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Afrique

Saint-Louis : "des dispositions prises" pour la ziarra de Nimzatt (gouverneur)

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 21:45
APS - Des réponses positives ont été apportées à l’ensemble des questions soulevées par le comité d’organisation de la ziarra annuelle...
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Le député Ghoulam, persona non grata en Arabie Saoudite

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 21:00
Adrar-Info - Le gouvernement saoudien a officiellement interdit, sans autre forme d’explication ni justification, au vice-président du...
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Louh : plus de 7000 milliards de DA d’amendes impayés

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 20:37

Le montant des amendes découlant de décisions judiciaires restées impayée, ces dernières années, a dépassé le seuil des 7000 milliards de DA, a déclaré jeudi le ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Tayeb Louh.

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Les employés de l’Imprimerie Nationale en sit-in devant la présidence

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 20:30
Le Calame - Une centaine d’employés de l’Imprimerie Nationale (IN), qui édite le quotidien gouvernemental « Horizons » ont tenu un sit-in...
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Ebola en RDC : plus de 300.000 personnes sensibilisées

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Thu, 06/07/2018 - 20:20
L'UNICEF et ses partenaires ont atteint plus de 300.000 personnes avec des informations vitales de protection contre la fièvre hémorragique à virus Ebola, depuis le début de l'épidémie d'Ebola dans la province de l’Equateur, en République démocratique du Congo (RDC), déclarée début mai.
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Poursuivi pour “attroupement illégal” avec quatre autres citoyens : Rachid Nekkaz devant le tribunal d’Akbou aujourd’hui

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 20:03

L’ex-candidat malheureux à l’élection présidentielle du 17 avril 2014 et néanmoins président du Mouvement pour la jeunesse et le changement (MJC), Rachid Nekkaz devra se présenter aujourd’hui, jeudi 7 juin, devant le tribunal correctionnel d’Akbou. Le tonitruant homme politique, qui a publié une copie de sa convocation par la justice sur sa page officielle facebook, comparaîtra ce matin devant le juge d’Akbou, aux côtés de quatre autres personnes. Les cinq mis en cause devront comparaître ce matin devant le juge d’Akbou, pour “attroupement illégal”. “Après l’acharnement policier, voici l’acharnement judiciaire : Tayeb Louh, ministre de la Justice, prépare 48 plaintes dans toutes les wilayas où Rachid Nekkaz a marché. Le 7 juin, Rachid Nekkaz se présentera avec 4 marcheurs à la convocation du juge d’Akbou pour ‘attroupement illégal’ lors de la marche de 669 km de Khenchela à Alger en novembre 2014. Mais le ministre refuse toutes les plaintes déposées par Rachid Nekkaz (Saâdani, piratage, diffamation)”, écrit M. Nekkaz sur sa page facebook. Le fondateur du MJC, qui nous a confirmé par téléphone sa comparution aujourd’hui devant le tribunal correctionnel d’Akbou, tient à dénoncer une “justice à deux vitesses” qui n’hésite pas à s’autosaisir lorsqu’il s’agit de “mater” un opposant au régime ou terroriser toute voix discordante. Néanmoins, quand il faut ouvrir une information judiciaire sur les dossiers de corruption à grande échelle ou ouvrir une enquête sur les affaires de détournement de deniers publics, les autorités judiciaires se confinent au rôle de spectateur. L’on se rappelle du cas de l’ancien président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Saïd Sadi, qui avait vu, en janvier 2015, le procureur de la République près le tribunal de Sidi-Mhamed (Alger) ordonner l’ouverture d’une information judiciaire à son encontre, après ses déclarations sur Ahmed Ben Bella, Ali Kafi et Messali Hadj. En revanche, tout le monde aura vu le même appareil judiciaire rester de marbre devant de graves dérapages verbaux, dont ceux de la députée islamiste, Naïma Salhi, qui a osé charger en toute impunité le peuple amazigh et sa culture.

KAMAL OUHNIA

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Examen du BEPC : Un sous-officier , "faux" candidat dans un centre de Nouakchott

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 20:00
Tawary - Mercredi 6 juin, premier du déroulement des épreuves de l’examen du BEPC, un jeune sous-officier de l'armée,en civil, s’était...
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Cryptomonnaies : aubaine ou marché de dupes ?

