Intervenant, hier, lors d’une Journée parlementaire, organisée par la Commission de l’agriculture, de la pêche et de la protection de l’environnement, sous le slogan «Le foncier agricole entre concession et partenariat : réalité et perspectives».
Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi a révélé que le secteur de l’Agriculture réalise, aujourd’hui, une valeur productive annuelle de plus de 3 200 milliards de DA et sa contribution est de 12% au Produit intérieur brut (PIB), affirmant ainsi que cette production couvre, désormais, la majorité des besoins alimentaires de la population et approvisionne le marché local de manière régulière et abondante en produits agricoles et alimentaires de base et exporte même l’excédent de certains produits vers des marchés internationaux.
Lors de son discours, le ministre de l’Agriculture, Abdelkader Bouzghi, a expliqué, par ailleurs, que la promotion de la politique de développement agricole et rural nécessitait de continuer à augmenter la production et d’encourager les investissements en fournissant les conditions nécessaires pour assurer l’agriculteur dans son activité et sur ses terres, tout en évoquant ainsi les efforts du secteur dans le cadre de la reconversion du droit de jouissance perpétuelle, accordé depuis l’année 1987 aux exploitations agricoles, en droit de concession, en application de la Loi N° 10-03 fixant les conditions et les modalités d’exploitation des terres agricoles au profit de plus de 200 000 exploitations agricoles, soit une superficie globale de 2,5 millions d’hectares.
Bouazghi a assuré aussi qu’il a été procédé à la régularisation de la situation de 180 000 agriculteurs, soit un pourcentage de 96%, une opération devant être achevée à la fin de l’année en cours.
D’autre part , il a ajouté que des mesures ont été prises pour recenser les terres agricoles abandonnées et non exploitées et relancer les comités techniques au niveau des wilayas, en vue de leur restitution et redistribution : «Cette opération a permis, à ce jour, de récupérer plus de 350 000 hectares», a-t-il fait observer, précisant ainsi que le secteur œuvre également à valoriser les terres agricoles relevant des biens privés estimés à 5,7 millions d’hectares pour gagner l’enjeu d’efficacité économique et hisser les capacités de production nationales.
De même, a-t-il poursuivi, le secteur agricole a bénéficié, depuis 2000, de montants colossaux dépassant les 3 000 milliards de DA destinés à l’exécution des programmes de développement déjà tracés.
Mehdi Isikioune
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Le tribunal criminel près la cour de Boumerdès a condamné quatre individus, âgés entre 27 et 36 ans à la réclusion criminelle à perpétuité, et à 10 ans de prison ferme pour homicide volontaire avec préméditation d’un jeune de la wilaya de Chlef, exerçant comme fellah dans la localité des Issers, à l’est de Boumerdès.
Les faits liés à cette affaire criminelle remontent au mois de juillet de l’année 2017 lorsque les services de la Gendarmerie nationale étaient informés de la présence du corps d’un jeune homme, découvert dans un puits au village dit «Torfa» (Issers).
L’enquête déclenchée a abouti à l’arrestation des auteurs du crime crapuleux. Des traces de blessures et d’écorchures ont été découvertes sur le corps de la victime, prouvant qu’il a reçu des coups et qu’il a tenté de résister à ses agresseurs. Selon les investigations menées par les enquêteurs dans cette affaire, une altercation verbale aurait éclaté entre les suspects et la victime, alors qu’ils étaient en état d’ébriété. En plus des agressions verbales, les inculpés ont tenté d’agresser sexuellement la victime. Après cette dispute enflammée, la victime a pris la fuite vers une forêt voisine, où les suspects l’ont poursuivi, ont fini par l’attraper avant de le rouer de coups et de le jeter dans un puits, le laissant pour mort après l’avoir trainé sur une distance de plus de 270 mètres.
Dans son réquisitoire, le procureur a requis la peine capitale à l’encontre des accusés. Accablés par les preuves de leur implication dans le crime avec préméditation, les deux principaux accusés ont été condamnés à perpétuité et les deux autres complices à 10 ans de prison ferme.
B. K.
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Après plus de 20 ans d’absence du sol carolo, Air Algérie fait son grand retour. Le vol inaugural qui a atterri mardi à 13 h 30 à Charleroi comptait à son bord une centaine de passagers parmi lesquels une délégation d’officiels comprenant le directeur général d’Air Algérie Alleche Bakhouche ainsi que Son Excellence Monsieur Pierre Gillon, ambassadeur belge en Algérie.
