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Afrique

Bureaux de poste: de longues files d’attente malgré la disponibilité de l’argent

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 16:31

Le retrait de l’argent des bureaux de poste s’impose avec force durant les derniers jours du mois de Ramadhan. Même si le problème de liquidités ne se pose plus ces dernières années, les longues files d’attente, elles, continuent à sévir.
Rym Nasri – Alger (Le Soir) – Entre l’achat des vêtements pour l’Aïd el-Fitr, surtout pour les enfants, et celui des différents ingrédients pour la préparation des gâteaux pour cette fête, les Algériens raclent le fond de leurs poches. Déjà suffisamment épuisé par les nombreuses dépenses du mois de Ramadhan, leur portefeuille subit, les derniers jours de ce mois-ci, d’autres supplices.
Pour faire face à ces nouvelles dépenses, ils prennent d’assaut les bureaux de poste. Les longues files d’attente devant les guichets des différentes agences d’Algérie Poste en témoignent. Il s’agit en fait de retirer les quelques billets rescapés de leur salaire ou de leur pension de retraite du mois de mai dernier.
Unique «consolation» cette année, le problème de liquidités ne se pose pas dans la poste. Après l’inévitable attente, la plupart des détenteurs de comptes courants postaux (CCP), notamment les fonctionnaires et les retraités, ne reviennent pas chez eux bredouilles : le portefeuille est plein pour quelques jours.
«J’attends depuis plus d’une heure. C’est lent mais au moins à la fin, je repars avec mon argent pour terminer mes achats pour l’Aïd», affirme Karima, secrétaire de rédaction dans le secteur public.
Profitant de la journée de samedi, jour de repos, cette mère de famille compte justement finaliser ses courses. «Il me reste les chaussures pour la plus jeune de mes trois filles et tous les produits nécessaires pour préparer les gâteaux de l’Aïd», précise-t-elle. Même agacement chez nombre de clients dans le bureau de poste de Belouizdad, rue Rouchaï-Boualem. Mohamed, retraité, tente tant bien que mal de ne pas perdre son sang-froid. «On n’avancera jamais. C’est toujours la même lenteur dans nos administrations. Même les distributeurs mis à l’extérieur des postes ne fonctionnent pas. Ils sont tout le temps en panne», se plaint-il.
En effet, le DAB (distributeur automatique de billets) installé à l’extérieur de cette poste est hors service. Une panne qui pénalise nombre d’utilisateurs.
Les détenteurs des CCP occupés dans la journée ont, eux, la possibilité de retirer leur argent le soir. En effet, les bureaux d’Algérie poste sont ouverts tous les soirs du mois de jeûne de 21h 30 à 23h 00. Au grand bonheur des utilisateurs !
Ry. N.

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Son sort aurait été scellé par des membres du bureau fédéral: Qui a limogé Madjer ?

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 16:28

Madjer ne survivrait donc pas à la barre technique des Verts. Au lendemain de la cuisante défaite à Lisbonne face au Portugal, des «voix autorisées» parmi les membres du BF/FAF ont livré «l’exclusivité» à certains médias avant même que l’instance fédérale ne se prononce officiellement sur la question.
Qui décide ou plutôt qui fait quoi au sein de la FAF ? Depuis son intronisation, la nouvelle équipe fédérale a montré toutes les facettes d’une entité disloquée maniant admirablement l’art de la contradiction. Au fond, sur l’ensemble de la composante du BF (12 personnes au lieu des 13 réglementaires, suite au retrait de Djahid Zefizef) présidé par Kheireddine Zetchi, seuls quelques membres s’expriment sur des sujets souvent «factuels». Rappelons-nous l’épisode Messaoud Koussa qui se lança pour défoncer une porte ouverte. L’ex-arbitre international et non moins président de la ligue de wilaya de Sétif n’avait pas toléré que la CFA échappe à son autorité. Aujourd’hui, alors que la commission fédérale d’arbitrage a été léguée à Mohamed Ghouti qui n’a aucune «compétence» en la matière, M. Koussa n’en fait plus cas, se contentant d’assurer quelques missions rétribuées à l’intérieur et en dehors du pays. Quid de Bachir Ould Zemirli et Rebbouh Haddad, les deux vice-présidents de la FAF, qui ont remué ciel et terre au début du mandat en raison de quelques «clafoutis» à partager avec le boss de la fédération ? Le président d’honneur du NAHD et son homologue de l’USMA, pourtant «condamnés» par la réglementation du fait qu’ils soient membres actifs de leurs clubs d’origine, ont agité la menace de quitter le bureau fédéral s’ils n’obtiennent pas des avantages liés à leur statut. Ould Zemirli, à titre d’exemple, n’admettant jusqu’alors pas la «bourde» du SG/FAF d’envoyer sa candidature à la CAF «hors délais». Que dire, par ailleurs, de ce président de la commission Coupe d’Algérie, Nourredine Bakiri, qui, dès qu’il fut abandonné par le «pigiste» Ali Malek, autrement plus rodé dans la gestion de l’épreuve populaire, multiplia les décisions intempestives concernant particulièrement la domiciliation des phases avancées de Dame Coupe engendrant, certainement sans le vouloir, une violence physique et verbale dont le football algérien s’en souviendra à jamais. Un autre personnage a longtemps tiré la couverture à lui avant de se faire hara-kiri, observant depuis quelque temps un incroyable silence. Lui, c’est Amar Bahloul, l’homme à tout faire, la personne chargée des missions impossibles. Le président de la ligue d’El-Tarf qui a été chargé de la coordination avec les ligues a été un élément cardinal dans la destitution de Mahfoud Kerbadj de la présidence de la LFP. C’est aussi lui qui a eu pour mission de «prendre en charge» Mohamed Raouraoua quand ce dernier était arrivé, à la surprise générale, au CTN/FAF de Sidi Moussa pour assister à l’AG ordinaire de la fédération en avril dernier. L’ex-président de la fédération, qui avait déclaré à la presse qu’il n’était pas un «béni-oui-oui», fera quelques sommaires remarques à propos de la gestion financière de son successeur, refusera de cautionner les bilans puis retournera d’où il est venu. Sur un plan de la communication, M. Bahloul fut le membre du BF le plus sollicité par les médias depuis l’élection de Kheïreddine Zetchi à la présidence de la FAF. Hormis quelques apparitions publiques et trois ou quatre plateaux TV, ce dernier se montra moins bavard que son collaborateur issu de la ligue d’El-Tarf qui aura joué plusieurs rôles (protocolaires surtout) mais qui a rarement voyagé.

