La situation météorologique actuelle va « perdurer » avec, notamment, une perturbation prévue dès samedi prochain sur les régions côtières et proche-côtières de l’Ouest du pays avant d’atteindre le Centre avec une « moindre intensité », a indiqué mercredi Mme Houaria Benrekta, prévisionniste à l’Office national de météorologie (ONM).
« La situation qui a prévalu ces dernières semaines s’explique par un flux Sud-Ouest chaud et humide vers le Nord du pays provoquant des pluies, parfois orageuses, sur les régions côtières. La même situation a été observée dans les régions intérieures, notamment les Hauts-Plateaux qui ont connu de fortes précipitations, ainsi que des chutes de grêle », a indiqué Mme Benrekta à l’APS.
Elle a précisé que cette situation météorologique était « normale » et reflète « les caractéristiques météorologiques de la région méditerranéenne, connue par ses variabilités intra-annuelle et intra-saison, à l’exemple de la saison printanière de cette année qui a vu une période pluvieuse plus prolongée que d’habitude ». APS
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Le retrait se fait sur le site électronique http://concours.onec.dz, a précisé la ministre sur les réseaux sociaux.
Mme Benghabrit avait annoncé auparavant « l’ouverture d’un concours de recrutement externe, faisant état de 8.586 postes à pourvoir entre professeurs d’enseignement primaire et d’autres catégories administratives ».
Le nombre de postes à pourvoir sur concours concernent les professeurs d’enseignement primaire est de 3.378 postes, les conseillers d’orientation et de guidance scolaire et professionnelle de 239 postes, les intendants de 213 postes, les intendants adjoints de 694 postes, les superviseurs de
l’éducation de 2.265 postes, les laborantins principaux de 300 postes et les laborantins de 1.407 postes.
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A l'occasion de la célébration de l'édition 2018 de la journée mondiale sans tabac ce 31 Mai 2018, le ministre de la santé, Alassane Seidou, dans un message adressé à la nation porte à la connaissance du public béninois que le tabac ne déclenche pas que des cancers. Il est également à l'origine de problèmes respiratoires, de cardiopathies et de difficultés cardiovasculaires. Selon Alassane Seidou, le tabagisme reste un important facteur de risque pour l'apparition d'accidents vasculaires cérébraux et de maladies vasculaires périphériques. « Des risques sanitaires réels que l'Oms et ses partenaires ont décidé de réduire par la sensibilisation et l'information », a souligné le ministre de la santé.
Rappelant les récentes statistiques, Alassane Seidou souligne qu'il existe aujourd'hui dans le monde, environ 1 milliard de personnes, qui fument 6 000 milliards de cigarettes, soit en moyenne 300 paquets par an ou simplement 16 cigarettes par jour.
« Au Bénin, la situation n'est pas reluisante. Les résultats des enquêtes au Ministère de la Santé ont révélé que la prévalence du tabagisme est à la hausse chez les jeunes adolescents (7,5% en 2016 contre 5,3% en 2009) tandis qu'elle décroit chez les adultes (5% en 2015 contre 16 % en 2008) », a-t-il informé.
Dans notre pays, ces dernières années, poursuit le ministre, nous notons une recrudescence de l'usage de la Chicha encore appelé pipe à eau. Un fléau qui ruine notre jeunesse, qui s'expose non seulement aux effets néfastes du tabagisme, mais aussi aux problèmes d'hygiène du fait de l'usage commun du matériel.
Abordant la situation des non-fumeurs, Alassane Seidou martèle que le tabagisme affecte également ces derniers puisque 900 000 d'entre eux meurent chaque année du fait de leur exposition à la fumée du tabac.
« L'Organisation mondiale de la santé (Oms) estime que d'ici 2020, le tabac sera la principale cause de décès et d'incapacité, avec plus de 10 millions de victimes par an. Le tabagisme entrainera alors plus de décès à travers le monde que le Sida, la tuberculose, les accidents de voiture, les suicides et les homicides combinés (…) », a renseigné le ministre de la santé. Il a rappelé que le Bénin pour lutter efficacement contre le tabagisme s'est doté d'une loi pour règlementer la production, la commercialisation et la consommation du tabac, de ses dérivés et assimilés en République du Bénin.
