Am 4. und 5. Oktober 2016 veranstalten die Europäische Union und die Regierung Afghanistans gemeinsam die Brüsseler Afghanistan-Konferenz, an der mehr als 70 Länder sowie 20 internationale Organisationen und Agenturen teilnehmen werden.
Ziel der Konferenz ist es, ein realistisches Reformprogramm zu verabschieden, das die afghanischen Regierung bei der Umsetzung ihrer Vorhaben unterstützt, und die weitere internationale politische und finanzielle Unterstützung zugunsten der politischen und wirtschaftlichen Stabilität, des Aufbaus des Staatswesens und der Entwicklung Afghanistans in den kommenden vier Jahren sicherzustellen.
Die Konferenz findet unter der Schirmherrschaft des Präsidenten des Europäischen Rates Donald Tusk und des afghanischen Präsidenten Ashraf Ghani statt, die die Veranstaltung eröffnen werden.
Eine Stabilisierung des Landes wird nur möglich sein, wenn die finanzielle Unterstützung für die kommenden vier Jahre gesichert und die Wirksamkeit der Hilfe durch einen neuen nationalen Entwicklungsrahmen erhöht wird. Entwicklung und Sicherheit bleiben weiterhin eng miteinander verknüpfte Herausforderungen, die einer echten politischen Unterstützung bedürfen. Hierzu müssen die internationale Gemeinschaft und insbesondere die Nachbarstaaten Afghanistans beitragen und auf dem sich herausbildenden regionalen Konsens aufbauen, der auf Frieden und grenzübergreifende wirtschaftliche Zusammenarbeit ausgerichtet ist.
"Was die Afghanen brauchen, ist Frieden und Stabilität. Es liegt in unser aller Interesse, auch in dem der Europäischen Union, sie dabei zu unterstützen", erklärte die Hohe Vertreterin der Union für Außen- und Sicherheitspolitik Federica Mogherini. "Afghanistan hat gezeigt, dass es auch angesichts beträchtlicher Herausforderungen entschlossen ist, seinen Weg in Richtung Demokratie und Entwicklung fortzusetzen. Die internationale Gemeinschaft, allen voran die Europäische Union, muss auch weiterhin die Bemühungen der Menschen in Afghanistan um Wohlstand und Frieden unterstützen, nicht nur finanziell, sondern auch politisch. Unsere Konferenz bietet genau dazu die Gelegenheit."
Die Hohe Vertreterin wird gemeinsam mit dem Europäischen Kommissar für Entwicklungszusammenarbeit Neven Mimica den Ko-Vorsitz im Namen der EU führen.
Den Ko-Vorsitz für Afghanistan übernehmen Außenminister Salahuddin Rabbani und Finanzminister Eklil Hakimi. Auch der Regierungsvorsitzende Dr. Abdullah Abdullah wird anwesend sein. Minister Eklil Hakimi erklärte: „Die Regierung Afghanistans freut sich darauf, unseren internationalen Partnern unsere Pläne vorzustellen, mithilfe derer wir die Eigenständigkeit für unser Volk erreichen möchten. Wir legen auch gerne die Erfolge dar, die wir seit 2014 erzielt haben. Die Brüsseler Konferenz ist eine Gelegenheit für Afghanistan und seine Partner, das Engagement für unsere gemeinsame Vision von Frieden, Stabilität und Wohlstand für Afghanistan zu bekräftigen."
Am 4. Oktober werden am Rande der Konferenz zwei Veranstaltungen auf hoher Ebene zu den Themen Teilhabe von Frauen und regionale Integration stattfinden.
Un jihadiste malien a été condamné mardi lors d’un verdict historique à neuf ans de prison par la CPI pour avoir démoli des mausolées protégés à Tombouctou, un jugement considéré comme un avertissement pour ceux qui détruisent le patrimoine de l’humanité.
Des dunes du Sahara à celles de la mer du Nord, au pied desquelles se dresse la CPI, le Touareg Ahmad Al Faqi Al Mahdi a été reconnu coupable d’avoir « dirigé intentionnellement des attaques » contre neuf des mausolées de Tombouctou (nord du Mali) et contre la porte de la mosquée Sidi Yahia entre le 30 juin et le 11 juillet 2012.
« M. Al Mahdi, le crime pour lequel vous avez été reconnu coupable est très grave », a affirmé le juge Raul Pangalangan : « la chambre vous condamne à neuf années de détention ».
Après avoir plaidé coupable à l’ouverture de son procès à la Cour pénale internationale, cet homme aux petites lunettes avait demandé pardon à son peuple, assurant être « plein de remords et de regrets ».
Disant avoir été à l’époque sous l’empire de groupes jihadistes, il avait appelé les musulmans du monde entier à résister « à ce genre d’actions ».
Mardi, M. Al Mahdi, en costume gris, chemise blanche et cravate rayée, a écouté la lecture du jugement l’air concentré, hochant de temps en temps la tête. En se rasseyant après la lecture du verdict, il a mis une main sur son coeur.
« C’est un crime très, très grave », a réagi la procureure Fatou Bensouda : « c’est un crime de guerre et (ceux qui commettent ce crime) seront tenus pour responsables ».
A Tombouctou, des habitants se sont félicité de la décision des juges, y voyant « une leçon » et « un exemple ». En 2012, l’accusé « était comme Dieu sur Terre », a ainsi estimé Mohamed Issa Touré, jeune guide touristique à Tombouctou joint par l’AFP. « Aujourd’hui, on lui montre qu’il n’est rien. C’est bien pour l’exemple », a-t-il ajouté.
– Autres poursuites? –
Les juges ont affirmé que l’accusé, né vers 1975, était un membre d’Ansar Dine, l’un des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda qui ont contrôlé le nord du Mali pendant environ dix mois en 2012, avant d’être en grande partie chassés par une intervention internationale déclenchée en janvier 2013 par la France.
En tant que chef de la Hisbah, la brigade islamique des moeurs, il avait ordonné et participé aux attaques contre les mausolées, détruits à coups de pioche, de houe et de burin.
Ces mausolées abritent des personnages vénérés considérés comme des protecteurs de la ville et qui sont susceptibles d’être sollicités pour des mariages, pour implorer la pluie ou contre la disette.
Ce sont ces rites, contraires à leur vision rigoriste de l’islam, que les jihadistes ont tenté d’éradiquer, d’abord par la sensibilisation, avant d’en venir à la destruction des mausolées.
Ce jugement est « une étape historique dans la reconnaissance de l’importance du patrimoine pour les communautés qui l’ont préservé au fil des siècles et au-delà, pour l’humanité tout entière », a affirmé la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, citée dans un communiqué.
Ce procès a vu une avalanche de primeurs: premier accusé à reconnaître sa culpabilité, Ahmad Al Faqi Al Mahdi est le premier jihadiste à être jugé à La Haye et le premier accusé dans le cadre du conflit malien.
Les ONG avaient néanmoins regretté au début du procès que les charges contre M. Al Madhi n’aient pas été élargies pour inclure les autres crimes reprochés à la Hisbah, dont des crimes de torture, de viols et la mise en esclavage sexuel de femmes de Tombouctou.
Human Rights Watch a ainsi appelé le Mali à « jouer un rôle plus actif » dans les poursuites pour des crimes de guerre sur son territoire, a indiqué l’ONG dans un communiqué. Amnesty, de son côté, a rappelé « les centaines de civils tués, torturés ou violés » et invité la procureure à continuer ses enquêtes.
Alors que de nombreux sites sont régulièrement détruits en Syrie ou en Irak, ce jugement envoie « un signal fort » contre la destruction de biens culturels, a affirmé dans un communiqué la Minusma, la mission des Nations unies au Mali.
Mais même si la liste des sites en danger ne cesse de s’allonger, d’autres poursuites ne seront pas évidentes. Ni l’Irak, ni la Syrie n’ont signé le Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI. Sans décision de l’ONU, aucune enquête n’est possible.
Öt évvel ezelőtt nyílott meg Zomborban a Védett Ház, a családon belül bántalmazott nők és gyerekek titkos menhelye. A korszerűen fölszerelt, légkondicionált épületben 22 személy elhelyezésére van lehetőség, akik 24 órás védelem alatt állnak. Természetesen csupán a legsúlyosabban bántalmazottak rejtőzködhetnek ebben a szociális intézményben, hiszen megnyitása évében 350 esetben regisztráltak családon belüli erőszakot a városban. Ehhez hozzá kell tenni, hogy a Védett Ház az egész Nyugat-Bácska, vagyis több mint 200.000 polgár kiszolgálására hivatott. A családon belüli erőszak pedig senkit se kímél, gyereket, felnőttet, idős korút, nőt és férfit egyaránt érhet atrocitás.
Pour Pascal Boniface, le trucage de paris sportifs est un phénomène autant voire plus important que le dopage. Mais la lutte s’organise, estime-t-il. Raison pour laquelle le nombre d’affaires qui éclatent au grand jour ne cesse d’augmenter.
En matière de tricherie dans le sport, on pense en premier lieu au dopage, qui a fait couler beaucoup d’encre ces dernières années. Mais les paris sportifs ne sont-ils pas un fléau plus grave, dans un milieu où les enjeux financiers sont énormes ?