Zetchi et les «neutres»
Les membres du bureau fédéral ne sont pas, pourtant, tous de fins communicateurs. Il existe un panel qui préfère travailler en douce, sans faire de bruit. Nous nommons particulièrement le trio Larbi Oumamar-Radia Fertoul-Rachid Gasmi mais aussi le manager général des Verts, Hakim Medane. Le dirigeant asémiste, qui n’a pas de tâche particulière au sein de l’instance fédérale, est, avec Mohamed Maouche (désigné président de la commission d’éthique), l’une des rares personnes qui évite de communiquer hors du cadre légal. Pourtant, avant et au lendemain de l’AG élective qui a propulsé M. Zetchi à la présidence de la FAF, M. Oumamar a activement participé à la campagne en multipliant les interventions dans les médias. Pour Radia Fertoul et Rachid Gasmi (membre sans mission qui fut promu président de la commission des finances après le retrait de M. Zefizef), le silence est d’or. L’ancien P-dg de la Safex se contente d’accomplir des missions, comme accompagner l’EN à l’étranger, suivant sa disponibilité alors que la chargée du football féminin se contente de mener ses charges à la tête de sa commission spécialisée «sans s’immiscer dans les affaires» qui ne la concernent pas. Pour Hakim Medane, très communicatif lorsque la FAF s’attelait à chercher un sélectionneur (Lucas Alcaraz, ndlr) puis à accomplir la tournée de sensibilisation des internationaux évoluant en Europe. A l’époque, Medane était la source de toute la presse. Aujourd’hui, «El-Pibe de Oro» algérien a coupé les ponts avec les médias qui, désormais, se «sourcent» quand il s’agit de l’actualité de la sélection auprès de certains membres du BF mais aussi chez d’anciens confrères aujourd’hui employés à la division médias de la fédération.

Le «coup de grâce» par la subversion
Ce serait donc ce «panel» formé de membres du BF qui ont souvent exprimé leurs divergences et leurs idées sur la place publique et des confrères promus chargés de com’ de la FAF qui a validé l’option de limogeage de Rabah Madjer. Celui-ci l’aura compris et ne s’empêchait pas de le dénoncer lors de sa conférence d’avant-match, mercredi passé à Lisbonne. «Je suis victime d’une machination», a-t-il lâché devant les reporters présents sans vraiment livrer l’identité des auteurs de ladite cabale. L’œuvre de déstabilisation ne faiblira jamais. Madjer, intronisé en octobre dernier, a subi la pression du «peuple connaisseur des choses du football» et s’est mis dans de beaux draps dès lors qu’il perdra son ultime allié, la presse, lors d’une malheureuse altercation avec un journaliste de la radio nationale. Le «taisez-vous» de ce qui deviendra le feuilleton de l’année ne lui sera plus pardonné. A chaque sortie algéroise des Verts, l’idole des Algériens durant les années 80 se fera conspuer par un public certainement manipulé mais surtout impatient de voir ses favoris reprendre leur belle symphonie. Vilipendé par les supporters, lâché par ses «amis politiques» qui pensaient bien faire en l’imposant à Zetchi, Madjer se déliera la langue et s’en va en guerre perdue d’avance en invitant à l’ingérence ses «compatriotes portugais». La bourde (de trop) qu’il ne fallait pas commettre, en définitive ?
M. B.

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Egypte: Salah affirme que son état s’améliore

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 16:25

L’attaquant de Liverpool Mohamed Salah, blessé lors de la finale de Ligue des Champions, a affirmé que son état de santé s’améliorait à moins d’une semaine du premier match de l’Egypte au Mondial-2018, a rapporté samedi la présidence égyptienne. L’attaquant vedette de Liverpool est actuellement au Caire où il a rencontré samedi matin le Président du pays, Abdel Fatah al-Sissi, avec l’ensemble de l’équipe nationale. Les Pharaons doivent s’entraîner en soirée en public dans la capitale égyptienne, mais il n’est pas assuré que Salah participe à cette session. «Le président (Sissi) a été rassuré sur l’état de santé du joueur Mohamed Salah qui a affirmé que son état s’améliore notablement et qu’il est sur la voie d’un rétablissement, si Dieu le veut », a déclaré le porte-parole de la présidence Bassam Radi dans un communiqué.

