Le syndicaliste rebelle » est le thème d’une manifestation, lancée samedi, au musée du Moudjahid de Tissemsilt, à l’occasion du 59ème anniversaire de la mort du fondateur de l’UGTA, Aïsat Idir.
Initiée par le musée, cette manifestation porte sur la mise sur pied d’une exposition mettant en exergue, à travers des photos, des ouvrages, des publications, des affiches et autres documents, l’itinéraire militant du chahid Aïssat Idir, lors du Mouvement nationaliste et durant la Guerre de libération nationale. Cette manifestation de deux jours prévoit la projection d’un documentaire sur l’histoire de l’UGTA, fondé par le chahid, et la distribution de dépliants et publications sur la biographie du martyr.
Le musée de wilaya du Moudjahid a initié une campagne d’information sur le chahid par le biais de son portail électronique et sa page officielle sur les réseaux sociaux, a indiqué son directeur, Mohamed Adjed.
Lechahid Aïssat Idir est né en 1919 à Djemaa N’Saharidj, dans la wilaya de Tizi Ouzou. Après des études primaires et secondaires, il part en Tunisie pour poursuivre ses études en économie. En 1949, il devient responsable des affaires syndicales du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MTLD). Il fonda en 1956, le premier syndicat algérien, l’UGTA, sous l’égide du FLN. Arrêté le 23 mai 1956 pour ses activités syndicales et son militantisme, il fut transféré vers le sinistre centre de Birtraria (Alger) où il subira des tortures inhumaines de la part de l’armée coloniale française. Il rendra l’âme, le 26 juillet 1956, des suites de ces sévices.
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Plus de huit millions de Maliens sont attendus dimanche aux urnes pour élire leur nouveau président parmi 24 candidats en lice, dont le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, le chef de l’opposition Soumaïla Cissé et une femme Djeneba N’Diaye.
La campagne électorale, qui a pris fin vendredi, s’est déroulée dans un contexte de forte concurrence entre les différents candidats qui avaient multiplié durant trois semaines les initiatives et les actions de proximité afin de convaincre les Maliens d’adhérer à leurs projets de société et de se rendre massivement aux bureaux de vote le jour du scrutin. Les 24 candidats en lice pour le scrutin du 29 juillet avaient mobilisé tous les moyens d’information et de communication, notamment les médias et les réseaux sociaux, pour présenter aux populations leurs programmes électoraux, ont rapporté des titres de la presse malienne.
Le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Amadou BAH, a souligné que le fichier électoral est fiable pour servir de base à l’organisation des élections de 2018. Ce fichier comportait, a-t-il mentionné, 8.000.462 électeurspour 23 041 bureaux de vote, tout en assurant que « le Mali a créé les conditions pour des élections apaisées et il est de la responsabilité de chaque acteur de faire en sorte que cet objectif soit atteint« .
La Commission électorale compte au sein de ses structures déployées à travers le pays 4.788 membres permanents en plus du personnel d’appui et des agents de sécurité, a-t-il fait savoir. Les premiers résultats sont attendus dans les 48 heures, les résultats officiels provisoires le 3 août au plus tard, avant un éventuel second tour le 12 août. Sur le plan organisationnel, les autorités maliennes ont annoncé avoir pris toutes les mesures nécessaires pour le bon déroulement de ce scrutin. Le Premier ministre malien, Soumeylou Boubèye Maïga, a assuré que le gouvernement veille scrupuleusement pour la transparence du processus électoral et la mise en place des moyens nécessaires.
Lire aussi : Présidentielle au Mali: la campagne électorale s’acheve vendredi, forte concurrence entre les candidats
Pour permettre la tenue du scrutin sur la plus grande partie du territoire du pays, d’Afrique de l’Ouest, plus de 30.000 membres des forces de sécurité, nationales et étrangères, sont mobilisés, selon le ministère de la Sécurité intérieure. En termes de sécurité, « aujourd’hui, on peut dire que les conditions minimales sont probablement réunies« , a déclaré le chef de la Mission de l’ONU (Minusma), Mahamat Saleh Annadif, à la radio des Nations unies au Mali, Mikado FM, tout en appelant à rester « vigilant« . Dans le Nord, les groupes politico-militaires signataires de l’accord de paix et de réconciliation au Mali participeront également à la sécurisation du vote.
Parmi les principaux prétendants figurent également l’ancien chef de gouvernement de transition, Cheick Modibo Diarra (avril-décembre 2012), astrophysicien de métier, et l’homme d’affaires Aliou Boubacar Diallo. Le taux de participation est traditionnellement bas, inférieur à 50%, au premier tour de l’élection présidentielle dans le pays. Le gouverneur de Mopti (centre), le général Sidi Alassane Touré, s’est dit « très optimiste » sur la participation dans cette région, au regard des plus de 77% de retrait des cartes d’électeurs qu’elle affiche.
