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Afrique

La gendarmerie nationale dispose d'un service de lutte contre la cybercriminalité et de contrôle numérique

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 09:54
AMI - Le ministre de la Défense nationale, Mohamed Ould Cheikh Mohamed Ahmed Ould Ghazwani, a inauguré lundi ( 10 Décembre) à Nouakchott, en...
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CAF Awards 2018 : les Mourabitoune, finalistes

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 09:12
RIM Sport - Les Mourabitoune figurent dans la short list au titre de meilleure équipe nationale masculine de l’année CAF Awards 2018...
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Burkina-France : la coopération sécuritaire au cœur de la visite de Kaboré à Paris

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 08:29
Jeune Afrique - Roch Marc Christian Kaboré sera en visite officielle en France les 17 et 18 décembre. Il sera reçu à l'Élysée par Emmanuel...
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Message de Biram Dah Abeid à la rencontre commémorant le centenaire de Nelson Mandela à Johannesburg.

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 07:45
IRA-Mauritanie - Mesdames et Messieurs, chers artistes, chers amis d’Afrique du sud, du continent Africain et du monde entier. C’est un...
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La Région de Nouakchott signe une convention de financement avec l’AIMF et la ville de Lausanne

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 07:00
CRN - Signature d’une convention de financement tripartite entre l’AIMF, la ville de Lausanne et la Région de Nouakchott pour l’extension du...
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Isma, le premier élu

24 Heures au Bénin - Sat, 12/15/2018 - 05:30

Soucieux de la qualité des formations dans l'enseignement supérieur au Bénin le gouvernement s'engage de plus en plus à l'obtention des résultats de sa politique. C'est l'Institut supérieur des métiers de l'audiovisuel (Isma) qui obtient l'accompagnement du gouvernement béninois pour la formation des formateurs de l'Isma en Belgique.
Le renforcement de la coopération bilatérale entre le Bénin et la Belgique n'a pas cessé de porter ses fruits. C'est donc à travers un projet de l'Isma soumis par le gouvernement béninois à la Belgique pour la formation de ses formateurs que cette école vient d'être élue au projet.
Instituée par l'Accord de coopération signé le 28 janvier 1999 entre la Communauté française de Belgique, la Région wallonne, la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale et la République du Bénin, à travers la 6ème réunion de la Commission mixte permanente, Isma a été retenu.
Cette notification officielle a été faite par les partenaires à Isma.
Couvrant une période de trois ans (2019-2021), les enseignants de l'Isma bénéficieront, sur financement intégral de la Wallonie-Bruxelles International, d'une formation des formateurs au cours de dix neuf (19) missions. Il s'agit de quatre (4) missions de 14 jours en Belgique en 2019, six (6) missions de 14 jours en Belgique en 2020, six (6) missions de 14 jours en Belgique en 2021 et trois (3) missions de sept (7) jours au Bénin en 2021. Ces missions qui entrent dans le cadre de ce projet visent à renforcer les capacités des professeurs de l'Isma. Tout ceci dans le but de faire de l'enseignement des métiers de l'audiovisuel, une véritable industrie culturelle compétitive, porteuse de croissance économique, d'activités, d'emploi et de reconnaissance de l'identité et de la diversité culturelle au niveau local et international.
Ne pouvant rester insensible à cette volonté manifeste du gouvernement, la direction générale de Isma reconnaît à juste titre l'effort du gouvernement dans l'accompagnement des établissements privés. Elle dit sa reconnaissance à la Wallonie-Bruxelles International qui apporte un appui de taille aux pays africains à travers le programme spécifique : Culture, Patrimoine et Tourisme.
Comme coordonnateurs du projet de l'Isma, il y a le Ministère des Affaires étrangères et de la coopération et le Ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Giscard AMOUSSOU

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Mauritanie : la route du Tagant bloquée par un camion dans la passe d’Echetf

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 01:00
Saharamédias - Le trafic routier sur l’axe Sangrava-Tidjikja a été totalement interrompu vendredi après qu’un camion se soit renversé...
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G5 Sahel : conférence de validation d’un guide régional sur la prévention et la lutte contre l’extrémisme violent

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 00:30
USAID/P4P - Ndjamena, Tchad - Les 22 et 23 novembre 2018 s’est tenu à l’hôtel La Résidence à Ndjamena, Tchad, un colloque portant sur...
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Un ouf de soulagement pour les populations de Djougou- Pehunco-Kerou -Banikoara