Ceux-ci ont signifié de leur présence toute l’importance qu’ils donnent au bon fonctionnement de la ligne Charleroi-Alger ainsi qu’aux excellentes relations entretenues par les deux pays et même particulièrement avec la Wallonie.
La compagnie algérienne active depuis 1962 propose d’ores et déjà deux vols par semaine les mardis et dimanches au départ de Charleroi tout en conservant ses trois vols au départ de Bruxelles. La nouvelle ligne constitue immanquablement une entrée de choix vers l’Afrique.
Les prévisions de cette nouvelle liaison annoncent pas moins de 19 000 sièges disponibles par an.
Si les jours et les horaires des vols sont déjà arrêtés, la compagnie propose plusieurs tarifs offrant différents services avec un prix d’appel de 166 euros TTC aller-retour. Pour le directeur général d’Air Algérie, c’est le prix qui séduira le plus les passagers.
Avec quelque 10 000 algériens dans la région, la collaboration vise aussi à attirer les touristes du nord de la France : « Dans la pratique, ce sont essentiellement les tarifs qui intéressent notre clientèle du Maghreb et la ponctualité. II était temps pour nous de nous développer un peu sur la Belgique. C’est aussi une question de rationalisation des coûts. Cela n’est pas la même chose que l’on soit à Charleroi ou à Bruxelles. Avec les trois vols de Bruxelles, nous comptons des vols presque tous les jours. »
Si le cœur était à la fête, l’ambiance était aussi aux remerciements sincères.
L’arrivée d’Air Algérie sur le sol carolo est un énième challenge remporté par Jean-Jacques Cloquet à quelques jours de son départ pour Pairi Daïza.
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ALGER – Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouya, a affirmé, mardi à Alger, que le processus de modernisation de l’Administration des finances connait une avancée notable au vu des projets de numérisation en cours notamment au niveau des Administrations fiscales et douanières.
En réponse aux préoccupations soulevées par les membres du conseil de la Nation lors d’une séance plénière consacrée au débat du projet de loi de Règlement budgétaire 2016, M. Raouya a précisé que le secteur enregistre actuellement plusieurs actions de modernisation de l’Administration des finances, qui constitue « une priorité », pour lui.
Le ministre a fait état, dans ce sens, du lancement, par la direction générale des Douanes, de la réalisation d’un système d’information intégré avec le concours de l’expertise sud coréenne, à la faveur de la signature, ce mardi, d’un accord entre les deux parties. Les premières applications de ce nouveau système seront lancées en 2019, a-t-il fait savoir.
L’Administration fiscale s’attèle à généraliser le système intégré du redressement fiscal et le paiement des redevances fiscales à distance, opérationnel actuellement au niveau de certains Centres des Impôts (CDI) de wilayas.
Ce système intégré sera lancé, à la fin de l’année en cours, au niveau des grandes entreprises, a-t-il encore précisé.
Par ailleurs, M. Raouya a souligné « le progrès concret » que connait la numérisation des documents dans le cadre de la modernisation des structures des biens de l’Etat et de la Conservation foncière outre l’interconnexion du réseau du Trésor public et ses filiales à travers tout le territoire national au Système de paiement global.
Concernant la problématique du retard des projets publics, le ministre a indiqué que cette situation s’explique par plusieurs facteurs, dont la lenteur des procédures réglementaires relatives à la désignation des superficies destinées à la réalisation des projets, l’absence des assiettes foncières dans les grandes villes et la lenteur des procédures prévues dans la règlementation relative aux marchés publics.
Entre autres facteurs à l’origine du retard des projets, M. Raouya a cité le manque de maturation des projets, le manque des bureaux d’études spécialisés et l’infructuosité des appels d’offres en raison, notamment du manque d’entreprises disposant de moyens de réalisation de grands projets.
Plusieurs mesures pour limiter la réévaluation des projets
S’agissant de la réévaluation des projets, le ministre des Finances a mis l’accent sur les nombreuses mesures visant à réduire ce phénomène et limiter les opérations de réévaluation aux cas justifiés, en tête desquels la soumission de l’inscription du projet à l’étude de maturation, l’approbation de l’étude par la Caisse nationale d’équipement pour le développement (CNED), ainsi que l’assainissement périodique, chaque 5 ans, de la nomenclature des investissements à travers le retrait des projets dont la réalisation n’a pas été lancée.
