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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Gaz de ville à Tazrouk : La fausse promesse du wali de Tamanrasset

Mon, 12/17/2018 - 22:04

 L’engagement pris en 2017 par le wali de Tamanrasset quant à la réalisation d’une station de gaz de ville dans la commune de Tazrouk, localité nichée à plus de 1800 m d’altitude dans la wilaya de Tamanrasset, n’est toujours pas honoré, au grand dam des habitants qui s’apprêtent à accueillir un autre hiver glacial sans cette énergie vitale. Le calvaire des habitants de cette région, réputée pour son froid et les températures très basses en hiver, ne connaîtra pas son épilogue de sitôt, puisqu’ils seront encore dans l’obligation de s’affairer autour des réchauds et de réactiver la recherche des bonbonnes de gaz butane qui se font de plus en plus rares dans cette localité située à 270 km du chef-lieu de wilaya.

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Les travaux confiés à 50 entreprises : La DGSN rénove ses structures dans 35 wilayas

Mon, 12/17/2018 - 22:03

 La direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) lancera, dès le mois prochain, des travaux de rénovation et d’entretien pour l’ensemble de ses locaux à travers 35 wilayas. Ces travaux, qui toucheront par ailleurs l’ensemble de ses infrastructures, ont été confiés à 50 entreprises TCE (tous corps d’état). En revanche, une vingtaine de lots ont été déclarés infructueux par la commission sectorielle des marchés publics, relevant du ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales.

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Multiplication de pages Facebook au nom du parti : Le FLN sollicite l’intervention de la police

Mon, 12/17/2018 - 22:02

Au plan de la communication, le Front de libération nationale (FLN) se cherche. Du moins sur les réseaux. Le parti, qui traverse une convalescence organique, après le putsch contre Djamel Ould Abbès et la dissolution de toutes les structures héritées du dernier congrès, peine à gérer sa page facebook. Devant la multiplication des pages facebook au nom du FLN, la nouvelle direction du parti a saisi, il y a deux jours, les services compétents de la police pour enquêter sur qui se cache derrière lesdites pages. La police aurait déjà convoqué quelques-uns des animateurs de ces pages. Les pages “pirates” ont obligé le FLN à redémarrer de zéro sa page facebook pour la quatrième fois.

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Diabète à Mostaganem : Les stylos-injecteurs encore rares en pharmacie

Mon, 12/17/2018 - 22:00
Après les médicaments pour le traitement de tant de maladies, telles que les cardiopathies, devenus presque introuvables dans les pharmacies, c’est au tour des seringues pour injection d’insuline appelés communément les stylos par les malades atteints du diabète de disparaitre d’un jour à l’autre, et se font très rares au sein de certaines officines, et pousser certains diabétiques à les chercher désespérément ! Cette nouvelle  semble être  très mal accueillie par les diabétiques, déjà confrontés à d’autres problèmes liés à leur hygiène de vie et dont l’insuline demeure énormément vitale. Les personnes atteintes de cette maladie chronique se procuraient aisément au moyen d’une ordonnance médicale délivrée par leur médecin traitant, une quantité d’insuline pour couvrir leur traitement pour une durée généralement de trois mois renouvelable, dans le but surtout d’éviter les tracasseries des allers-retours aux pharmacies. Or, ces derniers jours, les stylos nécessaires pour ces injections,  paraissent être encore  frappés  d’une  rupture de stock, et sont devenus presque  introuvables. Les malades ne comprennent toujours pas les causes de ces insuffisances de médicaments en pharmacie alors que les discours des officiels ne cessent d’affirmer que presque tous les produits pharmaceutiques sont disponibles. Qui a tort et qui a raison ? En tous les cas, le scénario concernant les pénuries de médicaments est toujours d’actualité à travers le territoire national et fait craindre le pire aux patients atteints de maladie chroniques qui sont pénalisés et payent les frais d’une gestion catastrophique du marché hautement névralgique du médicament, malheureusement géré par une bande d’inconscients qui ne cherchent que le profit ! L.Ammar

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Après plusieurs mois d’attente : Les 278 familles d’El-Mograni enfin relogés

Mon, 12/17/2018 - 22:00
Dans une ambiance festive, les bénéficiaires des 278 logements sociaux, implantés au pôle d’El-Mograni, ont enfin été relogés. Dans son allocution, le wali d’Oran précisera que cette opération rentrait dans le cadre de la concrétisation du programme du Président : ‘’Nous avons choisi de procéder à cette opération de relogement aujourd’hui pour donner de la joie à plusieurs familles’’. Cette opération rentre dans le cadre de la concrétisation du programme  du président de la République, Abdelaziz Bouteflika. La wilaya  a d’ailleurs bénéficié d’un immense quota dans différentes formules». Le wali promettra la remise des clés de 100  autres bénéficiaires avant la fin de l’année : «Le logement est une revendication populaire légitime. Aujourd’hui, nous distribuons cette première tranche de centaines de logements, sur un nombre global de plus de 20000 logements en 2018. Avant la fin de l’année, on procédera à la remise des clés pour environ 4000 bénéficiaires. D’autres opérations suivront dès l’achèvement des aménagements extérieurs des différents lots». A noter que de précédents bénéficiaires sur le même site se sont manifestés lors de cette cérémonie, dénonçant «le manque de structures d’accompagnement des logements et de moyens de transport». Le wali leur rétorquera : «Ce que nous devons retenir aujourd’hui, c’est ce nombre important de citoyens de la wilaya d’Oran qui viennent de bénéficier de logements. C’est ça l’essentiel. Il se pourrait qu’il y ait des mécontents, qui jugent qu’il manque quelques structures. Mais je peux vous garantir que toutes les structures nécessaires d’accompagnement de ce site sont en cours de réalisation ou en voie de lancement. Le lycée est pratiquement achevé, nous avons aussi l’inscription de deux CEM dont l’un est en voie de réalisation. Nous avons également deux écoles primaires, l’une est déjà terminée et sera ouverte à la prochaine rentrée scolaire. La deuxième sera achevée prochainement. Nous avons aussi une antenne administrative, des aires de jeux, une bibliothèque… Pratiquement toutes les structures essentielles sont disponibles».Notre représentant parlera également des autres sites de la wilaya : «Ce sera la même chose pour tous les sites à travers la wilaya, que ce soit au pôle d’excellence, à Belkaid », a-t-il promis. Concernant le problème de transport posé, il dira : «Ce n’est pas à l’Etat de le prendre en charge. C’est aux citoyens d’investir dans ce créneau. Les opportunités sont ouvertes dès lors qu’un besoin est exprimé. Medjadji H.

