Par Chaabane BENSACI
«La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l’Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin», a martelé hier à Baghdad le président Barham Saleh.
Les 5000 soldats encore stationnés en Irak sont-ils vraiment les bienvenus? Il semble que ce ne soit plus le cas depuis la déclaration du président américain Donald Trump, selon laquelle le maintien des troupes en Irak est nécessaire pour «surveiller l’Iran». Propos qui a engendré une foule de réactions indignées non seulement au sein de la population irakienne, mais également parmi les formations politiques et les dirigeants les plus en vue du pays. «La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l’Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin», a martelé hier à Baghdad le président Barham Saleh.
«Les forces américaines sont présentes en vertu de la loi et dans le cadre d’accords entre les deux pays, toute action menée hors de ce cadre est inacceptable», a-t-il tenu à rappeler en guise d’avertissement. Il n’aura pas fallu beaucoup de temps après la diffusion dimanche dernier de l’entretien accordé par le président américain à la chaîne CBS pour que des députés comme Sabah al-Saadi, du bloc que dirige le leader chiite Moqtada Sadr, montent au créneau. Al Saadi a ainsi considéré que ces déclarations belliqueuses faisant de l’Irak une base d’agression contre un pays voisin rendaient le «départ des troupes américaines d’Irak une obligation nationale».
Il faut savoir que ce même député a déposé dernièrement une proposition de loi en ce sens, et il n’a cessé depuis, de plaider pour son adoption de toute urgence, arguant non sans raison que l’Irak est actuellement pris en étau entre ses deux grands alliés, les Etats-Unis et l’Iran, alors qu’ils sont deux grands ennemis. Hassan al-Kaabi, numéro deux du Parlement et proche de Moqtada Sadr, s’en est pris pour sa part à ce qu’il qualifie de «nouvelle provocation» du président américain, décidément inspiré quand il s’agit de jeter de l’huile sur le feu, aux yeux de nombreux Irakiens. Lors de sa dernière visite aux troupes basées dans ce pays, à la fin du mois de décembre 2018, Trump s’était exhibé sur la base aérienne d’Aïn al-Assad en prenant soin de ne rencontrer aucun officiel irakien.
Un geste ressenti comme une véritable offense par des dirigeants conscients que le message était on ne peut plus clair, en ce qui concerne leur vassalité. Officiellement, les Irakiens estiment qu’ils n’ont accordé aucune base sur leur sol aux Etats-Unis, ces derniers ayant fourni essentiellement des instructeurs chargés d’accompagner les troupes irakiennes dans leur lutte contre le groupe Etat islamique. Or, le président Trump a déclaré sur CBS qu’il entend «garder» la base aérienne de Aïn al-Assad, pour, dit-il, «surveiller l’Iran» voisin. Parmi ses divers arguments, le fait que «si quelqu’un cherche à faire des armes nucléaires, nous allons le savoir avant qu’il le fasse». «L’Irak n’est pas votre terrain familial et nous n’acceptons plus aucune force étrangère sur notre sol», a répliqué vivement le député Hassan Salem, membre d’une coalition d’ex-combattants antiterroristes proches de l’Iran, au Parlement.
«La mission de l’armée américaine en Irak est d’aider les forces de sécurité irakiennes contre le terrorisme, pas de ‘surveiller » d’autres pays», s’est aussi révolté, sur Twitter, Sarkawt Chemseddine, député du parti kurde d’opposition Nouvelle génération. «Nous attendons des Etats-Unis qu’ils (…) évitent de pousser l’Irak dans un conflit régional», a-t-il souligné, tandis que les commentaires pleuvaient sur les réseaux sociaux pour dénoncer des propos significatifs d’une «force d’occupation».
Tout cela ne constitue pas, à vrai dire, une nouveauté puisque depuis l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis en 2003, la présence américaine ne cesse de nourrir de violentes polémiques. On a compté jusqu’à 170.000 militaires américains présents officiellement pour conforter la lutte contre l’insurrection puis, ces dernières années, le retrait s’est effectué à une cadence de plus en plus accélérée, les quelque milliers de soldats encore présents ayant pour «mission» de conduire la coalition internationale mobilisée contre Daesh.
The post Trump veut «surveiller» Téhéran depuis l’Irak: Baghdad manifeste son indignation appeared first on .
En 2015, Buhari avait remporté 89% des voix à Kano, face à Goodluck Jonathan, un chrétien du Sud. Mais cette année, face à Atiku Abubakar, autre musulman du nord, et après un premier mandat plutôt décevant, la tâche ne sera pas si évidente.
Des vagues d’autobus ont déferlé sur Kano. D’autres sont arrivés à cheval ou à dos de chameau: des dizaines de milliers de personnes ont convergé dans la capitale du nord du Nigeria, pour soutenir Muhammadu Buhari, président sortant et candidat à la réélection à la présidentielle du 16 février. Buhari, haoussa musulman originaire du nord, a été ovationné par la foule, lors d’un de ses plus importants meetings de campagne, la semaine dernière.
