La répression de l'utilisation des sachets plastiques démarre en août prochain sur toute l'étendue du territoire national. Malgré le moratoire de six mois et le délai supplémentaire accordés aux usagers, les populations continuent avec les anciennes habitudes en attendant l'opération de répression.
L'usage des sachets plastiques s'observe toujours malgré l'existence de la loi n°2017-39 du 26 décembre 2017 portant interdiction de la production, de l'importation, de l'exportation, de la commercialisation, de la détention, de la distribution et de l'utilisation de sachets en plastique non biodégradables en République du Bénin. Au cours de la journée mondiale de l'Océan, célébrée le vendredi 8 juin dernier, les responsables du Ministère du Cadre de Vie et du Développement durable ont mis l'accent sur les dispositions de cette loi qui vont s'appliquer à tous les citoyens détenteurs de sachets plastiques. Mais en dépit de ce fait, toute la population n'est pas informée sur les contours de cette nouvelle loi.
Lors d'une sensibilisation initiée par la direction départementale du Cadre de Vie et du Développement durable du Mono et du Couffo, le directeur Gabin Aclombessi a affirmé que « Les populations utilisent les emballages plastiques tout en ignorant les impacts négatifs que cela produit sur l'environnement et la santé ». Il a évoqué dans un rapport publié par l'Organisation mondiale de la santé, que 7 millions de décès ont été enregistrés en 2014 à cause de l'usage des emballages contrairement au VIH-SIDA, qui a enregistré 1,9 millions de décès.
C'est donc dans le but de pallier cette situation que l'Etat béninois, à travers son ministère, a introduit un projet de loi à l'Assemblée qui a été votée et promulguée. « Un moratoire de six mois est accordé pour prendre fin le 26 juin. Au-delà de cette date, une période est encore réitérée et prendra fin le 19 août prochain », avait-il signalé.
Les contours de la mesure
Martin Pépin Aïna, directeur général de l'environnement et du climat (DGEC) s'était prononcé sur les contours de la répression contre l'utilisation des sachets plastiques au cours d'une émission sur l'hebdo de Océan Fm. Il a expliqué comment cette opération va se dérouler sur toute l'étendue du territoire national. « C'est à travers des descentes inopinées que le contrôle se fera sur le terrain. Les équipes de contrôle se rendront dans les centres commerciaux, les lieux de service et les espaces publics. La veille pour l'application de la loi qui est entrée en vigueur est assurée par les préfets de tous les départements du pays », avait précisé le DGEC. Pour chaque type d'utilisation, la loi a prévu des sanctions différentes.
Pour les importateurs et producteurs déclare-t-il, l'article 12 prévoit qu'ils auront à payer une amende de 5 millions à 50 millions de FCFA. Concernant les commerçants, l'amende est de 100 000 à 5 millions de francs CFA assortis d'emprisonnement de 03 à 06 mois. Les individus qui jettent les sachets dans les caniveaux et les ruelles, leur amende est de 25 000 à 1 million de francs CFA, en plus d'une peine d'emprisonnement de 03 à 06 mois. Les détenteurs de ces sachets ou ceux qui les cèdent frauduleusement paieront 10 000 à 500 000 FCFA comme amende. L'article 16 mentionne aussi que toute personne qui jette un sachet en plastique par-dessus bord des véhicules est punie d'une amende allant 5000 à 100 00 FCFA. Le propriétaire du véhicule par-dessus bord duquel les sachets en plastique est jeté est également puni d'une amende de 5000 FCFA. Le directeur de l'environnement a confié que les forces de l'ordre ont déjà reçu de fermes instructions et toute personne en infraction sera interpellée et traduite devant les tribunaux qui décideront de la peine. Et ce, après avoir payé l'amende correspondant à l'infraction. Les agents de la Police républicaine n'attendent donc que la fin du délai pour déclencher l'opération.
