You are here

Afrique

Ils se faisaient passer pour des bienfaiteurs: Deux malfaiteurs arrêtés à Saïda

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 16:34

Agissant sur une plainte déposée par un commerçant-grossiste à Saïda, faisant état d’une escroquerie de la part de deux individus, les éléments de la police judiciaire, relevant de la sûreté de wilaya de Saïda, n’ont pas tardé à mettre la main sur les deux escrocs.

II s’agit de malfaiteurs âgés de 41 ans et 54 ans qui se faisaient passer pour des bienfaiteurs chargés d’une association caritative sise à El-Bayadh portant assistance aux nécessiteux durant le mois de Ramadhan. Ces derniers disposaient de faux documents et de cachets falsifiés et sont impliqués dans des affaires de faux et usage de faux et usurpation d’identité.

En effet, les faits remontent au début du mois sacré, lorsque les deux escrocs ont arnaqué le commerçant des denrées alimentaires lui remettant des faux documents et un chèque falsifié contre 450 couffins de ramadhan pleins de denrées alimentaires, évalués à 260 millions de centimes.
L’enquête diligentée aussitôt a permis de retrouver la marchandise à Sidi-Bel-Abbès, sans doute, pour une éventuelle revente. Le premier suspect, résidant à Oran, a été arrêté en son domicile en possession des documents et un matériel compromettant, a-t-on appris.
Les deux mis en cause ont été présentés devant la justice pour répondre des griefs retenus contre eux.

B. Henine

The post Ils se faisaient passer pour des bienfaiteurs: Deux malfaiteurs arrêtés à Saïda appeared first on .

Categories: Afrique

Sénégal/Accord sur le gaz avec la mauritanie : L’Assemblée nationale autorise la ratification

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 16:33
Le Soleil - Les députés ont adopté, vendredi 1er Juin, dans leur écrasante majorité, le projet de loi autorisant le président de la...
Categories: Afrique

Makri met le cap sur l’union avec El Binaa et le consensus national

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 16:22

Fort du plébiscite dont il a été gratifié lors du 7e congrès du parti tenu le 10 mai dernier, Abderezzak Makri passe à l’acte en composant le bureau exécutif du mouvement.

M. Kebci – Alger (Le Soir) – Une composante qu’il a eu à présenter, hier vendredi, à l’occasion d’une séance extraordinaire du nouveau conseil consultatif national, suivie du traditionnel iftar annuel que le mouvement organise chaque mois de ramadhan.

Ceci dans une démarche purement organique prévue dans les statuts du parti, en sus d’autres menus points liés à la finalisation de tout ce qui a trait au dernier congrès. Ce nouvel exécutif devra s’atteler à mettre en pratique les principales résolutions politiques adoptées lors du congrès d’il y a une vingtaine de jours. Notamment donner suite au projet d’union avec le mouvement El Binaa et entamer la nouvelle démarche du parti portant consensus national.

Lors d’une conférence de presse animée au lendemain de sa réélection à la tête du mouvement, le président du MSP a annoncé l’entame prochainement de larges contacts avec l’ensemble des forces nationales pour parvenir au consensus national, y compris avec le pourvoir, «sans lequel il ne peut être réalisé».

Pour Makri, la première préoccupation du parti est de prendre contact avec l’ensemble des forces nationales pour «rassembler et passer à une situation meilleure à tous les niveaux», dans le cadre d’un consensus national de toutes les tendances. Des contacts qui n’excluront pas le pouvoir sans lequel, selon lui, le consensus ne peut être réalisé. Un choix «certain» qui répond à la réalité des équilibres politiques qui ne saurait être ignorée. Ceci non sans préciser que l’échec de la démarche de la défunte CNLTD portant transition démocratique était de la responsabilité de ce même pouvoir qui avait tourné le dos à cette initiative inédite de l’opposition réunie pour la première fois, le 10 juin 2014, comme elle ne l’a jamais fait auparavant.

Le président du MSP a également clarifié, pour la énième fois, ce qu’il estime être «claire» la vision du mouvement concernant la participation au gouvernement. Un point qui a de tout temps constitué le différend majeur d’avec le camp entriste incarné par Bouguerra Soltani. Pour Makri, le sujet est définitivement tranché dans le programme politique adopté lors du dernier congrès extraordinaire puisque, désormais, «fixé par la donne politique et électorale».

Ledit document fixe, en effet, dans son article 19, les conditions d’une participation au gouvernement ou d’un positionnement sur l’échiquier politique en tant que parti d’opposition». Dont notamment l’engagement du parti qui «remporte démocratiquement les élections», la relance du pays par une bonne gestion et gouvernance et par la justice» et «la garantie des libertés et la préservation des deniers publics».

M. K.

The post Makri met le cap sur l’union avec El Binaa et le consensus national appeared first on .

Categories: Afrique

La double bataille politique et organique du FFS

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 16:10

«Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration. (…) Vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Ce sont les deux messages clés que le FFS a voulu transmettre à ses élus locaux à l’occasion d’une conférence-débat organisée jeudi dernier au siège et intitulée : «Relation élus-Parti».

Abder Bettache – Alger (Le Soir) – La nouvelle direction nationale du FFS multiplie les sorties et les déclarations médiatiques pour un objectif bien précis : mettre le parti sur l’orbite du débat politique national. Jeudi passé, au siège du parti, une conférence – débat intitulée Relation élus-Parti a été organisée au profit des élus locaux. Une rencontre qui a permis aux responsables du parti de renouer dans un premier temps avec sa base locale à travers ses élus locaux, «dont le but est de renouer le contact avec nos élus, les écouter, recueillir leurs doléances».Pour le FFS, le thème de ladite conférence-débat «est très important» au «vu des multiples enjeux politiques». D’ailleurs, son premier secrétaire national, M. Hadj Djilani a entamé son discours en rappelant une des citations de feu Hocine Aït Ahmed. Ce dernier avait déclaré que «être élu librement à la tête d’une mairie, n’importe où en Algérie est plus sage que d’être un président désigné… ». A ce propos, l’intervenant a rappelé à l’assistance que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national».