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:55

Les fous du bitcoin déchantent. Après plusieurs mois de hausse continue des cours,  lesquels ont atteint 20.000 dollars pour un bitcoin à la fin de l’année 2016, la chute de plus de moitié des cours sème le doute. Le premier Krach du marché des cryptomonnaies lève le voile sur une réalité que beaucoup ont choisi d’ignorer : celles-ci ne seraient-elles au final que des monnaies de singes, échappant à toute forme de contrôle, si ce n’est à celui des spéculateurs ?  Des doutes qui ont poussé la Justice américaine à ouvrir une enquête quant à une possible manipulation des cours qui aurait permis à des spéculateurs d’empocher de véritables fortunes. Nombreux sont les Algériens qui ont succombé aux chants de sirènes du bitcoin, et qui s’imaginent déjà brasser des fortunes grâce aux nouveaux marchés virtuels. D’autres restent sur une certaine défiance envers une monnaie que l’on connaît mal, d’autant qu’il n’y a aucun contrôle et aucun cadre réglementaire qui protège les investisseurs. Une question demeure et torture l’esprit de beaucoup de nos concitoyens : les cryptomonnaies sont-elles la poule aux œufs d’or ou tout bonnement une arnaque à grande échelle ? Pour Abderrezak Kerouche, Geek assumé, et investisseur chevronné sur le marché des bitcoins, le marché des bitcoins n’est pas dénué d’intérêt, même s’il faut faire preuve d’une certaine prudence si l’on ne veut pas y laisser des plumes. Celui-ci explique que l’intérêt  des Algériens pour le bitcoin, n’est pas nouveau, mais qu’il date déjà depuis quelques années. C’est ainsi qu’avant la Loi de finances 2018, et l’interdiction formelle de toute transaction, usage ou acquisition de cryptomonnaies, un certain nombre de nos concitoyens « détenteurs de comptes devises  et de cartes Visa et MasterCard, ont eu la présence d’esprit d’investir dans les bitcoins, et d’en acquérir au moment où le cours était au plus bas ». Avec l’explosion de la demande et des cours, ces derniers disposant d’un portefeuille appréciable de bitcoins ont pu non seulement alimenter le marché en cryptomonnaies, dans l’informel, bien entendu, mais aussi de continuer à investir  via différents portefeuilles virtuels. Et d’ajouter qu’une « simple interdiction de l’activité par la Banque d’Algérie, ne changera rien au développement du marché des cryptomonnaies, dans notre pays, dans la mesure où c’est un marché transfrontalier, avec des transactions intraçables ».  « Il y’a plein de personnes qui continuent à investir dans les bitcoins, même aujourd’hui », nous explique, Abderrezak Kerouche. Ce détenteur d’un master en Business Marketing de l’Université d’Annaba est, d’ailleurs, passé maître dans l’art de débusquer les arnaques sur les différentes plateformes d’échange de cryptomonnaies.

PYRAMIDE DE PONZI

Pour notre interlocuteur, il ne faut surtout pas chercher à faire fortune grâce aux monnaies virtuelles, car c’est le meilleur moyen de se faire avoir.  Il explique que dans le cadre de cette activité, un investisseur comme lui peut prétendre à un revenu mensuel raisonnable de 100 dollars, grâce aux placements sur différentes plateformes. Il explique avoir ouvert un portefeuille virtuel  (E-Wallet), sur la plateforme russe Red-X et s’appuyer sur un système de parrainage de nouveaux affiliés pour faire fructifier son portefeuille. La plateforme est une sorte de réseau social du bitcoin qui rémunère ses adhérents selon le nombre de nouveaux affiliés, qu’ils arrivent à apporter au réseau. Un principe qui peut paraître alléchant au premier regard. Pour un œil exercé, celui-ci rappelle néanmoins, la fameuse pyramide de Ponzi , technique qui a causé la perte de traders et banquiers qui ont charrié dans leur sillage investisseurs, fonds de pensions et boursicoteurs.  Qui n’a jamais entendu parler de Bernard Madoff ? Patron de l’une des sociétés d’investissement les plus dynamiques du Nasdaq, Madoff a escroqué 65 milliards de dollars à ses clients en leur faisant miroiter des rémunérations mirobolantes, sur des investissements inexistants,  en se servant sur les capitaux des nouveaux investisseurs. En Algérie, c’est le cas Khalifa Bank qui illustre le mieux les escroqueries de type Ponzi. Notre interlocuteur se défend de prendre part à ce genre de pratiques. Il précise que ses investissements se concentrent sur d’autres plateformes plus sûres, même si son portefeuille initial demeure sur Red-X. Il précise que le fait de disposer d’un portefeuille virtuel permet d’effectuer des transferts sur n’importe quelle plateforme, mais aussi d’en disposer très facilement à condition de détenir une carte de paiement internationale comme Visa ou Master Card. Pour ce faire, il suffit de transiter par une banque spécialisée comme CoinBank en Espagne pour convertir ses bitcoins en devises conventionnelles (euros ou dollars) et effectuer par la suite un virement sur son compte devises.  Le geek explique qu’on peut même disposer de ses fonds en Algérie et en dinars par simple retrait via sa Mastercard ou sa carte Visa au niveau de l’un des distributeurs automatiques de billets de l’une des banques étrangères installées en Algérie, à l’image d’AGB.