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Mazagran : AADL, une cité urbaine aux ‘’oubliettes’’

Mon, 12/17/2018 - 21:57
La cité urbaine d’AADL de Mazagran, semble être totalement oublié sur le plan de l’entretien et de l’hygiène. Le cadre de vie au sein de cette cité urbaine se dégrade d’une année à l’autre. Composée de 90 blocs d’immeubles, dont chacun est constitué à son tour de 09 étages avec 32 familles par bloc, cette cité livrée dans les années 2000 souffre énormément d’un laisser aller flagrant et de peu d’intérêt des élus de la commune. Les citoyens en colère déplorent le manque des ascenseurs et la panne de ceux existant depuis tant d’années. Cette situation pénalise beaucoup les personnes âgées et les femmes qui ont du mal à monter et à descendre tant d’étages. L’absence de l’éclairage public est également pointée du doigt par les habitants qui sont contraints de se terrer tôt chez eux en face du noir qui sévit au sein de la cité dès la tombée de la nuit. L’insuffisance des dépotoirs intermédiaires est également signalée par les résidents de la cité , qui affirment que les rares bacs d’ordures qui existent, débordent de partout et demeurent sans vidange depuis des lustres .Enfin, la saleté parait fortement caractériser cette cité qui ressemble trop à une décharge sans le moindre entretien où subsiste malheureusement des personnes outrées, des chiens errants et des rats qui se disputent un quotidien des plus lamentables. L.Ammar

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Sour : 185 millions de dinars pour le bien-être des citoyens

Mon, 12/17/2018 - 21:56
La commune de Sour relevant de la daïra d’Ain Tédelès, a bénéficié d’une enveloppe financière  d’une valeur de 185 millions de dinars, selon une source  à la wilaya. Les projets réalisés,  ont  été financés par le fonds  commun des collectivités locales et ont été inscrits aux programmes  communaux  de développement  et aux plans sectoriels. Ils ont  touché  à l’entretien des routes,  à  l’approvisionnement en eau,  à  l’urbanisation, à  l’aménagement urbain et  à  la réalisation de stades de proximité pour la pratique du football.  Au cours de cette  année,  selon la même source  qui ajoute, que d’autres projets  ont été  réalisés tels que l’extension du réseau d’eau potable  des localités  de Hachachta Amour et d’Adjissa  d’un montant  de 1,7 million de dinars , ainsi que  le renforcement de la station de pompage d’eau au douar Ouled Amour, à partir du système d’approvisionnement en eau (Mostaganem-Arzew-Oran)  pour un montant évalué à 5 millions de dinars . Le secteur des ressources en eau a également bénéficié de l’achèvement d’un projet de réservoir d’eau de 19 millions de dinars  et du traitement de la station de pompage d’eau au douar Chaibedraa de 17 millions de dinars , ajoute la même source. Un autre projet a vu le jour et a permis de relier le douar d’El Atatra  à la route municipale n ° 1, et en  rapprochant les routes douar Ouled  Amour, sur une distance de 1,5 km, et dont le cout  a été  estimé à  25 millions de dinars. S.Bentoumi

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De l’incompétence à la médiocrité…

Mon, 12/17/2018 - 21:55
La logique veut que Personne ne soit jamais incompétent, chacun possède à des degrés divers et dans différents domaines, des capacités intellectuelles ou autres, bien sûr propres à lui.
Seulement,  parler de la grande incompétence autre que celle précitée, c’est de désigner ce grand coupable tout à fait idéal qui est à l’origine de gestions hasardeuses et parfois assez méprisables. Quant à l’incompétent, que l’on trouve dans un domaine qu’il gère sans aucun savoir, avec toute la pagaille qu’il sème autour de lui,  on peut le comparer à un ‘’parrain du désordre, roi de la médiocrité’’. Etant lui-même très diplomate par sa loyauté incompétente, il a le passe ‘’passe’’ du sésame pour rassurer toujours son chef parfois lui-même incompétent, tout en sachant se mettre dans l’harmonie de leur lumière écarlate commune. Ce qui est extraordinaire et énigmatique, quand il ose réclamer, l’incompétent a le don de mieux réussir.
Beaucoup de questions se posent sur l’incompétence et la médiocrité où dans certaines situations, il est à se demander comment l’incompétent peut-il être en mesure de reconnaître son défaut mis à jour, surtout lorsqu’il ne sait hélas pas réaliser correctement ce dont il est sensé faire. L’explication est toute simple, vu comme il est incompétent lui-même, il doute de sa propre incompétence parce qu’il ne se retrouve pas là où il s‘égare le plus.
Il y a aussi cette autre médiocrité, résultat de l’incompétence constatée dans certaines entreprises, institutions…, où l’ordre établi se voit érigé en un modèle de désordre, hélas… !.
Elle est le fruit de certains, on pourrait la retrouver malheureusement également chez certains élus locaux en particulier, où elle serait  ouvertement dénoncée au niveau de certaines de leurs communes, par des populations unanimes concernées qui pourraient émettre des constats défavorables quant à l’état de  déliquescence dans lequel stagneraient probablement certaines de leurs villes. Dans un cas pareil, il est dommage, de voir la compétence perdre sa principale vertu qui est ce grand respect des normes et ou de la voir  régresser vers l’incohérence risquant de freiner toute stratégie de développement.  C’est à ce moment là que le traumatisme de l’incompétence s’aggrave, entamant le peu de confiance accordé par le citoyen qui bannit l’échec cuisant de l’incompétent. N’est-il pas venu le moment de rompre avec l’incompétence et la médiocrité, pour enfin miser sur l’éthique et la déontologie de la compétence des véritables technocrates.