24 Heures au Bénin - Sat, 12/15/2018 - 00:30

Le jeudi 13 décembre 2018, le Conseil d'Administration de la Banque Africaine de Développement (BAD) a approuvé deux accords de prêt de 123,2 milliards de francs CFA au profit du Bénin dans le cadre du bitumage de la route Djougou – Péhunco – Kérou - Banikoara. Ces deux accords portent sur un prêt de la Banque Africaine de Développement (BAD) d'un montant de 78,7 milliards de francs CFA et un prêt du Gouvernement Chinois de 35,8 milliards de francs CFA.
Le financement de la Banque Africaine de Développement (BAD) porte donc à 123,2 milliards de francs CFA, le montant total mobilisé auprès des Partenaires Techniques et Financiers sous forme de dons et de prêts. Le Gouvernement du Bénin apportera une contribution propre d'environ 5,0 milliards de francs CFA.
Le Gouvernement du Bénin a fait du secteur agricole un pôle important de son développement, notamment la production cotonnière, qui ces dernières années a atteint des records historiques. C'est pourquoi, le Président de la République accorde une attention soutenue au bitumage de la route Djougou - Péhunco - Kérou - Banikoara, qui traverse la plus grande zone de production cotonnière du pays. Sa construction, en plus de contribuer à l'amélioration du réseau routier national, désenclave les populations et offre une excellente opportunité pour le développement de l'économie de la région.
Les travaux de cette route longue de deux cent douze (212) kilomètres linéaire, sont prévus pour démarrer au deuxième semestre de l'année 2019 pour une durée de trente (30) mois. Le Ministre d'Etat chargé du Plan et du Développement tient à remercier au nom du Gouvernement et du Président de la République Patrice TALON, la Banque Africaine de Développement et tous les autres bailleurs de fonds qui accompagnent le Bénin dans la réalisation de ce projet. Il rassure également les populations notamment celles des communes de Djougou, Péhunco, Kérou et Banikoara que toutes les dispositions seront prises pour le démarrage et l'achèvement des travaux dans les délais.

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Plus de 50.000 personnes déplacées dans l’ouest du Niger frontalier du Mali (ONU)

CRIDEM (Mauritanie) - Sat, 12/15/2018 - 00:00
Bamada - Quelque 52.000 personnes ont été forcées à se déplacer depuis janvier dans les régions de Tillabéri et Tahoua (ouest du Niger), une...
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Nouveau Rapport sur la privatisation et la marchandisation de l’Education en Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 12/14/2018 - 23:46
The Global Initiative - Nouveau Rapport: la Mauritanie doit mettre en œuvre le #DroitàlEducation au lieu d’encourager la privatisation et la...
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Oxfam lance un projet d'envergure sur le "renforcement du pouvoir citoyen d’organisations communautaires de base" au Brakna, au Gorgol et au Hodh El Gharbi

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 12/14/2018 - 23:15
Traversees-Mauritanides - Mardi 11 décembre 2018 Oxfam et son partenaire le Réseau des Organisations sur la Sécurité Alimentaire (ROSA) ont...
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07 nouveaux membres intègrent l'Ordre des architectes et urbanistes

24 Heures au Bénin - Fri, 12/14/2018 - 22:55

La famille de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB) s'agrandit avec l'adhésion, ce vendredi 14 décembre 2018, de 07 nouveaux membres.
La cérémonie de prestation de serment a eu lieu au siège de l'institution à Agblangandan (Sèmè-Podji), en présence du président de l'Ordre, M. Narcisse Justin SOGLO, de la présidente de la Fédération des architectes francophones d'Afrique (FAFA), Séhinabou Yolande DOUKOURE et des représentants du ministre de l'enseignement supérieur, Gérard GBAGUIDI, du cadre de vie et du développent durable, Victor ANANOUH.
Cette cérémonie solennelle qui a marqué la fin du salon « ARCHI' INNOV » entrant dans le cadre du 35ème anniversaire de l'ONAUB a également connu la présence de plusieurs partenaires de l'ordre, ainsi que des parents et amis des récipiendaires.

« Dans le respect de l'intérêt public qui s'attache à la qualité architecturale et urbanistique, je jure d'exercer ma profession avec conscience et probité, et d'observer les règles et règlements qui la régissent en République du Bénin ». C'est par cette formule que les 07 nouveaux membres ont intégré la grande famille de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB). L'admission de ces nouveaux membres fait passer à 180 l'effectif des architectes et des urbanistes inscrits à l'Ordre.
« Chers nouveaux confrères, il me plaît de rappeler que votre prestation de serment est un contrat social dont l'exécution nécessite un maximum de conscience et de probité afin de ne pas trahir la confiance que l'Etat, les collectivités locales et les personnes privées reposeront sur vous », a souligné le président de l'Ordre. M. Narcisse Justin SOGLO a souhaité que leurs prestations puissent renforcer celles de leurs aînés, aussi bien dans le secteur privé que dans les services de l'Etat et des collectivités locales.
« (...) Vous pouvez donc vous réjouir désormais d'appartenir à la grande famille des Architectes et Urbanistes du Bénin avec toutes les prérogatives y afférents », a ajouté le président de l'Ordre.