La veille du scrutin présidentiel, le président Keïta, souvent désigné par ses initiales, IBK, a assuré « faire avancer le bateau Mali« , dans des circonstances particulièrement difficiles.
« Aujourd’hui, il n’y a plus de belligérance au Mali. »
« Il y a des poches de violence, des résidus de terrorisme, car ni Serval ni Barkhane n’ont pu bouter dehors l’ensemble des terroristes. »
Élu président le 11 août 2013, 77,6% des voix au second tour, Ibrahim Boubacar Keïta s’est dit en outre engagé dans la course à la magistrature suprême pour obtenir un deuxième mandat qui va lui permettre de finaliser ce qu’il avait déjà commencé. « Ce qui est le plus important pour moi, c’est l’Accord pour la paix et la réconciliation nationale et sa mise en œuvre, le développement. Quand vous voyez la route à quatre voies, c’est ça le développement. C’est que je souhaite partout au Mali« , a-t-il soutenu, tandis que le chef de l’opposition a choisi pour slogan « Ensemble restaurons l’espoir« .
Le Premier ministre malien a annoncé l’ouverture de l’observation de toutes les phases de l’élection, y compris à la centralisation, à la participation de toutes les organisations internationales, dont l’Union africaine, l’Union européenne, la Minusma (mission onusienne), la CEDEAO et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). « Leurs observateurs pourront assister en même temps que les représentants des candidats à la centralisation des résultats« , a-t-il précisé. S’agissant de la supervision de cette élection, l’Union africaine a annoncé avoir sollicité Thomas Yayi Boni, ancien président du Bénin ayant une longue expérience dans le domaine.
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Le projet d’extension de l’Aéroport international Houari Boumediene d’Alger, devant être livré au plus tard début 2019, a coûté plus de 80 milliards de DA, a indiqué, samedi à Alger, le ministre des Travaux publics et des transports, Abdelghani Zaalane.
Dans une déclaration à la presse au terme d’une visite d’inspection aux différents ateliers du projet, notamment le bâtiment central, la ligne du métro, la tour du contrôle et la piste atterrissage, le ministre a indiqué que le taux de réalisation global est de 88%, tandis que le taux d’avancement des travaux au niveau du bâtiment central s’élevait à 99%. Le ministre a fait état, à ce propos, du lancement des opérations d’essai des systèmes à l’intérieur du bâtiment central, à l’image du système de surveillance et d’éclairage, les ascenseurs et les carrousels de récupération des bagages.
Dans le même cadre, le ministre a affirmé que cette étape nécessite une coordination étroite entre les différentes entreprises nationales et étrangères concernées par la réalisation. Ces entreprises s’emploient à la réalisation d’une station de métro et d’une station de train, d’un hôtel quatre étoileslimitrophe, la réhabilitation de sa piste d’atterrissage et la construction d’une nouvelle tour de contrôle. La cadence de réalisation de la nouvelle aérogare est en avance d’un mois par rapport aux délais fixés, a fait savoir le ministre, relevant que l’Enterprise de gestion de l’aéroport d’Alger avait entamé la formation des agents et des techniciens chargés de la gestion de cette nouvelle structure.
La réalisation d’un deuxième aéroport d’une capacité de plus de 10.000.000 de voyageurs/an en plus de l’actuel aéroport international (6 millions de voyageurs/an) a pour objectif accéder au marché du transit qui constitue actuellement un marché important en matière de transport aérien. La construction de cette nouvelle aérogare coïncide avec l’opération de renouvellement de la flotte d’Air Algérie. Pas moins de 25 nouveaux avions devraient être acquis entre 2019 et 2024, en application du programme du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika.
Le nouvel aéroport, qui s’étendra sur une superficie de 20 ha, sera équipé d’un parking véhicules de 4.500 places, de trois parkings pour avions, de voies de circulation d’une superficie de plus de 424.000 m2 outre 120 banques d’enregistrement et 84 guichets de contrôle. Cette nouvelle aérogare, dont les travaux de réalisation ont été confiés à la société chinoise CSCEC, assurera un trafic de 10 millions de passagers/an et gérera 1.800 bagages/heure.
L’entreprise publique Cosider avait entamé, l’an dernier, des travaux d’extension du métro d’Alger reliant El Harrach à l’aéroport international sur une distance de 9,5 km avec 9 stations et 10 puits de ventilation. Ce projet devrait être réceptionné fin 2019 ou début 2020. Le réseau sera également doté d’une nouvelle ligne ferroviaire reliant l’aéroport à Bab Ezzouar sur un tronçon de 3 km (dont 1,4 km en tunnel) avec un coût de 9 milliards de DA.
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La reprise des évaluations, test de compétence des instituteurs est boycottée par certains enseignants du primaire. Une attitude qui révèle leur manque de courage à révéler leur niveau de médiocrité au public.