Et c’est dans cette optique que M. Hadj Djilani rappelle à ses militants que «vous êtes des élus du peuple, mais il ne faut jamais oublier que vous êtes surtout, des militants du Front des forces socialistes». Un rappel soutenu par des arguments selon lesquels «l’élu local a des rôles et des missions conférées par la loi, mais il a également un rôle politique, organisationnel et social». «La charte de l’élu du FFS prône la prééminence du politique dans l’exercice du mandat. Le militantisme est donc le credo que nous voulons que vous donniez à votre mandat, la cohésion entre les élus est de mise dans la gestion de la collectivité locale, le respect et la probité doivent être sans faille», a-t-il dit et d‘ajouter : «L’élu local représente l’axe de la vie politique locale parce que d’un côté, il occupe le sommet du système politique à l’échelle locale, et d’un autre, il exerce des fonctions ayant un impact important sur la vie et le développement de la société politique. Les élus du FFS doivent être vigilants et ne pas répondre aux tentatives et manipulations de l’administration».

La nouvelle direction nationale du FFS qui mise pour un double objectif doit réinvestir à la fois le terrain politique et organique, dira son premier secrétaire national et ce, en s‘adressant à ses élus, que «vous êtes parfaitement conscients de votre devoir envers vos électeurs, vous devez les servir et non vous servir. Vous devez être à leurs côtés à tout moment, bien que vos prérogatives sont limitées par le code communal et de la wilaya». Il dira aussi que «le FFS a pris part aux élections locales du 23 novembre 2017 en axant sa campagne électorale sur la solidarité locale et le consensus national. Notre solidarité, nous la marquons avec les populations démunies, avec les jeunes, avec les femmes, avec les syndicalistes, avec tous ceux et toutes celles qui se battent chaque jour, pour une vie digne et décente des Algériennes et des Algériens».

Pour le FFS, «la solidarité reste notre cheval de bataille, elle est votre cheval de bataille. Elle exige de vous une proximité quotidienne avec la population, un dialogue inclusif avec les citoyens et les acteurs de la société civile, en impliquant les travailleurs, les femmes, les jeunes dans la gestion et la gouvernance locales. De son côté, le parti que vous représentez s’engage à vous assurer la défense et la protection politique et judiciaire, face aux abus de l’administration et de la justice. Il s’engage à vous accompagner par une formation permanente et de qualité, et à assurer une relation régulière entre les élus et les structures du parti ».

A. B.

The post La double bataille politique et organique du FFS appeared first on .

Categories: Afrique

Un mort et 2 blessés dans un carambolage prés de Berriane (Ghardaia)

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 15:58

Une personne a trouvé la mort et deux autres ont été grièvement blessées, dans un carambolage impliquant plusieurs véhicules, vendredi en fin de soirée près de Berriane à 50 Km au nord Ghardaia, a-t-on appris auprès de la protection civile.

Ce carambolage qui s’est produit à deux Km à la sortie Nord de localité de Berriane a causé la mort sur le coup d’un chauffeur d’un véhicule et deux blessés graves souffrant de multiples traumatismes, précise la même source.

Le corps de la victime décédée sur place et les blessés ont été transféré respectivement vers la morgue et les urgences de la polyclinique de Berriane.

Une enquête a été ouverte par les services de la gendarmerie nationale afin de déterminer les circonstances précises de cet accident.

The post Un mort et 2 blessés dans un carambolage prés de Berriane (Ghardaia) appeared first on .

Categories: Afrique

Conseil des ministres: un second report et des interrogations

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 15:58

Ahmed Ouyahia a affirmé, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”.

Le Conseil des ministres qui devait se pencher, lors de sa réunion attendue pour jeudi, sur l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, n’a pas eu lieu. Pourtant, apprend-on de sources sûres, les ministres du gouvernement Ouyahia ont bel et bien été contactés par la présidence de la République, au courant de la semaine, pour être conviés à cette réunion de travail présidée par Abdelaziz Bouteflika. Le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, avait, lui-même, d’ailleurs, indiqué, en marge de l’inauguration de la Foire internationale d’Alger, le 8 mai dernier, que l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018 sera étudié en Conseil des ministres dans “un délai d’une semaine ou deux”. C’est-à-dire au plus tard, jeudi 31 mai. Le Premier ministre confirmait alors un premier report, qui aurait été dicté par une demande du chef de l’État de procéder à une seconde lecture de l’avant-projet de loi en question. Les hautes autorités du pays, qui n’ont pas officiellement motivé le premier report, ont encore moins justifié le second.

Aussi, l’interrogation reste intégrale et ouvre la voie devant les conjectures. En effet, le seul motif évoqué l’est de manière officieuse. Il explique cet ajournement par le décès de la mère du président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci. Onze ministres ont, d’ailleurs, assisté aux obsèques de la défunte, jeudi, à Tlemcen. Mais qu’est-ce qui empêcherait, dans ce cas, la présidence de la République de communiquer, et expliquer ainsi, à l’opinion publique, les raisons de cet ajournement. Parce qu’il faut dire que ce Conseil des ministres était particulièrement attendu. Concernant l’avant-projet de loi de finances complémentaire 2018, qui avait subi une deuxième lecture en réunion du gouvernement, sur demande du président Abdelaziz Bouteflika, sans pour autant que les taxes sur les documents d’identité soient révisées, les citoyens gardaient l’espoir de voir le Conseil des ministres assouplir ce qu’il y a lieu d’appeler une véritable “surtaxation” des documents biométriques. L’autre explication trouvée au report du Conseil des ministres est liée à la santé de Bouteflika.