Le représentant du ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Gérard GBAGUIDI dans son allocution a félicité l'ONAUB non seulement pour la commémoration de ses 35 ans d'existence à travers le 1er salon de l'architecture et de l'innovation, mais aussi pour son accompagnement dans la recherche de solutions durables aux enjeux du développement urbain auxquels est confronté le Bénin.
Il a invité les récipiendaires à mettre en pratique tous les acquis de leur formation et ceux reçus aux côtés de leurs collègues architectes.
« Aussi, voudrais-je vous encourager dans cette vie d'artiste qui désormais est la vôtre et remercier tous les architectes et urbanistes qui vous accueillent dès aujourd'hui dans leur rang et qui œuvrent chaque jour à la construction d'un habitat plus écologique et plus économique », a déclaré Gérard GBAGUIDI.
Aussi, a-t-il formulé le vœu de voir l'entité grandir dans une véritable union sacrée.

Engagés à être des modèles pour la société

Le président de l'ONAUB, n'a pas manqué d'inviter les récipiendaires, au respect des droits et devoirs qui régissent la corporation. « La profession d'Architecte ou d'Urbaniste est une profession libérale. Au fil du temps, vous vous accommoderez avec les contraintes de ce choix. Je voudrais donc vous exhorter au courage et à la persévérance », a-t-il martelé.
M. Narcisse Justin SOGLO a également convié les autorités et les populations à utiliser les compétences nationales dans les domaines de l'architecture et de l'urbanisme. « Mettez-les à l'épreuve pour le bonheur de la nation béninoise », a-t-il recommandé.
Quant au représentant du ministre du cadre de vie et du développement durable, M. Victor ANANOUH, il a prodigué des conseils en ce qui concerne l'exercice du métier d'architecte. Selon lui, quelques-uns des principes essentiels qui régissent la profession sont : l'indépendance, la moralité, la compétence, l'éducation du public.
« Vous avez tous les outils mis dans vos mains, pour être de bons architectes. Votre mission ne va certainement pas rester seulement en République du Bénin mais s'étaler, je l'espère et je vous le souhaite de tout mon cœur, dans tout le monde entier », a-t-il énoncé.
M. Victor ANANOUH a remercié particulièrement les parents des récipiendaires pour tous les efforts consentis dans la concrétisation de leur rêve.
« Nous vous promettons de porter dignement l'exercice de la profession d'architecte et d'urbanisme, d'en faire un label d'équité dans notre pratique quotidienne », a confié Richard Valery MISSINHOUN, porte-parole des récipiendaires.
Le partenaire de l'Ordre « LA ROCHE » a mis à la disposition des nouveaux membres quelques outils pouvant leur permettre d'exercer convenablement leur profession.
Les 07 récipiendaires en intégrant l'Ordre sont désormais membres de l'Union Internationale des Architectes (UIA), l'Union des Architectes d'Afrique (UAA), de la Fédération des Architectes Francophones d'Afrique (FAFA) et de la Conférence des Ordres des Architectes de l'UEMOA.
L'un des moments forts de ladite cérémonie est la nomination par arrêté 2018, nº 162/MCVDD/DC/SGM/DGHC/DHPML/SA/054SGG18 du 11 décembre 2018 du sieur Narcisse Justin SOGLO, en tant que commissaire du gouvernement auprès de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin.

Akpédjé AYOSSO

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Tchad, Emmanuel Macron règle les fins de mois de Déby

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 12/14/2018 - 22:30
Mondafrique - A quelques jours du voyage du président français, Emmanuel Macron, au Tchad, le gouvernement français règle, le 6 décembre...
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Moov-Bénin propose des offres tarifaires plus souples à sa clientèle

24 Heures au Bénin - Fri, 12/14/2018 - 22:08

La Directrice marketing et communication du réseau Moov-Bénin, Aïssatou Diallo, a présenté ce vendredi 14 décembre 2018, aux médias les nouvelles offres tarifaires entrées en vigueur en début de semaine. L'objectif visé est de leur expliquer les avantages et les différentes possibilités de choix qui s'offrent aux abonnés de Moov-Bénin.