La contrebande des produits de tabac sera davantage combattue, grâce à la ratification du protocole pour éliminer le commerce illicite du tabac qui est actuellement en étude à l'Assemblée Nationale, a-t-il averti avant d'ajouter que les prix et taxes appliqués sur les produits de tabac au Bénin connaitront aussi une hausse progressive en fonction du coût de l'inflation tel que prescrit par la loi en vigueur.
Réitérant ses remerciements au gouvernement du président Patrice Talon et aux députés qui n'ont ménagé aucun effort pour l'aboutissement heureux du processus du vote de cette loi, Alassane Seidou a invité tout le peuple béninois en général et la jeunesse en particulier à prendre conscience du danger que représente le tabac pour leur santé et leur épanouissement.
Le thème retenu par l'Organisation Mondiale de la Santé cette année est « Cardiopathies et Tabac »
F. Aubin AHEHEHINNOU
NEW YORK- L’ancien diplomate algérien et professeur de droit, Noureddine Amir, a été élu mardi à New York, président des neuf Comités des droits de l’Homme de l’ONU.
Noureddine Amir a été élu lors d’une réunion sur le système des traités internationaux qui s’est tenue mardi à New York.
Titulaire d’un Doctorat en Droit et diplomate de carrière, le professeur Amir a exercé dans plusieurs postes diplomatiques avant d’être élu, la première fois, en 2001 en qualité d’expert au Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD).
En 2017 il a été réélu triomphalement au même Comité pour un cinquième mandat de quatre ans qui a débuté en janvier 2018.
Avec son élection mardi, M. Noureddine Amir va présider les neufs organes de traités qui surveillent la mise en £uvre des principaux traités internationaux sur les droits de l’Homme.
Ces organes de traités sont des comités d’experts indépendants qui veillent à l’application des principaux traités internationaux sur les droits de l’Homme.
Ils font partie du système des Nations Unies pour la promotion et la protection des droits de l’Homme.
Il s’agit notamment du Comité des droits de l’Homme (CCPR), du Comité pour l’élimination de la discrimination raciale (CERD), du Comité contre la torture (CAT), du Comité des disparitions forcées (CED), du Comité pour les droits de l’enfant (CRC), et du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes (CEDAW).
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La chicha est une pipe à eau de taille variée, destinée principalement à fumer du tabac ou de l’essence de fruits. Elle est aussi appelé gheylan, arguileh, chilam ou sisha. Ces différents synonymes proviennent de sources différentes, car l’origine exacte de la shisha n’est pas encore bien définie.
Sous le thème choisi par le ministère de la santé pour cette année concernant la lutte contre le tabac « La Chicha, le tabac qui détruit le cœur » notamment avec la prolifération des clubs dans les grandes villes, plusieurs spécialiste de la santé ont averti contre la consommation de ce genre de tabac qui contient des substances toxiques à l’instar du charbon outre qu’il contribue à la transmission des maladies à travers son utilisation collective. A cet effet plusieurs démarches pour interdire la « Chicha » dans les lieux publics sont en cours en Algérie.
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Les acteurs du secteur de l'agriculture ont restitué et validé au cours d'une rencontre tenue, ce mardi 29 mai, à Bohicon, les résultats de l'étude diagnostique sur les sites de recherche-développement. Ces acteurs sont constitués de cadres de l'Institut national des recherches agricoles du Bénin (INRAB), d'élus locaux et de plusieurs représentants d'associations agricoles.
Le directeur général de l'INRAB, Patrice Adégbola, a certifié le démarrage des travaux d'expérimentation menés par des équipes de chercheurs qui ont réalisé une étude diagnostique desdits sites de recherche-développement dont les résultats sont soumis aux participants à cette rencontre. La secrétaire générale du Ministère de l'agriculture et de la pêche, Françoise Assogba Komlan, lors de la rencontre a souligné que le gouvernement a entamé de profondes réformes dans le secteur de l'agriculture. Il s'agit entre autres de l'effectivité de la création des pôles de développement agricole, avec la mise en place des Agences territoriales de développement agricole (Atda).
L'Inrab a créé 23 sites de recherche-développement qui servent d'expérimentation agricole au niveau local, dans tous les pôles de développement agricole et pourvus de techniciens devant les animer. La vision nationale dans le secteur de l'agriculture à travers le Programme d'actions du gouvernement (P.A.G), est d'avoir « Un secteur agricole béninois dynamique à l'horizon 2015, compétitif, attractif, résilient aux changements climatiques et créateur de richesses, répondant de façon équitable aux besoins de sécurité alimentaire et nutritionnelle de la population et aux besoins de développement économique et social de toutes les couches », a rappelé Mme Françoise Assogba.
