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General : The current situation in Europe of Anti-Semitism and future prospects for Europe’s Jewish communities were debated at a conference hosted by EP President Martin Schulz and First Vice-President Antonio Tajani on Tuesday.

Source : © European Union, 2016 - EP

General : The current situation in Europe of Anti-Semitism and future prospects for Europe’s Jewish communities were debated at a conference hosted by EP President Martin Schulz and First Vice-President Antonio Tajani on Tuesday.

Source : © European Union, 2016 - EP

General : The current situation in Europe of Anti-Semitism and future prospects for Europe’s Jewish communities were debated at a conference hosted by EP President Martin Schulz and First Vice-President Antonio Tajani on Tuesday.

Source : © European Union, 2016 - EP

Svéd orvosok arra figyelmeztetnek, hogy a monitorok előtt töltött túl hosszú idő rövidlátást okoz a gyerekeknél.

Az emberi szem nem arra való, hogy okostelefonok vagy tabletek kicsiny képernyőjét böngéssze – nyilatkoztak svéd szakértők hétfőn a helyi médiának.

A rövidlátók száma az 1940-es évek óta 400 százalékkal emelkedett, 70 hetven évvel ezelőtt a svéd gyerekek 8-9 százaléka volt rövidlátó, ma 40 százalékuk.

Nőtt az úgynevezett álrövidlátók, vagyis pszeudomiópiások száma is, náluk a szem sugárizma nem lazul el teljesen, így a szemlencse nem ad megfelelő fókuszt. Ezek a gyerekek is rövidlátást tapasztalnak.

A kutatók úgy vélik, a rövidlátók számának drámai emelkedését részben a monitorok előtt töltött egyre hosszabb idő okozza. A szem fokozatosan alkalmazkodik ahhoz, hogy közelről nézze a képernyőt, ennek pedig hosszú távon káros hatásai vannak.

“Szemünk irányításának képessége akkor erősebb, ha három dimenzióban nézzük a dolgokat, ilyenkor az agy több ingert kap. Tehát amikor telefon vagy tablet monitorára meredünk, akkor valószínűleg nem olyasmit teszünk a szemünkkel, amire az való. Arra születtünk, hogy három dimenzióban alkossunk a kezünkkel, például kössünk, formákat vagy eszközöket készítsünk” – magyarázta Rune Brautaset, a Karolinska Egyetem neurológiai klinikájának tanára a svéd köztévé adásában.

Général : La situation actuelle de l'antisémitisme en Europe et les perspectives d'avenir pour les communautés juives d'Europe ont été débattues lors d'une conférence organisée par le Président du Parlement européen, Martin Schulz, et le premier vice-président, Antonio Tajani, mardi.

Source : © Union européenne, 2016 - PE

The trade turnover between Azerbaijan and Bulgaria totalled 17.29 million manats in January-August 2016.

Un jihadiste malien a été condamné mardi lors d’un verdict historique à neuf ans de prison par la CPI pour avoir démoli des mausolées protégés à Tombouctou, un jugement considéré comme un avertissement pour ceux qui détruisent le patrimoine de l’humanité.

Des dunes du Sahara à celles de la mer du Nord, au pied desquelles se dresse la CPI, le Touareg Ahmad Al Faqi Al Mahdi a été reconnu coupable d’avoir « dirigé intentionnellement des attaques » contre neuf des mausolées de Tombouctou (nord du Mali) et contre la porte de la mosquée Sidi Yahia entre le 30 juin et le 11 juillet 2012.

« M. Mahdi, le crime pour lequel vous avez été reconnu coupable est très grave », a affirmé le juge Raul Pangalangan : « la chambre vous condamne à neuf années de détention ».

Après avoir plaidé coupable à l’ouverture de son procès à la Cour pénale internationale (CPI), cet homme aux petites lunettes avait demandé pardon à son peuple, assurant être « plein de remords et de regrets ».

Disant avoir été à l’époque sous l’empire de groupes jihadistes, il avait appelé les musulmans du monde entier à résister « à ce genre d’actions ».