B. Adda

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Sonatrach : 55 ans au compteur et des barils de défis

Mon, 12/17/2018 - 18:45

Créée en décembre 1963, la compagnie nationale des hydrocarbures a connu de nombreuses transformations. Mais les changements qu’elle doit désormais affronter dans un contexte national et international profondément bouleversé s’annoncent comme les plus redoutables de son parcours.

C’est le constat établi par le professeur Chems Eddine Chitour. L’expert appelle à une mutation vers le renouvelable et explique que Sonatrach doit, comme la plupart des compagnies étrangères, s’éloigner du tout-fossile. M. Chitour, dans une déclaration à nos confrères de l’APS, s’est exprimé à l’occasion de la « Journée de l’énergie de l’année 2019 » prévue demain.

Il observe que partout dans le monde, une mutation s’est faite du fossile vers le renouvelable. C’est, a-t-il dit, la conversion à laquelle sont arrivés tous les grands groupes pétroliers internationaux qui, à côté du pétrole, développent de plus en plus les énergies renouvelables.
Il explique son point de vue en soulignant que le renouvelable devrait faire partie des contrats avec les partenaires étrangers sur le principe : une calorie thermique exportée devrait être adossée à une calorie électrique renouvelable mise en place à la fois en terme physique et en terme de savoir-faire, à la fois dans l’amont pétrolier et l’aval, et ce, pour la réalisation du plan ambition de 22 000 MW qui ne peut être finalisé qu’avec l’apport déterminant de Sonatrach. Evidemment, les énergies renouvelables (énergie éolienne, solaire, hydroélectrique, géothermique, biocombustibles) sont des alternatives aux combustibles fossiles qui contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre, en diversifiant l’approvisionnement énergétique et en réduisant la dépendance vis-à-vis des marchés des combustibles fossiles, peu fiables et volatiles (gaz et pétrole notamment). Et, fait important dans cette physionomie de développement de l’énergie, le pétrole reste le carburant dominant dans le monde, mais il a perdu une part du marché pendant quatorze années d’affilée. Quant à la production hydroélectrique et d’autres énergies renouvelables, elles ont atteint le record de la consommation globale d’énergie primaire (6,7% et 2,2%, respectivement). A ce stade de l’évolution de l’énergie, chaque pays – et le nôtre n’en fait pas une exception – doit assurer son développement au plan de l’approvisionnement pour le secteur tertiaire (habitat, bâtiment), le secteur des transports et en fin pour le secteur de l’industrie et de l’agriculture. L’Algérie doit s’y prendre de la meilleure des manières, qui soient, pour réussir sa politique énergétique, mettant en avant ses atouts énergétiques (sol et sous-sol), mais également le développement des énergies vertes. Le plaidoyer est fait. Mais Sonatrach va-t-elle en tenir compte ? Aujourd’hui, la compagnie nationale a l’ambition d’optimiser les capacités gazières en parallèle du développement des énergies renouvelables et la pétrochimie notamment. Elle compte doubler la densité du forage, optimiser les gisements existants et lancer l’offshore: En clair, augmenter la production des énergies fossiles. Chitour en sera déçu ! A priori, l’entreprise semble avoir plusieurs cordes à son arc. L’expert, lui, pense qu’elle aura des besoins de financements importants qui seront établis en fonction du prix du baril. Selon ses estimations, avec un baril à 80 dollars, Sonatrach pourra investir l’équivalent de 75 milliards de dollars d’ici à 2030. En outre, la raffinerie d’Augusta permettra en 2019 de fournir de l’essence et du gasoil.
Sonatrach,
l’Alma mater
Ce qui va annuler, selon lui, les achats actuels du pays en ces produits, estimés à près de 2 milliards de dollars/an. Si un baril de pétrole coûte 70 dollars, il faut savoir qu’en le distillant, il peut atteindre les 200 dollars. De plus, il ne sera pas esclave des convulsions erratiques du marché, soutient-il. Evoquant le domaine gazier, il considère que le marché international est rude, ajoutant que défendre les parts de marché notamment en Europe nécessite un management de top niveau et une flexibilité. Les contrats de long terme ayant vocation à être remplacés par le marché. Aussi, de son point de vue, la manne en gaz de schiste devrait être exploitée en faisant énormément attention aux dégâts potentiels avec la technologie de fracturation actuelle. Selon lui, seule la formation de cadres compétents, une veille technologique et une veille environnementale permettront ainsi d’exploiter ces réserves dans des conditions de sécurité: Ce sera le challenge de 2030. Il est utile par ailleurs de noter que la « Journée de l’énergie de l’année 2019 » a été exceptionnellement avancée au 18 décembre en cours afin qu’elle coïncide avec le 55e anniversaire de la création de Sonatrach. Au cours de cette Journée de l’énergie, les élèves ingénieurs de l’Ecole nationale polytechnique (ENP), encadrés par le professeur Chitour, exposeront leur vision du futur concernant l’avenir du pays dans le domaine de l’énergie, de l’environnement, de l’eau et des économies d’énergie. Ce faisant, ils veulent témoigner d’abord de la résilience de Sonatrach dans des conditions parfois difficiles, et ce, par un travail gigantesque qui fait que notre compagnie nationale est toujours là et occupe une place centrale dans le développement du pays. L’aventure pétrolière de l’Algérie avait démarré avec la création de Sonatrach le 31 décembre 1963. Pour Chitour, en 55 ans, les acquis de Sonatrach sont « indéniables ». Ainsi, lors de cette rencontre, plusieurs communications seront données sur ce qui avait été réalisé dans l’amont en termes d’exploration du domaine minier, de production multiforme (gaz naturel, condensat, GPL), et dans l’aval (raffinage, pétrochimie, GNL). Ce sera également l’occasion de mettre l’accent sur les ambitions du groupe Sonatrach en rappelant que ce groupe a élaboré une stratégie multiforme pour atteindre plusieurs objectifs. Il s’agit d’abord d’explorer d’une façon intensive, en augmentant la densité du forage mais aussi l’important domaine minier où des opportunités réelles existent. Il est également question d’aller, ensuite, vers l’aval, en développant la pétrochimie qui sera de plus en plus importante dans les prochaines années. L’expert estime que Sonatrach est à la fois l’Alma mater (mer nourricière) en termes de ressources et l’un des outils de l’Algérie pour réussir sa transition énergétique vers le développement humain durable.