De même qu’il a été décidé la libération des ressources financières affectées au projet par tranches sur la base des estimations et bilans des utilisations précédentes, l’obligation aux ordonnateurs d’annexer les documents des reliquats du service public et l’élargissement du contrôle anticipé aux communes pour les dépenses déjà engagées, ajoute le ministre.
Les effortspour juguler ce phénomène et son incidence financière considérable ont permis de réduire le coût des opérations de réévaluation des projets de 1.113 milliards DA en 2007 à 253 milliards DA en 2016, soit une réduction de plus de 77%, a fait savoir le ministre.
Par ailleurs, et concernant les recettes ordinaires (hors hydrocarbures), le ministre a répondu que même si davantage d’efforts est nécessaire pour remédier à certaines problématiques y afférentes, la fiscalité ordinaire connaît une hausse considérable, passant de 1.179 milliards DA en 2008, à 3.334 milliards DA en 2016, soit une hausse de 184%.
En neuf années, le taux de fiscalité ordinaire est passée de 41% à 68% de la fiscalité globale, a-t-il ajouté.
Soulignant la difficulté d’évaluer avec précision les dépenses fiscales car ne ciblant pas des bénéficiaires prédéterminés, M. Raouya s’est engagé à « un effort particulier » pour garantir l’efficacité requise à cette catégorie d’avantages notamment à travers l’évaluation de son impact sur l’économie nationale.
Evoquant les postes d’emploi vacants, dont le nombre avancé dans le rapport de la Cour des comptes est de 378.551, le ministre a affirmé que cette situation est justifiée par le manque de candidats dans certains spécialités, le départ définitif à la retraite, les cas de décès ou de détachement outre les longs délais d’adoption des plans de gestion des ressources humaines et les procédures de mise en œuvre.
La Cour des comptes n’a formulé aucune objection concernant les résultats comptables mentionnés dans le projet de loi, en dépit des lacunes relevées « à caractère procédurier et d’administratif pour la plupart », a-t-il affirmé.
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ALGER- La résilience de Sonatrach durant ses 55 ans d’existence et les défis du futur ont été mis, mardi à Alger, en évidence lors de la 23éme journée de l’énergie.
Lors de cette journée, organisée habituellement le 16 avril de chaque année à l’occasion de Youm el Ilm, mais avancée, cette fois-ci au 18 décembre courant, pour qu’elle coïncide avec le 55ème anniversaire de la création de Sonatrach, l’accent a été ainsi mis d’abord sur les acquis ensuite sur les ambitions de cette compagnie nationale, créée le 31 décembre 1963.
A ce titre, le ministre de l’Energie, Mustapha Guitouni a souligné le rôle stratégique du groupe Sonatrach, dans le développement économique du pays et dans la garantie de sa sécurité d’approvisionnement énergétique.
« Sonatrach a été et est toujours la locomotive de l’économie nationale », a indiqué M. Guitouni, dans un discours lu par son chef de cabinet, Zoubir Djouabri.
Pour exprimer l’importance de cette compagnie nationale, il a ainsi mis l’accent sur les caractéristiques du groupe qui a pu résister aux différents chocs.
M.Guitouni a ainsi rappelé que la compagnie nationale des hydrocarbures était dotée de plus de 100 filiales et participations (en national et en international) et employait environ 200.000 effectifs.
Concernant le chiffre d’affaires moyen annuel à l’export réalisé sur les cinq dernières années, il avait été de 43,2 milliards de dollars/an, alors que le chiffre d’affaires moyen global annuel avait été évalué à 4.560 milliards de DA, sur la même période.
Quant à la fiscalité pétrolière moyenne annuelle versée au Trésor, elle s’était établie à 2.550 milliards de DA durant les cinq dernières années.
Pour ce qui est du volume des investissements de Sonatrach, il était de l’ordre de dix (10) milliards de dollars en moyenne par an.
Evoquant les projets concrétisés par le groupe, le ministre a cité la réalisation de 34 canalisations totalisant environ 20.000 km, de 82 stations de pompage et de compression équipées de 372 machines et de 127 bacs de stockage de pétrole et de condensat.
M.Guitouni a également cité les trois (3) gazoducs à l’international: GEM vers l’Italie, GPDF vers l’Espagne (via le Maroc) et Medgaz vers l’Espagne.