La conception de ces offres selon la directrice marketing prend en compte des critères sur lesquels les abonnés ont plusieurs attentes. Il s'agit de la validité, du cumul, de la transparence, de la flexibilité et de la variété.
Les types de forfaits disponibles sur le réseau Moov-Bénin selon la nouvelle tarification sont entre autres, le forfait Pass-Bonus, les forfaits appels et les forfaits internet.
Selon les explications de Mme Aïssatou Diallo, par rapport à la validité, il s'agit pour le réseau Moov, de fournir aux clients, des offres qui leur permettent de communiquer beaucoup plus longtemps.
Avec la nouvelle tarification, même après expiration d'un forfait en cours, les abonnés peuvent toujours cumuler même s'ils n'ont pas épuisé les minutes.

« (…) Les abonnés de Moov-Bénin ont désormais la possibilité de cumuler les minutes restantes du forfait expiré avec un nouveau forfait grâce au critère de cumul de la nouvelle tarification. »

, a indiqué Mme Diallo.
Le critère de transparence quant à lui, permet au client de consulter à tout moment son solde ; s'il a souscrit à un forfait, de savoir ce qu'il a consommé, et ce qui lui reste. « (…) C'est un critère qui permet aux abonnés de suivre leur consommation comme il le faisait auparavant », précise-t-elle.
Enfin, grâce à la flexibilité, les abonnés peuvent souscrire à un forfait qui leur permet de tout faire. Que l'abonné veuille faire des appels, des SMS, de l'internet, la flexibilité lui permet d'utiliser son forfait selon ses besoins.
Le forfait Pass-Bonus est un ensemble de formules journalières, hebdomadaires ou mensuelles qui permet aux abonnés de souscrire à un montant bonus selon leurs budgets à partir de 100 CFA, et d'avoir un montant plus élevé. Ce montant plus élevé lui permet de faire tout type d'utilisation.
Les forfaits appels quant à eux constituent l'une des formules des plus anciennes de Moov-Bénin qui a connu plusieurs évolutions.
Les responsables du réseau l'ont maintenu en raison du nombre d'abonnés qui s'y sont habitués et qui ne souhaitent pas changer. Un peu comme le Pass-Bonus, les abonnés peuvent souscrire à des forfaits journaliers à partir de 100 FCFA, des forfaits hebdomadaires et à des forfaits mensuels.
« (…) Les usages de l'internet étant plus importants et les abonnés aussi n'ayant pas les mêmes comportements, Moov-Bénin a proposé une gamme variée de formules à ses abonnés. Ces derniers peuvent souscrire à de petits forfaits journaliers à partir de 100FCFA, des forfaits hebdomadaires et des forfaits mensuels », a-t-elle expliqué.
Il faut préciser qu'à ces différents types de forfaits s'ajoutent les forfaits illimités et l'option libre.
Loin d'une augmentation des frais de communication, Mme Diallo a assuré qu'il s'agit d'un réaménagement des forfaits. « Le tarif de base de 1 franc à la seconde pour la communication n'a pas changé. C'est un réaménagement à l'intérieur des forfaits. A certains niveaux, le tarif est bas. Ailleurs, le réseau a eu l'équilibre des prix mais il n'y a pas de service pour lequel le prix suivant la nouvelle tarification soit cher qu'avant », a-t-elle précisé.

F. Aubin AHEHEHINNOU

Quelques images

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Le Sénat demande l’arrêt du soutien apporté par Washington à l’Arabie saoudite

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 12/14/2018 - 21:45
Le Monde - Les élus ont également adopté, à l’unanimité, une résolution qui juge le prince héritier saoudien « responsable de...
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ISOCEL SA rejoint la 2ème cohorte d'ELITE BRVM LOUNGE

24 Heures au Bénin - Fri, 12/14/2018 - 21:38

ISOCEL SA a été sélectionnée par la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), Afrique de l'Ouest, pour faire partie des 10 entreprises admises au programme ELITE BRVM LOUNGE, 2ème cohorte. Le programme a été lancé le lundi 10 décembre 2018, à Abidjan en Côte d'Ivoire.

À travers ce programme développé par le London Stock Exchange Group (LSEG), la BRVM entend contribuer au renforcement des capacités des entreprises à fort potentiel de croissance de la sous-région, en vue de leur offrir une nouvelle source de financement par le Marché Financier Régional de l'UEMOA.