La baisse de niveau des élèves aujourd'hui est décriée sur tous les toits. Le faible ou l'insuffisance de niveau des enseignants surtout à la base constitue prioritairement la cause soupçonnée de ce dysfonctionnement. C'est donc pour combler le déficit intellectuel de ces enseignants de la maternelle et du primaire que le gouvernement a décidé d'évaluer le niveau de ceux-ci en vue de combler le manque par des formations ciblées. Malheureusement, les enseignants du primaire boycottent la deuxième évaluation organisée à leur intention pour la cause. La volonté du gouvernement étant de mettre en place au titre de la formation continue des enseignants, des programmes de renforcement de capacités pertinentes répondant à leurs besoins. Pour ce faire, il fallait trouver le juste milieu pour jauger la compétence des uns et des autres. C'est dans cet objectif que le gouvernement a entrepris de réaliser un diagnostic de leurs capacités pédagogiques. L'enjeu de cette évaluation et pour l'avenir de l'école béninoise impose à ce que les enseignants reprennent l'évaluation de nouveau. Ce qui permettra d'assurer la participation de tous, dans des conditions d'organisation et de crédibilité requises.
La décision de boycott prise par certains enseignants du primaire montre leur mauvaise foi et témoigne de leur incompétence sur le terrain.
Il faut dire que le gouvernement avait l'ambition au départ de sortir de l'école, les enseignants politiquement recrutés sans aucun niveau pédagogique, ni intellectuel. Certains sont mêmes détenteurs de faux diplômes ou ne remplissent pas les conditions pour l'exercice du métier d'enseignant. Aujourd'hui, les faits donnent raison au gouvernement, au regard de la volonté délibérée de certains à bloquer le processus.
Selon les informations issues de la dernière évaluation émaillée d'irrégularités, il s'est avéré des cas de tricherie dans le rang de ces éducateurs recrutés pour accompagner les enfants dans la bonne conduite et leur offrir l'opportunité de développer leurs aptitudes.
Les comportements antisociaux développés par ces enseignants montrent la perte des valeurs dans le secteur éducatif béninois.
Les mesures prises cette fois-ci par les autorités pour mieux suivre les examens font aussi peur à certains qui ne peuvent rien donner que de jeter quelques coups d'œil sur les copies de leurs collègues. Ce qui est déplorable pour l'avenir des apprenants.
Le boycott des évaluations par les enseignants du primaire permet au gouvernement de revenir sur sa décision. Celle de sortir de la fonction, les enseignants politiques recrutés et ceux sans un niveau intellectuel moyen. Aujourd'hui, il est clair que la baisse de niveau des écoliers et élèves est imputée à l'incompétence de ces instituteurs qui ont intégré la profession ''par accident''.
Giscard AMOUSSOU
Hamza Megherzi, cousin des enfants du général à la retraite٫Les Nezzar sont poursuivis pour un peu plus de 8 millions de dollars pour services et matériels fournis mais non payés.
Alors que l’Etat de New York vient de fixer au 17 juin 2019 la date du début du procès opposant le fournisseur d’accès internet SLC, propriété de la famille Nezzar, à l’entreprise américaine Wizara LLC .
Ils s’attaquent à l’authenticité des documents versés par Wizara et affirment que les signatures du PDG de SLC, Lotfi Nezzar, qui y sont apposées sont des faux.
Le procès devait se tenir un peu plus tôt en 2019 mais les avocats des deux parties se sont entendus pour demander au tribunal des délais leur permettant de finir la divulgation des pièces à conviction entre elles – une obligation légale aux Etats-Unis٫
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Les populations de la ville de Calavi bénéficient désormais du projet « Bénin Taxi ». La cérémonie officielle de lancement, présidée par M. Rufino d'ALMEIDA, Directeur de cabinet du Ministre du Plan et du développement s'est déroulée vendredi 27 juillet 2018, à la Mairie d'Abomey-Calavi en présence du Préfet de l'Atlantique, du maire de la ville, les autorités locales, royales et religieuses, ainsi que des populations massivement mobilisées.
Lancé en 2017 à Cotonou, le projet « Bénin Taxi » s'étend progressivement dans les villes du Bénin.
« Ce projet est une preuve palpable de la traduction dans le concret des décisions du Gouvernement TALON dans son ambition de moderniser notre pays. » a fait savoir le maire Géorge Bada de la ville d'Abomey-calavi. Pour lui, la ville d'Abomey-Calavi, regorge de sérieux atouts économiques et touristiques qui laissent présager que Bénin Taxis connaîtra un succès.
Le projet « Bénin Taxi » est d'abord une initiative à caractère social qui offre de l'emploi béninois sélectionés et formés pour servir dans le secteur du transport. L'élargissement de la flotte « Bénin Taxi » à la commune d'Abomey-calavi permet à plusieurs jeunes de sortir de la précarité.
