Sollicité par l'Association Nationale des Initiatives de Formation en Football (ANIF-FOOT), l'expert Fortuné Glèlè qui est le seul Instructeur CAF au Bénin animera deux formations, l'une à Abomey-Calavi et l'autre à Parakou, au mois de janvier 2019.
Le Bénin fait partie des pays de la sous-région Ouest-Africaine, qui comptent le moins d'entraîneurs de football nantis de diplômes professionnels validés par la CAF. Pour aider à corriger le tir, ANIF-FOOT Présidé par Sosthène Sèflimi a conçu un programme de formation en faveur des encadreurs techniques béninois. Dans le cadre de ce programme, il est prévu l'organisation de cours préparatoires aux examens ‘'National D'' et ‘'CAF C''.
Selon les explications de Sosthène Sèflimi, la CAF a institué en Afrique, 3 diplômes professionnels dénommés : « CAF C », « CAF B » et « CAF A ». Ces diplômes sont délivrés après examen, par les fédérations nationales. Au Bénin, c'est donc la Fédération Béninoise de Football qui organise les formations et qui délivre lesdits diplômes. Le protocole veut que les formations soient dirigées par l'instructeur CAF Fortuné Glèlè et bien souvent, la CAF envoie un expert d'une autre nationalité pour faire la supervision.
Les cours préparatoires qu'organise ANIF-FOOT ont pour but de préparer les encadreurs techniques béninois sans diplôme et ceux qui n'ont que le diplôme « National D » à se préparer pour être capables de prendre part aux examens qui seront organisés en 2019, par la FBF.
Les formations auront lieu les 4,5 et 6 janvier 2019 sur la pelouse synthétique du Campus d'Abomey-Calavi et les 8,9 et 10 au Stade municipal de Parakou.
Pour la circonstance, l'expert Fortuné Glèlè sera assisté du coach Enguerran Mathieu Edjèkpan, titulaire du diplôme UEFA B et propriétaire d'un centre de formation à Grottaglie en Italie.
Les frais de participation son fixés à 25.000 F à Abomey-Calavi et à 20.000 F CFA à Parakou.
Créée en décembre 1963, la compagnie nationale des hydrocarbures a connu de nombreuses transformations. Mais les changements qu’elle doit désormais affronter dans un contexte national et international profondément bouleversé s’annoncent comme les plus redoutables de son parcours.
C’est le constat établi par le professeur Chems Eddine Chitour. L’expert appelle à une mutation vers le renouvelable et explique que Sonatrach doit, comme la plupart des compagnies étrangères, s’éloigner du tout-fossile. M. Chitour, dans une déclaration à nos confrères de l’APS, s’est exprimé à l’occasion de la « Journée de l’énergie de l’année 2019 » prévue demain.
Il observe que partout dans le monde, une mutation s’est faite du fossile vers le renouvelable. C’est, a-t-il dit, la conversion à laquelle sont arrivés tous les grands groupes pétroliers internationaux qui, à côté du pétrole, développent de plus en plus les énergies renouvelables.
Il explique son point de vue en soulignant que le renouvelable devrait faire partie des contrats avec les partenaires étrangers sur le principe : une calorie thermique exportée devrait être adossée à une calorie électrique renouvelable mise en place à la fois en terme physique et en terme de savoir-faire, à la fois dans l’amont pétrolier et l’aval, et ce, pour la réalisation du plan ambition de 22 000 MW qui ne peut être finalisé qu’avec l’apport déterminant de Sonatrach. Evidemment, les énergies renouvelables (énergie éolienne, solaire, hydroélectrique, géothermique, biocombustibles) sont des alternatives aux combustibles fossiles qui contribuent à réduire les émissions de gaz à effet de serre, en diversifiant l’approvisionnement énergétique et en réduisant la dépendance vis-à-vis des marchés des combustibles fossiles, peu fiables et volatiles (gaz et pétrole notamment). Et, fait important dans cette physionomie de développement de l’énergie, le pétrole reste le carburant dominant dans le monde, mais il a perdu une part du marché pendant quatorze années d’affilée. Quant à la production hydroélectrique et d’autres énergies renouvelables, elles ont atteint le record de la consommation globale d’énergie primaire (6,7% et 2,2%, respectivement). A ce stade de l’évolution de l’énergie, chaque pays – et le nôtre n’en fait pas une exception – doit assurer son développement au plan de l’approvisionnement pour le secteur tertiaire (habitat, bâtiment), le secteur des transports et en fin pour le secteur de l’industrie et de l’agriculture. L’Algérie doit s’y prendre de la meilleure des manières, qui soient, pour réussir sa politique énergétique, mettant en avant ses atouts énergétiques (sol et sous-sol), mais également le développement des énergies vertes. Le plaidoyer est fait. Mais Sonatrach va-t-elle en tenir compte ? Aujourd’hui, la compagnie nationale a l’ambition d’optimiser les capacités gazières en parallèle du développement des énergies renouvelables et la pétrochimie notamment. Elle compte doubler la densité du forage, optimiser les gisements existants et lancer l’offshore: En clair, augmenter la production des énergies fossiles. Chitour en sera déçu ! A priori, l’entreprise semble avoir plusieurs cordes à son arc. L’expert, lui, pense qu’elle aura des besoins de financements importants qui seront établis en fonction du prix du baril. Selon ses estimations, avec un baril à 80 dollars, Sonatrach pourra investir l’équivalent de 75 milliards de dollars d’ici à 2030. En outre, la raffinerie d’Augusta permettra en 2019 de fournir de l’essence et du gasoil.