Les mesures prises par le gouvernement
Le taux de population informé des mesures prises pour entrer en possession des sachets bio dégradables est très faible. Dans les rues, les marchés, les habitués des sachets plastiques n'ont pas connaissance des mesures de rechange proposées par le ministère du Cadre de Vie et du Développement durable en remplacement des sacs en sachets plastiques.
Au ministère du Cadre de vie indique Pépin Aïna, le personnel est sensibilisé sur le sujet. Les travailleurs se sont débarrassés de tout sachet en plastique et reçoivent en échange des sacs biodégradables. Le DGEC renseigne que depuis peu 100 sachets plastiques sont échangés contre un sac en tissu et un autre biodégradable au ministère du cadre de vie et dans plusieurs organisations non gouvernementales. Cette opération d'échange n'est pas connue de tous et les populations ignorent comment entrer en possession de ces sachets biodégradables.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Se prononçant sur la levée d'immunité parlementaire des députés à l'Assemblée nationale, ce mardi 24 juillet 2018, l'historien et homme politique, Djibril Débourou, pense que c'est une première depuis l'avènement de la démocratie au Bénin. « Ce qui s'est passé hier est inédit à l'Assemblée nationale du Bénin depuis 1991 », a-t-il souligné. Selon l'historien, plusieurs demandes ont été formulées sous le règne de différents présidents mais n'ont jamais abouti. Ainsi, sous le premier mandat du président Mathieu Kérékou, rappelle-t-il, celui-ci avait demandé la levée d'immunité du député Valentin Somassè et finalement le vote n'est pas intervenu. De même, le président Boni Yayi, avait en son temps, demandé de levée d'immunité du député Célestine Adjanohoun ainsi que plusieurs autres demandes qui n'ont même pas été annoncées en plénière, a rappelé Djibril Débourou.
F. A. A.
L'étude en plénière des dossiers relatifs à la levée de l'immunité parlementaire des députés Djènontin, Bako et Atao n'a pas été sans polémiques et sans invectives. Ayant dirigé les débats avec tact et professionnalisme, Maître Adrien Houngbédji a été dans le viseur de beaucoup de gens notamment ses collègues avec qui il collabore à l'hémicycle et qui pourtant devraient le féliciter pour être resté coller aux textes tout le temps. Le cas le plus touchant a été celui du député Simplice Codjo, qui une fois ayant pris la parole, a critiqué la manière avec laquelle la gestion de ces dossiers se fait par le président de l'Assemblée nationale. Malgré le dynamisme de Me Adrien Houngbédji à contenir tout le monde, le député est allé jusqu'à faire allusion en rappelant le parcours du président de l'Assemblée nationale, un parcours qui selon Simplice Codjo ne permettrait pas au président de cautionner l'injustice. Comme le dit un proverbe "c'est en colère qu'on crache tout ce qui est dans son ventre". Mais les propos de l'élu du peuple n'a pas amené le président à user de ses prérogatives mais comme un bon père de famille, Me Adrien Houngbédji a réagit avec délicatesse. "Notre règlement intérieur m'autorise à censurer les attaques contre ma personne. Pourtant, je ne l'ai pas fait. Si je ne l'ai pas fait, c'est parce que j'ai un parcours qui me met au dessus de tout ce que vous avez dit", lance-t-il pour faire comprendre au député que malgré toutes les attaques, il se met au-dessus de la mêlée. Aussi, ajoute-t-il pour montrer à tous, tout qu'il a tout accepté dans sa vie. "J'ai été condamné à mort dans ce pays sans jugement. J'ai été condamné dans ce pays à l'exil pendant 15 ans, ma famille brisée et j'ai même été spolié. Donc s'il vous plaît, arrêtez !''
G.A.
