Les ouvrages réalisés par l'Association OUADADA-BÉNIN grâce à l'appui financier de l'Ambassade de France pour la préservation de l'environnement seront inaugurés le jeudi 20 février 2025 à Porto-Novo. Il s'agit d'ouvrages innovants qui renforcent l'offre touristique de la ville capitale.
Dans le cadre du FSPI Patrimoine 2.0 (Fonds de Solidarité pour les Projets Innovants) et du FEF Patrimoine 2.0, l'Association OUADADA-BÉNIN a obtenu l'appui financier de l'Ambassade de France pour la mise en œuvre de deux projets importants. Il s'agit du projet « Valorisation du patrimoine culturel et parcours numériques connectés des places vodùn de Porto-Novo et des sentinelles du climat » et du projet « Réhabilitation et valorisation numérique d'un patrimoine naturel et historique à Porto-Novo : le Jardin des Plantes et de la Nature (JPN) ».
Le premier vise à accroître l'attractivité du territoire et améliorer l'offre culturelle et touristique de la ville en développant un tourisme culturel connecté, à travers la production et la diffusion de contenus numériques de médiation innovants, ludiques et interactifs sur les spécificités culturelles, artistiques et patrimoniales vodùn. Des contenus numériques de médiation sur « les sentinelles du climat » ont été réalisés dans ce cadre.
La seconde initiative quant à elle, a été consacrée au renforcement de l'attractivité du JPN à travers la réhabilitation des infrastructures et la production de contenus numériques innovants, contribuant à sensibiliser les visiteurs et les populations à la préservation de l'environnement.
Sensibiliser les populations riveraines sur les risques d'inondation
De sources proches de l'association, le site “ Les sentinelles du climat” mis en place, a pour objectif d'alerter les habitants des quartiers situés aux abords de la lagune de Porto-Novo, sur les risques croissants d'inondation qu'ils encourent du fait du changement climatique. 12 sculptures ont donc été réalisées et renseignent sur « des échelles de crue ». Toutes ces œuvres sont installées le long de la lagune offrant un magnifique circuit touristique connecté à 6 places vodùn rénovées dans le cadre du projet « Porto-Novo, ville verte ».
Un espace multimédia dans une forêt sacrée
L'œuvre réalisée par l'Association OUADADA-BÉNIN dans le cadre du second projet est relatif au Jardin des Plantes et de la Nature. Il s'agit d'une ancienne forêt sacrée du royaume de Hogbonou, et dont la gestion fut confiée à Migan, un ancien ministre de la justice du royaume.
Transformé en jardin d'essai et d'acclimatation par l'administration coloniale française en 1895, puis en JPN depuis 1998, la gestion de ce site fut confiée à l'EPA (Ecole du patrimoine africain), qui a mis en place une équipe chargée de la conservation des espèces et de la médiation. Afin de contribuer à diversifier les offres et renforcer le potentiel de ce patrimoine historique et naturel, « poumon vert » au cœur de la ville, OUADADA BÉNIN, grâce à son partenaire financier, met désormais en place un espace multimédia aménagé et équipé de 10 tablettes tactiles, d'une télévision 75 pouces pour la diffusion de contenus numériques, et d'un abonnement annuel à la fibre optique qui favorise l'accès à la connexion internet illimitée. Des contenus numériques sont réalisés sur les usages des plantes en médecine traditionnelle et leur rôle dans la culture vodùn. Des jeux interactifs (quiz, puzzles) pour la sensibilisation des jeunes et des visiteurs à la préservation de l'environnement, sont également disponibles. Par ailleurs, une vingtaine de plaques sur lesquelles sont imprimés des QR Codes contenant les données numériques produites, sont installées le long du parcours, permettant aux visiteurs d'accéder aux contenus en les scannant avec leurs Smartphones.
Les ouvrages ainsi réalisés seront mis en service le jeudi 20 février prochain pour le bonheur des populations et des touristes à travers le monde.