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Rana Sengupta, PDG d’Unilever Afrique du Nord « des marques de cosmétiques connues mondialement seront produites à Oran »

Mon, 12/17/2018 - 16:02

Lors de l’inauguration de la deuxième unité de production d’Unilver en Algérie, qui produira des produits cosmétiques et de soins personnels, Rana Sengupta, PDG d’Unilever Afrique du Nord, a accepté de répondre aux questions d’Algerie360.com .

Rana Sengupta, PDG d’Unilever Afrique du Nord

En premier lieu, le responsable a tenu à rappeler l’importance d’une telle unité de production pour son entreprise, ainsi que pour l’économie algérienne « l’inauguration de l’usine de cosmétiques et de produits de soins personnels d’Unilever à Oran est un moment qui nous rend très fiers, et qui est très important pour notre entreprise, ainsi que pour l’Algérie » .

Le PDG d’Unilever Afrique du Nord a ensuite expliqué pourquoi son entreprise a ouvert cette deuxième unité de production en Algérie « l’usine Unilever d’Oran permettra d’offrir aux consommateurs algériens des produits de marques connues mondialement qui seront fabriquées localement, et de faire évoluer notre business en Algérie »

Enfin, Mr. Sengupta a cité les marques  de la firme qui seront produites à Oran « Cette nouvelle unité de production permettra de produire localement des marques à la renommée internationale telles que Sunsilk, Clear, ou encore Signal. Les produits seront d’ailleurs estampillés Made in Algeria » précise le reponsable.

Pour rappel, le 16 décembre dernier, la deuxième unité de production d’Unilever en Algérie a ouvert ses portes à Hassi Ameur, dans la wilaya d’Oran. Elle sera spécialisée dans la production de produits cosmétiques et de soins personnels, et permettra la création de 800 emplois directs et indirects.

Yasmine Dorbane.

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MDN: 3 casemates, 4 bombes et des substances chimiques détruites à Batna

Mon, 12/17/2018 - 15:21

Trois casemates pour terroristes, quatre bombes de confection artisanale et des substances chimiques servant dans la fabrication des explosifs ont été détruites lors d’une opération de recherche et de fouille menée dimanche à Batna par un détachement de l’Armée nationale populaire, tandis qu’un un élément de soutien aux groupes terroristes a été arrêté à Tébessa, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’une opération de recherche et de fouille à Batna/5eRM, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit, le 16 décembre 2018, trois (03) casemates pour terroristes, quatre (04) bombes de confection artisanale, des substances chimiques servant dans la fabrication des explosifs ainsi que d’autres objets, tandis qu’un autre détachement a arrêté, à Tébessa, un élément de soutien aux groupes terroristes », note la même source.

Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et de la sécurisation des frontières, des détachements de l’ANP « ont intercepté, à Djanet/4eRM et In Guezzam/6eRM, douze (12) orpailleurs et saisi trois (03) véhicules tout-terrain, (5,3) tonnes de denrées alimentaires, quatre (04) groupes électrogènes ainsi que d’autres outils d’orpaillage, tandis que d’autres détachements ont appréhendé, à El Oued et Biskra/4eRM, deux (02) contrebandiers et saisi deux (02) camions et 43,5 quintaux de feuilles de tabac ».

Dans le même contexte, des Gardes-frontières « ont saisi, lors d’une patrouille de fouille et de recherche menée à Tindouf/3eRM, 27 kilogrammes de kif traité, alors que 29 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Tlemcen et Tamanrasset », ajoute le communiqué.

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Malgré une deuxième décision de justice: L’équipement d’EvCon toujours “séquestré” à Boudouaou

Mon, 12/17/2018 - 15:08

Alors qu’ils s’attendaient à récupérer l’équipement de la filiale EvCon retenu au port sec de Boudouaou depuis juillet dernier, les responsables de Cevital ont dû déchanter, hier matin, en apprenant qu’ils n’en ont pas encore fini avec la “séquestration” de ce matériel, décidée et maintenue à ce jour, malgré deux décisions de justice.

