En Conseil des ministres, ce mercredi 19 décembre 2018, le gouvernement a, entre autres, procédé, sur proposition des Ministres à 03 nominations dans trois ministères. Il s'agit des ministères de l'Economie et des Finances, de la Santé et celui des Affaires sociales et de la Micro Finance. Ces nominations se présentent comme suit :
• Au ministère de l'Economie et des Finances
Directeur de la Société des Patrimoines immobiliers de l'Etat, cumulativement avec ses fonctions actuelles : Monsieur Macaire AGBANTE
• Au ministère de la Santé
Directeur du Centre hospitalier universitaire de la Mère et de l'Enfant : Monsieur Lambert LOKO TONOUDJI
• Au ministère des Affaires sociales et de la Microfinance
Directeur de Cabinet : Monsieur Nicolas DANDOGA
Akpédjé AYOSSO
Les membres du gouvernement réunis en session ordinaire du Conseil des ministres, ce mercredi 19 décembre 2018, ont décidé de réformer le système d'immatriculation et de ré-immatriculation des véhicules en République du Bénin.
Selon le relevé du Conseil des ministres, la simplification de la procédure d'immatriculation des véhicules à 4 roues est un volet de la nécessaire modernisation des formalités liées à la mise en consommation des véhicules et à l'allègement des pièces administratives y relatives. Les réformes engagées dans le secteur comportent le double avantage de satisfaire les attentes des automobilistes et de renforcer la sécurité des autres usagers de la route.
Ainsi, à compter du premier trimestre de 2019, le délai entre le dépôt du dossier et l'obtention des plaques sera de 24 heures.
Selon le communiqué final du Conseil des ministres, ces réformes visent entre autres à supprimer le livret de bord dont la possession pour des raisons sus-évoquées, devient superflue et les frais pour son acquisition sont donc supprimés. Aussi, pour éviter la rupture des intrants et accessoires d'immatriculation, et assurer la célérité des opérations de confection des plaques d'immatriculation, sera-t-il procédé à l'ouverture, à d'autres partenaires, des activités de confection des plaques, selon un cahier des charges qui en précisera les modalités.
Dès la mise en œuvre de la mesure, les plaques minéralogiques seront fixées sur les véhicules auxquels elles sont affectées, à la diligence des propriétaires, par des prestataires de leur choix après l'accomplissement des formalités d'immatriculation. Mais en attendant, sur une période de 6 mois, l'administration en charge des transports terrestres continue d'assurer l'édition et l'impression des cartes grises.
F. A. A.
Pour répondre aux déballages de Guy Akplogan devant la CRIET contre sa personne, l'ancien ministre des travaux publics et des transports, Nicaise Fagnon, à travers une publication sur sa page facebook informe que l'attribution du marché de l'aéroport est antérieure à sa nomination. « Ils ont tiré à terre. La construction de l'aéroport de Tourou avait déjà été attribuée à l'entreprise Colas un an avant ma nomination. Ce ne sont que de fausses allégations et nous répondrons au moment opportun », rétorque Nicaise Fagnon.
Au deuxième jour du procès de Icc-Services et consorts à la CRIET, l'ancien ministre des travaux publics et des transports a été accusé d'avoir perçu 5 millions de francs CFA par semaine sur une période de près de 2 mois auprès des promoteurs de Icc-Services. L'objectif des sous remis au ministère, selon les déclarations de Guy Akplogan, visait à aider les promoteurs de Icc-Services à gagner le marché de construction de l'aéroport de Tourou dans la vile de Parakou.
F. A. A.
D’après l’édition 2018 du Global Gender Gap Report qui est éditée chaque année par le World Economic Forum (WEF), l’Algérie se retrouve à la 128e position perdant ainsi une place par rapport à l’année précédente (127e).
De nombreux critères sont pris en charge, à savoir la participation économique des femmes et les opportunités qui leur sont offertes, l’accès à l’éducation, celui aux soins et l’autonomisation politique.
Concernant l’autonomisation politique, l’Algérie est à la 85e place, elle est à la 132e position en ce qui concerne la participation économique et les opportunités offertes aux femmes. Pour ce qui est des accès à l’éducation et aux soins, elle se classe à la 107 et 106e position.
Au nord de l’Afrique, l’Algérie arrive deuxième, derrière la Tunisie (117e), et avant l’Egypte (135e), la Mauritanie (136e) et le Maroc (137e).
Ainsi, les pays scandinaves sont parmi les premiers. En matière d’égalité hommes-femmes, Islande, Norvège, Suède et Finlande sont les meilleures.
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L’Ambassade de France en Algérie est heureuse d’annoncer l’inauguration des nouveaux bâtiments de l’école primaire internationale Alexandre Dumas (EPIAD), suite à la fin des travaux d’agrandissement et de restructuration.