F. A. A.
Après l'attaque au Point triple en janvier dernier, les individus armés non identifiés se sont encore illustrés ce samedi 15 février 2025 à Banikoara, commune située dans le département de l'Alibori. Plus d'une quinzaine d'entre eux ont été neutralisés par les Forces de défense et de sécurité (FDS).
Nouvelle incursion des groupes armés ce samedi 15 février 2025 à Banikoara. Des échanges de tirs, environ 17 assaillants, apprend-on des sources proches de l'armée, ont péri sous les balles des Forces de défense et de sécurité. Ceci, grâce à la promptitude des militaires béninois (environ une vingtaine) envoyée au point contact.
Selon des informations non encore confirmées, 6 soldats béninois auraient trouvé la mort dans cette nouvelle attaque.
La hiérarchie militaire n'a pas encore communiqué sur les chiffres officiels.
F. A. A.
Claudine Afiavi Prudencio, ministre conseillère à la santé est en mission dans les formations sanitaires du Bénin. Une mission clé donnée par le président Patrice Talon, visant à évaluer les progrès du secteur de la santé depuis 2016, grâce aux réformes du gouvernement.
C'est au Centre National Hospitalier et Universitaire (CNHU) Hubert MAGA que la ministre marque son premier arrêt. Le directeur, Professeur Dieudonné Gnonlonfoun, présente les réformes mises en place. De nouveaux équipements de pointe, dont des systèmes de gestion de l'oxygène, transforment la prise en charge des patients.
Le CNHU a connu une métamorphose avec des équipements modernes et une réfection complète des infrastructures. Le professeur Jacques Migan souligne les apports du gouvernement : réhabilitation des bâtiments, acquisition de générateurs et amélioration continue des services. Résultat : le centre est désormais opérationnel sept jours sur sept et prend en charge 200 patients par jour, une vraie prouesse pour le secteur.
Un moment fort de cette visite : la prise en charge des patients dialysés. Le CNHU Hubert MAGA propose un service gratuit pour plusieurs patients béninois, un effort considérable. Mais ce service reste limité, et le professeur Migan plaide pour son extension à tous les citoyens. L'accès aux soins de qualité doit être un droit pour tous, indépendamment de la situation économique.
La ministre Claudine Afiavi Prudencio a également profité de sa visite pour lever les doutes concernant les allégations sur la qualité des soins et des équipements du CNHU Hubert MAGA. Les témoignages des médecins et les constats sur place démentent ces rumeurs et révèlent un centre en pleine transformation. Il est urgent de clore ce chapitre et de valoriser les progrès accomplis.
Le projet de Togba : Vers un centre hospitalier de pointe
La ministre s'est aussi rendue à Togba pour observer les travaux du futur centre hospitalier universitaire, dédié à la mère et à l'enfant. Ce projet phare, sur 15 hectares, illustre l'engagement du gouvernement à renforcer le système de santé. Le lancement des travaux est imminent, et cette initiative vise à améliorer significativement les soins dispensés aux populations, en particulier les plus vulnérables.
Ces initiatives témoignent de la volonté du gouvernement de moderniser le secteur de la santé. Les efforts sont visibles et les résultats tangibles. Le CNHU Hubert MAGA incarne ces progrès, et d'autres projets comme celui de Togba vont encore renforcer l'offre de soins au Bénin.
Avancées marquantes à Abomey-Calavi Sô-Ava
La ministre conseillère à la santé, Claudine Afiavi Prudencio, a poursuivi sa tournée en visitant le Centre Hospitalier Universitaire de Zone d'Abomey-Calavi Sô-Ava. Elle a été accueillie par le directeur général, Nicolas Ayédagnon, qui lui a fait découvrir les améliorations apportées à l'établissement. L'hôpital a récemment renforcé ses équipements médicaux, avec l'acquisition de nouveaux échographes, mammographes, moniteurs et une unité de réanimation. Ces équipements permettent désormais d'offrir des soins de qualité supérieure aux patients, tout en répondant à la demande croissante.En plus des nouveaux équipements, le personnel a été formé pour répondre de manière plus efficace aux besoins des patients. Toutefois, le Dr Chasly Chabi, médecin coordonnateur de la zone sanitaire, a exprimé une préoccupation importante : l'augmentation démographique met à rude épreuve les centres de santé. Pour anticiper cette situation, le gouvernement a prévu la reconstruction de plusieurs unités de soins, garantissant ainsi une prise en charge optimale des patients. Ces initiatives visent également à maintenir la motivation du personnel médical, essentiel pour garantir la qualité des soins.