Les résultats de cette étude permettront aux chercheurs du système national de recherches agricoles, de générer des innovations technologiques en rapport aux besoins des utilisateurs finaux et compatibles avec leurs caractéristiques environnementales, socioculturelles et économiques.
Les experts du domaine de l'agriculture ont invité les producteurs, à travailler en collaboration avec les chercheurs au niveau des sites de recherche mis en place, pour pouvoir améliorer leur rendement et contribuer à la promotion des filières.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Les résultats du laboratoire central de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments publiés sur les causes de la mort de milliers de poissons dans le lac Toho à Athiémé ne convainquent pas M. Michel Boko. Le professeur demande une contre-expertise pour confirmer les causes.
Par un message publié sur les réseaux sociaux, le professeur Michel Boko laissé un doute sur les résultats donnés par le laboratoire centrale de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments. De ce qui ressort de ces résultats, M. Boko estime qu'il faut considérer deux cas de figures. D'abord, faisant allusion à la situation de Tchernobyl en 1986, il fait remarquer que les premiers résultats sortis montrent que le territoire français est épargné par les nuages atomiques. Un résultat contredit par des laboratoires indépendants. Ce n'est qu'après confrontation qu'on s'est rendu compte que les résultats étaient manipulés. Pour le drame du lac Toho, le professeur souhaite qu'il y ait une contre-expertise pour confirmer le motif de la mort massive des tilapias.
Le professeur Michel Boko souligne qu'une « eutrophisation voire une dystrophisation est une hypothèse probable, mais il faut aussi vérifier cette hypothèse par l'analyse de l'eau (la DBO et la DCO) avant de tirer une conclusion ».
Le professeur émérite du laboratoire de climatologie de l'école pluridisciplinaire de la Flash pense que ce drame survenu en début de la saison pluvieuse est révélateur d'un probable lessivage des pesticides et herbicides et autres insecticides utilisées dans les champs périphériques alors que le code de l'eau impose les règles en la matière.
Il souhaite que les associations de défense de l'environnement commanditent leurs propres analyses pour faire des comparaisons afin de situer les vraies causes de l'incident.
Polémique autour des causes du drame
Le chef division suivi biologique et écologique de la direction des pêches n'est pas du même avis que le professeur Michel Boko. Selon lui, on ne peut pas comparer le drame du lac Toho à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl de l'ex Urss et qui a fait des milliers de morts. Au Bénin, ce qui s'est passé est « un incident mineur », précise-t-il. Tout en reconnaissant le mérite du professeur Boko, le chef division ne partage pas son avis sur le « trucage » des résultats d'analyse de ce laboratoire de référence du ministère de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche. « Le ministère de l'agriculture n'a rien à cacher dans ce dossier », a-t-il déclaré.
Les résultats d'analyse de la LCSSA avaient mis en exergue l'exclusion d'une contamination des eaux par les pesticides ou de médicaments vétérinaires. Toutefois, le directeur du laboratoire centrale de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments n'exclut pas, au regard de la mort massive de poissons, qu'on pourrait penser à une intoxication aigue par contamination chimique venant d'une source endogène au lac.
En attendant une contre-expertise indépendante, les scientifiques se contredisent et le doute persiste toujours sur l'origine de la mort de milliers de poissons du lac Toho.
G. A.
par A. Z.
L’une des caméras de surveillance, au centre ville, a permis de dévoiler l’identité d’un voleur à la casse qui s’attaquait aux véhicules en stationnement et les dépouillait des objets qu’il pouvait emporter et vendre assez facilement, à l’image des postes-radio et plus s’il en trouve à l’intérieur de la voiture.Une enquête a été ouverte par les éléments de la 15ème Sûreté urbaine, à la suite de deux plaintes déposées, avant-hier, auprès du Commissariat par deux victimes, dont les voitures ont été ciblées par le voleur, et qui font état de la disparition des radios automobiles, téléphone portable et autres sommes d’argent.
Ainsi, en se faisant aider par les enregistrements d’une caméra de surveillance, les enquêteurs identifieront le voleur, qui sera localisé et arrêté dans un court laps de temps, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la Sûreté de wilaya.