« C'est une marque de confiance de la part d'une des plus grandes institutions financières régionales. Prendre part à ce programme est une avancée vis à vis des banques, des fournisseurs, des institutions. Le programme ELITE BRVM LOUNGE est également un processus d'accompagnement de 2 à 3 ans au cours desquels la BRVM prépare les actionnaires aux meilleures pratiques en matière de gouvernance et d'organisation de la vie de l'entreprise », affirmait Robert AOUAD, le Directeur Général d'ISOCEL.

Aux termes de l'accompagnement, ISOCEL sera en mesure d'entrer en bourse et d'ouvrir son capital si elle le souhaite.

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La marche des autorités contre l'alcool qui tue

24 Heures au Bénin - Fri, 12/14/2018 - 21:33

Les autorités locales etaient dans les rues, ce vendredi 14 décembre 2018, dans la commune de Natitingou. Ladite marche contre la commercialisation et la consommation de l'alcool frelaté dans le département de l'Atacora était l'œuvre des mairies et préfecture de l'Atacora.
Il sonnait 9 heures ce vendredi lorqu'une longue caravane de marcheurs s'est ébranlée du Foyer Abdoulaye Issa à Natitingou pour se rendre à la Préfecture de l'Atacora.
Le fait particulier était qu'en tête du convoi, ce sont les maires des communes, les notables et les jeunes de l'Atacora qui battaient le macadam pour exiger le retrait de l'alcool qui tue sur le marché. Les nombreuses morts remarquées suite à des cirrhoses de foie étaient l'objet de cette marche populaire. Ils ont été accueillis par le Préfet de l'Atacora qui a reçu leur doléances.
Le plus étonnant est que ce département qui n'a pratiquement aucun palmier à huile produit une grande quantité d'alcool. Le Sodabi et plusieurs autres liqueurs sont courants sur les marchés de l'Atacora. Ce qui a incité les autorités locales à s'engager dans une lutte contre lesdits produits nocifs à la population. Ignorant la provenance des matières premières utilisées pour produire ces liqueurs, une lutte implacable a été lancée contre ces producteurs de ces poisons nocifs à la jeunesse.
G.A.

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Djibouti, Rwanda, Zambie : trois pays africains sur le podium mondial du climat des affaires

Algérie 360 - Fri, 12/14/2018 - 21:18

Ecofin Hebdo) – En matière d’environnement des affaires, l’Afrique est très souvent présentée comme un risque potentiel, surtout dans la partie subsaharienne qui occupe les derniers rangs du classement Doing Business de la Banque Mondiale. Mais dans le détail, ce classement réserve de grandes surprises avec des pays africains qui, sur certains critères, figurent parmi les leaders mondiaux.

Le Rwanda double médaillé d’argent et de bronze !

La réussite du Rwanda n’est plus vraiment une surprise pour de nombreux observateurs de l’Afrique. Le pays qui, il y a deux décennies encore, vivait une des tragédies les plus marquante du 20ème siècle, est aujourd’hui un modèle de réformes et de transformation structurelle.
Ainsi le pays de Kagamé se trouve aujourd’hui, à la 3e place mondiale, ex-aequo avec la Zambie, en matière d’accès au crédit. Il est également parvenu à mettre derrière lui plusieurs pays développés, en matière d’enregistrement du droit de propriété.

Ainsi le pays de Kagamé se trouve aujourd’hui, à la 3e place mondiale, ex-aequo avec la Zambie, en matière d’accès au crédit.

Le Rwanda a renforcé l’accès au crédit en promulguant une nouvelle loi sur l’insolvabilité. Cette réorganisation protège d’une part les emprunteurs, mais donne plus de sérénité aux prêteurs. Ainsi, un tribunal peut imposer une suspension de 6 mois sur une procédure d’apurement de dette garantie par un bien meuble, à la condition que le bien objet de la garantie ne soit pas périssable ou pas nécessaire pour une réorganisation de l’entreprise qui a bénéficié du crédit.

Ainsi, une banque rwandaise peut désormais poursuivre la maison mère d’une entreprise pour se faire rembourser ses créances.

Pour ce qui est des créanciers, il leur est désormais permis de poursuivre jusqu’au entités et personnes liées à leurs débiteurs. Ainsi, une banque rwandaise peut désormais poursuivre la maison mère d’une entreprise pour se faire rembourser ses créances.

 

Le Rwanda et la Zambie, 3e places mondiales ex-aequo des pays où on obtient le plus facilement un crédit.

Pour ce qui est du transfert des droits de propriété, le Rwanda doit son 2e rang à la mise en place d’un mécanisme qui permet la résolution à l’amiable de litiges fonciers et qui s’impose à tous. Mais dans le détail, on note surtout les importantes avancées en matière de procédure.