Un nouveau départ pour le CHIC : le modèle d'excellence
La ministre conseillère a également visité le Centre Hospitalier International de Calavi (CHIC), à quelques pas du CHUZ. Ce nouvel établissement incarne l'ambition du gouvernement de proposer des soins de santé de qualité. La directrice générale du CHIC a présenté des infrastructures modernes et des équipements à la pointe de la technologie. L'ouverture imminente de cet hôpital marque une étape importante pour le système de santé béninois. Le CHIC est conçu pour répondre aux besoins non seulement des patients béninois, mais aussi de ceux venant de la sous-région, en offrant des services de santé haut de gamme.
Gaudens Akakpo, chargé de mission auprès du ministre de la santé, a rappelé les défis rencontrés avant 2016, lorsque la gouvernance du système de santé freinait le développement du secteur. Grâce aux réformes mises en place par le gouvernement, ces obstacles sont désormais surmontés. Claudine Afiavi Prudencio a salué ces avancées et encouragé les acteurs du secteur à poursuivre les efforts. Le CHIC est donc perçu comme un atout majeur pour le pays, et son ouverture contribuera à réduire les inégalités d'accès aux soins.
Visite des centres de santé à Zinvié et dans la zone sanitaire Allada-Toffo-Zè
La ministre conseillère a poursuivi sa visite à Zinvié, où elle a constaté les transformations visibles dans le centre de santé local. L'accueil chaleureux et l'ambiance positive qui y régnaient témoignaient des efforts pour améliorer l'environnement de travail et de soin. À Allada-Toffo-Zè, plusieurs autres centres de santé ont été visités, et Jocelyne Azontome Houssou, directrice de l'hôpital de zone, a exprimé sa gratitude envers le gouvernement pour les mesures prises, renforçant ainsi le plateau technique, augmentant le personnel et fournissant des équipements lourds. Ces améliorations contribuent à une prise en charge de meilleure qualité pour les populations locales.
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Les personnes installées sous les lignes haute tension de la Société Béninoise d'Énergie Électrique (SBEE) à Godomey doivent impérativement quitter les lieux avant le 1ᵉʳ mars 2025. L'ultimatum a été donné par le ministre conseiller aux infrastructures, Jacques Ayadji à la suite d'une descente sur le terrain le samedi 15 février 2025.
Sensibiliser les occupants sur les risques liés à leur installation dans l'emprise des lignes haute tension. C'est l'objectif de la visite du ministre conseiller aux infrastructures, Jacques Ayadji sur les lieux à Godomey. Face aux nombreux dangers dont les risques d'électrocution et d'incendie, les occupants sont invités à libérer les lieux. Selon les informations, il y a déjà eu des sensibilisations par le passé. Jacques Ayadji a fixé un delai aux occupants. Ils doivent quitter les lieux au plus tard le 1er mars.
Le ministre conseiller a également précisé que des actions seront menées pour s'assurer de l'effectivité du dégagement de ces espaces après le 1ᵉʳ mars.
A.A.A
La commune d'Adjarra, située à environ 40 km de Cotonou, innove avec la plateforme Döton. Une application mobile qui permet aux citoyens de signaler toute insatisfaction liée aux services communaux et de soumettre des propositions d'amélioration.
Döton (‘'il faut dire'' en langue locale au sud-est du Bénin) est le nom d'une plateforme mobile accessible sur App store depuis le 14 février 2025. Elle permet aux citoyens d'Adjarra dans le département de l'Ouémé de soumettre à l'administration communale des plaintes. Retards dans le traitement de dossiers, mauvais accueil, corruption ou dysfonctionnements administratifs, routes dégradées, éclairage public défectueux, problèmes d'assainissement… Des plaintes et signalements d'infrastructures pris en compte par l'administration communale.
