IPI’s research project on mechanisms to investigate attacks on healthcare aims to assist the Security Council, relevant UN organs, member states, and other stakeholders in operationalizing Resolution 2286 and the UN secretary general’s recommendations for its implementation. The project focuses on recommendations regarding the use of international mechanisms to ensure that the “full, prompt, impartial and effective investigations” required by Resolution 2286 are carried out when parties to the conflict are unable or unwilling to do so themselves.
Through a combination of desk research, key informant interviews, and an expert meeting bringing together stakeholders in the implementation of Resolution 2286 and experts on international fact-finding and investigation into violations of international humanitarian law, the project developed a set of tools, available on this page. These include:
Apart from introducing the topic and the research project and commenting on the project’s tools, the paper presents the project’s general findings on whether and how different mechanisms can be used to investigate attacks on healthcare. It also discusses their respective advantages and disadvantages and some of the inherent challenges in investigating violations of international law in situations of armed conflict. Finally, it submits a number of conclusions and a set of concrete recommendations to ensure existing mechanisms that could have a positive impact on the ground are used more systematically and effectively.
Detailed Factsheets for Selected International Mechanisms (Click on each mechanism below for their detailed factsheet) .cartouche { display: none; } /* hide title */ .wp-post-image { /* constrain title image */ max-width: 70%; min-height: initial !important; } ul.subnav.nav { /* hide the nav buttons */ display: none; } a[href$="pdf"]:last-of-type:after { /* don't display "PDF" after the links in the margin */ display: none!important; } .wp-image-15635 { display: block; } /* show image at top of text */ html>body{ background-image:none; background: #d0e2fd; } .entry-content { color: black; } .content .main .entry-content a:not(.btn) { color: #0059de; } .pre-header-wrap .page:before { background-image:none; }Au bord du gouffre.
Les élections législatives du 15 octobre 2017 apparaissent comme un tournant majeur dans l’histoire du système politique autrichien. Sebastian Kurz est appelé à devenir le plus jeune dirigeant au monde à la suite de la victoire de son parti, la Liste Kurz, avec 31,5 % des voix. En quelques mois seulement, Sebastian Kurz, surnommé Wunderwuzzi (« l’enfant […]
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Selon Philippe Hugon, directeur de recherche à l’Iris, le discours du chef de l’Etat « n’a pas d’équivalent dans le passé. »
A Ougadougou, dans la capitale du Burkina Faso, devant des centaines d’étudiants, Emmanuel Macron a délivré un discours sur l’Afrique qui se voulait en rupture avec les pratiques du passé. Tenant compte de la perte d’influence de la France dans ses anciens pré-carrés, il s’est adressé à la jeunesse africaine en se montrant en phase avec ses aspirations. Le chef de l’Etat a-t-il vraiment fait la différence ? Décryptage de Philippe Hugon, directeur de recherche à l’Iris, en charge de l’Afrique.
Emmanuel Macron avait promis un discours sur l’Afrique qui se voulait en rupture avec ceux de ses prédécesseurs, et notamment de celui de Nicolas Sarkozy à Dakar en 2007. A-t-il réussi?
Sur la forme, sans aucun doute. Il a adopté un ton nouveau, il a parlé en présence d’un chef d’Etat, il s’est adressé directement aux étudiants, il a eu un discours franc. Il a pris le risque d’organiser une séquence de questions-réponses à bâtons rompus avec des étudiants dont on sait qu’ils peuvent le mettre en difficulté. Il s’est défini comme appartenant à une autre génération. Il n’y a pas d’équivalent dans le passé.
Pour moi, c’est un discours fondateur. Il a mis l’accent sur les nouvelles opportunités de la jeunesse, il a eu un discours de vérité sur tous les défis à relever en renvoyant la balle aux Africains eux-mêmes. Il a voulu ne pas être moralisateur même s’il a beaucoup utilisé le « Je veux ».
A-t-il eu des idées neuves ?
Il a énoncé quelques nouveautés. Il s’est détaché de l’approche militaire et interventionniste. Il n’était pas accompagné des grands patrons des grandes multinationales françaises, celles qui sont habituellement au cœur de la relation franco-africaine sur le plan économique. Au contraire, il était entouré de responsables de start-up. Ceux qui le conseillent, réunis au sein du CPA, sont des jeunes membres de la diaspora, des entrepreneurs en majorité. Ce n’est ni Robert Bourgi, ni l’Internationale Socialiste.
Il a mis davantage l’accent sur l’innovation, le numérique et les nouvelles technologies. Il ne parle pas de francophonie au sens strict : chez lui, ce n’est pas la langue française qui s’impose, ce n’est pas le français pour les Africains qui serait une vision post-coloniale, mais un ensemble de langues francophones avec l’apport des différentes manières de maîtriser la langue.
Selon vous, Emmanuel Macron est-il parvenu à rompre avec l’histoire post-coloniale, promesse sans cesse renouvelée, pas forcément toujours tenue ?
La phrase la plus importante qu’il a prononcé sur ce sujet :
« Il n’y a pas de politique africaine de la France ».