La blessure à l’épaule de Salah le 26 mai lors de la finale de Ligue des Champions contre le Real Madrid (défaite de Liverpool 3-1) a suscité l’émoi chez les supporteurs égyptiens qui craignaient que la star ne puisse participer au Mondial avec l’équipe des Pharaons. Mais l’attaquant qui a marqué 44 buts cette saison avec Liverpool a été sélectionné pour faire le voyage en Russie, a annoncé la Fédération égyptienne fin mai. Elle avait alors précisé que Salah pourrait être indisponible trois semaines, ce qui pourrait l’empêcher de participer au premier match, le 15 juin contre l’Uruguay. Qualifiés pour la première fois depuis 1990 pour le Mondial, les Pharaons, qui sont dans le groupe A, rencontreront ensuite la Russie le 19 juin puis l’Arabie Saoudite le 25 juin.

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Traitement des ordures ménagères dans la wilaya de Boumerdès: La solution des CET est-elle viable à long terme ?

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 16:21

Mardi passé, à l’occasion de la journée mondiale de l’Environnement, le wali de Boumerdès a inauguré le centre d’enfouissement technique des ordures ménagères implanté à Zaâtra, village situé au sud-est de Zemmouri.
La Direction de l’environnement de Boumerdès qui voulait certainement marquer cette journée n’a, finalement pas choisi le bon moyen. Ce centre, pour lequel pas moins de 30 hectares de terre utiles à l’agriculture ont été affectés, il y a quelques années, n’est pas encore équipé de moyens techniques pour le tri des ordures d’où leur étalement sur les 13 ha réservés à cet effet. En l’état, il n’est qu’une décharge intercommunale. De plus, il ne prend en charge que les ordures de six communes sur les 16 que compte la partie est de la wilaya de Boumerdès. Si le périmètre de ce CET est de 30 ha, son impact sur l’environnement fera perdre au minimum 100 ha à l’agriculture.

Pour rappel, au début des années 2000, le wali de l’époque, Ali Bedrici, avait proposé la région de Zaâtra, où se trouvent ce centre et une briqueterie érigée dans des conditions restées opaques, dont les terres sont certes à caractère agricole mais argileuses et non irriguées pour aménager une zone industrielle sur 1 500 hectares. Le niet du gouvernement était catégorique «Zaâtra est une région agricole», lui avait-on rétorqué.
Dans son argumentaire, l’ancien wali avait avancé certains avantages économiques notamment les accès et la proximité des RN 24 et 12, interconnectées par la RN 24D, la proximité de la voie ferrée (moins de 10 km), la disponibilité de l’énergie – la centrale électrique de Cap-Djinet et le gazoduc de Hassi-R’mel/Bordj-Menaïel.
Cette zone industrielle pouvait, en outre, redonner vie au port commercial de Dellys. L’actuel wali, Abderrahmane Madani Fouatih, ne peut que constater le gâchis et donner quelques assurances disant : «Nous veillerons à ce que ce centre fonctionne correctement. Nous veillerons particulièrement à atténuer son impact sur la santé de la population avoisinante et son environnement immédiat et qu’il offre un maximum de postes d’emploi. Nous avons également insisté pour qu’il soit exploité au bénéfice de toutes les communes de la partie orientale de la wilaya».

Quelle solution pour le long terme ?
Si l’on considère que chaque habitant rejette 0,800 kg d’ordures par jour (sans compter les rejets liquides), la wilaya de Boumerdès se retrouve chaque jour avec 768 tonnes de déchets ménagers — à l’exclusion des déchets industriels et hospitaliers ­— à collecter, à transporter et à stocker.
Cette quantité va en augmentant. Comme un malheur ne vient jamais seul, cette quantité d’ordures est produite par une population qui occupe à 70%, les espaces les plus utiles de la wilaya en matière de richesses agricoles et hydriques. Si l’on trace une ligne le long du centre de la wilaya qui a une forme allongée, entre la ville de Dellys, à l’est de la région et Hammadi à l’ouest, on passe nécessairement par les grandes agglomérations que sont Baghlia, Sidi-Daoud, Laâziv, Bordj-Menaïel, les Issers, Si Mustapha, Boudouaou, Ouled Moussa, Khemis-El-Khechna et Ouled Heddadj. C’est-à-dire que l’on piétine la plaine de Sebaou, le plateau de oued Bordj-Menaïel, la plaine de oued Issers, la plaine du sud de Corso, la plaine de oued Boudouaou et enfin la partie orientale de la plaine de la Mitidja. Sur cette surface sont situées probablement 80% des terres irriguées de la wilaya et plus de 80% des capacités de la nappe phréatique. De plus, environ 70% des activités industrielles et commerciales se déroulent sur cette ligne, qui plus est, l’axe principal de la mobilité de la population de cette wilaya.
A l’origine de ce déséquilibre, «dont l’absence d’une planification et de l’aménagement du territoire. Il suffit de relire sommairement l’histoire de la région pour faire le constat suivant ; à l’exception de Dellys, une ville millénaire, de Bordj-Menaïel qui existait du temps des turcs et de Boumerdès dont la construction a été entamée après l’adoption du plan de Constantine, toutes les autres villes citées plus haut ont été créées après la colonisation dans le seul but de piller les richesses agricoles de cette région fertile de la Basse Kabylie.
Au lendemain de l’Indépendance, les villes en question se sont développées dans l’anarchie consommant, jusqu’à présent, des milliers d’hectares de terres agricoles. Quelle mouche a piqué les responsables du ministère de l’Environnement pour installer le CET à Corso, en amont d’une plaine à haut rendement et où des dégâts écologiques sont déjà constatés (pollution de 3 puits et d’un oued dont les eaux arrivent en mer) ? Il est certain que dans quelques années, les produits de cette plaine seront impropres à la consommation. Pense-t-on à orienter l’urbanisation de la région vers le piémont de Boudouaou, Tidjelabine, Thénia, Keddarra et d’autres sous-régions où les terres sont, certes, quelque peu accidentées mais moins rentables ? De plus, le constat a été fait en 2003, elles sont à l’abri du séisme.
Abachi L.