Les mauvaises langues parlent de la méforme du chef de l’État. Pour elles, le déplacement des ministres à Tlemcen ne convainc pas trop, arguant que, même si c’était vraiment le cas, le Conseil des ministres aurait pu se tenir en soirée, après la rupture du jeûne. Cela s’est déjà produit lors des précédents mandats présidentiels. Côté opposition, du moins pour le parti politique, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), les raisons de ces reports sont ailleurs. Elles sont à chercher dans la volonté du chef de l’État de soustraire le projet de loi au débat parlementaire.

En effet, le parti de Mohcine Belabbas soupçonne une volonté inavouée de promulguer le texte par ordonnance présidentielle durant l’intersession parlementaire. Cela étant, l’avant-projet de LFC-2018 ne fait pas encore consensus parmi les membres du gouvernement. En témoigne, d’ailleurs, la récente sortie du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, qui ne semblait pas totalement assumer les “taxes” que le texte propose d’instituer. Ceci, deux jours après la note publiée sur le portail du Premier ministère, et qui justifiait les taxes en question.

Mehdi Mehenni

The post Conseil des ministres: un second report et des interrogations appeared first on .

Categories: Afrique

Hommage à Abou Mborom Gueladio, un héros

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 15:51
Elhadj Guaye - C’est par la voix fluette de Kadiada Malick Diallo lisant un poème de Abou Mborom que j’ai appris la nouvelle de son...
Categories: Afrique

L’odeur d’un passager force un avion à atterrir d’urgence !

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 15:49

Selon des témoignages, certains passagers du vol devant rallier les Canaries à Amsterdam se sont mis à vomir. L’avion s’est posé à Faro, au Portugal.

« Une puanteur pire que celle d’un cadavre »

Selon Transavia, plusieurs passagers sont tombés malades et certains ont été pris de vomissements. « A partir du moment où l’homme est entré dans l’allée, les gens ont commencé à crier et à plonger dans leurs sacs à la recherche de mouchoirs à garder devant eux », témoigne Piet Van Haut, toujours dans De Telegraaf. L’homme, qui semblait souffrir, a été envoyé à l’arrière de l’appareil pour tenter de contenir les effluves, mais cela n’a rien changé.

Transavia #HV5666 diverted to Faro after a man’s body odour caused passengers to vomit https://t.co/fqK5VzMsMU

— AIRLIVE (@airlivenet) 1 juin 2018

L’équipage a également tenté de vaporiser des bombes de parfum. En vain. « J’ai entendu quelqu’un dire que la puanteur était pire que celle d’un cadavre qui se décomposait depuis un mois. C’était une situation intenable », a ajouté Piet Van Haut. Le commandant de bord a alors annoncé qu’une escale allait être effectuée à Faro. Après le passage d’une équipe de nettoyage, le Boeing 737 a pu reprendre son envol.

The post L’odeur d’un passager force un avion à atterrir d’urgence ! appeared first on .

Categories: Afrique

Des Béninois recherchés par les victimes du drame

24 Heures au Bénin - Sat, 06/02/2018 - 15:16

Plus d'une cinquantaine de morts, des blessés et de nombreux dégâts matériels. C'est le bilan du drame qui vient de se produire au grand marché de Lomé, dans la capitale togolaise. L'immeuble de six étages, situé non loin de l'Institut Goethe, s'est effondré vendredi soir, causant de nombreux dégâts et des pertes en vies humaines au marché Assiganmè. Selon des témoins, plus d'une cinquantaine de morts a été dénombrée. Les blessés se comptent par dizaines. Pour le moment, il est difficile d'évaluer les pertes subies par les commerçants du marché. Elles pourraient être estimées à des centaines de millions de francs CFA.
Des recherches sont en cours pour identifier les Béninois parmi les victimes de ce drame qui vient d'endeuiller le Togo.
Les causes de la catastrophe ne sont pas encore élucidées.
Le marché Assiganmè a été victime, il y a quelques mois, d'un incendie qui a nécessité la reconstruction des bâtiments.

D. M.

Categories: Afrique

En images : Lancement de la campagne "Mon lait est local" à la CCIAM de Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 15:10
Le Calame - La campagne régionale d’Oxfam et de ses partenaires en Mauritanie pour la promotion du lait local a été officiellement lancée, ce...
Categories: Afrique

Sahel : la Suède soutient les agriculteurs et éleveurs frappés par la sécheresse (FAO)

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 14:30
Mediaterre - La Suède a accordé une contribution de 9,9 millions de dollars pour venir en aide aux agriculteurs et aux éleveurs frappés par la...
Categories: Afrique