 

Le Rwanda, 2e place mondiale dans la gestion du foncier, notamment des litiges.

Trois étapes suffisent désormais au Rwanda, contre une moyenne de 4 dans les pays de l’OCDE et de 6 dans les pays d’Afrique subsaharienne. Dans le même registre, 7 jours sont nécessaires pour boucler l’opération, contre 54 en Afrique subsaharienne et en moyenne 21 dans l’espace OCDE. Enfin les lois rwandaises d’administration foncière sont parmi les plus élaborés de tous pays référencés par le Doing Business 2019, avec un indice de gestion 28,5 sur 30.

Djibouti surprenant 2e mondial dans l’indicateur de protection des investisseurs minoritaires

Le petit pays de moins de 1 million d’habitants est quasiment inconnu de nombreux citoyens Africains. Il est pourtant celui qui devrait être consulté en matière de protection de petits investisseurs minoritaires, qui très souvent sont lésés dans de nombreux pays. Dans ce domaine, Djibouti occupe une imposante deuxième place mondiale, dans un domaine où la Grande Bretagne est 17ème, la France 41ème et les Etats-Unis d’Amérique 51ème.

Dans ce domaine, Djibouti occupe une imposante deuxième place mondiale, dans un domaine où la Grande Bretagne est 17ème, la France 41ème et les Etats-Unis d’Amérique 51ème.

Djibouti doit cette position à sa législation particulière qui concerne les actionnaires minoritaires dans les entreprises. Par exemple, le consentement de tous les actionnaires sans exception, est important, pour approuver la cession d’une entreprise. En supposant que les actionnaires minoritaires n’ont pas de connaissance précises pour évaluer une offre d’acquisition, la loi impose aussi que toute offre dans ce sens, fasse l’objet d’une évaluation par une entité externe et indépendante, afin d’éclairer tout le monde en toute impartialité.

 

Djibouti, 2e place mondiale pour la protection des actionnaires minoritaires.

Globalement, à la lecture des données sur ce pays, on remarque, que Djibouti a aussi renforcé la protection des investisseurs minoritaires en exigeant une plus grande divulgation des transactions avec les parties intéressées, en renforçant les recours contre les administrateurs intéressés, en élargissant l’accès aux informations sur les sociétés avant le procès, en renforçant les droits des actionnaires et leur rôle dans les grandes décisions d’entreprise, en clarifiant les structures de contrôle et en exigeant une plus grande transparence. Le deuxième pays africain sur ce segment est le Kenya, qui occupe la 11e place mondiale. Le Rwanda occupe la 14e place et Maurice la 15e.

La Zambie, un des pays du monde où il est le plus facile d’obtenir un prêt bancaire

La Zambie est un de ces pays africains qui brillé dans le Doing Business 2019, avec une belle 2eme place ex-aequo, en matière de facilitation pour l’obtention du crédit. Cela tient à un ensemble de réformes qui ont été introduites dans le pays et qui dont l’objectif vise à consolider de la confiance entre les prêteurs et les emprunteurs.

Sur le plan du renforcement des droits et obligations aux parties dans un prêt bancaire, on relève par exemple, un cadre juridique intégré ou unifié pour l’amélioration de l’apport de garanties. Il englobe la création, la publicité et le respect des équivalents des sûretés réelles mobilières grevant des biens meubles. La loi permet aussi désormais des nantissements sur tout type de biens mobiliers, sans que forcément l’emprunteur ne soit contraint de se voir dépossédé de son bien.

L’autre réforme mené dans ce domaine par la Zambie concerne l’amélioration du système d’information sur le crédit. Même si ces évolutions sont, pour le moment, distribuées par des structures de Crédit bureau et non dans un registre de crédit mobilier, le plus important est qu’elles permettent aux banques un accès à l’information. Les prêteurs peuvent désormais apprécier dans des délais plus courts, la qualité et le profil d’un emprunteur potentiel qui se présenterait à eux.

On note, selon un rapport de la banque centrale zambienne, que le nombre de crédits accordés par les banques a explosé pour atteindre près d’un million (976 000), contre 257 318 un an plus tôt.

En attendant les rapports sur le secteur bancaire pour le compte de l’année 2018, on a pu relever que les réformes semblent déjà porter les fruits promis. A la fin du quatrième trimestre 2017 (une période prise en compte dans le Doing Business 2019), on note, selon un rapport de la banque centrale zambienne, que le nombre de crédits accordés par les banques a explosé pour atteindre près d’un million (976 000), contre 257 318 au terme du quatrième trimestre 2016. Cette augmentation peut-on aussi remarquer, a été fortement tirée par les crédits accordés aux ménages.