CLOUD MINING : HALTE AUX ARNAQUES !

Mais, au-delà des investissements via les plateformes participatives,  le cloud mining  ou minage de bitcoins, via le cloud demeure l’un des canaux favoris pour les mordus de cryptomonnaies pour faire fructifier leurs portefeuilles.  Or, il faut se méfier des apparences, car tout ce qui brille n’est pas or. Notre interlocuteur conseille à ce propos de se méfier de certaines offres de cloud mining qui peuvent au final n’être que des arnaques. Pour éviter de tomber dans une escroquerie, Abderrezak Kerouche recommande d’examiner un certain nombre d’éléments : le service de cloud mining doit être hébergé sur une plateforme connue. Vérifiez également que le même service ne soit pas proposé à plusieurs reprises sur la toile. La rémunération devra intervenir dans un délai de moins d’une année et les sommes à mobiliser doivent être raisonnables et ne pas dépasser un certain seuil. Il est vrai que des arnaques au cloud mining champignonnent sur la toile. C’est ainsi qu’un homme d’affaire originaire de Constantine a pu éviter la mésaventure de justesse, grâce à une certaine aversion au risque. Il nous livre à ce titre son témoignage.  Celui-ci raconte avoir été contacté, il y’a de cela trois ans par un groupe de développeurs établis à Alger. Ayant écouté leurs explication à propos du cloud mining, son fonctionnement et l’attrait que cela pouvait avoir, il a été toutefois refroidi par deux éléments : « 1/ la somme demandée pour l’adhésion ou disons l’investissement était  trop importante, avec un minimum de 1,5 million de DA. 2/ il fallait investir cette somme et l’oublier pendant au moins 5 ans pour pouvoir prétendre à un bénéfice. De plus l’investisseur n’a pas le droit de toucher à ce bénéfice, ni opérer aucune transaction d’e-commerce avec. Il faut se rendre à Dubaï pour pouvoir y toucher ». Un cas édifiant quant aux risques inhérents au marché du bitcoin.

MANIPULATION DES COURS

Une autre alternative s’offre pourtant à ceux qui voudraient faire une incursion dans le marché des monnaies virtuelles : celui des levées de fonds initiales de cryptomonnaies ou Initial Coin Offerings (ICO). La levée initiale de bitcoins a permis aux acquéreurs de démultiplier leurs bénéfices grâce à une cryptomonnaie dont la valeur est passée de quelques cents de plus d’une dizaine de milliers de dollars. Les investisseurs ont pu réaliser une plus-value phénoménale. Un cas de figure qui caractérise le marché des cryptomonnaies et qui le différencie du Forex. Selon Abderrrezak Kerouche, les cryptomonnaies ne peuvent pas être touchées par le phénomène de l’inflation, car il n’ya qu’un nombre limité d’unités d’une devise virtuelle, toutes émises lors de la levée de fonds initiale. C’est ce qui explique d’ailleurs le fait que celles-ci prennent de la valeur à mesure que la demande augmente, dans la mesure où l’offre reste stable. Il ajoute que le marché des cryptodevises présente moins de risques que le Forex, du fait où l’investisseur ne risque en aucun cas de perdre son capital bitcoin initial, même si celui-ci perd en valeur, le plus important étant de ne pas vendre dans un contexte de baisse. « C’est une question de temps, il suffit d’attendre le meilleur moment,  vendre lorsque les cours remontent, pour récupérer sa mise ou même faire des bénéfices », dit-il confiant. Il faut néanmoins comprendre, selon lui, que sur ce marché, quiconque peut émettre une cryptomonnaie. Il s’agit donc pour l’investisseur potentiel de se montrer prudent et préférer les levées de fonds souveraines, ou encore les ICO corporate, étudier les perspective de croissance et d’évolution de la demande dans le secteur pour lequel la cryptodevise est créée, à l’exemple de MedicalChain dans le secteur de la santé pour laquelle les estimations tablent sur la croissance de la demande de 60 à 70 %, avant de se lancer. Mais peu nombreux sont les Algériens qui partagent un tel optimisme, notamment au sein de la diaspora. Une Algérienne établie au Canada depuis de nombreuses années n’y va par quatre chemins pour qualifier ce marché de place pour le blanchiment d’argent. «Au Canada les gens ont perdu leur argent. Au début, le bitcoin a suscité de l’enthousiasme car il augmentait de manière continue. Mais tout d’un coup ce fût la chute. C’est un marché virtuel,  il n’est pas clair et les critiques ne manquent pas. Le statut juridique reste encore flou dans beaucoup de pays et le client peut perdre tout simplement son argent car il n’y a aucune protection et aucune réglementation », témoigne-t-elle. Le krach subite du marché du bitcoin suscite la suspicion et a induit une enquête de la Justice américaine laquelle a de sérieux doutes, selon l’agence Bloomberg, quant à une manipulation des cours du bitcoin, sur les marchés futurs. Le principe est simple : un investisseur peut prendre une option sur l’achat de bitcoins à terme, mais il peut les revendre immédiatement. Il suffit donc pour lui de prendre une option pour les revendre lorsque les cours sont au plus haut. Si au moment de leur paiement à terme le cours du bitcoin a augmenté l’investisseur perd de l’argent, si au contraire le cours baisse, ce dernier réalise une plus-value. D’où les doutes quant aux agissements de certains spéculateurs qui auraient manipulé les cours en les poussant à 20.000 dollars le bitcoin avant de les faire chuter de moitié pour faire d’énormes plus-values. Il semble donc que le marché des cryptomonnaies, nées d’une révolte contre les travers du système bancaire et financier en place, cristallise les travers de celui-ci, mais à plus grande échelle…