Les nouveaux locaux de l’école primaire internationale Alexandre Dumas, ont été inaugurés le mercredi 19 décembre 2018 par M. Christophe Bouchard, directeur de l’Agence pour l’enseignement français à l’Etranger (AEFE) et M. Xavier Driencourt, Ambassadeur de France, Haut Représentant de la République française en Algérie, ainsi que des représentants du ministère des Affaires étrangères et du ministère de l’Education nationale de la République algérienne démocratique et populaire.
L’ambassade de France, le LIAD et @CfBouchard directeur de l’@aefeinfo remercient les autorités algériennes de leur #soutien dans la réalisation de ces travaux qui ont donné lieu à une belle école #inclusive et plurilinguiste ! pic.twitter.com/O7fAXiythB
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Le Lycée international Alexandre Dumas est né d’un accord signé en 2001 entre la France et l’Algérie. C’est un établissement d’excellence dont le cursus promeut la diversité culturelle et qui accorde une large place à l’enseignement de l’arabe. A cet égard, il illustre la volonté partagée par nos deux pays d’offrir à nos jeunesses une ouverture sur nos cultures respectives dans un esprit de partage. Après l’ouverture du lycée puis du collège à partir de 2002 sur le site de Ben Aknoun, l’Ecole Primaire Internationale Alexandre Dumas a été ouverte en 2012 sur le site de l’ancien collège Max Marchand, dans le quartier de Dely Brahim. Les travaux qui viennent d’être réalisés ont permis d’accroître la capacité d’accueil de l’établissement de 280 élèves supplémentaires. Cette école scolarise ainsi aujourd’hui près de 700 élèves, répartis en 27 classes, de la moyenne section de maternelle au CM2, ce qui en fait l’une des plus grandes écoles du réseau mondial de l’AEFE.
Visite guidée de @CfBouchard des nouveaux bâtiments de l’EPIAD, qui accueille aujourd’hui près de 700 élèves dans les meilleures conditions, pour une #scolarité réussie ! pic.twitter.com/QfKmNmyxiT
— France en Algérie (@ambafrancealger) 19 décembre 2018
Les nouveaux bâtiments comprennent une dizaine de classes, deux salles de langues, une salle polyvalente et des surfaces de préaux. Les travaux ont également permis la restructuration des espaces des maternelles, l’extension des espaces administratifs et de restauration, le réaménagement de la salle de motricité et la reconfiguration des espaces récréatifs extérieurs.
L’EPIAD améliore ainsi significativement ses infrastructures dans un souci d’offrir un environnement d’études moderne et accueillant pour ses élèves. L’Ambassade de France et le Lycée International Alexandre Dumas (LIAD) remercient les autorités algériennes de leur soutien dans la réalisation de ces travaux. L’inauguration de l’EPIAD rénovée est le signe fort de la confiance et de l’amitié qui unissent la France et l’Algérie, au bénéfice de l’éducation, du partage, et de la construction d’un avenir commun.
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Le collectif des syndicats autonomes du secteur de l’éducation s’est réuni hier à Alger. Verdict : les syndicats ont décidé de tenir leurs conseils nationaux respectifs pendant les vacances scolaires. Ils se réuniront une deuxième fois le 7 janvier prochain pour décider d’une action de protestation avant le 18 janvier.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Le torchon brûle de nouveau entre le ministère de l’Education nationale et les syndicats autonomes qui risquent de perturber le deuxième trimestre de l’année scolaire. Le Satef, le Snapest, le Cnapeste, l’Unpef, le Cela et le SNTE qui ont annoncé, il y a près d’une semaine, leur retrait de la charte d’éthique et de déontologie, se sont réunis hier pour décider d’une action «face au silence du ministère de l’Education nationale». Ainsi, ils ont annoncé que la prochaine action de protestation commune sera organisée avant le 18 janvier prochain.
La date exacte sera fixée le 7 janvier prochain, à la rentrée des vacances scolaires, a déclaré Boualem Amourra, président du Satef. «En attendant la tenue des conseils nationaux des différents syndicats pendant ces vacances scolaires d’hiver, nous tiendrons la prochaine réunion le 7 janvier 2019 pour décider d’une action commune de protestation avant le 18 janvier», a-t-il indiqué.
Les syndicats autonomes reviennent à la protestation après près d’une année d’accalmie. Leur dernière action remonte à février dernier.
La ministre de l’Education nationale a réussi à lancer plusieurs chantiers de réformes durant cette période d’entente. D’ailleurs, selon elle, les mouvements de grève ont empêché le lancement des réformes dans le secteur. C’est pourquoi elle a tenu à la signature de la charte d’éthique pour mettre fin aux mouvements de protestation et instaurer une stabilité dans le secteur pour pouvoir se consacrer aux projets de réformes. Le Collectif autonome des syndicats dénonce son exclusion de ces réformes justement.