Sonatrach,
l’Alma mater
Ce qui va annuler, selon lui, les achats actuels du pays en ces produits, estimés à près de 2 milliards de dollars/an. Si un baril de pétrole coûte 70 dollars, il faut savoir qu’en le distillant, il peut atteindre les 200 dollars. De plus, il ne sera pas esclave des convulsions erratiques du marché, soutient-il. Evoquant le domaine gazier, il considère que le marché international est rude, ajoutant que défendre les parts de marché notamment en Europe nécessite un management de top niveau et une flexibilité. Les contrats de long terme ayant vocation à être remplacés par le marché. Aussi, de son point de vue, la manne en gaz de schiste devrait être exploitée en faisant énormément attention aux dégâts potentiels avec la technologie de fracturation actuelle. Selon lui, seule la formation de cadres compétents, une veille technologique et une veille environnementale permettront ainsi d’exploiter ces réserves dans des conditions de sécurité: Ce sera le challenge de 2030. Il est utile par ailleurs de noter que la « Journée de l’énergie de l’année 2019 » a été exceptionnellement avancée au 18 décembre en cours afin qu’elle coïncide avec le 55e anniversaire de la création de Sonatrach. Au cours de cette Journée de l’énergie, les élèves ingénieurs de l’Ecole nationale polytechnique (ENP), encadrés par le professeur Chitour, exposeront leur vision du futur concernant l’avenir du pays dans le domaine de l’énergie, de l’environnement, de l’eau et des économies d’énergie. Ce faisant, ils veulent témoigner d’abord de la résilience de Sonatrach dans des conditions parfois difficiles, et ce, par un travail gigantesque qui fait que notre compagnie nationale est toujours là et occupe une place centrale dans le développement du pays. L’aventure pétrolière de l’Algérie avait démarré avec la création de Sonatrach le 31 décembre 1963. Pour Chitour, en 55 ans, les acquis de Sonatrach sont « indéniables ». Ainsi, lors de cette rencontre, plusieurs communications seront données sur ce qui avait été réalisé dans l’amont en termes d’exploration du domaine minier, de production multiforme (gaz naturel, condensat, GPL), et dans l’aval (raffinage, pétrochimie, GNL). Ce sera également l’occasion de mettre l’accent sur les ambitions du groupe Sonatrach en rappelant que ce groupe a élaboré une stratégie multiforme pour atteindre plusieurs objectifs. Il s’agit d’abord d’explorer d’une façon intensive, en augmentant la densité du forage mais aussi l’important domaine minier où des opportunités réelles existent. Il est également question d’aller, ensuite, vers l’aval, en développant la pétrochimie qui sera de plus en plus importante dans les prochaines années. L’expert estime que Sonatrach est à la fois l’Alma mater (mer nourricière) en termes de ressources et l’un des outils de l’Algérie pour réussir sa transition énergétique vers le développement humain durable.
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La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), à Porto-Novo, a ouvert ce lundi le dossier portant sur le scandale ICC-Services. Plusieurs témoins ont fait leurs dépositions. Entre autres, le président directeur général de la structure Guy Akplogan, qui a reconnu l'existence illégale de ICC-Services puis le ministre Pascal Irénée Koupaki.
Le Président Directeur Général de la structure, Guy Akplogan a plaidé non coupable pour l'ensemble des chefs d'accusations contre lui.
Il s'agit d'association de malfaiteurs, escroquerie avec appel au public, exercice illégal d'activité bancaire ou de microfinance, etc... Bien qu'il ait reconnu n'avoir pas été régulièrement enregistré selon la loi régissant la collecte de fonds en République du Bénin, avant de démarrer les activités de ICC-Services, il dénie toute responsabilité face aux nombreuses accusations dont ses collaborateurs et lui sont accusés.