Les plus téméraires ont même escaladé les immenses projecteurs du stade de la ville pour y accrocher des drapeaux du parti au pouvoir, le Congrès des Progressistes (APC).
Kano, avec ses quelque 15 millions d’habitants, capitale millénaire de l’islam en Afrique de l’Ouest au carrefour du Sahel, est une région clé pour les candidats à la présidence: celui qui gagnera la ville et la région pourrait faire basculer les résultats de tout le pays.
«Les élections se jouent sur le vote de masse», explique Moses Aluaigba, chercheur associé au centre Aminu Kano, un think tank de recherche politique à l’université de la ville. «Si l’APC a la masse » derrière lui, il prendra l’avantage.
«En 2015, Buhari avait remporté 89% des voix à Kano, face à Goodluck Jonathan, un chrétien du Sud. Mais cette année, face à Atiku Abubakar, autre musulman du nord, et après un premier mandat plutôt décevant, la tâche ne sera pas si évidente.»Nous apporterons 5 millions de voix à Muhammadu Buhari et son vice-président Yemi Osinbajo», scandait le MC à la foule. Mais avec 5,5 millions d’inscrits dans tout l’Etat de Kano, cette promesse semble bien ambitieuse.
La foule rassemblée lors du meeting politique, bien qu’impressionnante, n’est pas forcément un indicateur de popularité au Nigeria, où personne ne fait rien gratuitement. Les périodes électorales sont surtout l’occasion de récupérer quelques billets distribués par les partis politiques, de la nourriture, et autres «cadeaux» jetés à la foule. Certes, Buhari est toujours perçu comme un «homme du peuple» à Kano, et les affiches de l’APC ont envahi la ville. Dans le marché de Sabon Gari, Aminu Uba Sanka et Kabiru Isa reconnaissent que le chef de l’Etat n’a pas tenu toutes ses promesses, mais il reste quand même leur candidat favori. «Si Buhari s’en va, tous ces gens vont souffrir», assure Aminu Sanka, un petit commerçant du marché, en montrant la foule du doigt. «Nous avons besoin de lui encore quatre ans pour qu’il puisse finir les projets qu’il a commencé», explique-t-il, répétant quasiment mot pour mot le slogan de campagne de l’APC.
En 2015, Kano – et le marché de Sabon Gari en particulier – était la cible d’attentats revendiqués par le groupe jihadiste Boko Haram. «Maintenant nous vivons relativement en paix», confie Kursiyya Abdullahi, une habitante de la ville devant une échoppe de maroquinerie.
«La vie est dure. Mais je pense qu’il vaut mieux avoir de l’inflation plutôt que de l’insécurité.»
En effet, peu après l’élection de Muhammadu Buhari, le Nigeria a plongé dans la pire récession économique depuis trente ans, et le premier producteur de pétrole du continent africain peine à retrouver sa croissance du début des années 2000. En ce qui concerne la lutte contre la corruption, sa grande promesse électorale, Buhari a trop concentré les accusations sur ses opposants politiques, selon Aminu Yumba. «On devrait donner une seconde chance à Atiku Abubakar», assène ce résident de Kano.
Ancien vice-président sous Olusegun Obasanjo (1999-2007), Abubakar, richissime homme d’affaires, est perçu comme l’un des politiques les plus corrompus du Nigeria. Mais il est Haoussa, et même s’il a fait l’essentiel de sa carrière dans le sud chrétien, il n’est pas exclu de voter pour lui. Les résultats devraient être serrés entre les deux candidats principaux.
C’est en tout cas, la prédiction de Tanko Yakasai, ancien politicien de 93 ans, mémoire vive de Kano et du Nigeria post-colonial. Cet ancien conseiller du président Shehu Shagari (celui-là même que le général Buhari avait démis du pouvoir par un coup d’Etat en 1983), assure qu’il y aura une division des votes dans le nord du pays et le sud, traditionnellement plus affilié au Parti Populaire Démocratique (PDP), sera majoritairement derrière Abubakar. «Cette fois, les résultats des élections ne seront pas liés à une religion ou une ethnie. Il n’y aura pas de sectarisme ou de tribalisme», analyse le vieil homme. «Ce sera très serré ou Atiku pourrait l’emporter».
The post Présidentielle au Nigeria: Le nord au cœur des ambitions appeared first on .
Les autorités syriennes ont annoncé hier l’évacuation de 4000 familles syriennes logés dans de bâtiments endommagés à Alep, dans le nord du pays, après la récente mort de 11 civils dans l’effondrement de leur immeuble, ont rapporté des médias locaux.
Selon le journal pro-gouvernemental Al-Watan, au moins 4000 familles syriennes, occupant des logements dans environ 10.000 bâtiments endommagés à Alep vont être relogées temporairement, le temps que leur immeuble d’habitation soit réhabilité ou reconstruit.