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Médéa: les trottoirs squattés par le commerce informel

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 16:15

Aujourd’hui à Médéa ce ne sont plus les vendeurs informels qui violent les lois régissant la pratique commerciale, les commerçants disposant d’un registre de commerce s’y sont mis aussi et… ils ont mis les bouchées doubles !
Profitant de leur statut de commerçant exerçant dans la légalité qui apparemment leur «consent» des dépassements et semble leur donner des ailes, certains vendeurs se permettent de s’accaparer les espaces réservés aux piétons et ont transformé les trottoirs en points de vente. Il faut donc se rabattre sur la chaussée pour prétendre au passage et concurrencer les véhicules, s’exposant ainsi à tous les dangers, en l’occurrence celui de se faire percuter par une voiture, un bus ou encore une moto. Cependant, ces derniers temps, et surtout en ce mois sacré et (inédit du gain facile) pour les magasins d’habillement (enfants, femmes et hommes) la tendance stipule que les commerces débordent sur les trottoirs en exhibant leurs produits à travers des mannequins placés sur ces espaces réservés aux piétons appelés «trottoirs» ceci au vu et au su de tous. Oui c’est la grande mode! Malgré les mises en garde des instances concernées et habilitées et la réglementation en vigueur contre cette transgression quant à la pratique commerciale, ce comportement perdure au détriment des citoyens qui se voient ravir un de leur droit le plus légitime, à savoir l’exploitation en toute quiétude et en toute sécurité des espaces publics en l’occurrence les trottoirs. La situation s’aggrave dans la mesure où certains commerçants sont convaincus que ces espaces leur reviennent de droit et affichent une franche agressivité lorsque ils sont contestés pour cette entorse et ce manquement à la loi. Ils donnent l’impression de revendiquer une vitrine supplémentaire pour leurs magasins. D’autre part, et au premier abord, la répression est «faiblarde» et insuffisante puisque ce tableau se dresse partout dans les rues commerçantes de Médéa au grand dam de la population.
M. L.

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Indicateur de la paix mondiale : la Mauritanie 4ème du Maghreb

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/10/2018 - 15:25
Le Calame - Dans son édition de 2018, l’Institut économique et de la paix basé à Londres a classé la Mauritanie quatrième (4ème) au...
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Mali : trois soldats et 13 "terroristes" tués dans une attaque jihadiste

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/10/2018 - 15:20
Jeune Afrique - Trois militaires maliens et treize « terroristes » ont été tués samedi dans le centre du Mali lors d'une attaque jihadiste...
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Baccalauréat 2018/Les chefs de centres des examens doivent assumer leur responsabilité nationale avec rigueur, selon le MEN

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/10/2018 - 15:10
Tawary - Le ministre de l’Éducation Nationale, M. Isselmou Ould Sid'El Moctar Ould Lehbib, a tenu une réunion, ce samedi 9 juin, à l’École...
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Le Congrès national de l’UPR fixé au 6 juillet prochain

CRIDEM (Mauritanie) - Sun, 06/10/2018 - 14:53
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Paris compte durcir les conditions de regroupement familial

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:42

La commission des lois constitutionnelles auprès du sénat français a présenté des amendements au projet de loi pour l’immigration, le droit d’asile et l’intégration qui visent essentiellement les harraga algériens présents sur le territoire national.

A en croire  la police aux frontières de France (PAF), les migrants algériens représentent la deuxième nationalité des personnes en situation irrégulière en France.

Ils prévoient un durcissement des conditions du regroupement familial et le mariage mixte ainsi que les mesures d’expulsion du territoire français, voire la réduction des visas aux pays peu coopératifs en matière de rapatriement de leurs ressortissants.

Les amendements concernent en premier lieu le regroupement familial, dont bon nombre de migrants en ont bénéficié pour s’installer en France.

Selon un rapport du sénat français, 25.000 titres de séjour étaient accordés aux Algériens en 2015, dont 19.000 concernent les procédures du regroupement familial.

Le rapport n’a cité les détails sur les procédures et les conditions du regroupement familial en se contentant d’annoncer la publication du rapport de François-Noël Buffet dans les jours à venir.