Selon les propos du PDG de cette structure, des autorités au plus haut niveau de l'Etat étaient au courant de l'existence de ICC-Services. Ne sachant pas qu'il y a une réglementation en la matière, il confie que ce n'est qu'après la visite des autorités qu'il a su en déclenchant le processus d'obtention d'agrément. Il affirme que le directeur de cabinet du président Boni Yayi, Nestor Dako lui aurait même demandé d'ouvrir une agence ICC-Services à Lalo sachant bien qu'il n'avait pas d'agrément. Guy Akplogan laisse croire que le président Boni Yayi était informé de l'existence de la structure de collecte. A l'en croire c'est suite aux difficultés d'avoir l'agrément que le président leur a demandé de se rapprocher du professeur Géro Amoussouga pour les aider. Il précise que ICC-Services faisait des dons au nom du président.
Quant à Pascal Irénée Koupaki, invité à la barre, il fait savoir ne pas connaître du dossier dès le début. Il souligne avoir vu les responsables de ICC-Services pour la première fois, lorsque la crise a commencé. C'est au cours d'une réunion d'urgence au Palais de la présidence convoquée par le. Chef de l'État. Il déploré des dysfonctionnements sur la chaîne de contrôle de l'État sinon cette structure ne pouvait voir le jour. Il se demande « Comment un phénomène de cette nature peut arriver dans un pays organisé ».
G.A.
Lors de l’inauguration de la deuxième unité de production d’Unilver en Algérie, qui produira des produits cosmétiques et de soins personnels, Rana Sengupta, PDG d’Unilever Afrique du Nord, a accepté de répondre aux questions d’Algerie360.com .
Rana Sengupta, PDG d’Unilever Afrique du Nord
En premier lieu, le responsable a tenu à rappeler l’importance d’une telle unité de production pour son entreprise, ainsi que pour l’économie algérienne « l’inauguration de l’usine de cosmétiques et de produits de soins personnels d’Unilever à Oran est un moment qui nous rend très fiers, et qui est très important pour notre entreprise, ainsi que pour l’Algérie » .
Le PDG d’Unilever Afrique du Nord a ensuite expliqué pourquoi son entreprise a ouvert cette deuxième unité de production en Algérie « l’usine Unilever d’Oran permettra d’offrir aux consommateurs algériens des produits de marques connues mondialement qui seront fabriquées localement, et de faire évoluer notre business en Algérie »
Enfin, Mr. Sengupta a cité les marques de la firme qui seront produites à Oran « Cette nouvelle unité de production permettra de produire localement des marques à la renommée internationale telles que Sunsilk, Clear, ou encore Signal. Les produits seront d’ailleurs estampillés Made in Algeria » précise le reponsable.
Pour rappel, le 16 décembre dernier, la deuxième unité de production d’Unilever en Algérie a ouvert ses portes à Hassi Ameur, dans la wilaya d’Oran. Elle sera spécialisée dans la production de produits cosmétiques et de soins personnels, et permettra la création de 800 emplois directs et indirects.
Yasmine Dorbane.
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La dissémination des résultats des études (CAP et TRAC) sur les abus sexuels y compris le mariage précoce a fait l'objet, d'un atelier d'une journée ce, lundi 10 décembre 2018.
Organisé par l'Association béninoise pour la promotion de la famille (Abpf) en collaboration avec la direction générale de l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant (Offe) grâce au soutien de la fondation Hewlett, les travaux de cet atelier se sont déroulés au Centre Anouarite d'Abomey-Calavi en présence de plusieurs acteurs dont la Présidente de l'Abpf, Mme Judith Gbèhinto et du Directeur Général de l'Offe, M. Nassirou Kassoumou.
Les résultats des études réalisées par l'observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant sur les abus sexuels y compris le mariage précoce sont désormais disponibles. Ils ont été présentés au cours d'un atelier qui a réuni les différents acteurs œuvrant pour la lutte contre les violences sexuelles y compris le mariage précoce, le lundi 10 décembre.
Il s'agit d'un atelier de restitution de deux enquêtes que la direction générale de l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant a réalisé mais dont les résultats n'ont pas encore été vulgarisés.
L'atelier est organisé par l'Association béninoise pour la promotion de la famille (Abpf) avec le soutien de la fondation Hewlett en collaboration avec l'Observatoire.
Après la restitution, il va falloir passer à la vulgarisation des résultats de ces études afin que les populations quel que soit l'endroit où elles se trouvent soient informées de ce qui se passe par rapport à ce phénomène de violences sexuelles y compris le mariage précoce des enfants, a souligné Mme Geneviève Ahovi Agossa, chargée de plaidoyer à l'Abpf.
Une enquête à caractère national
Cette étude est focalisée sur trois communes du Bénin notamment Za Kpota pour tenir compte des réalités du sud Bénin, Pèrèrè pour le Borgou et des zones qui s'alignent sur ce département et Karimama pour l'extrême nord du pays.
Elle a été menée selon les experts sur deux volets ( qualitatif et quantitatif) dans le but de déterminer les réelles raisons qui sous-tendent la persistance de ce phénomène malgré les efforts pour éradiquer le mal.