11 personnes sont mortes samedi dernier dans l’effondrement d’un immeuble de cinq étages dans le quartier de Salaheddine, dans l’est d’Alep, lequel était touché en 2016 par des affrontements entre l’armée syrienne et les groupes terroristes lors de l’opération de sécurisation de cette ville. Ce quartier se trouve aujourd’hui en grande partie endommagé et nécessite une opération de reconstruction, a ajouté le média syrien. Depuis la libération de la ville fin 2016, de nombreux syriens avaient décidé de retourner chez eux, même si leurs habitations étaient en grande partie touchée par les combats.
Face à cette situation, le gouvernement syrien s’est engagé dans d’importants projets de reconstruction, avec l’aide de pays amis, notamment la Russie, la Chine et l’Iran. Selon des estimations de l’ONU, la Syrie aura besoin de 300 milliards de dollars pour remettre en état les villes et zones touchées par le conflit, depuis l’année 2011.
The post Immeubles endommagés en Syrie: 4000 familles bientôt évacuées à Alep appeared first on .
Une attaque perpétrée, dans la nuit de dimanche à lundi à Kain, dans la région du nord du Burkina Faso, a causé 14 morts parmi la population civile et la mort de 146 terroristes, a annoncé un communiqué de l’Etat-major général des forces armées.
« Dans la nuit de dimanche à lundi, une attaque terroriste à Kain (province du Yatenga, région du nord) a fait quatorze victimes civiles parmi la population », a indiqué cette source.
En réaction à cette attaque, les Forces de défense et de sécurité (FDS) burkinabè ont immédiatement engagé des opérations dans les départements de Kain, de Banh (province du Loroum, région du nord) et de Bomboro (province de la Kossi, région de la Boucle du Mouhoun), signale le communiqué, précisant que la riposte a permis de neutraliser 146 terroristes dans les trois départements.
Le bilan pour les FDS fait état de blessés légers mais d’aucune perte en vie humaine alors que les opérations de sécurisation de ces départements se poursuivent toujours.
Pays de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est confronté, depuis 2015, à une recrudescence des attaques terroristes sur son territoire, notamment dans les régions situées près des frontières avec le Mali, le Niger et le Bénin. Ces dernières ont déjà fait plus de 300 morts parmi les civils et les forces de défense et de sécurité, selon des observateurs locaux.
The post Burkina Faso : 14 civils et 146 terroristes tués dans une attaque terroristes appeared first on .
Un collectif de jeunes ont découvert dans le lit de l’oued El Maleh, dans la wilaya de Djelfa, située à 300 km au sud d’Alger, un site préhistorique qui contient des ossements animaliers qui remonterait jusqu’à 12.000 ans au minimum.
Ces ossements sont identifiés comme étant « des restes de cranes et d’autres parties du squelette d’un Rhinocéros blanc de l’espèce Ceratotherium simum », affirme Farid Kharbouch, directeur général du Centre National de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques (CNRPAH), au micro de Djilali Ould Safrani, correspondant de la Chaine 3 de la Radio Algérienne dans la wilaya de Djelfa.
« C’est une découverte importante », ajoute le DG du CNRPAH qui annonce que des fouilles seront entamés par son organisme et les chercheurs de l’université de Djelfa qui le souhaite, afin de « procéder à la datation de ce site en vue d’avoir une indication précise du Rhinocéros de ce site et de manière globale de tout l’art rupestre de la région de Djelfa »
The post Rhinocéros blanc de Djelfa : la découverte d’un site préhistorique confirme son existence dans la région appeared first on .
Khaled Boumediene
Pour mieux répondre aux demandes des patients et garantir une offre de soins complète et qualifiée, la polyclinique de Béni-Boussaid (Zouia), située à l’extrême frontière algéro-marocaine, qui a été, rappelons-le, inaugurée au courant du mois d’octobre de l’année écoulée par le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, s’est renforcée ce dimanche par une maternité et une garde médicale, comme a tenu à le souligner hier lors d’une brève entrevue, M. Baghdous Abdelkader, directeur de la santé et de la population de la wilaya de Tlemcen. « La direction de la santé et de la population de Tlemcen s’est engagée, dans son programme d’action de l’année 2018, à ouvrir des maternités et des points de garde médicale H24.Donc, après la dotation en polycliniques des localités d’El-Aricha, Sidi-Djillali et Fellaoucène et après que des investissements en matériels et moyens humains et mesures organisationnelles aient été mis en place, cet établissement s’est doté d’une garde médicale et d’une maternité, dotées de radios, d’un laboratoire et de plusieurs équipements de médecine, afin de densifier la couverture sanitaire dans cette zone déshéritée et frontalière, qui manquait cruellement de ce genre de structure de proximité pour la prise en charge des patients.
La mise en service de ces deux unités permettra à la polyclinique de s’intégrer parfaitement dans la région et de tourner à 100% de ses capacités en attendant son renforcement par le personnel paramédical spécialisé, notamment les opérateurs de radio et les laborantins durant le mois d’août prochain et ce, à l’occasion de la sortie de la nouvelle promotion de l’institut national de formation supérieure des sages-femmes de Tlemcen. Dans le même sillage, le DSP de Tlemcen a indiqué, qu’une polyclinique est en cours de réalisation à Hennaya afin de parer aux insuffisances de prise en charge des soins des habitants de cette localité située à 10 kilomètres au nord du chef-lieu de la wilaya de Tlemcen.The post Tlemcen: Des renforts pour la santé appeared first on .