Le Directeur Général du Centre de Partenariat et d'Expertise pour le Développement Durable (CePED), Assan Séibou, coordonnateur de « Bénin Taxi » a exliqué que la taille, la qualité de la population et les atouts touristiques ont convaincus, dès le départ, à couvrir la ville de d'Abomey-Calavi. « C'est d'ailleurs la raison pour laquelle après Cotonou, Abomey-Calavi reçoit la plus grande partie de la flotte de Bénin-Taxis », a-t-il soutenu.
« Après une année d'existence, je peux vous certifier qu'en plus du service de qualité qu'il a apporté, l'impact social recherché également par le Président Patrice TALON, est un point sur lequel Bénin-Taxis a eu un succès indéniable ; car autour de ce projet, plus de mille (1 000) emplois directs et indirects sont créés avec l'effet sur les familles que vous devinez bien », s'est-il réjoui.
Convaincu que les travaux de construction qui s'accélèrent dans Abomey-Calavi, et la modernisation annoncée des rues de cette vaste ville, constituent des paramètres qui fondent la nécessité d'avoir un service taxi, pour faire face à l'inévitable besoin qui va s'exprimer, M. Séibou estime qu'il faut ce type de transport pour Abomey-Calavi d'aujourd'hui et de demain.
soulignons qu'il est prévu de mettre à Abomey-Calavi 60 voitures pour la première phase, pour tenir compte du challenge de rentabilité pour les artisans qui sont des opérateurs économiques astreints à un versement journalier, dans cette activité dont ils doivent en vivre.
Le Préfet de l'Atlantique, Jean-Claude Codjia a rassuré les autorités quant à son soutien et celui de ses collaborateurs « Je tiens à rassurer le Gouvernement, le CePED et les artisans de Bénin Taxis ma disponibilité, de celle de mes collaborateurs ainsi que de toute la conférence administrative départementale de l'Atlantique, à apporter le soutien requis pour faire du projet Bénin Taxis un succès »
Le Directeur du Cabinet du Ministre d'Etat Chargé du Plan et du Développement M. Ruffino d'Almeida qui a présidé la cérémonie, a exhorté les populations d'Abomey-Calavi à prendre les véhicules de la flotte « Bénin taxi ».
Pour lui, ce projet que le ministre d'Etat abdoulaye Bio Tchané conduit sans relache avec abnégation et professionnalisme depuis un an, rencontre un succès indéniable. « C'est ce qui nous a amené à accélérer le déployement dans tout le Bénin », a-t-il expliqué. Il a ajouté qu'après Cotonou, Abomey-calavi a la flotte la plus dense suivi de la capitale Porto-Novo. Il a rassuré que le projet « Bénin taxi » ne vient se substituer au projet de taxi privé notamment « Zémidjan ».
« (...) Le projet « Bénin taxi » vient susciter l'offre en offrant la qualité et la norme souhaité pour cette activité. Le projet « Bénin taxi » est un projet complémentaire », a-t-il prévenu.
Marcel HOUETO
La canicule persistera sur le Sahara central, les Oasis et le Sahara oriental jusqu’à dimanche, avec des températures qui atteindront ou dépasseront localement les 48 degrés Celsius, indique samedi l’Office national de météorologie (ONM) dans un bulletin météo spécial (BMS).
« La vague de chaleur continuera d’affecter le Sahara central, les Oasis ainsi que le Sahara oriental avec des températures maximales atteignant ou dépassant localement 48 c sur les wilayas d’Adrar, le nord de Tamanrasset, le sud de Ouargla et le nord d’Illizi« , précise le bulletin, dont la validité court jusqu’à dimanche à 18h00 ».
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De nouvelles preuves démontrent que les interventions précoces dans les pays appelés à être frappés par des catastrophes naturelles permettent d’empêcher les crises de se transformer en urgences humanitaires ou encore d’atténuer leurs impacts, a indiqué l’Organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) dans un nouveau rapport publié sur son site web.
Intitulé « Agir vite pour empêcher les crises de se transformer en urgences humanitaires », le rapport cite à titre illustratif, le Kenya, la Somalie et l’Ethiopie où les actions précoces ont permis de réduire les impacts de la sécheresse en 2017.
La FAO est intervenue plus tôt dans l’année 2017, lors de l’absence de pluie, en s’organisant rapidement pour apporter son aide à des milliers d’éleveurs qui comptaient parmi les plus menacés. »
Ces interventions précoces se sont focalisées sur la distribution d’urgence de nourriture pour les animaux reproducteurs clés, la fourniture de services vétérinaires pour garder les animaux sains et en bonne santé, la réhabilitation des points d’eaux et l’installation de réservoirs d’eau et l’organisation de formations sur les meilleures pratiques liées au bétail et à la gestion des marchés de bétail par des membres du gouvernement », détail le rapport.