L’ampleur du phénomène est très grande. Ce fléau est certainement encore plus important que le dopage, puisqu’il est multiforme et peut concerner plusieurs acteurs. Il met en cause l’intégrité des compétitions. Et permet des liens entre le crime organisé et le sport. Mais ce danger est de plus en plus pris en compte par les différentes instances sportives et les pays. Il y a une convention européenne en la matière. En Chine, les pouvoirs publics, qui étaient assez peu préoccupés par ce type de dérives, voire bienveillants à leur égard, commencent à s’organiser. Interpol également. Il y a eu un temps de retard par rapport à la lutte contre le dopage. Mais désormais, c’est un phénomène mieux identifié. Et comme pour le dopage, ce n’est pas parce qu’il y a plus d’affaires qui éclatent au grand jour, qu’il y a plus de paris truqués. Au contraire, cela signifie qu’ils sont davantage identifiés et dénoncés.
Que peut-on faire ? Est-il possible d’empêcher que des joueurs parient contre leur propre équipe, par exemple ?
C’est évidemment le pire cas d’espèce : qu’un joueur parie sur sa propre défaite. C’est le vieux mythe du boxeur qui se couche parce qu’on a parié sur sa perte. La légende est connue. De la prévention est faite dans les clubs. Quelques cas ont été révélés. Les moyens de surveillance dont on dispose aujourd’hui laissent penser que l’impunité recule. Mais comme pour le dopage ou la criminalité, il n’y a pas de risque zéro. C’est une lutte sans fin. Il y a deux excès à éviter : le déni de réalité et le « tous pourris ». Les clubs et les responsables de loterie légale eux-mêmes luttent contre ces dérives car s’ils se retrouvent impliqués dans des affaires de paris truqués, ils tuent la poule aux oeufs d’or. Ces dernières sont les premières victimes des paris truqués parce que si les joueurs ont l’impression que tout est joué à l’avance, ils ne vont plus parier.
Ces dernières années, le sponsoring par des entreprises de paris en ligne a explosé. Clubs et fédés ne sont-ils pas les victimes consentantes de ce business ?
Si un opérateur de paris qui sponsorise un club est pris la main dans le sac, son business plan est détruit. Le problème des paris truqués ne vient pas des entreprises qui ont pignon sur rue, mais d’autres opérateurs « gris ». Pour lutter contre cela, il faut certainement harmoniser les sanctions au niveau européen. Et développer le contrôle du jeu en ligne. En France, l’Arjel, l’autorité de régulation des jeux en ligne, détecte assez facilement les paris suspects. Il faudrait sans doute aussi limiter ce sur quoi on peut parier. Aujourd’hui, on peut miser sur l’équipe qui obtiendra le premier corner, etc. On pourrait limiter les paris aux résultats des matchs. Car on peut très bien truquer des paris sans truquer le résultat d’un match. Le problème aujourd’hui ne se situe pas au niveau des grands clubs, car corrompre le Real ou Manchester United, cela coûterait beaucoup trop cher. C’est dans les niveaux inférieurs qu’il y a des problèmes de corruption et de détournement de l’intégrité du sport.
Propos recueillis par Corentin di Prima
A Demokrata Párt tagsága szombaton megválasztotta a párt új vezetését. A négy elnökjelölt – Bojan Pajtić eddigi pártelnök, Dragan Šutanovac volt védelmi miniszter, Zoran Lutovac és Srboljub Antić – közül messzemenően Šutanovac kapta a legtöbb szavazatot. Az öt alelnöki tisztségre tizenkét jelölt volt...
Παρατίθεται παρακάτω η επιστολή (μεταφρασμένη στα Ελληνικά από τον Αλέξανδρο Κυριακίδη – μπορείτε να βρείτε εδώ την αρχική Αγγλική έκδοση στην οποία συντάχθηκε η επιστολή) που απέστειλαν προς τον Έλληνα Υπουργό Οικονομικών Ευκλείδη Τσακαλώτο (κοινοποιήθηκε επίσης στον Πρόεδρο του Eurogroup Γερούν Ντάισελμπλουμ) στις 23 Αυγούστου 2016 οι:
σχετικά με την υπόθεση του πρώην Προέδρου της Ελληνικής Στατιστικής Υπηρεσίας (ΕΛΣΤΑΤ) και άλλα δύο άλλα ανώτερα στελέχη της ΕΛΣΤΑΤ, και την αναφορά του ελλείμματος κατά το 2010, αποκλειστικά από τον Αλέξανδρο Κυριακίδη και το EU & Democracy.
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