Ajoutant que tous les objets volés de l’intérieur des véhicules ont été récupérés, soit un poste radio, un téléphone portable, une somme d’argent et saisie d’une arme blanche trouvée en possession du mis en cause.
A l’issue des procédures pénales, le présumé coupable a été présenté devant le procureur de la République, près le tribunal de Ziadia, a conclu la même source.
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Le ministre d'Etat chargé du plan et du développement, Abdoulaye Bio Tchané, a présidé ce Mardi 29 Mai 2018, la réunion de portefeuille de la Banque Mondiale au titre du 2ème trimestre de l'année 2018. A cette occasion, deux nouveaux financements ont été accordés au gouvernement béninois. Il s'agit du Projet d'investissement dans la résilience des habitants du littoral dans le cadre du Programme de gestion du littoral ouest-africain (Waca), pour un montant de 210 millions de dollars, soit environ 105 milliards FCFA et du Programme d'accès universel à l'eau potable en milieu rural ‘'Aqua-Vie'' pour un montant de 220 millions de dollars, soit environ 110 milliards de francs CFA.
Fier de ces nouveaux projets de la Banque Mondiale au Bénin, le ministre d'Etat chargé du plan et du développement a salué à juste titre, l'enrichissement du portefeuille de l'institution financière en faveur des actions de développement dans le pays. Cela marque selon M. Abdoulaye Bio Tchané, « l'intérêt que l'institution accorde à la réduction de la pauvreté et l'amélioration des services sociaux de base au Bénin ». Pour lui, les services réels aux populations ne peuvent se concrétiser que si les projets améliorent leur taux de décaissement. « Nous devons nous y atteler. Les coordonnateurs doivent faire preuve de proactivité et remonter les difficultés pour que nous puissions mieux consommer les ressources », a-t-il lancé aux coordonnateurs de projets qui ont pris de nouveaux engagements pour accélérer le processus de décaissement pour les activités.
« Nous avons pu remarquer des progrès tangibles. Mais il va falloir redoubler d'ardeur pour améliorer le taux de décaissements de sorte que l'année fiscale se termine en beauté », a signifié Katrina Sharkey, représentante résidente de la Banque Mondiale au Bénin.
Au cours de la réunion, la revue s'est appesantie sur l'état du portefeuille en cours et fait le point d'avancement des décaissements en appréciant le niveau d'avancement projet par projet.
F. Aubin AHEHEHINNOUPp
Par Zakaria Zemri.
Plus de 55% des bidonvilles de la capitale éradiqués depuis 2014, avec 44 000 familles relogées et 460 hectares de terrains récupérés.
«Alger capitale sans bidonvilles», tel est le titre du rapport publié par les services de la wilaya d’Alger. La capitale n’en est certes pas encore là, mais les progrès sont remarquables! 316 des 569 sites de bidonvilles recensés à Alger en 2007 ont été éradiqués pour le plus grand bien de la ville. 44 000 familles ont été relogées dans le cadre des 23 opérations de relogement qui ont eu lieu depuis 2014. Les 253 sites restants abritent quelque 14 468 familles. Ces destructions de logements anarchiques ont permis de libérer plus de 460 hectares de terrain, qui ont permis la réalisation de plusieurs projets structurants de la capitale.
Parmi ces projets figurent plusieurs programmes de construction de logements, l’aménagement de oued El Harrach, le barrage de Douera, pour ne citer que ceux-là. Le premier bidonville a avoir été rasé est celui de Haï Eremli, au Gué de Constantine. Ce bidonville était probablement le plus grand du pays. D’une superficie de 54 hectares, il abritait plus de 4000 familles, et ce pendant plus de 21 ans. Il a été éradiqué en 2015. Les autres bidonvilles notoires à avoir été rasés sont ceux de El Kerouch à Réghaïa, oued El Hamiz et Gué de Constantine. Plusieurs autres ont été éliminés simultanément, le 26 décembre 2017, à savoir ceux de Bouzaréah, de Ouled Fayet et de Aïn Bénian, pour un total de 2405 familles et 13 hectares. Ces opérations peuvent certes régler les problèmes d’hygiène que subissaient ces familles, mais il serait fortuit de déterminer une stratégie à même de dissuader les familles de s’installer dans des bidonvilles ou de construire des habitation précaires, ainsi que de reloger ces familles de sorte à ne pas se retrouver avec une grande concentration de misère au même endroit, et ainsi éviter des problèmes de délinquance que certains quartiers d’Alger connaissent. Un bon recensement des familles vivant dans les bidonvilles est aussi de mise, car les «baraques» se marchandent et valent leurs poids en termes de promesse de relogement.