Seront ainsi concernés par l’expulsion, les demandeurs d’asile déboutés, dont l’obligation de quitter le territoire français (OQTF) leur sera notifiée.

Notons qu’il a été proposé de transformer l’aide médicale d’État (AME) en aide médicale d’urgence (AMU).

En outre, le nombre de visas accordés aux pays jugés peu coopératifs en matière de rapatriement de leurs ressortissants en situation irrégulière sera  réduit.

De plus, tout ressortissant condamné à une peine de 5 ans de prison verra la durée d’interdiction de retour sur le territoire français sera portée à 10 ans.

Pour ce qui est l’immigration choisie, 203 Algériens ont bénéficié de cette option. 248 Marocains et 272 Tunisiens ont eux-aussi bénéficié de cette procédure.

S’agissant des étudiants inscrits dans les universités françaises fin 2017, on a recensé 26.016 étudiants algériens, 38.000 étudiants marocains et 28.000 étudiants chinois.

Hassen Houicha / Traduit par: Moussa. K.

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Usine peugeot Algérie: Des retards inexpliqués

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:35

Les responsables de la direction régionale Mena de PSA (Paris) et les différents partenaires s’inquiètent du devenir de ce projet examiné et validé par le CNI. Surtout que les actionnaires n’ont reçu aucune notification pour l’arrêt des travaux.

L’industrie automobile n’en finit pas de révéler, un peu plus chaque jour, les déboires de ses opérateurs qui, vraisemblablement, devront faire face non seulement à la valse des lois qui changent au gré des gouvernements qui se succèdent, mais aussi à la remise en cause de l’engagement de l’État à vouloir assurer la sécurité des investissements à long terme. L’exemple du projet de l’usine du groupe PSA (Peugeot-Citroën) en Algérie est édifiant en ce sens où, sept mois après sa signature, le 12 novembre 2017 à Paris, l’usine du groupe PSA peine à voir le jour. Selon des sources concordantes, la dernière sortie d’un agriculteur qui revendiquait la propriété de l’assiette qui devait accueillir ce projet à El-Hamoul (commune d’El-Kerma) a suscité des inquiétudes au plus haut niveau, dans le sens où la situation est toujours au point mort. À la direction régionale du Moyen-Orient Afrique du Nord (Mena), comme au sein de PSA (Paris), ou encore au sein des partenaires algériens et français, d’aucuns s’interrogent sur les raisons du retard qu’accuse ce projet pour décoller, d’autant qu’il aura fallu deux ans de négociations et de maturation pour qu’il soit signé. Il aura fallu la visite du président français Emmanuel Macron en Algérie et des pourparlers très poussés entre Alger et Paris, dans le cadre du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN) pour que le projet soit enfin signé. La diffusion d’une vidéo sur les réseaux sociaux serait-elle derrière le blocage du projet examiné et validé, en février dernier, par le conseil de l’investissement (CNI) ? À première vue, estiment nos sources, une telle opposition obéirait à une procédure administrative qui ne pourrait pas intervenir trois mois après le début des travaux de viabilisation d’une assiette de terrain, de surcroît visitée à plusieurs reprises par le wali, d’une part, et les assurances des responsables chargés de l’investissement et ceux de la direction l’industrie et des mines (DIM) de la wilaya d’Oran, d’autre part. Ces derniers avaient indiqué, en effet, que ces travaux allaient être lancés en avril dernier, et ce, après l’accomplissement des procédures techniques et l’achèvement de l’étude géotechnique du terrain choisi, qui s’étale sur une surface de 120 ha. Quand bien même il y aurait un contentieux lié à l’indemnisation des agriculteurs, la déclassification de ce terrain ne revêtait pas un caractère illégal aux yeux de la loi. D’ailleurs, la récente sortie d’autres agriculteurs pour se démarquer de ladite vidéo nous renseigne qu’il n’existait pas de litige foncier. D’ailleurs, le groupe PSA, qui avait reçu des assurances, avait alors nommé un directeur pour le suivi du projet, en la personne de Hamid Mezaïb. En débarquant en février dernier en Algérie,
M. Mezaïb avait même dévoilé aux médias certains détails techniques de cette usine, dont la partie destinée au montage et les parties dédiées aux entreprises de sous-traitance activant dans le domaine de la pièce de rechange. Entre-temps, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts et les équipementiers historiques de Peugeot ont manifesté leur engagement à travailler avec cette usine qui devait, dès le premier semestre de l’année 2019, livrer ses premiers modèles. En attendant “le feu vert final”, PSA a mis en place en Algérie une académie pour la formation des ressources humaines dans les métiers de l’automobile, alors que les équipementiers s’impatientent d’entrer en activité.

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Le capitaine Marcellin Laourou salue la pertinence des mesures de Talon

24 Heures au Bénin - Sun, 06/10/2018 - 14:25

Le capitaine des douanes béninoises, Marcellin Laourou était l'invité de l'émission cartes sur table de la radio océan FM, ce dimanche 10 juillet 2018. Se prononçant sur les dernières affectations à la douane, il a souligné que c'est le fruit d'un travail méthodique entre le gouvernement et l'administration des douanes. " L'équilibre régional, la compétence et la bonne moralité sont respectés ", a-t-il fait savoir. " Depuis que le président est arrivé, il y a beaucoup de changements de comportements. Aujourd'hui, à la douane, c'est l'impunité zéro. L'administration des douanes est plus informatisée...", a-t-il ajouté. Par rapport au programme de vérification des importations ( pvi), le capitaine Marcellin Laourou a montré que c'est une innovation qui a permis l'accroissement des recettes douanières au port de Cotonou. "Le mois passé, nous avons fait 113%. Pour ce mois, on passera à 120% de mobilisation de ressources", a fait savoir Laourou. En somme, il est satisfait de la gouvernance Talon.