Selon le ministre, ce ne sont là que quelques chiffres qui font de la Sonatrach, « la première compagnie en Algérie » et son patrimoine industriel un « acquis » et une « fierté » pour la Nation.
Abordant les ambitions du groupe sur le moyen terme (2020-2030), le premier responsable du secteur a fait le point sur le développement du gaz de schiste, l’exploitation des hydrocarbures en Offshore et la promotion des énergies renouvelables, notamment le solaire.
M.Guitouni a également mis l’accent sur l’apport de Sonatrach dans le développement socio-économique du pays, notamment en termes d’emplois.
Pour sa part, la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati a mis en avant le rôle important de Sonatrach dans le développement du pays.
« Sonatrach est devenue aujourd’hui une entreprise de renommée mondiale et reste toujours la fierté de l’Algérie », a indiqué M. Zerouati.
Aujourd’hui,a-t-elle poursuivi, « le groupe se doit de se projeter dans le futur, afin de relever les nombreux défis qui se présentent pour garantir la prospérité du pays ».
Selon elle, l’Algérie qui dispose d’importantes ressources énergétiques, devrait néanmoins, préparer sa transition énergétique, et ce, vers un modèle énergétique basée sur les énergies renouvelables (EnR).
Elle a rappelé à ce titre la stratégie tracée par son département ministériel à l’effet de répondre à la demande nationale en énergie et se positionner sur les marchés internationaux.
La ministre n’a pas manqué de souligner l’importance de la formation pour réussir la stratégie nationale visant la promotion des EnR.
« Outre la mise en place d’un cadre règlementaire, qui est une phase pilote et indispensable pour asseoir une stratégie nationale des EnR, l’autre facteur clé est sans nul doute, est la formation de la ressource humaine », a-t-elle souligné.
De son côté, le professeur Chems Eddine Chitour a souligné l’impératif pour Sonatrach de s’investir dans le renouvelable, à l’instar des grandes compagnies pétrolières telles que BP, Total, Exxon et Equinor.
Pour ce faire, il suggère la mise en place d’une stratégie consistant, chaque fois que cela est possible, « à vendre une calorie thermique (pétrole, gaz naturel) contre l’installation d’un kWh électrique d’origine renouvelable. »
Pour leur part, les étudiants et futurs ingénieurs de l’Ecole nationale polytechnique d’Alger (ENP), encadrés par le Pr Chitour, ont exposé leur vision du futur concernant l’avenir du pays dans le domaine de l’énergie.
Ils considèrent que l’ère du pétrole tend à diminuer dans le monde qui va vers les énergies vertes. Ainsi, il faut plutôt aller vers le renouvelable.
L’Algérie doit également miser sur l’intelligence et la formation de qualité d’ingénieurs et de techniciens pour prendre en charge le développement durable, ont-ils mis l’accent.
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TLEMCEN – Le 3e salon national du livre s’est ouvert mardi soir à la maison de la culture « Abdelkader Alloula » de Tlemcen avec la participation de 20 maisons d’édition.
L’ouverture de cette manifestation organisée jusqu’au 29 décembre sous le slogan « Djalissoukoum » par le centre des arts et des expositions de Tlemcen, a enregistré une affluence considérable de visiteurs venus découvrir de nouvelles publications.
Le salon expose en vente plus de10.000 titres et un espace est réservé aux dernières publications du ministère de la Culture, un autre à la vente dédicace et un troisième aux enfants leur permettant la lecture et la participation à des concours et jeux.
Cette manifestation culturelle constitue une occasion d’accueillir de grands écrivains et poètes de différentes wilayas du pays pour exposer leurs expériences dans le roman et la nouvelle, a souligné Amine Boudefla, directeur du centre des arts et des expositions de Tlemcen.
En marge de ce salon, des conférences sur le récit, l’écriture cinématographique, la traduction et autres seront animées par des écrivains.
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ALGER – Un accord de partenariat a été signé mardi à Alger, entre l’Institut Pasteur d’Algérie, la société Danoise, ALK-Abello, et les laboratoires Frater-Razes, pour la production d’une gamme d’allergènes pour traitement par immunothérapie allergénique (sous forme injectable).
Ce projet de partenariat, entre l’Institut Pasteur, la société Danoise, ALK-Abello, leader mondial de l’Immunothérapie allergénique et les laboratoires Frater-Razes, leader des produits injectables stériles en Algérie, se traduira par la production locale, selon les standards de qualité les plus élevés et de manière progressive, d’une gamme d’allergènes pour traitement par immunothérapie allergénique, répondant à la totalité des besoins des patients.
