Quatre Angolais et deux expatriés ont été tués en Angola dans un accident d’hélicoptère affrété par la société pétrolière américaine Chevron, a-t-on appris mardi auprès des services de sécurité angolais.
L’accident s’est produit lundi soir au large de l’enclave pétrolière angolaise de Cabinda, a indiqué à l’AFP le capitaine Armando Nzawisa des forces armées angolaises, en charge des opérations de secours.
« L’hélicoptère s’est écrasé en route vers une plateforme Chevron, alors que le temps était mauvais », a-t-il précisé.
Quatre corps ont été retrouvés et des opérations impliquant 19 bateaux et trois hélicoptères se poursuivaient pour localiser les deux victimes étrangères.
Parmi les six personnes tuées, cinq travaillaient pour la société Chevron. Le pilote de nationalité sud-africaine était lui employé par l’entreprise angolaise Heli Malongo. La nationalité de la sixième victime n’a pas encore été dévoilée.
« Nous avons ouvert une enquête interne pour déterminer les causes de l’accident », a déclaré John Baltz, le directeur général de la filiale angolaise de Chevron, lors d’une conférence de presse.
L’hélicoptère assurait la navette entre des plateformes et des installations terrestres de Chevron à Cabinda, a expliqué la télévision publique angolaise TPA, en citant une source du géant américain.
L’enclave de Cabinda – coincée entre les deux Congo, le Congo-Brazzaville et la République démocratique du Congo (RDC) – produit 60% du pétrole de l’Angola, premier producteur d’or noir en Afrique.
A demokrata párti Hillary Clinton infrastrukturális beruházásokat, minimálbér-emelést, valamint a középosztály segítését, míg a republikánus párti Donald Trump a külföldre telepedett vállalkozások hazahozatalát, s ezzel sok-sok új munkahely teremtését ígérte hétfőn este a két nagy amerikai politikai tömörülés elnökjelöltjeinek első televíziós vitájában, amelyen az amerikai sajtó első értékelései szerint Clinton szerepelt jobban.
Magyarcsernyén csütörtökön lakossági fórumot tartottak az október 2-ai kvótareferendumról. A népszavazáson való részvétel fontosságáról Bunford Tivadar, a VMSZ elnökségi tagja, Újhelyi Nándor, a VMSZ Intéző Bizottságának a tagja és Juhász Attila, a VMSZ magyarcsernyei községi szervezetének elnöke beszélt. Mint elhangzott, a magyar állampolgársággal rendelkező magyarcsernyeiek nagy többsége részt vesz majd a véleménynyilvánításban.
Camouflet pour la justice sénégalaise : saisie d'une demande de confiscation immobilière et bancaire, la justice parisienne ne voit rien à reprocher à Karim Wade et Bibo Bourgi au vu du code pénal français.
Cet article Sénégal : Karim Wade remporte une manche importante à Paris est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
© REUTERS/ Kevin Lamarque
Moscow released the full text of the Russia-US deal on Syria, the Russian Foreign Ministry announced on September 27. Its full text is now aviable (in Russian) on the site of the Russian Foreign Ministry.
“Only a few days ago – following the information ‘leaks’ in the Western media – the US State Department published on its website parts of the documents, not bothering to agree with us the date of the release,” theministry said in a statement. “On our part, we publish the texts of the relevant agreements in Russian.”
The Russian Foreign Ministry added that it had proposed to make the full package of documents public but Washington refused to do so. The move caused “some questions about whether the US is sincere or not.”
“The unwillingness to publicly confirm their commitment to separate opposition from al-Nusra Front, al-Qaeda’s affiliate in Syria, and jointly conduct strikes against terrorists and their partners in crime who did not cease hostilities called for special attention.”
Moscow urged Washington to make public the mandate of the joint center on the coordination of airstrikes against terrorists, the agreement on the monitoring of a road to Aleppo and to fulfill its promise and separate “moderate” Syrian rebels and Jabhat Fatah al-Sham (formerly al-Nusra Front or Jabhat al-Nusra).
On September 9, Russia and the United States announced a new plan on Syria and a ceasefire came into force on September 12. However, the peace attempt was declared ineffective because of numerous violations of the ceasefire. Russia and the US blamed each other for sabotaging the deal.