Enfin, la protection des terrains agricoles est primordiale, et il ne sert à rien de bétonner des terres fertiles, pour reloger des familles qui ne pourront pas être nourries.
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par R.N.
Deux personnes ont trouvé la mort et 12 autres ont été grièvement blessées dans un accident de circulation survenu hier à une quinzaine de kilomètres de Mansoura (sud de Ghardaïa), a-t-on appris auprès de la Protection civile. L’accident s’est produit sur l’axe de la RN-1, lorsqu’un camion transportant des pastèques est entrée en collision frontale avec un camion de transport de travailleurs d’un chantier, causant la mort sur place de deux personnes et faisant 12 blesses souffrant de multiples traumatismes, précise la même source.Les corps des victimes décédées sur place ont été transférés vers la morgue de la polyclinique de Hassi-Lefhal, tandis que les blessés ont été évacués vers la polyclinique de Mansoura. Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances précises de cet accident.
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À l'issue de la finale du concours international d'éloquence organisée le 28 mai au Panthéon par l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en partenariat avec l'Agence universitaire de la Francophonie (AUF), trois candidats ont été récompensés dont un étudiant du Bénin.
Boris Brice Legba, étudiant en deuxième année de thèse en biochimie, microbiologie et pharmacologie à l'Université d'Abomey-Calavi au Bénin, a reçu le Prix AUF. Il a gagné un séjour culturel et académique à Paris en 2019. Le tirage au sort lui avait attribué comme sujet « La plume plutôt que le pavé » et il devait en défendre la version affirmative (face à un défenseur de la version négative).
Sur les huit finalistes du concours, deux autres candidats étaient issus d'universités africaines membres de l'AUF : Sidoine Dako, étudiant en deuxième année de licence de sciences agronomiques à l'Université d'Abomey-Calavi, et Charbaunier Itsissa, étudiant en première année de master de droit privé à l'Université Marien N'gouabi au Congo.
Tom Michel, étudiant en droit à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, a quant à lui remporté le Prix de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et le Prix du public. Enfin, Romane Brière-Rome, étudiante en science politique et en philosophie à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, a reçu le Prix du meilleur espoir.
Les candidats ont été départagés par un jury présidé par Georges Haddad, Président de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, avec Didier Bourdon, acteur, scénariste, réalisateur et producteur français, comme invité d'honneur, et composé de Jérôme Cotillon, Directeur général des services de la Mairie du Vème arrondissement de Paris, Ciprian Mihali, Directeur régional de l'AUF pour l'Europe de l'Ouest, et Lucile Collot, avocate à la Cour.
« Nous avons vraiment le sentiment que cet essai est une réussite. Nous souhaitons donc, en accord avec nos partenaires de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, étendre ce concours à toute la francophonie, à tous nos membres qui souhaiteront y participer, et ce dès l'année prochaine. Je suis certain qu'il aura beaucoup de succès, à la fois parce qu'il est la plus belle démonstration du talent des étudiants et parce qu'il permet de développer leurs soft skills. », a déclaré Jean-Paul de Gaudemar, Recteur de l'AUF, en remettant le Prix AUF.
Contexte et déroulé du concours
Après le succès de la première édition du concours d'éloquence de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, l'AUF s'est associée cette année à cette initiative pour lui donner une dimension internationale. Pour cette première édition internationale, c'est le continent africain qui était à l'honneur avec la participation initiale de 16 candidats, issus de 9 universités africaines et autant de pays.
Les premiers duels internationaux avaient ainsi opposé, le 5 mai 2018, 16 étudiants de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne à 16 étudiants issus d'universités africaines, membres de l'AUF et partenaires de Paris 1. Six candidats africains et 10 candidats de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne s'étaient alors qualifiés pour la demi-finale du concours international d'éloquence du 23 mai.
À l'issue de la demi-finale, huit candidats ont été retenus pour la dernière étape. L'ouverture internationale du concours a permis la sélection de trois étudiants issus d'universités africaines.