Les objectifs de Döton sont multiples : encourager l'implication citoyenne en offrant un canal d'expression moderne, optimiser la gestion des plaintes grâce à un suivi en temps réel, et améliorer la transparence et l'efficacité des services municipaux. Une cellule dédiée au sein de la mairie est dotée d'un panel d'administration pour la réception et le traitement des plaintes reçues via l'application mobile.
« Cette plateforme qui est un outil numérique, incarne notre volonté d'élever la gestion communale à un niveau supérieur, où chaque citoyen devient un acteur clé de la croissance économique, de la gestion de l'administration et du développement. Gouverner une commune aujourd'hui, c'est administrer, écouter, dialoguer et innover pour répondre aux attentes de nos populations », a expliqué Eugène Ahouansè, premier adjoint au maire d'Adjarra, à la pré-validation de la plateforme le 4 février 2025.
Selon Guerschom Akoha, Directeur des Systèmes d'Information de la Mairie d'Adjarra, la mise en place de Döton découle principalement du mauvais accueil des usagers dans certains services municipaux, décourageant notamment les groupes marginalisés d'accéder aux services publics.
L'outil permet de répondre aux attentes des citoyens avec « plus de précision et de rapidité », précise l'adjoint au maire.
Suivi en temps réel et protection des données
« Döton intègre un système de suivi en temps réel des plaintes et suggestions. Une notification de réception est envoyée à l'utilisateur dès soumission de sa doléance. Le plaignant a accès à la mise à jour du statut de la demande (en attente, en cours de traitement, résolu), et de l'historique des doléances via l'application. Le plaignant est tenu informé de chaque étape d'évolution de sa plainte jusqu'à la clôture. Après la clôture, le plaignant a la possibilité de notifier s'il est satisfait ou non du traitement effectué ».
Le DSI précise que « pour assurer la protection des données et l'anonymat des utilisateurs, les données sont chiffrées et il est possible de soumettre une plainte de manière anonyme, garantissant ainsi la confidentialité des plaignants ».
Des améliorations notables ont été observées grâce à Döton. Après seulement quelques jours d'opérationnalisation, il a été constaté la réduction des délais de traitement des plaintes grâce à un suivi structuré ; une meilleure traçabilité des demandes, réduisant ainsi les risques de plaintes non prises en compte ; l'augmentation de la participation citoyenne, avec une hausse des suggestions et réclamations exprimées. Les agents de la mairie constatent également une meilleure organisation dans la gestion des plaintes.
Les premiers retours des citoyens sont positifs, appréciant la facilité d'utilisation et la rapidité de prise en compte de leurs doléances.L'interaction a été renforcée grâce au site internet rénové de la mairie. Des outils mis en place grâce à l'appui de l'Association Nationale des Communes du Bénin (ANCB) et de la Fédération Canadienne des Municipalités (FCM) à travers le programme Partenariats Municipaux pour l'Innovation – Femmes en Politique Locale (PMI-FPL). « Grâce à cet accompagnement, nous avons aujourd'hui des outils qui placent nos citoyens au cœur de l'action publique », indique Eugène Ahouansè, premier adjoint au maire d'Adjarra.
M. Ahouansè exhorte à œuvrer à l'amélioration constante de ces outils numériques. Döton représente une avancée significative pour la commune d'Adjarra, plaçant les citoyens au cœur de l'action publique et renforçant la transparence et l'efficacité des services municipaux.
Marc MENSAH
Cet article est publié dans le cadre du programme de Bourse de journalisme sur les Infrastructures Publiques Numériques (IPN), organisé par la Fondation des Médias pour l'Afrique de l'Ouest (MFWA), avec l'appui de Co-Develop.
Parties de Grand-Popo pour direction la capitale togolaise dans l'après midi de ce samedi 15 février 2025, les Amazones sont bien arrivées à Lomé. Le voyage des Béninoises s'inscrit dans le cadre du match aller du premier tour des éliminatoires CAN Féminine 2026.
Les Amazones du Bénin ont débarqué à Lomé autour de 18h (heure de Cotonou) après près de deux heures de route en provenance de Grand-Popo. Elles sont actuellement logées à l'hôtel Les Ambassadors. Selon le programme établi par le sélectionneur intérimaire Ouzérou Abdoulaye, les joueuses seront au repos ce dimanche 16 février 2025.
Lundi, elles débuteront les séances d'entraînement sur la pelouse du stade de Kégué. Les Amazones affronteront la Sierra Leone le jeudi 20 février prochain à Lomé avant de rejoindre le Liberia pour la manche retour prévue le 24 février.
J.S
Après plus de deux ans d’attente, l’entreprise VMS Industrie, spécialisée dans la construction de motocycles, a finalement obtenu son agrément de constructeur le mercredi 13 […]
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Samedi 15 février 2025, le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Youcef Cherfa, accompagné du wali d’Alger, a donné le coup […]
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Le Maroc a pris une part active au Sommet de l'Union africaine (UA), qui vient de se tenir en ce mois de février 2025 à Addis-Abeba. Ce fut une occasion pour le Royaume de réaffirmer son engagement pour une mmmmmmmmmmmmaction africaine commune au service des causes nobles du continent et des9p⁹0p00⁰00 intérêts vitaux de ses citoyens.pp
Lors du Sommet de l'Union africaine (UA), qui vient de s'achever à Addis-Abeba, le Maroc a montré qu'il demeure engagé pour une action africaine commune au service des causes nobles du continent et des intérêts vitaux de ses citoyens.
Le Sommet a discuté de plusieurs questions, relatives notamment à la paix et la sécurité, l'intégration continentale, la sécurité sanitaire et les changements climatiques, et du renouvèlement du leadership de la Commission de l'UA.
L'organisation panafricaine a occulté la question du Sahara confirmant ainsi sa posture visant à concentrer ses efforts sur le traitement des questions urgentes et prioritaires pour l'Afrique et rompre, par conséquent, avec son instrumentalisation en tant que plateforme dédiée au service d'agendas restreints et des visées politiques malsaines de certains.
La participation du Maroc aux travaux de ce sommet s'est illustrée, comme par le passé, par une contribution substantielle et à forte valeur ajoutée au titre des réunions et des évènements de haut niveau ayant couvert plusieurs thématiques.
Le Royaume a participé entre autres à la réunion du Conseil de Paix et de Sécurité de l'UA au niveau des Chefs d'État et de Gouvernement sur la situation au Soudan et la crise à l'Est de la RDC. Au cours des travaux, le CPS a approuvé à l'unanimité la proposition marocaine d'observer une trêve humanitaire au Soudan, durant le mois sacré du Ramadan, afin de permettre l'accès à l'aide humanitaire et ce, sans restriction, ni discrimination.
Le Maroc était également à la réunion de haut niveau sur le financement de la santé, où il a annoncé une contribution substantielle pour le renforcement de la sécurité sanitaire en Afrique.
Depuis son retour au sein de l'UA (il y a 8 ans), le Maroc, grâce à une Vision Royale éclairée et proactive, se réaffirmer comme un acteur clé au sein de l'institution panafricaine, dont les actions et les initiatives jouissent de l'adhésion collective et dont la crédibilité lui a valu la confiance des forces vives de l'Union.
Ainsi, l'UA a désigné, en 2018, Sa Majesté le Roi Mohammed VI en tant que Leader sur la question de la Migration et a choisi Rabat pour abriter l'observatoire africain pour les migrations.
A cela s'ajoutent les initiatives Royales afférentes aux questions du climat, lancées en 2016 lors du Sommet Africain pour l'Action. Elles représentent toujours une « success story » et un référentiel clair pour les pays africains dans le cadre de leur quête collective en vue de construire un modèle africain de résilience climatique.
Les pays africains ont élu le Maroc comme membre du Conseil de Paix et de Sécurité au titre de deux mandats (2018-2020 et 2022-2025) lors desquelles le Royaume a assuré la présidence de cet organe important à trois reprises et a lancé des initiatives innovantes, inédites et concrètes qui s'inspirent de la Vision Royale visant à servir les intérêts vitaux du citoyen africain en termes de paix, de sécurité et de développement.
La Déclaration issue de la Conférence de Tanger sur la promotion de la Paix, la Sécurité et le Développement, a été endossée à l'unanimité par la Conférence de l'UA et a constitué un moment charnière sur le chemin de la redynamisation de l'approche nexus paix-sécurité-développement comme réponse globale, intégrée et pertinente face aux défis afférents à la paix et la sécurité sur le continent. Cette initiative a fédéré les efforts de toutes les parties prenantes, notamment les États membres, les organes et les institutions financières, les communautés économiques régionales, les agences de l'ONU et les organisations de la société civile.
De plus, le Maroc a mis en place un programme de formation spécialisée pour les observateurs électoraux de l'UA et ce, dans l'objectif de promouvoir le processus démocratique sur le continent africain.
Le Royaume a aussi réussi à assurer la présence de profils hautement qualifiés au niveau des différentes structures de la Commission de l'Union africaine comme le poste de Directeur Général de la CUA, qui constitue une position managériale clé au sein de cette dernière, ainsi que d'autres positions d'importance stratégique.
Le Maroc a accédé aux grands postes de responsabilité de l'Union : Présidence, vice-présidence d'organes importants, Présidence, au niveau ministériel, du Comité Technique Spécialisé sur les questions économiques, et Vice-Présidence du CTS sur la fonction publique, les collectivités territoriales, le développement urbain et la décentralisation.
Il a aussi assuré la présidence du sous-comité sur les questions économiques et la Vice-Présidence du sous-comité sur les questions environnementales.
Fort de son statut de membre fondateur de l'Organisation panafricaine, et de son engagement constant au service des causes nobles du continent, le Maroc poursuivra sa contribution constructive à l'action africaine commune dans le cadre du processus intergouvernemental, à relever les défis qui persistent au sein de l'organisation panafricaine en termes de renforcement de la bonne gouvernance administrative et financière et à contrecarrer toutes les tentatives visant à freiner l'élan de réforme au sein de l'UA..
Les actions du Royaume du Maroc au sein de l'UA visent à concrétiser la Vision Royale qui consiste à placer les causes nobles de l'Afrique et les intérêts vitaux des citoyens en matière de paix, de sécurité et du développement au centre de l'agenda panafricain et de donner le leadership au continent africain pour qu'il puisse porter haut la voix de l'Afrique à l'échelle internationale.
Un nouveau scandale de racisme ébranle le football italien, cette fois-ci en Serie B. Lors d’une rencontre opposant le SSC Bari à la Cremonese, le […]
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La semaine débute sous le signe de l’instabilité météorologique dans plusieurs régions du Sud du pays. Des pluies soutenues accompagnées d’orages sont attendues, nécessitant une […]
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Le dernier Sommet de l'Union africaine (UA), notamment l'élection pour la Vice-présidence de la Commission et l'échec de l'Algérie à réintégrer le Conseil de paix et de sécurité (CPS), ont montré que le Maroc conforte toujours sa position au sein de l'organisation panafricaine face à son voisin algérien.
Le 12 février dernier, la candidature de l'Algérie a essuyé un échec en ne parvenant pas à obtenir un siège au sein du Conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA, malgré une campagne intense et des efforts en coulisses. Cet échec reflète une réalité difficile à ignorer : la baisse d'influence de ce pays sur la scène continentale. Une situation exacerbée par une diplomatie axée davantage sur des méthodes archaïques, telles que l'achat d'influence, plutôt que sur une vision stratégique cohérente.
L'élection pour la Vice-présidence de l'Union a été très serrée entre les candidatures marocaine et algérienne avec des résultats tantôt à égalité ou avec quelques voix de différence. La plupart des délégués qui ont participé au processus électoral ont remarqué une différence notable entre la candidature du Royaume et celles de ses challengers, surtout en termes de profil, de qualifications, de propositions pertinentes, de vision et de la qualité du dossier défendu devant les Chefs d'Etat et de Gouvernement.