Au Kenya, en moyenne, chaque famille d’éleveur a réussi à sauver deux animaux de plus en comparaison à ceux qui n’avaient pas reçu d’aide.
Chaque enfant âgé de moins de cinq ans participant au programme a bu près de la moitié d’un litre de lait en plus chaque jour, ce qui représente un quart des calories journalières nécessaires pour un enfant âgé de cinq ans et 65 % de ses besoins quotidiens en protéines.
Lors du pic de la sécheresse, les éleveurs aidés par la FAO, n’ont pas seulement réussi à survivre, ils ont également pu produire trois fois plus de lait que d’habitude. Les familles qui ont bénéficié de l’aide de la FAO ont signalé que leurs animaux étaient en bien meilleure santé et condition.
Pour chaque dollar de la FAO dépensé dans des interventions pour chaque famille, la famille a pu gagner 3,5 dollars. Sans les frais d’aide alimentaire et de réapprovisionnement, qui ont donc pu être évités, le retour sur investissement s’élève à 9 dollars par famille.
Les éleveurs kenyans qui n’ont par contre pas bénéficié d’une aide précoce ont dû vendre deux fois plus d’animaux alors que les prix ont chuté, passant de 80 à 30 dollars. Ils ont également dû sacrifier près de trois fois plus d’animaux pour pouvoir les manger mais aussi pour pouvoir réduire le fardeau associé à leur alimentation.
En Somalie, traiter une chèvre coûte 0,4 dollars tandis qu’en acheter une nouvelle coûterait 40 dollars. En traitant plus d’un million d’animaux appartenant à près de 180 000 personnes vivant dans les régions les plus touchées du Somaliland et du Puntland, les interventions de la FAO ont aidé les éleveurs à économiser plus de 40 millions de dollars et le lait produit était suffisant pour nourrir 80 000 femmes et enfants.
Ces activités ont également aidé à lancer un programme de prévention de grande ampleur contre la famine. D’un point de vue général, la FAO est venue en aide à plus de 7 millions de somaliens.
En Ethiopie, pour chaque dollar dépensé par la FAO pour protéger 100 000 animaux appartenant à près de 60 000 personnes dans les zones les plus touchées de la région Somali, chaque famille d’éleveur a gagné 7 dollars supplémentaires.
En somme, l’institution onusienne a aidé les éleveurs vivant dans la Corne de l’Afrique à protéger leurs troupeaux reproducteurs, qui leur ont permis de « garder leurs enfants en bonne santé » et de « payer leurs frais scolaires », soit un investissement important pour leur avenir.
Grâce à ces interventions préventives, en prévision des catastrophes naturelles, la FAO assure que « les éleveurs sont maintenant en mesure de mieux protéger leur avenir car perdre leurs animaux reviendrait à perdre leurs moyens d’existence, cela engendrerait une cercle dangereux de pauvreté et une dépendance à l’aide d’urgence, par ailleurs beaucoup plus coûteuse », soulignant que les investissement dans des interventions précoces est essentiel face à la multiplication des catastrophes naturelles.
D’autant que « dans la Corne de l’Afrique, le temps est devenu de plus en plus imprévisible. Les sécheresses se suivent, privant les communautés pauvres de leurs biens et les rendant encore plus vulnérables », préviennent encore les auteurs du rapport en ajoutant qu’au niveau mondiale « les catastrophes naturelles surviennent presque cinq fois plus qu’il y a quarante ans ».
Soulignant l’intérêt de investissement dans des interventions précoces, le Directeur de la Division urgences et réhabilitation de la FAO et du Programme stratégique sur la résilience, Dominique Burgeon a déclaré: « Protéger les moyens d’existence avant les catastrophes implique une meilleure autonomie et une meilleure résilience face aux futurs chocs et moins de pression sur des ressources humanitaires ».
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Le coup d’envoi du concours d’admission à l’École des cadets de la Nation « Zemit Hamoud » à Blida, au titre de l’année scolaire 2018-2019, a été donné samedi pour les cycles moyen et secondaire et se poursuivra jusqu’au 5 août.
S’exprimant en cette occasion, la responsable de la cellule de communication, d’information et d’orientation à l’École des cadets de la Nation de Blida, le commandant Lila Hassane a indiqué que l’École de Blida a entamé, à l’image du reste des écoles des cadets de la Nation relevant de l’Armée nationale populaire (ANP), samedi, l’accueil des élèves ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 8.80/10 dans l’examen de fin de cycle primaire.