« Nous envisageons la fabrication, dans une première étape, de près de 10 millions de flacons pour répondre aux besoins du marché national », a souligné le directeur de l’Institut Pasteur, Zoubir Harrath, ajoutant que l’Algérie « importe annuellement 3 millions de flacons ».
La position géographique de l’Algérie et son rôle de premier plan au Maghreb et en Afrique permettront à la plate-forme commune Institut Pasteur d’Algérie-ALK-LFR « d’envisager, dans le futur l’ouverture de nouveaux marchés au Maghreb et dans quelques pays africains, a-t-il ajouté.
De son côté, l’ambassadrice du royaume du Danemark en Algérie, Julie Pruzan-Jorgensen, a salué les efforts de l’Algérie dans « la prise en charge sanitaire de tous les Algériens et à travers tout le pays ».
Elle a par ailleurs, annoncé le lancement prochain de business club algéro-danois rappelant que beaucoup d’entreprises danoises, activant notamment dans le domaine pharmaceutique sont installées en Algérie.
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L'élaboration du projet « Alternatives pour l'écoulement des sous produits du coton et cultures auxiliaires en Afrique » est au cœur d'un atelier, qui a ouvert ses travaux, ce mardi 18 décembre 2018, au Bénin Royal Hôtel à Cotonou. Le coup d'envoi des travaux a été donné par le Directeur adjoint du PAM pour le Bénin et le Togo M. Aboubakar Koisha.
Le projet « Alternatives pour l'écoulement des sous produits du coton et cultures auxiliaires en Afrique » encore appelé au-delà du coton au Bénin entend aider les petits producteurs de coton et les institutions publiques de quatre pays africains à commercialiser des sous produits du coton et des produits issus de la production de cultures combinées du coton », a déclaré le directeur adjoint du PAM pour le Togo et le Bénin.
Dans le cadre du projet, quatre (04 ) sous produits du coton sont identifiés pour accroître les revenus des agriculteurs et assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle chez les petits exploitants à travers la production, la commercialisation et la consommation. Il s'agit de l'huile de coton, du maïs, du sorgho et du niébé.
Pour Aboubakar Koïsha, ce projet offre des opportunités pour établir le lien direct entre la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages ainsi que le Pnasi.
Un projet ambitieux du gouvernement béninois piloté par le PAM et qui repose sur la production locale.
Dans la mise en œuvre de ce projet dont les écoliers sont les principaux bénéficiaires, le PAM priorise les produits locaux. Ceci pour aider les petits agriculteurs à non seulement écouler leurs produits mais aussi à booster leurs revenus et surtout à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des populations. L'ambassadeur du Brésil au Bénin, tout en félicitant le gouvernement du Président Patrice Talon, abonde dans le même sens. ‹‹ ‘'Alternatives pour l'écoulement des sous produits du coton et cultures auxiliaires en Afrique'' est un projet très important tant pour les producteurs de coton que pour les gens qui ont des besoins alimentaires au Bénin particulièrement les écoliers >>, a soutenu Luis Ivaldo.
La mise en œuvre de cette initiative dans les pays concernés à savoir le Kenya, le Mozambique, la Tanzanie en plus du Bénin sera à la charge de l'Agence de coopération brésilienne et du Centre d'excellence contre faim avec l'appui des bureaux locaux et régionaux du PAM.
Encadré
Zoom sur la mise en œuvre du projet au Bénin
''Alternatives pour l'écoulement des sous produits du coton et cultures auxiliaires en Afrique'' est le fruit de la coopération trilatérale signée entre le Centre d'excellence du Brésil (Abc), l'Agence brésilienne de coopération et l'Institut brésilien du coton (Iba). L'atteinte des objectifs de ce projet qui démarre en mars 2019 au Bénin passe par trois grandes étapes. Il s'agit selon les initiateurs, de la formation et du soutien des petits producteurs de coton pour la production et la commercialisation de sous produits du coton et la commercialisation de cultures secondaires sur les marchés publics et privés. Le projet prend aussi en compte la formation sur les échanges régionaux ainsi que la sensibilisation et la fourniture de soutien technique aux agences publiques responsables de l'agriculture et des achats institutionnels dans les pays partenaires.
Au cours des assises qui vont prendre fin, ce mercredi 19 décembre 2019, il sera également question de la validation de l'étude diagnostique du secteur coton.
Juliette MITONHOUN
La Foire de la production algérienne s’ouvre à partir de demain 20 décembre jusqu’au 26 décembre au Palais des expositions (Pins maritimes, Alger). En plus de son public, ce rendez-vous économique est une station majeure pour les opérateurs économiques algériens.
Cette 27ème édition qui se tiendra sous le slogan « Réussir les exportations pour une croissance économique durable », verra la participation de plus de 430 entreprises représentant tous les secteurs d’activités de l’économie nationale, et dont les stands seront répartis sur une superficie globale de 26.076 m2.
D’année en année, la Foire de la production algérienne « s’ancre dans l’activité économique nationale et devient un moyen efficace pour mettre en évidence les réelles potentialités des entreprises algériennes », note la Safex.
Ce qui traduit « le soutien, la volonté grandissante et l’engagement des pouvoirs publics à encourager les entreprises nationales publiques et privées et d’en faire le moteur de tout développement et de croissance économique », ajoute le communiqué.
« Une volonté qui se concrétise par de nouvelles réformes et de mesures d’encadrement et d’accompagnement des entreprises désirant de mettre en oeuvre leurs ambitions et de passer à l’étape suivante: celle de conquérir des marchés à l’extérieur », ajoute la même source.
Dans ce sens, avance la Safex, « c’est suite à cette nouvelle stratégie de soutien actif, de promotion et de valorisation des potentialités existantes, décidée dans le cadre de l’exécution du programme du président de la République, que l’année 2019 sera proclamée année de l’exportation, annonçant ainsi la mobilisation de tous les acteurs économiques à se positionner sur les marchés à l’international ».
pour sa luxuriante végétation et sa riche faune, dont des espèces rares et sauvages en provenance d’Afrique et d’ailleurs, faisant de ce site d’acclimatation un des plus importants au monde.
Pour rappel, le Premier ministre de la République de Corée, Lee Nak-Yon, a entamé dimanche une visite officielle de trois jours en Algérie.
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Le commerce international est régi par des normes, dont celles de la certification et de la normalisation de tout produit qu’un exportateur envisage de proposer sur des marchés à l’étranger.
Intervenant, mercredi, à l’émission L’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Nourredine Boudissa annonce l’identification, lors d’une journée d’études, des filières dont les produit peuvent faire l’objet d’exportations, ainsi que les mesures à engager réussir cette opération, dont notamment, celle de leur préalable certification.
Le directeur général d’Algérac, un organisme d’accréditation, signale que pour éviter d’être refoulée, toute marchandise destinée à être exportées doit, au préalable, recevoir le visa d’un laboratoire de contrôle, précisant que 120 ont déjà été accrédités à ces fins par son organisme.
Celui-ci indique que nombre d’opérateurs soucieux de placer leurs produits sur les marchés étrangers ont déjà souscrit à la démarche qualité, « qu’ils ne connaissaient pas auparavant » et qu’ajoute-t-il, ils n’ont découvert qu’après avoir rencontré des problèmes « auxquels ils ne s’attendaient pas ».
En matière de conformité et de normalisation des marchandises destinées à être placées à l’extérieur du pays, M. Boudissa relève qu’il y a eu « beaucoup d’acquis » pour ce qui concerne le respect de ces procédures de la part d’opérateurs soucieux de les proposer à l’étranger.
Il note, cependant, qu’aller vers une démarche « qualité » implique des coûts, s’interrogeant, à cet effet, de savoir si les pouvoir publics pourraient « exceptionnellement » faire l’effort de dégager des crédits pour aider des organismes d’évaluation à se faire agréer.
L’autre aspect relevé par l’invité a trait à la nécessaire « coordination intersectorielle » entre divers ministères, pour les amener, dit-il, à agir de concert, pour que les produits nationaux à l’exportation soient compétitifs et ne rencontrent plus de problèmes « comme par le passé ».
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A. Z.
Les camions d’enlèvement des ordures ménagères et des déchets sont restés à l’arrêt, hier, pour un 2ème jour consécutif de la grève des gérants de micro-entreprises.Certains parmi ces derniers ont passé la nuit dans leur camion, et ils se trouvent encore sur place pour revendiquer le paiement des situations de 13 mois de travail. Aucun responsable ne s’est enquis de leur situation, a-t-on appris auprès des concernés, sauf que leurs représentants sont invités, aujourd’hui, (mercredi 19 décembre) à voir le directeur de l’entreprise Prop Co’, afin de discuter de leur problème et tenter de trouver une solution à leur profonde détresse.
En attendant, les ordures s’amassent sur la chaussée dans 32 sites pris en charge par ces micro-entreprises. A travers certains endroits la situation commence à devenir insupportable, notamment près des marchés informels de proximité. L’entreprise Prop Co’ a mobilisé, hier, ses agents et ses camions, en heures supplémentaires, pour tenter d’enlever ces ordures, mais cela reste insuffisant. Rappelons que les gérants des micro-entreprises ont débrayé, avant-hier, pour revendiquer le paiement des 13 mois de labeur, de décembre 2017 à décembre 2018, dans l’enlèvement des ordures ménagères et des déchets à travers plus d’une trentaine de sites de la commune de Constantine.
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A. Zerzouri
«Cachez-nous ces élèves qu’on ne saurait voir», en gros c’est ce que demandent les acquéreurs de logements dans un quartier qui va voir le jour au début de l’année prochaine, à la nouvelle ville Ali Mendjeli. Quelques centaines de familles vont, ainsi, rejoindre leur nouveau quartier, et elles trouveront un lycée flambant neuf pour leurs enfants, devant chez elles, que peut demander encore le citoyen ? Non, ce n’est pas parfait, puisque les acquéreurs en question ont observé un sit-in pour, dites-vous bien, exiger de changer ou délocaliser la porte d’entrée du lycée, initialement donnant directement sur le quartier, devant les bâtiments. Les concernés revendiquent l’ouverture de la porte sur l’autre côté du site, loin des habitations. Il est clair qu’on cherche la quiétude et le calme à travers pareille exigence, mais est-ce que les élèves sont devenus, à ce point, source de nuisance pour les habitants ? La question n’est pas fortuite, et les habitants près des établissements scolaires en savent quelque chose sur ces nuisances. «Trop de chahut, des violences parfois, un mouvement bruyant tout au long de la journée, impossible de trouver le calme chez soi quand on a des centaines d’élèves qui bougent sous les balcons», se plaignent certains habitants. Ces futurs locataires veulent, donc, anticiper leur action pour éviter ce casse-tête, laissent entendre les concernés. Mais, selon certains avis, ces réactions et ce mouvement de contestation ne peuvent en aucun cas faire preuve de bien fondé. «Ces élèves, viennent-ils d’une autre planète ?», lance excédé un père de famille. «Ce sont vos enfants et les enfants de vos voisins qui viendront étudier dans ce lycée, et il serait plus approprié d’exiger que la porte de l’établissement scolaire soit, justement, ouverte ou donne directement sur le quartier, car de la sorte, on verra tout ce qui se passe et on pourra protéger notre progéniture des dangers de la rue», ajoute-t-il. Pour d’autres, c’est une preuve de «démission collective» des parents face aux «turbulences» qui agressent l’environnement des établissements scolaires.The post Nouvelle ville Ali Mendjeli: Des habitants exigent la délocalisation de la porte d’un lycée ! appeared first on .
A. Chabana
Le cambriolage d’une école privée «El Hakim» sise au quartier Khoulif Hossine, ex-quartier des écoles, à Tébessa vient d’être élucidé par les services de police de la 1re sûreté urbaine du chef-lieu, suite au dépôt d’une plainte par le propriétaire-gérant dudit établissement de formation, visité de nuit par des malfaiteurs.Sur place, les enquêteurs ont constaté les dégâts. Les voleurs se sont introduits à l’intérieur de la bâtisse par une ouverture au plafond, là où ils ont ligoté le vigile, tout en le bâillonnant avec un morceau de bois mis dans bouche. Et puis ils passèrent à l’action en s’emparant de matériels de bureautique, 5 ordinateurs et 3 unités centrales, 3 imprimantes numériques, 4 écrans TV plats, ainsi qu’une importante somme d’argent.
Les investigations de la police entamées sur-le-champ permirent l’interpellation de 8 individus (22-25 ans), l’un d’eux a reconnu le délit en dénonçant ses complices. Les policiers ont toutefois récupéré les objets volés.