Au cours de sa présentation, le chef du service Études et recherches à l'Offe, Florent Maroya, a indiqué que le volet qualitatif de l'étude qui a touché 369 individus de façon aléatoire a permis d'apprécier les connaissances, les aptitudes et les pratiques des différents acteurs impliqués dans les questions de violences sexuelles y compris le mariage des enfants.
Le deuxième volet a touché 2762 filles de 10 à 14 ans et 1380 enfants.
C'est une étude quantitative, poursuit-il, qui a permis d'apprécier les proportions d'acteurs qui connaissent les violences, qui sont prêts à lutter contre les violences et à les dénoncer.
Un constat ahurissant dans les milieux de l'étude
<< Après l'analyse des données recueillies, il est apparu que la pratique persiste dans les milieux investigués à cause des déterminants d'ordre religieux, socioculturels et économiques >>, a déclaré le Directeur Général de l'Offe, Nassirou Kassoumou.
Les technologies de l'information et de la communication, le manque d' éducation de certains enfants et la difficulté de certains parents à assumer leur rôle de géniteur sont aussi sources d'énormes abus que subissent les enfants.
Pour éradiquer le phénomène, l'étude préconise entre autres la sensibilisation accrue, la dissémination et la vulgarisation des différents outils et documents afin d'informer les populations sur la question. Après la phase de présentation des résultats, les participants répartis en groupes de travail ont élaboré des messages de sensibilisation à l'endroit des différentes couches de la société.
Ces messages vont servir selon les explications de la présidente de l'Abpf, Mme Judith Gbèhinto, à réaliser des plaquettes à mettre à la disposition des acteurs (Ong, Jeunes ambassadeurs, juristes) pour une meilleure appropriation des résultats de l'enquête.
Au terme de l'atelier, Mme Geneviève Ahovi Agossa, n'a pas manqué au nom de son chef hiérarchique de remercier tous les acteurs impliqués dans le processus principalement la fondation Hewlett pour son appui financier et l'Observatoire de la famille, de la femme et de l'enfant (Offe) pour son appui technique. Elle a aussi salué la présence de l'Association des femmes juristes du Bénin ainsi que les professionnels des médias à cette rencontre.
Juliette Mitonhoun
Trois casemates pour terroristes, quatre bombes de confection artisanale et des substances chimiques servant dans la fabrication des explosifs ont été détruites lors d’une opération de recherche et de fouille menée dimanche à Batna par un détachement de l’Armée nationale populaire, tandis qu’un un élément de soutien aux groupes terroristes a été arrêté à Tébessa, indique lundi un communiqué du ministère de la Défense nationale.
« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et lors d’une opération de recherche et de fouille à Batna/5eRM, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert et détruit, le 16 décembre 2018, trois (03) casemates pour terroristes, quatre (04) bombes de confection artisanale, des substances chimiques servant dans la fabrication des explosifs ainsi que d’autres objets, tandis qu’un autre détachement a arrêté, à Tébessa, un élément de soutien aux groupes terroristes », note la même source.
Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et de la sécurisation des frontières, des détachements de l’ANP « ont intercepté, à Djanet/4eRM et In Guezzam/6eRM, douze (12) orpailleurs et saisi trois (03) véhicules tout-terrain, (5,3) tonnes de denrées alimentaires, quatre (04) groupes électrogènes ainsi que d’autres outils d’orpaillage, tandis que d’autres détachements ont appréhendé, à El Oued et Biskra/4eRM, deux (02) contrebandiers et saisi deux (02) camions et 43,5 quintaux de feuilles de tabac ».
Dans le même contexte, des Gardes-frontières « ont saisi, lors d’une patrouille de fouille et de recherche menée à Tindouf/3eRM, 27 kilogrammes de kif traité, alors que 29 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Tlemcen et Tamanrasset », ajoute le communiqué.
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Alors qu’ils s’attendaient à récupérer l’équipement de la filiale EvCon retenu au port sec de Boudouaou depuis juillet dernier, les responsables de Cevital ont dû déchanter, hier matin, en apprenant qu’ils n’en ont pas encore fini avec la “séquestration” de ce matériel, décidée et maintenue à ce jour, malgré deux décisions de justice.
“Nous avons appris ce matin, au moment où nous nous apprêtions à sortir de la douane la machine EvCon DL 2300-A5, en application d’une décision de justice, qu’elle fait l’objet d’une nouvelle mesure de rétention”, a annoncé, hier, le groupe cevital dans un tweet, avant de s’interroger : “Qui veut priver l’Algérie de cette industrie du futur et pourquoi ?” Des questions qui se posent, en effet, avec acuité, sachant que ce “litige” était supposé définitivement réglé par voie de justice.