A noter encore que sur ce critère de facilité à obtenir un crédit, le Kenya et le Malawi sont 8e ex-aequo dans le classement mondial.

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Accord de Marrakech sur les migrations : quand les fantasmes l’emportent sur la réalité

Algérie 360 - Fri, 12/14/2018 - 21:17

(Ecofin Hebdo) – Lundi dernier à Marrakech, plus de 150 Etats ont signé un pacte sur les migrations visant à les rendre plus sûres et régulières. Alors qu’elle est accusée, dans l’opinion populaire européenne, d’être le principal grenier à migrants clandestins, l’Afrique était représentée à cet événement par plusieurs de ses Etats. Malheureusement, aujourd’hui, cet accord qui voulait poser les premiers jalons d’une meilleure gestion des crises migratoires, est déjà plombé par plusieurs Etats occidentaux, prompts à céder à la pression des rumeurs et des infox. Une fois encore, l’Afrique est laissée pour compte dans un débat pourtant crucial pour son avenir.

L’Afrique et l’immigration clandestine

Dans un contexte politique mondial caractérisé par des discours extrémistes de « fermeture des frontières aux migrants », le continent est traversé par un nombre inquiétant de conflits armés qui, au-delà de faire des milliers de morts (Soudan du Sud, Libye, Mali), engendre un énorme afflux de réfugiés et de déplacés. Ces derniers qui fuient également des régimes oppressants ou la misère absolue, sacrifient généralement toute leur existence pour tenter de rejoindre l’eldorado européen.

Malgré eux, ils alimentent un commerce de traite d’humains, comme le monde l’a récemment découvert en Libye, avec un marché aux esclaves animé par des passeurs qui vendent aux plus offrants, ceux-là même à qui ils avaient déjà vendu des rêves d’Europe. Pour ceux qui, malgré ces épreuves réussissent à embarquer pour « la terre promise » c’est encore le risque d’un naufrage, ou celui d’un retour musclé en terre africaine qui les menace.

Aujourd’hui ces épisodes quasi-quotidiens de migration clandestine ont alimenté une recrudescence des sentiments xénophobes dans les pays dits « d’accueil ». Des sentiments renforcés par des discours de leaders populistes qui appellent les populations à s’insurger contre les « envahisseurs ».

Aujourd’hui ces épisodes quasi-quotidiens de migration clandestine ont alimenté une recrudescence des sentiments xénophobes dans les pays dits « d’accueil ».

Pourtant, plusieurs rapports d’organisations internationales indiquent que la migration clandestine touche beaucoup moins les nations développées que les pays moins avancés.

Décrié par les leaders populistes et présenté comme « un pacte avec le diable ».

Dans un rapport intitulé « Les migrations au service de la transformation structurelle », la CNUCED indiquait que si 17 millions de migrants ont quitté l’Afrique en 2017, c’est 19 millions d’individus qui se sont déplacés sur le continent. Ainsi, 53% des migrants africains de l’année 2017 ont émigré dans un autre pays africain.

Si 17 millions de migrants ont quitté l’Afrique en 2017, c’est 19 millions d’individus qui se sont déplacés sur le continent. Ainsi, 53% des migrants africains de l’année 2017 ont émigré dans un autre pays africain.

En mai dernier, un rapport de l’International Displacement Monitoring Center (IDMC) indiquait qu’en 2017 l’Afrique subsaharienne enregistrait le plus grand nombre de déplacés de guerre avec 5,5 millions de personnes enregistrés cette année.

Le 19 juin dernier, le Haut commissariat des Nations-unies pour les réfugiés indiquait quant à lui, que près de 85% des réfugiés à travers le monde se trouvent dans les pays en développement dont une bonne partie est concentrée en Afrique.

Ces différents rapports fournis par des instances internationales, ont permis de démontrer que les crises migratoires, n’affectent pas plus le « monde riche » que le « monde pauvre ».

Ces différents rapports fournis par des instances internationales, ont permis de démontrer que les crises migratoires, n’affectent pas plus le « monde riche » que le « monde pauvre ».

Cependant, même si les discours xénophobes tendent à vouloir isoler les Etats pauvres africains du reste du monde, plusieurs autres pays s’érigent aujourd’hui en défenseurs d’une solution mondiale au problème de la migration. C’est la position de la France et de l’Allemagne.

Le pacte de Marrakech : que contient concrètement le document ?