Les mis en cause seront déférés devant la justice et ce, pour le chef d’inculpation de constitution d’association de malfaiteurs, vol, recel et violence, a indiqué le communiqué de la cellule de presse de la sûreté de wilaya.
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A. E. A.
L’Université des Frères Mentouri Constantine 1 a abrité, durant 3 jours, la 3ème session de formation et d’entraînement dans la gestion des Ressources humaines et du Management et ce, à l’initiative de la Confédération générale des entreprises algériennes, en coordination avec le Bureau international du travail (BIT), au profit des PME et de promotions d’étudiants d’université.Selon le conférencier et spécialiste, Rachid Tridi, il a été question de l’indispensable utilisation des techniques modernes et contemporaines, dans l’acte de gestion des ressources humaines et des manières et styles de manager l’administration avec les données économiques actuelles, en conformité avec ce qui se fait en la matière à l’échelle mondiale. Et d’indiquer que dans le cadre des accords et les recommandations de l’Organisation international du Travail (OIT), l’Algérie organise cette session de formation pour sensibiliser et promouvoir les habilités de gestion des chefs d’entreprises et des gestionnaires des Ressources humaines. L’objectif, dit-il, étant de mettre à leur disposition les nouveaux moyens de gestion dans l’administration et la gestion en général. Et d’expliquer, que « actuellement il nous faut nous éloigner des revenus tirés du pétrole, en recourant à d’autres voies et moyens pour diversifier l’économie.
Pour ce faire, souligne-t-il, nous sommes obligés de nous orienter vers l’investissement dans la ressource humaine, qui représente le capital principal de toute entreprise». Pour leur part, les chefs d’entreprises et les étudiants ont tenu à exprimer le fait que ce qui leur a été enseigné est à même de promouvoir leurs compétences sur le terrain et améliorer le travail des entreprises.
«Cette session, indique-t-on, nous a permis de connaître le volet pratique des relations de travail entre les chefs d’entreprises et leurs employés. Il nous a été donné de découvrir maintes erreurs commises, souvent en matière de droits des travailleurs et de droits des fonctionnaires, et comment les éviter dans une gestion moderne ».
A rappeler que cette session est la 3ème du genre, et fait suite à celles organisées à Alger et à Oran, supervisée et financée par le Bureau international du Travail.
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A. Z.
Les éléments de la 14ème sûreté urbaine ont neutralisé une association de trois individus, âgés entre 26 et 29 ans. Ces derniers ont semé la terreur lors d’une rixe sanglante qui eut lieu au niveau du quartier de Boumerzoug, dans la soirée du 3 décembre dernier.Deux personnes ont été victimes de coups et blessures volontaires aux armes blanches, des actes extrêmement violents qui ont été qualifiés de tentative d’homicide volontaire, lors de cette soirée mouvementée, indique un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya.
Blessée gravement par un coup d’épée à la gorge, la première victime a obtenu 14 jours d’incapacité, selon un certificat médical délivré par le médecin légiste, alors que la seconde victime, blessée par un coup d’épée au ventre, et qui se trouve encore hospitalisée dans un état grave, a obtenu un certificat médical de 35 jours d’incapacité de travail, selon la même source. Les enquêteurs ont pu identifier l’un des assaillants, qui sera arrêté devant son domicile, au niveau du même quartier, indique la même source. La poursuite des investigations permettra également d’identifier deux autres individus impliqués dans ces violences, qui seront arrêtés à leur tour dans le même quartier de Boumerzoug.
A la fin des procédures pénales, les trois individus ont été présentés devant le procureur de la République territorialement compétent sous les lourdes charges de « tentative d’homicide volontaire, association de malfaiteurs, trouble à l’ordre public, création d’un climat d’insécurité et de terreur au sein des habitants ».The post Tentative d’homicide volontaire, 3 individus hors d’état de nuire appeared first on .
A. Ouélaa
C’est un spectacle pour le moins désolant qui s’offre aux yeux depuis plus de deux mois près de la polyclinique de Dréan. La grosse fuite d’eau prend sa source devant l’immeuble des médecins. Les eaux se déversent, un gros gaspillage à la vue de ces eaux qui ruissellent allant courir dans tous les sens.Les habitants de l’immeuble ont voulu réparer cette fuite mais cette tâche incombe aux services de l’ADE à qui une autorisation a été délivrée pour réparer cette fuite.
En attendant, l’eau continue à chaque distribution de l’eau à se déverser sur la chaussée au grand désarroi des riverains.
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