Les six syndicats reprochent à la ministre de l’Education nationale de prendre des décisions unilatérales en décidant seule des changements et des réformes du système éducatif sans associer le partenaire social. Ils appellent «à un dialogue sérieux pour régler les problèmes posés et assurer la stabilité du secteur».
S. A.
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ADRAR – Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud a affirmé, mardi à Adrar, l’importance de l’investissement touristique, à travers la valorisation du patrimoine local et des différentes manifestations pour promouvoir les services d’accueil du secteur.
La wilaya d’Adrar est une wilaya touristique par excellence qui a connu un bond qualitatif en matière d’investissement, a indiqué le ministre, ajoutant que l’année 2018 a été marquée par la réalisation de 10 hôtels d’une capacité de 1000 lits, en vue d’atteindre, à la fin du premier trimestre 2019, un total de 34 structures hôtelières, susceptibles de contribuer à la création de 2500 postes d’emploi permanents.
Dans le cadre de la deuxième journée de sa visite dans la wilaya, le ministre a cité les projets lancés, à travers trois territoires de la wilaya pour la promotion de l’accueil touristique et la valorisation du legs historique et culturel.
D’autre part, le ministre a souligné l’importance d’impliquer les médias dans la promotion du tourisme spirituel, saharien et oasien et de valoriser les sites archéologiques et l’artisanat, en sus de préserver le cachet architectural de ladite wilaya qui abrite plus de 200 manifestations sociales par an.
M.Benmessaoud a appelé à la promotion du tourisme saharien, à travers l’application de prix concurrentiels au profit des clients, saluant à l’occasion l’expérience de certains établissements hôteliers locaux et de la compagnie nationale Air Algérie qui propose des prix promotionnels au profit du tourisme saharien en hiver, les tarifs étant réduits de moitié ou encore plus.
Le ministre a inspecté, en outre, une série de projets touristiques en cours de réalisation par des privés dans le chef- lieu de wilaya, dont le projet de réaménagement de l’hôtel Touat au sujet duquel il a donné des instructions aux responsables pour accélérer la cadence des travaux, en prévision de sa réception prochaine fin février 2019.
Au titre de la troisième et dernière journée de sa visite dans la wilaya, le ministre aura à visiter des projets d’investissements dans la circonscription administrative de Timimoun.
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ALGER – Le directeur du Centre africain d’Etudes et de recherches sur le terrorisme (Caert), Larry Gbevlo-Lartey Esq, a souligné mardi à Alger, l’impératif de trouver l’équilibre entre le respect des droits de l’Homme et la lutte contre le terrorisme, lors de la réunion annuelle des Points focaux du Caert, saluant les efforts de l’Algérie dans l’instauration et le maintien de la paix et la sécurité nationales.
« Nous allons essayer de nous concentrer sur cette centralité. Il est impératif de trouver le juste équilibre entre les deux (droits de l’Homme et lutte anti-terroriste) », a déclaré M. Larry en marge des travaux de la réunion des Points focaux du Caert tenue à Alger.
Il a, à cette occasion, loué les efforts de l’Algérie dans le maintien de la paix et la sécurité, estimant que le gouvernement algérien est devenu un exemple à suivre par les pays africains et le monde entier dans le domaine de la lutte anti-terroriste, rappelant le rôle joué par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans le cadre de la coordination de la lutte contre le terrorisme au sein de l’UA.
« La situation sécuritaire en Algérie est aujourd’hui connue de tous grâce à la sagesse de ses dirigeants, qui ont appris à combattre le terrorisme », a déclaré M. Gbevlo. Il a souligné, à ce titre, que l’expérience de l’Algérie est devenue un modèle pour les pays du continent et peut servir non seulement aux pays africains mais aussi aux pays du monde entier.
Selon le directeur du Caert, le grand défi auquel l’Algérie devra faire face maintenant, est la tentative de certains groupes terroristes de véhiculer des messages radicaux visant à propager les idées extrémistes.
Evoquant la situation sécuritaire en Afrique, M. Gbevlo a estimé que le continent souffre encore de plusieurs difficultés qui concernent plus souvent l’extrémisme religieux et la radicalisation, notamment dans la région du Sahel, précisant que ces menaces touchent aujourd’hui également la Tanzanie et le Mozambique.
Concernant les objectifs atteints par le Caert depuis sa création en 2004, M. Gbevlo a estimé que le centre est censé avoir apporté une aide aux Etats membres pour accroitre leur capacité de lutte contre le phénomène et ce, grâce aux instructions spécifiques reçue de l’Union africaine telle que la formation, la gestion des ateliers ainsi que des séminaires et la mise en place de mécanismes pour le partage d’informations entre les pays.