El-Houari Dilmi
Le phénomène prend des proportions inquiétantes dans la wilaya de Tiaret. Le vol des couvercles des avaloirs et des poubelles écologiques exacerbe les autorités locales, à commencer par le directeur de l’EPIC «Tiaret Nadhafa», une entreprise de wilaya créée dernièrement pour s’occuper de l’enlèvement des ordures ménagères, l’éclairage public et l’aménagement d’espaces verts. En effet, intervenant sur les ondes de la radio locale, le premier responsable de l’EPIC «Tiaret Nadhafa» a dénoncé le vol des poubelles écologiques par des «bandes organisées qui les transforment en plastique pour le revendre au poids à raison de 25 DA le kilo» a-t-il révélé. «Nous avons installé, au niveau de 420 points dans la ville de Tiaret, des poubelles écologiques de 260 et 660 litres qui nous ont coûté un investissement financier important avant de constater leur disparition du paysage » a encore dénoncé M. Hamzaoui Ahmed, directeur de «Tiaret Nadhafa».L’autre phénomène qui perdure est celui des couvercles des avaloirs en fonte qui font l’objet de vol, se traduisant par des obstructions des canaux d’évacuation des eaux pluviales en pleine période hivernale. «Ces couvercles d’avaloirs sont volés de jour comme de nuit par des bandes organisées pour être revendus ensuite à des individus qui les acheminent en dehors des frontières de la wilaya», alerte un élu à l’APC de Tiaret. Les plaques de signalisation routière ne sont pas non plus épargnées par ce phénomène, à tel point que des automobilistes sont parfois déboussolés à cause de la disparition de ces plaques, y compris à l’intérieur du périmètre urbain de la ville de Tiaret.
The post Tiaret: Le vol des couvercles d’avaloirs et des poubelles dénoncé appeared first on .
Ayache Djamel
La cité des 34 logements «Fonal» située sur les hauteurs de la localité balnéaire de Stidia, souffre depuis 2013, date de sa réalisation, de l’inexistence d’un réseau électrique, plongeant ses 200 habitants dans l’obscurité et un isolement total depuis 6 ans. Avec tous les désagréments qui en découlent pour les occupants de ces habitations, notamment les écoliers qui ne peuvent réviser leurs cours ou faire leurs devoirs dès la tombée de la nuit. Face à cette situation, plusieurs habitants de la cité ont pris l’initiative, combien dangereuse, de se brancher illicitement au réseau le plus proche en dépit des dangers que cela représente. «Nous avons frappé à toutes les portes, APC, Sonelgaz…, des années durant, et toutes nos tentatives son restées vaines», explique un habitant de la cité. «Notre sécurité et celle de nos enfants est quotidiennement menacée par le passage des fils électriques parfois endommagés, branches illicitement au-dessus de nos têtes», souligne un autre. «Ce n’est pas normal qu’en 2019, la cité n’est même pas branché au réseau électrique malgré son passage à 200 mètres de ce groupement urbain».Les habitants lancent un appel au premier responsable de la wilaya pour mettre un terme à cette situation qui dure depuis 6 ans et permettre ainsi aux habitants de jouir d’un meilleur cadre de vie.
The post Mostagnem: Une cité sans électricité depuis 6 ans à Stidia appeared first on .
Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales.
Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales. Pour les syndicats affiliés à l’intersyndicale, la tutelle temporise et n’a aucunement l’intention de s’asseoir à la table de dialogue.Il est utile de rappeler que le collectif des syndicats autonomes a accordé à la tutelle un ultimatum, afin de prendre en charge leurs revendications à travers des réponses écrites, qui expirera le 15 de ce mois.
Par ailleurs, les partenaires sociaux ont décidé de ne pas prendre part à la réunion qu’a convoquée ce lundi la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, soutenant que le point portant sur les œuvres sociales n’a rien d’urgent, eux qui ont proposé jadis d’organiser un “référendum national” auquel participeront tous les syndicats.
En outre, ils devront bouder également la rencontre de mercredi où il sera question d’examiner les dysfonctionnements du statut particulier des professionnels du secteur.
A ce propos, Boualem Amoura, président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) a indiqué à Echorouk que la tutelle a convoqué les syndicats de l’intersyndicale pour prendre part à des réunions successives consacrées à débattre du dossier des œuvres sociales dont la ministre a tranché ,à elle seule, sans impliquer les partenaires sociaux.
Le président de Satef a fait savoir que le deuxième dossier étant celui du “statut particulier des professionnels du secteur” – est actuellement en étude- après avoir été transféré à la commission intersectorielle regroupant le ministère de l’Education, les Finances, l’Enseignement supérieur et la Direction générale de la Fonction publique qui sont appelés à revoir ses lacunes.