“Nous avons appris ce matin, au moment où nous nous apprêtions à sortir de la douane la machine EvCon DL 2300-A5, en application d’une décision de justice, qu’elle fait l’objet d’une nouvelle mesure de rétention”, a annoncé, hier, le groupe cevital dans un tweet, avant de s’interroger : “Qui veut priver l’Algérie de cette industrie du futur et pourquoi ?” Des questions qui se posent, en effet, avec acuité, sachant que ce “litige” était supposé définitivement réglé par voie de justice.
Une première décision de justice, basée sur les conclusions d’une série d’expertises ordonnées par le tribunal, avait enjoint à la direction des douanes de libérer le matériel concerné, une presse à panneaux sandwiches destinée à une usine de fabrication de membranes suivant une technologie innovante et inédite qu’EvCon a mise au point et qu’elle compte utiliser dans ses futurs centres de production d’eau ultrapure. La direction des douanes, au lieu d’exécuter cette décision de justice, a saisi le tribunal une nouvelle fois pour obtenir un arrêt d’exécution de ladite décision. Cette demande ayant été rejetée jeudi dernier, l’équipement devait être récupéré hier pour être acheminé à l’Arba, dans la wilaya de Blida, où est prévue son installation.
À la surprise des responsables d’Evcon et de Cevital, ils apprendront sur place que l’équipement devra demeurer encore au port sec de Boudouaou, alors même que les expertises techniques avaient alerté sur les risques de détérioration qu’il risque de subir s’il devait rester exposé aux intempéries, en soulignant l’urgence de son installation sur le site de production.
Cet énième rebondissement que connaît cette affaire qui défraye la chronique, et qui porte un coup terrible à l’image du système de gouvernance de notre pays et à ses institutions, prouve, si besoin est, que Cevital et ses filiales font l’objet d’un acharnement qui, tout compte fait, n’échappe désormais à personne. Difficile, dans ces conditions, de ne pas se rendre à l’évidence : cet acharnement dont les instigateurs et les exécutants ne s’encombrent même plus de l’obligation de respecter les décisions de justice est le fait d’une “main invisible” qui tire sa capacité de nuisance de sa proximité de décideurs occultes, forcément maffieux, non moins invisibles, mais que la vox populi a fini par identifier.

R. N.

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Les relevés de notes seront affichés sur internet dès jeudi

Mon, 12/17/2018 - 15:08

La ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghabrit, a informé les directeurs des établissements scolaires, de la nouvelle démarche concernant les relevés de notes.

En effet à partir de jeudi, les élèves des trois paliers retrouveront leurs relevés de notes sur internet, une nouveauté qui évitera aux parents le déplacement.

La ministre de l’Éducation nationale a confirmé l’envoi des relevés de notes devait normalement débuter jeudi, après le conseil des classes.

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Aïcha Kassoul, invitée du café littéraire de la fondation Asselah: La libération par l’écriture

Mon, 12/17/2018 - 15:02

La réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul,  pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie.

La fondation Asselah a gratifié ses fidèles cette semaine d’une belle rencontre avec Aïcha Kassoul, cette “grande marcheuse” qu’on a suivie pas à pas dans les dédales de sa déambulation entre vie, histoire, lectures et écrits. Cette auteure native de Blida est avant tout une enseignante, une pédagogue, une femme sensible à ce qui l’entoure et ouverte à l’autre, férue d’histoire et acceptant toutes les différences. “C’est la base de tout”, dira-t-elle à l’assistance. Un parcours qu’elle relatera par bribes et en toute humilité, et auquel elle mêlera le contenu de ses écrits, car l’un ne va pas sans l’autre.
La professeure de littérature française à l’université d’Alger s’est donnée corps et âme à ce métier qui lui permettait d’abreuver ses étudiants de cette richesse littéraire, culturelle, et au-delà historique qui allait forger leur savoir et développer leur esprit critique en comparant ces diverses richesses culturelles enrichissantes.
Elle pensait que cela lui suffirait d’enseigner ce qu’ont écrit les autres, sans avoir à transcender cela par son acte d’écriture à elle, mais c’était sans compter sur cette actualité violente qui allait subitement lui faire face et déclencher en elle ce besoin vital.
Et c’est de cela dont il a été question lors de cette rencontre qui a permis à ses lecteurs de connaître la genèse de ses trois publications romanesques dont le dernier roman La colombe de Kant (éditions Casbah), qui a reçu le Prix de l’Escale littéraire d’Alger 2018. Le déclic romanesque de Aïcha Kassoul s’est déclenché après qu’elle ait été victime du détournement de l’Airbus Alger-Paris de 1995, duquel elle est sortie indemne physiquement, mais qui lui a valu de rester sous le choc un très long moment, jusqu’à l’exorciser quelque peu par un roman Chronique de l’impur dans lequel elle raconte ce calvaire vécu pendant trois jours et deux nuits dans l’enceinte fermé d’un espace considéré comme “pur” par de jeunes assaillants “qui auraient pu être mes étudiants, ou mes enfants, dans d’autres circonstances”, dira-t-elle, et qui préféreront exterminer quelques victimes hors avion, dans cet espace externe “impur” à leurs yeux.
Ce fut l’horreur pour cette âme sensible qui vécut cette violence comme une torture, mais qui ne l’avoua pas sur un fauteuil de psy, préférant s’auto-soigner par l’écriture. S’ensuivit une autre violence lorsque dans ses salles de cours, elle se trouvera confrontée à des esprits barricadés qui ne croyaient qu’en leurs propres vérités.
À l’extérieur, fermé à tout sauf à leur ego démesuré, des morts-vivants tentaient le diable pour s’emparer de la vie des autres et bannir toute culture ou ouverture. Ainsi, la réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie, elle qui n’a pas beaucoup d’imagination, dira-t-elle. Et un autre roman naîtra, Le pied de Hanane, enclenché par cette abominable nouvelle qui circulait sur cette jeune enseignante de français égorgée devant ses élèves. L’auteure marchera sur les pas de Hanane, faisant ses propres pas à elle dans un univers macabre où la barbarie faisait loi.
C’en était fini de l’enseignement et notre auteure, devenue consule de Besançon, ira vers une autre destinée “diplomatique” qu’elle contera aux présents avec quelques anecdotes qui parfois donneront froid dans le dos tant leur réalité est triste. D’où naîtra La colombe de Kant où la Grande Histoire de l’Algérie, celle qui ne plaît pas forcément à ceux qui veulent en supprimer quelques passages déplaisants se mêlera à quelques moments fictifs pour encore une fois donner à lire une réalité du quotidien.
Aïcha Kassoul donnait aussi à lire sur les ondes le la Chaîne III des ouvrages qui l’ont marquée, un passage très marqué que ses auditeurs présents lui ont demandé de renouveler…