Les travaux de la 12ème réunion des Points focaux (Caert), qui ont débuté mardi à Alger, autour du thème: « la Promotion de l’équilibre entre la lutte contre le terrorisme et les droits de l’Homme en Afrique », se poursuivent sur deux jours à huis clos en présence des représentants des Communautés économiques régionales et des Mécanismes régionaux de lutte contre le terrorisme sur le Continent africain.
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ALGER – Le groupe parlementaire d’amitié « Algérie-Tunisie » a été installé, mardi, au siège de l’Assemblée populaire nationale (APN), a indiqué un communiqué de la chambre basse du parlement.
Supervisant la cérémonie d’installation du groupe parlementaire d’amitié, en présence de l’ambassadeur de la Tunisie à Alger, Ennasser Essayd, le président de la Commission des affaires étrangères, de la coopération et de la communauté nationale établie à l’étranger à l’APN, Abdelhamid Si Afif a rappelé les relations « distinguées, fortes et profondes unissant l’Algérie et la Tunisie », soulignant, à cet égard, que l’Algérie « sous la conduite du président Abdelaziz Bouteflika demeure convaincue que la Tunisie est sa soupape de sécurité et n’oubliera jamais sa position et son soutien lors de la lutte pour la libération et durant la tragédie nationale ».
Il a réitéré, à cet égard, l’attachement de l’Algérie à « raffermir les liens de fraternité et d’amitié entre les deux pays et à asseoir une complémentarité effective au mieux des deux peuples frères ».
M. Si Afif a relevé, par ailleurs, l’impératif pour l’Algérie et la Tunisie « de s’ériger en locomotive pour permettra à l’Union du Maghreb arabe (UMA) de recouvrer sa place et son rôle, tout en coordonnant leurs efforts pour faire face aux différents défis et menaces à l’instar du terrorisme, de la migration, de la traite humaine et des drogues, d’une part et promouvoir une approche visant à asseoir la paix, la sécurité et le développement dans la région », a-t-il soutenu.
L’installation de ce groupe « contribuera à la dynamisation de la diplomatie parlementaire, au soutien de la coopération parlementaire entre les deux instances législatives, et renforcera les liens d’amitié entre les deux pays en droite ligne avec la volonté politique des dirigeants des deux pays », a-t-il poursuivi.
Pour sa part, l’ambassadeur tunisien a affirmé que l’installation du groupe parlementaire d’amitié « Algérie-Tunisie » constitue « une autre pierre apportée à l’édifice des relations liant les deux pays, et contribuera à leur développement dans divers domaines ». Il a exprimé, par la même occasion, sa volonté d’élargir la coopération bilatérale aussi bien au niveau régional qu’international, tout en soutenant les candidats à la tête des deux pays.
La présidente du groupe parlementaire d’amitié (Algérie-Tunisie), Faiza Bouhamed a fait savoir, de son côté, que « beaucoup de travail attend ce groupe, notamment le renforcement de la coopération, l’échange d’expériences entre les parlementaires, les hommes d’affaires et les experts ».
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BOUMERDES-Le Premier ministre de la République de Corée (Corée du sud), Lee Nak-yon à déclaré, mardi à Boumerdes, que son pays est honoré de contribuer au développement de l’économie algérienne.
« La Corée du Sud est honorée de contribuer au développement de l’économie algérienne à travers des entreprises sud -coréennes », a affirmé M.Lee Nak-yon, qui accompagnait le ministre de l’Energie et des Mines, Youcef Yousfi, lors de la mise en service de la 2eme partie de la 2eme turbine de production d’électricité de la Centrale de Cap Djinet, (Est de Boumerdes).
Le Premier ministre Sud -coréen, qui était également accompagné par le Président directeur général (P-dg) du Groupe Sonelgaz, Mohamed Arkab, au titre d’une visite officielle en Algérie entamée dimanche dernier, a procédé symboliquement à la mise en service de cette partie du projet d’une capacité de production globale de 1.200 mgt d’électricité/heure, en réalisation dans le cadre d’un partenariat entre la firme Sud -coréenne « Daewoo » et Sonelgaz.
« Je suis fière que la firme Daewo participe, à travers ce projet, au développement économique et à l’industrialisation de l’Algérie », a -t-il soutenu dans une déclaration à la presse en marge d’une inspection d’un nombre de chantiers et unités (contrôle, maintenance) de cette mega -centrale, qui sera mise en service en janvier prochain.
Il a également exprimé « la confiance totale » des entreprises Sud-coréennes, dans « le parachèvement des projets dans leurs délais, sans dépasser les coûts dont ils ont été affectés, car ce sont là les caractéristiques mêmes de Daewoo », a-t-il assuré.
M.Lee Nak-yon a, en outre, loué la « stabilité de la croissance économique en Algérie, au même titre qu’aux plans social et politique, en dépit des souffrances vécues », a-t-il relevé.