Les différentes étapes du concours se sont déroulées en présentiel pour les candidats de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à distance pour les candidats africains. Tous ont dû faire preuve de talent, d'audace et recourir aux techniques de l'art oratoire pour convaincre les jurés, les spectateurs et les membres des trois associations étudiantes qui ont co-organisé le concours : Lysias Paris 1, SONU et Révolte-toi. La demi-finale et la finale ont été retransmises en direct sur les réseaux sociaux.
Ce concours s'est inscrit dans le cadre du festival « Quartier du livre 2018 » organisé par la Mairie du Vème arrondissement de Paris, dont l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et l'AUF sont partenaires.
À propos de l'AUF
L'Agence universitaire de la Francophonie est une association mondiale d'universités francophones créée il y a plus de 50 ans. Elle regroupe près de 850 établissements universitaires sur les cinq continents dans plus de cent pays. Elle est également l'opérateur de la Francophonie pour l'enseignement supérieur et la recherche. Elle a pour mission de promouvoir une francophonie universitaire dynamique impliquée dans le développement économique et social des sociétés. Pour conduire ses actions, l'AUF développe des partenariats avec différentes organisations (UNESCO, UE, ONG, entreprises du secteur privé...). Pour plus d'informations : www.auf.org
Idrissa Goudiaby
Chargé de communication de l'AUF en Afrique de l'Ouest
par R.N.
Trente-cinq (35) personnes ont trouvé la mort 961 autres ont été blessées , suite 827 accidents de la circulation survenus du 20 au 26 mai, sur le territoire national indiquent mardi les services de la Protection civile dans un communiqué. La wilaya d’El Tarf déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 6 personnes alors que 18 autres ont été blessées, suite à 12 accidents de la route.Par ailleurs, les secours de la Protection civile sont intervenus pour l’évacuation 8.097 malades vers des structures sanitaires.
En outre, 796 interventions ont été effectuées pour l’extinction de 550 incendies urbains, industriels et autres, alors que 4709 opérations d’assistance aux personnes en danger et opérations diverses ont été menées durant la même période.
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Par O. Hind.
Grande déception pour ce qui est du spin -off sur Han solo, mais de belles sensations et découvertes dans l’Avengers…
Les téméraires cinéphiles ont bravé le mauvais temps lundi soir pour aller voir en avant-première algérienne le long métrage Solo: A Star Wars Story. Le film qui a fait partie récemment de la sélection officielle de la 71e édition du festival de Cannes dans la catégorie hors compétition. Il aborde la jeunesse du personnage Han Solo campé d’habitude par Harrison Ford. Jeune donc, il est interprété par Alden Ehrenreich, un contrebandier rebelle, mais gentil, qui remplit sa mission en se revêtant de l’habit, attitude et caractère assez têtu de l’ancien Han Solo de la Saga.
Dans ce second film dérivé de la franchise Star Wars (après Rogue One: A Star Wars Story sorti en 2016, Ndlr) il est accompagné par Lando Calrissian, joué par Donald Glover, Emilia Clarke qui tient le rôle de Qi’ra, la première compagne de Han Solo, mais aussi Woody Harrelson qui incarne le mentor de Han Solo du nom de Beckett. Et comme dans n’importe quelle histoire de guerre à la sauce américaine qui se respecte, il ne peut y avoir de conflit sans une histoire d’amour derrière.
En effet, Han Solo sera amené à se battre à la fois pour gagner de l’argent, mais aussi faire des affaires avec l’homme qui a pris celle qu’il aime, dans l’espoir de la reconquérir. En gros, l’amour et ses racines, la confiance ou la traîtrise, sont le nerf de la guerre, le moteur du cinéma hollywoodien.
C’est bien lui qui tire les ficelles ou qui abat les cartes de la machine du mal. Fait nouveau, nous apprenons que c’est Han Solo qui avait délivré Shoubaka d’une prison dans laquelle il était jeté et c’est ainsi qu’ils sont devenus des amis inséparables. Avec des courses-poursuites, dans un train ou des plans à la sauce Clint Eastwoodienne, Solo: A Star Wars Story se révèle être du type space western.