Mardi, Ahmad Al Faqi Al Mahdi, en costume gris, chemise blanche et cravate rayée, a écouté la lecture du jugement l’air concentré, hochant de temps en temps la tête. En se rasseyant après la lecture du verdict, il a mis une main sur son coeur.

– Un « exemple » –

Les juges ont affirmé que l’accusé, né vers 1975, était un membre d’Ansar Dine, l’un des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda qui ont contrôlé le nord du Mali pendant environ dix mois en 2012, avant d’être en grande partie chassés par une intervention internationale déclenchée en janvier 2013 par la France.

En tant que chef de la Hisbah, la brigade islamique des moeurs, il avait ordonné et participé aux attaques contre les mausolées, détruits à coups de pioche, de houe et de burin.

Ces mausolées abritent des personnages vénérés considérés comme des protecteurs de la ville et qui sont susceptibles d’être sollicités pour des mariages, pour implorer la pluie ou contre la disette.

Ce sont ces rites, contraires à leur vision rigoriste de l’islam, que les jihadistes ont tenté d’éradiquer, d’abord par la sensibilisation, avant d’en venir à la destruction des mausolées.

A Tombouctou, des habitants se sont félicité de la décision des juges, y voyant « une leçon » et « un exemple ». En 2012, l’accusé « était comme Dieu sur Terre », a ainsi témoigné Mohamed Issa Touré, jeune guide touristique à Tombouctou joint par l’AFP. « Aujourd’hui, on lui montre qu’il n’est rien. C’est bien pour l’exemple », a-t-il lancé.

« C’est un crime très, très grave », a réagi de son côté la procureure de la CPI, Fatou Bensouda : « c’est un crime de guerre et (ceux qui commettent ce crime) seront tenus pour responsables ».

– Motif d’espoir? –

Ce jugement est « une étape historique dans la reconnaissance de l’importance du patrimoine pour les communautés qui l’ont préservé au fil des siècles et au-delà, pour l’humanité tout entière », a de son côté réagi la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, citée dans un communiqué.

Ce procès a vu une avalanche de primeurs: premier accusé à reconnaître sa culpabilité, Ahmad Al Faqi Al Mahdi est le premier jihadiste à être jugé à La Haye et le premier accusé dans le cadre du conflit malien.

Bamako a exprimé le souhait que le jugement « fasse jurisprudence dans la protection du patrimoine mondial ». Il est aussi « un motif d’espoir pour toutes les victimes de l’idéologie barbare » des jihadistes, a ajouté le gouvernement malien dans un communiqué.

Les ONG, qui avaient regretté au début du procès que les charges contre l’accusé n’aient pas été élargies pour inclure les autres crimes reprochés à la Hisbah, dont des crimes de torture ou de viols, ont appelé le Mali à « jouer un rôle plus actif » dans les poursuites. Amnesty international, de son côté, a rappelé « les centaines de civils tués, torturés ou violés » et invité la procureure à continuer ses enquêtes.

Alors que de nombreux sites sont régulièrement détruits en Syrie ou en Irak, ce jugement envoie « un signal fort » contre la destruction de biens culturels, a affirmé dans un communiqué la Minusma, la mission des Nations unies au Mali.

Mais même si la liste des sites en danger ne cesse de s’allonger, d’autres poursuites ne seront pas évidentes. Ni l’Irak, ni la Syrie n’ont signé le Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI. Sans décision de l’ONU, aucune enquête n’est possible.

Following the inicial success today in Aleppo, the Syrian army and Hezbollah have fully secured the Farafira Neighborhood and the area northwest of the Aleppo Citadel inside the city.

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(B2) Pour Gilles de Kerchove, coordinateur de l'UE dans la lutte contre le terrorisme, les attentats de 2016 soulèvent cinq points particulièrement préoccupants pour le futur. Devant la commission des Libertés publiques du Parlement européen lundi (26 septembre), il les a énumérés et détaillés. Le glissement de Daesh vers d'autres modus operandi, notamment les voitures piégées et les armes […]

Un jihadiste malien a été condamné mardi lors d’un verdict historique à neuf ans de prison par la CPI pour avoir démoli des mausolées protégés à Tombouctou, un jugement considéré comme un avertissement pour ceux qui détruisent le patrimoine de l’humanité.