C’est une rupture de vocabulaire mais aussi de principes fondateurs.
Sur la forme, il a, selon vous, fait la différence. Sur le fond, y a-t-il réellement des évolutions ?
La rupture est moindre sur différents dossiers. Si la France s’est engagée à augmenter légèrement à 0,5% du PIB l’aide publique au développement pour la fin de la mandature contre 0,37 % aujourd’hui, on est bien en dessous de ce que font la plupart de nos grands partenaires européens qui sont à 0,7% du PIB environ. On n’est pas dans une rupture radicale, en raison, sans doute, des contraintes budgétaires. Sur le plan militaire, Emmanuel Macron cherche à se désengager, les troupes étant sous tension, et à européaniser les dispositifs de sécurité, mais il se heurte à un mur. Les pays européens ont leurs propres priorités et pour l’instant la question de la sécurité reste à la charge de la France.
Sur la question migratoire et du financement du terrorisme, il a développé certains de ses principes (lutte contre les passeurs, les demandes d’asile en Afrique…), mais on n’est pas dans une totale rupture. Enfin, realpolitik oblige, on continue de vendre nos appareils militaires en Afrique, à des dirigeants pas toujours fréquentables. Rappelons également, que si Emmanuel Macron vante les mérites du développement des start-up, paradoxalement, il inaugure le nouveau métro à Abidjan, marché obtenu en partie par les grands groupes français, parce que la France à aider à la mise en place de Alassane Ouattara à la tête du pouvoir.
Emmanuel Macron a insisté pour dire que désormais l’Afrique devait se débrouiller seule et mis les chefs d’Etats africains face à leurs responsabilité. La France peut-elle vraiment se désengager du continent africain ?
La France n’a cessé depuis les années 2000 de perdre des parts de marché car l’Afrique s’est mondialisé et a désormais de multiples partenaires partout dans le monde. C’est une lame de fond et ça ne dépend pas de la France. Les réseaux francs-maçons, ceux de l’Internationale socialiste, ceux de la Françafrique, jouent moins de rôles.
Les relations se sont « décolonisées » sauf dans le domaine militaire. Il y a, là, une spécificité française. La France est le seul pays européen membre permanent du Conseil de sécurité, dès lors que la Grande-Bretagne n’en fait plus partie. La France a toujours considéré que ses accords de coopération militaire avec les pays africains, bien qu’ils aient été modifiés par Nicolas Sarkozy, constituent un lien privilégié. L’exportation de nos armes est directement liée à cette situation, étant donné que nous sommes des grands marchands d’armes et que l’Afrique où il y de nombreuses guerres, fait partie des acheteurs.
De ce point de vue-là, la France continue d’assurer les fonctions régaliennes d’armées africaines qui ne sont pas professionnelles, qui n’ont pas les moyens, et qui dans la grande majorité sont incapables d’exercer leur fonction de sécurité. La France veut s’en tirer, mais on voit bien que c’est difficile car ni les relais africains, ni les relais européens, ne sont prêts à le faire.
Le chef de l’Etat pourra-t-il tenir ses promesses de renouvellement ?
Il y a encore de nombreuses inconnues. Cela dépend beaucoup des reconfigurations politiques actuelles en Europe. Mais cela dépend aussi des décisions africaines. De nombreux responsables politiques africains n’ont pas tellement envie que cela change. Ils ont de bonnes relations avec les grands groupes qui exploitent les ressources minières et pétrolières, avec les Indiens, avec les Chinois, ils s’arrangent avec la corruption, l’optimisation fiscale, la fuite des capitaux… Cela ne changera que si les populations africaines souhaitent que cela change.
Propos recueillis par Sarah Diffalah
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Peace and regional stability are at stake in the pensions crisis, Nejib Friji, Director IPI-MENA, warned an expert audience at the second annual TAKAUD Pensions Conference in Manama. The pressure on pension payouts is increasing with the regional and global elderly population expanding due to longer life expectancy, extended contribution in the labor market, and reduction in family sizes, Mr. Friji stressed. “This exacerbates generational tensions over limited public resources, which subsequently jeopardizes social peace in the long-run,” he said.
Mr. Friji said that if these issues are left ignored, by 2050, the projected 70 million elderly people in the MENA region alone will have no income, let alone the billions of people globally without pensions.
TAKAUD—a specialist provider of savings, investment and pension solutions for the MENA region—convened the conference on November 28th. Mr. Friji moderated a panel session, “Can Expat Pensions be introduced in the Gulf Cooperation Council (GCC)?” Participants included Mohamed Suoodi, Chairman, Social Insurance Fund for the Government Sector, Egypt; Montserrat Pallares-Miralles, Senior Social Protection Specialist, World Bank Group; Martin McGuigan Partner, AON Hewitt Middle East and Mr. Philip Wheeler, Senior Manager, MENA Pensions Advisory, Ernst & Young.
“The need to retire in comfort and security is universal,” emphasized Supreme Council of Health president and chairman of the Al Hekma Society for the Retired, Shaikh Mohammed bin Abdulla Al Khalifa. He also urged the retirement age to be increased to 65-67.