Virginie Houessou.

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Bedoui le rappelle avec force: L’accès aux plages est « strictement gratuit »

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:23

Le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales a rappelé hier matinque l’accès aux plages au niveau des 18wilayas du littoral reste gratuit pour l’ensembledes citoyens qui sont « par la force de la loi » propriétaires de cesespaces.

Le ministre de l’Intérieur, s’adressant auxwalis, à l’occasion de la rencontre nationalesur le suivi de la saison estivale leurordonne de faire respecter ce principe, à savoir la gratuité des plages et la lutte contre les exploitants illégaux .Soulignant encore que les citoyens sontlibres de prendre leur propres accessoiresde plages, notamment les chaises, lesparasols et les transats.

La location de ces accessoires est autorisée,selon le ministre qui insiste surl’obligation d’affichage des prix. Mêmechose pour les parkings avec remise obligatoirede tickets de la part des gardiensqui doivent impérativement porter ungilet de même couleur.Outre la gestion des plages, le ministrede l’Intérieur a parlé politique pour expliquerque le gouvernement compte fairejouer un rôle de fer de lance aux collectivitéslocales, dans le cadre de la relance dusecteur touristique.Mettant en valeur l’immense potentialitétouristique de l’Algérie, le ministre aappelé un sursaut en matière de savoirfaire pour vendre le produit et faire del’Algérie une destination touristique mondiale.

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Conférence de presse du CAMRA, aujourd’hui: Médecins résidents, le statu quo persiste

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:18

Par Moncef Wafi,

Le Collectif autonome des médecins résidents algériens (CAMRA) tient une conférence de presse, aujourd’hui, où il sera, certainement, question de confirmer de nouveau la poursuite de leur mouvement de protestation et d’une grève qui bouclera bientôt son septième mois, un record de longévité en absence de toute solution qui pourrait contenter les deux parties.

Le communiqué du CAMRA, de ce samedi, le laisse supposer puisque ses termes sont sans équivoque, reprenant la terminologie contestataire des résidents et condamnant derechef les violences subies par leurs camarades à la faculté de Annaba «où une violente et indécente répression a été réservée à nos confrères résidents par les forces de la police». Après avoir salué les actions de Tizi Ouzou, Sidi Bel-Abbès et Tlemcen, le communiqué évoque «encerclement, déportations, confiscations d’affaires personnelles, coups et vociférations» à la faculté de Annaba dont ont été victimes les résidents, tenant à rappeler l’épisode, vieux de deux mois, de l’agression d’une équipe médicale de garde, à l’hôpital universitaire ‘Frantz Fanon’ de Blida. Le Collectif dit s’indigner «profondément de ces conduites macabres», dénonçant également les «fausses invitations au ‘dialogue» d’une tutelle accusée de «léthargie mortifiante» et versant dans une «palabre surmédiatisée (…) prenant en otage la foi et les espoirs de milliers de jeunes médecins algériens et la santé de millions de citoyens».

Le CAMRA condamne «toute répression» ainsi que l’innovation «dans les moyens d’intimidation (…) tant sur le plan sanitaire qu’académique». A ce propos, le CAMRA fait allusion au «traitement réservé au dossier des candidats au DEMS». Selon lui, les candidats au diplôme d’études médicales spécialisées auraient été «’autorisés à s’inscrire, exceptionnellement, à une session de rattrapage, prévue à l’origine pour les résidents non concernés par la grève ou au petit groupuscule qui a succombé à la maltraitance de la deuxième session». Le Collectif reproche à cette démarche de ne pas respecter le «délai réglementaire d’annonce, sans déclaration explicite de leur situation vis-à-vis de cet examen» , accusant l’Administration de miser «sur une usure psychologique finement appliquée» pour pousser les candidats grévistes à s’inscrire d’eux-mêmes «sur les listes de la capitulation». Rappelons que devant l’absence de réaction du ministère de la Santé, les médecins résidents avaient décidé de ne pas reprendre les gardes dans les hôpitaux et «en attendant de trouver des solutions pérennes, le CAMRA compte continuer son mouvement de protestation» avait indiqué un communiqué du collectif. En date du 26 mai, le CAMRA avait annoncé «une reprise de la participation à l’activité de garde, à partir du 3 juin 2018 conditionnée par des négociations fructueuses, avant cette date».

Les grévistes envisageaient même «un dénouement total de la situation en cas de propositions satisfaisantes». Son bureau national, qui s’était réuni à Constantine, a réaffirmé son entière disponibilité à des négociations «concrètes» avec le ministère de la Santé et celui de l’Enseignement supérieur, en vue de trouver des solutions «satisfaisantes».