Une première décision de justice, basée sur les conclusions d’une série d’expertises ordonnées par le tribunal, avait enjoint à la direction des douanes de libérer le matériel concerné, une presse à panneaux sandwiches destinée à une usine de fabrication de membranes suivant une technologie innovante et inédite qu’EvCon a mise au point et qu’elle compte utiliser dans ses futurs centres de production d’eau ultrapure. La direction des douanes, au lieu d’exécuter cette décision de justice, a saisi le tribunal une nouvelle fois pour obtenir un arrêt d’exécution de ladite décision. Cette demande ayant été rejetée jeudi dernier, l’équipement devait être récupéré hier pour être acheminé à l’Arba, dans la wilaya de Blida, où est prévue son installation.
À la surprise des responsables d’Evcon et de Cevital, ils apprendront sur place que l’équipement devra demeurer encore au port sec de Boudouaou, alors même que les expertises techniques avaient alerté sur les risques de détérioration qu’il risque de subir s’il devait rester exposé aux intempéries, en soulignant l’urgence de son installation sur le site de production.
Cet énième rebondissement que connaît cette affaire qui défraye la chronique, et qui porte un coup terrible à l’image du système de gouvernance de notre pays et à ses institutions, prouve, si besoin est, que Cevital et ses filiales font l’objet d’un acharnement qui, tout compte fait, n’échappe désormais à personne. Difficile, dans ces conditions, de ne pas se rendre à l’évidence : cet acharnement dont les instigateurs et les exécutants ne s’encombrent même plus de l’obligation de respecter les décisions de justice est le fait d’une “main invisible” qui tire sa capacité de nuisance de sa proximité de décideurs occultes, forcément maffieux, non moins invisibles, mais que la vox populi a fini par identifier.
R. N.
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La ministre de l’Éducation nationale Nouria Benghabrit, a informé les directeurs des établissements scolaires, de la nouvelle démarche concernant les relevés de notes.
En effet à partir de jeudi, les élèves des trois paliers retrouveront leurs relevés de notes sur internet, une nouveauté qui évitera aux parents le déplacement.
La ministre de l’Éducation nationale a confirmé l’envoi des relevés de notes devait normalement débuter jeudi, après le conseil des classes.
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La réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul, pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie.
La fondation Asselah a gratifié ses fidèles cette semaine d’une belle rencontre avec Aïcha Kassoul, cette “grande marcheuse” qu’on a suivie pas à pas dans les dédales de sa déambulation entre vie, histoire, lectures et écrits. Cette auteure native de Blida est avant tout une enseignante, une pédagogue, une femme sensible à ce qui l’entoure et ouverte à l’autre, férue d’histoire et acceptant toutes les différences. “C’est la base de tout”, dira-t-elle à l’assistance. Un parcours qu’elle relatera par bribes et en toute humilité, et auquel elle mêlera le contenu de ses écrits, car l’un ne va pas sans l’autre.
La professeure de littérature française à l’université d’Alger s’est donnée corps et âme à ce métier qui lui permettait d’abreuver ses étudiants de cette richesse littéraire, culturelle, et au-delà historique qui allait forger leur savoir et développer leur esprit critique en comparant ces diverses richesses culturelles enrichissantes.
Elle pensait que cela lui suffirait d’enseigner ce qu’ont écrit les autres, sans avoir à transcender cela par son acte d’écriture à elle, mais c’était sans compter sur cette actualité violente qui allait subitement lui faire face et déclencher en elle ce besoin vital.
Et c’est de cela dont il a été question lors de cette rencontre qui a permis à ses lecteurs de connaître la genèse de ses trois publications romanesques dont le dernier roman La colombe de Kant (éditions Casbah), qui a reçu le Prix de l’Escale littéraire d’Alger 2018. Le déclic romanesque de Aïcha Kassoul s’est déclenché après qu’elle ait été victime du détournement de l’Airbus Alger-Paris de 1995, duquel elle est sortie indemne physiquement, mais qui lui a valu de rester sous le choc un très long moment, jusqu’à l’exorciser quelque peu par un roman Chronique de l’impur dans lequel elle raconte ce calvaire vécu pendant trois jours et deux nuits dans l’enceinte fermé d’un espace considéré comme “pur” par de jeunes assaillants “qui auraient pu être mes étudiants, ou mes enfants, dans d’autres circonstances”, dira-t-elle, et qui préféreront exterminer quelques victimes hors avion, dans cet espace externe “impur” à leurs yeux.
Ce fut l’horreur pour cette âme sensible qui vécut cette violence comme une torture, mais qui ne l’avoua pas sur un fauteuil de psy, préférant s’auto-soigner par l’écriture. S’ensuivit une autre violence lorsque dans ses salles de cours, elle se trouvera confrontée à des esprits barricadés qui ne croyaient qu’en leurs propres vérités.