Des dunes du Sahara à celles de la mer du Nord, au pied desquelles se dresse la CPI, le Touareg Ahmad Al Faqi Al Mahdi a été reconnu coupable d’avoir « dirigé intentionnellement des attaques » contre neuf des mausolées de Tombouctou (nord du Mali) et contre la porte de la mosquée Sidi Yahia entre le 30 juin et le 11 juillet 2012.

« M. Mahdi, le crime pour lequel vous avez été reconnu coupable est très grave », a affirmé le juge Raul Pangalangan : « la chambre vous condamne à neuf années de détention ».

Après avoir plaidé coupable à l’ouverture de son procès à la Cour pénale internationale (CPI), cet homme aux petites lunettes avait demandé pardon à son peuple, assurant être « plein de remords et de regrets ».

Disant avoir été à l’époque sous l’empire de groupes jihadistes, il avait appelé les musulmans du monde entier à résister « à ce genre d’actions ».

Mardi, Ahmad Al Faqi Al Mahdi, en costume gris, chemise blanche et cravate rayée, a écouté la lecture du jugement l’air concentré, hochant de temps en temps la tête. En se rasseyant après la lecture du verdict, il a mis une main sur son coeur.

– Un « exemple » –

Les juges ont affirmé que l’accusé, né vers 1975, était un membre d’Ansar Dine, l’un des groupes jihadistes liés à Al-Qaïda qui ont contrôlé le nord du Mali pendant environ dix mois en 2012, avant d’être en grande partie chassés par une intervention internationale déclenchée en janvier 2013 par la France.

En tant que chef de la Hisbah, la brigade islamique des moeurs, il avait ordonné et participé aux attaques contre les mausolées, détruits à coups de pioche, de houe et de burin.

Ces mausolées abritent des personnages vénérés considérés comme des protecteurs de la ville et qui sont susceptibles d’être sollicités pour des mariages, pour implorer la pluie ou contre la disette.

Ce sont ces rites, contraires à leur vision rigoriste de l’islam, que les jihadistes ont tenté d’éradiquer, d’abord par la sensibilisation, avant d’en venir à la destruction des mausolées.

A Tombouctou, des habitants se sont félicité de la décision des juges, y voyant « une leçon » et « un exemple ». En 2012, l’accusé « était comme Dieu sur Terre », a ainsi témoigné Mohamed Issa Touré, jeune guide touristique à Tombouctou joint par l’AFP. « Aujourd’hui, on lui montre qu’il n’est rien. C’est bien pour l’exemple », a-t-il lancé.

« C’est un crime très, très grave », a réagi de son côté la procureure de la CPI, Fatou Bensouda : « c’est un crime de guerre et (ceux qui commettent ce crime) seront tenus pour responsables ».

– Motif d’espoir? –

Ce jugement est « une étape historique dans la reconnaissance de l’importance du patrimoine pour les communautés qui l’ont préservé au fil des siècles et au-delà, pour l’humanité tout entière », a de son côté réagi la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, citée dans un communiqué.

Ce procès a vu une avalanche de primeurs: premier accusé à reconnaître sa culpabilité, Ahmad Al Faqi Al Mahdi est le premier jihadiste à être jugé à La Haye et le premier accusé dans le cadre du conflit malien.

Bamako a exprimé le souhait que le jugement « fasse jurisprudence dans la protection du patrimoine mondial ». Il est aussi « un motif d’espoir pour toutes les victimes de l’idéologie barbare » des jihadistes, a ajouté le gouvernement malien dans un communiqué.

Les ONG, qui avaient regretté au début du procès que les charges contre l’accusé n’aient pas été élargies pour inclure les autres crimes reprochés à la Hisbah, dont des crimes de torture ou de viols, ont appelé le Mali à « jouer un rôle plus actif » dans les poursuites. Amnesty international, de son côté, a rappelé « les centaines de civils tués, torturés ou violés » et invité la procureure à continuer ses enquêtes.