Décrié par les leaders populistes et présenté comme « un pacte avec le diable », le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières de Marrakech a tôt fait de cristalliser les attentions du monde entier, à son adoption lundi dernier par une centaine d’Etats. Pourtant, loin d’avoir la valeur d’un traité, le document ne fait que présenter des principes nécessaires à la mise en place d’un système de migration beaucoup plus bénéfique pour tous les pays du monde.

 

La France et l’Allemagne défendent l’idée d’une solution globale aux migrations.

En effet, dès son article 7, le pacte stipule que ledit document établit un « cadre de coopération juridiquement non contraignant, qui repose sur les engagements convenus par les États Membres dans la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants ».

Etablissant une distinction claire entre la situation des réfugiés et des migrants, le texte propose 23 objectifs dont l’atteinte devrait permettre de mettre en place un cadre plus favorable à la coopération internationale en matière de migration.

Le texte propose 23 objectifs dont l’atteinte devrait permettre de mettre en place un cadre plus favorable à la coopération internationale en matière de migration.

Il s’agit notamment de la lutte contre les facteurs négatifs et les problèmes structurels qui poussent des personnes à quitter leur pays d’origine ; l’amélioration de l’assouplissement et de l’accessibilité des filières de migration régulière ; du renforcement de l’action transnationale face au trafic de migrants.

S’il enjoint également les Etats à « ne recourir au placement en rétention administrative des migrants qu’en dernier ressort et à chercher des solutions de rechange », le pacte réaffirme clairement « le droit souverain des États de définir leurs politiques migratoires nationales et leur droit de gérer les migrations relevant de leur compétence, dans le respect du droit international ».

Ainsi, le nouveau pacte met l’accent sur l’échange d’informations entre les pays, la promotion des droits humains et l’amélioration des conditions des migrants tout en reconnaissant le droit des pays à ne pas mettre en application ce nouvel accord.

Quel impact pour l’Afrique ?

Du fait de son caractère non-contraignant pour les Etats, il est difficile d’imaginer que le nouveau pacte puisse avoir un quelconque impact immédiat dans la gestion des crises migratoires sur le continent africain.

Le retrait annoncé de plusieurs pays comme les Etats-Unis, la Pologne, Israel ou l’Australie, et le gel de la décision d’autres pays comme la Suisse ou la Belgique, ont affaibli à la capacité du nouvel accord à favoriser la mutualisation des politiques migratoires. Pourtant, l’accord en lui-même n’est en réalité qu’une déclaration d’intention de la part des pays signataires.

Le retrait annoncé de plusieurs pays comme les Etats-Unis, la Pologne, Israel ou l’Australie, et le gel de la décision d’autres pays comme la Suisse ou la Belgique, ont affaibli à la capacité du nouvel accord à favoriser la mutualisation des politiques migratoires.

« Ce pacte ne va pas changer grand-chose. […] Il maintient la souveraineté de chaque pays sur sa politique migratoire. Les pays occidentaux continueront de faire exactement ce qu’ils avaient envie de faire » déclarait à cet effet François Héran, professeur au Collège de France, titulaire de la chaire « Migrations et sociétés », interrogé par Franceinfo.

Louise Arbour, présentante spéciale du Secrétaire général de l’ONU pour la migration internationale.

Au vu de cette situation il devient évident que pour arrêter la saignée, les pays africains doivent adopter des stratégies communes visant à renforcer l’attrait du continent pour sa jeunesse. Ceci passe bien évidemment par des projets d’infrastructures et de création d’emploi, mais aussi et surtout par une stratégie de promotion de la paix, de la bonne gouvernance, la lutte contre le changement climatique et une nette amélioration de l’environnement sécuritaire.

Alors qu’elle devrait connaître un boom démographique dans les prochaines décennies, l’Afrique n’a désormais plus d’autre choix que d’accélérer son développement afin que les migrations de sa population lui soient bénéfiques. « Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable et qu’une meilleure gouvernance peut permettre d’optimiser ces effets positifs », déclare à cet effet le pacte de Marrakech pour des migrations sûres, ordonnées et régulières.

« Les migrations ont toujours fait partie de l’expérience humaine depuis les débuts de l’Histoire, et nous reconnaissons qu’à l’heure de la mondialisation, elles sont facteurs de prospérité, d’innovation et de développement durable.»

Et si l’aide internationale en faveur du continent semble de moins en moins efficace, il faudra peut-être, de façon définitive, trouver une « solution africaine » à ce problème africain, comme le martèlent encore aujourd’hui les défenseurs du rêve panafricain.

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Categories: Afrique

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