À l’extérieur, fermé à tout sauf à leur ego démesuré, des morts-vivants tentaient le diable pour s’emparer de la vie des autres et bannir toute culture ou ouverture. Ainsi, la réalité dépasse toutes les fictions chez Aïcha Kassoul pour qui c’est une source d’écriture menant à la thérapie, elle qui n’a pas beaucoup d’imagination, dira-t-elle. Et un autre roman naîtra, Le pied de Hanane, enclenché par cette abominable nouvelle qui circulait sur cette jeune enseignante de français égorgée devant ses élèves. L’auteure marchera sur les pas de Hanane, faisant ses propres pas à elle dans un univers macabre où la barbarie faisait loi.
C’en était fini de l’enseignement et notre auteure, devenue consule de Besançon, ira vers une autre destinée “diplomatique” qu’elle contera aux présents avec quelques anecdotes qui parfois donneront froid dans le dos tant leur réalité est triste. D’où naîtra La colombe de Kant où la Grande Histoire de l’Algérie, celle qui ne plaît pas forcément à ceux qui veulent en supprimer quelques passages déplaisants se mêlera à quelques moments fictifs pour encore une fois donner à lire une réalité du quotidien.
Aïcha Kassoul donnait aussi à lire sur les ondes le la Chaîne III des ouvrages qui l’ont marquée, un passage très marqué que ses auditeurs présents lui ont demandé de renouveler…
Samira Bendris-Oulebsir
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Les manifestations sociales des syndicats tunisiens, marquées par des grèves en novembre dans le secteur public, reviennent sur le devant de la scène avec ce mouvement de contestation, inspiré des “gilets jaunes” français.
Le gouvernement tunisien, qui n’arrive pas à satisfaire les revendications des organisations syndicales en raison des difficultés financières auxquelles il fait face et les pressions du Fonds monétaire international (FMI), voit revenir la contestation sociale dans la rue dès aujourd’hui.
C’est un nouveau mouvement portant le nom de “gilets rouges” qui fait son apparition avec une première manifestation dès aujourd’hui à Kasserine, dans le centre-ouest frontalier avec l’Algérie. Le choix de ce lieu n’est pas fortuit, car c’est dans cette ville où l’un des fondateurs de ce mouvement a été arrêté vendredi.
Il s’agit de Borhane Ajleni, un militant d’un parti de gauche, auquel on reproche d’avoir diffusé en ligne des appels à soutenir la campagne de contestation, selon des membres de ce mouvement.
Ceci dit, les “gilets rouges” protestent contre la flambée des prix et pour l’amélioration de leurs conditions de vie. Ils demandent au gouvernement tunisien l’établissement d’une stratégie pour l’emploi, l’augmentation du Smic et une baisse des prix des produits de première nécessité.
Ces demandes se justifient par le fait que le chômage dépasse 15%, l’inflation atteint près de 8% et le dinar continue sa dégringolade. Les revendications des “gilets rouges” traduisent la colère qui gronde depuis des mois en Tunisie, avec les grèves dans l’enseignement, dans les transports de carburant, au sein des avocats et de menaces de débrayage dans le transport aérien.
On rappellera qu’une grève générale est prévue à la mi-janvier à l’appel du puissant syndicat UGTT. Il y a lieu de noter que ce mouvement des “gilets rouges” semble bien structuré selon ses responsables, qui affirment qu’il repose sur 9 coordinations régionales et 53 locales.
Conférence de presse, pages facebook déjà en place, représentants en régions, leaders issus des rangs d’un syndicat d’étudiants de gauche ou proches de certaines personnalités politiques traduisent une mobilisation bien réfléchie et loin d’être spontanée.
Interrogé sur cette campagne des “gilets rouges”, le secrétaire général de l’UGTT, Noureddine Taboubi, qui participait à un séminaire organisé par la Fédération nationale des hydrocarbures à Hammamet, a affirmé, samedi, au micro de Radio Shems fm, que “ce qui importe le plus est non pas le déclenchement des manifestations, mais plutôt le fait de savoir les encadrer”.
Noureddine Taboubi a ajouté que la centrale syndicale refuse que les manifestations soient orchestrées par certaines parties, rappelant que la situation sociale du pays est critique. Il a dans ce contexte appelé toutes les parties à faire preuve de responsabilité.
Il y a lieu de signaler que la police tunisienne a saisi cette semaine dans un entrepôt à Sfax 48 000 gilets rouges dont l’importateur affirme qu’une grande partie est destinée à des sociétés pétrolières.
Merzak Tigrine
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Pour protéger le prince héritier, l’Arabie saoudite continue dans sa fuite en avant, alors que les enquêtes menées jusque-là ont conclu à sa culpabilité.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a accentué hier la pression sur l’Arabie Saoudite au sujet de l’affaire de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, tué puis décapité à l’intérieur du consulat saoudien d’Istanbul le 2 octobre dernier, et dont le corps n’a jamais été retrouvé. “Il est absolument essentiel d’avoir une enquête crédible et une punition pour ceux qui en sont coupables”, a déclaré M. Guterres lors d’une conférence de presse en marge d’une conférence à Doha (Doha Forum). Le chef de l’ONU n’a pas précisé s’il souhaitait une enquête internationale dans ce meurtre qui a considérablement terni l’image de l’Arabie Saoudite. “Je n’ai pas d’informations spécifiques (sur le meurtre) à l’exception de celles données par les médias”, a encore dit M. Guterres.