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Danger pour les hémophiles: Mise en garde contre la circoncision de nouveau-nés à un âge précoce

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:16

Par M. Aziza,

En dépit de la circulaire du ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière qui date de 2014, interdisant la circoncision en dehors des structures hospitalières, la circoncision collective avec des méthodes traditionnelles continue à se pratiquer sans bilan préparatoire avec toutes les conséquences qu’elle pourrait engendrer pour, notamment, les enfants hémophiles non identifiés. C’est d’ailleurs l’énième mise en garde lancée par docteur Djamila Nadir, sous-directrice chargée des maladies chroniques au ministère de la Santé, qui ne cesse de recommander, à chaque occasion, aux familles de garçons atteints de maladies du sang, notamment d’hémophilie, de circoncire leurs enfants en milieu hospitalier, afin d’éviter d’éventuelles complications telles que les hémorragies pouvant entraîner la mort et d’autres infections non moins dangereuses.

Elle n’a pas hésité à qualifier ceux qui recommandent la circoncision collective en dehors du cadre hospitalier «de secte» en raison de leur persistance à pratiquer la circoncision dans la nature ou à la maison malgré son danger sur l’enfant, notamment sur les hémophiles.

Lors d’une soirée de circoncision organisée par l’association nationale des hémophiles, ce vendredi à l’hôtel Mercure, la représentante du ministère de la Santé a évoqué, à titre de rappel, le cas d’un enfant de Laghouat qui a été circoncis sans analyses préalables avant l’acte chirurgical, à la maison, dès la première semaine de sa naissance et qui a failli perdre la vie.

La présidente de l‘Association nationale des hémophiles, Latifa Lamhen, a appelé les médecins praticiens et les chirurgiens devant effectuer des opérations de circoncision à la nécessité de faire des analyses médicales pour les enfants à circoncire. Elle a également déconseillé la circoncision des garçons nouveaux nés à quelques jours suivant la naissance. En expliquant que cette nouvelle tendance qui n’est pas de nos coutumes n’est pas sans danger sur les hémophiles non identifiés. Car, explique-t-elle, la circoncision de leurs enfants à un âge précoce «dès la première semaine de la naissance» ne permettant pas de diagnostiquer l’hémophilie chez les enfants, ce qui peut causer une hémorragie mortelle à des enfants hémophiles.

La présidente de l’association a appelé tous les acteurs concernés, spécialistes, ministère de la Santé, société civile et les imams à renforcer les campagnes de sensibilisation notamment sur la nécessité de circoncire les enfants dans le milieu hospitalier avec des bilans «complets» avant la circoncision qui est «un acte chirurgical» et d’éviter notamment la circoncision des nouveaux-nés à un âge précoce.

La présidente de l’association insiste sur le rôle de la mosquée. «Les imams sont appelés à faire des prêches sur les dangers de la circoncision qui ce fait à un âge précoce chez les nouveaux-nés, et celle qui se pratique en dehors des structures de santé habilités par des personnes qui ne sont pas du corps médical», car, dit-elle, ceux qui ont circoncis leurs enfants à un âge très précoce s’appuient sur des avis religieux étrangers, qui nous viennent d’ailleurs.

Le nombre des hémophiles en Algérie avoisine les 2.500. L’on enregistre chaque année 40 à 50 nouveaux cas et, contrairement aux idées reçues, l’hémophilie ne touche pas seulement les enfants mais les adultes qui sont parfois identifiés par hasard, lors des bilans avant une intervention chirurgicale.

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Chlef- Chasse : un centre de formation qui se fait attendre

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:13

Par Bencherki Otsmane,

  A l’heure où les pouvoirs publics encouragent toute initiative de la part de la communauté résidant à l’étranger notamment en France et qui souhaite investir en Algérie, il se trouve qu’il existe un certain blocage au niveau des administrations du pays qui ne permettent pas la concrétisation d’un quelconque projet. C’est du moins ce qui ressort des déclarations d’un jeune Algérien de 38 ans natif de Chlef et qui réside en France depuis plus de 18 ans. Notre interlocuteur est un mordu de la chasse au point où il a fréquenté de grandes écoles en France et a obtenu un diplôme de formateur pour le permis de chasser.

Aujourd’hui il est un membre actif de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS France). C’est un établissement chargé de la connaissance de la faune sauvage et de ses habitats à travers des études et des recherches, de la police de la chasse et de l’environnement, de l’appui technique auprès des décideurs politiques, aménageurs et gestionnaires de l’espace rural et de l’organisation et surtout de la délivrance du permis de chasser. Il a obtenu la confiance de ses confrères et a été élu président de l’association «Promotion et conseil en chasse durable en région parisienne» (PCCD). Lors de sa visite récente en France, Ouyahia avait déclaré notamment devant la communauté nationale établie en France que «les jeunes de la communauté algérienne en France qui souhaitent s’installer en Algérie pourront bénéficier des dispositifs d’aide à la création de micro-entreprises». «Ces dispositifs, avait expliqué le 1er ministre, accompagnent les jeunes dans plusieurs activités, depuis l’agriculture, la production de biens et de services, jusqu’à l’ouverture de cabinets de médecins ou de bureaux d’architectes».