Pour lui, la tutelle joue la montre car sa démarche visant à associer les syndicats signifie que les dossiers en question seraient déjà tranchés ou en étude, qualifiant ainsi ces réunions de conjoncturelles.
The post Nouvel échec des négociations entre la tutelle et les syndicats appeared first on .
Le Forum des chefs d’entreprises se transforme officiellement en syndicat. Le FCE a annoncé aujourd’hui avoir obtenu auprès du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, en ce 4 février l’agrément portant création du syndicat FCE sous le nom de « Confédération Forum des Chefs d’Entreprise ». Le Forum s’est d’ailleurs félicité « de l’aboutissement du processus de création du syndicat des Chefs d’entreprise, lancé en juin dernier, processus mené dans le respect de la réglementation et des lois de la République, en étroite collaboration avec les services du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale ». Pour rappel, le processus de transformation du FCE en syndicat a été entamé en janvier 2018, lors d’une Assemblée générale extraordinaire de l’organisation patronale. Le dossier de demande d’agrément a été déposé le 14 juin dernier, laissant supposer une dissolution du Forum en tant qu’association professionnelle, chose qui a été démentie par la suite, avant que la transformation du Forum en syndicat ne soit confirmée lors de l’assemblée générale ordinaire du FCE tenu le 15 décembre dernier.
The post Le FCE obtient officiellement son agrément de syndicat appeared first on .
The post AMELIORATION DU CADRE DE VIE : Le gaz arrive enfin au bas-Mazagran ! appeared first on .
The post SECURITE SOCIALE : Zemali met en garde contre les fraudes appeared first on .
ALGER – Le directeur des Transports de la wilaya d’Alger, Rachid Ouezzane a fait état, lundi, de l’entrée en service, fin février en cours, de 25 carrefours pilotes « intelligents » dans la wilaya d’Alger, dans le cadre de l’exécution de la première phase du projet algéro-espagnol portant mise en place d’un nouveau système de régulation du trafic routier et d’éclairage public.
Vingt-cinq (25) carrefours équipés de système de régulation du trafic routier seront opérationnels à la fin du mois de février à travers les communes de Belouizdad et Sidi M’hamed (étape pilote), et ce, dans le cadre de la concrétisation du projet algéro-espagnol visant à améliorer et fluidifier la circulation routière et régler le problème des embouteillages, a indiqué à l’APS M. Ouezzane.
Doté d’une enveloppe de 19 Mds DA, ce projet dont la réalisation, en 3 phases, est prévue sur 55 mois, est confié à la société mixte algéro-espagnole mobilité et éclairage d’Alger (MOBEAL), composée de l’Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), de l’Etablissement de réalisation et de maintenance de l’éclairage public de la wilaya d’Alger ainsi que de deux entreprises espagnoles spécialisées, a-t-il précisé, ajoutant que c’est là un projet « ambitieux » qui permettra de connaitre le trafic routier en temps réel, d’améliorer les conditions de déplacement, réduire la durée des voyages et tenir informé les usagers de la route via Internet.
Soulignant que la réception et la mise en marche des feux tricolores intelligents sur l’axe Place du 1er mai (Sidi M’hamed) – Belouizdad constituent la première phase, M. Ouezzane a expliqué que la zone pilote sera raccordée « temporairement » à un mini centre pilote au niveau de l’unité ETUSA de la Place du 1er mai afin de bien s’imprégner des particularités de ce système intelligent et de l’utilisation de nouveaux outils technologiques.
Cette première phase, concrétisée à hauteur de 40%, enregistre un retard dû à la topographie des sites, a-t-il ajouté. Le directeur des Transports d’Alger a évoqué la réception, d’ici octobre prochain, de 200 carrefours intelligents, dans le cadre de la première phase, à travers les communes d’Alger, notamment à El Biar, Alger centre et Kouba.
Il a fait état, dans ce sens, de l’achèvement des travaux de réalisation d’un centre de régulation à Kouba, devant entrer en service en octobre prochain après son aménagement et son équipement pour la gestion intelligente du trafic routier, la collecte des informations sur les flux de circulation grâce à des caméras de détection de véhicules. Des données analysées, par la suite, pour l’amélioration du trafic routier, a-t-il dit.
Concernant la deuxième phase, M. Ouezzane a fait savoir que le lancement est prévu début septembre prochain avec un délai de réalisation de 25 mois, déclarant qu’elle concerne la mise en place de 300 autres carrefours intelligents dans les communes d’Alger-est et d’Alger-ouest, outre la création d’un mini-centre de régulation du trafic routier de secours au niveau de la Cité des sciences (Alger), auquel il sera fait appel uniquement en cas de panne du centre de Kouba.
Quant à la troisième phase, devant être concrétisée en 18 mois, elle porte sur la gestion des moyens de transport commun, des parkings, tunnels et les accès, a-t-il ajouté soulignant que les données collectées via les caméras seront analysées pour tenir informés les conducteurs à travers un site électronique exclusivement destiné à l’information routière.