Cette sortie intervient au lendemain de celle du chef de la diplomatie turque, Mevlüt Cavusoglu, dont le pays a affiché son intention de saisir l’ONU pour l’ouvertyure d’une enquête internationale, estimant que l’Arabie Saoudite fait montre de sa mauvaise foi dans la gestion de cette affaire en refusant de partager toutes les informations collectées par Riyad. “Nous n’avons reçu aucune nouvelle information ou résultat de l’enquête côté saoudien”, a déclaré le ministre, Mevlüt Cavusoglu, en marge d’une conférence au Qatar. “La Turquie ne renoncera pas sur ce sujet, nous irons jusqu’au bout”, a-t-il ajouté, cité par les agences de presse. “Nous savons que le corps de Khashoggi a été démembré et sorti du consulat, mais nous ne savons pas où il se trouve et c’est la question principale à laquelle nous devons répondre”, a souligné Mevlüt Cavusoglu.
Mardi dernier, la Turquie a indiqué être en discussions avec l’ONU pour une éventuelle enquête internationale sur le meurtre de Jamal Khashoggi. “À ce sujet, nous nous sommes entretenus avec le Secrétaire général de l’ONU et avec nos homologues et nous continuons de le faire”, avait précisé M. Cavusoglu. Jamal Khashoggi, un éditorialiste critique du pouvoir de Riyad, a été tué par des agents saoudiens dans le consulat de son pays à Istanbul. La Turquie avait affirmé dans un premier temps ne pas souhaiter d’enquête internationale, privilégiant une coopération directe avec les autorités saoudiennes. Mais Ankara n’a eu de cesse de critiquer le manque de collaboration de Riyad, qui affirme que le meurtre a été commis sans l’accord de ses plus hauts dirigeants.
Les autorités saoudiennes ont rejeté une demande d’extradition turque des suspects, parmi lesquels deux proches du prince héritier Mohammed ben Salmane, accusés par Ankara de faire partie des planificateurs du meurtre. Les deux hommes, Ahmed al-Assiri et Saoud al-Qahtani, ont été démis de leurs fonctions le 20 octobre.
Lyès Menacer
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Elle serait, en partie, l’œuvre d’“un microcosme affolé par la perspective d’un changement de président de la République qui serait formé de gens soucieux de leur carrière et de leurs intérêts”.
Ni l’éditorial d’un journal gouvernemental ni les réticences de certains responsables de partis de “la majorité” n’ont réussi à lever le brouillard qui entoure la prochaine élection présidentielle. La confusion règne toujours. Et en l’absence d’un geste de la présidence de la République, c’est la rumeur et la spéculation qui règnent en maîtresses.
Alors qu’au moins une partie du pouvoir a démenti, par le biais d’un éditorial publié dans le quotidien gouvernemental El Moudjahid, l’idée de reporter l’élection présidentielle, la clôture du congrès de TAJ a donné lieu à de nouvelles spéculations. La relance du débat sur l’idée d’Amar Ghoul, qui appelle à la tenue d’une conférence nationale autour de l’élection présidentielle, a donné lieu à d’incroyables lectures. Alors que le président de TAJ n’a pas prononcé le terme “report de l’élection”, une bonne partie de la presse est allée jusqu’à affirmer que l’ancien ministre des Travaux publics plaide en faveur du report de l’élection présidentielle et surtout de la prorogation du mandat d’Abdelaziz Bouteflika. Une thèse relayée par nos confrères du Soir d’Algérie qui vont jusqu’à affirmer que l’élection présidentielle sera bonnement annulée par le biais d’une révision constitutionnelle qui justifiera, légalement, une telle option.
Dans l’état actuel des choses, et en l’absence d’éléments concrets, il est quasiment difficile de confirmer ou d’infirmer une des options sur la table. Mais des hommes issus du système écartent l’éventualité de reporter l’élection présidentielle. “Cela me paraît être une plaisanterie de mauvais goût. Nous sommes dans une situation normale, nous savons depuis bientôt cinq ans qu’il va y avoir une autre élection et tout le monde devrait être prêt à aller vers cette échéance. Je ne vois pas de raison de prolonger le mandat ou de changer la nature du système politique dans l’urgence. Je pense vraiment que c’est une lubie qui n’a aucun fondement”, a, par exemple, estimé l’ancien président de l’APN, Abdelaziz Ziari, invité par le site TSA. Ce sont des ballons-sondes envoyés par “un microcosme qui est affolé par la perspective d’un changement de président de la République, non pas parce qu’ils sont soucieux du bien-être des Algériens ou du président Bouteflika lui-même, mais surtout pour leur carrière et leurs intérêts”, ajoute Ziari, qui pense même à des campagnes d’intoxication.