Par A. Mallem
Des portes ouvertes sur les orientations et les offres de formation à l’intention des nouveaux bacheliers, leur orientation pour les aider à faire le choix de formation conforme à leurs résultats au bac, ont été ouvertes hier au niveau des universités du pôle constantinois de l’enseignement supérieur. Les informations et des échos sur l’accueil des nouveaux bacheliers ont été recueillis hier dans les trois universités du pôle constantinois, l’université Constantine 1 des Frères Mentouri, l’université 2 Abdelhamid Mehri et l’université 3 Salah Boubnider. Sur le campus de l’université des Frères Mentouri, que nous avons pris comme échantillon, les portes ouvertes ont commencé hier 24 juillet et elles n’ont pas connu une grande affluence car les bacheliers ont commencé à recevoir le jour même leur relevé de notes, un document indispensable pour procéder à la préinscription qui est prévue du jeudi 26 au lundi 30 juillet. «C’est à partir du jeudi qu’il faut s’attendre à la grande affluence des nouveaux bacheliers qui viendront s’informer aux stands ouverts à leur intention, faire leur choix de formation et procéder à la préinscription», nous a expliqué M. Bachkhaznadji Abdelmalik, vice-recteur chargé de la pédagogie à l’université Mentouri, en ajoutant que, par habitude, l’affluence commence à augmenter à partir de ce jour-là.Cette manifestation annuelle a été organisée au niveau du bloc des lettres où les responsables de l’université ont installé des stands pour accueillir les nouveaux bacheliers et répondre à toutes leurs questions. A cet égard, et pour faciliter le travail de chacun, les responsables de l’université Mentouri ont installé un stand «spécial Internet» où les étudiants pourront faire eux-mêmes, et gratuitement, leur inscription au lieu d’effectuer cette opération dans un Cyber ou à la maison car ils vont bénéficier de l’assistance technique et conseils d’enseignants et responsables de l’université pour les guider dans leur choix et leur donner toutes les informations qui les guideront à la prise de décision en vue de la préinscription. «En plus, a indiqué ce responsable, nous avons ouvert un portail électronique dédié aux futurs étudiants où toutes les informations, les documents à télécharger, les applications concernant les préinscriptions et inscriptions seront à leur disposition sur le site de l’université».
M. Djekoune Abdelhamid, le recteur de l’université, qui était présent à l’ouverture de l’évènement, a complété en déclarant que «parmi l’ensemble des informations qui seront données aux nouveaux bacheliers, il y aura les contenus des programmes de formation, les possibilités que celles-ci offrent quant à l’ouverture sur l’environnement socioéconomique, etc.». Et sur les nouvelles formations offertes cette année aux nouveaux étudiants, le recteur a cité les études en rapport avec le traitement des déchets, l’environnement, une formation dans le domaine des énergies renouvelables, le transport et l’industrie mécanique, tous des cursus qui viennent d’être introduits dans le programme de formation de l’université Mentouri. «Pour conclure, nous pouvons dire que le dispositif est maintenant en place et à partir de demain, mercredi, il sera pleinement opérationnel. Et si les préinscriptions sont prévues du 26 au 30 juillet, les inscriptions officielles seront ouvertes au mois de septembre prochain», a terminé notre interlocuteur.
Pour l’université Constantine 2 Abdelhamid Mehri, c’est M. Oukaci, vice-recteur chargé de la pédagogie, qui s’est exprimé en soulignant l’importance de cette étape dans le cursus universitaire du nouvel étudiant. «Et pour l’aider à aborder ce cursus de la meilleure des façons, a-t-il dit, l’université 2 a mis en place toutes les conditions d’accueil au cours des portes ouvertes qui se sont ouvertes aujourd’hui pou informer les futurs étudiants, les orienter et les assister dans l’opération de préinscription». Et c’est pratiquement les mêmes indications qui nous ont été données par M. Bouras, recteur de l’université 3 Salah Boubnider, lorsque nous l’avons contacté. Ce dernier a tenu à souligner que, à son niveau, l’ouverture des portes sur les informations d’orientation, sur les modalités de préinscription et inscription définitive s’est déroulée de la meilleure des façons.
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Par A. Boudrouma
Une femme, âgée de 44 ans, a été interpellée par les services de la sûreté de wilaya de Skikda, dans le cadre d’une affaire de vol dans une salle de fêtes. C’est à la suite d’une plainte contre X déposée par une citoyenne victime du vol de ses bijoux, une ceinture en or, commis dans la salle d’habillement d’une salle de fêtes d’El Harrouch, que l’enquête a démarré. Les malfaiteurs ont à cette occasion, subtilisé un ensemble d’objets de valeurs consistant en parures en or, disposés dans un sac à main. Dans le cadre de l’enquête et des investigations menées avec célérité, les policiers ont réussi à identifier la mise en cause, à partir de l’affichage de sa photo, dans tous les sièges de sûreté. Elle a été localisée à Fil Fila où elle a été interpellée puis conduite au poste pour y être auditionnée. La prévenue qui ne faisait pas partie des convives a profité de l’entrée des parents du jeune marié pour se faufiler à l’intérieur de la salle d’habillement, réservée à la mariée feignant de se maquiller et de téléphoner. A ce moment précis la victime a posé son sac à main sur la table et s’est penchée pour refermer la valise mais en relevant la tête, elle a remarqué que son sac à main a disparu. Son forfait accompli, la prévenue a quitté, précipitamment la salle des fête et supplié un des invités de la conduire au centre-ville, prétextant avoir oublié des vêtements de la mariée et de là s’est éclipsée. L’enquête a permis de découvrir qu’elle avait une voiture dans laquelle les policiers ont trouvé des vêtements de fête qu’elle utilisait pour passer inaperçue. Par ailleurs, les enquêteurs ont également mis à jour une ancienne affaire de vol similaire commise l’année écoulée, dans une salle de fêtes au sujet de laquelle une enquête distincte a été ouverte. Présentée devant le parquet d’El Harrouch, la mise en cause a été placée en détention.The post Skikda: Une voleuse de bijoux écrouée appeared first on .
Par A. Mallem
«Il se passe beaucoup de choses répréhensibles à la gare routière Est Sahraoui Tahar’ pendant cette période estivale, où il y a un afflux important de voyageurs transitant par ce site de transport, surtout les familles, qui n’hésitent pas à voyager de nuit pour profiter des températures fraîches », nous ont affirmé, hier, des voyageurs qui prennent en famille le transport public pour se rendre à la mer. « Généralement, pour prendre les bus à destination des villes du littoral de l’Est, en espérant trouver une place, dans les petits bus, qui font la navette entre ces villes et la capitale de l’Est, nous nous levons de bon matin, dans l’obscurité. Et il nous arrive souvent d’assister à des scènes répréhensibles comme celle qui s’est passée devant nos yeux, la semaine passée, quand des voyous, s’en sont pris à un groupe de voyageurs en partance pour Alger qui attendaient le bus sur le quai. Les assaillants ont voulu tabasser des voyageurs. L’intervention de quelques autres voyageurs, ainsi que des chauffeurs de taxis des grandes lignes, dont la station se trouve à c^àté, a permis d’éviter le pire. Nous avons recoupé ces informations auprès des taxieurs de notre connaissance opérant dans cette gare routière et ils les ont confirmées, ajoutant même qu’« une véritable maffia s’est constituée dans cette gare. Ce groupe de malfrats est en train de faire la loi à l’intérieur de la gare ».Interrogé hier, le directeur de la gare routière, M. Hamlaoui Ayoub, n’a pas nié, explicitement, l’existence d’une telle situation dans cette gare, se contentant de dire que l’information sur la tentative d’agression de voyageurs n’a pas été portée à sa connaissance, qu’il va vérifier la chose et prendre, éventuellement, les mesures qui s’imposent pour préserver la sécurité des voyageurs. Il se plaindra, ensuite, de l’absence de sécurité de nuit, en disant que cela est dû, aussi, au manque d’agents de la sûreté urbaine affectés au poste installé à l’intérieur de la gare et dépendant du 8ème arrondissement. « J’ai signalé ce problème par écrit au secteur concerné qui a reconnu qu’il y a, effectivement, un manque d’effectif, à ce niveau ». En ce qui concerne les taxis de la fraude, a ajouté M. Hamlaoui, cela n’est pas du ressort des agents de la gare car ces derniers n’ont aucune compétence ou espèce d’autorité pour contrôler ou empêcher un véhicule d’y pénétrer car la chose relève de la compétence de la police. S’en prenant ensuite aux taxieurs qui font les lignes inter-urbaines, il les a accusé de se livrer eux-mêmes à des pratiques qui relèvent de la fraude. Ils ne sont pas exempts de reproches, a-t-il dit, car ils sont souvent à l’origine de problèmes et lorsque l’administration de la gare veut intervenir pour empêcher leurs dépassements, ils brandissent la menace de grève.
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Par Arezki SLIMANI
Les Algériens ont peur. Non seulement pour leur poche, mais aussi pour leur santé. Ils sont en droit de demander des explications et d’avoir des réponses.
Le mystère de la viande «bleuâtre» reste entier et le risque de la reproduction du même scénario cette année, n’est pas à écarter. Les citoyens, qui n’ont pas oublié le cadeau empoisonné des fêtes de l’Aïd El Adha, des deux dernières années, sont en droit de connaître ce qu’il y a dans leur assiette. Raison pour laquelle, la Fédération algérienne des consommateurs (FAC) a appelé le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouazghi, à communiquer à l’opinion publique les résultats des enquêtes et des analyses effectuées l’année dernière sur la viande des moutons de l’Aïd. Une viande, faut-il le rappeler, dans des milliers de foyers, qui s’est putréfiée, quelques heures seulement après l’abattage. Une commission d’enquête sur cette situation a été mise en place suite aux plaintes enregistrées, mais aucun résultat concret n’a été publié. De ce fait, la FAC insiste auprès du ministère de l’Agriculture pour qu’il communique à la population les résultats. Mais pas seulement.
La FAC a émis également une série de recommandations aux pouvoirs publics, aux éleveurs ainsi qu’aux consommateurs afin d’éviter que le scénario des deux dernières années se reproduise. Entre autres recommandations, la fédération demande au ministère d’intensifier le contrôle auprès de l’ensemble des vétérinaires. Quant aux éleveurs, la FAC propose la mise en place d’un encadrement particulier permettant d’interdire la vente libre des médicaments destinés aux animaux ainsi que les aliments composés. En matière d’hygiène, un contrôle rigoureux dans les espaces d’élevage ou de vente du bétail, est préconisé par la FAC qui a également insisté sur l’importance de faire analyser l’eau et notamment les aliments du bétail. La Fédération algérienne des consommateurs demande que les éleveurs remettent un bon d’achat aux consommateurs afin de garantir la traçabilité de la viande, notamment dans le cas d’une nouvelle putréfaction.
Ce que l’on n’espère pas. Car voir la carcasse de son mouton devenir bleue alors que l’on ne peut s’offrir qu’une fois par an de la viande, c’est plus qu’un drame pour les familles algériennes. Ces dernières, victimes d’une grande supercherie, ont laissé dans l’affaire entre 40 000 et 80 000 DA chacune et n’ont eu que leurs yeux pour pleurer. Aujourd’hui et à moins d’un mois de la fête de l’Aïd, aucune explication claire n’a été avancée sur la nature de la contamination de la viande bleue qui s’est produite ces dernières années. De même qu’aucune assurance n’a été donnée sur l’absence de risque d’une nouvelle putréfaction de la viande.
Ce qui fait enfler la rumeur et encourage le retour en force des supputations sur l’alimentation des moutons: hormones de croissance, additifs alimentaires ou peut-être une nouvelle mixture toxique inconnue. Les Algériens ont peur non seulement pour leur poche mais aussi pour leur santé. Ils sont en droit de demander et d’avoir des réponses sur le phénomène «bleu», inédit dans les annales de l’Aïd en Algérie.
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Le chef d’état-major des forces armées iraniennes a averti hier les Etats-Unis que Téhéran riposterait avec «force» à une poursuite des menaces américaines contre les intérêts de l’Iran.»Ils recevront une riposte forte et ferme (…) aux endroits où ils se trouvent et contre leurs intérêts dans la région et à travers le monde», a prévenu le général Mohammad Bagheri, selon l’agence de presse officielle Irna. «Les idées futiles et inutiles du président américain ne seront jamais réalisées», a-t-il affirmé. Le ton est monté entre Téhéran et Washington depuis un avertissement dimanche du président Hassan Rohani à son homologue américain Donald Trump, lui conseillant de «ne pas tirer les moustaches du tigre» et assurant qu’un conflit avec l’Iran serait la «mère de toutes les guerres». M. Trump a répondu dans un tweet en majuscules: «NE MENACEZ PLUS JAMAIS LES ETATS-UNIS OU VOUS ALLEZ SUBIR DES CONSÉQUENCES TELLES QUE PEU AU COURS DE L’HISTOIRE EN ONT CONNUES AUPARAVANT». Le général Bagheri a indiqué que l’Iran n’avait «jamais provoqué la guerre» et qu’il «cherche la paix et la stabilité dans la région». Mais, a-t-il ajouté: «Tous les complots visant le peuple iranien seront étouffés à la naissance et les ennemis recevront une leçon inoubliable».
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Dés la matinée, les futurs étudiants commençaient à affluer en masse sur les lieux, histoire de s’enquérir des renseignements nécessaires pour faire le bon choix des spécialités.
L’enthousiasme des nouveaux bacheliers, était au rendez-vous hier, à la faculté des sciences et des technologies de Bab Ezzouar, lors de la journée portes ouvertes pour les inscriptions à l’université. Dès la matinée, les futurs étudiants commençaient à affluer en masse sur les lieux, histoire de s’enquérir des renseignements nécessaires pour faire le bon choix de spécialité.
La particularité de cet événement cette année, «est que son organisation s’est faite sous une forme différente», a indiqué le recteur de l’Usthb, Saïdi Mohamed. Cette nouvelle organisation, explique-t-il, consiste en la répartition de six poules, lesquelles, chacune représente un domaine particulier. «Celles-ci sont constituées de doctorants, car plus communicants et plus aptes à donner de façon détaillée les informations indispensables», a-t-il précisé. Par ailleurs, Saïdi Mohamed a indiqué que l’objectif de cette journée est de donner des renseignements inhérents aux résultats de l’orientation de l’année dernière. Ainsi, ils auront une idée sur les filières auxquelles ils peuvent accéder ou pas. Il a fait savoir qu’à cet effet, huit stands représentant entre autres les spécialités liées à l’électronique, l’informatique, la géologie, la biologie…ont été mis à disposition des concernés. A ce titre, il a fait mention de quelque 35 offres de formation en licence, ainsi que de 105 offres concernant les masters.
Aussi, Saidi Mohamed n’a pas manqué de saluer la forte affluence des nouveaux bacheliers, observée en début de matinée; «cela est bon signe, dans la mesure où ça veut dire que l’étudiant a développé une conscience par rapport à ça», conclut-il.
De leur côté, les étudiants rencontrés sur place, et qui étaient pour la plupart, accompagnés de leurs parents, ont affiché leur empressement quant à choisir leurs branches. C’est le cas de Leïla, qui a avoué qu’au début, elle était un peu perdue, et ne savait que faire comme choix. «Je ne vous cache pas qu’il y a quelques jours, je ne savais pas quoi choisir, mais grâce aux renseignements que j’ai eu aujourd’hui, j’ai pu me repérer», a-t-elle soutenu, ajoutant: «J’ai hâte de m’inscrire et commencer ma vie estudiantine».