Direct Aid au secours des populations vulnérables

24 Heures au Bénin - Sat, 06/02/2018 - 14:21

Le siège de l'Organisation Internationale Direct Aid Bénin a servi de cadre à la distribution de milliers de vivres et autres apports au profit des populations vulnérables à faibles revenus de Cotonou. C'était ce jeudi 31 mai 2018 en signe de partage et de solidarité en ce moment où la communauté musulmane est en période de jeûne.
Ayant pour objectif de venir au secours des populations à faibles revenus à Pobè, Parakou, Djougou, Bassila et Kandi, cette œuvre de Direct Aid, répond à son engagement de lutter en permanence contre l'ignorance, la pauvreté et la maladie, en toutes circonstances et partout au Bénin. Le Représentant résident de Direct Aid, Hamid El Absodi, dira que « ça ne coûte rien mais vous, vous êtes plus chers pour nous ». Pour lui, ce que revêt les hommes et les femmes pour l'organisation est tellement précieux, que par ses actions humanitaires et sociales, l'organisation entend œuvrer pour un mieux-être social de chacun. Ceci dans le but d'impacter les localités pauvres et graver la culture de l'amour et d'entraide au sein de la population. Le kits constitués de 5 litres d'huile, de 5 kilos de riz, de pâtes alimentaires, de sardines, de tomates en boîte, de lait et du sel, offert aux pauvres pour alléger leur souffrance.
Une action que la Directrice des Affaires sociales et des Personnes Handicapées, Léa Honfo Akpovo, a reconnu à juste titre. La représentante de la ministre des Affaires Sociales et de la Microfinance, pense qu'« il est toujours louable de voir au-delà des efforts du gouvernement, des groupes d'individus à travers des ONG tel que Direct Aid qui donne à l'homme la chance de préserver son honneur et sa dignité ». Les actions menées par Direct Aid dans les domaines de la santé, de l'éducation, du social, des micro-projets et de la formation sont, dira-t-elle, capitales pour la survie de l'humanité. Le représentant du ministre de l'intérieur, Alim Maoude, confie qu'il urge de soutenir les personnes démunies et accompagner le gouvernement dans ses actions. Il n'a pas manqué de souligner l'affection du gouvernement pour Direct Aid qui l'accompagne dans le développement social des populations. « Nous sommes contentes de l'attention que Direct Aid Bénin nous accorde chaque année en nous gratifiant de ces kits de vivres. Notre reconnaissance n'a pas de limite, car cela va nous soulager durant cette période difficile », a déclaré une bénéficiaire.
La cérémonie s'est déroulée en présence de l'Attaché administratif de l'Ambassade du Koweït au Bénin, Khaled Elsemak et du Chargé d'Affaires de l'Ambassade de Libye au Bénin, qui, tous ont exprimé leur joie de pouvoir partager ce moment de fraternité avec les personnes les plus nécessiteuses de Cotonou et environs.
Direct Aid reste une organisation importante pour ses actions humanitaires au Bénin et dans le monde.

G. A.

Categories: Afrique

Mémoire du chaudron 86

24 Heures au Bénin - Sat, 06/02/2018 - 14:16

Yayi sortit enfin et le cortège put s'ébranler en direction de Ségbana. Le soleil semblait s'être levé plus tôt que d'ordinaire et ses rayons argentés perçaient vaillamment l'épais cordon de poussière que devenait la piste carrossable avec notre passage. L'état de la voie était exécrable et nous sentions les complaintes des suspensions de notre véhicule. Nous avions veillé à n'être que deux dedans, malgré maintes plaidoiries pour que nous embarquions des intrus. Ils nous auraient rendu le trajet pénible, en nous empêchant de causer librement.

La conduite sur une piste pareille nécessitant beaucoup de concentration de la part du chauffeur, je ne causai pas beaucoup avec Macaire. Cela faisait bien neuf jours qu'il était au volant. Je profitai alors du calme dans la voiture pour me plonger dans une méditation à propos de ce peuple, les Baribas ou _"Baatumbus"_, dont on situait les origines au Nigéria, et qui avait atteint un niveau d'organisation sociale aussi évolué que complexe.

Parmi les locuteurs de la même langue, il fallait en effet distinguer les princes, ceux de la classe dirigeante encore appelés les _"wassangari"_, les Baribas ordinaires et les Baribas dits de souche inférieure, les _"gandos"_, dont les aïeuls seraient des bouviers peulhs engagés pour l'entretien du cheptel bovin des princes et qui, au fil des siècles, auraient assimilé les us et coutumes de leurs maîtres.

Je repensai à la facilité avec laquelle Yayi s'était fait accepter et adopter par ce peuple pourtant si fier et si tatillon sur ses éléments identitaires. Je ne crois pas, contrairement à beaucoup d'analystes, que cette adoption facile soit liée aux plaisanteries de cour qui ont toujours lié les Baribas et les Nagots. Il se fait que _"Yayi Boni"_ est composé de deux noms très familiers et très répandus dans les contrées baribas où _"Boni"_ par exemple, désigne le quatrième fils.

Du nagot au baatonu, il n'y avait que l'accent qui varie dans le prononcé du nom _"Yayi Boni"_ qui, finalement, passe très bien auprès du bas peuple bariba.
L'opération eût été nettement moins souple si notre candidat se nommait autrement. C'était là, à mon avis, une programmation qui ne pouvait relever que du destin.

Comme je le disais dans un épisode précédent, je ne suis pas locuteur baatonou. J'aurais pourtant pu parler couramment cette langue si, en plus des documents d'alphabétisation que je passais récupérer gratuitement au centre d'alphabétisation de Parakou, encore appelé _"Baatonnou kéou", le chaudron de mon quartier _"Yéboubéri"_ m'avait offert un bain linguistique adéquat. Mais, la langue dominante dans mon quartier, c'était le dendi, même si l'essentiel des populations autochtones est de souche bariba. J'ai eu cependant d'excellents copains baribas tout au long de mon parcours académique, et le trait commun que je retrouve entre eux est la fierté, et surtout le courage.

L'un de ces amis que j'eus en classe de sixième et dont la personnalité ne démentait pas ces deux caractères s'appelait Damagui. C'était un passionné de cinéma. Et déjà à cet âge, profitant d'une surveillance plus relâchée de ses parents, il passait toutes ses soirées dans la salle de cinéma de la ville où se diffusaient en semaine des films karaté. Puis, le lendemain, Damagui mettait un point d'honneur à me faire vivre le film de la veille avec force onomatopées. Sa passion de ces comptes-rendus était telle qu'il montait rarement sur sa bicyclette _"Peugeot"_ flambant neuve qui l'aurait naturellement isolé de son fidèle auditeur que j'étais sur le chemin du retour du collège. Il préférait donc traîner le vélo jusqu'à son domicile, de façon à pouvoir garder le contact avec son auditoire.