Alors que de nombreux sites sont régulièrement détruits en Syrie ou en Irak, ce jugement envoie « un signal fort » contre la destruction de biens culturels, a affirmé dans un communiqué la Minusma, la mission des Nations unies au Mali.

Mais même si la liste des sites en danger ne cesse de s’allonger, d’autres poursuites ne seront pas évidentes. Ni l’Irak, ni la Syrie n’ont signé le Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI. Sans décision de l’ONU, aucune enquête n’est possible.

 

Abulfas Garayev, Nabi Avci attend Multicultural Society and Tourism Conference in Baku.

(BRUXELLES2 à Bratislava) En voulant donner quelques exemples de la faiblesse européenne en matière de défense (côté UE), le secrétaire général de l’OTAN, d’habitude très prudent, s’est avancé un peu vite dans l’histoire. « Trois des quatre bataillons alliés présents à l’Est sont dirigés par des non membres de l’Union européenne : les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni… » a indiqué face à la presse Jens Stoltenberg. Et hop ! Exit le Royaume-Uni, malgré tous les efforts de Michael Fallon (le ministre brit’ de la Défense) pour animer les débats et malgré toutes les déclarations contraires de Londres — qui n’a toujours pas déclenché la procédure de départ de l’Union européenne (le fameux article 50).

(NGV)

Die Amerikaner brachen die vereinbarte Waffenruhe in Syrien, entschuldigten sich. Andrew Kelly Russlands UN-Botschafter: „Syrien bombardieren alle, denen es gerade gefällt“ Von seiner gut bekannten kriminellen Energie getrieben, verdreht erneut der gekaufte Journalist Stefan Kornelius, Alle Fakten. Schweigt wer die Kopf Abscheider organisiert, finanziert. Auch noch die Kopf Abschneider Terroristen Organisation White Helms, als NGO verkaufen. Trotz vereinbarter Waffen Ruhe, bombardierten die Amerikaner Syrische Truppen und koordinierten en folgenden Angriff der Al-Nusra Terroristen. Die US Militärs, Pentagon, nehmen keine Befehle des Weissen Hauses entgegen. er volle Text des russisch-amerikanischen Syrien-Abkommens ist auf der offiziellen Seite des russischen Außenministeriums verfügbar. USA bedauern Luftangriff auf syrische Truppen Stand: 19.09.2016 | Lesedauer: 3 […]

The US-led coalition’s air power has bombed areas near the Syrian government-controlled city of Deir Ezzor 2nd time in September, reports said on September 27.

The coalition’s warplanes destroyed the Political Brigade, which crosses the Euphrates river, inside the town of Al-Mayadeen. Al-Mayadeen is located in the southeastern countryside of the Deir Ezzor province.

Earlier this month, the US-led coalition hit the Syrian army’s positions at the Thardeh Mountains outside the city of Deir Ezzor, killing and injuring over 100 Syrian servicemen. The ISIS attack followed the air strike.

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Tout juste élu à la tête de la FAGE, le syndicat étudiant, Jimmy Losfeld, 23 ans, entend défendre le contrôle continu au bac, la création d’une plate-forme d’admission en master et une vraie politique jeunesse.

Der Streit über die Flüchtlingspolitik der EU hält an.

The International Criminal Court (ICC) today found a Malian Islamist accused of destroying historical and religious monuments in the fabled city of Timbuktu guilty in the first-ever prosecution of the destruction of cultural heritage as a war crime.

L'État ivoirien a officiellement lancé le processus de privatisation de la Compagnie ivoirienne pour le développement des textiles (CIDT) mardi. La Côte d'Ivoire tente de sauver un des acteurs historiques de la filière, en rémission et à qui ses concurrents taillent des croupières.

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Un militaire et un civil maliens ont été tués à Tombouctou (nord-ouest du Mali) par des jihadistes présumés, a appris lundi l’AFP de sources militaires. « Un garde national (composante de l’armée malienne) et un de ses cousins ont été tués dimanche à Tombouctou par de présumés terroristes. C’est une attaque ciblée », a déclaré à l’AFP ...