Pour sa part, le P-dg de Sonelgaz s’est dit « très fier » de la « réussite » du projet de Centrale électrique, réalisée avec nos partenaires Sud Coréens, qualifiant ce partenariat d’ »exemplaire » et de « modèle de réussite ».
M.Arkab a également loué l’accord signifié par Daewoo pour « accompagner et assurer son expertise au profit de ce projet, avec la contribution efficiente des cadres et experts algériens actuellement en charge ».
La Centrale de Cap Djinet(relevant de la Sonelgaz) est formée de trois turbines fonctionnant en cycle combiné (30% vapeur et 70 % gaz), dotée chacune d’une capacité de production de 400 mwt d’électricité /Heure, soit un total de 1200mgt pour les trois.
La première turbine est entrée en production en juillet 2018, la 2eme au mois d’octobre passé. La mise en exploitation de la 3eme turbine interviendra à la mi janvier prochain, selon les responsables en charge du projet.
L’infrastructure est, par ailleurs, équipée de nombreux systèmes « amis de l’environnement », dont particulièrement celui du dessalement de l’eau de mer exploitée dans la production de la vapeur, et la production d’hydrogène exploité dans le refroidissement des générateurs électriques.
A noter que l’énergie électrique produite au niveau de cette Centrale est transférée respectivement vers deux transformateurs (400 vlt chacun) à Si Mustapha et El Affroune (Blida), au moment ou un 3eme transformateur est prévu à l’avenir à Akbou( Bejaia), avant le transfert de cette électricité vers le réseau national de transport d’électricité.
A l’entame de sa visite, un exposé détaillé soutenu par un film sur toutes les étapes de réalisation de cette Centrale électrique, a été présenté au Premier ministre Sud-coréen qui s’est par la suite rendu au niveau d’un nombre de chantiers de ce projet, avant de clore sa visite par une rencontre avec les travailleurs Sud-coréens de cette Centrale.
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ALGER – L’Algérie comptait plus de 2 millions d’opérateurs économiques inscrits au registre du commerce à fin septembre 2018 contre 1,95 million à fin 2017, a appris l’APS auprès du Centre national du registre du commerce (CNRC).
Jusqu’à fin septembre de l’année en cours, le nombre exact d’inscrits au registre du commerce était de 2.004.679 opérateurs, précise la même source Sur l’ensemble de ces opérateurs économiques, plus de 1,81 million exercent sous le statut de personnes physiques et 191.829 sous le statut de personnes morales (sociétés).
Par catégories d’activités, ce sont les personnes physiques exerçant dans la distribution de détail qui occupent la plus grande part des opérateurs économiques, avec 866.096 enregistrés au CNRC à fin septembre 2018 (45% de l’ensemble des inscrits sous le statut de personnes physiques).
En outre, le nombre des personnes physiques inscrites a atteint 733.912 dans le secteur des services (38%), 254.425 dans la production de biens (13,2%), 69.992 dans la distribution en gros (3,6%), 4.508 entreprises de production artisanale (0,23%) et 559 dans l’exportation (0,03%).
Pour ce qui est des personnes morales (sociétés), le secteur des services concentre 73.854 sociétés (32,5% de l’ensemble des personnes morales inscrites au CNRC).
Ce secteur est suivi par celui de la production de biens avec 68.558 inscrits (30%), l’importation pour la revente en l’état avec 42.092 sociétés (18,52%), la distribution en gros avec 22.314 (9,8%), la distribution en détail avec 16.649 (7,3%), l’exportation avec 2.160 sociétés (0,95%) et les entreprises de production artisanale avec 1.680 inscrits (0,74%).
Quant aux inscriptions réalisées au courant de la seule période allant de janvier à septembre 2018, elles ont atteint 282.654 inscriptions contre 270.653 à la même période de 2017 (+4,4%), sachant que les inscriptions portent essentiellement sur les immatriculations (création de nouvelles entreprises), les modifications (changement d’activité, changement d’adresse ou de gérant…) et les réimmatriculations.
Parmi ces inscriptions, 116.582 ont concerné les nouvelles créations d’entreprises (immatriculations) avec 103.790 créations pour les opérateurs-personnes physiques et 12.792 de personnes morales.
Ces immatriculations ont enregistré une diminution en comparaison avec la même période de 2017 qui avait connu 119.439 créations de nouvelles entreprises, soit une baisse de 2,4%.
Plus de 13.000 étrangers inscrits au registre du commerce à fin septembre 2018
Concernant les opérateurs économiques étrangers inscrits au registre de commerce, leur nombre a atteint 13.880 à fin septembre 2018, composés de 11.380 personnes morales (sociétés) et de 2.500 opérateurs exerçant sous le statut de personnes physiques.
S’agissant des personnes morales étrangères, les nationalités des gérants les plus répandues sont française avec 2.116 sociétés (18,6% de la totalité des personnes morales étrangères), syrienne avec 1.265 sociétés (11%), turque avec 1.140 (10%), chinoise avec 1.007 (9%) et tunisienne avec 828 entités (7%).
Le nombre de nationalités des gérants de l’ensemble des sociétés étrangères inscrites est de 94. Ces sociétés activent dans le secteur de la production de biens avec 4.798 sociétés (33,5%), les services avec 4.769 entités (33,3%), l’importation avec 2.257 (15,8%), la distribution en détail avec 1.102 (7,7%), la distribution en gros avec 1.025 (7,2%), l’export avec 213 (1,5%) et les établissements de production artisanale avec 141 sociétés (1%).
Pour les opérateurs étrangers exerçant sous le statut de personnes physiques, les nationalités les plus répandues sont syrienne avec 745 opérateurs (30% de la totalité des opérateurs-personnes physiques), tunisienne avec 649 (26%), marocaine avec 386 (15%), égyptienne avec 193 (7,7%) et palestinienne avec 183 (7,3%).
Quant au nombre de nationalités des opérateurs économiques exerçant sous le statut de personnes physiques, il est de 38.
Par activités, 2.018 opérateurs-personnes physiques activent dans le secteur de la distribution en détail, 262 dans les services, 189 dans la production de biens, 69 dans la distribution en gros, 5 dans l’export et 2 dans la production artisanale.
Par régions, les 5 premières wilayas où il y a une plus grande présence des opérateurs économiques étrangers sont Alger (7.321 opérateurs), Oran (1.264), Blida (711), Constantine (426) et Annaba (420).
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ALGER – Le déficit financier de la Caisse nationale de retraites (CNR), qui est de l’ordre de 560 milliards de DA en 2018, dépassera les 600 milliards de DA en 2019, a estimé mercredi le directeur général de la Caisse, Slimane Melouka.
« Avec des dépenses de plus de 1.200 milliards de DA à la fin de l’année en cours, la CNR accusera un déficit de l’ordre de 560 milliards de DA à la fin de l’année 2018, et qui dépassera les 600 milliards de DA en 2019, selon les données prévisionnelles et compte tenue de la conjoncture actuelle », a précisé M. Melouka dans un entretien à l’APS.
Le même responsable a expliqué cette situation par le fait que le nombre de retraités « est en croissance », alors que celui des cotisants reste « constant », ajoutant que « l’équilibre financier de la caisse nécessite 5 cotisants pour 1 retraité, contrairement à ce qui est enregistré actuellement (2 cotisants pour 1 retraité) ».
Cette situation, est « nettement insuffisante » pour pouvoir répondre aux besoins des pensions, sachant que les salaires ont augmenté depuis l’année 2012 et que les pensions de retraites sont devenues assez conséquentes, « ce qui accentue le déficit » a-t-il relevé.
Au sujet de la nouvelle mesure prévue par la loi de Finances 2019 autorisant le Fonds national d’Investissement (FNI) à octroyer des crédits au profit de la CNR à des taux d’intérêt bonifiés à long terme, il a précisé que « cette action a été inscrite pour pouvoir répondre aux besoins de la Caisse en fonction du déficit prévisionnel pour l’année prochaine ».
M. Melouka a affirmé que la valeur du montant de ces crédits « n’a pas été fixée » dans la loi de finances 2019, pour donner la possibilité à la CNR d’exprimer, à partir de janvier prochain, et d »‘une manière objective, ses besoins financiers en fonction de la réalité du terrain ».
Pour rappel, la CNR a connu, ces dernières années, un déficit croissant, passant de 155,1 milliards DA en 2014 à 336,8 milliards en 2016 et plus de 479,1 milliards en 2017.
Le financement de la CNR provient principalement de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés(CNAS) et des subventions de l’Etat en matière de solidarité.
Néanmoins, la dépense est actuellement « plus importante » que les recettes, qui demeurent pratiquement « figées », bien que le nombre de dossiers déposés a baissé des 2/3 par rapport aux années précédentes, a indiqué le même responsable.
M. Melouka a annoncé, à cette occasion, qu’outre le budget affecté par l’Etat à la CNR en 2018 (plus de 500 milliards DA), une contribution de solidarité, au taux de 1% applicable aux opérations d’importation de marchandises, « a permit à la CNR de bénéficier d’un apport complémentaire de plus de 20 milliards DA, durant l’année en cours ».
S’agissant de l’amendement approuvé en novembre dernier par l`Assemblée populaire nationale (APN), accordant aux membres de la communauté algérienne établie à l’étranger et ceux qui exercent une activité professionnelle, la possibilité de s’affilier au système national de retraites, le DG de la CNR a fait savoir qu’il s’agit d’une affiliation « volontaire », soulignant que cet amendement intervient « suite aux besoins exprimés par notre communauté », notamment, « les Algériens résidant dans des pays dépourvus de système de retraite ».