Du côté de l’opposition, en dehors du MSP, dont le chef, Abderrezak Makri, s’interroge désormais sur les intentions d’Abdelaziz Bouteflika, d’autres composantes ne croient pas au scénario du report. Le report “ne va pas régler le problème du régime dans le sens où plus on éloigne l’échéance présidentielle plus le système s’affaiblit sous l’effet des contradictions et des revirements”, a, par exemple, expliqué le président du RCD, Mohcine Belabbas, dans une interview accordée à Liberté. Le chef du parti démocrate rappelle même que depuis son arrivée au pouvoir, Abdelaziz Bouteflika “essaye de vendre l’image d’une stabilité retrouvée”. “La prolongation du mandat présidentiel est tout simplement un attentat à la morale, à l’État de droit, à la démocratie et aux intérêts stratégiques du pays”, estime, quant à lui, le coordinateur national du mouvement Mouwatana, Soufiane Djilali. Ce conglomérat de partis et personnalités de l’opposition a toujours appelé Abdelaziz Bouteflika à ne pas briguer un nouveau mandat
présidentiel.
Cette confusion est nourrie par les nouveaux éléments de langage utilisés par les partis de la “majorité présidentielle”. Continuité, soutien au chef de l’État ou encore “parachèvement” de l’œuvre sont les maîtres-mots de ces partis et personnalités qui ont construit leur assise sur le seul soutien à Abdelaziz Bouteflika. Mais point de référence à un nouveau mandat dès avril prochain. Ce qui signifie que les paris sont ouverts !
Ali Boukhlef
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Le dernier Conseil de wilaya, tenu jeudi dernier, a été consacré au dossier de l’investissement privé dans différents secteurs d’activité, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la wilaya.
La même source a ajouté que le wali Far Bachir et les membres de ce conseil ont passé en revue ce dossier afin de faire le point pour le booster conformément aux orientations des pouvoirs publics relatives à l’assouplissement des procédures administratives qui constituent un frein à l’investissement, de l’avis de certains investisseurs rencontrés récemment lors d’une rencontre initiée par les autorités locales. A cet effet, la commission du Calpiref totalise 194 projets agréés susceptibles de créer 23 913 postes d’emploi dans différents secteurs d’activité, a souligné notre source ajoutant que le secteur de l’industrie vient en pole position des projets validés avec 87 projets, suivi par le secteur du tourisme avec 44 projets d’investissement, les services avec 28,17 dans le domaine de la pêche et des produits halieutiques, 14 dans le secteur de la santé portant essentiellement sur la réalisation d’une dizaine de cliniques et des unités de production de produits pharmaceutiques et de médicaments.
Selon les services de la wilaya, le secteur agricole totalise 13 projets d’investissement agréés dont une station de conditionnement et de calibrage des produits agricoles dans la commune d’el-Kennar, 7 projets dans le domaine du BTHP.
La même source a précisé que ces projets seront implantés dans les zones de Chouf tenine, relevant de la commune de Ouled-Yahia-Khedrouche, Béni-Ahmed, le pos est, relevant de la commune chef-lieu de wilaya.
Rappelons que les autorités locales ont octroyé la décision de concession d’une assiette foncière de 2 hectares dans la ZAC de Bani-Ahmed à l’investisseur Bentebel Boualem qui projette, avec l’apport des chinois, de réaliser un complexe de transformation des déchets ménagers en énergie pour un montant de 32 millions de dollars susceptible de créer 150 postes d’emploi directs et 50 autres indirects.
Bouhali Mohammed Cherif
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L’hôtel Mekter de la capitale des monts des ksour, Aïn-Séfra, a abrité, du 14 au 15 décembre courant, le congrès de la fondation de l’Organisation nationale pour la protection du patrimoine culturel et du développement du tourisme (ONPPCDT).
Plusieurs membres fondateurs, représentant plus d’une vingtaine de wilayas du pays, dont Skikda, Annaba, El-Taref, Ghardaïa, Laghouat, Oran, Tlemcen, Béchar, Naâma (l’organisatrice) ont pris part à ce congrès constitutif. Après l’élection du bureau, M. Boudelal Mohamed a été élu à l’unanimité président de l’organisation.
Ce dernier nous a déclaré en substance : «Notre organisation vise plusieurs axes majeurs prioritaires, d’abord la protection du patrimoine culturel et la promotion et le développement du tourisme de nature, d’aventure et de recherches au niveau national, ainsi que la mise en œuvre d’une stratégie de mise en valeur de notre patrimoine dans un cadre culturel et touristique, comme nous comptons favoriser l’essor économique par l’exploitation des potentialités que recèle notre pays.»
B. Henine
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