Samira Bendris-Oulebsir

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Ils organisent leur première manifestation aujourd’hui: La Tunisie à l’épreuve des “gilets rouges”

Mon, 12/17/2018 - 15:00

Les manifestations sociales des syndicats tunisiens, marquées par des grèves en novembre dans le secteur public, reviennent sur le devant de la scène avec ce mouvement de contestation, inspiré des “gilets jaunes” français.

Le gouvernement tunisien, qui n’arrive pas à satisfaire les revendications des organisations syndicales en raison des difficultés financières auxquelles il fait face et les pressions du Fonds monétaire international (FMI), voit revenir la contestation sociale dans la rue dès aujourd’hui.
C’est un nouveau mouvement portant le nom de “gilets rouges” qui fait son apparition avec une première manifestation dès aujourd’hui à Kasserine, dans le centre-ouest frontalier avec l’Algérie. Le choix de ce lieu n’est pas fortuit, car c’est dans cette ville où l’un des fondateurs de ce mouvement a été arrêté vendredi.
Il s’agit de Borhane Ajleni, un militant d’un parti de gauche, auquel on reproche d’avoir diffusé en ligne des appels à soutenir la campagne de contestation, selon des membres de ce mouvement.
Ceci dit, les “gilets rouges” protestent contre la flambée des prix et pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Ils demandent au gouvernement tunisien l’établissement d’une stratégie pour l’emploi, l’augmentation du Smic et une baisse des prix des produits de première nécessité.
Ces demandes se justifient par le fait que le chômage dépasse 15%, l’inflation atteint près de 8% et le dinar continue sa dégringolade. Les revendications des “gilets rouges” traduisent la colère qui gronde depuis des mois en Tunisie, avec les grèves dans l’enseignement, dans les transports de carburant, au sein des avocats et de menaces de débrayage dans le transport aérien.
On rappellera qu’une grève générale est prévue à la mi-janvier à l’appel du puissant syndicat UGTT. Il y a lieu de noter que ce mouvement des “gilets rouges” semble bien structuré selon ses responsables, qui affirment qu’il repose sur 9 coordinations régionales et 53 locales.
Conférence de presse, pages facebook déjà en place, représentants en régions, leaders issus des rangs d’un syndicat d’étudiants de gauche ou proches de certaines personnalités politiques traduisent une mobilisation bien réfléchie et loin d’être spontanée.
Interrogé sur cette campagne des “gilets rouges”, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, qui participait à un séminaire organisé par la Fédération nationale des hydrocarbures à Hammamet, a affirmé, samedi, au micro de Radio Shems fm, que “ce qui importe le plus est non pas le déclenchement des manifestations, mais plutôt le fait de savoir les encadrer”.
Noureddine Taboubi a ajouté que la centrale syndicale refuse que les manifestations soient orchestrées par certaines parties, rappelant que la situation sociale du pays est critique. Il a dans ce contexte appelé toutes les parties à faire preuve de responsabilité.
Il y a lieu de signaler que la police tunisienne a saisi cette semaine dans un entrepôt à Sfax 48 000 gilets rouges dont l’importateur affirme qu’une grande partie est destinée à des sociétés pétrolières.

Merzak Tigrine

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Assassinat de Jamal Khashoggi: Antonio Guterres veut une enquête “crédible”

Mon, 12/17/2018 - 14:58

Pour protéger le prince héritier, l’Arabie saoudite continue dans sa fuite en avant, alors que les enquêtes menées jusque-là ont conclu à sa culpabilité. 

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a accentué hier la pression sur l’Arabie Saoudite au sujet de l’affaire de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, tué puis décapité à l’intérieur du consulat saoudien d’Istanbul le 2 octobre dernier, et dont le corps n’a jamais été retrouvé. “Il est absolument essentiel d’avoir une enquête crédible et une punition pour ceux qui en sont coupables”, a déclaré M. Guterres lors d’une conférence de presse en marge d’une conférence à Doha (Doha Forum). Le chef de l’ONU n’a pas précisé s’il souhaitait une enquête internationale dans ce meurtre qui a considérablement terni l’image de l’Arabie Saoudite. “Je n’ai pas d’informations spécifiques (sur le meurtre) à l’exception de celles données par les médias”, a encore dit M. Guterres.

