ne donnera aucun temps de répit aux prétendants. Les autres formations se sont renforcées en fonction de leurs moyens financiers et de leurs objectifs.

Principaux transferts

USMA: Muaid Ellafi (Libye), Belarbi (ex-USMH), Zouari (ex-USMBA), Yanis Roumadi (Franco Algérien).

CSC: Yettou (ex-MCO), Arouna Dang (Cameroun), Bahamboula (Congo).

CRB: Bouchar (ex-MCO), Zerroual (ex-ESM), Sayoud (ex-USMA).

MCA: Mehdi Benaldjia (ex-JSK), Samy Frioui (ex-AEL Larissa-Grèce), Lamara (ex-USMBA), Merouani (ASO).

NAHD: Landry Ntankeu (Cameroun), Yaya (USMA), Bousmaha (JSS).

DRBT: Dellahi Yali (Mauritanie), Benyettou (US Béni Douala).

JSK: Kabari (ex-USB), Benchaïra (ex-ASAM), Belgherbi (ex-JSMB).

MCO: Vivien (Côte d’Ivoire), Mohammedi (ex-USMB), Aouedj (ex-JSS), Benamara (ex-USMH), El Mouaden (ex-CABBA).

CABBA: Kader Bidimdu (Congolais), Isla (ex-ESS), Aissa El Bey (USMB).

ESS: Iviani (Nigéria).

ASAM: Mahious (prêt USMA), Hanifi (émigré).

JS Saoura: Ziri Hamar (ex-MCO), Thomas Ulimwengu (Tanzanie), Boukbouka (USB Douala).

OM: Takfarinas (ex-RCK), Rachedi (ex-USMH), Baouche (ex-USMH), Gueye (Sénégal).

MOB: Boukhanchouche (ex-JSK prêt), Jean Bessan (Bénin), Bentiba (ex-ASMO), Bouazza (ex-MCO), Ali Guechi (ex-Avenir Gabessien).

– Ligue 2

RCK: Ouhadda, Bellatrèche et Ghellab, Djemili (ex-JSS), Metref (ex-JSMS)

USMH: Djerbiaâ (ex-JSMB), Moulhi (ex-MOB), Mellal (ex-MBH), Hachem (ex-RCR).

RCR: Nemdil Zahir (ex-CABBA), Kouriba (ex-ASAM), Nach (ex-USBD).

NCM: Mebarki (ex-IRBM), Bouflih (ex-CABBA), Benkouider (ex-MCEE), Chikhi (ex-NRB Touggourt), Feggaâs (ex-CRVM).

USMAn: Sahbi (ex-ASAM), Boucif (ex-ESS), Brahmia (ex-NCM), Mebarki (ex-ASMO), Bahri (ex-OM).

ESM: Toutaoui (ex-USMMH), Aït Mimoun (ex-SCMO), Khiter (ex-USMH), Aguid (ex-ASMO)

JSMS: Zeghnoun (ex-NAHD), Lemhane (ex-ASAM), Salah Hmida (ex-USBD), Simani (ex-RCR), Zahzouh (ex-ASMO).

ASMO: Tameur (ex-CRBAO), Djafaili (ex-RCB), Ensaâd (ex-RCK), Benbelkacem (ex-CAB).

USMB: Namar (ex-PAC), Maâziz (ex-NAHD), Tchicko (ex-ABS), Habchi (exABS).

ASO: Boucherit (ex-USMAn), Semmane (ex-international U 23), Bengrina.

JSMB: Hichem Mokhtar (ex-DRBT), Maâmar Youcef (ex-WAT), Zenasni (ex-JSS).

MCEE: Bellal (ex-MCO), Ait Abdelmalek (ex-USMH), Aymen Charef (U 21 ex-ESS).

WAT: Benchikhoune (prêt USMA), Hichem Cherif (ex-ASMO), Zerguine (ex-USMB),Toubal (ex-USMAn).

ABS: Bouloudene (ex-CRBDB), Darfelou (ex-NCM), Zermane (ex-NT Souf), Baâli (ex-NAHD).

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Categories: Afrique

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