“Global experience shows that pensions require multiple pillars—among the government, corporate and individual sectors—to be more sustainable. Building effective local models and institutional frameworks for pensions would be key prerequisites to move in this direction, which is the focus of this conference,” said Ebrahim K. Ebrahim, TAKAUD’s Chief Government Business & Communications Officer. “It is certainly time for the region to create a wider framework for more sustainable retirement options for people,” he added.
Mr. Friji said he was alarmed by a World Bank and International Labor Organization (ILO) finding that only 15% of the global population are covered by pensions. To put this in context, he added, “most people nowadays and in the future study for 30 years, work for 30 years and then retire around the age of sixty or more, for another 30 years or so. The World Bank estimates that there are currently over 600 million retirees in the world. Future estimations predict that this number will increase to 2.1 billion by 2050.”
“The MENA region has millions of expatriates with potential that has yet to be tapped vis-à-vis pension schemes,” he stressed. Recognizing expatriates’ contribution to the economic development of their host country can, according to Mr. Friji, change some perceptions and attitudes towards these guest-workers by national governments and societies and vice versa.
In addition to this, he said that in some developing and industrialized countries, pensions are the only source of income for a household, which may be home to three generations. Therefore, their very survival is predicated and dependent on these pension schemes. The threat this presents to social peace has regional and global implications, Mr. Friji said.
Of the 17 million foreign employees in the GCC, a staggering $80 billion was transferred from those foreign workers in the GCC to their home countries in 2014 alone. “Wouldn’t the billions in funding transferred externally constitute a hemorrhage to the economic development of a country?” Mr. Friji wondered while recognizing that the employee has the right to manage his or her funds. “With pensions, nations have been able to mobilize pension savings into large pools of assets, through creating jobs and employment,” he noted.
Evidently, solving this acute pension crisis is a prerequisite to maintaining a collective peace, Mr. Friji said. At the same time, the UN found the total number of migrants constituted 3.3% of the global population in 2015. These 244 million migrants were a 41% increase since the year 2000.
Mr. Friji said that fostering a positive outlook towards foreign workers could have the ripple effect of cultivating a more attractive local labor market and improving preconceived perceptions between guest-worker and host-countries.
Mr. Friji said it is the duty of both the state and private sector to equip the salary-makers to first meet the expatriates’ rights, but also to work on sustainable development and peace to avoid and prevent social unrest.
The “pension-less” population will constitute a challenge if not a threat to social peace, Mr. Friji warned.
Mr. Friji called on the multilateral system, the UN and Bretton Woods institutions to work on a preventive plan like the Marshall plan which could, in effect, serve as a mitigation plan that solves the current pension funds crises and could be aimed at preventing this crisis from becoming a serious threat to social peace and stability.
The second annual Pensions Conference was organized by TAKAUD.
Mr. Friji moderated the panel session.
Le baccalauréat fait l’objet d’une vaste concertation à laquelle la présente note souhaite contribuer. Le baccalauréat ne doit plus être l’aboutissement symbolique des études secondaires. Il doit mieux s’articuler avec le supérieur. Par ailleurs, la filière professionnelle, à la fois socialement déconsidérée, opaque et excessivement centralisée, doit être administrée au plus près des territoires, en […]
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Jusque très récemment, l’Europe ne comptait guère dans les campagnes électorales - ou alors comme repoussoir - et quasiment pas dans les moments cruciaux de la politique intérieure.
Dans le monde d’horreurs qui est souvent le nôtre, des images particulièrement choquantes viennent parfois réveiller nos consciences ou heurter nos sensibilités.
The Red Sea is a vital pathway for goods, people, arms, and livestock. European trade with Asia passes through here as well as oil from the Gulf to the Mediterranean, and a sizeable amount of global marine cargo is hauled through the Suez Canal and the Red Sea into the Indian Ocean. In addition to its significance as a trade route, the Red Sea is a lane for migration between the Gulf and the Horn of Africa and a bridge for roving terrorists. Its water connects the Horn of Africa with the Gulf countries, although it also separates African and Arab political and social cultures. Moreover, many issues are contested in the Red Sea region, ranging from military control to political Islam. In order to avoid further rifts between the Horn of Africa countries as a consequence of the disruptive politics of the Gulf, the Horn needs to perceive itself as a region and find common interests rather than becoming fragmented and weakened. The stability of the Horn of Africa as well as the security of its trade routes are of vital interest to European countries and economies.
Les 29 et 30 novembre se tient à Abidjan le cinquième sommet entre l’Union africaine et l’Union européenne.
Les avanies de la "vieille politique" et de ses petits calculs ont rattrapé l'Allemagne. Si elle semble affaiblie par son échec à former une première coalition, Angela Merkel doit rester à la tête du pays. L'avenir immédiat de l'Europe en dépend.
El Parlamento Europeo ha aprobado un Informe sobre Empresas Militares y de Seguridad Privadas que insta a regular su concepto, actividades y proyección exterior. Una regulación necesaria para superar la indefinición y vacío legal en los que se encuentran.