Les TIC pour une bonne prise en charge des retraités
A cet effet, un groupe de travail mixte regroupant des cadres du ministère du Travail et des représentants de la CNR, se penche sur les procédures nécessaires à la mise en £uvre de cette mesure portant sur différents aspects, notamment l’âge, l’assiette de cotisation, les modalités de paiement et de prise en charge de la pension.
Evoquant le travail d’accompagnement au profit des retraités, M. Melouka a souligné qu’une « simplification » des procédures a été engagée par la caisse, notamment celle portant sur des documents d’état civil, en l’occurrence l’extrait de naissance, l’acte de mariage et l’acte de décès.
Il a expliqué que ces 3 documents « ne sont plus exigés aux retraités, mais directement récupérés des services concernés grâce à la coordination interministérielle à l’exception de situations particulières, comme celles relatives aux citoyens nés à l’étranger », a-t-il détaillé.
Concernant le volet modernisation de la caisse, M. Melouka a fait état de la mise en place d’un système d’information quinquennal (2015-2019), qualifiant cette démarche de « capitale » pour pouvoir gérer toutes les situations administratives, afin de faciliter la tâche aux travailleurs du secteur et améliorer la prise en charge des retraités.
A ce titre, il a cité le Datacenter mis en £uvre depuis décembre 2017, qui a pour vocation d’être le centre « névralgique » du système d’information, lequel répond aux normes internationales de sécurité, de disponibilité et de gestion des données.
Ceci, outre une application mobile (Retraite DZ) qui porte, notamment, sur un annuaire répertoriant l’ensemble des agences locales et les centres d’accueil et d’orientation y afférents, la liste des médecins conventionnés (généralistes et spécialistes) triés par wilaya afin de faciliter la recherche, et permettant aux citoyens de s’informer sur la législation et la simulation de calcul de retraites, a-t-il fait valoir.
Une solution SMS en phase de finalisation, a été également engagée par la caisse en collaboration avec tous les opérateurs de la téléphonie mobile, pour informer le retraité de sa situation dans des délais courts (rejet, actualisation, revalorisation).
Pour le DG de la CNR, « cette solution lèvera diverses contraintes, à l’instar des informations non disponibles des retraités,(changement d’adresse etc…) et du courrier classique (non garantie de réception ainsi que le coût induit), etc ».
Il a indiqué que le retraité peut, également, se renseigner sur tous les aspects relatifs à la gestion de la CNR d’une manière générale et sur son dossier administratif d’une manière particulière, en composant le numéro vert de la CNR (3011), sachant qu’un centre d’appel a été mis en place en mai 2017 à cet effet, soulignant que les préoccupations principales des retraités portent sur le dossier et la validation de certaines périodes ainsi que sur le montant de leur pension.
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ALGER – Plus d’une cinquantaine de contrats d’exportation ont été signés lors des salons des produits algériens organisés cette année à l’étranger, a indiqué mardi à Alger le ministre du Commerce, Said Djellab.
S’exprimant lors d’une conférence de presse qu’il a animée en marge d’une rencontre nationale sur la promotion des exportations hors hydrocarbures, M. Djellab a indiqué qu’outre cette cinquantaine de contrats signés entre les exposants algériens et des opérateurs économiques des pays hôtes de ces expositions, des négociations sont en cours pour la signature d’autres accords.
Ces expositions ont été organisées en 2018 aux Etats-Unis, Belgique, Gabon, Sénégal, Qatar et Egypte.
Selon lui, l’organisation des salons des produits algériens a été décidée par un comité interministériel chapeauté par le ministère du Commerce.
Les pays hôtes de ces expositions sont choisis notamment sur la base de l’étude des besoins des marchés de ces pays avec une préférence évidente pour les pays africains.
« On va continuer notre tournée en Afrique. Entre 2019 et 2020, nous comptons organiser 25 salons des produits algériens dans des pays africains. Tous les pays du monde veulent placer leurs produits sur le marché africain. Il est temps que nous le fassions ».
Quant aux déplacements effectués à l’étranger en 2018, le ministre a indiqué qu’ils avaient permis de constater que le produit algérien est « très apprécié » sur les plans de la qualité et du prix, a-t-il soutenu.
L’organisation de ces salons des produits algériens se veut comme un « test » pour les opérateurs économiques algériens participants et pour leurs produits destinés à l’exportation.
Cela a également décelé une adhésion des opérateurs économiques algériens qui ont montré une plus forte confiance à l’égard des institutions de leur pays.
« Nous avons le même but, à court terme, consistant à diversifier les exportations dès janvier 2019, une année dédiée au développement des exportations algériennes ».
M. Djellab a estimé que les conditions étaient réunies pour parvenir au cours des prochaines années à une diversification de l’économie algérienne et réduire ainsi sa dépendance aux hydrocarbures et aux importations.