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La loi sur les hydrocarbures modifiée sera prête début 2019

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:36

ALGER-Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi que la loi sur les hydrocarbures dans sa version modifiée, en cours d’élaboration, sera fin prête en janvier ou février prochains, précisant que cette loi requiert une étude approfondie en ce sens où elle « concerne l’avenir du pays ».

Lors d’une plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que « cette révision est indispensable car cette loi n’est plus attractive pour les opérateurs et investisseurs algériens », ajoutant que tous les pays producteurs ont adapté leurs lois qui ont été reformulées en adéquation avec les changements que connaissent les cours du pétrole marqués par une baisse ces dernières années.

« Il est n’est plus possible de continuer à travailler avec une loi appliquée lorsque le prix du baril était à 140 USD alors qu’il est  actuellement de 30 dollars. Nous ne pouvons restés comme ça figés », a déclaré le ministre.

Le ministre a fait état, dans ce sens, de l’infructuosité de 5 à 6 appels d’offres internationaux, estimant que cette loi « manque d’attractivité ».

Rappelant que le secteur travaille avec les partenaires étrangers dans le cadre d’une relation « gagnant-gagnant », le ministre de l’Energie a déclaré: « nous ne céderons pas nos droits ».

A une question sur l’octroi de l’étude technique relative à la nouvelle loi sur les hydrocarbures à un bureau étranger (américain), le ministre a précisé que « l’octroi de l’étude à un bureau américain ne veut pas dire qu’il n y a pas de compétences en Algérie ». Cependant, « il est inconvenable que le pays se mette dans une situation d’isolement, car de telles lois requièrent une expérience nationale et étrangère », a-t-il ajouté.

Guitouni considère que la nationalité du bureau d’étude n’était pas importante. L’essentiel  est de parvenir à formuler des lois qui soient bénéfiques pour le pays, à attirer les investisseurs et à préserver les stocks nationaux.

« Le plus important est que le secteur bouge, d’autant plus que les investisseurs ont de nouveau confiance en l’Algérie », a soutenu le premier responsable du secteur.

Pour lui, il est essentiel d’œuvrer actuellement à l’attrait des investisseurs eu égard à la diversité des offres et de la concurrence au niveau du marché international.

« Le prix du pétrole change chaque heure et l’investisseur doit trouver un intérêt pour accepter de travailler avec nous. C’est pour cela que Sonatrach a entamé sa restructuration. Si nous n’accordons pas des garanties suffisantes aux investisseurs, ils n’accepterons pas de venir », a-t-il expliqué.

Des négociations en cours sur les accords du partage de la production

Concernant la demande formulée par des sociétés étrangères, dans le cadre des consultations en cours pour l’élaboration de la loi amendée sur les hydrocarbures, pour un retour au travail avec des contrats du partage de la production, le ministre a indiqué qu’il n’est pas pertinent de travailler avec une loi qui « muselle » le secteur, d’ou la nécessité pour cette loi de s’adapter avec toutes les problématiques posées.

Cette demande est en cours d’examen et de négociations avec les sociétés étrangères, et chaque partie défendra ses droits, a-t-il ajouté précisant que la loi qui s’applique au petit bassin ne peut pas s’appliquer au grand bassin au vue de leur rendement et les propositions présentées portent sur le partage de la production à raison de 66%/34% ou 60%/40%, mais elle sont toujours au stade de la négociation.

S’agissant de la règle 49/51 appliquée sur les investissements étrangers contenus dans la loi sur l’investissement en Algérie, le ministre a indiqué que cette règle restera de mise et « notre travail sera dans le cadre de celle-ci ».