Elle a ajouté que le nombre de candidats admis pour passer le concours pour le cycle moyen s’est élevé, pour la région centre, à 595 candidats, relevant que les candidats retenus seront orientés vers l’une des sept écoles nationales du cycle moyen. Après avoir effectué un examen médical entre les 28 et 29 juillet, les candidats admis passeront un test d’aptitude physique. L’examen écrit en mathématiques, langue arabe et langue française aura lieu le 30 juillet. La seconde étape, ajoute le lieutenant Hassane, se déroulera entre le 31 et le 1er août pour les candidats ayant obtenu une moyenne égale ou plus de 16.40/20 au BEM.
Lescandidats admis passeront l’examen écrit en mathématiques, sciences physiques et technologiques et la langue arabe le 2 août. La troisième étape qui concerne les cadettes se déroulera le 4 août. Une fois admises, elle passeront l’examen écrit le 5 août. Dans ce cadre, la même responsable a révélé que le nombre de candidats au concours d’accès à l’École des cadets de la nation de Blida, cycle secondaire, s’élève à 301 garçons et 380 filles faisant état de 333 places pédagogiquesdisponibles dont 100 consacrées aux filles. Les résultats des épreuves écrites des deux cycles seront annoncés après la correction et le classement.
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Près de 75% des nouveaux bacheliers ont procédé aux préinscriptions universitaires depuis le lancement de la plate-forme électronique jeudi dernier et qui se poursuivront jusqu’à samedi 00h.
Les préinscriptions des nouveaux bacheliers se poursuivront jusqu’à samedi à 00h selon les délais fixés, a déclaré à l’APS une source du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, précisant que « 205.908 nouveaux bacheliers sur un total de 276 391 se sont inscrits sur la plate-forme nationale, soit un taux de 74,50%« . Le nombre global des nouveaux bacheliers ayant accédé à la plate-forme nationale s’élève à « 257.973 étudiants, soit un taux de 93,34% ». Ce nombre inclut les bacheliers inscrits et non inscrits.
Les étudiants qui ne se sont pas inscrits peuvent le faire avant la fermeture de la plate-forme, a indiqué la même source, ajoutant que « dans le cas où le délai est dépassé, les nouveaux bacheliers peuvent s’inscrire, dimanche et lundi, délai prévu pour l’opération de validation qui suit les préinscriptions« . Pour ce qui est du choix des filières, une deuxième chance est accordée aux étudiants n’ayant pas fait leur choix, et ce avant le lancement de l’opération d’orientation.
Plus de 65.000 étudiants ont accédé la plateforme consacrée à cette opération, et ce, depuis son ouverture, à travers tout le pays, tandis que plus de 3.500 étudiants s’y étaient inscrits. Les préinscriptions seront validées entre le 29 et 30 juillet, permettant également aux nouveaux bacheliers de modifier leur précédente fiche de vœux pour être réorientés conformément à la seconde fiche de vœux. Les résultats des affectations seront annoncés en ligne le 7 août soir après le traitement des choix dans la période du 31 juillet au 07 août.
La deuxième étape des préinscriptions, de réorientations, de concours et d’entretiens pour les domaines concernés aura lieu entre le 08 et 12 août. À ce propos, les étudiants ayant été orientés vers le domaine science et technologie (ST) doivent déposer un certificat médical au niveau de l’établissement d’accueil et passer un entretien. Il s’agit des écoles supérieures d’enseignement, instituts de sciences et technologies appliquées, quelques cycles licence et licence en imamat (prédication).
Les cas d’échec aux concours et entretiens ainsi que les demandes de réorientation seront traités entre les 13 et 16 août. Les résultats de l’orientationseront connus le 16 août. La plateforme consacrée à l’hébergement sera ouverte du 08 au 15 août, tandis que les inscriptions définitives et le dépôt des dossiers des œuvres universitaires auront lieu entre les 02 et 06 septembre. La phase de traitement des cas exceptionnels, par les établissements de l’enseignement supérieur, et de réouverture des plateformes consacrées à l’hébergement, la bourse et le transport est programmée entre le 02 et le 16 septembre, dernier délai des inscriptions définitives au titre de l’année universitaire 2018-2019.
Pour rappel, le dernier délai des inscriptions définitives a été fixé au 16 septembre 2018.
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Au total 7.681 poches de sang ont été collectées au cours du premier semestre de l’année 2018 dans la wilaya de Skikda au niveau du Centre de sang de wilaya, a indiqué samedi, à l’APS du chef de service auprès de la direction locale de la santé et de la population, chargé de la gestion du sang.
Nabil Dardeche a précisé que la quantité collectéepar les structures de santé habilitées ou les camions de collecte de sang est « presque similaire » à celle collectée durant la même période de l’année 2017estimée à 7.590 poches, expliquant cette « stabilité » par le programme d’action du centre de sang de wilaya qui table sur la collecte de 1.200 poches de sang par mois et œuvre à concrétiser son objectif à travers des « larges » campagne de sensibilisation.