A une question sur l’adaptation du système bancaire aux ambitions du gouvernement de promouvoir les exportations hors hydrocarbures, M. Djellab a indiqué que la rencontre nationale, organisée mardi, visait justement à créer un espace d’échange entre banquiers et opérateurs économiques afin de trouver des solutions aux différentes contraintes liées au financement des exportations.
Concernant le rôle des représentations diplomatiques algériennes dans la promotion des exportations, M. Djellab a précisé que la présence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, à cette rencontre nationale prouve la mobilisation de l’appareil diplomatique algérien pour la promotion des exportations hors hydrocarbures.
Il a précisé que la réussite de la stratégie nationale de la promotion des exportations est l’affaire de tout le monde et pas uniquement celle du ministère du Commerce.
Selon lui, la coordination étroite déjà existante entre le ministère du Commerce et celui des Affaires étrangères sera renforcée à compter de janvier 2019: « Nos ambassades seront le soutien de nos opérateurs économiques à l’étranger ».
A une question sur le refoulement de certains produits agricoles algériens exportés faute de conformité aux normes, le ministre a précisé qu’un manuel a été élaboré pour identifier l’ensemble des laboratoires publics et privés de qualité et des organismes de certification existants en Algérie.
Cela s’inscrit dans le cadre d’un nouveau dispositif d’accréditation visant la mobilisation de ces laboratoires et organismes de conformité au service des opérateurs économiques.
Pour lui, l’exportation des produits agricoles ne devrait pas se baser sur les excédents seulement, mais plutôt œuvrer à garantir une fourniture régulière au profit du client à l’international.
Dans ce contexte, le ministre a fait savoir que des efforts étaient consentis pour inciter les agriculteurs désirant faire de l’exportation à s’organiser en coopératives afin de renforcer leur compétitivité et pouvoir se positionner sur le marché international.
En s’organisant en coopératives, les agriculteurs algériens peuvent mieux négocier les contrats d’exportation et fournir les volumes demandés et en temps imparti, comme le requiert leurs clients, a-t-il expliqué.
A une autre question d’un journaliste sur le montant des exportations hors hydrocarbures, réalisées en 2018, le ministre a indiqué qu’il devrait se chiffrer entre 2 et 3 milliards dollars.
Pour lui, l’objectif est d’asseoir une politique d’exportation permettant, à moyen terme, d’exporter jusqu’à 10 milliards dollars.
S’agissant du gel de l’importation de certains produits, le ministre a expliqué qu’il s’agit d’une mesure prise dans l’urgence à la suite de la chute des cours de pétrole, mais qui a eu « plusieurs effets positifs ».
Cette mesure de restriction a encouragé certains importateurs à investir en Algérie pour la fabrication locale de produits habituellement importés.
« Nous allons maintenant au Droit additionnel provisoire visant à permettre les importations toute en préservant la production nationale », a-t-il avancé.
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DUNEDIN (Nouvelle Zélande)- Les Amis du peuple sahraoui en Nouvelle Zélande ont organisé une manifestation pour dénoncer l’arrivage d’une cargaison chargée en phosphate sahraoui, à destination de la ville de Dunedin au sud de la Nouvelle Zélande, lançant des slogans revendiquant l’arrêt de ce « vol et de ce crime ».
Les manifestants se sont rassemblés devant le navire arrivé au port en début de semaine en cours, tout en scandant des slogans contre le pillage des richesses sahraouies, brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « arrêtez le vol », « nous vous avons pris en flagrant délit », affichant également des photos de militants sahraouis et portant des pancartes « nous exigeons de la Nouvelle Zélande qu’elle cesse de voler notre avenir ».
Le navire « Triton Folk » venait du port de la ville occupée d’El-Ayoune, transportant à bord, quelque 53.000 tonnes de phosphates, d’une valeur de 7 millions USD, importée illégalement par la société « Ravensdown », a rapporté l’agence de presse sahraouie (SPS).
Le représentant du Front Polisario en Australie, Mohamed Fadel Kamal, cité par l’agence, a saisi, par écrit, le directeur exécutif de la compagnie en vue de « mettre un terme à son implication dans le pillage systématique des richesses » du peuple sahraoui.
Par ailleurs, un film-documentaire intitulé « les vents de la résistance » du réalisateur canadien Josh Cambel, relatant la résistance du peuple sahraoui et l’implication d’une compagnie canadienne dans le pillage du phosphate sahraoui, avec la complicité de l’occupant marocain, a été projeté, mercredi, dernier, à Dunedin en Nouvelle-Zélande, a rapporté la même source.
La projection du film a été rehaussée par la présence d’un nombre d’amis du peuple sahraoui qui ont réaffirmé leur disposition à « exercer davantage de pression sur les compagnies néo-zélandaises pour les dissuader de piller les richesses du peuple sahraoui ».
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