Puis, les onomatopées s'enchaînaient, les unes plus sèches et plus bruyantes que les autres. Damagui eût sans doute pu m'apprendre sa langue, le baatonnou, s'il ne passait pas tout son temps à me raconter le dernier exploit de Bruce Lee ou de Jacky Chan. Cette amitié, bien qu'éphémère, me marqua beaucoup. Je fis, quelques années plus tard, en classe de Troisième, plusieurs sorties vers des hameaux baribas de la périphérie de Parakou et je pus, à ces occasions, toucher du doigt la notion de l'hospitalité, mais aussi celle du code de l'honneur chez ce peuple qui a pour tradition de toujours garder une portion d'igname pilée au fond du mortier, pour un éventuel visiteur. Ce peuple pour qui une femme parturiente se couvre d'infamie en poussant des cris de douleur.

Il y a tant et tant de choses à savoir encore sur la culture baatumbu. Mais, pour le moment, c'était l'état de la route de Ségbana qui transformait le voyage en un véritable calvaire pour nos véhicules. Le sol, de plus en plus poudreux, ralentissait l'avancée du cortège. Un véhicule se mit à patiner, bloquant tous les véhicules qui le suivaient, coupant de fait, en deux, le cortège. Le véhicule de tête, alerté, finit par s'arrêter. Un chauffeur plus expérimenté se mit au volant de la voiture immobilisée par ce sol poudreux. Il fit une manœuvre si brusque que le véhicule, en s'élançant, souleva une poussière si épaisse que nous nous précipitâmes dans nos véhicules respectifs, pour protéger nos voies respiratoires.

Puis, le cortège se remit en route. Les hameaux étaient si rares sur le trajet que nous semblions parfois rouler sur une planète sans repère. Ségbana, c'était vraiment le Bénin. Nous finîmes par l'atteindre aux environs de onze heures. Ma surprise fut grande d'y trouver une école et des bâtiments administratifs. C'était la première fois que je m'y rendais. Dans le cortège électoral du Général Mathieu Kérékou en 2001, nous avions annulé cette étape, en nous arrêtant à Kalalé, en provenance de Nikki. Cette fois-ci, nous prenions le tronçon dans le sens opposé. Donc au lieu de Nikki-Kalalé-Ségbana-Kandi que le vieux caméléon avait arrêté à l'étape de Kalalé, le cortège du candidat Yayi roulait plutôt dans le sens inverse : Kandi-Ségbana-Kalalé-Nikki. Et ce sens me paraissait plus pratique.

Ségbana, rendue tristement célèbre par cette réputation de goulag tropical que lui donna le régime du Parti de la révolution populaire du Bénin, Prpb, dans sa forme répressive, n'en reflétait pourtant rien. L'agglomération avait beau avoir abrité le centre de détention politique le plus strict, lui donnant une connotation de prison géante dans mon esprit, cela ne se sentait aucunement. Le meeting fut sobre et bref. La population, essentiellement bariba et peulhe, semblait ne connaître qu'un seul candidat : le nôtre. Quelques-unes de nos affichettes sont perceptibles sur des murs et des arbres. Certains crurent utile de remettre au goût du jour des tee-shirts à l'effigie du Général Mathieu Kérékou. Ils ont peut-être raison.

Après tout, ils n'attendent pas grand-chose de ces alternances au sommet de l'État. Leur agglomération dépend presque exclusivement du Nigéria voisin dont ils ont d'ailleurs adopté la monnaie, pour toutes leurs transactions.
Ils voteront Yayi Boni, comme ils ont déjà plusieurs fois voté Kérékou, sans rien exiger ni rien espérer. Ils voteront surtout parce que c'est le choix de leur frère, Bani Samari.

Le cortège s'ébranla à nouveau. Direction sud-est. Destination Kalalé. Nous roulâmes presque infiniment sur cette piste défoncée qui serpentait à travers la savane arborescente et herbacée, soulevant une longue traînée de poussière rouge ocre. De temps en temps, nous rencontrions un paysan qui, prudemment, descendait de son vélo qu'il trainait dans la brousse en nous faisant de grands signes enthousiastes, avant de se dissoudre dans la grande nuée de poussière que nous laissions derrière nous. Le soleil était maintenant au zénith et la climatisation de notre voiture fut poussée à plein régime.

De temps en temps, la vitesse du cortège était perturbée par l'état de la voie. Le cortège ralentissait alors, trouvait le meilleur moyen de négocier la crevasse, puis se relançait aussitôt. Bientôt, des troncs d'arbres disposés perpendiculairement sur la piste annoncèrent Kalalé. Les populations, qui patientaient depuis la veille, avaient trouvé ce moyen pour s'assurer de notre arrêt. Le cortège s'arrêta, puis, suivant l'itinéraire que nous indiquait un groupe de jeunes gens surexcités et exhibant des affichettes à l'effigie de Yayi, nous nous retrouvâmes sur l'espace aménagé pour le meeting et qui grouillait de monde, malgré le soleil accablant.

Nous étions toujours dans l'espace géographique bariba-peulh, et les réflexes identitaires ne variaient pas. Une sonorisation hésitante crachait l'hymne fétiche composé en baatonnou par l'artiste Bourousman et qui tournait dans mon esprit chaque fois que je n'avais pas un sujet de méditation.

Je restai dans la voiture que nous laissâmes en marche, pour échapper à la chaleur cuisante qui sévissait dehors. Nous n'attendîmes pas longtemps, et le cortège reprit la route vers Nikki que nous atteignîmes un peu après treize heures. Adam Boni Tessi, le maire, vint nous accueillir à l'entrée de la ville. Il était accompagné de quelques notables de la ville. Il se mit devant notre cortège et nous conduisit dans une résidence calme, toujours à l'entrée de la ville.