Il a déclaré que ces quantités collectées sont« suffisantes » pour alimenter les structures de santé de Skikda et répondent aux besoins en cette matière précieuse. M. Dardeche rappelant que pas moins de 15.289 poches de sang ont été collectées en 2017grâce notamment aux équipes mobiles, a relevé qu’aux premiers six mois de l’année en cours, ces équipes mobiles de collecte de sang ont effectué 42 sorties à travers les grandes cités de Skikda.
Évoquant la dotation de la banque du sang locale de groupes sanguins rares, il a précisé que le centre de sang de wilaya dispose de « donneurs permanents porteurs de rhésus rares » et œuvre à constituer un stock de ce sang révélant qu’en cas de besoin, « le centre fait appel à ces donneurs qui ont toujours répondu présents« . Le même responsable a attesté que les collectivités locales, la sûreté nationale et la protection civile, aux côtés des bénévoles de toutes les communes de la wilaya et des fidèles constituent « le réservoir » du centre de sang de wilaya.
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La barque de l'Alliance pour la Démocratie et l'esprit Citoyen ( ADEC) de l'honorable Eustache Akpovi vient d'accoster au large de la coalition Bénin en Route. C'est à travers une messe politique, ce samedi 28 juillet 2018, dans la 9ème circonscription électorale. Tout se passe à l'espace plein air à Savalou.
Le bateau est arrivé à bon port. C'est ce qu'on peut dire du choix fait par Eustache Akpovi ce samedi devant les populations de la 9ème circonscription électorale.
Le combat de la jeunesse pour le chef de l'État est donc acquis. La coalition portant la voix de la jeunesse se montre de plus en plus convaincante. Présente dans toutes les 24 circonscriptions électorales du pays, elle reçoit des adhésions de taille. Des jeunes courageux capables d'être le porte flambeau de leur pairs. Tel un envoyé, Eutache Akpovi vient de poser ses pieds dans ce cercle " taloniste".
Le maire de Ouèssè Ibidon Firmin Akpo a dit toute son admiration pour ce pas que vient de poser Eustache Akpovi. Il s'agit d' ''un jeune dynamique soucieux du développement de sa localité '', a-t-il reconnu. Ce qui l'amène à dire que Eustache Akpovi a fait le choix de la jeunesse. Une jeunesse dynamique et consciente de son avenir et celui du pays ayant à sa tête le Président Patrice Talon.
Le maire de la commune de Glazoué, Jacques Dagoué, n'a pas manqué de faire un témoignage sur ce que représente son jeune frère dans la commune. Il a dévoilé que c'est par le biais de Eustache Akpovi que l'étendard du candidat Patrice Talon fut porté à Savalou en 2016. Ce choix de Eustache Akpovi entre dans la logique des choses depuis 2016, a-t-il ajouté. Il faut donc le soutenir dans son combat, dira-t-il.
Venu aussi manifester sa joie au choix de M. Akpovi, le maire de la commune de Dassa, Nicaise Fagnon affirme : '' Je suis ici pour partager la joie de mon frère Akpovi aux côtés du Président de la Coalition Bénin En Route Jean-Baptiste Hounguè".
Un acte qui révèle la portée de ce mouvement. Acquis pour la cause du la Rupture, le maire de Dassa n'a pas manqué de saluer ce que fait cette coalition pour vulgariser les œuvres nobles de Patrice Talon.
Selon Nicaise Gagnon, "on entend parler des blocs mais en réalité, nos problèmes sont connus et nous n'avons pas besoin de perdre de chemin ''.
Une déclaration qui interpelle la jeunesse.
Giscard AMOUSSOU
La vague de chaleur continuera d’affecter le Sahara central, le Sud-Ouest et les Oasis jusqu’à samedi à 18h, avec des températures qui atteindront ou dépasseront localement les 48 degrés Celsius, indique vendredi l’Office national de météorologie (ONM) dans un Bulletin météo spécial (BMS).
« La vague de chaleur continuera d’affecter le Sahara central, le Sud-Ouest et les Oasis avec des températures maximales atteignant ou dépassant localement 48 c sur les wilayas d’Adrar, le nord de Tamanrasset, Ouargla et le nord d’Illizi », précise de l’ONM, ajoutant que la validité du BMS est « en cours jusqu’au samedi 28 juillet 2018 à 18h00 ».
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La colonie de manchots royaux située sur l’île aux Cochons dans l’archipel subantarctique de Crozet, considérée comme la plus grande au monde, a fondu de près de 90% en 35 ans, estiment des chercheurs, s’appuyant sur des images prises par satellites.
Entre le début des années 1980 et aujourd’hui, « la colonie a décliné de 88%, passant d’environ 500.000 couples reproducteurs à 60.000 couples », selon cette étude publiée dans Antartic Science.
Dans la mesure où l’on estime qu’un couple reproducteur représente quatre individus (le couple et deux jeunes), cela signifie qu’il resterait environ 240.000 manchots royaux sur l’île.