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Emmanuel Macron va-t-il achever la Françafrique ?

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 19:30
Jeune Afrique - Derrière la volonté affichée du président français de rompre avec la politique de l'ancien monde, un impératif : la lutte...
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Energie solaire: appels d’offres pour la production de 200 mégawatts

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:21

ALGER-Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a rappelé, jeudi à Alger, que le Conseil des ministres a approuvé, lors de sa réunion mercredi dernier, le lancement des appels d’offres programmés pour la réalisation des projets de production de 200 mégawatts en énergie solaire, dont 150 mégawatts seront proposés, pour la première fois, dans le cadre d’appels d’offres internationaux, auxquels participeront les entreprises locales, publiques et privées et des sociétés mixtes.

Dans une déclaration en marge de la séance plénière du Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales, M. Guitouni a indiqué qu’il sera procédé, dans le cadre de cette opération, à la détermination d’un prix de départ précisant que le recours à ces techniques modernes de production de l’énergie permet une réduction des coûts de l’ordre 40%.

Sur l’ensemble des 200 mégawatts, 50 ont été réservés au Groupe Sonelgaz dans le cadre d’un programme dédié aux centrales à « fuel » dans le Sud, permettant de réduire de 50% les coûts de son importation et de son transport du nord vers le sud du pays.

Le cahier de charges relatif à ces appels d’offres est en cours d’élaboration pour qu’elles soient prêtes vers la fin 2018.

Affirmant que l’Algérie n’est pas en retard en matière d’investissement dans le secteur de l’énergie solaire, M. Guitouni a estimé que « c’est là, le bon moment pour investir dans ce domaine ».

Cette opération s’inscrit dans le cadre du programme du président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, lancé en 2011 pour la production de 22.000 Mégawatts et dont un programme de 400 Mégawatt actuellement en réalisation à travers 24 wilayas relayées au réseau de Sonelgaz, outre 10 mégawatt en énergie éolienne mises à l’essai à la région de Taberkane (Adrar).

Le ministre estime que l’entrée des investisseurs privés dans la production de panneaux solaires permettra d’atteindre l’objectif tracé à l’horizon 2030 en faisant appel aux compétences nationales disponibles.

Il a ajouté que l’Etat s’oriente vers la production localement des panneaux solaires d’autant que leur prix est inclus dans les coût de production à hauteur de 40 à 50%, permettant un économie d’argent et la création de nouveaux postes d’emploi au profit de la main d’£uvre locale, outre sa formation.

La baisse des prix des panneaux solaires au niveau internationale fait que c’est « le bon moment » pour lancer ces projets, a indiqué M. Guitouni.

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Conférence Afrique-Pays nordiques: Messahel se félicite du renforcement de cet espace

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:19

COPENHAGUE- Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, s’est félicité jeudi à Copenhague, du renforcement, chaque année, de l’espace de coopération de la Conférence ministérielle Afrique-Pays nordiques dans la vocation que les deux parties lui ont assignée, à savoir celle de cadre de dialogue, de concertation et d’échange sur les questions de paix, de sécurité et de développement durable entre l’Afrique et les Pays nordiques.

Chaque année, a poursuivi M. Messahel lors de son adresse à cette conférence, « il permet (l’espace) à l’Afrique de sensibiliser ses partenaires nordiques sur ses multiples priorités liées tant à la paix et la sécurité qu’à la promotion de son développement socioéconomique, comme il lui permet de faire connaître à ces mêmes partenaires combien sont nombreuses les opportunités d’investissements et d’échanges commerciaux générés par cette dynamique de croissance qui a distingué notre continent durant ces deux dernières décennies ».

Illustrant les réalisations de ce mécanisme de coopération, le ministre s’est référé à l’intérêt porté par les pays nordiques aux cinq axes prioritaires de la stratégie décennale de la BAD pour 2013-2022, à savoir « l’énergie, l’agriculture, l’industrie, l’intégration et l’amélioration des conditions de vie des populations africaines ainsi que leur participation  au Fonds Africain de Développement ».

« Il en est de même de l’appui de ces mêmes pays aux efforts de l’Afrique en matière de construction de sa propre architecture de paix et de sécurité », a soutenu le chef de la diplomatie algérienne.

Abordant les thématiques liées au développement, au commerce et à la promotion des jeunes et du dividende démographique, M. Messahel a souligné que « l’Afrique s’emploie à construire des sociétés moins vulnérables et ambitionnant légitimement de se donner les moyens d’être progressivement toujours plus fortes, et ce, dans un monde dominé par une globalisation porteuse à la fois d’opportunités et de défis ».