Cette sortie intervient au lendemain de celle du chef de la diplomatie turque, Mevlüt Cavusoglu, dont le pays a affiché son intention de saisir l’ONU pour l’ouvertyure d’une enquête internationale, estimant que l’Arabie Saoudite fait montre de sa mauvaise foi dans la gestion de cette affaire en refusant de partager toutes les informations collectées par Riyad. “Nous n’avons reçu aucune nouvelle information ou résultat de l’enquête côté saoudien”, a déclaré le ministre, Mevlüt Cavusoglu, en marge d’une conférence au Qatar. “La Turquie ne renoncera pas sur ce sujet, nous irons jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, cité par les agences de presse. “Nous savons que le corps de Khashoggi a été démembré et sorti du consulat, mais nous ne savons pas où il se trouve et c’est la question principale à laquelle nous devons répondre”, a souligné Mevlüt Cavusoglu.

Mardi dernier, la Turquie a indiqué être en discussions avec l’ONU pour une éventuelle enquête internationale sur le meurtre de Jamal Khashoggi. “À ce sujet, nous nous sommes entretenus avec le Secrétaire général de l’ONU et avec nos homologues et nous continuons de le faire”, avait précisé M. Cavusoglu. Jamal Khashoggi, un éditorialiste critique du pouvoir de Riyad, a été tué par des agents saoudiens dans le consulat de son pays à Istanbul. La Turquie avait affirmé dans un premier temps ne pas souhaiter d’enquête internationale, privilégiant une coopération directe avec les autorités saoudiennes. Mais Ankara n’a eu de cesse de critiquer le manque de collaboration de Riyad, qui affirme que le meurtre a été commis sans l’accord de ses plus hauts dirigeants.

Les autorités saoudiennes ont rejeté une demande d’extradition turque des suspects, parmi lesquels deux proches du prince héritier Mohammed ben Salmane, accusés par Ankara de faire partie des planificateurs du meurtre. Les deux hommes, Ahmed al-Assiri et Saoud al-Qahtani, ont été démis de leurs fonctions le 20 octobre.

Lyès Menacer

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Élection présidentielle: La confusion aggravée

Mon, 12/17/2018 - 14:55

Elle serait, en partie, l’œuvre d’“un microcosme affolé par la perspective d’un changement de président  de la République qui serait formé de gens soucieux de leur carrière et de leurs intérêts”.

Ni l’éditorial d’un journal gouvernemental ni les réticences de certains responsables de partis de “la majorité” n’ont réussi à lever le brouillard qui entoure la prochaine élection présidentielle. La confusion règne toujours. Et en l’absence d’un geste de la présidence de la République, c’est la rumeur et la spéculation qui règnent en maîtresses.
Alors qu’au moins une partie du pouvoir a démenti, par le biais d’un éditorial publié dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid, l’idée de reporter l’élection présidentielle, la clôture du congrès de TAJ a donné lieu à de nouvelles spéculations. La relance du débat sur l’idée d’Amar Ghoul, qui appelle à la tenue d’une conférence nationale autour de l’élection présidentielle, a donné lieu à d’incroyables lectures. Alors que le président de TAJ n’a pas prononcé le terme “report de l’élection”, une bonne partie de la presse est allée jusqu’à affirmer que l’ancien ministre des Travaux publics plaide en faveur du report de l’élection présidentielle et surtout de la prorogation du mandat d’Abdelaziz Bouteflika. Une thèse relayée par nos confrères du Soir d’Algérie qui vont jusqu’à affirmer que l’élection présidentielle sera bonnement annulée par le biais d’une révision constitutionnelle qui justifiera, légalement, une telle option.
Dans l’état actuel des choses, et en l’absence d’éléments concrets, il est quasiment difficile de confirmer ou d’infirmer une des options sur la table. Mais des hommes issus du système écartent l’éventualité de reporter l’élection présidentielle. “Cela me paraît être une plaisanterie de mauvais goût. Nous sommes dans une situation normale, nous savons depuis bientôt cinq ans qu’il va y avoir une autre élection et tout le monde devrait être prêt à aller vers cette échéance. Je ne vois pas de raison de prolonger le mandat ou de changer la nature du système politique dans l’urgence. Je pense vraiment que c’est une lubie qui n’a aucun fondement”, a, par exemple, estimé l’ancien président de l’APN, Abdelaziz Ziari, invité par le site TSA. Ce sont des ballons-sondes envoyés par “un microcosme qui est affolé par la perspective d’un changement de président de la République, non pas parce qu’ils sont soucieux du bien-être des Algériens ou du président Bouteflika lui-même, mais surtout pour leur carrière et leurs intérêts”, ajoute Ziari, qui pense même à des campagnes d’intoxication.
Du côté de l’opposition, en dehors du MSP, dont le chef, Abderrezak Makri, s’interroge désormais sur les intentions d’Abdelaziz Bouteflika, d’autres composantes ne croient pas au scénario du report. Le report “ne va pas régler le problème du régime dans le sens où plus on éloigne l’échéance présidentielle plus le système s’affaiblit sous l’effet des contradictions et des revirements”, a, par exemple, expliqué le président du RCD, Mohcine Belabbas, dans une interview accordée à Liberté. Le chef du parti démocrate rappelle même que depuis son arrivée au pouvoir, Abdelaziz Bouteflika “essaye de vendre l’image d’une stabilité retrouvée”. “La prolongation du mandat présidentiel est tout simplement un attentat à la morale, à l’État de droit, à la démocratie et aux intérêts stratégiques du pays”, estime, quant à lui, le coordinateur national du mouvement Mouwatana, Soufiane Djilali. Ce conglomérat de partis et personnalités de l’opposition a toujours appelé Abdelaziz Bouteflika à ne pas briguer un nouveau mandat
présidentiel.
Cette confusion est nourrie par les nouveaux éléments de langage utilisés par les partis de la “majorité présidentielle”. Continuité, soutien au chef de l’État ou encore “parachèvement” de l’œuvre sont les maîtres-mots de ces partis et personnalités qui ont construit leur assise sur le seul soutien à Abdelaziz Bouteflika. Mais point de référence à un nouveau mandat dès avril prochain. Ce qui signifie que les paris sont ouverts !