Un déjeuner était prévu. Ouf, je sentais justement un creux dans l'estomac. Les véhicules garèrent pêle-mêle devant la résidence et nous nous installâmes tous dans le séjour, à l'exception des chauffeurs et des hommes en arme. Pendant que le service d'igname pilée et de riz au gras démarrait, je sortis pour humer un bol d'air, le temps que les serveuses ne soient à mon niveau.

Dehors, je retrouvai encore le groupe qui, le matin, se plaignait du positionnement du véhicule des pasteurs, en pleine ébullition. Ils discutaient vivement avec le pasteur Alokpo et le débat gagnait en nervosité. Charles Toko était furieux. Il menaça d'aller discuter de vive voix avec le candidat Yayi des difficultés que créaient les pasteurs au service de sécurité. Je savais qu'il n'allait pas le faire. Et il ne le fit pas. Quant à moi, je retournai à la table, en gardant pour moi mon opinion sur le sujet.

À la fin du repas, Adam Boni Tessi disparut du séjour avec Yayi, puis les deux revinrent quelques minutes plus tard, vêtus d'un même habit traditionnel bariba superbement brodé. La salle se répandit en compliments. Le top du départ pour le stade fut aussitôt donné. Dans un cafouillage devenu habituel, le cortège se redéploya. Nikki nous attendait depuis la veille, nous souffla-t-on.

(✋À demain)

*Tibo*

Categories: Afrique

« Ness El Khir »: quand le Ramadhan rime avec renouvellement de la mobilisation à l’action bénévole et caritative

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 13:51

L’avènement du Ramadhan est, pour la Fondation de jeunes « Ness El Khir », synonyme de mobilisation renouvelée en faveur de l’action bénévole et caritative, en s’appuyant sur une « armée » de jeunes volontaires, tous mus par le don de soi, la générosité et le dévouement.

En plus de leur forte et remarquable présence, durant les deux premières semaines de ce mois sacré, dans les grandes surfaces et marchés, les « brigades » « Ness El Khir » se sont illustrées cette année par l’organisation d’une grande Kheima au niveau de la Place E Kittani à Bab El Oued, et qui se transforme à l’approche de l’heure de l’Iftar, à la faveur de l’invitation « Aji Teftar » (venez partager un Iftar), en un rendez-vous festif pour des gens de passage, des habitants du quartier, des familles démunies et nécessiteuses et parfois même pour des touristes, venus partager une expérience humaine hors du commun.

Le choix a été porté sur ce site, dira le Secrétaire général de « Ness El Khir », Mohamed Mounir Kourbi, d’accueillir les gens dans le respect des valeurs d’hospitalité ancrées dans le legs et les traditions de la société algérienne et de les recevoir en tant qu’invités et non nécessiteux.

Précisant que beaucoup de ces « invités » donnent un coup de main à l’organisation et au nettoyage aussi bien avant qu’après le Ftour, M. Kourbi a déclaré que « ces dernières années, nombreux sont les jeunes qui sont passés d' »invités » aux repas collectifs à membres actifs et cadres au sein de la Fondation ».

« Le Ramadhan est une occasion pour le renouvellement de la mobilisation en faveur de l’action bénévole et caritative, grâce aux différents projets programmés chaque année », a-t-il ajouté.

La Kheima de l’Iftar, d’une capacité de 1000 personnes, s’inscrit dans le cadre de la 8ème édition du programme spécial Ramadhan « Rana h’na » (nous sommes là), qui a trouvé un « très bon écho » auprès des différentes institutions officielles et plusieurs opérateurs économiques pour offrir des repas riches et variés préparés par un cuisinier professionnel.

Très calme la matinée, la Kheima se transforme, au fil des heures, en véritable ruche où s’activent les « brigades » avec beaucoup de professionnalisme pour accueillir, comme chaque jour depuis le début du Ramadhan « près de 900 personnes », entre sans abris, démunis, gens de passage, travailleurs des chantiers de bâtiment, étudiants, migrants de différentes nationalités africaines et arabes, et même des touristes européens, attirés par la curiosité et l’ambiance fraternelle. A tout ce monde s’ajoutent des familles qui préparent leurs repas et viennent le partager avec d’autres.

En plus un quota des repas préparés est acheminé par les bénévoles vers les catégories nécessiteuses qui ne peuvent faire le déplacement, a-t-on encore précisé.

Louée pour « environ 300 millions de centimes », dont la moitié est prise en charge par une société privée et l’autre grâce aux bienfaiteurs, la Kheima de « Ness El Khir » est approvisionnée par les dons collectés à travers les grandes surfaces et marchés de gros et même auprès des entreprises de l’agroalimentaire. Quotidiennement, 300 bénévoles sont mobilisés pour les opérations de collecte de dons, de préparation et distribution des repas et de nettoyage, et l’intervention de chaque équipe est orchestrée de manière précise et méthodique.

La Kheima de l’Iftar a reçu plusieurs personnalités nationales à l’instar du président du réseau Nada, Abderrahmane Arrar, et d’autres sont attendues comme le président de la Fondation Emir Abdelkader, le moudjahid Lakhdar Bouragaa ainsi que des figures sportives comme le sélectionneur national Rabah Madjer et l’ancien joueur Amar Amor.

Par ailleurs, la Fondation « Ness El Khir » a initié le programme « Khir Rabi » (les biens d’Allah) à travers la distribution de 5.000 couffins de plus de 7.000 DA de produits alimentaires.

Depuis le début du mois sacré, quelque 1.000 couffins ont été distribués dans les communes d’Alger alors que le reste est destiné aux différentes régions du pays à partir de trois points de distribution, à Oran, Biskra et Annaba.

Une convention signée avec la start-up de transport « Tem Tem » permet l’acheminement des dons, en utilisant une application intelligente, vers les points de ralliement.