« C’est une réduction énorme », a déclaré vendredi à la presse Henri Weimerskirch, chercheur CNRS et premier auteur de l’étude parue cette semaine.
« Si les causes de la disparition de ces manchots pourraient être environnementales, le mystère reste entier », souligne le CNRS.
Connue depuis les années 1960, cette colonie se trouve dans la réserve naturelle des Terres australes françaises (TAAF).
Dans les années 1980 elle était considérée comme la plus grande colonie de manchots royaux au monde.
Mais en raison de son isolement et de son inaccessibilité, il n’y avait pas eu d’évaluation récente de cette colonie depuis des décennies.
Le manchot royal (Aptenodytes patagonicus) a un ventre blanc, un bec noir et une tache orange sur le côté de la tête. Il est un peu plus petit que le manchot empereur.
Les chercheurs du Centre d’études biologiques de Chizé (CNRS/Université de la Rochelle) ont utilisé des images haute résolution prises par satellites pour mesurer les changements de taille de la colonie depuis la dernière visite de l’île par une équipe scientifique en 1982.
A l’époque, la colonie comptait 500.000 couples reproducteurs, soit une population de plus de 2 millions d’individus.
Pour évaluer les surfaces occupées par les manchots entre 1960 et aujourd’hui, les scientifiques ont mesuré sur les images satellitaires les bords de la colonie année après année et se sont rendus compte que celle-ci diminuait au profit d’un retour de la végétation.
Plusieursfacteurs ont pu jouer: une très forte densité rend la compétition plus rude entre les individus, surtout lorsque la nourriture manque. Ce qui peut accentuer le déclin.
Autre hypothèse avancée: une maladie comme le choléra aviaire.
« Jusqu’à cette étude, dans tout l’océan austral, la population de manchots royaux était estimée à 1,5 million de couples reproducteurs ».
Cette mauvaise nouvelle venant de l’île aux Cochons « signifie qu’on a perdu un tiers de la population globale de manchots royaux », soulignent les chercheurs.
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Quelques 9.615 postes de travail directs seront créés dans le domaine du tourisme à Oran, en prévision des jeux méditerranéens (JM) qu’abritera la ville en 2021, a-t-on appris samedi de la direction locale du tourisme.
Ces postes de travail seront le fruit de la réalisation de plus de 147 établissements hôteliers et touristiques, lancés au niveau de la capitale de l’Ouest du pays, en vue du rendez-vous sportif méditerranéen que l’Algérie accueillera pour la deuxième fois de son histoire, a précisé la même source. Les projets en question avancent à un« rythme soutenu« , assure-t-on encore, et devraient être livrés dans les délais fixés par les parties concernées.
Trois établissements hôteliers, de différents niveaux de classification, en plus d’un centre de Thalassothérapie, le deuxième du genre en Algérie, ont été inaugurés, la semaine dernière à Oran, à l’occasion de la visite du ministre du tourisme et de l’artisanat, Abdelkader Benmessaoud. Ces établissements renforcent la capacité d’accueil du parc hôtelier à Oran estimé jusque-là à 13.000 lits disponibles pour 168 hôtels exploités, rappelle-t-on.
Cette dynamique que connait Oran, une ville réputée comme étant un pôle touristique par excellence, contribuera dans la création de la richesse, d’où l’intérêt particulier accordé par le ministère du Tourisme à ce volet, en tentant de tirer profit au maximum de l’organisation des jeux méditerranéen à « El-Bahia » dans trois années, pour donner une autre dimension au tourisme dans cette région qui aspire à devenir un modèle en Algérie en la matière.
Cependant, et pour que les actuels et futurs acquis dans ce domaine soient exploités à bon escient, il faudra assurer notamment des services à la hauteurgrâce à une main d’œuvre qualifiée. C’est sur ce volet là qu’avait justement insisté le ministre lors de sa visite à Oran, mardi passé, en mettant l’accent sur la nécessité d’assurer une formation de premier ordre aux personnels devant être engagés au sein de ces établissements hôteliers et touristiques.
À ce propos, le ministre a rappelé que son département dispose de trois instituts spécialisés dans la formation du personnel hôtelier. L’imminente inauguration de l’École d’hôtellerie à Oran, qui sera opérationnelle dès la rentrée sociale prochaine, tombe à point nommé pour assurer une formation professionnelle de qualité aux étudiants appelés à postuler pour les 9.615 nouveaux postes de travail directs dont va bénéficier le secteur à Oran en prévision des jeux méditerranéens. C’est aussi dans cette perspective que les instituts de formation professionnelle à Oran ont créé de nouvelles spécialités pour répondre aux besoins des futurs infrastructures hôtelières et touristiques, et qui seront désormais disponibles dès l’exercice prochain (2018-2019).
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