Malgré tous ces atouts, l'issue du processus du vote suscite de nombreuses interrogations. Des manœuvres malsaines auraient pesé sur le scrutin du 15 février pour compenser les faiblesses de la candidature d'en face pour le poste de Vice-président de la Commission de l'UA.
Le Maroc, bien que favori, a dû faire face à des conditions de vote biaisées. Six pays alliés et amis du Maroc – le Gabon, le Niger, le Burkina Faso, le Mali, la Guinée et le Soudan – étaient absents du scrutin, étant suspendus de l'Union pour diverses raisons. Ces absences ont privé le Royaume d'un appui crucial, qui aurait probablement changé l'issue de l'élection.
Le Maroc malgré tout continue de maintenir une position forte au sein de l'Organisation panafricaine. Le pays de Sa Majesté le Roi Mohammed VI occupe notamment le poste stratégique de Directeur général, numéro 3 de l'Union, avec M. Fathallah Sijilmassi. En plus, le Maroc et ses alliés ont réussi à faire élire M. Mahmoud Ali Youssouf, ancien chef de la diplomatie djiboutienne et fervent défenseur de l'intégrité territoriale du Maroc (et qui a ouvert un consulat à Dakhla), à la présidence de la Commission de l'UA.
L'élection du 15 février 2025 vient encore une fois témoigner de la capacité et de la force de la diplomatie marocaine à renforcer son influence sur le continent par des alliances solides et un partenariat stratégique gagnant-gagnant.
Le Maroc, depuis sa réintégration à l'UA en 2017, adopte une approche axée sur des projets concrets et structurants, comme le gazoduc Afrique-Atlantique, qui renforcent les liens économiques et énergétiques entre les pays africains. De plus, le Royaume mise sur une diplomatie innovante, tournée vers les priorités réelles des pays africains et leurs citoyens, et un puissant réseau d'alliances bilatérales.
Le parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) a tenu ce samedi 15 février, sa première session ordinaire pour l'année 2025. Cette rencontre a été l'occasion pour Paul Hounkpè et les siens, de se prononcer sur plusieurs sujets d'actualité dont celui relatif à l'audit du fichier électoral suggéré par le cadre de concertation des partis opposés au régime du président Patrice Talon.
Pour le parti FCBE, s'il y a un travail à faire sur le fichier électoral, ce sera de sensibiliser les citoyens car, nombreux d'entre eux n'ont pas pu s'acquitter de leur devoir civique en 2023. La formation politique de l'opposition a exprimé sa position sur cette question qui agite l'opinion depuis quelques semaines lors de sa première session ordinaire de l'année 2025, tenue ce samedi 15 février 2025. « En 2023, les citoyens n'ont pas pu s'acquitter de leur devoir civique parce qu'ils n'ont pas retrouvé leurs noms sur le fichier électoral », a laissé entendre Paul Hounkpè, secrétaire exécutif national des FCBE. Au lieu d'un audit du fichier électoral, il suggère que les ressources allouées à la mise à jour du fichier électoral soient prioritairement consacrées à la sensibilisation des populations. Ce qui, d'après lui, permettra d'effectuer les corrections nécessaires et d'éviter toute distraction des fonds publics. Les meilleurs auditeurs de la liste électorale selon les FCBE, sont les électeurs eux-mêmes. Lors d'une rencontre avec le chef de l'Etat en novembre 2023, le parti Les Démocrates avait demandé un audit du fichier électoral. Requête à laquelle le chef de l'Etat s'est prononcé favorablement. Mais deux partis soutenant ses actions à savoir, l'Union Progressiste le Renouveau (UPR) et le Bloc Républicain (BR), ont exprimé leur opposition à cette initiative du cadre de concertation des partis de l'opposition.