Pour la deuxième moitié du mois, la Fondation a programmé également une opération de circoncision au profit de 200 garçons de familles démunies au niveau de la capitale et de 50 autres de chacune des quatre régions du pays alors que les préparatifs vont bon train pour l’opération de distribution de vêtements d’enfants à l’occasion de l’Aïd El Fitr.

Mettre à profit le potentiel de la jeunesse pour consacrer le professionnalisme de la société civile

Depuis sa création, il y a 8 ans, la Fondation « Ness El Khir » s’emploie à la consécration du principe de professionnalisme de la société civile à travers la promotion de son action en tant qu’acteur de la société civile, l’adoption du professionnalisme dans l’élaboration de ses programmes, la présence sur le terrain et la coordination avec les différents partenaires en matière d’humanitaire, d’environnement et de social, tout au long de l’année.

Le président de « Ness El Khir », Tarek Zerrouki, également et l’un de ses fondateurs a expliqué que tout a commencé par un groupe de jeunes sur les réseaux sociaux, dont la première action de solidarité a été l’affaire de la vieille dame « El-Hadja Rahma » de la wilaya de Laghouat, et dont le nom est désormais celui du programme humanitaire de la Fondation.

Suite à l’écho de cette affaire, les jeunes ont convenu de poursuivre leur action de solidarité sous l’appellation de « Ness El Khir », puisé dans le legs social, avec un slogan, un organigramme et un programme d’action pour 2010, a-t-il ajouté rappelant que la première action d’envergure a été l’opération de volontariat pour le nettoyage des plages tout le long du littoral national, à la faveur de « Blue Day » (la journée bleue).

S’appuyant sur la Constitution qui stipule que le bénévolat est un droit consacré par la loi, « Ness El Khir » est devenue en 2016 une Fondation légale à caractère caritatif  et a gagné en professionnalisme. Désormais, son action fait appel au sponsoring et au partenariat avec des opérateurs économiques.

Constituée d’une Direction générale chapotant sept Sous-directions animées par des groupes de travail spécialisés qui se réunissent périodiquement au nouveau siège social à Ben Aknoun, la Fondation compte trois programmes d’action, à savoir humanitaire « Rahma », de protection de l’environnement « Blue Day » et social « Chaabi ». Des programmes qui traduisent sa ligne de conduite et constituent le cadre général pour tout bénévole désirant rejoindre le Fondation, qui dit « se démarquer de toute personne activant en dehors de ce cadre ».

S’appuyant largement sur les réseaux sociaux, « Ness El Khir » possède 48 pages web à travers l’ensemble du territoire national et compte plus d’un (1) million de bénévoles et d’adhérents, dont 90% âgés entre 15 et 35 ans.

Après le mois de Ramadhan, la Fondation, très active tout au long de l’année, lancera l’opération « Blue Day » et des actions sont d’ores et déjà en préparation en prévision de la prochaine rentrée sociale et de l’Aïd Al-Adha.

Les responsables de « Ness El Khir » souhaitent impliquer les jeunes cadres au sein d’instances officielles de la société civile dans l’élaboration d’une vision et d’une stratégie d’avenir pour promouvoir les différents secteurs dans le pays, bénéficier de plus de facilités au niveau administratif et voir les entreprises publiques s’engager davantage dans leurs actions. Ils ont affirmé œuvrer à mettre leurs actions de bénévolat à l’abri de toute instrumentalisation politique, soutenant que « l’Algérie est leur seule et unique appartenance ».

The post « Ness El Khir »: quand le Ramadhan rime avec renouvellement de la mobilisation à l’action bénévole et caritative appeared first on .

Categories: Afrique

Mauritanie: l'opposition se prépare aux élections de septembre 2018

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 13:51
RFI - Les Mauritaniens iront aux urnes en septembre prochain dans le cadre des élections municipales, régionales et législatives avant la...
Categories: Afrique

Droits de l’enfant : l’Algérie à la 65e place !

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 13:50

L’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.

L’État algérien a consenti beaucoup d’efforts en matière de promotion et de protection de l’enfant, à se fier à l’organisation non-gouvernementale (ONG) britannique Save the Children (sauvez les enfants), qui a publié, ce week-end, son rapport mondial intitulé “Les multiples visages de l’exclusion” qui a touché 175 pays. Ce document rendu public à l’occasion de la Journée mondiale de l’enfance a, en effet, classé l’Algérie à la 65e place en termes de prise en charge des besoins de l’enfant, notamment la nutrition, la lutte contre la violence, l’éducation, l’intégration et l’épanouissement.

Selon ledit rapport, l’Algérie est classée parmi les pays où les enfants sont le moins confrontés aux risques, affirmant que “plus de 1,2 milliard d’enfants dans le monde, soit plus d’un sur deux enfants, notamment en Afrique, sont menacés par la pauvreté, la discrimination ou encore les conflits, d’une part, et que 240 millions d’enfants vivent dans des pays en guerre”. Et si le Singapour et la Slovénie sont les deux pays les mieux classés, devant la Norvège, la Suède et la Finlande, cette ONG déplore, encore une fois, que le bas du tableau soit toujours occupé par 10 pays du continent noir, dont le Niger classé à la 175e et dernière position. Cela étant dit, les grandes puissances, à l’image des États-Unis (36e place), la Russie (37e place) et la Chine (40e place) arrivent derrière tous les pays d’Europe occidentale dans ce classement, malgré, précise l’ONG, “leur puissance économique, militaire et technologique”. Autre source de violence qui épargne l’Algérie, mais qui touche 20 pays dans le monde, comme la Somalie, l’Afghanistan, le Yémen ou le Soudan du Sud,  “les préjugés sexistes qui touchent 575 millions de filles”. Face à cette situation dégradante, Save the Children a interpellé les gouvernements du monde à faire preuve de diligence et à mener “une action urgente (…) sans cela, les promesses faites par tous les pays à l’ONU en 2015 de permettre à chaque enfant de vivre, d’apprendre et d’être protégé ne seront pas tenues”.

En ce sens, l’Algérie poursuit actuellement ses efforts pour le parachèvement de la promulgation des textes d’application issus de la loi 12-15 du 15 juillet 2015, relative à la protection de l’enfant, notamment les aspects qui devront régir les centres de protection des enfants en détresse et les services d’action éducative en milieu ouvert pour renforcer la protection et la promotion de l’enfance. L’objectif est d’arriver à instaurer durablement d’un nouveau plan d’action national sur la protection de l’enfant et son bien-être, le gouvernement algérien est tenu de garantir la protection des droits des enfants sans famille et d’épargner cette frange vulnérable de la déperdition scolaire, des exploitations abusives sur le marché informel et la contrebande, des fléaux sociaux et des phénomènes émergents sur le cyberespace.

Si les chiffres avancés par les pouvoirs publics et ceux avancés par la société civile diffèrent, il n’en demeure pas moins que l’Algérie a encore du chemin à faire quand on sait que plus de 64 000 enfants sont nés sous X et que l’exploitation sur le marché noir touche plus de 200 000 enfants âgés entre 6 et 18 ans. La déperdition scolaire étant un facteur majeur de cet état de fait déplorable, l’Algérie enregistre annuellement plus de 6 000 enfants victimes de tous types d’agressions et près de 4 000 autres en danger moral.

En milieu rural, la situation est encore plus inquiétante. Raison pour laquelle il a été créé une Délégation nationale pour la protection de l’enfant, rattachée au Premier ministère, le lancement par la Sûreté nationale de 50 cellules d’écoute et de prise en charge des enfants en danger et la création de brigades de prise en charge des mineurs dans chaque wilaya par la Gendarmerie nationale.

FARID BELGACEM

The post Droits de l’enfant : l’Algérie à la 65e place ! appeared first on .

Categories: Afrique

Sirghaz: 500 000 véhicules à reconvertir avant la fin de 2021

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 13:40

Lors de sa visite de travail dans la wilaya de Boumerdès, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a exhorté ses collaborateurs à faire des efforts nécessaires pour réaliser le programme de reconversion de 500 000 véhicules en sirghaz avant la fin de l’année 2021.

Il a, par ailleurs, donné instruction pour que désormais tout projet d’installation d’une nouvelle station de services, un atelier de reconversion soit également concrétisé. «A partir de Boumerdès, je vous le dis, dorénavant, vous mentionnerez obligatoirement dans le cahier des charges de chaque projet de construction de stations-services l’obligation d’ouvrir un atelier de reconversion de véhicules en sirghaz.»

C’est l’instruction qui a été adressée au DG de Naftal lors de l’inauguration d’une station de services au niveau de Seghirat sur la RN24. 

Le ministre n’a pas manqué de rappeler que l’Etat finance une partie de cette reconversion. Sur la disponibilité régulière de ce carburant — ce n’est, en effet, pas toutes les stations de services qui disposent de distributeurs — le ministre n’a pas pris d’engagement mais a promis de faire plus d’efforts pour rendre sirghaz disponible partout.

Abachi L.

The post Sirghaz: 500 000 véhicules à reconvertir avant la fin de 2021 appeared first on .

Categories: Afrique

L’Ambassade d’Algérie à Bruxelles dénonce la diffusion d’une vidéo hostile à Bouteflika depuis le siège du Parlement européen

Algérie 360 - Sat, 06/02/2018 - 13:34

L’ambassade d’Algérie à Bruxelles a dénoncé vendredi le « détournement inacceptable » de symboles de l’Union européenne (UE) et du siège du Parlement européen pour « attenter à l’honneur et à la dignité des institutions » algériennes.

« A la suite de la publication, par une pseudo journaliste d’origine algérienne, d’une vidéo offensante attentant à l’honneur et à la dignité des institutions de la République algérienne, l’ambassade a effectué ce jour des démarches officielles pressantes auprès des responsables de différentes instances de l’Union européenne (…) pour dénoncer énergiquement le détournement inacceptable des symboles de l’UE et de l’espace réservé par le Parlement européen aux journalistes professionnels », a indiqué l’ambassade d’Algérie à Bruxelles dans un communiqué.

La représentation diplomatique de l’Algérie à Bruxelles a regretté que des symboles de l’UE et un siège de l’une de ses institutions aient « servi de cadre à cette misérable mise en scène qui rentre dans le cadre de ‘la feuille de route’ de cet agent invétéré de la subversion et de la sédition ».

Rappelant que cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles a été congédiée à cause de son « incivisme » et de son « comportement bipolaire », l’ambassade d’Algérie à Bruxelles a déploré l’attitude de cette « pseudo-journaliste » qui a mis « servilement sa voix et sa plume mercenaires au service de puissances étrangères hostiles à l’Algérie ».

« Dans sa litanie de contrevérités suintant l’aigreur et la frustration, cette ancienne correspondante de l’ENTV à Bruxelles (…) a choisi, pour des considérations purement mercantiles et opportunistes, de vomir sa haine de l’Algérie, ses symboles et ses institutions », a-t-on ajouté.

The post L’Ambassade d’Algérie à Bruxelles dénonce la diffusion d’une vidéo hostile à Bouteflika depuis le siège du Parlement européen appeared first on .

Categories: Afrique

Ciré Ba : Carton rouge à Biram Dah Abeid qui a franchi la ligne rouge

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 06/02/2018 - 13:16
Ciré Ba - Certaines victimes du génocide et les exclus de tous bords qui avaient fait de la lutte par procuration, à Biram Dah Abeid, leur mode...
Categories: Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.