Loading the player... var playerInstance = jwplayer("sfVideo"); playerInstance.setup({ file: "https://southfront.org/wp-content/uploads/video/FPD_20_09_16_Syria_.mp4", image: "https://southfront.org/wp-content/uploads/2016/09/The-Answer-2.jpg", title: "Syrian Truce Collapsed", description: "", sharing: { sites: ['facebook','twitter','reddit','googleplus','linkedin','email'], code: encodeURI(""), link: "https://southfront.org/feed/" } }); playerInstance.addButton( "/wp-content/plugins/fwduvp/content/icons/download.png", "Download Video", function() { window.open("https://southfront.org/wp-content/plugins/fwduvp/content/downloader.php?path=https%3A%2F%2Fsouthfront.org%2Fwp-content%2Fuploads%2Fvideo%2FFPD_20_09_16_Syria_.mp4&name=Syrian_Truce_Collapsed.mp4",'_blank'); }, "download" );The post Moscow Releases Full Text of US-Russia Deal on Syria appeared first on .
Des habitants de Tombouctou se réjouissaient mardi de la condamnation à neuf ans de prison par la Cour pénale internationale (CPI) d’un jihadiste malien pour la destruction de mausolées à Tombouctou, dans le nord du pays, y voyant une « leçon » et un « exemple ».
En l’absence du président Ibrahim Boubacar Keïta, au Gabon pour l’investiture de son homologue Ali Bongo Ondimba, le gouvernement a exprimé le souhait que cette décision fasse « jurisprudence dans la protection du patrimoine mondial ». et serve « d’avertissement pour les criminels s’attaquant aux biens culturels ».
La condamnation par la CPI du Touareg malien Ahmad Al Faqi Al Mahdi « est un motif d’espoir pour toutes les victimes de l’idéologie barbare » des jihadistes qui s’étaient emparés en 2012 du nord du Mali, selon un communiqué gouvernemental.
« C’est bien fait pour lui. J’ai vu ce type ici pendant la crise (de 2012, NDLR). Il était comme Dieu sur Terre. Aujourd’hui, on lui montre qu’il n’est rien. C’est bien pour l’exemple », a estimé Mohamed Issa Touré, jeune guide touristique à Tombouctou joint par l’AFP.
« On a rendu justice à nos ancêtres. C’est important pour nous. Toucher aux mausolées de Tombouctou, c’est toucher à nos ancêtres », a-t-il souligné.
« C’est une bonne leçon qu’on vient de donner à ces fous. Il fallait même le condamner à au moins 25 ans de prison. Ce sont des aventuriers, et c’est comme ça qu’il faut les traiter », a déclaré Ali Maïga, président d’une association de jeunes de Tombouctou.
« Justice est rendue! On sait maintenant que les gens qu’on appelait +jihadistes+ n’étaient pas des dieux », a affirmé de son côté Mamadou Diallo, un enseignant.
En revanche, sur son compte twitter, Fahad Ag Almahmoud, le secrétaire général du Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia, pro-gouvernemental) a minimisé la portée de cette décision.
« La CPI, le filet qui ne prend que le petit poisson! », a-t-il écrit, en référence aux auteurs restés impunis de graves violations des droits de l’Homme au Mali depuis 2012.
La Mission de l’ONU au Mali (Minusma) se félicite dans un communiqué d’une « avancée dans la lutte contre l’impunité », mais souligne qu’il « importe que la justice pour d’autres crimes graves soit rendue ».
Saluant un « signal fort contre la destruction de biens culturels en général, et au Mali en particulier », la Minusma rappelle qu’elle est la « première opération de maintien de la paix à qui le Conseil de sécurité a confié la mission d’appuyer les autorités » dans la « protection du patrimoine culturel en collaboration avec l’Unesco ».
Le représentant au Mali de l’Unesco (Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture), Lazare Eloudundou, a affirmé pour sa part à l’AFP que « ce qui est important pour les communautés c’est que ce procès soit allé jusqu’au bout ».
Le groupes jihadistes liés à Al-Qaïda qui avaient pris le contrôle du nord du Mali en mars-avril 2012 en ont été en grande partie chassés par une intervention militaire internationale lancée en 2013 à l’initiative de la France, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes.