Le Président de la Cour constitutionnelle, le Professeur Joseph DJOGBENOU a pris une ordonnance portant fixation des tenues d'audience à la haute juridiction. A cette occasion, et à titre exceptionnel, les membres de la Cour constitutionnelle et les secrétaires généraux officiant en qualité de greffiers sont vêtus aujourd'hui comme pour une audience solennelle.
Une toge de qualité bien ajustée et stylisée avec des détails esthétiques qui font ressortir la personnalité des conseillers. Le moins qu'on puisse dire, c'est que les conseillers et le public ont apprécié avec une joie enfantine ce vêtement un peu austère qu'est la toge. Voici en Fac similé l'ordonnance N° 2018-095/CC/SG du 19 juillet 2018.
Télécharger l'ordonnance
AP/Pdt CC
Le projet Asphaltage est entré dans sa phase active, ce mardi 24 juillet 2018, par la signature des contrats avec les entreprises adjudicataires. La cérémonie s'est déroulée à Sèmè City (ancienne primature) à Cotonou, en présence du Ministre du Cadre de Vie et du Développement José Didier Tonato, du Ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale, Barnabé Dassigli et de la Directrice de l'Agence du Cadre de Vie pour le Développement du Territoire, Olga Prince Dagnon. Les Maires et Préfets bénéficiaires de ces infrastructures étaient également présents.
Le projet Asphaltage inscrit dans le Programme d'Actions du Gouvernement (PAG) a franchi la dernière étape et est désormais opérationnel. La cérémonie a été marquée par la signature des contrats avec les entreprises adjudicataires, lançant ainsi le démarrage des travaux. Ledit projet est relatif à la construction, l'aménagement et l'entretien pluriannuel de façade à façade de 660 km de voiries urbaines dans 09 grandes villes du Bénin. Il s'agit de Cotonou, Parakou, Porto-Novo, Abomey-Calavi, Sèmè-Kpodji, Abomey, Bohicon, Lokossa et Natitingou. Les travaux d'asphaltage sont divisés en 17 lots.
Le projet asphaltage vise à assainir le cadre de vie à travers le bitumage et le pavage des rues, la construction d'ouvrages d'assainissement et l'aménagement urbain.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
The post Le chef de la paf de l’aéroport d’Alger et le chef de sûreté deSaïda limogés : Lahbiri dégomme les traces de Hamel appeared first on .
En prélude à la commémoration du 19è anniversaire de l'accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône du Maroc, et dans le cadre de son soutien au Programme d'Action du Gouvernement (PAG), Son Excellence Monsieur Rachid RGUIBI, Ambassadeur du Roi près le Bénin a choisi le 24 juillet 2018, le Collège d'Enseignement Général d'Atomey-Centre dans le Département du Couffo, pour récompenser les 15 meilleurs élèves des deux CEG de l'Arrondissement et distribuer les fournitures scolaires afin d'encourager la scolarisation et surtout celle des jeunes filles .
Pour cette action louable et noble, l'Ambassadeur Rachid RGUIBI a identifié l'ONG Jeunes Entreprises Afrique Francophone, active dans l'éducation et l'insertion professionnelle et entrepreneuriale des élèves et étudiants depuis 25 ans, pour opérationnaliser cette manifestation accompagnée par l'opérateur de téléphonie mobile Moov Bénin et qui a par ailleurs reçu l'adhésion des autorités éducatives et préfectorales dudit Département.
Cette cérémonie a enregistré la présence d'illustres invités dont le Ministre de la Micro Finance et des Affaires Sociales Madame Bintou CHABI ADAM, le Préfet du département du Couffo Monsieur Christophe MEGBEDJI, le roi de la localité, le chef d'arrondissement d'Atomey, les élus locaux et les parents d'élèves qui n'ont pas manqué de témoigner leur profonde gratitude à l'ambassadeur du Maroc et ses partenaires, l'ONG Jeunes Entreprises Afrique Francophone représentée par Monsieur Pierre D'ALCANTARA ZOCLI et Moov Bénin à travers sa fondation représentée par Madame Dolorès CHABI KAO.
La cérémonie a connu une note culturelle par la prestation de l'artiste NORBEKA.
La cérémonie de remise en images
Le masque est tombé. La levée de l'immunité parlementaire des députés Idrissou Bako et Valentin Djènontin vient d'être accordée par le parlement, après le vote en plénière. La victoire n'a donc été que de courte durée. Après la distillation sur les réseaux sociaux d'une partie du rapport de la commission spéciale, la joie qui en ait découlée n'a duré qu'une poignée de secondes. La justice est finalement libre pour faire son travail. L'Assemblée nationale vient de jouer sa partition. Comme l'a si bien dit un député, l'Assemblée nationale ne doit pas être un ramassis de corrupteurs et corrompus, de braqueurs des ressources du pays. Talon réalise peu à peu sa promesse électorale, telle que confirmé dans son discours d'investiture : lutter contre la corruption et l'impunité. Les députés soutenant ses actions viennent de prouver leur bonne volonté.
Djènontin et Bako iront laver leur honneur devant la justice, puisqu'ils ont tout le temps crié leur innocence dans ces dossiers.
Comme dans bien des affaires de corruption, il faut mettre la lumière sur chacun. Il ne s'agit pas d'un acharnement mais d'une leçon de démocratie où la bonne gouvernance est de rigueur. Il faut faire la lumière sur les ressources de l'Etat qui n'ont pas été gérées de façon efficiente. Une responsabilité qui incombe à la justice.
Les gouvernants doivent faire le bilan de leur gestion au peuple.
Pour le moment, il est trop tôt de jeter l'opprobre sur les inculpés puisqu'ils ne sont que de présumés coupables. Bon nombre de directeurs de sociétés et autres structures d'Etat croupissent derrière les barreaux pour des affaires de malversations ou de mauvaise gouvernance. Mais certains ne doivent pas se cacher derrière leur immunité parlementaire pour échapper à la justice, qui seule est capable au mieux de laver leur l'honneur ou au pire de les condamner. Il ne s'agit pas d'une chasse aux sorcières. Seulement, c'est la lutte contre la corruption et l'impunité qui entre dans une phase historique avec la Rupture et le Nouveau départ.
G.A. et F. A. A.
La demande de levée d'immunité parlementaire de l'honorable Valentin Djènontin vient d'être accordée, ce mardi 24 juillet 2018, par les députés à l'occasion de la plénière qui se tient en ce moment au palais des gouverneurs à Porto-Novo. Par 58 voix pour, 18 contre et 00 abstention, l'ancien ministre de la justice de Boni Yayi, pourra se présenter devant les juges au tribunal afin de répondre des faits à lui reprochés.
Valentin Djènontin Agossou et Idrissou Bako étaient cités dans les rapports d'audits du Cabinet Mazars, liés à la gestion de trois campagnes cotonnières de la période transitoire. Il est reproché à Idrissou Bako, alors Directeur général de la SONAPRA, d'avoir conduit en tant que principal responsable de la structure technique qui a accompagné l'Etat, les campagnes sans procédures et sans outils techniques. Valentin Djènontin est aussi épinglé en tant que président de la commission chargée de l'acquisition des intrants au profit du ministère de l'Agriculture. Le rapport dénonce de graves irrégularités dans l'acquisition et la gestion des intrants, dont les pertes pour l'Etat sont estimées à 125 milliards FCFA.
F. A. A.
Les députés de la 7ème législature en plénière à l'Assemblée nationale, ont voté la levée de l'immunité de l'honorable Idrissou Bako ce mardi 24 juillet 2018. Par 59 voix pour, 18 contre et 01 abstention, Idrissou Bako n'est plus couvert par une immunité. Il devra donc faire face à la justice et répondre des faits qui lui sont reprochés.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Les députés Valentin Djènontin et Idrissou Bako vont finalement répondre de leurs actes devant la justice. Les choses se précisent déjà à l'Assemblée nationale. Après le rapport de la commission spéciale qui a nourri les esprits ces dernières heures, c'est la plénière de ce jour qui statuera sur la question. En attendant la suite, il faut dire que les députés doivent donner leur quitus pour que leurs collègues aillent répondre devant le juge. Ce qui serait inévitable selon les dernières informations issues des coulisses de l'hémicycle. Pendant 10 années de gestion du président Boni Yayi, la question de la lutte contre la corruption a longtemps été soulevée par les organisations de la société civile mais sans suite. Aujourd'hui avec le dynamisme de président Patrice Talon et son engagement à assainir les finances publiques, il est indéniable que les anciens ministres impliqués dans des dossiers de mauvaise gestion aillent répondre devant la justice. Si l'on est confiant comme le dit les actuels opposants que rien n'est caché dans leur placard, il est évident de répondre devant la justice pour être définitivement blanchi. Valentin Djènontin et Idrissou Bako ne doivent pas avoir peur s'ils ont réellement géré avec clarté. Le Bloc de la majorité parlementaire doit être soudé pour mettre fin à cette manière de gérer les biens publics en optant pour la levée de l'immunité des deux députés incriminés. L'Assemblée nationale ne doit plus être le refuge de ceux qui ont longtemps été à la base de la saignée des caisses de l'État. La décision de la plénière ce jour est sans équivoque. Si Atao répond déjà de ses actes dans le dossier de faux médicaments, il n'est pas question que les autres deputés impliqués dans des affaires soient épargnés. Le pas posé ce jour par les députés doit entrer dans l'histoire. Fini la mauvaise gestion des biens publics. Talon est à la porte d'une victoire.
G.A.
Les travaux de la 4ème édition du Salon international des mines, carrières et du pétrole (Semica 2018) se sont achevés le vendredi 20 juillet 2018. Aux termes des travaux, plusieurs recommandations ont été formulées afin de relancer ce secteur au Bénin et dans la sous-région ouest-africaine. Selon les experts présents à ce salon, le moment est totalement propice pour y investir. « Grace aux efforts de tous, le secteur pourra prendre un nouveau départ. Et les conditions sont idéales pour y investir maintenant et tout de suite », ont-ils affirmé.
A cette occasion, le président du présidium, Zul-Kifl Salami, a souligné que le coût international du pétrole a atteint 80 dollars le baril, soit son plus haut niveau depuis avril 2014. Une tendance haussière, de nature structurelle et donc pérenne, selon l'économiste. Pour lui, les prix vont continuer à augmenter sur une longue période. Et c'est la première condition selon Zul-Kifl Salami, pour amener les opérateurs économiques à investir dans ce secteur.
« Le contexte politico-économique a totalement changé au Bénin et est propice aux investissements », a souligné un expert des banques des monarchies du golfe arabe. Il a aussi observé que la gouvernance est au rendez-vous et le renforcement de l'Etat de droit est une préoccupation constante du gouvernement de Patrice Talon. La reddition des comptes, la lutte contre la corruption et surtout l'amélioration du climat des affaires sont des aspects qui sont pris en compte par l'investisseur, et c'est le moment où il faut investir dans le secteur des mines et du pétrole au Bénin, a-t-il indiqué.
Le ministre de l'eau et des mines a informé que les autorités du pays s'emploient sur un autre plan à réglementer le cadre légal du secteur. M. Samou Séidou Adambi a également annoncé l'actualisation des codes minier et pétrolier du Bénin pour sécuriser davantage ces secteurs.
Un rapport détaillé des recommandations sera envoyé au chef de l'Etat qui, selon le ministre, est prêt à jouer sa partition.
F. A. A.
L'opération de répression de port de casque a démarré dans le département de l'Alibori ce lundi 23 juillet 2018. En cas de violation de la mesure, les usagers sont astreints à une contravention avec une amende de 10.000 FCFA.
La phase de répression dans l'Alibori a démarré après la séance de sensibilisation qui a permis d'informer les populations sur le bien-fondé du port de casque. Elle vise à réprimer tous les usagers en infraction. Ils seront verbalisés pour contravention avec une somme de 10.000 FCFA à la recette-perception avant la rétrocession de leur moto.
L'opération a été annoncée par le directeur départemental de la police républicaine Roger Gnikpo, lors de la dernière conférence administrative départementale. Cette phase de répression est selon lui indispensable et permettra de réduire les accidents de la route qui engendrent de graves traumatismes crâniens et des pertes en vies humaines.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Contrairement aux années précédentes, les partis politiques, du moins les plus en vue, occupent, chacun à sa manière, la vacuité de cet été, prochaine élection présidentielle et crise économique, voire politique pour certains, obligent.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Pas de vacuité durant cet été pour notre classe politique, du moins celle qui a pour habitude d’animer la scène nationale. Ce n’est, certes, pas les grandes activités du reste de l’année, mais ce n’est pas non plus les vacances pour les gros bras politiques du pays ou considérés comme tels.
Et c’est le duo du pouvoir FLN-RND qui domine avec les échanges d’amabilités que Ould-Abbès et Ouyahia s’échangent à l’occasion d’activités organiques et de sorties médiatiques qui ont tendance à servir juste d’alibis pour s’échanger ces piques aux allures de guerre sournoise pour qui aura à récolter le plus de dividendes de la prochaine élection présidentielle.
Le MSP, qui fait parler de lui ces jours-ci, à travers son appel à la grande muette de s’impliquer dans le jeu politique en accompagnant, à titre de garant, la tant réclamée transition démocratique que les partis du pouvoir et leur aréopage récusent, met à profit cette période estivale pour faire la promotion de son offre politique portant consensus national.
Après avoir rencontré les présidents du parti des avant-gardes des libertés et du MPA, Abderrezak Makri se rendra, aujourd’hui, au siège du FLN pour s’entretenir avec le secrétaire général du parti. L’occasion pour les deux hommes d’«arrondir les angles» après les dernières accusations de Djamel Ould-Abbès qui a affirmé que feu cheikh Nahnah avait marchandé, comme l’ex-secrétaire général du RND, Tahar Benbaïbèche, son soutien au candidat Abdelaziz Bouteflika lors de l’élection présidentielle d’avril 1999. Et pas que cela, le patron de l’ex-parti unique avait même catalogué Makri parmi les gens qui «n’ont rien à faire» après sa rencontre avec Amara Benyounès. Une entrevue, donc, fortement attendue qui sera suivie d’autres rencontres avec d’autres acteurs politiques.
Toujours dans le camp islamiste, le mouvement Nahda, en butte pourtant à une crise organique, tient, depuis hier et sur trois jours, une rencontre de ses jeunes militants avec au menu des débats consacrés à la crise économique du pays. Et parallèlement à cette démarche du MSP, le Parti des travailleurs poursuit la vulgarisation et la promotion de son initiative portant élection d’une assemblée constituante, qu’il a lancée depuis des semaines, à même de constituer la panacée à la grave crise multidimensionnelle que vit le pays.
Pas un week-end ne passe sans que des cadres du parti sillonnent le pays pour rencontrer leur base militante comme ce fut le cas, par exemple, samedi dernier quand Ramdhane Taâzibt était allé à la rencontre des responsables des sections du parti au niveau de la wilaya de Khenchela. L’occasion pour le député et cadre dirigeant du PT d’aborder la situation politique nationale pleine, selon lui, de «développements gravissimes, contradictoires», estimant qu’un changement du système en place s’impose en ce sens qu’il constitue «un véritable danger pour l’Etat algérien». Taâzibt annonce, par ailleurs, que des centaines de nouvelles signatures de citoyens ont été collectées durant ce mois de juillet pour accompagner cette demande d’une assemblée nationale constituante.
Du côté du RCD, on poursuit la structuration organique du parti au lendemain de son cinquième congrès, tenu début février dernier. Avec, notamment, l’installation de conseils régionaux, instances consacrées par les nouveaux statuts du parti même si l’on a les yeux rivés sur la prochaine rentrée puisque l’on s’attelle à la préparation de pas moins de cinq événements majeurs. D’abord une conférence publique autour du code du travail prévue le 8 septembre dont le programme a été récemment ficelé, un colloque international autour de la question de la femme pour les 14 et 15 du même mois, le congrès des élus locaux progressistes prévu les 11 et 12 octobre, le campus des jeunes progressistes, les 25, 26 et 27 octobre, et enfin le congrès des femmes progressistes, le 24 novembre.
Il en est de même chez le FFS puisque la nouvelle direction nationale issue du congrès extraordinaire du parti du 20 avril écoulé poursuit l’assainissement démocratique qu’elle a promis. Avec, à la clé, le déboulonnage de tous les responsables, à tous les niveaux, acquis à ce qui faisait office de «cabinet noir», et ce, dans la perspective de s’assurer un congrès ordinaire apaisé et serein au printemps prochain.
M. K.
The post Activité politique durant cet été: Les partis sur le qui-vive appeared first on .
Djamel Ould-Abbès aurait piqué une colère noire en apprenant que des élus de son parti à l’APW de Tipasa se sont alliés à ceux du RND, afin de bloquer le budget complémentaire de la wilaya. Une position qui s’expliquerait par des calculs électoraux de ces élus qui comptent postuler aux prochaines sénatoriales.
The post La colère de Ould-Abbès appeared first on .