F. A. A.
MTN, le premier opérateur de téléphonie mobile au Bénin a lancé vendredi, sa nouvelle campagne de marque deux ans après « Près de toi, Prêt pour toi ». Désormais, pour mieux s'engager à servir ses abonnés, MTN portera le slogan « Tout donner ensemble ».
La campagne de marque de MTN, lancé à Cotonou est « Tout donner ensemble ». Cette nouvelle campagne de marque lancée officiellement ce vendredi par la Directrice générale de MTN Bénin, Uche OFODILE, résume l'engagement de MTN aux côtés de ses abonnés.
« MTN Bénin est bien plus qu'un simple réseau : c'est un partenaire de progrès qui transforme des vies, élève des communautés et nourrit les rêves. Partout au Bénin, la connectivité et les services numériques permettent à des entrepreneurs, pêcheurs et élèves d'accéder à de nouvelles opportunités et de bâtir un avenir meilleur. », a expliqué la Responsable Marque et Communication, Florine Noumon.
Elle a souligné dans sa présentation que « MTN ce n'est pas que du crédit, le réseau de la data, du forfait. Mais au fait, notre rôle ne se limite pas qu'à cela. Notre rôle va bien au-delà. Notre rôle, et d'apporter des opportunités à votre énergie afin que tous ensemble nous puissions atteindre le progrès. »
Pour la Directrice générale de MTN Bénin, Uche Ofodile la nouvelle campagne de marque du premier opérateur de téléphonie mobile au Bénin est un engagement à transformer des vies. « Je me tiens devant vous aujourd'hui non seulement en tant que Directrice générale de MTN Bénin, mais aussi en tant que témoin du pouvoir de la connexion, celle qui transforme des vies, élève des communautés et nourrit les rêves », a-t-elle indiqué.
En énumérant les nombreuses initiatives entreprises par MTN Bénin pour mieux servir ses abonnés et accompagnés la population sur le plan éducatif, la Directrice générale de MTN Bénin, Uche Ofodile a montré que « MTN Bénin est plus qu'une entreprise de télécommunications. Nous sommes un partenaire du progrès, un soutien aux rêves, un fervent croyant en le potentiel illimité de notre peuple. », a-t-elle assuré avant de marteler : « Nous donnons tout parce que nous voyons les sacrifices que vous faites chaque jour. Nous donnons tout parce que nous croyons au pouvoir de la connexion pour transformer des vies. Nous donnons tout parce que lorsque nous avançons ensemble, nous allons plus loin. ».
Il faut préciser qu'avant le lancement de cette nouvelle campagne de marque, MTN Bénin avait lancé en novembre 2024, la 5G qui a considérablement renforcé sa position du premier opérateur au Bénin. Mais il n'entend pas s'arrêter là. Il promet étendre son activité vers d'autres secteurs pour mieux servir ses abonnés pour qui il est prêt à beaucoup investir.
« Nous sommes là depuis 25 ans, nous avons écouté nos abonnée et nous avons vu aussi comment ils donnent tout chaque jour. Et nous, entend que réseau partenaire du progrès nous voulons être là pour les accompagner afin d'atteindre ensemble les objectifs. », ajouté en conclusion, Yaw Agyapong, Directeur marketing de MTN Bénin.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a annoncé ce jeudi 13 février l’ouverture du recrutement au Centre de développement […]
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Les démarches pour obtenir le certificat de résidence ont été assouplies grâce à l'Agence Nationale d'Identification des Personnes (ANIP).
Pour finaliser la demande en ligne et recevoir votre certificat sans vous déplacer, voici les étapes simples à suivre.
Il faut obtenir sa fiche de résidence auprès du chef de votre quartier ou village, muni du Numéro Personnel d'Identification (NIP) attribué par l'ANIP.
Le demandeur remplit ensuite gratuitement la fiche de renseignements après avoir consulté le chef de quartier.
Il faut finaliser enfin la demande en ligne sur la plateforme en cliquant sur services.anip.bj
Le tout pour un coût de 2000 FCFA. Plus besoin de faire la queue à la mairie, tout se fait confortablement depuis chez vous !
Le numéro d'appel gratuit : 7054 est ouvert pour toute préoccupation.