Voilà un discours que notre interlocuteur a bien apprécié particulièrement venu d’un haut responsable politique et a décidé donc de constituer un dossier pour obtenir l’autorisation d’ouverture d’un centre de formation à Chlef. Les premières démarches se sont relativement bien déroulées, (dépôt de dossier et entretien), mais il en sera autrement par la suite. Ainsi, six longs mois se sont écoulés depuis le dépôt du dossier (8 janvier 2018) à la direction générale des forêts. C’est le black-out total à l’administration. Notre interlocuteur semble être désespéré et furieux. Il tient à nous confier que son projet de centre de formation pour l’obtention du permis à chasser à Chlef lui tient énormément à cœur.

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Nette hausse du nombre des commerçants réquisitionnés pour l’Aïd el Fitr

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:11

ALGER- Le nombre de commerçants réquisitionnés pour l’Aïd El Fitr sera de 49.893 au niveau national (contre 35.876 en 2017) afin d’assurer aux consommateurs un approvisionnement régulier en produits alimentaires et services de large consommation durant cette fête, a indiqué dimanche un communiqué du ministère du Commerce.

En application des dispositions de l’article 8 de la loi 13-06 modifiant et complétant la loi 04-08 relative aux conditions d’exercice des activités commerciales, les services du ministère du Commerce ont ainsi élaboré un programme à l’effet d’éviter des perturbations dans l’approvisionnement.

Cette permanence concernera 5.376 boulangers, 32.819 commerçants activant dans l’alimentation générale, fruits et légumes,11.234 dans des activités diverses et 445 unités de production (134 laiteries, 275 minoteries et 36 unités de production d’eaux minérales).

Le nombre de commerçants réquisitionnés a ainsi été renforcé et revu à la hausse de l’ordre de 39% par rapport à l’année 2017, et ce, pour pouvoir assurer aux consommateurs une  disponibilité fluide des produits notamment de large consommation, précise le communiqué.

A cet effet, 2.277 agents de contrôle ont été affectés à travers l’ensemble du territoire national pour le suivi de la mise en œuvre de ce programme des permanences.

Rappelant l’adhésion habituelle des commerçants en vue d’assurer l’approvisionnement de la population durant les fêtes nationales et religieuses, le ministère du Commerce appelle les commerçants réquisitionnés à contribuer massivement à la réussite de cette opération.

L`application de la permanence des commerçants pendant les fêtes légales nationales et religieuses a commencé en 2012 suite à l`amendement de la loi 04-08 fixant les conditions de l`exercice des activités commerciales, par l`introduction d`une disposition obligeant les commerçants à assurer une permanence durant ces fêtes.

Cette loi prévoit des sanctions à l`encontre des récalcitrants dont la fermeture des locaux commerciaux pour une durée d`un (1) mois assortie d`une amende allant de 30.000 à 200.000 DA contre les contrevenants.

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El-Bayadh: Près 800 kg de kif saisis en une année

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:11

Par Hadj Mostefaoui,

  La journée portes ouvertes organisée jeudi par le groupement territorial de la Gendarmerie nationale de la wilaya d’El-Bayadh a été l’occasion pour un large public de s’enquérir du rôle et des missions de ce corps de sécurité. Il y a lieu de noter que 280 délits et 113 infractions ont été enregistrées l’an dernier, donnant lieu à l’arrestation de 413 personnes dont 116 ont été présentées devant les différentes juridictions territorialement compétentes. Concernant le crime organisé, 22 affaires ont été traitées, dont la plus importante est la saisie de 798 kg de kif, suivie de la saisie de 162 comprimés de psychotropes, de 2.330 bouteilles de boisons alcoolisées, de la récupération de 512 quintaux d’aliment de bétail et enfin de 2.330 cartouches de cigarettes.

Dans le cadre de la lutte contre le crime organisé, 42 personnes impliquées dan le vol de 745 têtes de moutons ont été arrêtées durant la même période.

En matière de sécurité routière, 20 accidents de la circulation ont été enregistrés avec un bilan de 18 morts et 39 personnes blessées, soit une baisse de 41% par rapport à l’an dernier.

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Adrar: Des promesses pour les personnes à besoins spécifiques

Algérie 360 - Sun, 06/10/2018 - 14:10

Par Bentouba Said,

Comment améliorer la prise en charge des personnes à besoins spécifiques, faciliter l’accès aux services de la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS), écouter les doléances de cette catégorie et assurer la coordination avec leurs représentants. Tels sont les grands axes de la rencontre qui a regroupé les cadres de la CNAS de la willaya d’Adrar et 10 associations de cette catégorie cette fin de semaine. La CNAS d’Adrar compte 1.754 assurés de cette catégorie. La rencontre a permis d’écouter leurs préoccupations, leurs propositions et de discuter des meilleures mécanismes pour un traitement efficace et rapide des prestations offertes par la CNAS à cette catégorie, a-t-on appris du directeur de la CNAS, M. Ghanmi. Les cadres de la CNAS ont présenté les avantages accordés par la caisse, en appelant les représentants des associations à plus de proximité afin de proposer les meilleurs services. De leur côté, les représentants des personnes aux besoins spécifiques ont encouragé cette initiative et la vision de la CNAS envers ces personnes qui ont toujours besoin de la solidarité de la société et des organismes de la CNAS comme un accompagnateur dans leurs vies quotidiennes. II est à noter que la willaya compte actuellement 113.700 assurés affiliés à la CNAS.

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