Toutefois, l’entrain de certains bacheliers a vite été endigué. Et pour cause, ces derniers ont indiqué que même avec des mentions très bien, les moyennes minimales pour l’accès à certaines spécialités ont été augmentées par rapport à l’année dernière. «C’est la désillusion pour nous», a affirmé une dame d’un certain âge, qui a accompagné sa fille pour l’aider dans ses choix de spécialité. «Il faut dire que son choix est finalement très restreint», regrette-t-elle en exprimant sa surprise quant à la moyenne exigée pour certaines filières. Notre interlocutrice a par ailleurs tenu à soulever que cela fait partie des causes qui font qu’un nouveau bachelier est démotivé avant même son entrée à la fac. «J’ai déjà vécu ça avec mon autre fille et je ne veux pas que la deuxième ait à subir le même sort», a-t-elle déploré. Selon elle, au vu de cette situation «après, il ne faut pas s’étonner de l’échec des étudiants à l’université», a-t-elle ajouté.
Une autre bachelière Sabrina, a fait elle aussi part de sa déception quant aux moyennes beaucoup trop élevées pour quelques branches. Et pourtant, cette dernière a décroché son bac science avec un 16,5 de moyenne. «Je pensais que j’avais l’annotation nécessaire pour accéder à l’ENA, mais on me dit que la moyenne minimale exigée doit en fait atteindre 17/20», dit-elle avec une note d’amertume.
Pour des cas similaires à celui de Sabrina, Gaci Zoubir enseignant chercheur à l’Usthb et responsable de l’orientation a expliqué que son rôle consiste aussi à aider les bacheliers n’ayant pas obtenu la moyenne nécessaire pour intégrer telle ou telle branche. A titre d’exemple, «si un étudiant me dit vouloir travailler dans le domaine pétrolier, je lui conseille de s’orienter vers la géophysique» si ce dernier, n’a pas la note nécessaire, j’essaie de lui trouver une spécialité débouchant sur le même domaine.
Par ailleurs, la journée portes ouvertes a été organisée au niveau du village universitaire, situé dans l’enceinte de l’université Houari Boumediene.
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Pour fêter le 10.000 eme follower de son compte Twitter, son excellence l’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt a rencontré 15 twittos algériens lors d’une réception organisée au sein de la résidence de France à El Biar (Alger).
Durant la célébration, les 15 derniers followers conviés pour l’occasion ont pu échanger en toute simplicité avec l’ambassadeur, ainsi qu’avec des personnalités faisant partie du paysage médiatique algérien.
Surplombant la baie d’Alger, le jardin fleuri de la résidence de France offre une magnifique vue sur la partie Est de la capitale algérienne, ce qui n’a pas manqué de charmer les personnes présentes qui ont fait le plein de photos et de « selfies » devant le panorama sublime qui s’offrait à eux.
L’ambassade de France a remercié les fans algériens de son compte Twitter, et leur donne rendez-vous au prochaine cap: les 20.000 followers!
Une rencontre amicale avec les 15 derniers abonnés, en espérant fêter prochainement le cap des 20.000 ! pic.twitter.com/fiXj7WprJx
— Xavier Driencourt (@XMDriencourt) 24 juillet 2018
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La milice islamiste des shebab a annoncé lundi avoir mené une attaquecontre une base militaire située à environ50 kilomètres de la ville portuaire de Kismayo, dans le sud de la Somalie, etavoir tué 27 soldats.
« Nous avonsd’abord lancé une attaque à la voiture piégéepuis avons pénétré (dans la basemilitaire). Nous avons tué 27 soldats etpris le contrôle de la base. Certains soldats ont fui dans la jungle », a déclaré leporte-parole des opérations militaires desshebab.
Aucun commentaire n’a été faitpar le gouvernement.La milice islamiste, liée à El-Qaïda, esten lutte pour renverser le gouvernementcentral somalien et mettre en place unÉtat fondé sur la charia, la loi islamique.Chassés de la capitale Mogadiscio en 2011, les shebab ont perdu depuis la plupart des villes du pays mais restent trèsprésents autour de la capitale. Ils avaient mené une attaque contre la même base militaire au mois de juin, faisant sept blessés.
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