Ces carrefours « intelligents » et les trottoirs adjacents ont été aménagés pour être accessibles aux personnes aux besoins spécifiques et équipés d’un système sonore destiné aux non-voyants, et ce en coordination avec diverses associations, dans le cadre de la prise en charge de cette catégorie de la société, a-t-il conclu.
The post Régulation du trafic routier Alger : 25 carrefours « intelligents » opérationnels à la fin février appeared first on .
AIN TEMOUCHENT- Le législateur algérien a uniformisé, à travers les réformes introduites au Code de la famille, les droits et devoirs communs entre conjoints et permis à la femme une égalité avec l’homme, ont affirmé lundi à Ain Témouchent, des universitaires qui ont animé une journée d’étude sur la situation de la femme dans le système juridique national.
L’enseignante à la faculté de droit de l’université de Tlemcen, Sanae Cheikh, a fait remarquer que « le Code de la famille algérienne stipule que l’âge du mariage est fixé à 19 ans pour l’homme comme pour la femme et exige une autorisation du juge concernant les mineurs », précisant, par ailleurs que l’article 37 du Code de la famille reconnaît aux femmes la pleine liberté de disposer de leurs biens.
L’universitaire de Tlemcen, Mourad Benaouda Haskar, a mis l’accent, dans sa communication abordant les mécanismes permettant à la femme fonctionnaire d’assumer son rôle dans le développement durable, sur la nécessité de définir les postes ne permettant pas aux femmes d’exercer un métier vu sa pénibilité et les risques qu’elles peuvent encourir d’où le refus de l’employeur à recruter des femmes.
La présidente de la rencontre, Nassima Cheikh, de la faculté de Droit du centre universitaire « Belhadj Bouchaib » d’Ain Témouchent, a mis l’accent sur le principe d’équité entre les deux sexes, signalant que le législateur algérien a tenté, par le biais de réformes, de mettre en place des mécanismes à même de promouvoir la participation politique de la femme dans la prise de décision et la contribution au développement national durable.
« La consécration de cette équité permet à la femme d’être un élément efficace dans la société » et de préserver sa place et ses caractéristiques de femme et de mère partant des constantes et des valeurs de la nation.
Un débat ouvert entre conférenciers, étudiants et représentants d’associations locales a eu lieu au terme des communications présentées au cours de cette journée d’étude, organisée par la faculté de Droit du CU ‘Belhadj Bouchaib’ avec la participation d’universitaires des wilayas d’Oran, de Tlemcen, de Sidi Bel-Abbès et d’Ain Témouchent.
The post Rencontre sur le code de la famille et les droits et devoirs communs entre conjoints appeared first on .
ALGER – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé lundi, à Alger, les présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles à fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils, a indiqué un communiqué du ministère.
Au cours d’une réunion de travail consacrée à l’évaluation périodique de la mise en œuvre de l’activité des Conseils interprofessionnels des filières, qu’il a présidée au siège de son département ministériel, M. Bouazghi a recommandé aux présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles de consolider l’encrage des différents conseils au niveau local et de fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils.
Dans ce cadre, « il leur a également recommandé de procéder à la construction d’une base de données permettant de dresser un état exhaustif de leur filières, tout en veillant au recours aux moyens modernes de collection d’information », a ajouté le communiqué.
La même source a indiqué par ailleurs que, le ministre a sollicité les présidents des conseils de communiquer d’avantage sur leurs conseils et les objectifs assignées aux filières agricoles par les différents voies de communication afin de renforcer d’une part la composante des conseils et faire adhérer, d’autres part, les différents acteurs à la stratégie entreprise par le secteur pour la redynamisation et le renforcement des filières agricoles.
Lors de cette rencontre à laquelle ont assisté les présidents des conseils des filières agricoles, les chefs de file et les cadres centraux du ministère, M. Bouazghi « a exhorté les présidents des conseils à redoubler d’effort afin de relever le défi de la diversification économique et du renforcement de la sécurité alimentaire du pays, à travers la concertation régulière entre les acteurs des filières », lit-on dans le communiqué.
Le ministre a par ailleurs rappelé le rôle stratégique que devraient jouer ces conseils afin d’atteindre les objectifs qui leur ont été assignés, notamment la mise en place d’un cadre efficace et cohérent permettant de soutenir la dynamique de croissance enregistrée dans les différentes filières agricole.
Il a enfin souligné que les efforts fournis en matière de développement des filières devraient être renforcés à travers l’accompagnement de tous les acteurs agissant tout au long des différents segments des filières depuis la fourniture des intrants jusqu’au produit final en passant par la production , la commercialisation et la transformation.
The post Les conseils interprofessionnels des filières agricoles appelés à fédérer le maximum d’agriculteurs appeared first on .
ALGER – Trois (3) personnes ont trouvé la mort et 80 autres ont été blessées dans 69 accidents de la route survenus en zones urbaines le week-end dernier, ont indiqué lundi les services de la Sûreté nationale.
Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents en sus d’autres facteurs, selon ces mêmes services.
A cet effet, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) appelle les usagers de la route à faire preuve de prudence et de vigilance et à respecter le code de la route, sans oublier de soumettre les véhicules à un contrôle régulier, particulièrement en cette période marquée par les intempéries affectant certaines régions du pays, et ce pour la préservation de la vie et l’intégrité des usagers de la voie publique.
The post Accidents de la route: 3 morts et 80 blessés en zones urbaines appeared first on .
Au moins neuf personnes ont été tuées lundi dans l’explosion d’une voiture piégée sur un marché très fréquenté du sud de la capitale somalienne Mogadiscio, régulièrement ciblée par le groupe terroriste Shebab, a-t-on appris de source policière et auprès de témoins.
« L’explosion a eu lieu près du centre commercial Mogadiscio et elle a causé morts et destruction. Neuf civils ont été confirmés morts et plusieurs autres sont blessés. Certaines de ces victimes ont été tuées dans l’effondrement d’un bâtiment causé par l’explosion », a indiqué un responsable de la police, Ahmed Moalin Ali.
« Les terroristes ont garé un véhicule bourré d’explosifs à proximité du centre commercial pour tuer des innocents », a-t-il ajouté.
Le marché visé, Hamarweyne, est situé à proximité des bâtiments de la municipalité de Mogadiscio, selon une autre source policière.
The post Somalie: au moins 9 morts dans un attentat sur un marché de Mogadiscio appeared first on .
La sélection algérienne d’escrime a bouclé sa participation au Championnat méditerranéen 2019 (jeunes catégories) disputé à Cagliari (Italie) à la seconde place avec un total de sept médailles dont deux en or.
En terminant à la seconde marche du podium juste derrière l’Italie auteur de 43 médailles (16 or, 13 argent et 14 bronze) l’escrime algérien a réalisé son meilleur résultat, jusque-là, dans ce rendez-vous méditerranéen réservé aux jeunes catégories filles et garçons. Les escrimeurs algériens ont remporté 2 médailles d’or, 1 en argent et 4 en bronze. La 3ème marche du podium est revenue à la France avec quatre médailles (1 or, 1 argent et 2 bronze).
Les deux titres méditerranéens décrochés par l’Algérie, dans la catégorie juniors, ont été réalisés dans l’épreuve par équipes/mixte féminin (épée, fleuret, sabre) grâce au quatuor Meriem Mebarki, Neila Benchakour, Zohra Kehli et Yousra Zebboudj, et dans l’épreuve individuelle par Nora Zahra Khali (Sabre juniors).
La médaille d’argent a été remportée par Mohamed Cherif Krakria (Epée-minimes), alors que les quatre médailles de bronze ont été gagnées par Naila Benchekor (Sabre/minimes), Adem Izem Abdelhacib (sabre juniors), Meriem Mebarki (fleuret cadettes) et Chaîma Benadouda (sabre cadettes).
En finale de l’épreuve mixte féminin (épée, fleuret, sabre) l’équipe algérienne a battu son homologue espagnole par 30 touches à 25. En demi-finale, elle s’est imposée sur le fil devant l’Italie (30-29), composée de Margherita Barrata, Alice Gambita et Emma Guarino.
Quant à Nora Zahra Khali (Sabre juniors), elle a battu en finale l’Italienne Emma Guarino par 15 touches à 11. Par contre, Mohamed Cherif Krakria (Epée-minimes) s’est incliné face à l’Italien Paolo Santoro (13-2). Auparavant, il avait dominé en demi-finale, le Portugais Diogo Onofre (15-14) et en quart de finale l’Espagnole Martin Gamazo (15-5).
En demi-finale du (Sabre/minimes), Naila Benchekor a perdu face à l’Italienne Benedetta Fuzetti (15-7), et ce après avoir éliminé en quart de finale l’Espagnole Analia Fernandez (15-9).
Les autres escrimeurs algériens engagés dans cette compétition se sont contentés des places d’honneurs. L’Algérie a pris part avec 23 athlètes dont 13 filles à cette compétition méditerranéenne à laquelle étaient présents les escrimeurs de neuf pays.
The post Championnat méditerranéen : L’Algérie termine à la seconde place appeared first on .
ALGER – Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale, Mourad Zemali a affirmé, lundi à Alger, que son département assurait, dans le cadre de la prise en charge médicale du patient, une contribution forfaitaire au financement annuel des hôpitaux, ayant atteint en 2019 plus de 80 milliards de Da et le remboursement de plus de 4.000 médicaments y compris les médicamentsanticancéreux.
Co-présidant avec le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui la célébration de la journée d’information de lutte contre le cancer qui coïncide avec le 4 février, M. Zemali a indiqué que le secteur de la sécurité sociale assurait, dans le cadre de la prise en charge du malade, une contribution forfaitaire au financement annuel des hôpitaux, ayant atteint cette année 88 milliards de Da et le remboursement de plus de 4.000 types de médicaments y compris les médicaments anticancéreux.