Ali Boukhlef

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Jijel: 194 projets d’investissement privé agréés par le Conseil de wilaya

Mon, 12/17/2018 - 14:33

Le dernier Conseil de wilaya, tenu jeudi dernier, a été consacré au dossier de l’investissement privé dans différents secteurs d’activité, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la wilaya.
La même source a ajouté que le wali Far Bachir et les membres de ce conseil ont passé en revue ce dossier afin de faire le point pour le booster conformément aux orientations des pouvoirs publics relatives à l’assouplissement des procédures administratives qui constituent un frein à l’investissement, de l’avis de certains investisseurs rencontrés récemment lors d’une rencontre initiée par les autorités locales. A cet effet, la commission du Calpiref totalise 194 projets agréés susceptibles de créer 23 913 postes d’emploi dans différents secteurs d’activité, a souligné notre source ajoutant que le secteur de l’industrie vient en pole position des projets validés avec 87 projets, suivi par le secteur du tourisme avec 44 projets d’investissement, les services avec 28,17 dans le domaine de la pêche et des produits halieutiques, 14 dans le secteur de la santé portant essentiellement sur la réalisation d’une dizaine de cliniques et des unités de production de produits pharmaceutiques et de médicaments.
Selon les services de la wilaya, le secteur agricole totalise 13 projets d’investissement agréés dont une station de conditionnement et de calibrage des produits agricoles dans la commune d’el-Kennar, 7 projets dans le domaine du BTHP.
La même source a précisé que ces projets seront implantés dans les zones de Chouf tenine, relevant de la commune de Ouled-Yahia-Khedrouche, Béni-Ahmed, le pos est, relevant de la commune chef-lieu de wilaya.
Rappelons que les autorités locales ont octroyé la décision de concession d’une assiette foncière de 2 hectares dans la ZAC de Bani-Ahmed à l’investisseur Bentebel Boualem qui projette, avec l’apport des chinois, de réaliser un complexe de transformation des déchets ménagers en énergie pour un montant de 32 millions de dollars susceptible de créer 150 postes d’emploi directs et 50 autres indirects.
Bouhali Mohammed Cherif

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Aïn-Sefra: Une fondation pour la préservation du patrimoine

Mon, 12/17/2018 - 14:33

L’hôtel Mekter de la capitale des monts des ksour, Aïn-Séfra, a abrité, du 14 au 15 décembre courant, le congrès de la fondation de l’Organisation nationale pour la protection du patrimoine culturel et du développement du tourisme (ONPPCDT).
Plusieurs membres fondateurs, représentant plus d’une vingtaine de wilayas du pays, dont Skikda, Annaba, El-Taref, Ghardaïa, Laghouat, Oran, Tlemcen, Béchar, Naâma (l’organisatrice) ont pris part à ce congrès constitutif. Après l’élection du bureau, M. Boudelal Mohamed a été élu à l’unanimité président de l’organisation.
Ce dernier nous a déclaré en substance : «Notre organisation vise plusieurs axes majeurs prioritaires, d’abord la protection du patrimoine culturel et la promotion et le développement du tourisme de nature, d’aventure et de recherches au niveau national, ainsi que la mise en œuvre d’une stratégie de mise en valeur de notre patrimoine dans un cadre culturel et touristique, comme nous comptons favoriser l’essor économique par l’exploitation des potentialités que recèle notre pays.»
B. Henine

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EPH Mohamed-Boudiaf de Bouira: Des médecins dénoncent l’insécurité régnante et le manque de moyens

Mon, 12/17/2018 - 14:32

Des dizaines de médecins exerçant au niveau de l’hôpital Mohamed-Boudiaf de Bouira se sont rassemblés, hier, en observant un piquet de grève de deux heures, pour dénoncer les conditions de travail au sein de cet établissement hospitalier.
Selon les protestataires rencontrés sur les lieux hier dans l’après-midi, une anarchie totale règne au sein de l’hôpital, au point où les médecins n’arrivent plus à exercer leur métier convenablement.
En effet, selon eux, il y a d’abord les accompagnateurs des malades qui pénètrent tous à l’intérieur des blocs opératoires, dans les salles de soins, et dans les salles de réanimation, en agressant souvent les médecins qui oseraient leur demander de sortir et de les laisser ausculter le malade calmement.
Outre ces conditions de travail difficiles, le matériel médical, ainsi que les consommables comme les pansements, les gants, et autres injections, ainsi que les médicaments sont souvent manquants, poussant les médecins à regarder le malade souffrir sans pouvoir lui faire quoi que ce soit. Devant cete situation intenable, les médecins protestataires, qui rappellent que le directeur de l’EPH refuse d’admettre qu’il y a un manque de matériel, se sont vu obligés d’observer ces piquets d’alerte afin d’alerter la DSP ainsi que le ministère sur les conditions de travail au sein de cet EPH qui manque de tout. Ils en appellent au ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière afin d’intervenir pour recruter plus d’agents de sécurité, et doter cet hôpital de moyens médicaux et de médicaments pour pouvoir exercer leur métier dans de bonnes conditions et être à la hauteur des attentes des citoyens qui n’ont d’autres endroits, vu les conditions sociales de beaucoup d’entre eux, que ces établissements publics pour soulager leurs souffrances et celles de leur progéniture.
Y. Y.

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