« Les dynamiques de démocratisation et de croissance économique enregistrées par notre continent durant les deux dernières décennies attestent de sa volonté de s’inscrire durablement dans cette voie » a-t-il ajouté.

Messahel a, dans le même temps, mis en exergue le fait que « la force des sociétés de demain réside dans la mise en œuvre de programmes qui prônent l’égalité, la promotion des droits de l’homme et des libertés individuelles, l’ancrage de la démocratie et des principes démocratiques tant dans les esprits des citoyens que dans les comportements et les actions des institutions, la promotion de la bonne gouvernance et de la reddition des comptes ainsi que dans la lutte sans répit et sans concession contre les fléaux sociaux dans leur diversité ».

S’appuyant sur l’expérience algérienne, le ministre a fait savoir que « le dialogue social impliquant les institutions publiques, les partenaires économiques publics et privés, les syndicats ainsi que les organisations de la société civile est une condition de la réussite des politiques basées sur ces valeurs ».

« C’est dans cet esprit que mon pays a mis en place, à l’initiative du Président Abdelaziz Bouteflika, d’abord en 2006 puis en 2014, un Pacte national économique et social prônant le dialogue et la concertation dans tous les domaines de la vie économique et sociale du pays et visant à contribuer concrètement au renforcement du processus démocratique dans lequel le pays s’est résolument engagé », a ajouté le ministre.

Ce pacte est venu conforter avec succès, a-t-il expliqué, la politique de concorde civile et de réconciliation nationale qui a permis au pays de « rétablir la paix et la stabilité et de consacrer ses efforts aux défis du développement socioéconomique ».

Messahel a également souligné que « la mise en œuvre de ces approches inclusives facilitent la mobilisation des ressources, des énergies et des moyens de la société dans le cadre d’alliances innovantes, tels que le partenariat public-privé sous ses différentes formules, construits autour d’objectifs communs guidés par la préservation de l’intérêt général dans une logique de gagnant-gagnant et prospérité partagée ».

A partir de cette conviction, l’Algérie, a-t-il déclaré, « a favorisé la signature, pour la première fois, le 23 décembre 2017 de la Charte instituant et organisant le Partenariat public-privé dans l’économie algérienne ».

« C’est aussi partant de cette conviction dans la nécessité d’encourager la société à mobiliser toutes ses ressources que l’Etat algérien a opté pour une approche volontariste de promotion du statut et du rôle de la femme, ce grand partenaire incontournable dans la construction du pays » a conclu le ministre.

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OPEP: l’Algérie œuvrera avec ses partenaires à la stabilisation des prix

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:15

ALGER- Le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni, a affirmé jeudi à Alger que l’Algérie œuvrera avec les pays membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et les pays hors OPEP, durant la réunion qui se tiendra le 22 juin en cours à Vienne, à garantir l’équilibre entre l’offre et la demande pour préserver la stabilité des marchés pétroliers.

Répondant à la presse en marge d’une séance consacrée aux questions orales au Conseil de la Nation, le ministre a indiqué que des sous commissions suivaient actuellement de près le marché international et élaboraient des rapports qui seront examinés lors de la réunion de Vienne, à l’effet de prendre une série de mesures.

« Ce qui nous importe, c’est qu’il y est un équilibre entre l’offre et la demande pour préserver la stabilité des marchés pétroliers »

Guitouni a fait savoir qu’il y avait des problèmes géopolitiques connus qui ont été pris en compte lors des préparatifs de cette importante rencontre.

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Prise de mesures anticipées pour assurer la sécurité socio-économique du pays

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:11
ALGER- Le Premier Ministre, Ahmed Ouyahia a affirmé jeudi que le gouvernement « va de l’avant dans sa démarche pour la prise de mesures anticipées afin d’assurer la sécurité socio-économique du pays ».

Lors d’une séance plénière du Conseil de la Nation, consacrée aux questions orales et présidée par Abdelkader Bensalah, président de cette  instance, M. Ouyahia a indiqué, en réponse à la question du sénateur  Mahmoud Kissari, sur les mesures prises par le gouvernement pour créer des  centres d’études stratégiques, que « le gouvernement va de l’avant dans sa  démarche pour la prise de mesures anticipées et la mise en action de dispositifs et de mécanismes à même de garantir la sécurité socio-économique du pays ».

Ces mesures s’inscrivent dans le cadre « d’une démarche intégrée et cohérente qui veille à l’implication de toutes les parties concernées dans l’élaboration d’études analytiques et de recherches stratégiques et prospectives, au service du processus de développement national durable et de l’intérêt suprême du pays », a estimé M. Ouyahia.

« Les changements et les développements internationaux et nationaux dans les différents domaines, notamment sur le plan économique, ont souligné le besoin de procéder à des études prospectives, afin d’éclairer les centres de prise de décision », a précisé M. Ouyahia qui a dit que cela a « incité les pouvoirs publics à œuvrer à la réunion de toutes les conditions nécessaires à leur réalisation ».

Dans ce cadre, le Premier ministre a indiqué que les pouvoirs publics s’étaient attelés depuis 1984, à l’institution d’un dispositif de veille, appelé « Institut national d’études de stratégie globale (INESG) », chargé de l’observation de toutes les orientations socio-économique, financière, technologique et culturelle, pour leur permettre d’approfondir et de peaufiner leur vision générale du processus de développement national et d’être au diapason des évolutions afin de préserver l’intérêt suprême du pays ».

Crée par décret n84-392, l’INESG est une institution à caractère scientifique jouissant d`une personnalité morale et de l`autonomie financière, placée sous la tutelle du président de la République ».

Aussi, cet organisme tend « à identifier les facteurs et les mutations qui impactent la vie politique, économique, sociale et culturelle, pour les analyser, en coordination et en concertation avec les différents secteurs et instances concernées ».

L’institut a pour mission d’effectuer des études prospectives sur la société algérienne et son évolution, outre une évaluation globale du développement national, tout en réalisant des études et des recherches à même de contribuer au développement de l`environnement national et à la promotion des relations internationales, à travers l’actualisation de la stratégie nationale globale en matière de développement et des politiques adoptées par les différents partenaires de l’Algérie et l’évaluation de leurs résultats aux niveaux sécuritaire et économique du pays ».

L’Institut a pour rôle également « d’engager une réflexion dans le domaine des relations internationales et les questions de défense et de sécurité en ce qui concerne leur évolution et leur implication sur la politique nationale et internationale de l’Algérie ».

Les missions de cet Institut sont intégrées « dans une démarche globale destinée à déterminer les différentes possibilités ou moyens d’action permettant d’anticiper et de faire face aux événements. Et partant, impulser toute initiative visant à sauvegarder et renforcer l’intérêt national », a affirmé M. Ouyahia.

Il existe, selon le Premier ministre, plusieurs autres structures au niveau des différents départements ministériels, chargés de la mission de prospection et d’anticipation dans des domaines précis, à l’instar de la Direction générale de la prospection et des études au niveau du ministère des Affaires étrangères, chargée du développement des activités de recherche et de développement prospectif, et des évaluations favorisant la prise de décisions concernant les questions internationales d’actualité.

Ces missions consistent aussi à promouvoir la coopération avec les  instances  et institutions internationales, avec l’élaboration d’une stratégie et programmes de travail pour la diplomatie algérienne.

Parmi ces structures également la Direction générale de la prévision et des politiques relevant du ministère des Finances, chargée d’élaborer les prévisions de macroéconomie et une évaluation des politiques budgétaires et fiscales du pays.

Il s’agit aussi de la Direction générale de l’économie numérique relevant du ministère de la Poste, des télécommunications, de la technologie et du numérique qui veille à l’élaboration « d’une politique nationale de promotion de l’économie numérique et des nouvelles technologies » et de la Direction du développement et de la prospection au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique en charge des études prospectives visant à promouvoir les activités du secteur.

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Vers l'installation d'une nouvelle usine d'égrenage de coton

24 Heures au Bénin - Thu, 06/07/2018 - 19:11

Le ministre de l'industrie et du commerce, Serge Ahissou, à travers une communication en Conseil des ministres ce Mercredi 06 Juin 2018, a sollicité l'autorisation d'implantation d'une nouvelle usine d'égrenage, tenant compte de la tendance haussière de la production cotonnière et des capacités d'égrenage des usines actuellement en activité.
Selon cette communication, le Bénin compte actuellement 19 usines d'une capacité annuelle totale de 600 000 tonnes et pour les campagnes à venir, la possibilité d'un dépassement du niveau d'égrenage actuel est forte et il convient d'anticiper.
Ainsi, en vue d'assurer l'égrenage à bonne date de la production supplémentaire espérée dès la fin de la campagne en cours, il est nécessaire d'augmenter les capacités du potentiel industriel.
En application de l'article 19 de l'accord-cadre du 07 Janvier 2009 qui lie le gouvernement et l'Association interprofessionnelle du coton (Aic), le Conseil a instruit le ministre de l'industrie et du commerce, en relation avec l'Aic, d'ouvrir l'agrément à une usine additionnelle d'égrenage de coton.
F. A. A.

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Les cas d’agression contre les policiers en exercice sont « quasi inexistants »

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:07
ALGER-  Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, jeudi à Alger que les cas d’agression contre les agents de police dans l’exercice de leurs fonctions sont « quasi inexistants », précisant que les cas enregistrés sont « des cas d’agression verbale ».

Lors d’une plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, M. Bedoui a indiqué que « les cas d’agression contre les agents de police sont quasi inexistants et ne constituent pas un phénomène ou une préoccupation », faisant état de quelque cas d’agression verbale, notamment lors de l’exercice des missions de maintien de l’ordre ».

En réponse à la question d’un membre du Conseil relative à la mis en place de mécanismes de protection des agents de police lors de l’exercice de leurs fonctions, le ministre a assuré que les agents de police disposent de toutes les garanties et exercent pleinement leurs fonctions », affirmant que les auteurs d’agression contre un agent de police sont poursuivis en justice ».

Il a rappelé, à ce propos, que les lois de la République et les dispositions réglementaires en vigueur « réunissent les garanties nécessaires pour l’accomplissement des missions des agents de police et les mécanismes leur permettant de se défendre et de défendre les autres le cas échéant », soulignant que « l’utilisation de la force et des moyens de contraintes ne peuvent avoir lieu qu’en cas de nécessité, notamment en cas d’autodéfense ou de défense de tiers et dans la limite des exigence de l’accomplissement du devoir professionnel en observant les règles du port et d’utilisation d’armes ».

Le ministre a expliqué, à ce propos, que les agents de sécurité doivent, avant le recours à la force et aux moyens de contrainte « privilégier le dialogue et épuiser les moyens le moins répressifs ainsi que stipulé par la Charte d’éthique de la Police de décembre dernier, qualifiant cette dernière de pas qualitatif et d’avancée dans la promotion du rôle de l’agent de police, qui jouit d’une place respectueuse auprès des citoyens.

Bedoui a fait savoir que la DGSN, « consciente du danger qui guette les agents de police lors dans l’exercice de leurs missions, a élaboré des plans sécuritaires en adéquation avec le développement de la criminalité et son modus opérandi afin d’assurer une couverture sécuritaire aux agents de police ».

Le ministre a fait état, en fin d’un plan d’action à même de préserver la sécurité et l’intégrité des agents de police et de développer tous les aspects de leurs compétences, y compris l’esprit de combat, citant, dans ce sens, la création de brigades spécialisées de haut niveau d’entrainement renforcées par des outils utilisés dans les pays développés.

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L’Algérie et le Royaume-Uni ont une « excellente » coopération sécuritaire

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 19:05

ALGER- L’Algérie et le Royaume-Uni entretiennent une « excellente » coopération dans le domaine de la sécurité, a affirmé jeudi à Alger, le secrétaire d’Etat britannique chargé de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, Alistair Burt.

Intervenant à l’issue de l’audience que lui a accordée le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, le ministre britannique a indiqué que les deux pays entretiennent une « excellente » coopération dans le domaine sécuritaire.

« Nous nous sommes entretenus sur les possibilités qu’offre notre partenariat qui existe déjà pour pouvoir l’élargir à d’autres domaines notamment le commerce, l’investissement et l’économie », a-t-il souligné.

M.Alistair a précisé qu’il aura d’autres discussions « plus détaillées » avec d’autres responsables algériens sur « l’excellente » coopération en matière de coopération sécuritaire entre les deux pays, relevant qu’à travers cette visite « nous pourrons également renforcer des liens dans d’autres domaines ».

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Bagages illicites

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 19:00
L'Authentique - Le poste des Douanes au poste de sortie de la route Nouadhibou – Nouakchott a procédé à la saisie d’une importante quantité...
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Dialogue stratégique algéro-britannique sur les questions de sécurité à Alger

Algérie 360 - Thu, 06/07/2018 - 18:59

ALGER- L’Algérie et le Royaume Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord tiennent, jeudi à Alger, la 8eme session du dialogue stratégique bilatéral sur les questions de sécurité sous la coprésidence du Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Noureddine Ayadi et le ministre d’Etat pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, Alistair Burt.

Les discussions porteront sur « l’état des relations bilatérales ainsi que sur l’évolution des conflits et crises qui persistent dans la région et les menaces que font peser les fléaux du terrorisme et du crime organisé transnational sur la stabilité et la sécurité régionales ».

Ce dialogue est un cadre informel que les deux pays ont mis en place pour promouvoir la concertation et la coopération bilatérale dans les domaines liés aux questions sécuritaires bilatérales, régionales et internationales d’intérêt commun.

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Communiqué du Conseil des Ministres du Jeudi 07 Juin 2018

CRIDEM (Mauritanie) - Thu, 06/07/2018 - 18:55
AMI - Le Conseil des Ministres s'est réuni le Jeudi 07 Juin 2018 sous la Présidence de son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, Président...
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