A cette occasion, il a rappelé l’intérêt accordé par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui a lancé l’initiative du plan national de lutte contre le cancer 2015/2019 et l’a inscrite parmi les grands chantiers de son programme présidentiel, mobilisant tous les moyens nécessaires à sa réussite.Ce plan mobilise tous les secteurs « dans le cadre d’une approche stratégique qui place le malade au centre de ses préoccupations », une approche où le secteur du Travail et de la sécurité sociale et celui de la santé assument « une mission principale qui ne se limite pas uniquement aux soins médicaux mais qui touche, outre aux aspects de la prévention, à d’autres aspects à l’instar du dépistage précoce et de la prise en charge sociale, psychologique et financière des malades ».
Conscientes des défis de la pérennité de la sécurité sociale et de ses équilibres financiers, le cancer étant une maladie lourde, les autorités ont lancé le plan national de lutte contre le cancer 2015/2019, financé par l’Etat.
Par ailleurs, M. Zemali a mis en avant le rôle des services de l’inspection du travail à travers le territoire national dans les opérations de contrôle des conditions de travail, le respect des règles de santé et de sécurité dans les lieux de travail, la recherche des facteurs et agents professionnels cancérigènes. Il a également mis l’accent sur le rôle de l’inspection dans l’orientation des travailleurs exposés aux risques de cancer vers les services de médecine générale.
Rehaussée par la présence de représentants de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), de l’Unicef et de l’Onu-Sida à Alger, en sus des directeurs des centres anti-cancer (CAC) et de spécialistes, cette rencontre a été l’occasion de passer en revue la stratégie du dépistage précoce organisé du cancer du sein, lancée dans sept (7) wilayas pilotes, à savoir: Biskra, Laghouat, Jijel, Tlemcen, Constantine, Tipasa et Boumerdes et le dépistage précoce organisé du cancer colorectal dans cinq (5) wilayas pilotes à savoir: Batna, Annaba, Bejaia, Boumerdes et Sidi Bel Abbes, ainsi que le programme national de lutte contre le cancer du col de l’utérus.Le Directeur général (DG) de la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), M’hamed Ayad a présenté un exposé détaillé sur les médicaments anticancéreux acquis par la PCH au profit des hôpitaux et distribués gracieusement aux malades, affirmant « leur disponibilité en termes de qualité et de quantité », ce qui traduit les efforts déployés par l’Etat pour la prise en charge de cette catégorie de la société ».
La PCH est parvenue, ces dernières années, à fournir tous les médicaments à l’instar des médicaments innovants notamment ceux destinés aux thérapies ciblées, représentant 46% de la facture des médicaments anticancéreux, a soutenu M. Ayad.
The post Plus de 4.000 médicaments remboursés y compris les anticancéreux appeared first on .
ALGER – L’AS Ain M’lila continue de manger son pain noir, en se faisant accrocher ce lundi à domicile par le MC Oran (0-0), en ouverture de la 20e journée du championnat de Ligue 1 de football.
Sèchement battue lors la précédente journée à Sétif (4-0), l’ASAM (11e, 21 pts) reste toujours menacée par le spectre de la relégation, alors que le MCO, sous la conduite de son nouvel entraineur français Jean-Michel Cavalli, revient avec un point précieux.
Deux autres rencontres sont au programme ce lundi: USM Bel-Abbès – CS Constantine (en cours) et Paradou AC – JS Kabylie (17h45). La suite des matchs aura lieu mardi et jeudi.
Lundi 4 février:
AS Aïn M’lila – MC Oran 0-0
USM Bel-Abbès – CS Constantine (en cours)
Paradou AC – JS Kabylie (17h45)
Mardi 5 février:
Alger (20-Août) : CR Belouizdad – ES Sétif (15h00)
Béjaïa : MO Béjaïa – USM Alger (17h00)
Bordj Bou Arreridj : CABB Arreridj – DRB Tadjenanet (17h00)
Alger (5-Juillet) : MC Alger – Olympique Médéa (18h00)
Jeudi 7 février:
Béchar : JS Saoura – NA Husseïn-Dey (18h00)
Classement Pts J
1). USM Alger 40 19
2). JS Kabylie 36 19
3). MC Alger 28 18
–). CS Constantine 28 18
5). Paradou AC 27 19
–). ES Sétif 27 18
–). NA Husseïn-Dey 27 19
8). JS Saoura 24 18
–). MC Oran 24 20
10). O. Médéa 22 19
11). AS Aïn M’lila 21 20
–). MO Béjaïa 19 19
–). USM Bel-Abbès 19 19
15). DRB Tadjenanet 18 18
16). CR Belouizdad 13 18
NDLR: ce classement prend en considération la victoire de l’AS Aïn M’lila face au CR Belouizdad sur tapis vert (3-0) et la défalcation de 3 points à ce dernier.
The post Ligue 1 (20e j): l’AS Ain M’lila accrochée par le MC Oran (0-0) appeared first on .