Un genre qui colle bien à la peau de Han Solo grâce à sa dégaine légendaire de dur à cuir, tombeur de dames. La première partie de la réalisation de Ron Howard, ne convainc, pas pis encore, elle endort le spectateur bien qu’elle nous introduise les personnages, mais de façon à se détacher entièrement de l’esprit, la philosophie et les valeurs mêmes qui ont fait l’âme de Stars Wars, à savoir combattre pour la dignité d’un peuple contre l’empire des ténèbres. Certains plans tablent sur la nostalgie de l’ancienne Saga sans grande ferveur et quelques personnages intéressants sont vite expédiés à la casse pour disparaître de l’écran alors qu’ils auraient mérité d’être encore là du moins pour nourrir les à-côté de l’intrigue. Mais on préfère vite s’attarder sur les principaux personnages qui vont devoir se lancer dans une aventure risquée dont le seul objectif est le vol d’un précieux matériel pour le fournir au grand entrepreneur véreux qui lui-même obéit à une puissance dont on devine déjà les ambitions et le secret.
En arrière-plan donc, ce film exalte les odeurs de l’argent et du carburant, même l’espace est réduit à une technologie sans le grand côté spectaculaire. Bien évidemment, nous ne sommes pas encore arrivés à l’époque de la Saga de Star Wars, mais tout de même, le poids de la science-fiction et, son pendant extravagant moderniste est bien présent à fortes doses d’effets spéciaux et de petites bestioles et monstres à coups de renfort divertissant.
Pour autant, c’est seulement à la 2e partie, voire 3e que le film dénoue enfin ses intentions et retrouve un semblant d’élan glorieux, celui qui unit tout les amoureux de Star Wars, à savoir le sacrifice et l’abnégation au service d’une cause humaniste, pour contrer le mal suprême qui ne rêve que de régner de son plein pouvoir sur le monde et réduire en poussière celui qui osera lui tenir tête…Aussi, entre amusement et sentiment d’héroïsme latent, Solo: A Star Wars Story se résume à une montée de plusieurs velléités de briller en vue d’atteindre la superbe de cette Saga, mais sans grand enjeu dramatique. Avec seulement des prétentions suggérées, le film n’atteint pas la valeur d’un Roge one. Loin s’en faut. On reste souvent sur notre faim. L’émotion est diluée dans la beauté des paysages et quelques gros plans et échanges de regards qui certes, émoustillent un peu les sens, nous pensons à ce chaleureux baiser échangé entre les deux tourtereaux maudits, mais ceci est loin de rehausser le niveau de ce film qui pèche par quelques séquences limites absurdes et des personnages dénués d’âme.. ou presque…Peine perdue, la vigueur scénaristique y compris au niveau des dialogues, nous allons la retrouver dans la première partie de la soirée au Théâtre de verdure, soirée qui fut marquée par la projection du film Avengers: Infinity War. Un film de supers héros basé sur les histoires des comics de Marvel.
Alors que les Avengers et leurs alliés ont continué de protéger le monde face à des menaces bien trop grandes pour être combattues par un héros seul, un nouveau danger est venu de l’espace: Thanos. Despote craint dans tout l’univers, Thanos a pour objectif de recueillir les six Pierres d’Infinité, des artefacts parmi les plus puissants de l’univers, et de les utiliser afin d’imposer sa volonté sur toute la réalité. Tous les combats que les Avengers ont menés culminent dans cette bataille. Ceci est le synopsis de ce film. Des combats sans faille, des sensations fortes, des émotions en veux-tu en voilà, de la haine en passant par la colère, la tristesse, mais aussi une bonne dose d’humour, des effets spéciaux à vous couper le souffle, ajouté, à cela quelques personnages attachants, malgré leur foisonnement, l’on ne s’ennuie pourtant pas une seconde.
Le film fait incursion dans le Wakanda for ever de Black Panther. Les fans du genre apprécieront. La fin des plus tragiques est poignante et rend humain le plus monstrueux d’entre nous, ce qui a le mérite de méditer sur notre triste sort et l’avenir de notre existence sur cette planète. A 600 DA la soirée, les Nuits du Cinéma vous invitent ainsi tout au long du Ramadhan à suivre des moments palpitants hautement cinématographiques. Pour info, vous pouvez voir (pour les absents) ou revoir les deux films cités plus haut, à savoir Solo: A Star Wars Story encore vendredi 1er juin à minuit et le 8 juin à 22h, tandis que Avengers sera projeté à nouveau samedi 2 juin à minuit et le 06 juin à 22h.
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